Deux petite fille devant la porte.

La petite fille 

devant la porte. 

Mon casque sur les oreilles je marchais joyeusement sur le chemins pavé qui conduisait aux cabanes. J'écoutais la musique à fond, ne me préoccupant pas de ce qui m'entourait, j'étais partie loin, je ne voulais plus sentir mon corps, je voulais voler. Je me mis à chanter tout haut avec ma plus belle voix, je m'en fichais des réflexions moqueuses des personnes que je croisais. J'étais descendu de voiture avec un simple sac à dos, mes affaires avait toutes été envoyer dans ma chambre, en même temps j'avais emporter tous mes trésors, des papiers de couleur, un pot de fleure, une vielle guirlande, des morceaux de tissu, des étiquettes de vêtements, il y avait de tout.

Je me stoppa net devant le cabanon 9, on m'avait remis la clé, mais se n'était pas chez moi, on m'aurait dit que je pouvait entrer et m'installer, j'aurais fait ce qu'on me disait, mais là personne n'allait me le dire. Je m'assis donc devant la porte, je balançais ma tête au rythme de la musique. Mes gout musicaux son assez spéciale surtout pour la petite fille sage et toute mignonne que je semble être . Les gouts musicaux de mes grands frères on tout simplement détint sur moi et ses chansons me donne une sensation de vie qu'un simple morceau de piano de m'apporte pas. En plus ça m'avais permis de me découvrir un don pour apprendre les langues de l'Europe de l'est. Je portais mon pentacours noirs fétiche avec des gants en cuire, un T-shirte blanc avec des motifs et un béret gavroche. Mon style vestimentaire était l'exacte reflet de mon état d'esprit, aujourd'hui j'étais exister, une véritable boule d'énergie qui avais besoins de se défouler. Aujourd'hui j'étais  en mode mauvais garçon. Heureusement la musique canalisait se trop plein  d'énergie.

Des élèves passaient devant moi et me demandaient ce que je faisais ici, je ne répondais pas et gardais mes yeux dans le vide. Je me sentais petit à petit happer dans mon monde, je n'étais pas assez concentrer pour y pénétrer physiquement. Je courais sans m'arrêter dans une partie de mon monde que j'avais appeler "foret", il n'y avait pourtant aucun arbre, mais les odeurs qui s'y trouvait me faisait penser à la foret. Contrairement à la plaine il n'y avait pas un grain d'herbe seulement une étendu de mousse avec des petites fleures blanches. Je ne m'arrêtais seulement lorsque je sentais se gout de beurre dans ma gorge qui me brulais. Alors là je m'étalais de tout mon long et je riais, la musique raisonnait dan mon monde ce qui me procurait une sensation auditive incroyable.

A l'extérieure je continuais de balancer ma tête en avant puis en arrière et mon pied se mis à taper le rythme. Je serrais la clé de la cabane, que faire, attendre que quelqu'un arrive ou ouvrir. Etrange, faire un choix était quelque chose de très compliquer pour moi, je pouvais facilement faire le choix entre deux matériaux, parce que je savais le quelle choisir, le plus solide, mais pour un boite de céréale tout devenais compliquer. Je n'avais jamais lu que la boite rouge avait des céréales de meilleurs qualités que la boite bleu. Dans ces situation là je perdais ma patience et je m'énervais. Dans se cas ci c'était le m^me problème on ne m'avait pas dit d'ouvrir la porte et les mot de mon père " on entre pas chez les inconnu Emily" ne m'aidais guère à faire un choix.

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La petite fille 

devant la porte. 

Une odeur, un mouvement devant moi me fit sortir de mon monde, une jeune fille blonde se tenait devant moi, elle était plus petite que moi. Je me leva, dévissa mon casque de mes oreilles et lui fit un grand sourire en lui tendant la clé. Je l'attendais, cette fille devait surement être l'une des colocataires de la cabane. Je n'attendis pas qu'elle la prenne et lui mis dans la mains directement. Elle était celle qui devait ouvrir cette porte, elle devait me dire : "Emily c'est ta chambre tu peux entrer". Alors j'oserais entrer.

- Ouvre et demande moi d'entrer ! 

Mon ton étais sévère, je lui donnais un ordre, sans aucune intention méchante et aucun sous entendu. Je ne voulais pas qu'elle comprenne que je faisais ça pour lui montrer qui était le chef, je n'y pensais même pas.
 
