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 Petit chaperon rose & wolf. - PV ALEXANDER.

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MessageSujet: Petit chaperon rose & wolf. - PV ALEXANDER.   Petit chaperon rose & wolf. - PV ALEXANDER. 1400359500-clockDim 27 Jan 2013 - 18:16
CHAPERON ROSE & LE LOUP.
codage par palypsyla sur apple-spring

Il faisait terriblement moche aujourd'hui. Le ciel était grisâtre, beaucoup trop de nuage, le mauvais temps allait bientôt s'annoncer. J'étais en cours, je regardais par la fenêtre le ciel, les élèves dehors, les arbres et j'en passe. La tête appuyée sur ma paume de ma main, je soupirais un bref instant de fatigue, d'ennui. Puis je rêvassais, ou du moins, je songeais. J'entendais ce que le professeur nous disait mais je n'écoutais rien, seulement quelques mots. Comme le début de notre sommeil : on entend, mais on ne comprend pas. c'était la même chose. Je pensais à ce que j'allais faire dans quelques minutes, qu'est-ce que je pourrai bien m'acheter à bouffer, ou demander à quelqu'un ami ou pas s'il voudrait bien s'barrer du pensionnat pendant quelques heures histoire de prendre l'air. enfin... que JE prenne l'air. Je commençais à avoir mal à la tête, les journées devenaient de plus en plus longues, pas que le pensionnat m'agaçait, au contraire le système est bien meilleur que chez les humains normaux et les liens sont plus faciles à tisser ici. mais... le temps. C'était le temps trop long, et les saisons. Ma famille me manquait, Daniel mon p'tit frère aussi. énormément. aucune nouvelle. J'espérais sincèrement que tout allait bien pour lui.

Vingt plus tard, la sonnerie retentit dans tout le pensionnat. Tous se précipitèrent vers la sortie, les chaises grinçaient contre le sol, on pouvait entendre les élèves qui papotaient dans le couloir. Tandis que moi, j'avais les bras croisés, la tête enfouie à l'intérieure, les yeux fermés. Je dormais à moitié. Forcément j'avais comprit que le cours était fini, mais mon corps n'avait pas la volonté de faire un geste, j'étais définitivement K.O, je ne savais même quoi foutre, là. Il était 18h. Il n'y avait plus du tout cours jusqu'à demain. Lorsque le professeur vint me toucher l'épaule je me redressais vivement, lançant un regard noir, puis je soufflais, me levant tout en prenant mon sac par la même occasion. Je me dépêchais de sortir d'ici pour me rendre à l'extérieure.

Il se mit à pleuvoir quelques goûtes seulement, d'après ce que je voyais le ciel était devenu plus sombre pendant que je dormais. C'est d'un pas décidé que je sortis du pensionnat pour me rendre aux alentours, juste un peu plus loin à pied et seule. Je trouverai bien quelque chose à foutre de toute manière. Même après quelques minutes (30 minutes tu veux dire) de marche, je continuais, cherchant désespérément de quoi trouver pour m'occuper avant d'aller me coucher à la cabane du pensionnat. Disons que. qu'il était trop tôt pour le moment. Mais j'étais quand même la pire des connes. la conne des connes des plus connes qui puisse exister sur cette putain de planète de shit. Ecoutez bien, vous allez rire. Moi, Elyah Nawix, la rebelle, la BG, mais la bouffonne de service en classe D, n'avait aucun sens de l'orientation. Bingoo, j'me suis paumée sans savoir où je me trouvais. Cool pas vrai ? C'drôle pas vrai ? HAHAHA bah non. J'vous jure, ça m'fait mais alors pas du tout rire. Traîner à cette heure sans savoir où je suis, ça fou les jetons, surtout que l'endroit n'était pas... comment dire. C'était pratiquement vide, pratiquement aucun passant ou alors ils étaient chelou, il y avait notamment une odeur bizarre, l'odeur des ruelles, vous savez, quand ça sent le renfermé mais en pire. L'ambiance, la luminosité... il n'y en avait pas, ça semblait être sombre, comme dans les films d'horreur (omg film d'horreur j'ai peur). Il y avait quelques boutiques, l'une ressemblait à un truc de voyance : ouvert à minuit. j'avais déjà entendu parlé de ça tiens. Ce n'était pas la boutique de l'autre sorcière paraît-il ? Si c'était bien le cas, c'est que je me trouvais vers la rue Ouest. Au moins, c'était déjà ça, sauf si j'me goure encore.
Putain, ce n'était pas vraiment ma soirée.

- Oih, viens on va s'bourrer la gueule hehe !
- Mais t'as vus ta *hic* tronch *hic* on vient de sortir du *hic* hahaha ! oh, j'ai rêvé ? il y a quelqu'un on dir- *hic* j'ai vu une ombre, c'est p- *hic* sorci- *hic* !

