Un baiser/une tarte/une rose à dix !

La pluie du matin couvre ma fenêtre et je ne peux plus rien voirEt même si je pouvais tout resterait gris

Certains écrivent leurs histoire en commençant par le jour de leur naissance, mais la mienne de vie, commencera maintenant et elle remontera dans ce foutue temps.

2 WEEKS BEFORE

Depuis que le pensionnat de Phoenix qui abritent lui aussi des gens aux pouvoirs surnaturels m'avait contacté, des dizaines d'autres lycées du même genre m'avaient envoyé leurs foutues lettres. "blabla notre détecteur de pouvoir vous informe que blablabla nous serions ravis de vos blabla" et sur les tas de lettres, il y avait une lettre, une jolie lettre avec des motifs simplets "mouais." Je décidai de l'ouvrir et en l'ouvrant je voyais un nom de pensionnat chelou marqué en italique, encre bleue bitch please. "Prismver" ça me faisait donc penser à prisme (le truc en math là que j'aime pas) et à vert, donc un prisme vert, tout ce que j'aime pas, quoi *meurt*. Je jetai d'un geste souple à la poubelle cette lettre en grommelant, des lettres comme ça j'en avais trop. Puis voyant l'heure j'enfilai ma longue veste noire pour aller à l'entrainement de Basketball qui avait lieu à 18 heures comme chaque jour. Une fois l'entrainement fini et une fois de retour dans ma chambre qui sentait le tabac *faut que j'aère tout ça moi*, il y avait cette lettre, cette fameuse lettre que j'avais mise à la poubelle un peu plutôt, qui était tel un trophée exposé sur mon bureau. Je me déshabillais légèrement avant de regarder béat cette lettre. ça devait être le destin.

▬ C'est le destin.
▬ HEIN QUOI ?
▬ C'est pas à toi que je parle, RHO.
▬ Alors c'est à qui ?
▬ Bonne question, Herm.

C'est le destin. Non sérieusement, je ne savais pas ce qu'était prisme vert mais s'il voulait bien de moi et de mon pouvoir -complètement niais (franchement j'allai pas pouvoir me la jouer super héros avec , on est d'accord, hein ?) et Bah je n'allai pas dire non, of course.

SOME MOUNTS AGO

▬ MOI J'EN AI MARRE, TOUT LE MONDE ME PIQUE MA CONSOLE ET MOI JE DOIS RIEN DIRE.
#POUUUF#
▬ HII MAMAN, CALE C'EST UN PINGOUIN !!!
▬ JE TE. KYUUUU.
▬ Mais pourquoi je dis kyu ? Kyu Kyu
▬ OMG. CALE IL DIT TOUT LE TEMPS KYU KYU !!!
▬ Même pas vrai, kyuuuu
#PLEURE#

L'oscar du pouvoir qui sert le plus a rien est décerné à.... Cale Summers

▬ Cale le pingouin, plutôt non ?
▬ Ferme là, kyyyyyyyyyyyyyyu.

Et depuis ce jour-là, on m'appelle Chick le pingouin. Et depuis ce jour-là il m'arrivait régulièrement de me transformer en pingouin, ça ne pouvais plus durer, imaginez-vous que je me transforme en pingouin devant tout le monde ? Je pense que ça serait un véritable fiasco pour les organisations de pouvoirs, faudrait faire venir des mecs qui effacent les pensées et tout et tout. Genre comme dans les films américains, comme dans X-MEN. Non d'accord je me fais trop d'idées, mais je trouverai ça trop classe si le directeur d'un pensionnat pour les gens "comme moi" serait un handicapé DANS UN FAUTEUIL ROULANT, ou mieux, un VIEUX BARBU GENRE COMME DANS HARRY POTTER, ok ok je me calme.

~~

▬ 9 – 0. première fois de l'histoire depuis 20 ans que les Suns perdent

Déception. Les lumières des projecteurs éblouissent ma vue, je passe ma main devant mes yeux pour que ce néon de lumière arrête de me bousiller les yeux. En ce moment un vide se ressent dans ma poitrine, ma vue devient floue, le décor tourné autour de moi, un mal de crâne énorme m'empêche de penser et je ne peux plus parler, j'essaie de dire à Kyle quelque chose, mais il n'entend pas. un cauchemar c'est ce que je constate.

cette journée, c'était-il y 3 semaines.

▬ On gagnera la prochaine fois.▬ Ouais mec.

▬ Un autre échec pour les Suns.