- S'il te plait.

La politesse avant tout, sauf que je la mettais toujours à la fin moi. Je me décalas, passa derrière elle est la poussa, pour mieux lui faire comprendre. J'étais neutre, je ne ressentais qu'une légère excitation, non parce que je venais de rencontrer ma camarade de chambre, mais parce qu'elle allait être ma clé pour entrer. J'agitais comme d'habitude mes bras, je ne savais jamais où les mettre. Ils était encombrant, je finis par les ranger dans mes poches. Qu'elle style je devais avoir.

Je me mis à coter d'elle, je fixais la porte, espérant la voire s'ouvrir. Voilà comment je pouvais être avec les autres, on me prenait pour une mal polit, une excentrique, une égoïste et pour une folle. Je m'en fichais, mais j'aimais pas qu'on me traite d'attarder. 

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La petite fille 

devant la porte. 

-Tu peux entrer.. 


Elle avait ouverte cette porte que je n'avais pas oser ouvrir. J'entra, c'était chez moi maintenant, j'allais passer presque trois ans de ma vie dans cette école. Je regarda la fille qui m'avais fait entrer, elle était encore sur le bas de la porte. Avec un large sourire, et une magnifique révérence, comme dans les film avec la princesse et le prince, je l'invita à mon tour :


- Toi aussi tu peux rentrer c'est notre maison maintenant.


Je n'attendis pas la réponse et ni même une réaction de sa par. Mon lit était celui à droite de la porte, ma grosse mal et quatre gros cartons était posés dessus. On pouvait facilement se demander si je n'avais pas emporter avec moi toute ma chambre, mais non,  c'était des objets dans ma vie qui avait un sens particulier et qui n'appartenait qu'au monde des autres, ces objets faisait la liaison entre moi et le monde. 
Je fis ballader mes deux yeux bleu dans la cabane, il y avait un coin cuisine, une petite salle de bain quatre lits deux grosse armoire et quatre bureaux. Je remarqua immédiatement toutes les irrégularité  défauts de la cabane : une tache d'humidité  une vitre salle, le bas du mur abimer. Ca me gêna tout de suite, mais je fis un effort surhumain pour garder mon calme et me focaliser sur le rangement de mes affaires. 


Je n'avais pas fait attention à la fille, je l'avais complètement délaisser pour vider ma valise et ranger le tout dans la moitié de l'armoire qui m'était destiner. 

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La petite fille 

devant la porte. 

-Comment tu t'appelles en fait ?


C'était un simple murmure, beaucoup plus efficace pour attirer mon intention que de l'avoir dit normalement. Je venais de mettre le dernier vêtement dans l'armoire, je ferma ma valise et la plaça sous le lit. Je me retourna enfin pour répondre :


- Bah en faite, je m'appel Emily Baker et toi ?


Je me félicita intérieurement, je venais de relancer la conversation, même si cela pouvait paraître étrange, j'aurais d'habitude simplement répondu sans lui renvoyer la question. Il n'y avait plus rien sur son lit, moi j'avais encore mes cartons à défaire. Mais avant, j'allais installer une étagère au dessus de mon lit, il me suffisait d'avoir une planche, des vises et une perceuse et le tour était jouer. Il ne fallait pas s'attendre à me voire attendre la réponse de la fille, j'était déjà retourner et j'étais parti  chercher dans mon monde les outils et la planche pour l'étagère, elle n'avait pas eu le temps de faire un battement de cil que je m'étais déjà mis au travail. Elle devait sans doute se poser plein de question comme d'où je sortais tout cela, la manière avec la qu'elle je l'ignorais, ma façon de parler. 
Moi j'étais concentrer, il fallait la placer droite et éviter de percer n'importe où. 


Ma pauvre colocataire allait découvrir que la vie avec moi pouvait être rude et marrante d'un coter. Je me levais tous les jours à 6h02, j'allais prendre ma douche, mettre mon uniforme, préparer le petit déjeuner pour tout un régiment et tout cela dans le plus grand silence, gars à celui qui osait me parler le matin, ça m'énervait au plus haut point et je finissait par ne plus supporter l'endroit. C'était comme ça partout où je me trouvait, à la maison, chez des amies, aux camps de vacances, chez mes grands parents et au pensionnat, normalement. Je me menais ma petite vie, seule sans me soucier des autres, cela pouvait passer pour un manque de politesse et de correction mais je m'en fichais au plus au point.

