heuh... l'école, etre par ou ? [PV: Lemon Holt]

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Nodoka, il fallait bien qu'elle commence à s’habituer à son nouveau nom, avait quitté son île natale il y a 2 jours seulement. D'abord un bateau a voile pour rejoindre le port de son île, puis un autre bateau mais à moteur cette fois, premier choc pour elle ! bin oui c'était la première fois qu'elle voyait un moteur ! Elle avait fait un sacré bon quand il a démarré, le pilote, un habitant de l'île c'était moqué d'elle,il faisait le coup à chaque fois, il lui expliqua un certain nombre de chose surtout comment ce comporter dans ce nouveau monde, Nodoka n'écouta que peut ce qu'il disait. déjà il parlais trop vite, et il parlais de chose qui pour lui semblait normal mais qui pour Nodoka n'avais aucun sens, voiture ? Train ? Argent ? On aurais dit le noms donnés à des monstres !

-"hey ? petite tu ma écouté ?"
-"..." Elle s'arracha à la contemplation du l'océan. Et planta ses immenses yeux dans ceux de l'homme qui rougit de honte, passant la mains dans ses cheveux :
-"Raahh, tu comprend ce que je dis au moins ?"
Elle secoua là tête :
-"Je parler mal langue."
Comprenant sa bêtise il recommença mais cette fois dans leurs dialecte natal, Nodoka cette fois compris un peut mieux ce qui l'attendait, en fait pas grand chose, tout avais été réglé à l'avance, les billets pour le second bateau ainsi que pour le train. cette fois l'homme resta plus posé, il épargna Nodoka des détails et lui expliqua juste le strict minimum pour ne pas se faire tuer... ne fait confiance à personne qu'il disais, surtout pas aux hommes.. un homme disant ça à faire bien faire rire Nodoka.

Le port, parfaitement moderne... il déplaisait à Nodoka, -"ça pue" se permis t'elle. L'homme lui répondit d'un sourire gêné : -"Et c'est que le début." Avant de descendre ils rangèrent l'épée de Nodoka dans un sac, les armes sont interdites qu'il disais.

Une fois sur terre elle sentie le froid goudron sous ses pieds, tout cela lui déplaisait fortement.

-"haaaa enfin le monde moderne ! je vais enfin pouvoir rencontrer des mec et les violer regarde y des bars là bas vas y !"
~ha non commence pas toi ! tu reste tranquille Ok ? ~
-"NE ME PARLE PAS COMME SA ! TU OUBLIE QUI JE SUIS ! petite pétasse !"
~Non je sais très bien que tu n'est qu'un parasite et qu'à cause de toi je dois partir de mon île natale ! pour aller je ne sais où ! ~
-"Un jour je te boufferais l'cœur. dépêche toi pétasse le bateau part dans pas longtemps il va pas t'attendre celui là ! "
Nodoka couru pour attraper le bateau, un immense bateau plus grand que son village ! Et de loin. Sa tenue, très légère et... unique attirais de nombreux regards indiscret, et ses tatouages les faisaient grimacer. Mais ai moins les employés savait a quoi s'en tenir, malgré des problème pour les vérifications d'usages elle pus embarquer sans encombre.

Une fois sur le navire elle resta tous le temps dans sa chambre, Rukkia tentais régulièrement de la faire sortir mais Nodoka refusais, elle était trop dangereuse. Lors de la décente du navire elle compris définitivement qu'elle avait changé de monde et ce pour toujours.

Après s'être perdu au moins quinze fois dans cette immense ville Rukkia exaspéré, la guida : -"Mais putain de pétasse tu peut pas faire gaffe ? Et arrête de regarder les chats, ou te les fous dans l'cul ! " ou encore "Mais fait gaffe aux bagnoles merde t'est vraiment qu'une putaine de singe !" jusqu'à la gare : -"Bon ton enfoiré de foutus train de merde c'est celui là !... non pas lui l'autre !... Allez pose ton enfoiré de cul dans l'un de ces putain de sièges et basta ! "

Une fois dans le train ~Rukkia tu sais que je comprends pas la moitié des mots que tu utilise ?~ -"Ta gueule, tu le comprend celui là !" ~Trop bien malheureusement...~

Le train fini par démarrer, Nodoka ouvrit son énorme baluchon orange et avala une peut de nourriture préparé par sa mère le matin le jour elle partie. Le voyage passa à une vitesse folle, elle rêva dormit pendant la moitié de celui-ci et l'autre moitié elle découvrit des paysages qu'elle n'aurais même pas imaginé l’existence. Une fois le train arrêté elle descendit, à moitié endormie, elle devais maintenant trouver l'école, elle savais toujours pas ce que c'était qu'une école.

