Sujet: so you don't love me ? Jeu 21 Juil 2016 - 23:41
ft. emile
Flashback 。☆゚.*・。゚: Elle s'était perdue plus d'une fois avant d'y arriver, à la bibliothèque. C'est pas comme si elle avait l'habitude de s'y rendre hein. Personne ne l'avait jamais vu y mettre les pieds, ce n'était pas fait pour elle, tous ses livres, toutes ses écritures, ce silence, l'immobilité, tout était fait pour lui foutre la migraine et l'envie de se tuer. Nino était bien incapable de ressentir la moindre satisfaction morale provenant d'une histoire fictive, de l'imagination d'un auteur, des récits écrits et j'en passe. Ce qu'elle préfère, elle, c'est vivre des aventures, et non les lire. Seule, la jeune blonde n'aurait jamais eu l'idée ou la motivation de se rendre d'elle-même à un endroit comme celui-ci. Il a donc fallu qu'elle y soit obligée, c'est en effet son professeur principale qui lui imposa la lecture de ce livre afin de favoriser son minuscule, presque inexistant, côté intellectuel. Et forcément, pour se faire il a fallu la menacer d'interdiction d'accès au club de baseball, d'ailleurs elle n'a pas le droit d'aller sur le terrain aujourd'hui, parce qu'elle a séché un cours et s'est faite surprendre à dormir sur le toit.
En entrant, elle frôla de peu une chute ridicule. Non seulement elle dérange tout le monde, fait le plus de bruit possible comme si c'était volontaire, mais en plus de ça, elle parle toute seule -et plutôt fort d'ailleurs, assez fort pour déconcentrer tous ceux qui l'entourait.
Mais pourquoi je trouve pas ce livre, je comprend pas. C'est rangé n'importe comment aussi. C'était parfaitement rangé, classé dans un ordre alphabétique et par genre. Rhooooo, jeuuuh trouve paaas ! Plus elle devient impatiente, plus elle devient insupportable, s'exprime d'autant plus fort, tape des pieds, fais tomber un tas de livre au sol et hésite à les ramasser -avant de le faire bien évidemment.
Afin d'avoir les deux mains libres, elle décide de poser sa batte de baseball, si par poser on entend laisser tomber pour qu'elle puisse faire un maximum de bruit en percutant le sol. Nino et le silence, c'est simplement impossible. On la regardait avec tant de haine, mais personne n'osait lui reprocher quoi que ce soit, sauf lui. Elle termina par le trouver, ce fameux livre.
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Sujet: Re: so you don't love me ? Ven 22 Juil 2016 - 17:01
Not Even in a Dream Dear ~ .:Flashback:.
Aujourd'hui Emile se sentait bien. Assez en forme pour travailler, assez "incarné" dans son corps pour ne pas souffrir de dissociation, aucun problème à l'horizon. Il avait donc profité pour aller à la bibliothèque, vu que le pensionnat lui laissait assez de temps pour se détendre de la sorte. Dehors il faisait bien trop chaud pour sortir, alors il lirait à l'intérieur. La bibliothèque regorgeait de livres de tous les genres, et les étudiants étaient assez bien élevés pour fermer leur bouche et ranger les livres comme il fallait. Ou bien c'est ce qu'Emile pensait. En arrivant à la bibliothèque, il lui était impossible de retrouver le livre intéressant sur les comètes, pour son travail en astronomie, ce qui ne le mettait pas de très bonne humeur. Heureusement, le jeune homme tomba assez vite sur un ouvrage sur les trous noirs qu'il n'avait encore jamais vu. Cela le mit de meilleure humeur, et Miles s'installa à une table pour commencer à le lire, curieux. Cet ouvrage avait été écrit par Hawking, « Trous noirs et Distorsion du Temps », c’était une vulgarisation scientifique, mais comme tous les livres de Hawking, cela était expliqué de façon brillante. Emile passa une première partie de son après-midi à dévorer le livre.
