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 I Kick ur ass | Tobias

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MessageSujet: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockSam 17 Aoû 2013 - 13:14



I Kick ur ass

Tu aurais pu être de bon humeur aujourd'hui mais comme tous ces jours qui s'écoulent depuis qu'elle s'en est allée, tu t'irrites bien trop rapidement pour passer une seule journée sans le moindre énervement. Aujourd'hui tu n'avais fais que te balader dans les couloirs, le toit , évidemment, il avait fallu fréquenter les classes de cours. Tu n'étais qu'une D mais cela n'empêchait pas que le renvoi devait exister en ces lieux. Il valait mieux rester prudent. Que deviendrais-tu si l'on devait te renvoyer là bas, Chez toi ? C'était débile mais tu n'avais pas de nouvelle de ta mère d'ailleurs.Tu te surpris toi même à penser à cela.

Perdu dans tes pensées, tu te plaças sur le toit pour un peu plus de tranquilité, mais d'expérience, tu savais que cet endroit était fréquenté par d'autre racailles qui voulaient faire leurs affaires tranquillement, dans leur coin, afin d'éviter les profs chiants et les pions. Tu t'installas dans le tiens, regardas en bas, dans la cours tout en grignotant une petite pizza que tu t'étais achetée.Ce n'était pas l'heure de se nourir mais tu ne respectais pas vraiment ces cycles.En bas, il y avait beaucoup de monde. Tu souris. Finalement, c'était pas difficile de se rendre contre que l'endroit n'avait rien de bien normal. Il y avait toujours un fait débile qui se produisait. Des mauvais tours, puis ces lézards là, on ne pouvait pas les ignorer.

...Espèce de merdeux ! Tu n'y croyais pas ! Tu te levas d'un bond telle une furie et regardas l'individu qui était venu s'asseoir à côté de toi pour parler tout en piochant dans tes parts de pizzas comme si c'était accessible aux inconnus. Nan mais c'était qui ce con ? Les pizzas , c'était sacré pour toi. On touche pas aux pizzas. Surtout quand on te connait pas. Il avait prit la dernière part en plus. Il se relève avec toi puis te tape sur l'épaule comme si vous étiez bon amis et se mets à rigoler tout seul. Tu serres tes dents de plus en plus fort mais comme ta patience est loin d'être utile, tu t'avaces vers lui pour lui en décocher une mais il l'esquive presque sans problème avant de te contourner pour te coller une main au fesse. Il se remet à rire et part en courant. C'était quoi se gros con !

La fumée commencait à émaner te tes narines. C'est vraiment pas glamour pour une fille. Tu finis par ouvrir la bouche en t'orientant vers le ciel pour laisser des flammes se dégager de ton gosier. Foutu pouvoir. Tu devais être le plus pitoyable dragon que la terre est connue. Tu ne perdis pas plus de temps que cela. Tu allais parcourir tout l'établissement jour et nuit pour retrouver ce rigolo et l'enfumer. Il va connaître une mort bien lente et se souviendra jusqu'au enfer de qui tu es. Tu sentis tes muscles te faire mal alors tu partis telle une bête enragée vers l'intérieur du batiment.

« JE VAIS TE RETROUVER ESPECE DE PORC ET JE VAIS REDUIRE EN CHARCUTERIE AVANT DE TE BOUFFER ! »


Tornade rose élancée, tu sautas sur les remparts afin d'accéder en bas plus rapidement. Si tu avais par malheur prit les escaliers, les personnes qui auraient eu le maheur de se trouver sur ton passage auraient fini par se retrouver à terre. Arrivée en bas , tu regardas à droite puis gauche pour chercher une touffe de cheveux noir. Tu le vois courir vers la cours intérieure. Il est cuit cette fois. Tu t'élances avec rapidité de nouveau.

«REVIENS LA !»


Oui, tu peux vraiment être effrayante lorsque tu es très en colère. Tu n'avais finalement plus grand chose d'humain et le fait d'avoir raté ton premier coup te faisait rager deux fois plus. Tu déboulas comme une folle furieuse dans la cours intérieure avant de marquer une pose pour prendre le temps de chercher du regard. A coup sûr, si tu avais métrisé ton pouvoir, tu aurais pu avoir la possibilité de trouver avec une vision perçante en un rien de temps. Manque de chance, la seule personne métamorphe, prof ,qui aurait pu tout expliquer mais de façon intégrale ne pouvait pas de blairer pour la simple et bonne raison que tu étais une misérable D. Tu n'y peux pas grand chose et comme elle est horrible avec toi...Tu réagis de la façon la plus intelligente qu'il soit. Tu en fais de même !

Enfin le voilà ! il doit penser que tu ne le cherches plus vu qu'il ne semble plus fuir. S'il pensait s'en sortir comme ça ! Ca aurait pu puer le piege que tu n'aurais rien vu venir. C'était la le probleme de ton adrénaline, elle te rendait complètement aveugle. Comme l'amour pour certain. La puissance diffusée dans tes jambes te procurait une lancé qui à chaque pas te donnait l'impression de décoller. Tu donnas plus d'élan à tes derniers pas ce qui te propulsa en hauteur. Lorsque ton corps fut de nouveau ratirer vers le centre de la terre, tu élanças ton poing vers son visage en donnant tout ce que tu avais. Il ne s'en tirerait pas si facilement.

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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockSam 17 Aoû 2013 - 17:52
Nan mais franchement pour une fois que j’étais sage, fallait qu’on vienne me casser les couilles ! Comme si le destin s’emmerdait quand je ne mettais pas de l’animation dans cette putain d’école. Bref, alors que je flânais calmement entre les murs de la cour intérieure, un paquet de mikados entre les mains et l’un des gâteaux dans la bouche, j’entendis des bruits de pas précipités. Curieux de savoir la cause de tant de hâte, je me retournais tranquillement. Malheureusement, rien ne m’avait préparé à ce poing qui avançait un peu trop vite à mon goût en direction de mon visage. N’étant pas un ninja surentrainé, je fus dans l’incapacité d’éviter le coup. La volonté farouche de l’individu prenant l’avantage grâce à ma surprise et mon incompréhension. Encore, si le visage qui accompagnait cette décharge de haine m’avait été connu, peut être que mon temps de réaction aurait été meilleur. Cependant la cascade rose qui battait dans le dos de la jeune femme ne me rappelait nulle victime que j’avais harcelée récemment et j’estimais sa couleur de cheveux suffisamment originale pour marquer mon esprit et abandonner l’hypothèse d’un oubli malvenu.

Bref, je me ramassais donc gaiement un poing dans la figure. La douleur bien que présente me fût plus simple à supporter que pour un individu lambda. Mon don, de part ses nombreux incidents, m’avait fait ressentir mille et une sensations peu agréables. C’est donc rapidement que je réagissais en m’arrachant un gant et en effleurant simplement la joue de la jeune femme d’un doigt pour ensuite m’éloigner de quelques pas. Ma capacité ayant fait le travail et transmit les dégâts que la cinglée m’avait occasionné sur son propre visage. Retour à l’envoyeur et je n’en ressentais nul scrupule. Après tout je n’avais rien fait ! Afin je crois…
Peu désireux de voir les coups me pleuvoir dessus, bien que maintenant prévenu j’étais plus apte à lutter, je lui hurlais dessus :

"NON MAIS IL EST OU TON PROBLEME?!? JE PEUX SAVOIR CE QUE JE T AI FAIS ! OU T AS VU QU ON M AGRESSAIT COMME CA ?!"

Oui juste "m’agressait" et pas "agressait les gens", les autres personnes en général, je m’en tape complètement. Je suis d’ailleurs un fervent défenseur des bastons. SAUF quand on s’attaque moi. Je suis un beau gosse et les incarnations de la beauté n’ont pas à avoir leur visage refaçonné de façon disgracieuse! Simple question d’éthique et de respect des miracles de mère nature! Un peu de bon sens bordel!

