Familles à l'honneur
Prédéfinis forum
Prismver
Course des maisons
Hamamelis
Dracunculus
Vinca
Mini News
23.12 Horoscope magique disponible ici
RP libres
Ajouter mon RP - Pas de RP en cours

4 résultats trouvés pour 993366

AuteurMessage
Tag 993366 sur  Nonews10Sujet: l'eau, c'est beau •• cassandra
Invité

Réponses: 12
Vues: 1003

Rechercher dans: Fini m'dame   Tag 993366 sur  1400359500-sujetSujet: l'eau, c'est beau •• cassandra    Tag 993366 sur  1400359500-clockDim 12 Juil 2015 - 20:39
• MARS • Cassandra fait ses débuts en tant que professeur. Elle a un peu de mal, faut l'avouer. La blondinette décide alors de se changer les idées. Personne ne va à la plage de ce temps hein ? Alors pourquoi ne pas y aller jouer un morceau de violon ?
Sa fierté semblait l'empêcher de vouloir ouvrir les yeux. Pourtant, tu étais convaincante, non ? Tu t'étais peut-être montrée trop insistante. Ce qu'il disait était vrai, au fond de toi, tu le savais. Mais, pourquoi devrais-tu abandonner ? Pourquoi tu ne pourrais pas avoir une chance de refaire te vie ? Et pourquoi, lui, ne pourrait pas faire de même ? Il n'est pas simple de changer, mais avec la volonté nécessaire, tout est possible... La preuve, tu as bien réussi à oublier les blessures du passé. Même si, aujourd'hui, elles resurgissaient. Il devait bien le voir, que ses paroles t'avait atteinte. Tu ne savais pas cacher tes émotions. Mais, tu étais son aînée, tu devais lui montrer qu'il était possible de surmonter toute cette souffrance.

- C'est vrai, je n'ai pas eu une vie facile. Tu ne comprends sûrement pas pourquoi j'arrive encore à sourire face à tout cela. J'ai vu mon mari, et mes enfants me quitter. C'est douloureux, je m'en remettrais probablement jamais. Si je finissais le restant de mes jours à me morfondre, à quoi cela servira-t-il. Je pourrais le faire, certes. Mais, le jour où je trouverais enfin le salut, j'aurais honte de me présenter devant eux. Eux, qui m'ont soutenue et accepté malgré ce pouvoir. Tu sais, les derniers mots de mari étaient pour moi. Il m'a demandé de vivre heureuse. Alors je le ferais. Te morfondre ainsi, c'est une signe de faiblesse face à la vie. C'est lui montrer que tu ne peux pas luter Hadès.


Tes paroles n'allaient sûrement pas le convaincre, tu le savais. Mais, tu devais essayer, de le faire changer. Tu n'étais pas pessimiste, tu n'abandonnerais pas, ça jamais. Et, toutes ses paroles avaient beau t'atteindre, elles n'allaient pas pour autant changer ce que tu étais devenue. Cette personne qui avait mit tant de temps à s'accepter.

- Tu es cruel. Mais réaliste. Je ne veux pas abandonner. Je ne veux pas me priver de vivre, juste parce que mon pouvoir essaye de m'en empêcher. C'est vrai, je suis seule, et je le serais toujours. Mais, je ne veux pas me priver de chaleur humaine. La mort est une chose naturelle. Quoi qu'on fasse, on ne pourra pas l'empêcher. Alors, pourquoi je ne devrais pas m'attacher aux autres ? Tu joues les durs non ? Alors montre le, fait face à la vie Hadès.

Tu enfilas tes chaussettes et tes chaussures, puis rangea ton violon.

- Montre moi, le vrai Hadès. Celui qui ne perd jamais. Celui qui va mettre une rouste à la vie, et à ses stupides principes.

C'était peut-être stupide, mais allait-il y réagir ? Tu te dirigeas vers le pensionnat :

- Alors, tu viens ?