J'entendis plusieurs venant vers ma direction, la voix de ces hommes étaient graves, ils étaient bien ivre. Mon coeur battait à cent à l'heure, je me précipitais à me trouver une cachette, ouais parce que quand même, on ne sait jamais avec des bourrer. J'optais alors pour me faufiler dans une autre ruelle, derrière une poubelle. Problème, ils semblaient venir vers ma direction, tout ça en rigolant d'un air complètement débile. Je déglutis. Je mis mes deux mains devant la bouche pour vraiment ne rien laisser sortir. putain, putain, pourquoi je suis si peureuse ? Sérieux, à me voir j'ai l'air d'une fille so dangereous et tout mais mon cul ! Peureuse de nature, j'ai vraiment du mal à l'assumer.

- P'tain, cassez-vous... venez pas vers là, venez pas vers là, venez pas vers là, venez pas vers là. chuchotais-je en me mordant la lèvre inférieure.

Puis il se mit à pleuvoir, un peu plus brusquement et violemment. Me voilà coincé, paumé, perdu, angoissé sous cette tonne de pluie.

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MessageSujet: Re: Petit chaperon rose & wolf. - PV ALEXANDER.   Petit chaperon rose & wolf. - PV ALEXANDER. 1400359500-clockMar 29 Jan 2013 - 21:58


Ce monde était si ennuyeux, si insignifiant quand il ne fallait pas se moquer de quelqu’un. Comme quoi, traumatiser les gens était une chose qui lui tenait particulièrement à cœur. C’était son passe-temps favoris, une occupation à laquelle il vouait beaucoup de son temps libre, pour une seule et bonne raison : il ne s’en lassait jamais. Jamais encore il n’avait trouvé quelque chose d’aussi amusant dans sa vie que de rendre des personnes effrayer au point même de se mettre à pleurer. Oui, c’était déjà arrivé, à maintes reprises. À Prismver ? Bien sûr ! Il y avait d’ailleurs cette fille, qui avait énormément peur de lui.

Il ne se souvenait pas vraiment de son nom, mais il savait exactement à quoi elle pouvait ressembler. Après tout, c’était tout simplement inoubliable. Une fille qui partait en courant à une vitesse aussi surprenante rien qu’en l’apercevant, c’était tout simplement exceptionnel, voir même magnifique en fait. Il avait toujours eu beaucoup de mal à retenir le nom de ses « victimes ». Mais en ce qui concernait leur apparence, c’était une toute autre histoire, bien évidemment. D’ailleurs est-ce qu’il aurait la chance de la voir aujourd’hui ? Si oui, il prendra sans doute le temps de jouer plus longtemps avec elle, comme il aurait toujours dû le faire.

Alexander était ailleurs, les cours ne l’intéressant pas plus que cela. Il faut dire que les remarques général de ses professeurs n’étaient pas toujours très bonnes, allons-nous dire. La tête ailleurs, il observait le ciel nuageux en soupirant, se demandant ce qu’il pourrait bien faire après les cours. Il n’avait pas l’impression qu’il ferait très beau, mais le moins que l’on puisse dire, c’était qu’il ne comptait pas s’ennuyer même si le temps en déciderait autrement. C’est alors que la sonnerie de la libération se fit entendre dans tout le pensionnat, laissant ensuite un vacarme incessant de chaises qui grincent se faire entendre.

Rien que cela était assez assourdissant et énervant. S’ils n’étaient pas aussi nombreux, et surtout si le professeur n’était pas présent, peut-être qu’il aurait usé de sa faculté assez spécial pour leurs faire comprendre qu’il n’était pas du tout d’humeur à entendre ce bruit atroce. Mais bon, pour une fois il évitera de faire un quelconque scandale. Restons donc calme. Il sortit de la classe une fois que celle-ci fut totalement déserte, histoire que personne ne l’ennuie. Dans sa main se trouvait un livre de mathématique, qui était le cours par lequel il venait tout juste de terminer. C’était bien trop ennuyeux de le garder sur lui, alors il se dirigea vers son cabanon.

Oui, pour l’y déposer et retourner ensuite se balader à sa guise. De toute façon, il n’avait pas l’intention d’aller en cours le lendemain, il pourra ainsi faire ce qu’il souhaite pour le reste de la soirée. S’amuser, faire peur à certains innocents, et surtout chercher cette fille qui l’avait déjà à plusieurs reprises bien fait rire. Arrivant assez rapidement à son cabanon, il entra pour ensuite y déposer son livre, et par la même occasion se changer rapidement. Porter un uniforme à longueur de journée, c’était beaucoup trop ennuyeux pour lui. Autant s’habiller dans un style plus décontracté, histoire d’être à son aise.