" VA TE FAIRE SOIGNER SALOPE ! "

Bah quoi ? J’aimerai bien vous y voir vous ! Le pire dans cette histoire c’est qu’elle était plutôt bien foutue et qu’elle semblait avoir mon âge. En temps normal ce genre de constatation m’aurait rendu plus propice à me montrer un tantinet sociable avec elle. Etrangement après un coup dans le pif, je me sentais nettement moins propice à écouter mes hormones. Etrange hein ?
Je la fusillais donc du regard et me tenais machinalement le nez alors que ce dernier avait perdu toute trace d’impact. Néanmoins, il fallait du temps à mon cerveau pour comprendre. Ainsi la douleur persistait par petites vagues qui étaient de purs inventions de mon psychique qui tentait de donner une suite logique au coup précédemment ressentit. Au passage, je ne manquais pas de constater que notre altercation avait fait des curieux et qu’un silence s’était fait autour de nous. Des livres se voyaient privés des regards qui maintenant convergeaient dans notre direction. Des bouchés de sandwich restaient coincés dans des bouches entrouvertes. Des démarches s’étaient soudainement stoppées dû à une destination complètement oubliée et il en allait de même pour des conversations qui restaient inachevées. En somme nous étions devenus le centre d’intention général. Ce qui n’était pour me déplaire, bien que m’être fait bourriner la tronche par une meuf mettait un vilain coup à mon égo que j’affectionnais tant. Nous allions donc devoir déguerpir sous peu. Les surveillants étant une espèce d’adulte à courir plus vite que leur ombre quand il s’agissait de choper des élèves en pleine infraction du règlement. Je ne vous parlais même pas de la légende de Tartiflette. Bien que je n’ai jamais vu la chose de mes propres yeux, j’estimais qu’il n’y avait aucune fumée sans feu et ne ressentais nul besoins de chercher la vérité sur le sujet.

Néanmoins, pour revenir au sujet principal, je me demandais ce que pouvait bien me vouloir cette jeune femme. Tant de haine de ne pouvais pas surgir du néant. Et mon visage avait l’air de lui procurer un mécontentement sans précédent. Avais je emmerdé sa sœur, son frère ou son petit copain? Couché avec une de ses amies? J’étais pourtant dans cet établissement depuis seulement quelques jours et je n’avais rien fait de tel. Une réputation avait t’elle mise à mal mon honneur immaculé ? Étais-je la victime d’un odieux complot ? Ou alors ma mémoire était elle vraiment sujet à mériter des interrogations? Mais j’étais bien trop jeune pour avoir Alzheimer ! Enfin je crois…pour le peu que j’ai écouté de mes précédent cours…on ne peut pas perfectionner son art du tir de boulette de papier et s’intéresser convenablement aux dires d’un professeur. Devenir une légende ou être cultivé, il faut savoir choisir !

Bref, je crois que je m’égare. Et maintenant on court ?
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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockDim 18 Aoû 2013 - 1:50



I Kick ur ass

Une simple caresse sur la joue ? Si on peut appeler ça comme ça puisque finalement cela n'avait presque pas touché ta peau. Peut-être voulait-il te mettre une claque et c'était il lamentablement raté ? Tu ne savais pas mais pendant qu'il faisait des pas en arrière tu étais déjà en train de bondir sur lui lorsque une douleur au visage te prit par surprise. Tu écarquillas les yeux sans comprendre la moindre chose de ce qu'il venait de se passer. Venait il de te frapper de façon invisible ? Peut-être que l'autre t'avais facilement esquiver pour ça ! Tu ne perdis pas ta lancé mais finis par chuter contre lui en perdant ton élan. Le poing qui lui était de nouveau destiné s'était décripé. Ta main s'était étendu là où la douleur se faisait ressentir.

Alors qu'il te criait dessus tu déguerpis de quelques pas vers l'arrière pour le voir entièrement. La douleur se dissipait. De toute façon il t'énervait tellement à faire l'innocent que tu ne semblait plus preter attention à ce qui se passait dans ton corps.

« D'OU TU ME TRAITES DE SALOPE GROS PORC ! TU TE PLAINS DE QUOI LA ! C'EST TOI QUI VIENT M'CHERCHER DES EMBROUILLES ! ESPECES D'HYPOCRITE ALLACON ! JZG...»



Une ribambelle de flammes d'un bon mètre trente jaillir de ta bouche tandis que tu avais essayer de finir ta phrase. Après ce bruit de vent et de chaleur, le silence fut maître. Du moins un cours instant puisque tu te mis à tousser le reste de combustion. De la fumé noire s'échappa à chaque toux. Et quelle horreur. T'avais un gout de cramé dans la bouche et faire des flammes était pour toi aussi agréable que de vomir.

Lui semblait déstabilisé par l'attention des autres, toi tu avais tendance à ne jamais faire attention à ce genre de chose. C'est pourquoi tu profitas de l'occasion pour lui envoyer un coup de pied violent dans l'estomac. Peut-être deviendrait il de nouveau invisible pour que personne ne voit sa chute et qu'il en profiterait pour se faire la malle mais tu le retrouverais quoi qu'il en coutait.

Les gens ne savaient rien faire d'autre qu'être spectateur. Puis tu étais observée depuis bien longtemps. Ce n'était pas la première fois que certains de tes camarades te voyaient faire la bagarre à d'autre. C'était une sorte de sport finalement. A coup sûr cela pouvait être vu ainsi. Mais tu n'y prenais plus garde non pas parce que tu étais habituée mais plus parce que tu étais vraiment folle furieuse et que dans ta tête , ça se passait entre toi et lui et personne d'autre. Les profs n'avaient qu'à se ramener. Te faire coller, avoir des exercices suplémentaires, te faire priver de tu ne savais quoi ne te ferais pas renoncer à tes pulsions.

«ARRETE DE REGARDER AILLEURS ET BAS TOI SALE MAUVIETTE ! »


Froussard, fuyeur, gros con ! Cette fois il ne pourrait pas se faire la male une nouvelle fois ! Non, tu ne le laisserais pas faire si facilement. Tu l'avais retrouvé une fois, et tu le ferais autant de fois qu'il le faudrait. Tu n'aimais pas taper sur des personnes qui ne résistes pas et c'est ce que tu craignais. Qu'il ne résistes pas. Mais il allait résister puisqu'il semblait avoir de la gueule. A espérer qu'il est aussi une paire de couille.

Une connaissance arriva un peu en courant pour vous crier de dégager. Tu te retournas pour regarder de qu'il s'agissait pour pouvoir écrire dans un coin de ta tête qui tu devais assassiner pour t'avoir interrompu. Finalement, tu te souvins avoir tout de même mordu la poussière par un professeur qui donnait des leçons sur les pouvoirs et te dis que son intervention ne devait pas être si mal. Tu serras la machoire. Ainsi donc tu allais devoir à apprendre à mettre en pause ton envie subite de lui refaire le portait pour prendre la fuite de façon aussi lâche ? L'idée ne plaisait pas mais lorsque la voix d'un prof te vint au oreilles, tu regardas le type qui t'horripilait et partie en courant.
Pourquoi le prévenir ? Toi tu fonçais direction une cachette secrète. En tant que bastonneuse professionelle, il était de ton devoir d'avoir un endroit où te planquer pour ne pas te faire chopper. Certaines avaient été trouvés, tu ne pouvais donc plus y aller mais heureusement il t'en restait quelques unes. Ca te prenait au trippe de l'avoir laissé filé si facilement.

Derrière un arbustre se trouvait une trape qui devait être vérouillé il fut un temps mais ne l'était plus. Tu te faufila à l'intérieur et te casa dans un coin. Ce n'était pas très grand mais bien recroquevillé à trois ça passait. Tu appuya sur une petite lampe accroché à ton porte clé pour voir tout de même un minimum.

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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockDim 18 Aoû 2013 - 10:18
Reportant mon attention sur mon agresseur, je constatais que cette dernière m’avait toujours l’air des plus propices à me casser la gueule. Elle ne pouvait pas se contenter de m’expliquer ces motifs de rancune ? Non bien sûr, cela serait tellement plus simple. Et tout le monde sait qu’il est de notoriété publique que les femmes aiment râler et geindre avant de daigner entendre toute forme d’explication de la part de la gente masculine. C’est à se demander comment faisait l’espèce humaine pour perdurer… cela était très certainement dû à la patience exceptionnelle des hommes !

« D'OU TU ME TRAITE DE SALOPE GROS PORC ! »

Ah ! « Porc », je progresse sur la voie de la compréhension! Les trois quarts du temps quand une nana traite un mec de la sorte, cela à un rapport avec le sexe ou un acte obscène. Donc elle m’assimile à un truc pas très romantique qui lui serait arrivée à elle ou un proche.