La gare d'arrivé était bondé au départ puis Nodoka restant là au beau milieu du quai fini par se retrouver presque seule sa tenue attirant toujours autant les regards curieux mais aussi, à son grand dam, pervers et malsain elle s’obligea à avancer. Entrant dans la gare elle chercha du regard autour d'elle quelqu'un portant un uniforme, elle avait le même dans son sac mais elle ne l'avait pas mis, il sentait trop la ville.

Un homme s'approcha d'elle, il la regardais d'un façon trop insistante, surtout ses bijoux... [fiche pour image sur sa tenue] :
-"Bonjour... vous ne semblez pas être du coin. je me trompe ? Vous cherchez un lieu en particulier ?"
Nodoka hésita longuement l'homme puait et franchement il ne lui inspirais pas confiance, première fois qu'elle avais un tel méfiance envers quelqu'un :
-" Je... moi chercher école Primsver moi être nouvelle... ici."
-"Hoo l'école oui bien sur tout le monde la connait ici suivez moi je vais vous y conduire."
Il posa sa main sur l'épaule de Nodoka. Son sang ne fit qu'un tour, elle mordit violemment la main de l'homme jusqu'au sang et sauta en arrière. Celui-ci partagé entre haine est étonnement il voulu opter pour la fuite, mais Nodoka dans son élan lui avait sauté dessus lui mordant violemment l'avant bras qu'il avait utilisé pour se protéger ce qui ne l'avait pas empêché de se faire griffer atrocement le visage.

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Perdue petite ?
Perdue petite ?

Ahlalala, quelle journée, je suis épuisée. Je devais aller rendre visite à mes parents biologique ( mon gros porc de frère aussi au passage ), ils ont pas arrêté de me poser 1000 questions. Je suis pas Google moi, alloooooooo. J'ai même dû mettre l'uniforme de l'école. L'uniforme de l'école. L'uniforme. J'avais honte, je sentais mauvais. Je te hais, saleté d'uniforme. Pour rien faciliter, j'ai dû prendre des trajets avec le train, entourer de touriste. Je n'avais pas pu changer d'habit car j'étais un peu à la bourre. Encore là, avec les trajets, j'étais entouré de touristes. Et là encore, ils m'ont posé 1000 questions. Mais je suis pas Google, ni un GPS pour vous indiquer le chemin bordel. Après le trajet du retour, j'étais dans un compartiment vide. Aaaaaah. Enfin seule. Enfin. Ouiiiiii. Ca m'avait un peu saoulé d'être écrasé comme une patate entouré de gens qui puent. Même si je doute que Dieu existe, je le remercie. J'étais tellement épuisée par toute ces mésaventures que j'en ai profité pour piquer une somme.

J'avais rêvé que j'étais dans un mariage, que mes parents souriaient à plein dents, que mon porc de frère souriait de plein dents, que le mariage se passait à Prismver. Qu'il y'avais tous les élèves que je ne connaissais pas, même des E. Des E. Ca va pas la tête. J'étais tellement trauma dans mon rêve, je voulais que tout s'arrête. Heureusement, qu'il y'avait un boucan pas possible de dehors. Je ne sais pas qui c'est mais je vous remercie les fauves. J'étais un peu sous le choque en me réveillant. Berk, quelle rêve dégueulasse. Bon, il y'avait toujours du boucan. J'allais pas aider un des fauves qui est dans la merde. Non. Non. Je suis allée l'aider. Je suis trop gentille. Bon Dieu.