Une veste blanche sans manche, avec de la fourrure brune à l’intérieur. Sous cette veste qu’il avait laissée ouverte, il portait un t-shirt à longues manches noirs. Il portait également des mitaines blanches, ainsi qu’un pantalon noir. Ce même pantalon étant « déchiré » à plusieurs endroits au niveau des cuisses. Pour chaussures, il portait des petites bottes noires, assez larges. Il était désormais prêt pour sortir et, pourquoi pas, faire peur à quelques demoiselles. Elles étaient si amusantes contrairement aux hommes, qui n’étaient pas aussi réactif. C’était plutôt bas, il fallait l’avouer, mais des femmes sont toujours plus délicates et plus sensibles par conséquent. C’était ce qui faisait d’elles, des cibles parfaites.

Les mains dans les poches, il se dirigea vers la ville, le ciel commençant petit à petit à s’assombrir. Il aimait plutôt bien cette ambiance assez obscure, où l’on ne savait pas réellement ce qui pouvait arriver, ni même quand cela pourrait avoir lieu. Oui, car en ville, il se passait beaucoup de choses, durant la nuit. Il en avait déjà été témoin, ce qui s’était avéré être une expérience assez enrichissante pour lui… Et peut-être moins pour les pauvres personnes qui avaient goûtés à son horrible pouvoir. D’ailleurs, ce soir, il avait envie de se rendre dans des quartiers encore plus sombres, des endroits très peu conseillers par le grand public.

La pluie commençant à tomber par fines gouttes, Alexander se décida à se diriger vers le côté ouest de la galerie marchande. Un lieu plutôt effrayant pour des jeunes étudiants. Il espérait y trouver une brebis égarée, histoire de se divertir lui aussi. Et histoire d’effrayer une personne de plus dans ce vaste monde. En parlant d’une brebis égarée, alors qu’il se trouvait non loin d’une ruelle assez sombre, il constata avec joie qu’une personne, sans doute assez jeune et effrayée, était en train de se cacher derrière une poubelle, espérant échapper à un groupe de personnes qui se trouvaient être… Totalement bourrés.

« Ala ? Mais tu essaies de te cacher de ces gentils messieurs ivres ? Quel dommage, tu pourrais beaucoup t’amusées avec eux ! » Il souriait, de son air niais, mais pourtant si incompréhensible. Un sourire qui cachait bien des mystères à dire vrai. Mais bien évidemment, il n’avait pas l’intention de l’aider, malgré cet air bien sympathique. Il en profita donc pour déplacer la poubelle, avant de faire de grands signes des mains à ces gentils bonhommes qui se dirigeaient vers eux. « Heeeeeeeey ! Venez par ici ! Il y a une jolie demoiselle qui ne demande qu’à être victime de vos abuuuuuuuus ! » Il continuait bien évidemment de sourire en disant cela.

« -Sérieux ?! Où ça !
-Laisses-la moi en prem-*hic*-er ! Je veux m’amuser ! *hic* »


De son côté, il riait. Le jeune homme aux cheveux argentés riait de bon cœur, trouvant la situation si désespérée, mais pourtant si amusant. Mais malgré tout, il avait décidé qu’il allait aussi faire peur à ces pauvres idiots totalement saouls. « C’était une blague ! Et maintenant… » Il s’abaissa lentement, avant de ramasser au sol un petit morceau de bois. « Je vais te jeter ceci en plein cœur… » Son regard était devenu tout de suite bien plus froid, laissant de marbre les deux hommes, qui eux, ne voyaient pas un simple morceau de bois : mais un couteau affuté. Et la seconde qui suivit, Alexander le lança. Oui, ce couteau partit tout droit vers le cœur d’un des deux hommes… Qui n’avait finalement rien eut ; et bien sûr, la jeune fille se trouvant encore au sol, avait également un couteau. Jusqu’à ce que cette « arme » ne touche le torse de l’ivrogne. Celui-ci étant redevenu un simple bout de bois.

« Ahahaha ! On dirait que je t’ai bien eu ! Heureusement que ta plus grande peur était la mort, sinon ça n’aurait jamais marché ! C’était amusant ! » Il riait de nouveau, tandis que l’homme avait eu tellement peur, qu’il s’était lui-même fait dessus… Plutôt pitoyable, mais encore une fois, c’était plus que suffisant pour l’effrayer. Lui, ainsi que son ami, qui partirent assez rapidement. De son côté, le jeune homme à la chevelure argentée s’avança vers la fille, avant de s’abaisser, pour être à son niveau, lui relevant le visage d’une main, la tenant par le menton à l’aide de son index et de son pouce.