« TU TE PLAINS DE QUOI LA ! C'EST TOI QUI VIENT M'CHERCHER DES EMBROUILLES ! ESPECES D'HYPOCRITE ALLACON ! »

Hum…et visiblement cela ne remonterait pas à vieux et serait plutôt concentré sur sa personne. Chance pour moi, depuis ce matin je flânais avec mon paquet de mikados. J’avais certes emmerdé deux trois personnes, mais cela avait été trois mecs de ma classe. J’étais assurément INJUSTEMENT accusé ! Il fallait donc que cette garce calme ses putains de crise d’hystérie !

« JZG...»

What the fuck ? Des flammes venaient de lui jaillir de la bouche, manquant de peu de me cramer la tronche au passage.  Je reculais donc sagement de quelques pas encore, histoire de ne pas finir en kebab. Puis l’hystérique de service se mit à tousser et une fumée noire lui sortie des narines et de la bouche à chaque toussotement…charmant. Elle était toute en grâce dites moi…
Cependant, elle avait du percevoir mon manque complet de compassion face à son don bel et bien digne des autres phénomènes de foires présent dans cette école. Je reçu donc violemment son pied dans l’estomac et le coup me plia en deux. Pour me débarrasser de l’impact et du bleu qui ne manquerait pas de venir m’incommoder, je me contentais d’approcher un élève et de lui toucher la joue. Ce dernier grimaça a l’arrivée des symptômes mais une fois encore je n’en avais rien à foutre. Il n’avait rien à faire dans le conflit ? Bah moi non plus ! J’étais injustement incriminé (au cas où vous l'auriez oublié!)et personne ne me défendait ! Ces d’abrutis étaient donc tout aussi blâmables que la sotte qui me prenait pour son sac de box.  Bref, les remords n’étaient donc pas de mise dans mon petit cœur meurtri.

«ARRETE DE REGARDER AILLEURS ET BAS TOI SALE MAUVIETTE ! »

Mais je l’emmerde ! C’est quoi ce nombrilisme?! Je détourne le regard trois secondes et cette salope me fait sa crise existentielle ?  Et puis elle va arrêter de me niquer les tympans deux secondes!! Ca devient chiant à force!
Finalement ce fût un élève de classe B qui vint nous conseiller fortement de foutre le camp, vite et loin de préférence. Ainsi la Miss détala comme un lapin…


COMME SI J ALLAIS LA LAISSER FILER ALORS QUE CETTE CHIENNE VENAIT DE ME POURRIR MA JOURNEE !!!!
Bref, je la poursuivais donc la rage au ventre. Bien décidé à savoir ce que cette hystérique me reprochait exactement.  Encore quand on me cherche les noises quand je suis responsable, je veux bien ! Mais j’étais clairement victime d’un odieux complot que cette nana n’était pas suffisamment futée pour saisir ! C’était donc à moi de laver ma réputation… comme si j’avais que ça à foutre franchement. En plus dans l’altercation j’avais perdu mes mikados. Ce simple rappelle suffit à m’insuffler la rage nécessaire pour daigner continuer de la poursuivre à bonne foulée. (Oui la course ce n’était pas mon truc, je préférais mille fois mieux l’escalade).

Rebref, je venais de voir mon agresseur disparaitre derrière un buisson… Sceptique, je m’approchais donc du tas de feuille et constatais qu’une trappe y était dissimulée. Ainsi à mon tour, je soulevais la plaque métallique avec hargne. Repérant une petite lumière dans l’obscurité de la cavité, je déclarais en restant à quatre pattes au dessus de la trappe, profitant du buisson pour rester dissimulé des regards indiscrets.

« Techniquement les mauviettes ce sont celles qui partent en courant. Après bien sûr, je dis ça, je ne dis rien... Au passage, tu voudrais m’expliquer ce don tu m’accuses? Car je n’ai rien fait ! C’est la première fois que je croise ta sale gueule ! Ca ne t’a pas effleuré l’esprit que tu puisses t’être trompée de mec ?  Ou mademoiselle pète plus au que son cul pour daigner en émettre l’hypothèse ? »

Bon d’accord, j’admettais qu’il devait y avoir de meilleurs mots pour instaurer un début de dialogue…mais merde elle agissait comme une dingue! Je pouvais tout de même bien me permettre de critiquer un tantinet non ?
Et ok, d’accord, sa gueule n’était pas aussi sale que je le déclarais… Elle avait même plutôt un joli minois… MAIS plutôt crever que de l’admettre! Moi faire preuve de mauvaise foi ? Absolument pas. De toute façon une nana qui peut te cramer la gueule te rend nettement moins envieux du contact de ses lèvres. Simple question d’instinct de conservation!
Bref, je lui jetais un regard blasé et patientais en haut de la trappe. Bien décidé à lui montrer toute l’étendu de sa connerie!
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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockDim 18 Aoû 2013 - 13:11



I Kick ur ass

Tu n'avais qu'à attendre une dizaine de minute et tu pourrais ensuite sortir de ce trou à rats pour retourner lui esquinter son joli minoi qui t'exaspérait. En attendant, tu n'aurais qu'à envoyer des LMS...Où était ce lézard d'ailleurs ! A quoi ça servait d'avoir un lézard pour finir dans ce genre de situation ! Tu regrettais tellement les téléphones portables pour ça. Ce genre d'objet, sois tu les oubliais, et dans ce cas là c'était ta faute mais en génarale il était toujours avec toi. Tandis qu'avec un lézard, s'il n'avait pas envie de te suivre, il ne venait pas. Et ton lézard ne venait que quand il en avait envie ou lorsqu'il avait un message à transmettre. Lorsque toi tu avais des messages à transmettre, tu pouvais toujours courire. En l'ocurence, tu étais encore piégée par ce reptile. Ils auraient dû créer un moyens de télépathie entre les deux êtres, ça aurait été tellement plus simple.

Lorsque la trappe se leva tu éteins ta lumière. Merde, tu étais grillée. Ca y est. Maintenant que tes nerfs étaient légèrement détendus tu te doutais que ce que tu avais fait avait été une chose extremement stupide. Pourquoi avoir fait ça devant tout le monde alors qu'il existe pleins de recoins à prismver ?  Ton niveau de jugeotte baissait lorsque les muscles prennaient de la puissance. Eh quoi ! Ce qui marche pour les mecs marche pour les filles. Tout dans le muscle , rien dans la tête. Mais maintenant tu allais le regretter.

En fait , tu te rendis bien vite compte que ce n'était pas ce que tu pensais. Tu rappuyas sur le porte clef qui faisait de la lumière pour voir les traits de la personne mais à la voix tu avais déjà reconnu. Bordel pas lui. Non. Pitié. Tout sauf lui, tu ne pouvais pas le taper maintenant. Enfin...Toi qui avait réussis à te calmer...Ca n'allait pas durer longtemps encore une fois. Première remarque, tu serres les dents tellement fort que ta machoire te fit mal. Après tout, qu'est-ce qui te retennait de le frapper là, tout de suite, maintenant sans perdre une seconde ? Le peu de calme qui restait en toi, certainement. C'est ce peu de calme qui te permit de l'écouter et cet homme lui devait la vie. Sinon tu en aurais fais ton barbecue.

T'être trompée ? Comment aurais tu pus te tromper ! A moins qu'il est un frère jumeaux. Si c'est ce qu'il voulait dire, tu n'y étais pour rien. Non parce que tu ne te trompais jamais de cibles. Et les mots étaient pesés. Tu ne peux pas te tromper de cible car une fois la rage dans le corps, sur il est inscrit sur tes victimes un mot explicite «Dead». D'ailleurs, tu commences à sentir le feu lécher tes veines et ton sang, remonter ton oeusophage mais tu résistes. Si tu crachais des flammes ici tu finirais brûlé aussi.

«Tu peux parler. T'es parti aussi. »


D'ailleurs c'était une chose que tu trouvais très conne car il était partie pour échapper aux loups pour finalement se jeter dans la gueule d'un autre ? Il aurait peut-être dû se douter qu'avec l'énervement dont tu as fais preuve, tu ne l'aurais pas lâché de si tôt.