Jusqu’à ce qu’une cruche vienne anéantir toute la concentration qu’Emile avait pris tant de temps à se forger. C’était une fille qui était dans la même année, mais dans une classe inférieure à la sienne, le jeune homme n’avait jamais pu vraiment l’encadrer. Elle faisait beaucoup de sport, mais à côté elle n’était pas capable de faire un simple calcul de mathématique. C’était étrange que la miss vienne dans une bibliothèque, parce que les livres semblaient être son ennemi mortel. Emile mit son marque-page dans le livre qu’il comptait de toute façon emprunter, et adressa un regard incrédule à la fille. Elle se mit à parler assez fort pour que toute la bibliothèque l’entende, ce qui hérissa les poils de Miles, qui fronça les sourcils. La miss ne semblait pas vraiment comprendre le concept du silence. C’est au moment où elle fit tomber sa batte de baseball qu’Emile en eut assez. Apparemment le bibliothécaire ne semblait pas faire attention à ce qu’il se passait, ou au bruit assourdissant qu’elle faisait. Le jeune homme aux yeux rouges se leva lentement, les mains sur la table, avant de prendre le livre dans sa main, s’approchant de la miss.
« C’est une bibliothèque, pas une jungle. Pourquoi tu ne retournerais pas dans la tienne ? »
Sa voix monotone laissait transparaître son ennui pour la jeune femme. Il haussa un sourcil pour faire croire à une réelle question. Son regard perça ses yeux bruns, elle était presque aussi grande que lui, mais cela ne le troublait pas plus que cela. Vu qu’il se doutait que la miss ne comprenait sans doute pas de quoi Emile voulait parler, le jeune homme se fit un peu plus précis. Cette fois Emile chuchota, parce qu’il ne voulait pas que l’on vienne l’engueuler aussi pour avoir fait du bruit. Sortir du lot c’était bien, mais respecter les consignes que lui-même appliquait aux autres, c’était mieux.
« Le but d’un tel lieu, c’est d’être un endroit calme, sans bruit. Tu parles trop fort. »
Peut-être comprendrait-elle cette fois. Emile se pencha pour prendre la batte dans sa main, la fixant quelques secondes avant de la lui tendre. Son regard lui disait clairement "va-t’en", les sourcils froncés, la mine ennuyée. Pourvu qu'elle parte vite, Emile pourrait reprendre sa lecture. Ou du moins qu'elle se taise.
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Sujet: Re: so you don't love me ? Ven 22 Juil 2016 - 22:27
ft. emile
Flashback 。☆゚.*・。゚: Tout juste après avoir trouvé son livre, elle ne voulait pas perdre davantage de temps dans cet endroit si peu plaisant à ses yeux. Mais rapidement, quelqu'un l'empêcha de tourner les talons.
C’est une bibliothèque, pas une jungle. Pourquoi tu ne retournerais pas dans la tienne ?
Nino ne répondit pas, elle fixa le jeune homme à ses côtés un instant, le visage sans expression, puis se tourna pour voir à qui il s'adressait. Oui, elle n'a pas comprit qu'il lui parlait à elle, elle n'a pas comprit non plus qu'elle parlait fort ni à haute voix.
Elle hésita à lui dire qu'il n'y a personne et l'insulter de fou puis décida de se taire afin de ne pas le vexer. Son père lui avait toujours conseillé de ne pas parler aux fous, ni aux inconnus d'ailleurs. Puis il s'approcha, et parla moins fort histoire de mieux se faire comprendre. Nino comprit presque qu'il s'adressait à elle quand soudain elle le vît prendre sa batte, il avait d'autant plus l'air énervé qu'elle à présent. Elle lui arracha sa batte des mains, effrayée à l'idée qui la lui pique.
Eh ! C'est MA batte ! Si t'en veux une tu vas en acheter toi-même ! Et en plus, on est dans une bibliothèque alors hein, respecte les autres et arrête de parler tout seul et hyper fort.