En arrivant dehors, j'ai aperçu une petite fille en train de mordre un homme. C'était fun, trop fun. Je voulais pas aider l'homme, c'était trop drôle l'expression sur son visage. Il y'avait une expression de dégoûts et une sorte d'expression ou il poussait pour faire sortir son repas de midi. Il fallait bien l'aider, le pauvre homme, il va mourir à perdre autant de sangs.

- Eh petite, tu veux bien lui lâcher s'il te plaît ? Je pense que tu lui fais mal.

La petite n'avait rien entendu. Elle était tellement décidée à tuer cette homme en lui mordillant la main. Ou alors elle aime la peau des humais ou alors c'est la fille de Dracula. C'est un train qui mène à Prismver, n'oublions pas, tout est possible, tout. Comme la fille continuait mordre l'homme, j'utilisais un moyen un peu plus radical. Avec la pression du vent, je lui ai plaqué contre le mur. Je lui ai pas fait mal, je lui ai juste empêché de faire plus de dégâts. Après que j'eu fini de plaquer la fille contre le mur, j'adressa à l'homme.

- Vous allez bien monsieur ?

L'homme n'a pas demandé son dû. Il a fuit comme l'éclair avec un rugissement du genre " Aaaaaaahhhh ", fin, vous voyez le genre. Encore une tapette. C'est la dernière fois que j'aide quelqu'un, bande d'ingrats. Après que l'homme eu fuis, je regarde la fille, et je lui demanda :

- Tu t'es calmé petite ?

Quand elle a vu ma face, elle était genre " je vais te bouffer la face pétasse ", quand elle a inspecté mon acoutrement, elle a eu les yeux qui s'illuminait. Gné ? Petite fille, me dis pas que t'aime l'uniforme, elle est horrible. En l'inspectant, elle était peu couverte pour une fille de son âge. Après que je lui ai adressé la question, elle me répondait par un hochement de tête.

- Bien, je peux te lâcher j'imagine.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je lui ai lâché. La fille me regardait toujours avec admiration. Elle regardait plutôt l'uniforme. Elle le veut, c'est sûre. Je veux bien te le donner petite, mais si un jour, on serait obligé à porter cette accoutrement ridicule, je serai dans le caca. Désolée.

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Nodok avais presque l'envie de tuer cet homme, presque, elle avais déjà tuer, ok ce n'était que des animaux, mais après tout, il en avait la même odeur...

Son sang bouillonnait en elle. Elle avait toujours fonctionné de la même manière, tuer ou être tuer, bien évidement elle ne prenais aucun plaisir à tuer, seul les monstres aiment cela.

Alors qu'elle mordait toujours aussi farouchement sa pauvre victime, elle sentie une nouvelle présence. Celle-ci était différente de sa cible. La fille, elle pu la voir pendant l'échauffourée, parla mais les cris de l'homme couplés à ses faibles connaissances de la langue l’empêcha de comprendre ce qu'elle dit. Alors qu'elle se re-concentra sur sa cible elle senti comme une force la soulever, la fille n'avait pas bougé, et personne d'autre n'étais là, la force ne lui faisais pas mal et Nodoka à un concept simple de la vie. Si ça fait mal c'est méchant sinon c'est gentil, elle lacha sa cible, de toute façon la force n'avait pas l'intention de la laisser faire du mal à cette personne.

Envoyée contre le mur le plus proche elle laissa tomber son gros baluchon sur le sol. Elle ut tout le temps de détailler la jeune fille. Une peut plus grande qu'elle, elle avais de magnifique cheveux blonds, Nodoka tiqua un moment là dessus, après tout c'était la première fois qu'elle voyait une blonde.

-"C'est cette petite conne qui contrôle l'air au cas ou tu n'aurais pas compris..."
~...~

- Tu t'es calmé petite ?