«Je me trompe jamais de cible. T'as un frère jumeaux ? Parce que dans ce cas là c'est possible. Si c'est pas le cas dégage avant que je te rotisse. »


Tu avais beau tenter garder ton calme on s'entait l'agacement, la perte de patience, la colère dans ta voix. Pourquoi était il venu bordel. C'était la dernière personne que tu aurais pensé croiser ici. Peut-être qu'il était un peu sado sur les bords après tout. De toute façon, tu n'avais pas envie de dscuter avec lui. Tu n'en voyais pas l'interêt.  Mais en même temps, il avait vraiment l'air de ne pas savoir pourquoi tu étais ainsi envers lui...Foutaise ! Il te manipulait ! Tu n'étais pas si naïve !



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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockDim 18 Aoû 2013 - 18:17
Observant le visage de l’hystérique, je constatais que son expression n’avait toujours rien de chaleureux. L’air de rien, je lui aurais donc bien conseillé de péter un coup. Quoi que, vu qu’elle crachait des flemmes  par trois de ses orifices (bouche + deux narines), je n’estimais pas impossible le fait que son postérieur puisse en faire autant. Dans le doute, autant ne pas donner de conseil dangereux.

«Tu peux parler. T'es parti aussi. »

ABSOLUMENT PAS ! Je l’ai POURSUIVI et si comme hasard ma manœuvre m’avait empêché de me faire attraper par le corps enseignant… et bien il s’agissait d’une coïncidence fortuite! C’était certes un bon coup du sort mais je ne l’avais nullement prémédité, tout que j’étais à POURSUIVRE mon agresseur. Je n’étais donc pas un lâche. Si un individu avait fait preuve de faiblesse c’était très clairement la Miss Barbe à Papa (oui la couleur de ses cheveux ne m’inspire rien d’autre) !

«Je me trompe jamais de cible. »

Bah y a un début à tout ma chère. Et apparemment quand elle se plantait, la demoiselle n’y allait pas de main morte. Quitte à faire une bourde autant la faire avec un talent et une ténacité remarquablement désastreuse! J’aurais presque été admiratif si je n’avais pas été victime de son jugement trop hâtif et de ses conclusions vaseuses. Remerciez le fait qu’elle soit à Primsver et non juge dans une cours de justice où la peine de mort soit encore autorisé…Remarquez, elle aurait très certainement trouvé remède à notre problème de surpopulation.

« T'as un frère jumeaux ? »

Là comme ça, j’étais tenté de dire non. MAIS j’avais tellement vu de série où les parents dissimilaient des informations capital à leur enfant comme du genre « tu as été adopté mais on t’aime quand même » ou « tu avais un jumeau mais il est mort à la naissance par ta faute» etc… que je ne pouvais affirmer clairement une réponse. En tout cas, d’après les dernières déclarations parentales, j’étais l’unique fils issu de leur couple. Amen. Donc pas de jumeau. Amen aussi.

« Parce que dans ce cas là c'est possible. Si c'est pas le cas dégage avant que je te rôtisse. »

Me rôtir ? Qu’elle ose s’en prendre une nouvelle fois à mon divin visage et je m’occuperais de son cas !! Néanmoins ce qu’elle disait n’était pas complètement stupide. Je savais que ce n’était pas moi et elle avait l’air persuadé d’avoir vu mon visage et pas un autre. A priori je n’avais de jumeau…. Alors qu’elle possibilité nous restait t’il ? Hormis que l’on est usurpé mon identité ou que l’on m’est possédé le temps de faire n’importe quoi avec mon corps ?
Peu désireux de finir en kebab, je tentais le tout pour le tout.

« Ce n’est pas moi mais tu dis que tu m’as vu. Cependant rien ne te prouve que c’était réellement moi. Les élèves ici ont tous des propriétés folles. Va pas me dire qu’il soit impossible qu’on m’est joué un sale tour? Ton hypothèse du jumeau me paraît pas bête et expliquerait beaucoup de chose. Au pire on peut aller voir une personne qui détecte les mensonges. Tu verras que ta haine c’est trompé de destinataire. Tu me crois assez con pour te suivre et argumenter en sachant que je serais vraiment la cause de ce merdier? »

Constatez que lorsqu'il était question de sauver ma peau, j'étais nettement plus propice à maintenir de longs discourts!
Je sautais en bas de la trappe pour atterrir souplement dans la petite cavité. Montrant par la même occasion que je me considérais en sécurité grâce à la vérité que j’estimais être de mon côté. EVIDEMMENT je ne n'étais pas complètement con non plus et comptais bien déguerpir vite fait à la vue de la moindre particule de fumée noire...ou d'un soupçon éternuement.

« Entre nous, je ne suis pas un ange. Donc cela ne m’étonnerait pas que l’on est mis quelqu’un de ta ...euh...condition? contre moi. »

Je ponctuais ma phrase par un petit sourire fataliste et écartais les bras en signe d’impuissance.
Ce qui était sûr, c’est que s’il s’avérait qu’un petit con s’était amusé à me jouer ce sale tour…il allait passer plus qu’un sale quart d’heure, croyez moi. L’air de rien, j’étais bien emballé à la perspective de joindre l’hystérique à ma petite vengeance. Bien évidemment tout cela ne serait possible qu’une fois que cette dernière aura arrêté de me regarder avec toute l’aversion du monde. PAS AVANT!
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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockMar 20 Aoû 2013 - 15:58



I Kick ur ass

Ce qu'il était bavard. Mais pourquoi se donner tant de mal franchement ! Tu ne croyais que ce que tu avais vu et c'était lui goutte pour goutte. Pourquoi ne tenterait il pas finalement de se rattraper comme ça ? Hm. Un détecteur de mensonge semblait franchement être une bonne idée.


«J'espère pour toi le génie dans ce cas que tu connais une personne avec ce don.»


Tu ne répondis pas à sa question. Après tout, qui ne répond consent ,hein. Bah il avait pas la tête d'un futé. Manipulateur ne voulait pas dire intelligent. Tu le regardas te rejoindre dans la cachette. En voilà une qui n'allait plus en être une bien longtemps. Tu soupiras. Tu allais devoir retrouver quelqu'un pour lui casser la gueule parce que ce bon monsieur avait décidé que ce n'était pas lui ? Cela voulait donc dire que tu allais colaborer avec lui, le fake de victime, pour trouver ce que tu cherchais ? Non mais c'était absolument hors de question. Tu étais le genre de loup solitaire qui n'avait besoin de personne alors pourquoi s'encombrer. Parce que tu devais savoir s'il disait vrai et que c'était lui qui allait devoir au détecteur en fait. Mais finalement, pourquoi s'emmerder, pourquoi ne pas le frapper lui ? Ca reviendrait au même puisqu'il a la même tête.


«Rah putain tu m'saoules ! »


Ca te cassait carrement les pieds ! Tu ne pouvais pas le frapper parce que s'il était innocent tu t'en voudrais, même si tu l'avais déjà fait.Mais là tu ne le savais pas donc ce passage ne comptait pas.Pour le coup tu frappas violement ton poing dans le mur pour te calmer. Ce fut efficace, car tu replias ton poing en sang contre ta pointrine en jetant un vilain regard vers l'inconnu. Ta main te brulait mais au moins tu avais les nerfs calmés jusqu'à ce qu'il déguerpisse si l'envie lui prenait de fuire.

«Si on retrouve pas ce type, si j'apprend que tu as mentis ou si tu me refais un sale coup, je te réduis en poussière et cette fois, je ne m'arrêterais pas avant.»


Ton regard améthiste se concentra sur le sien. Son âme était pas très clair et il ne semblait pas être quelqu'un d'honnête. Tu avais peur de t'être fait roulée dans la farine. Puis d'un autre côté, avoir mis fin et t'avoir mis dans l'attente d'une simple querelle t'énervait deux fois plus. Tu aurais ps tout oublier et finalement laisser tomber face à la complexité de la situation mais par orgueil, tu tenais deux fois plus à retrouver cette personne.