À peine le temps d'encaisser qu'elle s'en alla, assez rapidement pour ne pas recevoir de réponse, pressée de se rendre à l'extérieur pour tirer quelques balles.
Fin du Flashback 。☆゚.*・。゚: Elle choisit un endroit calme, sans trop de monde voire complètement désert. Elle aimait s'entraîner seule Nino, elle aimait se donner les moyens de toujours donner le meilleure d'elle-même, même lorsqu'il n'y a personne pour la regarder.
Elle déposa son livre, sortit une balle de sa poche et replaça sa casquette correctement. Le temps était parfait, le vent pas trop fort, tout était nickel pour un bon après-midi à jouer au baseball. Quant au fou de la bibliothèque ? C'était déjà oublié depuis un bon moment.
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Sujet: Re: so you don't love me ? Dim 24 Juil 2016 - 15:00
Not Even in a Dream Dear ~ Apparemment la miss manquait de quelques neurones pour comprendre qu’Emile voulait simplement lui restituer la batte qu’elle avait fait tombé plus tôt. Elle semblait effrayée et commençait à crier de plus belle. Miles failli mettre ses mains sur ses oreilles pour empêcher son tympan de fondre sous ses cris. La miss s’en alla très vite après, laissant Emile seul près de l’étagère, le regard de certains braqués sur lui. Il se tourna vers ces regards-là, appréciant au final l’attention qu’on lui portait, il dessina un fin sourire sur son visage et se mit à parler pas trop fort, mais suffisamment pour que ceux qui le regardaient l’entendent.
« C’est mieux comme ça, non ? »
Son corps bougea finalement avec grâce, content d'avoir eu sa victoire avec le départ de la fille, s’en allant tranquillement vers une table un peu plus au fond de la bibliothèque pour continuer sa lecture.
.:End Flashback:.
Ce jour-là le parc offrait un peu de vent, et le soleil ne chauffait pas trop la terre, ce qui permettait à Emile de sortir du pensionnat pour se promener un peu. Beaucoup de personnes lui disaient qu’il ne sortait pas assez, comparant la pâleur de sa peau à un cachet d’aspirine. Ce n’était pas vraiment une comparaison qui lui plaisait, mais au moins, Miles sortait de l’ordinaire, comme toujours. Quelqu’un lui avait même fait remarquer que ses cheveux noirs, ses yeux rouges et sa pâleur lui faisait ressembler à un vampire. Personne ne le surnommait Dracula encore cependant. Alors il était là, dans le parc, le dos contre un arbre assis à l’ombre des feuilles. Parce que même si le soleil n’était pas trop chaud ce jour-là, Miles ne voulait pas risquer de brûler tout entier. Son uniforme s’était un peu sali à cause de l’herbe mais ce n’était pas si grave. Le livre qu’il tenait entre ses doigts était le même qu’il avait pris à la bibliothèque quelques jours plus tôt, il avait bien avancé dans sa lecture, mais à ses yeux Emile ne lisait pas assez vite. Au bout de quelques minutes Miles avait décidé d’arrêter sa lecture pour se concentrer sur son journal. C’était la première fois de la journée qu’il comptait écrire dessus.
Il leva donc légèrement ses genoux pour s’en servir de support, et sortit son stylo plume en ouvrant le journal à la date du jour. Je me suis habillé et j’ai mis mes chaussures, je suis sorti de ma cabane avec mon livre et mon journal, en saluant les autres. Je suis allé à l’extérieur, j’ai senti la chaleur du soleil sur mon visage, ce qui m’a déplût parce que c’était tout de même un peu brûlant. J’ai marché en regardant d’autres élèves se balader, jusqu’à l’arbre où je suis à présent. Cela était suffisant. Emile se souvenait de chaque étape avant de venir ici, ce qui prouvait qu’il n’était pas dans un rêve. Sa main droite, étant gaucher, se posa sur l’herbe pour sentir la texture contre sa main, il posa sa main sur la terre et la laissa là quelques secondes. Emile entendit quelqu’un se promener près de lui, mais il décida de ne pas y faire attention et de fermer les yeux pour profiter du vent frais, et du fait qu’il était bien là dans la réalité. C’était devenu si rare que cela soit une évidence, que le jeune homme voulait en profiter au maximum.
