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| Quelle vie de chien [pv Narcisse] | |
| InvitéInvité | Sujet: Quelle vie de chien [pv Narcisse] Jeu 13 Juil 2017 - 17:52 | |
| Quelle vie de chien |
On ne pouvait pas vraiment dire que la journée avait bien commencé. Enfin si on pouvait dire "commencé" puisque j'avais pas vraiment été capable de dormir de la nuit. Non pas que je n'en avais pas l'habitude au contraire, j'étais devenu assez résistant au manque de sommeil. Sauf que je m'étais fait réveiller par le chaton que Shanila que j'avais légèrement oublié dans ma chambre, qui avait fini par pisser dedans forcément, et qui vers 6h du mat', juste au moment ou je réussissais à m'endormir, m'avait réveillé parce qu'il avait faim. Et après avoir nettoyé son bordel et rendu le chaton à une Shanilae qui ne comprenait rien à ce qu'il se passait, qui portait d'ailleurs une chemise de nuit qui la mettait bien en valeur, j'avais été incapable de me rendormir. Alors après avoir passé plus de deux heures à tourner dans mon lit et à tenter de lire pour m'endormir, j'avais fini par abandonner pour aller prendre mon petit déjeuné. Après le petit déjeuné, je m'étais décidé à mettre au propres les croquis de dessert que j'avais fais et c'est au moment ou je passais au coloriage avec mes feutres à l'alcool que plusieurs décidèrent de me lâcher. Ruinant le dessin au passage parce que même en allant acheter les feutres directement, ils feraient forcément des traces lorsqu je continuerais de colorier. Donc j'avais rageusement froissé et jeter mes dessins avant de les recommencer, prenant soin cette fois de ne pas les colorier. C'était donc ça qui m'avait amené en ce début d'après-midi nuageux en ville pour refaire mon stock de feutre à l'alcool. Hormis le temps douteux qui m'empêchait de savoir s'il allait vraiment pleuvoir ou pas, la partie shopping c'était déroulée sans vraiment d'incidents. J'avais même pu me poser un peu sur un banc, à l'ombre de l'arbre géant, avec une glace à la mangue qui je devais l'avouer était vraiment délicieuse. Mais c'était la que les choses c'étaient corsées, histoire d'être sur que je passe bien une journée de merde. Et la chose en question qui avait pourris ma journée, c'était un chien. Un putain de husky énorme qui se baladait tout seul sans maître et même sans collier. Et bien sur il avait fallut que ça tombe sur moi. J'avais essayé de l'éviter habilement mais ce blaireau avec décider de me suivre du coup j'avais commencé à paniquer et à agir stupidement ce qui faisais que je me retrouvais bloqué dans un cul-de-sac, heureusement désert. J'avais même sacrifié ma glace en espérant qu'il me foutrait la paix mais non ça avait eu l'effet inverse et il m'avait suivit en espérant probablement que je lui en donne une autre. — Putain de merde.J'avais pensé à utiliser mon pouvoir pour le gruger et me faufiler loin mais ça ne pouvait pas marcher vu que je m'étais coincé tout seul comme un débile dans ce cul-de-sac et à présent le seul moyen que j'avais c'était passer à côté du chien pour partir. Ce qui était complètement hors de question parce que je refusais de m'approcher de cette chose qui allait probablement me sauter dessus dès que je m'approcherais. Ou même si je ne m'approchais pas visiblement parce que le husky avait commencé à avancer vers moi qui avait jeté la logique et ma fierté très loin pour lui me mettre à lui gronder dessus. Ce qui aurait pu être efficace si j'avais toujours mon pouvoir de transformation en renard. Mais ce n'était plus le cas et ça me rendait donc juste ridicule au possible. Quelle journée de merde. _____________________________________ Feat Narcisse E. HolmDate : Début Juillet 2017 |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Quelle vie de chien [pv Narcisse] Ven 14 Juil 2017 - 17:22 | | — « Quelle vie de chien. » Les profonds néants t'aguichent, ils attendent avec impatience le moment pour que tu t'évanouisses. T'sais c'est des monstres aux mains de fer, qui bataillent autour de toi et qui t'jettent un venin de vipère. Dans l'ombre ils fixent ta mort, se léchant les lèvres, pour sucer ton âme sans attendre. Ils sont partout, c'est des démons aux