Tu te mis à serrer et desserer les doigts de ta main habimée. Au moins tu n'étais pas blessée niveau osseux, tu avais juste habimée le tissus. Tu t'avanças vers la sorties pour ne pas rester ici plus longtemps. Tu allais mourir sinon, il empiétait trop sur ton espace vitale. Puis tu n'aimais pas l'obscurité car dans ces lieux uil faisait plus souvent froid que chaud. Seule la chalheur t'attirait et dehors il faisait beau, les oiseaux chantaient et les profs se disperssaient.
En observant bien la cours il allait être très difficile de retrouver cette personne. Comment pourrais-tu ? Ca te dépassait un peu tout ça. Tu étais du genre soldat pas inspectrice. Quel merdier , bordel.Tu ne partais que très rarement défaitiste mais là il fallait avouer que si le détecteur était trouvé, il faudrait interroger chaque personne ? Tu bouillonnais intérieurement.

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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockMer 21 Aoû 2013 - 12:56
Je ne sais pas vous, mais je ne la trouvais pas franchement plus disposée à me faire de beaux sourires. Ce qui était dommage vu sa jolie bouche (qui pouvait vous enfumer assez rapidement, à ne pas oublier). Pourquoi fallait-il qu’elle enchaîne des ersatz de grimaces les uns derrières les autres ? Ca ne lui allait pas du tout !  

«J'espère pour toi le génie dans ce cas que tu connais une personne avec ce don.»

Euh…Absolument pas. Mais je supposais qu’il devait bien y avoir, dans cette masse d’élève, deux trois cons foutu de détecter le mensonge. Moi j’avais dit ça comme ça, histoire qu’elle se calme. Quoi que, pour être irascible comme ça, elle avait peut être juste ses règles ? Mais quelque chose me disait que ce n’était pas franchement le moment de lui poser la question. Bien que, plus le temps passait, et plus je me disais que c’était peut être le fond du problème. Les trois quarts du temps quand des rivières de sang dégoulinaient de leur utérus, les femmes avaient une grande tendance à s’en prendre aux hommes et à jalouser leur rôle dans la reproduction. Elles pensaient qu’on avait que les avantages…ce qui était faux ! La preuve : on devait les supporter ! Bref, tout à ce genre de réflexion, la voix délicate de mon hystérique me ramena sur Terre.

«Rah putain tu m'saoules ! »

C’est elle qui vient me péter la gueule et c’est moi qui l’emmerde ? Elle est vraiment gonflée celle là! Faudrait qu’elle prenne deux secondes pour se regarder dans un miroir ! Au passage, je constatais qu’elle n’avait rien trouvé de mieux que de balancer son poing dans l’un des murs. Geste d’une indescriptible connerie, néanmoins je préférais voir son membre ensanglanter à causer de la dureté de l’impact contre le béton, plutôt que mon visage ensanglanté à cause de la dureté de ses os. Je n’émis donc pas le moindre petit commentaire, bien que mon haussement de sourcil blasé parlait pour moi. Franchement... à quoi ça lui servait de se niquer le poing?

«Si on retrouve pas ce type, si j'apprends que tu as mentis ou si tu me refais un sale coup, je te réduis en poussière et cette fois, je ne m'arrêterais pas avant.»

Si elle recommençait, je me ferais un plaisir d’une fois de plus renvoyer le total des plaies sur quelqu’un d’autre et de préférence sur l’hystérique de service! Cette histoire commençait sérieusement à me cassez les couilles et j’aimais autant me justifier que de jouer à la dinette avec une gamine de quatre ans. Constatant qu’elle sortait de la trappe, je m’asseyais sur le sol et déclarais simplement en haussant le ton:

« Y a pas de « on » tant que tu ne t’excuses pas. Je ne suis pas ton clebs, ni ton mec ou je ne sais quoi. Calme ton hystérie et peut être que j’envisagerais de collaborer d’une quelconque façon avec toi.»

Suite à mes propos, je croisais impérieusement les jambes, nullement décidé à sortir de cette sorte de cave qui me convenait à merveille. Si cette gonzesse pensait que j’allais la suivre la queue entre les jambes sous prétexte qu’elle avait une grande gueule et le direct rapide, elle se foutait le doigt dans le l’œil. Je méritais RESPECT et CONSIDERATION mais surtout des EXCUSES! Ok elle avait une belle gueule, ok ses seins n’étaient pas négligeables, certes ses jambes valaient le coup d’œil… Mais ce n’était pas une raison pour se croire tout permis! J'allais lui apprendre la vie et le respect moi (tout du moins le respect qui m'était dû, les autres je m'en foutais complètement, elle pouvait bien leur cracher à la gueule)!
Je ne ferais donc rien sans un minimum d'excuse de sa part ainsi que le vue de ses remords. Sincère ou non je m’en fichais, l’essentiel étant qu’elle m’en fasse! Ce n'était quand même pas la mer à boire non?
Certain diront que ce n'était pas forcement la requête la plus judicieuse à faire sur le moment, néanmoins j'estimais que si son poing avait choisi le mur et non mon visage, c'était bien que le doute avait germé dans son esprit! Au final, je devais bien avoir une petite chance de ne pas me faire carboniser la face... n'est ce pas?
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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockJeu 22 Aoû 2013 - 14:03



I Kick ur ass

Visisblement, il n'avait pas comprit que le problème était de sa faute. Tu n'étais que la victime dans l'histoire. La personne n'avait pas décidé de faire usage du physique d'une façon incconu de ce brun parce qu'il avait été sur son passage , non, ça tu n'y croyais pas. La véritable question était , pourquoi était ce toi qui avait dû en subir la plaisanterie ? Pour une fois que tu étais tranquille, que tu n'avais embêtée personne.

Tu le regardas s'asseoir tranquillement en râlant comme un gamin prétencieux. Il te tappait sur le systeme ce mec. Tu abaissas ton regards sur lui, ce petit être qui se pensait en position de supériorité. Il pensait vraiment que tu allais t'excuser ? Il était à présent certain qu'il ne te connaissait pas le moins du monde. Il pouvait aller chercher ses excuses lui même en glissant sa main au fond de ta gorge que ça aurait le même resultat. En plus dégeulasse. Mais puisqu'il ne semblait pas prédisposé à collaborer alors que c'était de sa faute, tu allais procéder autrement.

«J'espère que tu n'as pas peur du noir dans ce cas.»


Comme la trape se tirait vers l'extérieur, tu te contentas de la fermer ainsi que de te placer devant. Tu allais attendre longtemps. Aussi longtemps qu'il le faudrait. Oui, en fait, c'était toi qui attendait des excuses et il ne sortirait que lorsque tu en déciderais. Puis finalement c'était ça qu'il y avait de bon dans l'absence de téléphone. Lorsque le piège se referme de cette façon, plus moyens d'appeler à l'aide. Il finirait bien par se plier à ce que tu voulais.

«Des excuses ? Je vais m'excuser moi de m'être fait agressée alors que j'étais tranquille dans mon coin ? »


Tu croises les bras sous ta poitrine et t'appuies bien sur la trappe. C'était le monde à l'envers, vraiment. Tes mirettes violines se levèrent vers le soleil se qui les éclairçit deux fois plus. Vraiment nimporte quoi.

«C'est toi qui me doit des excuses. C'est à cause de toi que tout cela arrive , tu sais ? Et c'est culotté de ta part d'en réclamer. »


Chacun sa version des choses après tout. Tu regardas la trappe pour voir s'il n'y avait pas la possibilité de mettre un gros cadena dessus. Parce que finalement , l'idée de rester la toute la journée dans l'attente d'une réponse satisfaisante ne t'enchantait pas. Tu ne craignais pas l'insolation, ni la désydratation, ni la faim mais tu risquais de mourir d'ennuie et tu n'avais pas beaucoup de temps à perdre. Autant retrouver ce con avant que tes nerfs n'oublient leurs envie de meurtre.

« Tu ne sortiras pas avant de t'être excusé. Et comme c'est ta faute, tu dois collaborer. Sinon je te tappe et l'histoire sera réglée.»

Finalement tu n'avais pas confiance en sa parole alors comment savoir si, lorsqu'il se déciderait à collaborer, il disait la vérité ? Bon avec des excuses, ca serait déjà pas mal après tout. Ce que les gens peuvent être chiant, vraiment. Comment cette situation a t'elle pu tournée aussi compliqué en si peu de temps. D'ailleurs il s'apellait comment ? Puis en réfléchissant bien, tu ne l'avais jamais vu dans le pensionnat.