•• {#}993366{/#} - Code par Lix ••
Tag 993366 sur  Nonews10Sujet: l'eau, c'est beau •• cassandra
Invité

Réponses: 12
Vues: 1003

Rechercher dans: Fini m'dame   Tag 993366 sur  1400359500-sujetSujet: l'eau, c'est beau •• cassandra    Tag 993366 sur  1400359500-clockMer 1 Avr 2015 - 12:07
• MARS • Cassandra fait ses débuts en tant que professeur. Elle a un peu de mal, faut l'avouer. La blondinette décide alors de se changer les idées. Personne ne va à la plage de ce temps hein ? Alors pourquoi ne pas y aller jouer un morceau de violon ?
Il n'avait pas l'air de tout comprendre, Hadès. Il n'était sûrement pas habitué à ce genre de traitement. Tes collègues te le décrivaient comme un monstre, ils ne devaient probablement pas prendre de gants avec lui. Tu étais perdue dans son regard morne, celui que tu avais eu après la mort d'Ethan. Comment un aussi jeune garçon pouvait-il aborder un tel état d'esprit ? Tu ne le comprenais pas, et même si tu essayais, tu n'y arrivais pas. Ton intervention était-elle vaine ? Cet élève ne t'écouterait probablement pas, il se murait dans son silence, dans sa douleur. Mais, tu n'abandonnerais pas. Ton rôle était de le réconforter, de le remettre dans le droit chemin. Pour toi, c'est cet stupide guerre des classes qui l'avait perverti, ô stupide naïveté. Toutefois, les choses étaient probablement bien différentes. Hadès sortirait-il de ce cercle vicieux ? En avait-il déjà l'envie ? C'était là la principale question que tu te posais.

- As-tu seulement envie de changer ? N'as-tu pas perdu des proches en te comportant de la sorte ? Regarde les choses en face... Tu dois arrêter. Pense à ceux qui t'aiment, je suis sûre que tu ne veux pas qu'ils t'abandonnent. Et je suis sûre que certains l'ont fait en découvrant ton vrai visage. Tu veux vraiment continuer de mener une telle vie ?

Tu avais dis ça tu tac au tac. Tu ne savais ni comment il allait le prendre, ni si tes suppositions s'avéraient juste. Après tout, ce n'était qu'une question que tu lui avais posé. Tu essayes de lui sourire, d'un air réconfortant :

- As-tu agis sans réfléchir aux conséquences ? Culpabilises-tu ? Tu ne veux pas trahir ta fierté pour connaître - ne serait-ce, qu'une once de bonheur ? Crois-tu que celui que tu es aujourd'hui pourra le retrouver sans renier tout ses principes ?

Un regard rempli de compassion se perds dans ses iris flamboyantes, mais vides d'envie :

- On dit que l'Homme apprend de ses erreurs, et toi, qu'as-tu appris ? Veux-tu continuer dans cette voie lugubre ? Celle qui risque de te détruire ?

Ton défaut, c'était bien d'être franche. Peut-être l'avais-tu blessé ? Toutefois, il fallait mieux qu'il soit blessé en voyant la réalité en face. Il s'en remettrait. Mais, s'il continuait sur cette voie, tu ne savais pas s'il saurait se relever. L'un des pires élèves ? Non, tu n'y croyais pas. Tu voulais te convaincre que ce garçon avait un bon fond :

- Tu n'es peut-être pas le pire. Beaucoup sont obsédés par la guerre des classes. Pourquoi d'ailleurs ? Je ne comprends pas, c'est un concours pour savoir quelle classe est la plus populaire ? La plus puissante ? Vous êtes encore des enfants. Et [b]le rôle des adultes, c'est de vous faire ouvrir les yeux. Fis-tu, d'un ton neutre. Et je t'ai dis que je me ferais moi-même un avis sur toi. Je n'ai pas besoin de mes collègues pour cela. Ou même de toi. Tu sais, on a souvent un avis néfaste sur soi-même, ou au contraire beaucoup trop élogieux. C'est pour ça, qu'il faut laisser les autres vous déchiffrer. Parce que, tu n'arriveras jamais à te comprendre, seul. Tu as besoin des autres.
[/b]
Cassandra philosophe, bientôt dans vos salles de cinéma. Tu ne savais même pas ce que pensais le pensionnaire de tes beaux discours, de ton esprit philosophique. Enfin, ces littéraires ne racontaient pas n'importe quoi, au contraire. Ils étaient un peu un modèle pour toi. Tu aimerais toi aussi comprendre aussi facilement l'être humain et ses émotions. Hadès, il n'avait clairement pas l'habitude que l'on se comporte ainsi avec lui, ça sautait au yeux. Mais toi, t'étais quelqu'un bien à part, il avait dû le comprendre. L'expérience t'avait apprit bien des choses.

