Pseudo du joueur : Jester Autre(s) compte(s) ? : Jack Crane // Amy Whitehouse // LOL Personnage sur l'avatar : Ann Takamaki
Âge / Classe ou Job : 19 ans, E, 8ème année Messages : 46
Hello my name isAlice K. Andel
Carte spéciale Inventaire, objets importants pour le personnage:
Sujet: My loneliness is killing me (PV Eros) Lun 6 Aoû 2018 - 8:30
featuring Alice K. Andel & S. Eros Xodo
« Let's talk »
Alice profite de la fraîcheur du vent qui lui fouette légèrement le visage. Les yeux clos, les bras croisés et un petit pincement au cœur. Elle se trouve sur le toit. Là, où pour la première fois, Owain l'embrassa. Là où ils ont partagez un moment dont elle se souviendras toute sa vie. Mais c'est fini. Ils ne sont plus ensemble. Par la faute d'Alice. Elle a tout détruit. Deux fois. Elle s'en veut. Elle se hait pour ça.
Plutôt, dans la journée, elle a reçu un lms du fameux Eros. Patron du Remains et cuisinier du pensionnat. La E ne le connaît seulement de réputation. Et pourtant, il semble inquiéter par son cas. La blonde a accepté ce rendez-vous. Pourquoi ? Elle ne sait pas.
Elle se dit que parler à quelqu'un d'autre qu'un psychologue lui ferait, peut-être du bien. Après-tout, on lui a forcé la main pour se rendre dans le bureau d'Andrew. Pour qu'elle puisse parler de ce qui s'est passer ce soir où elle disparut. Et lorsqu'on la retrouver, les mains en sangs. Et prête à se jeter dans l'eau froide et profonde du port.
Elle entend quelqu'un qui se rapproche, alors ses yeux s'ouvrent. Se tournant, pour voir l'individu. Dans sa robe de satin rouge, avec tout ce maquillage superficielle. Ses longs cheveux blonds soigneusement peignés. Elle prend soin d'elle, c'est déjà ça.
« Yo. »
(c) chaotic evil
InvitéInvité
Sujet: Re: My loneliness is killing me (PV Eros) Mer 22 Aoû 2018 - 19:31
▲▼ Mu loneliness is killing me.Elle ne va pas bien.
C'est un euphémisme cela. Elle va même mal.
Tu n'es pourtant pas proche d'elle. Lien n'y a qu'Owain entre vous deux. Il n'y a que cela et encore. Oui, même ça on ne peux pas vraiment que ça soit vraiment un lien. C'est encore plus fragile que le premier brin de soie qu'on attrape des cocons. Le vent est certainement plus tangible que votre lien.
Malgré tout cela, les rumeurs courent, les bruits de couloir aussi, tout se sais, surtout en cuisine. À croire parfois que le lieu est hanté par le don scoop. Le pot-de-vin en nourriture pour avoir des information aide pas mal aussi pour les gourmands.
Donc ce qu'elle a fait, c'est su. C'est remonter à tes oreilles. L'administration en a parlé, tu ne sais plus qui alors que tes oreilles traînaient là. C'était fichu.
Tu aurais pu partir. La laisser. Laisser Andrew géré, c'est son travail après tout, pas le tien. Tu n'es que cuisinier, qu'un employer lambda.
Pas un héros. Pas un sauveur.
Juste un chef qui prends les coups à la place d'oiseaux qui ont décide de rester à l'écart de tout le reste.
Pourtant, avant d'y avoir vraiment pensé, tu lui as écrit un LMS pour savoir où elle était. Avant d'y avoir vraiment pensé un thermos de chocolat est préparé. Avant d'y avoir vraiment pensé des sandwichs et des sablés sont préparé. Avant d'y avoir vraiment pensé, tu vas la rejoindre sur le toit de la tour.
Maintenant qu'elle te dit Yo, il faudrait peut-être penser un peu.
Plus que quand tu t'es changé en tout cas. Le jean et la chemise blanche ne posent pas de soucis. Panier en plastique noir avec ce que tu as préparé non plus. Par contre, tu aurais pu laisser le tablier avec écrit dessus "L'homme idéal n'est pas un mythe, j'en suis la preuve vivante" n'est pas forcément du meilleur effets.
Trop tard.
- Salut.
Tu t'installes à sa droite, s'assois et attrapes ton thermos avant de lui servir une tasse de chocolat chaud. La encore, tu pauses la tasse à coté d'elle, tout juste à côté. Place la boite remplis de sablé entre vous et les sandwiches jambon beurre aussi.
On pourrait presque croire à un simple pique-nique. Presque.
Tu attends, l'englobes tout doucement de ton pouvoir. Une fine couche. C'est comme une couverture qu'on met l'hiver quand on a un peu froid. Il y a la douceur qu'on ressent en cajolant un animal mignon qu'on apprécie sur son cœur. Il y a des relents des bonheurs propre au début des vacances. Bref tout pour être bien.
Tu la berces dans cela sans penser aux conséquences.
Tu la berces et attends qu'elle ait l'envie de parler.
Tu t'en fiche de quoi, du moment qu'elle te parle, c'est le principal.
Peut-être te parlera-t-elle de ça. Peut-être pas. L'important n'est pas ici.