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 Une page se tourne et tu ne peux plus faire marche arrière...

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Anonymous
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MessageSujet: Une page se tourne et tu ne peux plus faire marche arrière...   Une page se tourne et tu ne peux plus faire marche arrière... 1400359500-clockMer 26 Sep 2012 - 21:36
10h du matin.

Je suis devant le batiment. Et aussi devant la grande porte qui donne sur Le rez de chaussée. Je prends une cigarette de mon paquet que j'approche de mes lèvres. Je sors mon briquet et j'allume cette cigarette. En recrachant la fumée, je souffle. Mes paroles sont assez saccadées , n'est-ce pas? Et bien cela montra ma blasitude du moment.. Je ne savais pas comment réagir à cette nouvelle -vie que j'allais avoir.. Mon pouvoir.. Qui allait être connu de tout le monde. Même si , tout le monde en a un aussi, je n'ai pas l'habitude que les gens sachent que j'ai un pouvoir. Je recrachais alors une nouvelle bouffée de ma cigarette en regardant ce grand bâtiment. Il n'a pas l'air si mal que ça.. Je me demandais comment était les gens de cette école. Fin si on peut appeller ça une école. Je m'asseyais sur le banc devant cette grande porte.. J'allais y rentrer. J'allais le faire. Mais je vais fumer au moins deux ou trois cigarette. Je regardais autour de moi. Je voyais plein de jeune gens, des élèves sûrement. Ils ricanaient, ils parlaient. Même fort des fois. Et Moi je me retrouvais seule. Face à ce doute qui montait en moi. Je ne savais pas si j'allais pas plutôt partir avec ma valis. Comment je vais faire là.. Qu'est ce que je vais faire surtout.. Pourquoi je suis ici. Je vais faire quoi? Je suis toute seule et je ne connais personne. Comment Puis-je m'en sortir.. Pour vous ce n'est rien mais pour moi c'est une chose qui me perturbe. Je suis d'origine très stressée. Je stresse toujours beaucoup pour rien et n'importe. Quelque chose que j'ai oublié de préciser dans ma fiche d'inscription d'ailleurs. Vous savez, ce n'est pas parce que je parais , si , gentille, si aimable, si amusée tout le temps, que je le suis vraiment. C'est assez étonnant. Fin si , je le suis, mais j'ai aussi une autre part de moi qui n'est pas comme ça. Bref stop les blablateries insignifiantes et inutiles.

Je suis toujours devant cette porte. Elle me parait tellement immense. C'est cette porte qui va me changer ma vie. Qui va me faire tourner une page.. Sauf cette page... Ce secret qui me hante.. C'est dur pour ce genre de chose. Enfin bref. Je me lève de mon banc et je me dirige vers cette grande porte, décidée et sûre de moi. Je tire ma valise à roulette et je rentre. Arrivée dedans. Je reste de marbre. Puis je regarde le grand hall dans tout les recoins. Il est assez pas mal d'ailleurs. Mais une vague de stresse et une boule serre mes entrailles , c'est alors que je fais demi tour et que je rentre dans une personne. Qu'elle cruche. Ne regardant même pas la personne je m'excuse fortement. Je secouais mes mains devant moi en même temps.

" Oh pardon pardon pardon pardon! Je suis desolée, vraiment désolée!"

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MessageSujet: Re: Une page se tourne et tu ne peux plus faire marche arrière...   Une page se tourne et tu ne peux plus faire marche arrière... 1400359500-clockDim 30 Sep 2012 - 13:01
Rencontre fortuite
feat Hayden
codage par palypsyla sur apple-spring

Il était encore tôt, enfin, du moins, selon moi. Je me levais rarement avant 10h, par habitude. J'aimais les grasses matinées, les nuits longues. Cela me permettait de m'évader, de penser à autre chose que mon existence. Or, cette invention que fût les cours, m'empêcha de connaitre la rédemption. Je me levais ce matin avec l'envie horrible de sombrer dans un profonds sommeil, un sommeil éternel. Évidemment, ce n'était réservé qu'au élite, de pouvoir jouir de cela. Mon tour viendra, un jour. Mais pas ce jour, aujourd'hui, j'avais des tas de choses à faire. Choses que je ne savais pas encore, ou du moins, que j'en avais pas l'ombre d'un doute.

Je n'étais pas pressé d'aller en cours, je savais déjà ce qu'il allait se passer. Les élèves de ma section m'ignoreraient, je resterais seul toute la journée, sauf si ma bien aimée était disposée à venir me tenir compagnie. Je me sentais horriblement seul, dans ces cours qui ne m’intéressais même pas. A quoi bon, puisque j'étais déjà l'une des élites de ce lycée, l'une des grosses tête ou encore, l'un des rares à savoir maitriser au mieux son pouvoir. J'avais encore quelques difficultés, surtout en ce qui concerne le bruit environnants. Je ne me faisais pas de soucis, cela se passerait bientôt.