- Puis d'ailleurs, beaucoup d'élèves rêvent de te tabasser. Es-tu vraiment responsable de cet élève que tu as envoyé à l’infirmerie ? Je veux dire, est-ce toi qui est venu le voir, pour lui refaire le portrait ? Les gens ne supportent pas ton désir de tout vouloir gagner, ne sont-ils pas en tords eux aussi ? Pour ne pas t'accepter tel que tu es ? Tu as fais des erreurs, certes. Mais, ce que les gens te reprochent le plus, c'est ce désir, qui avait l'air si important pour toi. Vas-tu abandonner à cause d'eux ?

" L'espoir fait mal "

Tu étais d'accord avec lui, sur ce point. Tu avais espérer qu'Ethan reste à tes côtés, puis finalement... Il était parti, comme tes chers enfants. Mais, Rose t'avait apprit à te relever, à croire ne serait-ce qu'un peu en l'humanité, à un avenir meilleur pour toi.

- Je ne peux pas te contredire, ce pouvoir m'a fait beaucoup souffrir. Mais la douleur est nécessaire. Pour te faire évoluer, pour grandir. Je n'abandonnerais pas, pour ma famille, qui m'a accepté malgré mon don. Et toi ? Tu veux quand même abandonner ? Malgré les gens qui doivent t'aimer ?

Tu lui souris finalement :

- Donc oui, j'ai envie de payer un chocolat chaud au pire élève du pensionnat, comme tu le dis si bien...

•• {#}993366{/#} - Code par Lix ••
Tag 993366 sur  Nonews10Sujet: l'eau, c'est beau •• cassandra
Invité

Réponses: 12
Vues: 1003

Rechercher dans: Fini m'dame   Tag 993366 sur  1400359500-sujetSujet: l'eau, c'est beau •• cassandra    Tag 993366 sur  1400359500-clockMar 31 Mar 2015 - 13:12
• MARS • Cassandra fait ses débuts en tant que professeur. Elle a un peu de mal, faut l'avouer. La blondinette décide alors de se changer les idées. Personne ne va à la plage de ce temps hein ? Alors pourquoi ne pas y aller jouer un morceau de violon ?
La musique, on aurait presque dit qu'elle l'avait apaisé. Et, tu comprenais parfaitement. Toi aussi, tu considérais la musique comme quelque chose de relaxant. La musique te mettait dans tout tes états, éveillait tes sens et tes émotions. Oui, elle avait le pouvoir de soulager un peu ton cœur, et le sien aussi visiblement.

Ah, il te connaissait. C'était un peu normal, beaucoup de rumeurs couraient sur toi. Son regard morne t'affligeait un peu, il n'avait clairement pas l'air dans son assiette. Mais, il ne te le dirait pas. Parce que les hommes ont leur fierté, tu l'avais bien vu avec Ethan. Tu ne savais pas vraiment quoi lui répondre. Néanmoins, ton empathie ne t'autoriserait sûrement pas à l'abandonner. Même s'il s'avère être aussi monstrueux que les rumeurs le décrive. Le forcer à parler serait peut-être un déplacé de ta part, non ? Tu te mordis la lèvre, lorsque tu te rendis compte qu'il savait. Oui, il savait que ton pouvoir était spécial. Chanceux ? Te considérait-il comme chanceuse de ne pas prendre une ride ? Ah, l'ignorance, douce ignorance. Tu ne savais rien, Hadès. Tu ne savais à quel point c'était douloureux de voir mourir ses enfants avant soi. Certes, au début, garder une peau de bébé t'arrangeait. Mais plus maintenant. Désormais, tu voulais une vie normale, devenir enfin adulte.