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Sujet: Re: so you don't love me ? Ven 29 Juil 2016 - 17:22
ft. emile
Après avoir marché quelques minutes, elle ralentit la cadence jusqu'à complètement s'arrêter, assez éloigné de quiconque serait dehors afin de tirer aussi fort que possible sans toucher personne, du moins c'est ce dont elle était certaine. C'est bien connu, Nino n'est pas quelqu'un en qui on peut avoir une confiance aveugle, surtout lorsque ça concerne la santé d'autrui. Elle était là, casquette sur le crâne, les cheveux ravivées par le vent. Frêle mais puissante, quant à la batte, elle la tenait toujours d'une main seulement, histoire de pouvoir sortir l'unique balle qu'elle possédait.
Ce n'était pas l'idéal, les circonstances de cet entrainement la laissait amère. Elle aurait préféré plusieurs balle, et surtout, un lanceur. Car être le lanceur et le batteur est possible, mais difficile et ne lui permet pas de s'améliorer, au contraire. Bien trop complexe de se concentrer sur les deux rôles, et surtout, elle n'aura jamais le temps de viser où elle le désir.
Malheureusement, il était hors de question de retrousser chemin. Elle comptait bien la lancer, cette balle, et c'est ce qu'elle fit d'ailleurs. Un important battement se fit entendre à travers tout l'extérieur, la batte avait frappé la balle et se dirigeait maintenant, aléatoirement et aussi rapidement qu'une flèche, en direction d'une personne. De lui, et en particulier, en direction de son carnet.
La balle, assez solide, l'a violemment heurté, de manière à froisser quelques feuilles et à salir sa couverture. Quelques secondes plus tard, la blonde pointa le bout de son nez, histoire de récupérer sa balle : c'est ça le plus ennuyant lorsqu'on ne joue qu'avec une seule. Nino vit la balle proche du cahier ouvert et retourné. Et surtout, le fou de tout à l'heure.
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Sujet: Re: so you don't love me ? Sam 30 Juil 2016 - 21:53
Not Even in a Dream Dear ~ La sensation n’était pas nouvelle, il y avait quelque chose qui pointait dans ses tripes qui lui disaient que le repos qu’Emile avait acquis ne résisterait pas longtemps au temps. Malgré cette sensation, cette intuition, Miles ne rouvrit pas ses yeux alors qu’un objet volant non identifié venait heurter son journal dont il prenait bien soin, froissant les feuilles à l’intérieur et tâchant la couverture plus épaisse que les feuilles. La chose volante atterrit finalement dans l’herbe, sur la main d’Emile, avec peu de force, puisque le journal avait déjà tout pris. Les yeux du jeune homme s’ouvrirent pour constater les dégâts, il maudit entre ses lèvres son ignorance et examina de très près les dégâts que la balle avait faits au journal. Une feuille froissée, le cahier était aussi tout sale. Il l’essuya avec ardeur, en colère d’avoir été dérangé, et d’avoir touché de cette façon un de ses biens les plus chers, puisqu’il le raccrochait à la réalité. Ses sourcils se froncèrent et il regarda la balle dans l’herbe, bien lotie, paisible, comme si elle n’avait pas orchestré tous les dégâts. Emile la pris dans la main, remarquant qu’il s’agissait d’une balle de baseball, dure et plus lourde qu’une balle de tennis.