Elle regarda une nouvelle fois la fille mais cette fois droit dans les yeux, finalement elle regarda les habits de la fille, personne n'était habillé comme elle mais Nodoka avait déjà vu sa tenue quelque part...
-"Non mais t'est conne ou t'est conne !? c'est l'uniforme de ta foutus école..."
Pour une fois Nodoka ne se formalisa pas. Elle avais trouvé sa lumière dans ce foutus monde moderne qui puait. Elle acquiesça promptement et comme par magie, elle redescendit lentement à terre. Elle sentie à regrets une nouvelle fois l'immonde contact du sol froid, mais elle s'en moqua éperdument. Elle senti une liquide dans la bouche, le sang de l'homme lui donnais un gout désagréable dans la bouche. Une fois le sang nettoyé sans aucune pudeur avec le morceau de tissu qui couvrait sa poitrine, elle s'approcha de la jeune fille et regarda une nouvelle fois son uniforme, elle en fus convaincue c'était bien l'uniforme de sa nouvelle école.
Nodoka tourna rapidement autour de la fille,et se permis même de la sentir, elle sentait presque bon.

De son air de chat et de gamine : -"Moi, " belle se pointa avec son doigt, " m'appeler Mvemba heuh... Non Nodoka."
Elle pointa le jeune fille : -"Toi être très jolie et habits dire que toi être dans école prismver, moi je chercher cette école toi pouvoir m'aider ? "

Nodoka voulait tellement arriver rapidement à l'école qu'elle attrapa son énorme et lourd sac qu'elle le chargea sur son dos, elle attendait les yeux plein d'espoir que sa sauveuse la guide.

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Gênant.

feat Nodoka.

Après que je lui ai posé, elle regardait toujours avec insistance ma tenue. Sans répondre à ma question, elle me disait :

- Moi

C'est déjà un bon début, continues petite, tu vas y arriver !

- m'appeler Mvemba heuh... Non Nodoka.

Ah, elle venait sûrement d'un pays étranger. Même si j'ai un peu du mal, j'ai compris ce qu'elle voulait dire.

- D'accord Nodoka, en quoi puis-je t'aider ? Je vois que tu es perdue.

La pauvre. Elle avait l'air perdue, mais tellement rassurée que je sois là. Quelqu'un est rassurée parce que je suis là. Attendez. Je suis pas prête à être reconnue comme une bouddah. Je sais que je t'ai aidé petite, mais ne me sois pas reconnaissante petite, s'il te plaît. Son nom était Nodoka, ce genre de nom ne courait pas dans la ville. Elle vient d'un autre endroit, c'est sûr. En inspectant plus son corps, on voit des tatouages et des bijoux de valeurs de partout. Comment ses parents ont-ils pu oser que leur fille se fasse tatouer ainsi ? C'est vraiment inapte pour une petite fille de son âge.

-Toi être très jolie et habits dire que toi être dans école prismver, moi je chercher cette école toi pouvoir m'aider ?

J'étais jolie. J'étais jolie. Jolie. Jolie. Jolie. Nodoka, viens dans mes bras, je t'aime. C'est la première fois que l'on me le dit réellement sans que ce soit ma famille ou avec des arrières pensés. Alors, elle aime bien mes habits. Nodoka. Ces habits sont moches. Tu as du caca dans les yeux ? Elle est horrible cette uniforme, enfin, les goûts ne se discutent pas. Nodoka est sera dans l'école en plus, ouah. Mon flair ne me trompe jamais. Je suis la reine pour les devinettes. Vive moi.

- Bien sûr Nodoka, sans aucun problème. Viens d'abord dans le compartiment où je suis, ce sera nettement plus facile pour discuter et mes bagages sont à l'intérieurs.

Je pense que Nodoka n'avait pas trop compris. Elle faisait la tête genre " m'abandonne pas ouiiin ". La pauvre, je voulais pas la tourmenter. Je lui ai fait signe de la main pour lui dire de s'approcher. Ses yeux s'illuminait.

A l'intérieur du compartiment, on s'asseyait l'une en face de l'autre. Ca a duré une bonne minute. On se regardait, on se souriait. C'était super gênant. Il fallait bien briser la glace. Je me suis lancée.

Eh bien Nodoka, que veux-tu savoir ?

HS:

Invité**Invité**

On peut dire que Nodoka avait du flaire, ça oui au sens propre comme en sens figuré du terme d'ailleurs le fille était bien de sa nouvelle école. Faudrait vraiment qu'elle demande un jour ce qu'est qu'une école, on sais jamais au cas ou.