- Pourtant, c'est l'impression que tu renvoies. Tu n'as pas l'air dans ton assiette. Je sais que c'est pas facile à avouer, surtout que tu ne me connais pas, Hadès. Fis-tu, en t'avançant un peu dans l'eau, les mains derrière le dos. Tu as perdu l'étincelle dans tes yeux, l'étincelle que me décrivaient certains de mes collègues. Celle du vainqueur. Tu te retournas soudainement, plongeant tes iris dans les siens. Et crois-tu vraiment que ne pas prendre une ride est une bonne chose ? Il y'a des avantages, certes. Mais, tu pourrais supporter de voir tous tes proches partir avant toi ? Alors, pour moi Hadès, tu es chanceux. J'aimerais être à ta place. Ce pouvoir est une vraie malédiction... Et d'ailleurs, comment as-tu su ? Tu poussas un petit rire. Tu es si intelligent que ça ?

Il t'impressionnait Hadès, d'avoir lu en toi d'un simple regard. Ce n'était pas évident de deviner ce genre de choses si aisément. Il restait fidèle aux rumeurs qui couraient sur lui.

- Alors hein ? A quoi t'attends-tu Hadès ? A ce que je te sermonne, comme la plupart de mes collègues ? Je ne sais pas grand-chose de toi, je n'ai entendu que des rumeurs. Tu viens te remettre à côté de lui. Eh bien non, je ne peux pas suivre leur exemple. Je me ferais moi-même un avis sur toi même. De toute façon, je ne pourrais jamais engueuler quelqu'un qui a l'air dépité.

Tu repris cet air maternel, tu n'avais plus vraiment l'habitude en fait :

- Ce qu'on fait ? Cela ne dépend que toi, Hadès. De quoi as-tu envie ?

Tu ramassas tes affaires, que tu avais jeté au sol, avant de les remettre :

- Sinon, ce que je peux te proposer, c'est de prendre un bon petit chocolat chaud, il paraît que le chocolat est un bon ingrédient pour te remettre d'aplomb. Si tu as envie de parler. Comme ça, je pourrais me faire un avis sur toi, moi-même.

Tu ranges avec soin ton violon dans son étui, avant de le porter dans ton dos :

- Qu'est-ce qu'on fait alors ?

Tu lui renvoies la question, en lui souriant légèrement. Comment allait-il prendre ta compassion ?

•• {#}993366{/#} - Code par Lix ••
Tag 993366 sur  Nonews10Sujet: Goinfrage à l'arrachée
Invité

Réponses: 4
Vues: 450

Rechercher dans: R.I.P   Tag 993366 sur  1400359500-sujetSujet: Goinfrage à l'arrachée    Tag 993366 sur  1400359500-clockLun 30 Mar 2015 - 16:05
• MARS • Cassandra fait ses débuts en tant que professeur. Elle a un peu de mal, faut l'avouer. Ayant du mal à s'endormir, elle décide d'aller chercher de quoi se rafraîchir dans la cuisine. Oh, une élève, qu'est qu'elle fait ici ?
Cette jeune fille te faisait penser à Rose, ta défunte fille. Elle était aussi énergique et souriante qu'elle. Dans un sens, cela te rassurait. Que des gens aussi "vrais" existaient encore. Dans ce pensionnat ravagé par la guerre des classes, tu en savais plus vraiment quoi  penser. Enfin... Tu ne pus t'empêcher de sourire, lorsque tu remarquas son air surpris. Alors, elle te croyait. Bien, cela t’éviterait des tas d'explications, et d'arguments accessoirement. C'était rare, qu'un pensionnaire accepte de te croire aussi vite. Cela montrait encore une fois que la blonde était une élève bien à part. Le genre de personnes que tu appréciais. Tu avais beau être sévère, tu préférais être proche - mais pas trop quand même, de tes élèves. Tu voulais les aider en cas de besoin :

- Ah oui ? Fis-tu, dans un petit rire. Je tâcherais de m'en souvenir. Si un jour je t'ai dans l'un de mes cours, tu participeras bien contre un peu de nourriture, n'est-ce pas ?