Frustration :Les vestiaires normalement si animés ressemblaient à une gare vide, à une vieille gare comme j'avais eu l'habitude de voir. Assis sur l'un des bancs je regardai cette salle et les souvenirs douloureux revenaient. Il est parti, je me retenais de pleurer, pourtant je sentais au plus profond de moi que les larmes commençaient à monter et je me mordais jusqu'au sang la lèvre en me suppliant de ne pas laisser ces foutues larmes coulées le long de ma joue, merde je suis un mec pas une lopette. J'essuyais ces maudites larmes et j'essayais de faire comme si de rien n'était pourtant je ne ressentais rien, plus rien du tout. Je savais que ce qui avait causé la perte de mon équipe c'était moi à cause de ma jalousie, sans doute.

~~

▬ dire à un mec je t'aime est-ce que c'est chelou ?
▬ Je pense, hm...
▬ Mais les femmes elles se le disent bien entres-elles, non ?
▬ Ouais mais nous on est des mecs.
▬ Je t'aime.
▬ Idiot de Kyle chou, je t'aime aussi.
▬ toujours ?
▬ Toujours. Goood...Tu sais même aux filles je leur dis pas ça Kyle.
#PLEURE#

"Mon thé s'est refroidi, je me demande pourquoi... je suis sorti de mon lit. La pluie du matin assombrit ma fenêtre et je ne vois plus rien, même si je le pouvais, tout serait gris. mais ta photo sur mon mûr et bien ça me rappelle , que, ce n'est pas si grave, c'est pas si grave, non."Juste un rêve. Il faut que j’arrête de me tourmenter, mais je ne peux pas. Je ne peux même plus bougeait ma main, mais quand je regarde ma main de toute façon c'est à lui que je pense. ma main ressemble à un papier PQ avec tout ces bandages, mais je me dis au fond que j'ai eut de la chance. Depuis hier, j'arrive à parler, je n'ai pas eut un truc très grave, moi. le docteur dit que dans 2 semaines je suis sur le terrain, et Kyle ? je ne sais rien, personne ne veut rien me dire, sous prétexte que ça me ferait un choc, ça me fais rire.

~~
Arrêter cette lumière - j'ai l'impression que ma puta*in de tête va exploser, j'entrouvrais mes yeux, je voyais le noir. Puis je voyais du floue, des médecins penchais sur mon corps, j'étais assez conscient pour pouvoir hurler, je sentais ma gorge brûlais - j'ai mal Kyle, Kyle, Kyle. Se nom venait tournoyais dans ma tête, ce nom était hurler dans ma tête, ce prénom était encrée dans mon corps. Ferme les yeux abandonne Je me réveillais dans un hôpital, j'avais du mal à respirer, toujours cette douleur dans la gorge, cette boule. Mes yeux voyaient flou, puis enfin je voyais. Je retrouver la vue , alléluia. Je voyais ma famille pleurante à mes côtés, j'essayai de prononcer un mot, mais je n'y arrivais pas. Ma mère s'approcha de moi, en retenant un sanglot, et elle me chuchota quelque chose, je n’endentai que quelques mots "accidents" c'est tout ce que je retenu. Je me rendormis aussitôt et quand je ré ouvrais les yeux, il était tard, je me sentais mieux, je grognai sous la douleur de mes muscles qui s'étiraient, j'essayais de bouger, et de voir ce qu'il y avait dans le journal mais je ne pouvais pas. Au matin un médecin venait me voir et il me posa un tas de questions, en me disant que si je ne pouvais pas parler c'était à cause du choque que quelques jours plus tard, j'allai re pouvoir utiliser mes cordes vocales. Mais ce fichue de médecin ne me disait toujours rien sur Kyle.




~~

▬ Je te jure que si tu approches de ma soeur je te bute
Des cris, des coups, une haine pour celui que j’admirai tant.
▬ Je l’ai pas touché ta soeur, puta** !
▬ Elle m'a tout dit. Tout."
▬ ...
▬ Tu l'as faits avec la seule femme que je considérais, merde.

Un coup retentit, c'est un point, qui fissure le mur en bâton, c'est mon poing et du sang coule le long de ma main, fracture des os, qu'elle blague, j'ai tellement envie de lui en mettre une, que je me mords jusqu'au sang et sous l'ébahissement de tout le peuple, je mets sur mes épaules ma veste et je sors, une belle entrée pour une sortie fracassante, j'entends des potes de derrière se mettre à faire des "ouuuuaw ouuuaw ouaaaw" ils essaient de me rattraper, je sais déjà ce qu'ils vont me dire, que je suis le meilleur et qu'assurément Kyle avait les chocottes face à moi, le frère complexé par sa soeur, malheureusement pour eux je les fuis grâce à un raccourci, je passe par les quartiers les plus "dangereux", ma première clope ? C'est ce jour-là, ma soeur a bien sûr su en m'approchant que je puais la cigarette, mais j'en avais rien à secouer. Elle se sentait trop mal pour dire quoi que ce soit. Je ne la voyais plus comme cette innocente chose qui à 4 ans disait que Ken allait avec Ken, non elle était cette fille de 15 ans qui couchait avec le meilleur pote de son frère, croyait-elle vraiment que je n'allai pas le savoir ? Croyait-elle vraiment que j'allai l'accepter, quelle blague.




