Prudence De Boissieu ~ Elève

POUVOIR
Contrôle de l'hémoglobine — Prudence maîtrise son don à merveille mais ne parvient pas à l'utiliser sur elle.

CARACTERE
Prudence a le physique d'une enfant d'une dizaine d'années seulement. Cela dit, elle s'habille de façon très chic, un style assez ancien que certains qualifient de "vieillot". Prudence est une des personnes les plus influentes du pensionnat parmi les élèves. Ce que Prudence désire, Prudence a. C'est un peu la reine de sa maison, et un peu le genre de fille à considérer que les autres sont ses sujets. Si personne ne manifeste un désir de révolution à son encontre, elle restera souriante et calme. Le genre de personne qui arrive toujours à ses fins en utilisant les moyens à sa disposition. Et ils sont nombreux. Ceci dit Prudence est une personne lunatique, et comparée à une Prudence en colère, Kerstin est la reine des bisounours. La pitié, l'amitié, les joies de la jeunesse, les fêtes, les comportements immatures, Prudence n'en a pas besoin. Elle reste froide et souriante, insensible, et joue une petite partie d'échec contre les autres, ses camarades sont ses pions.

+ Le plus flippant chez Prudence c'est que, même en colère, elle reste souriante.
+ Sa famille ayant investi dans la construction du pensionnat, elle considère avoir des passe-droits.
+ Pour faire plus simple, Prudence c'est un peu Scar dans le Roi Lion.

HISTOIRE
Elle est issue d'une famille de sang noble et a, par conséquent, hérité d'une éducation stricte. Comparée à un génie du fait de ses connaissances précoces, Prudence n'a jamais vraiment réussi à se faire des amis. De là est née son indifférence envers les autres. Avant le changement des classes pour des maisons, elle pensait que les A étaient les meilleurs et elle la meilleure des A. Les autres, elle les écrase, les piétine... et elle a du mal à se faire au nouveau système égalitaire.

A SAVOIR  
Merci de ne pas tourner Prudence en Mary-Sue. C'est un génie machiavélique impitoyable, point. Elle n'a a pas de cœur d'or sensible qui veuille qu'on la libère de la solitude ou quoi que ce soit du genre.