Ce matin, j'étais donc en retard, mais je ne me pressais pas pour autant. Le hall me paraissait plus bondée que d'habitude. Serais-ce la rentrée ? J'étais tellement habitué à ce lycée que les jours et les mois passaient comme des feuilles mortes en automne. Soupirant, devant les regards haineux de mes camarades et devant les sourires des classes inférieures, je ne pris guère garde à la jeune demoiselle, visiblement perdue qui venait de me percuter.

Ne t'excuses pas, c'est de ma faute.

Marquant une pause, je la regardais. Visiblement, elle était nouvelle, en tout cas, elle en avait l'air. Je lui souris, timidement, avant de sortir une boite qui j'avais soigneusement rangés dans mes poches intérieurs de ma veste et d'ingurgité un cachet. J'avais oublié de le prendre, ce matin. C'était gênant. J'adorais ces petites pilules, les seules qui me font tenir le coup. Reprenant mon observation, je remarquais que la jeune femme était bien faite, légèrement plus petite que moi. Tant mieux, je n'aimais pas les grandes personnes.

Je m'appelle Frantz Von Wartensee. Je suis en Classe A.

Au moins, maintenant elle savait à qui elle avait affaire, même si, ma classe n'avait plus d'importance maintenant que je sortais avec une E. Je tenais quand même à le signaler, on ne sait jamais, peut être que je reprendrais de l'estime pour les gens, un jour. Ou pas.

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MessageSujet: Re: Une page se tourne et tu ne peux plus faire marche arrière...   Une page se tourne et tu ne peux plus faire marche arrière... 1400359500-clockDim 7 Oct 2012 - 19:08
Dur,Dur.

Et oui , j'étais lâche.. J'avais tout simplement pris la décision de rebrousser chemin. Qu'aurais-je fait dehors? Fumer une cigarette puis peut être même eux. Essayant de me faire percuter que je devais rentrer, que non seulement j'avais pas le choix, car une clase m'étais déjà attribuée et puis aussi que ça ne servait plus à rien de changer d'avis. De toute façon, je n'aurais nulle part ou aller. Fin si, mais j'aurai été seule.. Vraiment seule. Mes parents ayant peur de moi ( C'est gros de dire ça mais c'est pas loin.), Ils sont parties e voyage. Bon aussi parce qu'il adore voyager quoi. Ils m'ont par contre laissé un Manoir gothique. Pas les manoir qui font super peur et tout hein nan. Un vrai manoir genre qui ressemble un petit petit peu à celui des soeurs dans Charmed quoi. Sauf en plus beau et noir.

Bref! Revenons en à ma situation super délicate. Au moment de fuir, je sortais mon paquet de cigarette et mon briquet. Donc comme je l'ai dit, je suis malheureusement tombé , fin j'ai malheureusement pour lui foncé dans un garçon, qui doit avoir mon âge. Après l'avoir percutée et m'être excusé. Je le regardsais, de haut en bas, en relevant la tête. Il avait des cheveux très sombre, ce qui lui donne un teint pâle. Il a aussi des yeux très interessant, il a les yeux mauves. Ila les traits vraiment fins , que ce soit au niveau du visage mais aussi du corps. Il a l'air d'une certaine élégeance. Fortement appréciée d'ailleurs.

Je ne comprenais pas en quoi c'était sa faute. Je me dis que c'était peut être pour des raisons de politesse, qu'il me dit que c'est de sa faute pour être gentil. Dans tout les cas, je ne dis rien, et je laisse juste échapper un "Hmm" Approbateur. Je me suis baissée pour ramasser mon paquet de cigarette et mon briquet. Je me relève et l'écoute se présenter. Frantz Von Wartensee. Cela ne m'étonnerai guère qu'il ai des Origines allemandes ou autrichiennes. La classe A. On m'a dit des choses sur la classe A. Comme quoi ils sont très autain et se fiche des autres. Des gens qui se la pètent et que personne n'aime. Mais je m'en fichais, je me fais toujours une diée par moi même. J'affichais un sourire des plus grands et mignon et je lui dis me me présente à mon tour.