griffes aguisées, plus tu leur fais de l'oeil, plus ils semblent te mépriser. Ils veulent te détruire Narcisse, détruire ta petite vie qui ne tient qu'à un bout de fil. On tricote ta vie de conneries, connasse d'existence dont la bobine n'est pas infinie. T'as l'esprit morose, tes pensées virevoltent comme des idées noires aux reflets de névrose. Tu sais Narcisse, pas besoin de te coller un sourire qui fendra l'imaginaire, pas besoin d'faire montrer au monde que t'es un gars qui sort de l'ordinaire. T'es juste une putain de fusée qui a jamais su atterrir, on t'a lâché sur la lune, mais personne a su te guérir. T'as pris ta force dans tes deux mains. Tu l'as laissé couler sans jamais la revoir le lendemain. T'as peut-être perdu un peu espoir, Narcisse. Ton sourire qui s'efface montre cette bataille que tu t'es créé contre cette ombre noir. Celle qui te suit depuis toujours. Celle qui a voulu détruire bien plus qu'une âme marquée par la peur, mais un gosse caché dans un placard, empreint de terreur. Pourtant, cette marche ombragée qui se glisse sous tes pieds, c'est ta meilleure amie. Elle tournoie dans le noir et te tend la main dans les pires moments, t'sais qu'un jour elle te lâchera plus et supprimera tes tourments. Alors tu courais. Tu courais jusqu'à en perdre haleine, laisser tes poumons se vider pour crever toute cette haine. T'as même pas vu les rues s'évaporer sous tes iris, t'as même pas vu la vie qui vient et qui se précipite. T'as juste couru à en crever, couru pour te malmener. Laissant ton corps dans une merde que tu savais que tu ne pouvais pas réparer. Dans un fracas qui raisonne dans tes os, tu sais que tu arrives au point de non retour. Celui qui culmine dans le fin fond de tes mots, celui qui te stoppe au pied du mur. Ainsi, Narcisse tu freines cette folle allure pour te laisser presqu'abattre contre une façade. Au creux de ta peau de fines pellicules de sueur coulent, tu balayes tes cheveux en arrière, ça t'saoul. Et tu sens ton coeur qui bat par mille étapes dans ta poitrine, tu pourrais presque mourir sur ce sol, sans que personne te vois, sans que ça chagrine. —Putain. Il jure entre ses dents, ses jambes le font souffrir bien plus que le poison qui rentre dans son ventre. Ce sont tes démons qui prennent vie dans les abysses de ton corps, ceux qui attendent patiemment le jour de ta mort. —Putain de merde. Et tu te retournes avant de voir ce gars. Ce gars. Celui là. Entre tous les gars sur terre, y'a fallu que le cosmos conspire à te foutre face à ce mec différent de ton univers. D'un regard presque sceptique tu le lorgnes de haut en bas. Vite fait du retire la sueur de ton front d'un coup de bras et tu le fixes en restant adossé à ton mur. Narcisse, t'as l'impression qu'une barrière vous sépare, que t'es une putain de brebis et lui le guépard. Alors tu fermes les yeux quelques secondes, juste te temps d'un instant, le temps de laisser tes pensées immondes. —Yo. Tu le salues enfin, après avoir ouvert par une finesse contrôlée tes yeux, tes iris marrons. Qu'est-ce-que tu fous ?「 Ce chien te dicte d'un regard ses pensées, t'aimerais rire de cet instant inachevé, tu comprends ce qu'il se passe, Aaron contrôlé, caché, dans une impasse. 」 © by Narcisse. |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Quelle vie de chien [pv Narcisse] Sam 22 Juil 2017 - 13:27 | |
| Quelle vie de chien |
J'aurais cru que la situation ne pourrait pas empirer. Enfin si le chien pouvait toujours me sauter dessus mais je ne m'attendais pas à ce que lui se ramène. Génial, il ne manquait vraiment plus que ça. Avec tout ce que je lui avais fait voir il fallait qu'il me tombe dessus la quand j'étais en mauvaise position à cause de ce putain de chien de merde. Mierda ! J'aimais pas ça, j'aimais pas ça du tout. Il aurait pu me tomber dessus à n'importe quel autre moment ça ne m'aurait pas déranger mais pas maintenant ! J'avais tout fait pour garder cette phobie des chiens sous contrôle et bien cachée jusqu'à maintenant et tout partait en fumée à cause d'un putain de clébard qui avait faim. J'avais aucune envie d'être son pote moi alors pourquoi il partait pas voir ailleurs ? Ce que c'était stupide comme animal. Si