Citation :: - Bien ... Nodoka, sans aucun problème. Viens ... le compartiment où je suis, ce ... plus facile pour discuter et mes ... ... à l’intérieur.

~oula oula j'ai pas trop compris là pourquoi elle veut m'enfermer ! Je venais tout juste de sortir de la dedans moi !~ Nodoka commençait cette fois à vraiment paniquer, et paniquer était une mauvaise idée, après tout Rukkia était à l'affut de la moindre de ses faiblesses.

La jeune fille lui fis un signe de la main, bon sa elle pouvais comprendre facilement, suis-moi ou je te laisse toute seule !, Nodoka suivis la fille, bon elles retournaient dans le train pourquoi pas là bas au moins elles serais tranquilles, et le train sens moins mauvais que l'autre bâtiment.

Nodoka remarqua la jeune fille s'attarder sur sa tenue, mais aussi et surtout, sur ses tatouages, maintenant qu'elle y pensais elle n'avait encore croisé personne avec le moindre tatouages. Ses parents l'avait prévenu que le monde extérieur serais radicalement différent de chez elle, elle commençait seulement à comprendre à quel point. Elle devais lui paraitre bien étrange, mais pour Nodoka, une chose étrange est attirante, tant que sa fait pas mal.
Se parlant à elle même dans sa langue natale : - "A croire que je suis un monstre."
-"Mais tu es une putaine de monstre oublie pas que je suis là, et je suis la pire salope du coin tant que je serais là tu souffrira et je suis pas prête de partir..."
~La FERME !~

Citation :: - Eh bien Nodoka, que veux-tu savoir ?

La fille la tira de sa rêverie interne. Elle mis un moment avant de comprendre sa question.
~mhhh... comment rentrer à la maison ? Non c'est... trop beau pour pouvoir arriver~

-"Mhhh... j'avoir plein question mais juste savoir deux chose en premier... comment tu t'appeler ? Et... aussi..."
Nodoka montra l'un des nombreux tatouages celui sur son bras gauche puis sa fine tenue :
-"J'etre aussi bizarre que cela ? Nya ! Et..."
Elle farfouilla dans son énorme baluchon. Dans le quel on pouvait voir en autre, un épée dans son fourreau, de la nourriture, beaucoup de nourriture et pour finir des habits le tout mélangé dans une joyeux bazar.

Au beau milieu de cet immense fatras de vêtements l'on pouvais discerner l'uniforme de l'école, attaché avec un gros ruban bleu, une immense tenue rouge et pour finir, ses yeux s'illuminèrent à sa vue... Une simple culotte, elle brandit le sous-vêtement t'el un trophée et demanda avec un immense visage de chaton, tu sais à quoi servir cela ?

-"Ho mon dieu...Mvemba dans toute sa splendeur...Dommage que ta nouvelle mère, autrement plus baisable que te vrai mère au passage, m'entende pas je me serrais bien foutus de votre gueule a toutes les deux, avant de vous égorger vivent."

Nodoka fit mine de ne pas entendre les sarcasmes de Rukkia, mais elle ne pu s’empêcher se ressentir une violente douleur à la poitrine, se retenant de grimacer elle espérait ne pas avoir alertée le jeune fille devant elle.

HS:

Spoiler:

Invité**Invité**

Oh d'accord.

feat Nodoka.

Je lui ai sorti de ses rêves. Elle a relevé sa tête et a fait un petit bond en arrière. Je vais pas te manger Nodoka, ne t'inquiète pas.

- Mhhh... j'avoir plein question mais juste savoir deux chose en premier... comment tu t'appeler ? Et... aussi...

Comment je m'appelle ? Oh.

- Je m'appelle Lemon.

Elle a ensuite bégayer, ça doit être difficile de parler une langue qui n'est pas le sien. Puis elle a commencé à relever ses habits. Oh non petite, te dénude pas ici s'il te plaît, je ne suis pas lesbienne et je n'ai pas d'argent pour te payer si tu fais les rues... Instant de panique inutile, elle voulait juste me montrer ses tatouages, elle s'est ensuite tournée vers moi et m'a demandée :

- J'etre aussi bizarre que cela ? Nya ! Et...