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La petite fille 

devant la porte. 

Je termina rapidement l'installation de mon étagère et aussi vite j'y plaça toutes mes petites babioles. Je venais de vider le dernier carton et j'était très fière du résultat, j'avais transformer cet endroit froid et triste en une véritable chambre de conte : j'avais placer une guirlande de lumière tout autour de mon lit, j'avais mis au mur un magnifique tableau remplit de couleur qui représentait une silouette dans une étendu d'eau qui rejoignait le ciel remplit de la lumière produite sur les nuages au coucher d'un soleil invisible. Je n'avais pas oublier de rajouter mes petits invention, des papillon mécanique qui virevoltaient au-dessus de mon lit et tous mes objets étaler sur mon étagère remplissait la chambre au paravant vide. Je me coucha sur mon lit et fixa le lit opposer au mien. Qu'il était triste et si peu éclairer, mais où se trouvait la fille, je me leva, la chercha partout, sous le lit, dans le frigo, sous l'évier, derrière le rideau de la douche, sous les coussins et dans les armoire. Au passage la sienne était bien vide, mais j'avais bien remarquer l'instrument. 
Je pris panique, où était elle donc, lui avais-je fait peur ? Je mis du temps à réaliser que je n'était pas aller la chercher dehors. J'ouvris violemment la porte qui était déjà entrouverte et  comme à mon habitude je regarda d'un aire effrayer de droite à gauche si vite que je ne vis pas tout de suite la fille. 

- Pourquoi tu es sorti !? Tu m'as fait peur je croyais que tu t'était noyer dans les toilettes !


C'est ce que disait maman quand je ne revenait pas à table après lui avoir dit que j'allais au toilette, je venais simplement de remettre cette expression dans un contexte un peu similaire. On m'aurait prit pour une folle, mais j'avais vraiment eu très peur pour elle ou parce qu'elle devait être dans la chambre et pas ailleurs, elle était maintenant ma colocataire et la voire disparaitre sans rien me dire me faisais paniquer. Mais là, j'étais soulager la voire juste devant la cabane me rendis le sourire et effaça l'horrible grimace de terreur que je faisais.

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La petite fille 

devant la porte. 

-Pardon, désolée. Je n'aime pas trop le bruit, c'est pour ça que je suis allée dehors.

Je zappe complètement ce qu'elle vient de dire, un autre personnage est entrer en scène. Je ne m'attarde que très peut sur son apparence, c'est une fille qui tend ses deux mains dans notre direction.

-Coucou ! Je suis Carly Sorra. La troisième colocataire présente. Ravie de vous rencontrer.

Carly Sorra, c'est un nom que j'aime bien, en plus elle est mignonne. Je remarque une grosse valise qui a l'aire plutôt lourde. Sally se lève et lui serre une de ses mains. Je regarde la scène avec beaucoup de distance, je ne comprend pas, sa m'énerve. Je m'approche à mon tour de cette nouvelle et au lieu d'aller lui dire bonjour je m'accroupi devant sa valise, je remarque d'abord qu'elle est bomber ce qui signifie qu'elle doit surement être lourde et doit aussi contenir plus que de simple vêtement. Je cligne des yeux, une fois puis deux fois et me relève. Je lui serre enfin la main et me retourne sans rien dire. Je suis m'arrête devant l'entrer de la porte, j'ai oublier l'essentiel, qu'elle débile. Je me retourne et me force à regarder Carly.

- Bonjour, moi c'est Emily Baker, ravie de vous rencontrer Carly Sorra, la troisième colocataire présente.

J'ai juste sortie la phrase qui convient dans se genre de situation en reprenant la fin de la phrase de cette Carly. Ma voix et neutre juste un peu plus aigu pour le "ravie de vous rencontrer". Cette fois si je rentre, et m'assoie sur mon lit, je ferme les yeux. Je revoit sa valise, elle est lourde, je fait le tour, elle ne contient que très peu de vêtements, sans doute le strict minimum. Par contre il doit y avoir des boite ou quelque chose dans se style, peut-être en métal. J'ouvre de nouveau les yeux, je sais pas pourquoi, mais la curiosité ma piquer, j'ai envi de savoir ce que cette valise contient. Voyant que mes camarades ne sont pas rentrer, je me relève et sort la tête de la cabane.

- C'est bon, je fais plus de bruit promis, vous pouvez rentrer !

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