Avec une balle de baseball, on pouvait faire de sacrés dégâts. C’était un sport dangereux, Emile pensait-il, alors qu’il se redressa, posant son journal délicatement dans l’herbe, au-dessus quand même du livre de la bibliothèque. Dans sa main droite, la balle, qu’il lançait en l’air pour la rattraper, examinant les alentours pour trouver l’idiot qui avait jugé Emile comme cible. Miles ne tarda pas à trouver le coupable de l’affaire, c’était la fille, la miss, qui n’avait rien dans le crâne. Elle s’était approchée de lui, sans doute pour récupérer sa balle. Apparemment, comme les mecs que l’on pouvait croiser partout qui préféraient jouer au football, ou faire grossir leur muscle plutôt que d’aiguiser leur esprit, cette fille, la batte à la main, l’air niais, avait préféré diriger sa vie vers le lancer de balle à la batte, plutôt que d’apprendre à choisir une bonne trajectoire. Sans doute pensait-il de cette façon parce qu’il était en colère, mais Emile la regarda, l’air hautain. Il était supérieur à cette miss qui pensait pouvoir s’en sortir parce qu’elle avait des seins et des fesses rebondies. Miles n’était pas impartial, et il le savait. Une fois en face d’elle, il poussa un léger soupir, essayant de faire partir la colère, parce que contrairement à cette fille, il savait penser un minimum avant de parler.
« Hey. »
Emile imaginait qu’elle ne savait sans doute même pas ce qu’elle avait fait de mal. Il désigna son journal d’un doigt, la regardant avec un air sombre. Sa phrase était aboyée, et il se sentit minable de s’abaisser à son niveau de bêtise, il avait un cerveau.
« Tu penses que c’est une bonne idée de jouer à la baballe ici ? Quand on sait pas évaluer une trajectoire on reste chez soi à jouer au baseball sur une console. Au moins tu risques pas de détruire les affaires des autres avec. »
Il se pinça l'arête du nez, avec un nouveau soupir, puis la fixa à nouveau dans les yeux. Emile regarda sa balle dans sa main droite. Il ne comptait pas la lui donner si facilement, maintenant qu’il avait le pouvoir sur elle.
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Sujet: Re: so you don't love me ? Mar 9 Aoû 2016 - 18:15
ft. emile
Elle lui faisait maintenant face, droite comme un pic, le regard plongé dans le sien. La simple vu de sa balle en sa possèssion la met en rogne. Elle avait jeté un regard , en arrivant, du côté du cahier amoché par sa balle, et elle ne pouvait s'empêcher de rire. Avant de se reprendre immédiatement, montrant hautement son visage où pronait un air serieux. Elle savait cependant qu'elle devait s'excuser, car oui, c'était bel et bien sa faute, et elle en était consciente. C'était assez difficile à faire, non seulement parce qu'elle ne l'appréciait pas, mais surtout parce qu'il a déjà tenté de lui voler, d'après elle, sa batte de baseball plus tôt dans la journée. Et que, tout de suite, il n'a pas l'air de vouloir lui céder sa balle. Cet air arrogant sur son visage, il la prend de haut, comme de nombreux A, elle déteste ça.
Tu penses que c’est une bonne idée de jouer à la baballe ici ? Quand on sait pas évaluer une trajectoire on reste chez soi à jouer au baseball sur une console. Au moins tu risques pas de détruire les affaires des autres avec.
Impossible de s'excuser après ça, ou même de rester de bonne humeur, la jeune D pencherait davantage vers une légère haine qui lui semble justifiée désormais. Il se pîncait l'arrête du nez, elle serra les dents, sa batte. Encore cet air supérieur, quel chien. En réalité, le plus vexant, c'était qu'il lui avait critiqué son niveau au sport qu'elle aimait le plus au monde. Elle aurait pû passer au dessus de tout, mais pas de ça. Pourtant, elle fit tout son possible de ne pas craquer, au moins pas cette fois.
C'est impossible de tirer une balle non lancée avec une trajectoire précise. Jusque là tout allait bien. Puis j'aimerais bien t'y voir toi, "lire", c'est tout ce que les connards comme toi savent faire de toute façon...
Elle lui faisait toujours face mais arborait maintenant son sourire le plus provocateur.
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Sujet: Re: so you don't love me ?
so you don't love me ?
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