« Ne t’aurais-je pas déjà vu quelque part, petite pleurnicheuse ? » Il dit cela sur un ton plutôt calme, le tout en souriant. Oui, elle lui faisait beaucoup penser à cette fille qui tremblait de peur rien qu’en le voyant… Serait-ce elle ?
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MessageSujet: Re: Petit chaperon rose & wolf. - PV ALEXANDER.   Petit chaperon rose & wolf. - PV ALEXANDER. 1400359500-clockVen 1 Fév 2013 - 19:09
CHAPERON ROSE & LE LOUP.
codage par palypsyla sur apple-spring

J'essayai tant bien que mal de ne pas faire de bruit. J'avais envie de fuir et me lever surtout, l'odeur était horrible, ça puait le chat, la bouffe périmé et j'en passe. Je me pinçai le nez un instant. Pourquoi je ne me levais pas d'abord, faire comme si de rien était ? Si ça se trouvait ils n'avaient pas l'alcool mauvais. C'était moi le problème, moi et ma putain de paranoïa. Comment je vais vivre avec ça sérieux ?! Boh, de toute manière il faut que je me dise que je pourrai toujours leur foutre un coup de pied aux bijoux de famille, vu que j'ai même pas besoin d'apprendre à bien me défendre avec mon pouvoir. Ils auront de quoi rester par terre en chialant de douleur. Mais bon, d'un côté c'était encore plus risquer. Arg, je ne sais pas, je ne sais plus. Je rapprochai lentement mes jambes et me recroquevillai sur moi-même. Alors j'attendis, comme une idiote.

Et là, j'entendis à nouveau des pas qui semblait venir en ma direction. Je ne bougeai pas, je restai totalement figé dans ma position pour ne pas commettre une erreur. Je déglutis de peur qu'ils m'aient vu. Je priai pour qu'ils étaient suffisamment ivre pour ne pas avoir l'idée de passer ici.

« Ala ? Mais tu essaies de te cacher de ces gentils messieurs ivres ? Quel dommage, tu pourrais beaucoup t’amusées avec eux ! »

...Mon coeur perdit un battement lorsque j'entendis la voix. Je... j'avais peur de comprendre. peur de reconnaître. Ce n'était. ce n'était tout de même pas lui. Ale... Non non non. C'est mon imagination, putain, j'y crois pas, ça s'est aggravé. Attendez, depuis quand avoir peur nous faisait entendre des voix ? Pourtant je n'ai pas pensé à lui une seule seconde. Qu'est-ce qui vient foutre dans ma tête ? DÉJÀ QU'IL HANTE MES JOURNÉES QU'EST-CE QU'IL VENAIT SQUATTER MA TÊTE LE CONNARD. Je relevai légèrement le visage en soufflant, la tournant de côté pour quand même vérifier, et là. Là. l-l-l-l-là...

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !

Je bloquai rapidement ma bouche à l'aide de mes deux mains. C'était VRAIMENT UN FILM D'HORREUR. Ma respiration s'accélérait. C'était bel et bien lui, en chair et en os, debout en me souriant d'une manière ironique. Ce qui m'effrayait encore plus. Je me mis à trembler, à me coller brusquement contre le mur de peur. Mes yeux s'agrandissaient, devenaient tout rond. Tout mais pas lui, tout mais pas lui, tout mais pas lui, putain putain putain. Il... c-comment se fait-il qu'il soit là putain de merde ?! D'où il sortait ma parole, D'OU ?! Il m'avait suivit ? Ou il avait un autre don celui de chercher les gens au mauvais moment pour leur faire une crise cardiaque ?! Franchement je l'avais, mais alors super bien frôlé là.

Évidement que ce n'était pas une illusion que je me faisais. Ce sale monstre... venait de retirer la poubelle, faisant de grands signes qui plus est, histoire de bien les attirer vers moi. " une demoiselle qui ne demande qu'à être victime de vos abus " qu'il a dit. Mais putain putain putain il était COMPLÈTEMENT taré ! Il s'est rendu compte de ce qu'il venait de dire là ?! C'est pas marrant mais alors du tout, surtout si ces deux autres cons y croyaient dur comme fer. Il fallait enfermer ce type dans un hôpital psychiatrique je vous jure. J'étais déjà assez mal comme ça, je m'étais caché, voilà qu'il était lui aussi ici, et en plus de ça il veut que je me fasse repérer.

- Comment t.. tu peux dire une chose pareille...

Putain... fait chier. Alexander pourrissait mes journées, lorsque je le croisais je prenais directement la fuite. Parler avec lui n'en valait pas la peine, c'était une chose auquel j'en étais quasiment certaine. Il me hantait. Les soirs n'en parlons même pas, je pensais à lui, j'avais son visage en tête, je réfléchissais à comment l'éviter, à trouver assez de personnes pour ne pas qu'il vienne vers moi, des tas de truc dans le genre. Je ne le croyais pas aussi manipulateur, aussi méchant et flippant. Je n'aurai jamais du le chercher ni le sous-estimer, jamais, ce jour là, j'aurai seulement du fermer ma grande gueule. Je n'aurai alors été qu'une élève parmi tant d'autres à ses yeux. Non pas comme une victime et jouer avec sa peur. Il m'angoissait.

- A-Arrête.. Putain, pourquoi... pourquoi tu fais ça ?! Comme si... ce n'était pas suffisant !

J'avais la voix qui tremblait. Je me retins de pleurer. Parce qu'il arrivait facilement à ça. Je détestais verser des larmes pour ce genre de personne qui n'en prenait que plaisir et n'avait aucun scrupule. J'ai toujours détesté pleurer. Et rare où l'on me voyait dans un état aussi désastreux et minable. Mais j'étais dans une situation terrible, parfois je me consolais en me disant que s'il y aurait eu mon frère, il m'aurait été encore plus difficile de gérer la situation et je me serai beaucoup trop inquiété. Mais là, je ne pouvais pas me rassurer ne serait-ce qu'une seconde. Je ne savais pas ce qui allait se passer. Saleté de mec, de monstre, je le haïssais plus que tout. Lui posé la question a été très idiote. Alexander n'avait pas forcément une bonne raison pour ses actes, je pensais seulement que ça devait l'amuser de me voir dans la panique.

- Sérieux ?! Où ça !
- Laisses-la moi en prem-*hic*-er ! Je veux m’amuser ! *hic* »

Je fronçai les sourcils et ma main droite se fermait pour en faire un poing. Même ces deux là à côté ne... tss. J'avais tout de même bien penser : leur intention été mauvaise. Tandis que j'étais dans un mélange de colère et de peur, Alexander se mit à rire à plein poumon. Je n'aimais pas ça, le fait qu'il éclate comme ça, d'une manière aussi détendue et machiavélique me répugnait. Quelques soit pour la raison. Si je ne craignais pas autant je lui aurai sûrement cassé la figure sans hésitation et pourtant... ce n'est malheureusement pas le cas, je n'ai pas essayé une seule fois depuis. C'était vraiment une ordure, la pire des pires. Pourtant je n'osais toujours pas faire un seul geste, j'étais paralysé, sa présence me bloquait. Je ne savais plus trop quoi faire ni comment réagir. Jusqu'à ce que finalement, il leur annonça que c'était une blague. Il se penchant et prit... un couteau. Un couteau ? Oh mon dieu, oh mon dieu, oh mon dieu, il n'était pas sérieux là si ?! D'où il sortait ? Je me collais sur le coin de la poubelle et du mur, comme si je voulais me cacher me faire vraiment toute petite dans cette situation. Je me sentais en danger, bien que son attention était portée sur les deux hommes, je n'étais pas spécialement soulagée, encore moins avec ce qu'il avait dans sa main. Je me contentai de regarder, effrayée, me posant des tas de question avant qu'il ne le lance sur la poitrine d'un des deux hommes. Le couteau qui n'en était finalement pas un retomba, ce n'était d'un bout de bois. C'est vrai.. j'avais oublié ce détails. Ce type devait vraiment terroriser son entourage.

« Ahahaha ! On dirait que je t’ai bien eu ! Heureusement que ta plus grande peur était la mort, sinon ça n’aurait jamais marché ! C’était amusant ! »

Et il riait. Ce petit tour l'avait visiblement bien amusé, il jubilait tellement de faire peur, faire mal aux autres. Ce type n'était rien d'autre qu'un monstre voilà comment je le qualifiais. Je ne savais absolument pas s'il avait un peu de coeur, ou un bon côté caché : j'avais pourtant un grand mal à l'imaginer, à voir son comportement, sa manière de regarder et de parler aux autres, ses gestes, il était impossible de penser qu'il pouvait être sympathique. Je ne savais pratiquement rien de lui, parfois je me demande même comment il se comporte envers sa famille et les gens qu'il aime s'il en a... Alexander être normal ? Non, c'était impossible. Monstre le décrivait bien. Ce sale fourbe. Moi-même je ressentais un peu de peine pour ces deux hommes, ils avaient vraiment du flipper leur race, mais c'était quand même bien fait pour leur sale gueule d'merde de connard. Ainsi, j'entendis leur pas, les deux s'éloignaient. Merde. Non. non. Ce qui voulait dire, que je me retrouvais toute seule avec ce psychopathe ? hahaha ! haha.. NON NON NON REVENEZ PITIÉ JE VOUS FERREZ UN BISOU SUR LA JOUE JE VEUX PAS MOURIR JEUNE. pas le moment de déconner, je n'étais pas bien. Je crois que je vais faire un malaise si ça continue...

Puis comme je m'y attendais son attention se reporta sur moi, il s'avança, s'abaissa à mon niveau pour être à la même taille et finit par relever mon visage. Mes yeux fixaient les siens, totalement perturbés. Je n'aimais pas regarder cette chose dans les yeux, il était déstabilisant et surtout, ce que dégageait son regard n'avait rien d'agréable. Mon coeur battait rapidement, je respirais beaucoup trop vite, j'essayais tant bien que mal de me calmer, de reprendre normalement mais il m'était impossible. pas maintenant. pas avec et si proche de lui.

« Ne t’aurais-je pas déjà vu quelque part, petite pleurnicheuse ? »

Voyant bien que ce salaud m'avait reconnu, je détournai le regard sur le côté, déjà, évitant de voir sa tête et cet air souriant qui montrait si bien son ironie, me calmerait peut-être un minimum. Je préférais encore le voir tirer la gueule que d’apercevoir ce genre d'expression narquoise. Petite pleurnicheuse... bordel mais qu'il aille bien s'faire foutre. J'ai vraiment envie de lui en coller une, sale arrogant. Putain, pourquoi. pourquoi j'ai chialé devant lui mainte et mainte fois. Sérieusement, il avait suffisamment vu que j'avais les jetons il a fallut qu'il voit qu'il arrive jusqu'à me faire chialer. Ridicule. Je me sentais si impuissante, tellement inférieure et faible. Je n'étais plus la Elyah qui se montrait forte pour qu'elle ait plus confiance en elle, pour que les autres la respecte comme il se doit, et qu'elle puisse briser le cliché de la fille naïve, influençable et soumise. De nos jours encore, les mentalités n'ont pas toutes évolués, certains avait cette image de la femme, et moi, c'est ce que je voudrais contre-dire. Heureusement que les filles rebelles et avec caractère, il y en a et pas qu'un peu. On fait plein de conneries, comme les mecs. Mais là, je me sentais comme rien du tout. Je ne savais pas quoi faire face à une situation si désespéré. J'avais pourtant un espoir, celui qu'il préfère se barrer que de perdre son temps avec moi. D'autant plus que j'en avais très envie, je n'aurai jamais du sortir. J'avais froid, je n'étais pas franchement très couverte et la pluie semblait ne plus vouloir s'arrêter.

Toujours sans réponse, je posai mes deux mains devant les yeux, comme si je m'interdisais de regarder quoi que ce soit, de me dire que ce n'était qu'un mauvais cauchemar. Du moins, j'le niais plutôt. Je me mordis la lèvre jusqu'à en saigner.

- Qu'est-ce.. ça peut t'f-faire ? Pourquoi tu me.. fous pas la paix... Sors... sors...

MAAAAAMAN J'EN PEUX PLUS DE LUI. J'avais toujours les yeux cacher. Je sentis déjà que j'allais encore craquer. Je ne voulais pas qu'il s'en amuse une énième fois. Je devais faire quelque chose, vite vite vite vraiment vite. Finalement, je pris mon courage à deux mains et le repoussai brusquement en voulant me lever, je pris ensuite la poubelle et la jetai au sol, lui lançant les cochonneries qu'il y avait, sur lui, de quoi le ralentir le temps qu'il se dégage de quelques trucs. Je pris immédiatement la fuite. Je me dépêchai, courrai comme si le chemin qui se trouvait derrière moi se fissurer petit à petit, comme si un fantôme ou un tueur me poursuivait. Je serrai les dents, regardai en face de moi, je n'avais jamais autant courus de toute ma vie, surtout que je ne me sentais absolument pas en sécurité, je n'étais plus protégé : je n'étais pas au pensionnat.

- AAAAAH MAIS QU'EST-CE QUE J'AI FAIS QUEL CONNE P'TAIN JE VAIS MAIS MOURIR ! CONNE CONNE CONNE T'ES UNE GROSSE CONNE.

Je continuai, malgré que je me rendais bien compte de mon erreur. Mais à ma place, qu'auriez-vous fait ? Je préférais fuir que le frapper, c'était déjà moins grave et de toute façon je n'en aurai pas eu le courage. J'empirais bien mon cas, moi qui souhaitait vraiment que tout ceci cessait au plus vite. Je n'osais même pas regarder derrière moi, sérieusement si j'cours et que je me retourne et que je le vois me poursuivre... mais je vais me pisser dessus comme jamais. j'vous jure. déjà que ça m'fait flipper de savoir que quelqu'un me cours après. mais en même temps, je n'allais pas rester à rien faire, si la chance était de mon côté, je pouvais l'échapper. Je cherchai rapidement un coin pour m'arrêter. J'étais beaucoup trop.. essoufflée, p'tain... promis j'ferai le cours d'athlétisme la prochaine fois et avec motivation. Je me laissai aller contre le mur, tentant de reprendre le rythme normal de mon souffle. J'espérais qu'il n'était pas fort en orientation, qu'il ne m'ait pas vu et surtout qu'il ne courrait pas vite, enfin, pas sûre de tout ça... Surtout que je ne savais maintenant vraiment plus où je me trouvais, où était le bon chemin pour en sortir, et encore...

- C'est quand que j'vais avoir le courage de me défendre... quand... quand... j'en ai marre, j'en peux plus d'lui putain. putain...

Je posai ma tête contre le mur, posant par la même occasion mes deux mains, et cette fois-ci je n'arrivai plus à me contrôler, je profitai qu'il ne soit pas là pour me lâcher, chialer en paix. Encore une fois.

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MessageSujet: Re: Petit chaperon rose & wolf. - PV ALEXANDER.   Petit chaperon rose & wolf. - PV ALEXANDER. 1400359500-clockDim 3 Fév 2013 - 17:09
Se nourrir de la souffrance d’autrui, c’était ce que faisait de mieux le jeune homme. Il n’avait pas pour habitude de se limiter à seulement une ou deux personnes, en général cela prenait toujours de plus grandes mesures. Même si le nombre de victimes simultanées étaient toujours comptables sur le bout des doigts. Bah oui, certes c’était possible de s’attaquer à plus de dix personnes, mais si ces personnes décidaient de lui casser la gueule, il finirait dans un bien piteux état. Alors autant se montrer plus raisonnable, n’est-ce pas ? Quoi qu’il en soit, les deux ivres n’allaient pas être des proies très divertissantes.

La preuve, un simple « semblant » de couteau les avait faits, en plus que l’un d’entre eux s’était fait dessus. De vraies tapettes… Même s’il faut l’avouer, cela avait bien fait rire le jeune homme à la chevelure argentée. D’ailleurs, vous devez sans doute vous demandez pourquoi il savait que la plus grande peur de cette homme était la mort, n’est-ce pas ? Et bien, c’est très simple. Qui dans ce monde n’a pas peur de finir sa vie dans un cercueil ? Personne. Même un ivrogne ne faisait exception à la règle. Malgré l’effet de l’alcool sur son cerveau, il restait dans son corps de la peur.

C’était simplement ça, qui avait permis à Alexander de jouer ce petit tour assez mesquin. Un tour qui ne demandait pas une intelligence inouïe… Sauf peut-être dans certains cas en fait. Les cas en question, c’était pour les imbéciles. Il y en avait pas mal dans Prismver, ce qui n’était pas pour déplaire à notre jeune étudiant, qui passait son temps à se jouer d’eux également. Mais bon. Pendant son petit numéro de salaud, il avait beaucoup entendu la demoiselle se trouvant près des poubelles se plaindre, encore et encore, alors que lui, il commençait à se dire que c’était vraiment une grosse couillonne.

Au final, ils ne se retrouvaient plus qu’eux deux, dans un endroit assez dangereux pour les étudiants habituellement, mais dans ce genre de situation, c’était plutôt un endroit dangereux pour quiconque s’approcherait d’Alexander dans l’état actuel des choses. En effet, il voulait s’amuser, tuer le temps, et surtout faire regretter à quiconque se trouvant dans les environs, d’avoir pris se chemin. Mais maintenant qu’il était en face de cette pleurnicheuse, il ne pouvait plus reculer, il se devait simplement de la faire pleurer, encore et encore. Oui, il l’avait bel et bien reconnue, mais il avait envie de faire durer le suspense un peu plus. De jouer avec sa proie.

Il lui avait relevé le visage, la regardant dans les yeux. Elle semblait réellement avoir peur de lui. C’était vraiment génial de ressentir ce genre de choses. Cela le faisait sourire évidemment, et toujours avec cet air fort peu compréhensible évidemment. Beaucoup de personnes considéraient ce sourire comme hypocrite. Ce qui n’était pas tout à fait tort en fait, étant donné qu’il n’avait jamais souris d’un air « sincère » et amical. Il n’avait jamais été qu’un menteur, depuis les problèmes qu’il avait eus avec ses parents, du coup, il a pris l’habitude de faire « bonne figure » et ensuite, utiliser ça pour se jouer des autres.

Elyah, oui c’était le nom de cette fille, n’était autre qu’une de ses personnes qui s’étaient fait avoir par le piège assez bien réfléchis d’Alexander. Quoi qu’il en soit, il avait l’intention de prendre son temps cette fois. Plutôt que de la laisser courir dans tous les sens, il allait la pourchasser, comme un prédateur chassant sa proie. En tout cas, elle ne semblait pas être très rassurée à l’idée de se retrouver aussi près de lui. Ce qui était forcément compréhensible, vu ce qu’il lui avait déjà fait endurer par le « passé ». C’était vraiment devenu son attraction favorite, il fallait l’avouer.

Il était d’ailleurs temps pour lui de jouer, de s’amuser un peu plus et surtout, de passer à un niveau supérieur par rapport à d’habitude. Il l’avait déjà vue pleurer, mais il voulait voir s’il pouvait la « briser » mentalement, la faire tomber. C’était peut-être méchant, mais après tout, qui avait dit qu’il avait déjà été amical avec qui que ce soit ? Elle en tout cas, elle était certaine de finir sa soirée perturbée. Tellement qu’elle se cachait le visage de ses mains, ou plutôt les yeux. Oh ? Pleurerait-elle ? D’ailleurs, elle ajouta ensuite quelques mots, assez intéressants. Pourquoi est-ce qu’il ne lui foutait pas la paix ? Mais parce que c’était drôle !