à cause de lui je perdais ma source de divertissement, je m'arrangerais pour le transformer en tapis de fourrure ce sale clébard. Ça ça me dérangeais pas au contraire la peau de husky ça devait être assez doux non ? En tout cas ça serait parfait juste à côté de mon lit. — Porco cane ! Je plante des fraises ça se voit pas ? Vire ce putain de chien.Chien qui s'était mis à aboyer joyeusement et à sautiller sur place. Qu'est-ce qu'il faisait ? C'était quoi ce bordel ? Il comptait pas me sauter dessus hein ? Hein ? Je me mis a reculer un peu trop précipitamment jusqu'à me retrouver carrément collé au mur. Erreur. Grosse erreur. Parce que le chien avait prit ça comme une invitation chelou à jouer et s'était élancé vers moi en aboyant. Mauvaise idée ouais... — DÉGAGE ! NARCISSE VIRE CE TRUC BORDEL T'ATTEND QUOI ?!Pourquoi il fallait que ça tombe sur moi hein ? Est-ce que quelqu'un pouvait m'expliquer pourquoi ce chien stupide avait décidé qu'il devait me suivre moi et jouer avec moi alors qui avait tout un tas de gosses et de personne un peu plus loin qui auraient été ravis de s'occuper de lui. Et son maître il foutait quoi au juste ? Comment ça se faisait qu'un monstre pareil se retrouve en liberté sur l'île ? Ce truc, au vu de la taille de sa mâchoire devait te faire bien mal si jamais par malheur il te mordait et d'ailleurs, et si jamais il était malade ? Personne y avait pensé à ça forcément, sinon il se baladerait pas en liberté en ville. Je poussais un énième soupir. C'était foutu, Narcisse allait bien se foutre de ma gueule maintenant ce qui me déplaisait fortement certes mais ce qui me faisait le plus chier c'était le fait qu'il puisse raconter ça à tout le monde. Si jamais ça se savait que j'avais la phobie des chiens j'étais foutu. Pas parce qu'on se foutrait de moi mais parce que un S qui laisse savoir sa plus grande peur qui peut, par la suite être utilisée contre lui, c'est un S stupide. Et les S stupide ça reste probablement pas S très longtemps. Il allait absolument falloir que je trouve un moyen de lui faire fermer sa gueule à propos de ça. Peut être que si je trouvais un élève qui avait le don de manipuler la mémoire, je pourrais lui faire effacer cet événement de la mémoire de Narcisse ? Mais ça voulait dire trouver un moyen pour qu'il accepte et faire en sorte que lui ne dise rien, ce qui revenait au même au final... _____________________________________ Feat Narcisse E. HolmDate : Début Juillet 2017 |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Quelle vie de chien [pv Narcisse] Ven 4 Aoû 2017 - 16:48 | |
— « Quelle vie de chien. »
T'as jamais cru à l'âme sœur, t'sais ces histoires connes qui te disent que quelqu'un serait là pour toi, pour t'supporter et te serrer le cœur. Ces folies meurtrières puant la rose, puant une putain de jalousie morose. Tu connais pas ces choses là, tu connais que ce gars qui t'en inspire le contraire. Narcisse, tu l'aimes pas, faudrait t'arracher la peau pour que tu en dises le contraire. Pourtant l'univers est une connasse. L'univers veut détruire ta vie avant que tu te barres. Tu voulais en finir avec ces bêtises, mais tu te retrouves là face à ce gars que tu méprises. Tes pensées sont dures, t'as pas envie d'être le gentil petit mouton qui suit le troupeau dans ta tête, t'es peut-être faux mais tu sais reculer devant ce genre d’éphémère, ce genre d'être.
Ce gars. Au fond de toi tu aimerais le détester, tu aimerais te faire croire qu'il n'est pas ce que tu as toujours désiré. Tes iris traversent son corps et t'as ces bouffées de chaleur qui te font du tord. Tu hésites, tu hésites putain Nar. C'est un théorème en toi, c'est une calculette dans chiffre et sans résultat, tu essaies de te forcer, de te dire que c'est pas le moment, ni l'endroit. Pourtant, tu sais que la mort te guette, tu sais que ton bonheur est un truc qui ne devrait pas exister, que t'es encerclé de chainettes, mais ton cœur il pète un plomb. Un cheval au galop s'élance dans ton palpitant et fait exploser ta raison. Tu le fixes Narcisse et tu ne réagis pas face à lui, bien trop occupé à essayer de réparer tes propres soucis. Bien trop stressé à l'idée de te dire que c'était lui. Aaron.