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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockJeu 22 Aoû 2013 - 20:09
Je n’eu pas à patienter longtemps car la réponse tomba comme un cheveu sur la soupe.

«J'espère que tu n'as pas peur du noir dans ce cas.»

Non, qu’elle ne s’inquiète pas sur le sujet. Cette peur typiquement enfantine ne m’avait jamais touché. Bien au contraire, l’obscurité avait toujours été mon amie, vu le nombre de fois où elle m’avait dissimulé lors de mes innombrables magouille en tout genre. Néanmoins, me trouvant en ce moment dans une sorte de petite cave… La suite que pouvait induire sa tirade me plaisait très moyennement. C’est donc sans grande surprise que je la vis refermer la porte métallique au dessus de ma tête, mon plongeant par la même occasion dans sa fameuse obscurité. Blasé, je me contentais de sortir mon téléphone portable et d’utiliser l’application « lampe torche »… bah pour m’éclairer. Certes ce truc me bouffait grave de la batterie mais bon, je la ferais recharger ce soir !
Hein ? Évidemment que j’avais mon tel avec moi. Ce n’était pas parce que j’avais un LMS que ce dernier impliquait la mise à le retraite des bonnes vieilles technologies. D’une mon lézard était aussi compétant que le gaz sarin pour le soin.  De plus, ma famille vivant en France, j’avais besoins de conserver un contact « rapide » et ne pas attendre que le reptile se tape le trajet « Irlande-France » ainsi que le retour. En plus pour ne pas avoir un dialogue instantané! Le directeur n'ayant nullement interdit l'utilisation de ses appareils, je continuais à m'en servir. Quoi que même s'il l'avait fait...Vous avez compris l'idée.
Bref, plus blasé que surpris ou coléreux. J’attendais la suite qui ne tarda pas à montrer le bout de son nez.

«Des excuses ? »

Oui, c’est bien elle n’était pas sourde. L’hystérique se sentait dans l’obligation de reprendre mes propos comme un perroquet?

« Je vais m'excuser moi de m'être fait agressée alors que j'étais tranquille dans mon coin ? »

Et moi donc?! Ce qu’elle disait était valable pour moi! Merci de me fournir une argumentation au passage. Et encore, la jeune femme m’avait agressé comme une dingue, chose que je n’avais pas fais! Pourquoi ne voulais-t-elle rien entendre? Ce n’était pas possible d’être aussi stupidement buté!  Fallait se faire interner à ce stade ! En plus, ou est ce qu’elle avait vu qu’on me séquestrait ! Le code pénal ça lui causait à cette pétasse?  NON MAIS OH !!

«C'est toi qui me doit des excuses. C'est à cause de toi que tout cela arrive, tu sais ? Et c'est culotté de ta part d'en réclamer. »

Bah voyons… Tout est de ma faute, je suis l’incarnation du complot de l’univers contre sa personne. Satan lui-même est mon patron et il m’a demandé de la faire tourner en bourrique pour son bon plaisir. Je ne vis que pour lui niquer les nerfs et la faire passer pour une demeurer, amen… Non mais franchement ! Fallait arrêter le trip du Martyr ! J ETAIS LA VICTIME DANS CETTE PUTAIN D HISTOIRE !!!
Néanmoins vu qu’elle avait l’air décidé de me jouer 30 ans le même refrain, j’arrêtais l’application lampe torche et me lançais dans un tétris qui m’occupait les mains.

« Tu ne sortiras pas avant de t'être excusé. »

Bien sûr, un coup de tel au bureau d’accueil de l’école et j’étais tiré de ce trou. Mais effectivement, son moyen de pression était du tonnerre. Au pire je pouvais même appeler Toison de Jais, mais là je devrais négocier pour avoir un coup de pouce ou alors inventer un gros vilain mensonge pour qu’elle daigne emmener son petit cul ici… Bah j'aviserai bien en temps voulu.

Ah merde…j’avais perdu mon niveau au tétris.

« Et comme c'est ta faute, tu dois collaborer. Sinon »

Ce n’est pas ma faute, donc je collabore que dalle. Je pourrais mais avec des excuses et vu qu’elle m’en donne pas, bah je collabore que dalle. D’ailleurs même si j’étais coupable, bah je collaborerais que dalle. (ouai ça fait beaucoup de « que dalle » mais je m’en tape).
Et puis sinon quoi? Elle va m’enfumer et me rendre asthmatique ? Elle va me violer (pas dit que je ne sois pas consentant en plus)?  

«Je te tappe et l'histoire sera réglée.»

Me taper? Pour me taper faudra ouvrir la trappe. Je veux qu’elle ouvre la trappe. Donc je ne collabore pas! C’était bête et con à comprendre. Je levais donc les yeux au ciel enfin…au plafond. Puis je lançais suffisamment fort pour que l’hystérique puisse m’entendre de l’extérieur.

« J’en ai rien à foutre. Je plaide non coupable votre altesse l’hystérique. Faudra donc vivre avec et rabaisser votre égo pour me faire des excuses. D’ailleurs…en parlant de « réglée » t’aurait pas tes écoulements sanguins mensuel pour me prendre la tête comme ça? T’sais y a de super cachetons qui existent pour te faciliter la période et épargner tes humeurs aux mecs innocents! »

Bien évidemment j’avais conservé mon ton narquois. Il était hors de question de baisser l’échine devant elle. Pour une fois que je disais la vérité, on n’allait pas me reprocher quand même! J’étais clean ! Quoi qu’on lui ai fait, et j’aurai donné pas mal de Prims pour savoir exactement de quoi il était question pour recevoir une telle déferlante de haine, je n’y étais pour rien du tout! Je me demandais dans quelle langue il fallait que je le dise pour qu’elle percute une bonne fois pour toute !
Néanmoins, en attendant que madame prenne une décision quelconque me concernant, je retournais  à ma partie de Tétris, bien décidé à exploser mon précédent record!
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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockVen 23 Aoû 2013 - 23:41



I Kick ur ass


«Je t'enmmerde.»


Et puisqu'il était aussi agréable de discuter avec lui que d'avaler des aiguilles , tu pris la décision de ne plus lui adresser la parole jusqu'à tant que ces dires soient constructifs ou interessants. Tu inspiras puis expiras tranquillement bien que ton souffle semblait encore trembler de rage. Le temps serait finalement bien plus long que tu ne le pensais mais tu savais tenir ta langue comme tu savais parler calmement et gueuler comme une furie.

Tu regardas ton lézard arriver en dandinant comme si chez lui c'était les vacances alors qu'il était sencé travailler sans arrêt. Mais a-t-on déjà vu un animal travailler gratuitement et en toute liberté au service de l'homme ? A l'époque, utilisaient -ils vraiment des corbeaux ou pigeons ? Si c'était une véritable histoire que tu avais entendue, tu te demandais comment les animaux avaient pu être éduqués. C'était certainement une fausse histoire. Tu ne voyais que ça.

Tu attrapas l'animal délicatement et lui gratouilles la tête avant de voir s'il y a quelque chose pour toi mais visiblement il n'y a rien. Tu regardes l'animal , blasée. Il était comme toi, blasé et cherchait de quoi se nourir. Certainement s'était il dit qu'en venant il trouverait une quelconque miette ou part de pizza ou chocolat blanc pour sa tronche de lâche mais il rêvait. Déçu de voir qu'il n'y avait rien, il se colla contre toi un instant pour roupiller.


«T'es vraiment qu'une sale bête.»


Tu écoutais les rires et les conversations à la recherche d'un ragot croustillant. Peut-être entenderais-tu quelque chose sur quelqu'un que tu connaissais. Que cela n'aurait pas dû s'entendre mais comme tu étais au mauvais endroit au mauvais moment, ça aurait pu tomber dans tes oreilles. Quel malheur. Mais rien de bien interessant à l'horizon. Remarquez , tu avais déjà bien assez à faire. Tu passas ta main, déjà lasse d'attendre, sur ta nuque, la massant légèrement. Puis tu te gratta la cheville avant de jouer avec une mèche de cheveux. A rester aussi molle et inactive, tu allais finir par tomber dans la flemmardise, puis la fatigue et tu finirais par faillir à ta tâche.