" Bonjour Frants, Je m'appelle Hayden Mayuli, je suis... Bah je suis nouvelle, je vais t'avoue. Je suis en classe C. "

Peut être que je paraissais perdue. Mais pas du tout , je ne savais juste pas ce que je faisais là. J'avais du mal à me dire que je devais rester ici, avec ces gens, pendant plusieurs années. A la base je voulais ressortir pour fumer , me détendre. Mon anxietée et mon stess qui remonte fotement en mois , me donnant des sensations de coups de poignards dans mes tripes. Enfin bref.. C'était dur quoi. Je ne savais pas ce que j'allais faire..
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MessageSujet: Re: Une page se tourne et tu ne peux plus faire marche arrière...   Une page se tourne et tu ne peux plus faire marche arrière... 1400359500-clockSam 13 Oct 2012 - 12:58
Rencontre fortuite
feat Hayden
codage par palypsyla sur apple-spring

Je ne savais pas vraiment comment réagir à ce moment même. J'avais les yeux rivés sur son paquet de cigarettes. Elle fume? Tant mieux, je lui en piquerais de temps en temps, surement, même si je préférais les choses largement plus forte. Elle semblait agacée par ma présence. Non, c'était des films que je me faisais, surement parce que j'avais l'habitude que ma présence agace un grand nombre personnes, surtout en A. Je ne faisais plus parti du groupe classe depuis un moment déjà, j'étais rejeté. J'étais seul, toujours. Je voyais que rarement ma bien aimée, ayant autre chose à faire. Je ne savais pas comment prendre la nouvelle, si cela était une bonne ou non, que la demoiselle se situait en classe C. En tout cas, elle ne me haïrait pas de bases. J'étais déjà un peu plus soulager. Je fis un signe de tête, pour approbation de sa part d'avoir fait les présentations. Jetant des coups d'œil vers son paquet et la sortie, je ne pu m'empêcher de lui demander.


« Je te dérange, peut-être? »


C'était évident que la réponse à sa question fut un « oui », je laissais tout de même le doute planer. Si je subissais ne serait-ce qu'encore un rejet,mes poignets allaient sans doute souffrir, les pauvres. Tout le monde s'en fou, de toute façon, alors je pouvais le faire sans reproches ni remords. Je n'avais rien à me reprocher, n'est ce pas? Non, absolument rien. Ce n'est pas ma faute si la nature m'as voulu faible et m'as toujours voulu énervant, méprisé par les autres. Je cherche peut être seulement à être aimé au fond, je n'en savais rien après tout. Je me posais trop de questions inutiles. Soupirant d'un air qui en disait long, je me dirigeai vers le premier banc que je croisais du regard, ne me souciant guère de la jeune fille à qui j'avais adressé la parole plus tôt.


Comment pouvais-je toujours être aussi heureux de rentrer dans cet enfer, c'est comme si c'était moi même qui décidais de ma mort, jour après jour, heure après heure. C'était sans doute trop me demander que de supporter ce genre de pariât, ce genre d'humiliations au quotidien. Étais-je vraiment le seul à considérer qu'on était tous des êtres humains, au final et que cela ne nous empêchait pas de tomber amoureux, de se côtoyer au quotidien? Malgré que la solitude me faisait défaut, c'était sans doute trop demander que d'avoir de l'aide, de l'attention de la part des miens.

Comment pourrais-je savoir comment évoluer? J'étais condamné, vraiment.

Cette idée ne me plaisait pas.

Ma vie ne me plaisait pas.

Et elle ne changerait pas.

Je revenais dans le présent petit à petit, pris d'une folle envie de mettre fin à les jours, pour la centième fois. Je laissais échapper ma peine, soudain.


« Je n'en peux plus de vivre. Je dois mourir, bientôt, ou maintenant même! »


Je ne savais aucunement comme les gens allaient réagir à mes plaintes. J'allais surement leurs rappeler que c'était la rentrée et que j'étais bel et bien de retour. C'était navrant et triste. Foutu lycée. Je n'aimais qu'une seule personne ici bas, c'était la jeune demoiselle qu'était ma compagne, même si elle aussi, me remuais un peu, c'était pour mon bien. Elle voulait me voir heureux, je présume. Je pensais à elle souvent, trop peut être. Je l'aimais et c'était pour la seule raison que j'affrontais chaque jour ce terrible cauchemar qu'est la vie, qu'est ce lycée. Cette souffrance que je m'infligeais, que je recevais au quotidien, je ne pouvais m'en défaire. Je la perdrais, je refuse. Je sortis ma boite et pris encore deux pilules. Inutile de me dire que j'étais accroc. Je pense qu'un jour, je finirais pas ne plus voir le jour, à ne plus me réveiller, à force de bouffer ces merdes qui m'empoisonne petit à petit. Je les aimes trop, elles aussi.