— DÉGAGE ! NARCISSE VIRE CE TRUC BORDEL T'ATTEND QUOI ?!
Son nom sonnait comme une musique, une douce berceuse que tu voulais tourner comme un disque. Ce gars c'est un feu aux milles flammes, il te brûle de son regard ; il est différent et charme ton âme. Puis dans un élan tu t'élances vers lui, ses mots ne t'atteignent pas ni ses phrases aux allures grises. Son nom résonne dans ton esprit, concerto de sentiments un peu fouillis. Tu sais qu'au début il faisait parti de tes pires ennemis, ceux que tu veux effacer sans avoir d'ennui, mais pourtant. Pourtant. Pourtant. Merde. T'as commencé à l’apprécier pour sa juste valeur, pour ce qu'il cachait de tous dans son cœur. T'voulais quoi Nar ? Briser ta putain de carapace ? Ça t'énerve, tu sais très bien que tu n'y arriveras pas, t'es qu'un gars basique qui s'fait bouffer par des rapaces.
Aaron. Ça fait boum encore. Boum. Boum. Tu sens tes veines tressauter dans ton fort intérieur, tu sens ta vie qui s'évapore sous ce gars aux souvenirs rieurs. Puis, dans ta marche tu t'approches de l'animal, douce fourrure, un chien peu banal. Tu lui souris à lui, tu lui offres un putain de sourire, à un chien, pour éviter de souffrir. T'es idiot Nar, t'es idiot de tout nier en blanc pensant que tout est noir. T'es idiot de pas tenter ta chance parce que tu connais ce gars et ta malchance. Tu pinces ta lèvre et ordonne au chien de partir, tes pensées s'en vont à sa suite pour éviter de réfléchir.
— t'aurais du voir ta tronche franchement, pour quelqu'un qui se vante de sa force on dirait bien que tu fais pas le poids face à un chien. C'est comique quand même. Et tu ris enfin, ne pouvant pas te retenir plus longtemps. Bah alors Roméo tu perds tes couilles devant un toutou ?
Tes idées s'évanouissent, toutes ces réflexions se détruisent et tes démons reprennent leurs places, parce que c'était ainsi Narcisse.
© by Narcisse. |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Quelle vie de chien [pv Narcisse] Mer 16 Aoû 2017 - 12:42 | |
| Quelle vie de chien |
Enfin, finalement Narcisse se décida à faire quelque chose de ses 10 doigts et s'approcha du chien. Il lui en avait fallut du temps pour en arriver la pourtant c'était pas bien compliqué à comprendre quand il avait parlé la première fois, si ? Je le regarder s'approcher du chien et sourire. Il avait un beau sourire, pourquoi est-ce qu'il ne souriait pas plus ? Où alors c'était parce que j'avais tout fait depuis le départ pour l'emmerder qu'il ne souriait pas quand il était avec moi ? C'était fort probable, après tout, depuis que j'avais trouvé son dossier en fouillant et que je l'avais rencontré par hasard, j'avais pris un malin plaisir à le faire sortir de ses gonds. C'était pas ma faute si c'était terriblement amusant de le voir s'énerver comme ça pour rien. Le regard qu'il me lançait à chaque fois, la façon qu'il avait de se vexer tellement vite, je m'en lassais jamais et il était tellement plus intéressant quand il ne se retenait pas de tout pour je ne sais quelle raison obscure. Mais au final, ça lui allait encore mieux de sourire, d'avoir un vrai sourire. Bon ok il allait falloir que je change d'approche avec lui si je voulais qu'il continue à sourire comme ça. ... mais pourquoi est-ce que je me souciais du fait qu'il sourit ou pas hein ? C'était pas mon genre de me soucier des autres et c'était pas quelqu'un de spécial Narcisse, c'était juste une personne quelconque que j'avais approché pour une raison banale. Et pourtant je le trouvais mignon quand il souriait. Mais c'était pas comme quand je sortais boire et que je finissais par mettre dans mon lit un ou une belle inconnue au sourire charmeur. Lui il était tellement innocent que ça faisait bizarre. Et ce qui était encore plus bizarre c'était que ça ne me dérangeait pas vraiment ce sentiment étrange qui s'insinuait en moi. Mais l'heure n'était pas à me poser tout un tas de questions stupide. De tout façon les pucelles c'était pas