Tu écoutes encore et encore ce qui se passe et tu es même tentée de t'allonger car le sol te donne l'impression d'avoir à présent les fesses plates tant il est dur. Une conversation t'interesse subitement. «Tu aurais vu sa tête. Mais nan t'as pas fait ça . Bha faut bien rigoler ! Et du coup, ils savent pas que c'est toi ? Non, ça risque pas, elle est persuadée que c'est l'autre. » Ton corps qui faiblissait et s'écroulait petit à petit vers le sol se redresse d'un seul coup. Oh lui... Tu t'avanças à quatre pattes vers le buisson pour entendre mieux. « C'est plus le genre de fille qui réfléchit pas, tu vois ? » Dire que ces propos là n'étaient pas sencer te blesser car il venait d'un lâche. Pourquoi les gens jugeaient ils toujours aussi facilement !

Bien décidée à ne pas en rester là, tu te levas une fois de plus comme une lionne cachée à l'affut de sa proie et tu te mis à courir vers lui sans crier gare cette fois. C'en était finis de lui. Plus besoin d'un détecteur de mensonge, tu savais tout. Aucun nom n'avait été cité mais comme tu vis le jeune garçon détaler en courrant comme un lapin, tu ne perdis pas de temps à retrouver sa trace. Et maintenant, tu savais même à quoi il ressemblait !

« ASSUMES TES CONNERIES ! »


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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockSam 24 Aoû 2013 - 16:25
Ouai…le tétris ça allait bien deux minutes mais le jeu commençait déjà à m’exaspérer. Je changeais donc pour aller faire une partie de Solitaire. Pas que les cartes me passionnent mais c’était toujours mieux que de se tourner les pouces en attendant que l’Hystérique finisse sa crise existentielle. D’ailleurs je pouvais maintenant entendre sa douce voix me déclarer de nouveaux mots d’amour :

«Je t'emmerde.»

Moi aussi ma chérie. C’était touuut réciproque. Néanmoins, n’étant toujours pas décidé à flancher à sa demande d’excuse, je m’enfermais dans un silence buté. Au final, après trois parties de cartes, je sortais mes écouteurs de ma poche et écoutais de la musique. Ce que j’aimais en particulier? Bah des trucs genres Three Days Grace, Block B, Tatoo ou encore The Cranberries. Histoire de vous donner une petite idée du contenue de mes cartes mémoires musicales.
Bref, les minutes s’écoulaient et j’enchainais les albums les uns derrière les autres. Me contentant de taper du pied en rythme, je chantonnais occasionnellement en chœur avec les voix qui résonnaient dans mes oreilles. Avais-je une belle voix? Evidemment! Plutôt dans le genre rauque d’ailleurs. Néanmoins le chant ne m’avait jamais vraiment passionné. Ni la musique pour être honnête, mais pour passer le temps c’était toujours un bouche troue utilisable. Bref, alors que j’allais passer sur une énième chanson, une voix maintenant bien connu parvint à venir me casser les couilles malgré le fond sonore que mon portable me fournissait.

« ASSUMES TES CONNERIES ! »

Non mais pourquoi elle pétait une autre durite en hurlant comme une Banshee ? Fallait vraiment qu’elle essaye les thérapies à coup de calmant ! Ce n’était pas possible d’avoir autant de tension à son âge! Je n’expliquais même pas le résultat quand elle serait vieille! Une vraie peau de vache acariâtre et hystérique qui agresserait tout les pauvres gens à coup de canne! Nan... plutôt du genre à les enfumer en faite. Fallait pas oublier le don de ses orifices pour cracher de la vapeur noir! Bien que plus tard, il y aurait de grande de chance qu'elle s'étouffe à moitié en le faisant!
Bref, cette gonzesse ayant un don évident pour m’astiquer les nerfs en un temps record, je beuglais donc en ignorant que ces douces paroles ne m’étaient pour une fois pas adressé :

« Y A RIEN A ASSUMER DU TOUT !!! VA TE FAIRE SOIGNER AVEC TES DÉLIRES PARANOÏAQUES!»

Tout en grâce et en finesse, je sais. Mais pouvait-on me le reprocher alors que cette folle dingue voulait me retenir captif dans cette trappe? Je ne voyais pas franchement ce que je pouvais faire de mieux…enfin si m’excuser. Mais étrangement cela ne faisait nullement partie de mes options envisageables. Que voulez vous, l’égo masculin était une chose précieuse. Personnellement, je le bichonnais avec grands soins. Il était donc hors de question que je m’excuse, surtout pour une connerie dont j’étais innocent !
Je coupais donc mon lecteur musique et rangeais mes écouteurs dans ma poche. Puis me redressant, je me rapprochais de la trappe. Fixant cette dernière avec un regard venimeux, je me demandais pendant combien de temps l’hystérique comptait maintenir ce dialogue de sourd avec moi.
Vu son caractère de merde, je me disais qu'on risquait d'y être pour un bon moment... Non mais sérieusement cette gonzesse ne pouvait pas être un petit peu moins imbuvable?
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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockVen 30 Aoû 2013 - 14:24



I Kick ur ass


Tu courrais à en perdre haleine mais comme quelques minutes auparavant tu t'étais à moitié assoupis , dur de tout réveillé d'un seul coup. Mais tu continuais à courir jusqu'à ce que ton épaule, comme aimantée à un mur s'arrête et se pose contre celui-ci tandis que tu tentais de trouver ton souffle pour crier une connerie phénoménal. Mais chaque ouverture de bouche n'avait pas assez de puissance pour le faire alors quitte à mourir étouffée, autant le faire en pousuivant ton agresseur.

Vous avez d'abord courru dans le rez de chaussé, évitez les profs en grimpant à l'étage numéro deux. Un suveillant pensant que vous vous dépéchiez pour tu ne savais quoi, vous cria de faire attention dans les escaliers. S'il savait à quel point un accident était vite arriver ! Plus tu y pensais plus tu te propulsais loin. Mais tu tournas au détour d'un couloir et BOOM. Plus personne. Tu cherchas partout et tu ne le voyais plus. Pas question de s'arrêter !

Tu courras dans les 3 autres étages, les fouillants rapidement à la recherche de ce bonhomme mais rien. Rien du tout. Tu ne l'avais vu nulle part. Peut-être était il partie dans une chambre ? Oh vraiment comment allais tu faire pour le retrouver ! Qu'elle misère . Tu te décidas tout de même à courir vers le Gymnase dans le peu de force qu'il te restait. Chemin du retour. 2e étage. Bonhomme retrouvé. Vos regards s'échangèrent un cours instant. L'instant comprendre « Choppe le ! »«FUIS POUR TA VIE ».

Ces jambes se mirent à avancer à d'un pas extrêmement rapide tandis que les tiens faisaient penser à des bonds. Il dévala les escaliers au point de trébucher mais heureusement pour lui, il n'embrasse pas le sol. Tu sautas les marches et attéris sept marches plus loins. Cette fois il ne t'échapperait pas.Il était très rare de te voir dans des moments extrêmement calme. Ca n'arrivait presque jamais finalement et encore une fois tu étais énervée.

A grosses gouttes il suait et toi tu fermais ta bouche. Il n'était plus question de crier. Il n'était pluis question de jouer le pitre. Non cette fois c'était sérieux, cette fois tu ne ferais que courir derrière lui jusqu'à ce que tu t'écroules dans les pommes. Tu ne lacherais pas avant et il y avait beaucoup de temps avant que cela se produise. Finalement vous débitèrent dans la cours . Retour à la case départ.  Tu continues à lui courir derrière.

Une dizaine de minute plus tard, on pouvait vous voir courir encore, inlassablement. Il suffit de se positionner à un endroit où vous passiez pour la enième fois. Vous tourniez en rond et tu as eu le malheur de te rendre compte que finalement il avait une bonne endurance. Ca t'énervait. Tu avais essayer de lui rotir les fesses plus d'une fois mais ces bonds d'esquive font qu'il n'était toujours pas à l'infirmerie. Tu commencas petit à petit à te sentir mal. Car si lui ne fait pas usage de son pouvoir , toi tes muscles continuaient à bruler de l'énergie plus que de la norme. C'est pour ça que tu bouffais de la Pizza au kilo. Tu ne tiendrais pas le coup sinon.