Tu ne disais pas ça sérieusement, tu te demandais juste pourquoi ta matière te faisait pas l’unanimité. Tu avais des goûts si étranges que ça ? Tu faisais pourtant tout ton possible pour rendre tes cours intéressants. C'en était parfois même fatiguant. La bouille de la pensionnaire était vraiment trop mignonne. La ressemblance avec Rose était vraiment trop frappante. Elle t'avait fait cette tête, parfois. Pour pas que tu la punisses, pour que tu refasses ta vie. Et aujourd'hui, en hommage à tes enfants que tu avais tant aimé - et que tu aimes toujours d'ailleurs, tu allais le faire.

- Je ne sais pas, il paraît juste que la nourriture grasse n'est pas bonne pour la peau. Moi j'en sais rien tu sais, mon corps ne grandira plus, ne grossira plus, et mon visage ne changera plus jamais non plus. Puis, beaucoup de filles se soucient de leur poids, et s'en rende même malade. Tu as raison de ne pas t'en soucier, profite de ta jeunesse. Mange ce que tu veux, même si grignoter, c'est mal ! Surtout quand on devrait être dans son lit !

Tu poussas un léger rire, on aurait dit deux amies en train de parler. Sauf que tu ne pouvais pas être son amie, tu étais son professeur. Puis, tu ne devais pas être aussi proche de quelqu'un. Elle avait beau être plus jeune que toi, la vieillesse l'emporterait avant. Tu ne voulais plus voir tes proches te quitter. C'était bien trop douloureux. Mais cette distance, devais-tu vraiment l'imposer ? Rose t'avait plusieurs dit de ne plus le faire... Tu écoutas alors ses arguments, afin d'essayer de penser à quelque chose d'un peu plus réjouissant :

- Hmm... T'écrias-tu, avant de poser ton index sur la joue, d'un air perplexe. C'est vrai que le règlement ne stipule rien quant à la cuisine. Et puisqu'il incombe au pensionnat de vous nourrir, je suppose qu'il n'y a pas de soucis de ce côté. Tu n'as pas l'air de vouloir tout saccager afin de revendiquer la force de ta classe. Pour moi, le seul soucis Rebekah, c'est que tu ais quitté ton dortoir, pendant le couvre feu.

Ta voix se fit moins sévère, tu marquas une pause avant de continuer ton petit monologue :

- L'astronomie, c'est un peu l'étude du ciel. On apprend le nom des planètes, des étoiles. En fait, c'est étudier le monde au delà des territoires. Je trouve ça tellement intéressant, mais ce n'est pas le cas de tout le monde. A ton avis, y'a-t-il d'autres formes de vie outre notre galaxie ?

Tu étais beaucoup plus sympathique qu'il y'a quelques minutes. Ta colère était un peu retombée, peut-être due à sa ressemblance avec ta défunte fille ? Va savoir. Avoir rencontré son "sosie" te donnait un peu plus l'envie de changer, d'arrêter de tracer une frontière entre toi et les autres mortels :

- C'est vrai, je ne suis pas en position pour te faire la morale. Les profs n'ont pas de "carte spéciale pour faire leurs courses ici". Toutefois, nous avons pas de couvre feu... Tu marques quand même un point, Rebekah. Je ne te sermonnerais plus, pour le moment.

En fait, tu ne savais pas quoi faire. La punir ou non ? Habituellement, tu étais plutôt sévère, peut-être que la fatigue t'avait adoucie ?

- Je ne suis pas jeune, j'ai 27 ans. En fait, mon pouvoir m'empêche de vieillir. Je ne suis pas plus intelligente que ça tu sais, j'avais de bonnes notes, mais j'avais quand même des difficultés en sport et en langues étrangères. Et pourtant, j'ai voyagé !

Tu attrapas l'un des cupcakes qui traînait sur la table, avant de mordre dedans :

- Hm, ils sont bons ! Bon, ok. On partage ! Juste pour cette fois ! La prochaine fois je ne serais pas aussi gentille !

Tu dévoras entièrement le pauvre gâteau. Puis, tu lui fis un petit sourire, avant de te pencher un peu sur elle :

- Alors, qu'est que tu as de bon dans ton sac ?

Tu allas ensuite farfouiller dans le frigo :

- Hmm... Trouvée ! De la limonade !

Tu lanças un regard malicieux :

- On partage ?

•• {#}993366{/#} - Code par Lix ••
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
Sauter vers: