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| Cereals dealer| Virgile | |
| InvitéInvité | Sujet: Cereals dealer| Virgile Mer 1 Mai 2013 - 3:02 | | Cereals dealer CODAGE - EXCEPTION DE LG La nuit est tombée et un voile de fraicheur c'est déposé, laissant poussière d'étoile et astre lunaire la rejoindre. Cette nuit n'est pas noir, obscure et agressive. Elle est belle, douce et pleines de tendresse mais il est trop tard, ou devrions nous dire, tôt pour que tu puisses en profiter. Tu n'es ni rongeur, ni vampire, la nuit tu récupères l'énergie dont tu auras besoin le lendemain. Car en journée, tu es tellement active et dynamique que l'insomnie ne peut te convenir.
Sur ce coussin blanc repose ton visage légèrement enfoncé. Ces traits sont relâchés, une bouche engourdis légèrement entrouverte, des yeux clos mais délicats. Tu tiens fort contre toi une partie de couette tandis que le reste recouvre ton corps à moitié nue. Ton corps tu n'en as ni honte, tu n'en es ni fière. Tu prends ce que l'on t'offre et t'accommode avec. Ce pourquoi tu n'es pas nudiste mais légèrement exhibitionniste comme diraient certain. Toi tu prends juste les choses comment elles t'apparaissent.
Ton ventre grogne , sonne l'heure du repas. Tu sursautes surprise de ce bruit intrus dans un silence si paisible mais ta fatigue , tellement présente, laisse embrumé tes idées. Tes yeux légèrement ouverts se rendorment dans l'immédiat. La faim qui grogne te cramponne alors l'estomac, te rappelle à quel point il est faible et que tu dois le nourrir. Tu te tournes dans ton lit. Tu glisses ton visage sous la couette.Tu revois le pays des songes.
Cette fois c'est la bonne. Pas question de te laisser avoir par Morphée. Ton petit nez sort en premier de ce cocon avant que tes yeux n'osent regarder la pénombre. Il n'y a là aucune trace de soleil, tu aurais donc pu dormir légèrement plus...Si tu avais nourris ton corps la veille. Ton regard se repose sur ton réveil. 3H 42. God -son lézard !- dort à côté. Le voir près de celui-ci ne te rassure pas. Il a déjà piqué celui de Faith. A espérer que le tiens n'y passe pas.
Doucement la couette finit au pied du lit poussée par l'étirement langoureux de tes jambes longues et élancés. Tu finis par t'asseoir sans bruit afin de ne réveiller personne. Sur toi un maigre boxer noir ainsi qu'un tee-shirt gris des plus basiques te servent de pyjama. Tu sais où tu es mais tu ne sais pas où sont tes vêtements alors tu ne préfères pas y penser. Tu enfiles les premières chaussures que tu as sous les pieds, donc celle de ton uniforme et tu te diriges vers la porte. Tu ne vois rien il fait noir. Totalement. Tu trébuches à plusieurs reprises car tu as faim et mal à la tête. Il n'y a rien à bouffer dans cette pièce. Ca fait quelques jours déjà. Il serait temps de faire des courses pour les moments dans ce genre là.
La porte s'ouvre. Un maigre rayon de clarté s'immisce dans la pièce. Tu passes à ton tour. Tu refermes. Dehors un vent glacial te brule les jambes avant même que tu n'aies eu le temps de savoir où se trouvait le bâtiment. Heureusement que le chemin de la cuisine ne t'était pas inconnu. Devant la porte, ta main se glisse sur la poignée évidemment inutile car celle-ci est close. Mais étant légèrement exténuée, tu laisses ton front se coller contre la façade et ferme paupières avant de t'endormir. En caleçon dans un couloir.
Une de tes jambes cède. La frayeur que celle-ci te donna éveilla tous tes sens te réveillant cette fois-ci bel et bien. Pour couronner le tout, ta faim te donna encore plus cette envie de rentrer dans cette pièce interdite et de tout dévaliser. Tu trouvas une autre issue pour y parvenir. Briser la porte d'entrer t'aurais valu des ennuies.
« Voyons voir...»
Tu allumes la lumière, ce qui simplifie nettement la vie. Le pensionnat étant vide, tu ne craignais pas de mauvaises surprises alors les risques étaient à prendre et même conseillés. A cette heure-ci la légendaire mangeuse de Pizza ne boufferait pas de Pizza. Tu avais beau être américaine, tu n'en étais pas capable. Tu sortis alors un saladier en plastique. Usé par les années. Et versa dedans un paquet de céréales chimiques, rouges, vert, jaunes, rouges, beiges, de toutes les couleurs. Tu vidas les trois quarts de la boite. La bouteille de lait devait certainement se trouver au frais. Et c'était le cas. Tu versas dans ta marmite quelques centilitres de ce liquide, le fermas, posa à tes cotés, pris une cuillère et t'assis sur le plan de travaille, jambes en t'ailleurs, repas entre les cuisses, les cheveux en batailles et le visage endormis, prêt à manger tranquillement.
La cuillère métallique se posa dans ta bouche et le froid réactiva ton cerveau. Ces croquettes pour êtres humains croustillaient légèrement entre les dents. C'était pas mauvais. De toute façon tout était bon ici. Tant que ça se mangeait. Le bruit arriéré de pas te signala une autre présence. Laissant ton repas là, sur ce plan, tu descendis en quittant tes chaussures et à pas feutré rejoint l'interrupteur que tu fermas.
Une silhouette s'approcha. Tu fis le tour afin de ne pas être repérée. Elle entra. Tu la contournas en marchant à quatre pattes ou accroupis. Une fois derrière tu lui mit le revers de la cuillère sous la gorge, comme une vraie arme. L'homme est grand. Il t'oblige à te mettre sur la pointe des pieds et tu es obligée de te coller à lui pour ne pas être déséquilibré.
« Qu'es-ce que tu fais ici?»
Tu appuies avec ton arme un peu plus sur sa jugulaire. Peut-être ne reconnaitra t'il pas l'objet et pensera qu'effectivement c'est un couteau. Il n'est que 4H du matin. Toi tu n'avais pas saisis directement qu'il s'agissait de ta cuillère. Pourquoi pas lui ?
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| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Cereals dealer| Virgile Jeu 2 Mai 2013 - 14:19 | | CEREALS DEALER♔Elle est sérieuse ? Elle m'agresse avec une cuillère ?! ♔ Depuis son arrivée ici, il n'avait pas fait grand chose de très passionnant, il était sortit quelques fois par ci ou par là, mais dans le fond, il ne faisait que penser à ce qu'il avait du perdre pour venir ici, il secoua doucement la tête, il était presque quatre heures du matin enfin dans vingts minutes il serait quatre heures du matin, il avait une envie de glace depuis le midi, mais n'en avait pas prit le temps. A cette heure ci tout le monde dormait ? Donc il ne se ferait pas surprendre en pleine crise de boulimie glacière ? Il affiche un petit sourire satisfait, il retira son pantalon, qu'il jeta en boule sur son fauteuil sans faire trop de bruit, son colocataire avait découché certes, mais ici, les murs sont fins, mieux vaux rester prudent, on en sait jamais sur quoi on peut tomber... Se retrouvant rapidement en caleçon, soquettes et une veste à fermeture éclaire grise, qu'il ne prit pas le temps de fermer, il sortit doucement de la chambre, refermant la porte aussi délicatement de possible pour ne pas réveiller tout l'étage, son ventre se mit à gargouille, il pinça les lèvres, il posa sa main dessus comme pour lui dire de la boucler, mais rien à faire il grondait de plus en plus fort, marchant sur la pointe des pieds, il passa une main dans ses mèches rebelles et bailla. C'est dingue, il faisait déjà presque jour, le peu de pénombre restant était assez fort pour qu'il n'est pas à allumer la lumière dans les couloirs, il semblait tranquille et se pavanait nonchalamment quand une petite voix dans sa tête l'interrompit : « C'est quoi cette démarche de tapette là ?! », il leva les yeux au ciel, sa conscience était une vrai langue de vipère, uniquement bonne à lui rappelait ses défauts, il chassa cette vielle commère de sa tête en l'enfermant dans une armoire imaginaire, là, devant, à peine quelques mètres plus loin se trouver la porte du réfectoire, son ventre gronda encore, il grogna à son tour, énervé d'avoir autant faim à une heure pareille. Il poussa les portes battantes de la cuisine, il y avait des fruits en évidence, il voulait quelque chose de plus calorique,une bonne grosse glace ferait l'affaire comme il en avait eu envie toute la sainte journée. Il avança doucement 'd'un pas assuré, mais sa course fut interrompu. En moins de temps qu'il ne fallut pour dire " ouf " il se retrouva avec un objet métallique collé sur sa gorge, l'empêchant ainsi, presque de respirer, il mit un certain à comprendre ce qui ce passait, il comprit seulement lorsqu'une voix féminine avec une haleine de céréale lui demanda dans la pénombre du lieu : « Qu'es-ce que tu fais ici ? », sa conscience sortit de l'armoire et éclata de rire se moquant à gorge déployée, suite au ridicule de la situation, l'objet métallique qui lui semblait être un couteau au début, n'était qu'en fait, qu'une vulgaire cuillère en fer, il déglutit et se recula, bien que la folle soit sur la pointe des pieds et collée contre lui pour ne pas perdre l'équilibre, il arriva tant bien que mal à se libérer et à trouver une position plus confortable, il dévisagea par la même occasion la fille, en effet elle n'était pas bien grande. Et elle ne semblait pas bien gentille non plus, en même temps quel être un minimum civilisé saute au cou d'un inconnu et qui plus est en pleine nuit ! Il secoua doucement la tête en levant un sourcil interrogateur, et se demanda : « Option un, je me casse en courant et je crève la dalle, option deux, je reste caaaaalme ! Bon bon bon .. ?! », sa conscience était totalement écroulé sur le sol se moquant outrageusement de lui, il grogna pour la faire taire, c'était vraiment une grosse garce celle là ! Il leva les mains au niveau de ses épaules tel un criminel qui plaiderait non coupable et répondit d'un voix suave et un peu rocailleuse : « Euh, ben je viens me chercher à bouffer. », sa conscience arrêta de rire et se mit à scruter la réaction de la jeune femme, après tout, elle lui avait bien sauter au cou avec une cuillère, il fallait s'entendre à tout dans ce genre de circonstances.
" Ecoute grosse co**e de conscience, maintenant tu ferme ta bouche, tu me laisses réfléchir, parce que même avec une cuillère en main, elle reste vraiment bizarre cette nana, donc par pitié ; Ta gueule. " C'est dernier mot à lui même peut-être ?
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| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Cereals dealer| Virgile Sam 4 Mai 2013 - 17:39 | | Cereals dealer CODAGE - EXCEPTION DE LG Tu recules en descendant d'un cran, pied bien à terre. Tu le regardes, il est aussi bien vêtu que toi à ce que tu pouvais voir. Tu abaisses ta cuillère , signe que tu ne lui voulais plus aucun mal. Puis tu lèves un sourcils. Bien évidemment que tu n'étais pas la seule à venir ici à pas d'heure. Tu pensais réellement à être un cas particulier et qu'il n'y avait pas d'autre dalleux dans le coin ? C'était malheureusement faux.
Ton regard ne se détache pas de lui mais tu ne dis mot. A cet instant, et pourtant qui sait quelle gueule tu peux avoir et à quel point ta force peut atteindre un niveau que beaucoup d'hommes ne peut parer. Même si à la fin du combat, les deux participants finissent à l'infirmerie. Tu te décides enfin à ouvrir tes lèvres aux gout sucré des céréales.
«Si c'est que ça.»
Intervention utile du matin, bonjour. Tu tournes tes talons nus et retourne attrapé ton saladier. Après tout, un dragon ça se nourrit. Pauvre petite bêtes. Il avait failli mourir de faim. Tu pinces ta cuillère avec tes lèvres et t'assois en tailleurs là où tu positionnes ton saladier. Tu places tes mains sur le meubles à plats et te fais tourner pour être face à l'inconnu et surveiller ce qu'il faisait, découvrant par la même occasion ce qu'il y avait à manger dans cette cuisine.
La cuillère de nouveau en main tu pioches dans ta gamelle et manges des céréales comme une personne tout à fait normal. Tu sais pas trop quoi te dire mais il te gêne ce type alors va bien falloir que tu saches à qui tu à affaire.
«T'es en quelle classe ? »
On s'en fout un peu des prénoms non ? De toute façon, pour le moment, c'était même pas sur qu'il veuille discuter, alors le mec semi à poil, s'il avait l'intention de parler, c'était à lui de tout débuter. Mais ton regard pesant finirait également par lui peser. En somme, il finirait bien par gueuler non ?
Tu reposes tes affaires et tu ressautes du buffet pour aller vers le lavabo pour te prendre un verre d'eau. Tu te tournes et le regardes.
« T'en veux ? »
Puis tu laisses un filer d'eau froide couler, remplissant ton verre et peut-être le siens en fonction de sa réponse. Peut-être que lui était que de passage. D'ailleurs, ce que tu aurais du faire, s'était mettre du lait dans le sachet plastique de ton paquet de céréale, le secouer et partir avec. Ainsi, plus de risque pour que l'on te prenne la main dans le sac.
Le ou les deux verres en mains, tu reviens, bois le tiens (et déposes l'autre ?) avant de t'asseoir pour reprendre là où tu en était. Tu remontes un peu ton débardeur parce que les fortes poitrines parfois, ça déshabille. T'as une tête de fatiguée même si tes traits te disent que tu es en formes. Tu bailles. Il est quelle heure déjà ? 3 heures ? Nan 4 heures ? Peut-être cinq, tu sais pas vraiment en fait.
«Sont trop bonnes les céréales.»
N'empêche pour avoir autant de pensionnaire, il devait bien y avoir une espèce d'immense pièces où tout leurs stock reposait. A coup sur il protégeait l'endroit à champs de force de tu ne savais quel membres du personnel. Tu fermes les yeux et continues à manger.
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| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Cereals dealer| Virgile Mer 8 Mai 2013 - 10:57 | | CEREALS DEALER♔ Pose ta cuillère en douceur et tout se passera bien ! ♔ Lorsqu'il eu dit que la simple raison de sa venu était une grande faim, elle se remit pieds au sol et tourna les talons en disant que si ce n'était que ça.. Il faillit ouvrir une bouche en bée, elle était folle. Oui, c'est ça, folle, elle lui sautait au cou avec une cuillère et le relâche comme ça, elle a un grain celle là c'est pas possible. Il secoua doucement la tête, sa conscience avait fermé sa bouche du au stress précédent, mais dans quelques temps elle l’ouvrirait une nouvelle fois pour faire des remarques sarcastiques et désobligeantes. Elle se dirigea vers un saladier remplit de céréales et de lait, son haleine ne l'avait pas trompé donc, elle se fait pivoter pour se retrouver face à lui le saladier entre les jambes, il hausse doucement les épaules et se dirige vers un congélateur, soulève la porte et pose une main sur le bords du caisson en cherchant son bonheur glacé, puis sortit un peau de glace " Milka ", il lâcha la porte du congélateur et se dirigeant avec un air nonchalant vers une rangée de tiroir, il dût en ouvrir quelqu'un avant de trouver son bonheur : Une grosse cuillère. La fille quand à elle, l'observe, il sent que sa présence la dérange, ce qui le fait sourire, sa conscience s'étire, elle se prépare à lâcher un commentaire, mais se retient encore, en oyant l'inconnue prendre une cuillère de céréales et mastiquer. Certaines personnes ici n'étaient pas très bavardent, pourtant elle demanda la bouche presque vide : « T'es en quelle classe ? », il n'eu pas le temps de répondre qu'elle sauta sur ses pieds, et se dirigea vers un des éviers de la cuisine pour se servir et verre d'eau et demanda seulement quelques secondes après : « T'en veux ? », une fois encore, pas le temps de réponse, elle remplit les deux verres et le dépose à côté de lui, sa conscience se met à rire narquoisement, elle se moque de lui, oui il n'arrive pas a en placer une avec cette fille, il lève les yeux au ciel, il n'est tout simplement pas le genre de gars qui coupe la parole aux inconnus c'est tout.
Elle retourne avec son saladier, et vente soudain les biens faits des céréales et surtout leur goût, il esquissa un sourire, il adorait les céréales, pire que ça, c'était toute son enfance, elle ferme ensuite les yeux et continue de manger tranquillement, il hausse une fois encore les épaules, depuis son arrivée ici, peu de gens étaient venu lui parler, certain avait peur de lui avec son pouvoir, de peur d'être empoisonner et d'autre étaient un peu trop prétentieux et snobinards, il prit le verre qu'elle lui avait servis dans une main et le pot de glace et la cuillère dans l'autre, se dirigeant près d'elle d'un pas calme et toujours aussi nonchalant, il s'assit à côté d'elle, ouvrit en quelques secondes sont pot de glace et en mangeant une grosse cuillère au moment ou son ventre se mit à gargouiller. Puis il décida de répondre aux question qu'on lui avait posé, c'est avec sa voix un peu rauque mais suave qu'il dit : « Merci pour le verre d'eau, sinon, je suis en C depuis peu.. Et toi ? » , il sourit en prenant une autre cuillère de glace, et il regarda le saladier de la jeune femme, et continua dans sa lancé : « Et ouais, t'as raison, les céréales c'est vraiment bon. », il reprit un grosse cuillère de glace, il en avait rêvait de celle là , sa conscience levait le yeux en ciel en ce moquant de lui, il lui hurlant silencieusement : « Ouais mais pendant ce temps là, je peux en manger moi, bitch. »
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