QUAND J'AVAIS 7 ANS.

Il y a ce garçon, en face de chez moi. Il a le même âge que moi et pourtant il me dépasse déjà de 20 centimètres. Il y a ce garçon, ce voisin, en face de chez moi, qui pendant que moi je regarde la télé s'entraine 3 heures par jour au BasKett Ball, il mange l'herbe, il saigne du genoux, mais il ne flenche pas, il se releve toujours. Je ne connais pas ce garçon - pas encore- mais je sens qu'un jour ça viendras. C'était matin, je jouait dehors avec ma soeur, et puis, un ballon. Un ballon rond et orange, je le reconnais parmis 100 c'est ce ballon à ce petit garçon, ce ballon spéciale signait à son nom, Kyle Morrison hiiiiiiiiiiiii. Je n'ose même pas toucher ce ballon à mes pieds, je le comptemple, en fait même ma soeur croit que j'ai vu le Graal.

_ Hey ce ballon il est à moi.

En face de moi, ce brun, aux yeux noirs, il est tout mon contraire - physiquement parlant- je le regarde genre #BOBLEPONGEENADMIRATION et il me dit avec sa voix pourtant si mure pour son âge, que si je le veux, je peux venir m'entrainer avec lui. Il me dit qu'il veut être le plus grand joueur de Basket du monde. Ma soeur se lèvre et soupire, elle n'accorde pas un seul regard à mon nouvel ami qui pourtant la dévore du regard, j'aurai du savoir que déjà à ce moment là il l'aimée. Définitivement ma vie à ma soeur changea le jour où il fit irruption dans notre petite vie tranquille.





Il a des gens ils arrivent sur terre, dans le calme, la famille pleure, elle est contente, elle passe des appels pour qu'ont leurs souhaite "félicitations" mais pour moi et ma soeur jumelle, Kelly, ça n'a pas été comme ça du tout.

▬ Phoexix Juin 1995, Phoenix Children's Hospital « Sun Sun Sun »

Une furie arrive à 15h54 dans l'hôpital de Phoenix, pousse un vieux et gueule dans un américain soutenu que si on lui trouve pas une chambre fissa elles les envoient devant le tribunal pour je cite la loi " N°77-13 - c. Une fois confortablement installée dans une chambre "trop blanche, pas assez moderne" ma mère accoucha de ma soeur jumelle et moi, mon père ? Lui il était évanoui un peu plus loin (Herm c'est la femme du couple). Mes parents avaient toujours rêvé d'avoir un garçon, mais pas de chance pour eux ils avaient eu deux filles. Et là j'étais le messie, ça a été #FANGIRLING dans la chambre d'hôpital, bien sûr ma soeur a été aussi très bien accueillie, mais dans la famille on est un peu sexiste donc y en avait un peu que pour moi.

▬ c'est les plus beaux bébés qui m'ait été donné de voir en 20 ans de carrières.
▬ Normal. C'est mes enfants
▬ ...

▬ Phoexix Decembre 1999, Villa Familial « Crazy »

C'était ce noel là , à peine âgé de 4 ans que j'ai appris.
1) que ma famille était folle
2) que le père noel existait pas
3) que tonton John habillait en rouge et en blanc ça kui allait pas.
4) que ma soeur déjà à 4 ans disait que Ken allait avec Ken.



▬ Phoexix Decembre 1999, Villa Familial « Crazy »

Les années passait et de plus en plus de filles commençaient à trainer autour de moi, en me disant que je pouvais être facilement mannequin et que j'étais trop BEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAU. Ce genre de filles qui m'harcelaient tout le temps se sont multipliés x 20 quand j'ai commençait à avoir le physique d'un homme *pleure* Et un temps j'en ai eu marre de fuir, j'ai commencée avec n'importe qu'elle femme et après je choisissais, certaines semaines ver l'âge de 16 ans ils m'arrivaient d'avoir une partenaire toutes les soirs, donc beaucoup de problèmes et de "ou t'étais la nuit dernière ?" , mais comme j'étais dans les premiers de ma clase ma mère me laissait tranquille, disons qu'elle n'étais souvent pas à la maison et que mon père le soumis de la famille ne pouvait pas me dire non quand je lui demandai si je pouvais sortir. Je mee revoie rentrer chez moi par la fênetre pour ne pas me faire engueuler par ma mère. Par contre celle qui m'attendait dans mon lit était Kelly, ma soeur jumelle. Elle se réveillait en bayant et en me demandant