pour moi et mon cerveau le savait aussi bien que mon corps. —Je t'emmerde et Roméo il va te faire bouffer les tienne de couilles si tu continue à l'emmerder avec ce chien ok ?!Comment ruiner un moment magique en deux secondes, pourquoi il avait fallut qu'il parle hein ? Je posais sur lui un regard blasé, il suffisait qu'il chasse un chien et ça y est il se sentait plus. Y avait plein de gens qui n'aimaient pas les chiens y avait pas de quoi en faire tout un fromage. D'autant plus qu'a part les chiens il n'y avait rien qui m'effrayait, sauf les abeilles/guêpes et ce genre de conneries mais ça j'en étais allergique alors c'était différent. Et que j'étais probablement capable de supporter des trucs qui lui feraient faire des cauchemars à lui. — Y a plein de gens qui aiment pas les chiens, pas besoin d'avoir l'air si réjouis. Et tu rigoleras moins quand un de ces machins te sautera à la gorge.Rien que le fait d'y penser suffisait à me donner des frissons. Non les chiens c'était définitivement pas pour moi et si j'avais envie que Narcisse se la ferme à propos de ça, le chercher n'était peut être pas la meilleure solution. Je ramassais le sac que j'avais laissé glissé au sol et m'approchais de Narcisse. — Un café ? Ça m'a donné soif et faim ce bordel. Et si tu la ferme à propos de ce qui c'est passé, je te le paie. _____________________________________ Feat Narcisse E. HolmDate : Début Juillet 2017 |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Quelle vie de chien [pv Narcisse] Jeu 17 Aoû 2017 - 18:08 | | — « Quelle vie de chien. »
Ton coeur c'est un connard de mécanisme. Il rouille sous l'effet de ta vie qui ne fait que de s'évanouir. Ce sont de petites roulettes qui marchent en concerto avec le sang que tu fais jaillir, des roulettes d'émotions qui ralentissent quand tu ne fais que souffrir. Narcisse, tu n'as jamais réellement compris les intentions de ton palpitant. Lui il n'est qu'un n'organe qui juge ta vie par moments. Oui, il se met à battre à des endroits inexplicables, il rate des sauts pendant qu'un regard se pause sur toi ; même s'il est détestable. Le pire. Pire. C'est que ce n'est que lorsque lui est là qu'il pète le plus un plomb. D'un coup il se met à courir comme un fou, ça te serre dans la poitrine et parfois tu te sens comme un con. Et ça explose. Un putain de geyser qui t'foudroit. Un feu d'artifice qui te broie d'ses sortes de boum ; et tu sens Nar cet étrange sentiment qui t'prends et qui claque contre tes parois. Alors tu l'regardes sans même broncher, t'plonges tes iris dans celles de ce gars. Et tu approches. — T'sais un merci aussi c'est bienvenu connard. Si t'es aussi effrayé par des caniches t'as qu'à pas sortir et j'sais même pas pourquoi j't'ai aidé, j'aurais du te laisser dans ta merde Aaron. Ton nez se retrousse. Colère qui monte. Tes poings se serrent. T'as aussi mal qu'un pic qui s'plante dans ton dos ; saloperie d'panthère. Alors tu mords ta lèvres, ton sourire déjà évanouie à l'entente de ses mots, ta mine déjà meurtrie sous la haine qui chante dans ton corps en concerto. Tu recules. Nar, ce genre de personne font battre ton coeur, mais sont aussi ceux qui font naitre cette étrange terreur. T'as peur. Peur de son regard, peur de ses mots infâmes. C'est un putain de tourbillon de connerie. Un jour t'essaie de t'rapprocher et l'autre tu t'portes mieux lorsque t'es éloigné. Enfin tu le laisses continuer de cracher sa noirceur, tu le laisse dans son idiote peur. Ouais, peut-être qu'il était effrayé par les canidés, mais Nar tu n'étais pas là pour tout prendre dans la gueule, de ses mots, tu t'fais tabasser. —J'viendrais pas avec toi abruti. T'es trop con pour que j'te suive, moi qui pensais que tu pouvais être un peu moins connard. J'me trompe souvent. J'pensais qu't'avais un peu plus de respect. Puis t'as mal un peu. T'as mal, mais t'sais que ça lui servira de leçon. © by Narcisse. |
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