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MessageSujet: Re: Une page se tourne et tu ne peux plus faire marche arrière...   Une page se tourne et tu ne peux plus faire marche arrière... 1400359500-clockLun 15 Oct 2012 - 22:20


Je me retrouvais à nouveau dehors, je n'avais pas réussi. Mais je n'étais pas toute seule . En effet Frantz était avec moi. Une fois à l'extérieur , j'avais l'impression de respirer. Comme si à l'intérieur, toute sorte d'oxygène avait été coupée.Lorsque nous étions à l'intérieur, Je voyais ce cher Frantz quasiment tout le temps loucher sur mon paquet. Je pense donc que j'avais compris et en effet c'était cela. Je comptais bien sûr lui proposer une cigarette lorsque nous étions dehors.Mais avant il me posait une question qui m'étonnais un peu , je vais vous l'avouer. Ce dernier me demanda si il me dérangeait. Ce n'était pas du tout le cas, et je ne savais pas du tout d'où il sortait ça. C'est alors que je lui répondis le tout naturellement du monde. " Bien sûr que non ! Pourquoi me dérangerais-tu?! De plus c'est moi qui devait te déranger, à te foncer dedans comme ça. Et puis tu avais sûrement d'autre chose mieux à faire.

Nous étions sorti dehors et c'est alors que je le vis se diriger vers le banc d'un grand soupir. Je ne savais pas du tout ce qu'il avait mais il avait assez... Dépréssif. Oh Hayden c'pas bien de dire ça! Non mais franchement c'est pas méchant. Mais bon ce n'est qu'une première impression je ne peux pas me fier qu'à une seule impression quoi. Surtout que l'on m'a dit que la première était souvent la mauvaise mais on m'a redit le contraire il n'y a pas longtemps.. Bref stop les bavardages inutiles! J'en étais où moi... Ah oauis il se dirigeait donc vers ce banc dans un grand soupire. Je le suivais et allais m'asseoir sur ce banc aussi. C'est alors que je pris mon paquet une cigarette et que je l'allumais. J'allais lui en proposer une quand il se mit à me parler . Il me dit d'ailleurs quelque chose de très déprimant... " Je n'en peux plus de vivre. Je dois mourir, bientôt, ou maintenant même!" C'est franchement pas gai. C'est alors que le paquet dans un main en sa direction un peu en l'air que je le regarde stupéfaite de ses paroles. Je me suis mise à répondre dans un petit rire sarcastique. " Eh bien , T'es vachement gai comme personnage." Il prit encore de ses pilules , je commençais à me dire qu'il en était accroc, après ça je m'en fiche, c'est comme l'alcool, ou la cigarette, ou les bonbons quoi. On en devient accroc. On devient accroc à tout de toute façon ,fi bon. Je lui tends le paquet et lui sourit tendrement , " Aller prends en une sa te remontra le moral va!" Un grand sourire aux lèvres le paquet tendu j'attendais qu'il en prenne une. Je savais déjà qu'il allait en prendre car il louchait dessus depuis le début que nous noous étions rencontré, Je lui tendais donc aussi mon briquet pour qu'il puisse l'allumer aussi. Logique.

Je regardais le ciel en relâchant la fumer, repensant à ce qu'il m'avait dit.J'ai ressentis ça aussi. Plusieurs fois dans ma vie. Comme vous devez le savoir j'ai vécu une chose atroce dans mon enfance, fin plutôt adoléscence, qui vous donne envie des fois de mourir, quand vous y repensait, quand vous repensez à cette famille qui était soudée , mais qui par vos mots s'est totalement désintégrée.. Quand votre famille apprend vos pouvoirs et qu'ils ont peur. Quand vos parents qui le savent depuis le début , ne vous appelle pas ne vous donne aucunes nouvelles à cause de ce pouvoir et aussi de votre passé. Ca fait mal. Et vous avez cette sensation.. Vous avez envie de mourir. Je regarde Frantz, Fume, puis puis regarde droit devant moi. "J'ai aussi ce sentiment des fois.. Ca arrive. Mais il ne faut pas se laisser envahir par ça. Ce serait tellement dommage, de se laisser envahir. Mais bon comme pour toute chose, c'est plus facile à dire qu'à faire. " En reprenant une taff, je repris plus gaiement." Bon si on parlait de chose plus gaie! C'est bien ici?! Je vais t'avouer que j'ai peur de rentrer dans cette école! Je ne sais pas ce que j'y fais! Je sais très bien mon pouvoir j'ai pas besoin d'en savoir plus! D'ailleurs.. C'est quoi ton pouvoir à toi?!" J'avais parlé super vite essayant de faire redescendre cette envie pour la mort, non seulement qu'il ressent mais qu'il a réussi à me faire ressentir aussi.
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