« Parce que c’est drôle, justement ! ♪ »

Finalement, elle semblait avoir craqué. Tellement qu’elle commença à lui jeter toutes les cochonneries qui se trouvaient au sol sur lui… Bon sang, lui qui était propre à la base, elle allait lui salir toutes ses fringues ! Fort heureusement, elle ne semblait pas être en mesure de viser correctement, elle n’avait pas réussi à le toucher tant que ça. Tant mieux dans un sens, sinon bonjour l’odeur qu’il dégagerait. La pluie quant à elle, ne s’arrêtait pas. Ce qui devenait petit à petit, assez gênant. Surtout que quand elle avait repoussé Alexander, celui-ci s’était retrouvé allongé au sol… Donc, il commençait à être bien mouillé.

Cependant, pendant le « feu de l’action », elle avait pris la peine de partir en courant. Ce qu’elle faisait de mieux visiblement, c’était prendre la fuite. On va donc jouer au chat et à la souris… Cela risquait d’être fort amusant pour lui, qui adorait faire peur. Vu le temps, et le fait qu’il faisait sombre, c’était la situation parfaite pour effrayer cette jeune fille. Enfin, jeune fille, elle devait tout de même avoir le même âge que lui, quasiment… Mais si c’était le cas, elle était vraiment peureuse pour son âge… Ce qui la rendait encore plus particulière et d’autant plus intéressante.

Il se releva lentement, alors que ses cheveux commençaient à être totalement trempés, retombant légèrement sur son visage, laissant de fines gouttes d’eaux perlées en nombre sur son visage ; il gardait toujours ce même sourire qui donnait un air amical, alors que ce n’était pas du tout le cas. Un véritable malade mental après tout. Quoi qu’il en soit, marchant lentement, il venait de glisser ses mains dans ses poches, sifflotant par la même occasion. Cela le rendait encore bien plus énervant, ce qui n’était pas pour plaire généralement. Sans doute qu’elle allait encore prendre la fuite rien qu’à revoir son visage, ce qui serait plutôt normal.

Selon ce qu’il avait souvent constaté chez ses proies féminines : elles avaient tendances à courir tout droit… On ne sait pas vraiment pourquoi, mais visiblement, c’était un réflexe… Et depuis qu’il avait commencé à la terroriser, elle n’avait pas fait exception à cette logique qu’il venait tout juste de se « créer ». Bon et bien, autant s’avancer tout droit, peut-être qu’il la rattrapera à un moment ou à un autre. Tout du moins c’était ce qu’il espérait, bien sûr, et cela n’allait pas être très amusant s’il ne la retrouvait pas ; il devrait la faire souffrir encore plus la prochaine fois et s’il exagérait un peu trop, il risquerait de la forcer à se suicider… Et ça, il n’en avait pas envie : sinon son jouet préféré serait cassé…

Avançant sans cesse, et sans vraiment réfléchir, il finit par entendre une voix, sur sa gauche. Tiens, cette voix lui était familière… Il tourna lentement la tête, et afficha un grand sourire. Elle avait vraiment l’air dépité, comme c’était dommage. Ou pas quoi. Il allait en profiter, surtout qu’elle lui tournait le dos : grossière erreur de sa part. D’un simple coup de son index, il toucha le bas de son dos, affichant un large sourire. Il avait évidemment entendu ses dires. Alors comme ça elle n’en pouvait plus de lui ? Comme c’était amusant, lui il ne faisait que commencer à s’amuser pourtant ! Elle devra s’habituer à sa présence !

« PAN ! Je t’ai trouvé… Et si j’avais un fusil j’aurais pu te faire très mal. » Bien évidemment, il n’avait pas de fusil, mais il n’avait pas non plus l’intention de se montrer doux avec elle. Quoi que du moins, faire semblant un petit instant peut-être. « Oh mais, tu es en train de pleurer ? Pauvre petite… Aller, ça va, ne t’inquiète pas, les méchants ivrognes sont partis ! ♪ » Les méchants ivrognes ? Le problème ici c’était lui ! D’ailleurs, histoire de bien se jouer d’elle, il l’avait même pris contre lui, tout en riant légèrement.

« Je me demande de quelle façon je devrais te terroriser… Avec des monstres peut-être ? Ça pourrait être drôle aussi, n’est-ce pas ? Elyah-chan~♪ » Oui, il avait fait exprès de prononcer son nom, histoire qu’elle comprenne qu’il l’ait bien évidemment reconnue depuis tout ce temps, la petite pleurnicheuse qui courait à toute allure dès qu’elle croisait son regard. « Aujourd’hui j’ai envie de jouer un peu plus avec toi, alors je ne te laisserai pas courir Elyah-chan. ♥ » Et oui, il avait directement annoncé la couleur.
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MessageSujet: Re: Petit chaperon rose & wolf. - PV ALEXANDER.   Petit chaperon rose & wolf. - PV ALEXANDER. 1400359500-clockSam 9 Fév 2013 - 20:19
CHAPERON ROSE & LE LOUP.