Bizarre ? Oui... Une petite fille si peux couvert et avec des tatouages, c'est un peu... C'est pas bizarre, mais plutôt déplacée...

- Je ne dirais pas que tu es bizarre, mais plutôt que ta tenue n'est pas décente pour une fille de ton âge.

Et fouillait ensuite dans son broll, il y'avait pas l'uniforme de l'école et autre faribole. Quand elle a ensuite trouvé ce qu'elle cherchait, elle le sortait, dignement. C'était une culotte rose. Une culotte. Une culotte. Pourquoi tu me montres ça Nodoka ? Avec un visage qui est aussi illuminé que Bouddha, elle me demandait :

- tu sais à quoi servir cela ?

Elle ne sait pas ce que c'est... Elle ne le sait pas. Les sujets ovariens, sous-vêtements etc. était très gênant pour moi... Mais j'étais consternée.

- Rassure-moi Nodoka... Tu portes bien quelque chose en dessous de ta.. tunique ?!

J'imaginais le pire.

Invité**Invité**

-"Mon papa ma dit que plus tard être très important mais je savoir pas à quoi servir." Elle regarda la fameuse culotte avec intérêt mais ne compris toujours pas son utilité.

Citation :: - Je m'appelle Lemon.

-"D'accord tu être Lamon j'aimer c'est facile à retenir." Dit elle avec un immense sourire. Avec son accent elle avais mal prononcé le nom de Lemon, au moins c'est un nom plus facile à ce rappeler que ceux de son île même le véritable nom de Nodoka est vraiment à rallonge.

Citation :: - Je ne dirais pas que tu es bizarre, mais plutôt que ta tenue n'est pas décente pour une fille de ton âge.

- "Mhhhh... Moi pas savoir, je venir d'île très loin d'ici pour venir dans cet école, car avoir dangereuse chose en moi, nous connaitre pas le monde extérieur, chez moi tout le monde avoir des tatouages. Et... chez moi être une endroit très chaud et une magnifique île, les ancêtres être parfois plus habillés mais là bas être peut habillé être normal... être nue ne pas me déranger... mais même si mal parler langue je être pas idiote je savoir qu'ici être différent être mal."

Nodoka montrais pour la première fois sa frustration, bon c'était pas vraiment très visible, déjà par son vocabulaire limité mais surtout par ce qu'elle parlait de façon monotone et sans accentuation, mais c'était tout de même une évolution ! En temps normal pour montrer sa frustration elle aurait mordu quelqu'un.

Citation :: - Rassure-moi Nodoka... Tu portes bien quelque chose en dessous de ta.. tunique ?!

Nodoka avais parfaitement compris la question mais elle ne savais que faire, en temps normal elle se serait lever se son siège ce qu'il en advenait, mais elle n'avais pas envie de l'expliquer avec des mots elle n’aimait pas parler, elle opta pour la moins pire des solution selon son propre jugement. Nodoka posa la culotte à coté d'elle, puis se leva de la banquette d'un petit saut et , brusquement, sans aucune pudeur, souleva le mince morceau de tissu, de base il cachait déjà pas grand chose mais cette fois c'était plus rien du tout.

H.S:

Spoiler:

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WHAT THE HELL ?!

Après que je lui ai demandé si elle portait quelque chose en dessous de sa tunique, elle le souleva, et là... Là. C'était hum... Ne décrivons pas. Après quelques minutes de choc, je devenais aussi rouge qu'une tomate, et j'ai pousser des hurlements à casser des vitres.

- No..Nodo...Nodoka tu... tu... A-..Abais..Abaisse ton tunique...

J'abaissais directement sa tunique moi-même, comme Nodoka me fixait des yeux.

- Commence par mettre ce que tu portes.. Une culotte..

Elle allait remonté sa tunique encore une fois, j'ai tournée la tête plusieurs fois pour lui dire non, finalement elle ne le fit pas. Ouf. Quand elle eut fini de mettre sa culotte, je lui fis un petit discours.

- Nodoka, ici, tu dois absolument porter ça, qui est une culotte, tous les jours, et tu dois la changer régulièrement.

Elle me fixait toujours du regard, je suis maudite.

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HS:

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