Finalement tu t'agaces de tourner en bourrique et fonce de plus belle. Ton saut te propulse sur lui. Vous roulez dans un nuages de poussière tandis qu'il essaye de se faire la malle mais manque de chance pour lui, tu n'es pas d'humeur à le laisser partir. Tu lui fou un violent coup de genoux dans le ventre. Tu parres ces coups. Pas besoin de savoir se battre pour s'en sortir d'ailleurs. Tu avais pu remarquer que depuis le début il savait fuir esquiver mais pas attaquer. Tu le plaques au sol et te mets à califourchon dessus pour maintenir ces bras.

«Game over. »
lui murmures-tu doucement n'ayant plus la force de pousser tes poumons à parler convenablement.

Tu dois avouer que tu n'as plus beaucoup de force. Depuis que tu ne t'entraines plus avec Mykos, tu perds tes aptitudes physiques. C'était mauvais tout ça, il allait falloir s'y remettre rapidement. Tu respires un grand coup et reprends tes esprits. Tu préfères boxer que courir et ça , ça à toujours été d'un côté. Tu as envie de t'écrouler mais tu ne peux pas alors tu le regardes méchamment.

«C'est toi le con du toit ? »


Tu n'as même plus la force de lever le poing pour le frapper. A quoi cela sert il d'avoir tant courru pour finalement vider ses forces avant le moment propice. Mais ta question n'attendait pas de réponse concrète.

«Je vois pas de quoi tu parles. »


Tu lâches une main rapidement pour venir l'abbattre sur son nez. Sa main libre se met automatiquement sur le lieux habimé en lâchant un cri de douleur. Finalement ça allait très bien ! ♥

«MAIS T'ES COMPLETEMENT TARREE.
Et tu ne sais pas à quel point... ~»


Tu reprends possession de son poignet au cas où il aurait l'idée de vouloir se débattre un cours instant.

«J'ai très envie de te démolir le visage. Mais comme je suis gentille, je te laisse 45 secondes pour me trouver une autre solution.»


En sois, tu ne démolissais pas toutes les personnes aux gestes déplacés. Tu n'étais pas tarée à ce point. Tu étais juste déconcertée de sa lâcheté. Il faut savoir que la chose que tu détestes le plus est les gens lâches ou ceux qui se laissent taper dessus sans rien dire.
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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockJeu 12 Sep 2013 - 19:16
Silence. Un long et détestable silence semblait avoir prit possession des lieux, au grand damne de mes nerfs qui commençaient à perdre patience. En effet, l’Hystérique de service ne se donnait même plus la peine de me répondre. A quoi bon déclarer toute mon indignation si je ne recevais aucune source d’agacement visible?
C’est donc bien décidé à montrer à la Reine du Ring qu’on ne pouvait décemment pas m’oublier dans un petit coin et vaquer à d’autres activités, que je grimpais sur les petits barreaux métalliques et poussais la trappe qui s’ouvrait sans résistance… Passablement dubitatif, je lançais un regard sceptique sur le décor qui m’entourait. Si chieuse hystérique il y avait, bien cachée elle était. Après un dernier regard soupçonneux sur les zones de verdures denses, je daignais me hisser hors de ma mini tanière. Une fois debout, je me tapotais les lèvres d’un index distrait et me demandais l’air de rien COMMENT CETTE SALOPE AVAIT PU ME LAISSER MOISIR ICI SANS PREVENIR !!!!
Tabassant ma vague de colère à coup de mauvaise foi, je décidais de voir la chose sous l’angle suivant: Les évènements l’avaient contrainte à partir plus loin mais BIEN EVIDEMMENT elle comptait revenir.

Quinze minutes plus tard, mon hypothèse commença à se racornir sous mes tapotements de pied agacés. Pour faire bonne mesure, je décidais d’aller chercher moi-même par la peau du cul ma séquestreuse (j’emmerde le dictionnaire). C’est donc en retournant en direction de l’internat que je tombais sur une troupe d’élève passablement subjuguée par un spectacle. Jouant impitoyablement des coudes pour me frayer un passage dans la masse grouillante et frémissante, mon regard ne tarda pas à se poser sur un duo qui gambadait joyeusement dans les couloirs en une parodie grotesque de Tom et Jerry. Bien évidemment Mon Hystérique faisait partie du remake et semblait avoir opté pour le rôle du chat attardé. J’haussais donc un sourcil sceptique en constatant que la souris était un jeune garçon qui mettait un point d’honneur à agrandir la distance qui le séparait de sa poursuivante. Nullement compatissant face à la situation de mon congénère masculin, je me demandais si la Reine du Ring comptait tabasser tout les spécimens dotés de testicules dans cette école.

« Le pauvre Kim, faut vraiment qu’il arrête de jouer des sales tours aux dernières années avec son don de méta’ »

Mon regard pivota immédiatement en direction de la jeune fille (hideuse au passage) qui venait de déclarer la chose précédente. Ainsi donc Jerry était le fameux coupable qui m’avait mis dans une merde pareille. Si un quelconque élan de compassion avait existé dans mon âme face à la situation qui faisait écho à la mienne, il fût anéanti par la jubilation morbide de savoir que, buté comme était La Reine du Ring, notre ami allait se prendre une sacrée dérouillée…et je ne comptais pas manquer ça! C’est donc avec une patience angélique, motivée par la futur baston qui ne manquerait pas d’arriver, que je suivais les allés et venus des deux coureurs dont notre prof de sport n’aurait pas manqué d’applaudir les performances actuelles.
Nous étions donc une bonne petite troupe à suivre la scène avec un intérêt évident. Le public étant scindé en deux catégories. Ceux qui gueulaient « cours plus vite Kim, elle t’attrapera jamais ! » et les braves gens (dont je faisais bien évidemment partie) qui beuglaient « Chope le et casse lui la gueule ! ».
Le seul bémol dans l’ambiance était que les deux tornades ambulantes gambadaient de partout et que le public n’était nullement désireux de faire des efforts physiques pour suivre la scène. Un accord tacite s’était donc fait entre nous: dès que l’impact entre les deux aurait lieu, les élèves présents étaient priés d’avertir les autres. Car après tout : plus on est fou et plus on rie !

« ELLE L’A EUUUUUUUUUUUUU ! »

Après une exclamation enthousiaste de mon groupe et un élan de compassion pour le partie adversaire, nous gambadions tous en direction de l’annonce retentissante. C’est donc avec une joie nullement dissimulée que je retrouvais mon Hystérique à cheval sur l’énergumène.

« ...à quel point... ~»

Merde! J’avais loupé le début ! Après une petite demande de débriefing au mec qui se trouvait à ma droite (qui comprenait le récit délicat du comment le Jerry c’était retrouvé avec le pif de travers) je retournais sagement à la scène qui se déroulait face à moi.
Je voyais donc la prédatrice hystérique saisir le poignet de sa proie et déclarer d’une voix lourde de menace :

«J'ai très envie de te démolir le visage. Mais comme je suis gentille, je te laisse 45 secondes pour me trouver une autre solution.»

A l’entente de ceci, je déclarais suffisamment fort pour être entendu.

« 1, 25, 31 eeeeeet 45 ! Maintenant tu le cognes ou je m’en charge! »

Les mathématiques vous emmerdent. Je savais parfaitement compter mais je n’étais nullement disposé à laisser une échappatoire quelconque au sale con qui avait usurpé mon physique de dieu vivant ! J’avais le copyright dessus (et au pire mes parents qui avaient tout de même contribué à ma fabrication)!!!
Bref, les poings sur les hanches, je fixais la tornade rose d’un regard qui disait clairement que si elle trouvait ce genre de mesures musclées excessives, il n’en était rien pour moi. L’usurpateur allait ramasser, avec ou sans son aide. Néanmoins je ne cachais pas un vif intérêt pour les T.P de groupe ~
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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clockJeu 31 Oct 2013 - 14:46
Ce rp est-il toujours d'actualité ? Si oui, continuez à la suite, sinon, recensement, merci ;)
Archivage dans 1 mois si aucune nouvelles.
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MessageSujet: Re: I Kick ur ass | Tobias   I Kick ur ass | Tobias 1400359500-clock
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I Kick ur ass | Tobias
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