[FINI] [EVENT KIWI] PAINTBALL PARTY - 3 JUILLET ft. Aslinn

Invité**Invité**

— A trop vous enflammer, vous allez-vous brûler les ailes.

— Et sinon, ça avance vos prises de becs ? Nous on attends.

on écrit sur les murs

-- les noms de ceux qu'on aime.

U	n sourire, un vrai, un vrai de vrai. De ceux qu'il n'a pas fait depuis longtemps, de ceux qu'il n'a pas fait depuis un mois. Il semble à nouveau lui-même, les prunelles pétillantes d'une excitation toute nouvelle, les pieds en pointe tel un enfant entrain de dessiner --

-- dessiner des insanités et des grossièretés -- décalage du personnage.

N'ayant jamais tagué de sa vie mais ayant toujours admiré ceux qui le faisait - de façon totalement illégale - il avait sauté sur l'occasion à la mention de la Paintball Party ; puis plus encore que cela, il savait que ce serait une bonne idée de se changer les idées et d'arrêter de se prendre la tête pour un certain garçon à la gravate verte - ou bleu, choisissez ce qui vous plaît.

Et pour cela, qui de mieux que toi ? Personne. Il était directement venu te voir, comme si le choix du binôme lui tombait sous le sens, alors que généralement, il ne faisait que te fuir, se plaindre et finalement se laisser faire ; non, là, c'est lui qui était venu à ta rencontre.

r é p e r c u t i o n

Peut-être étrange, mais c'était sa façon à lui de te remercier pour cette soirée passé à tes côtés ; ça lui avait rendu son sourire, sa joie de vivre habituel alors évidemment que ce serait toi qui l'accompagnerait pour prolonger le bonheur simple d'être qui on est.

Alors vous voilà tout les deux, actuellement devant la salle de retenue après avoir couvert le reste de la tour annexe de graffitis et de tags en tout genre - croisant un autre duo, celui d'Amy et d'Ollie dans les escaliers - et en te priant tout les dieux de la Terre d'épargner le plus de livre dans la bibliothèque ; prière vaine, dans tout les cas, puisque dans l'agitation, ils serons recouverts de peinture et à cette simple pensée, il avait envie de pleurer.

Et vous ressembliez à deux enfants, à rire de tout, à vous amuser, à chahuter et il n'y avait aucune méchanceté ou sarcasme dans sa voix, il était toujours heureux et tout bonnement innocent - et que c'était rare en présence d'un ami qui lui était cher.

- et puis, musique, maestro ! -

Il déposa immédiatement les yeux sur toi à l'entente signe qui signifiait top départ, à vous de jouez maintenant. ; il vint déposer les bombes dans vos sacs, prenant le nécessaire pour la suite et portant ce dernier d'une seule épaule avant de te sauter dessus en déposant son bras sur ton épaule comme s'il la reposait sur cette dernière -- et son sourire à cet instant était adorable.

- prêt à niquer des mères ?

ses paroles, un peu moins.

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Event kiwi : Paint-ball Party !

Ezéchiel Prince

J'T'HEADSHOT A COUP DE PEINTURE INDELIBILE ☼
Tu es aux anges. Littéralement. Intensément. Ce paintball géant te donnait envie de faire la fête encore plus, et c'était prévu, ou du moins, tu avais bien prévu d'organiser un truc à la dernière minute avec le reste des billes de couleurs et de la poudre coloré aussi, pour continuer sur le thème. Oh, tu voyais ça d'ici, ça allait être géantissime. Et c'était pour bien recevoir toute la peinture possible que tu t'étais habillé tout en blanc – jean acheté spécialement pour l'occasion – et te faire peinturlurer de partout par les autres équipes, parce que ça restait un paintball, et que tu comptais bien viser deux trois kiwis pendant l'expédition. Tu en trépignes d'avance. Peut-être autant que quand Robin t'a demandé de le rejoindre dans la salle des arts. Tu souris rien qu'au souvenir de Robin en train de peindre des fleurs avec sa bite sur les rideaux de la pièce.

Concentration Aslinn, concentration.

Il fallait que tu l'avoues : le fait qu'Ezéchiel t'ait proposé ce binôme t'avait autant surpris que fait plaisir, et depuis, tu ne pouvais qu'avoir le sourire aux lèvres depuis que vous vous étiez rejoint une heure avant le top départ pour commencer les énormes tag dans la tour Annexe. Et tu sautes sur place maintenant que vous êtes enfin prêt à headshot toutes personnes passant devant votre zone de mire.

Et la musique retentit dans tout l'établissement, et tu sautes un peu plus sur place, te tournant vers Ezéchiel quand il prend la parole. Tu mets ton pistolet sur ton épaule et lui fait un salut militaire un peu customisé, lui répondant sur le même ton :

— Toujours prêt pour ça, mon capitaine. Dans tous les sens du terme, en plus. Ah et j'te préviens, je compte les points.

Et tu attrapes le sac de munitions, entrant dans la salle de retenue pour faire la fête à quelques élèves, visant et tirant sur tout ce qui bouge.

Invité**Invité**

on écrit sur les murs

-- les noms de ceux qu'on aime.

C	'est un éclat de rire qui se répercute en conséquence de tes paroles et quand il te voit si souriant, si luminescent, si incandescent comme à son habitude, il ne peut qu'en être adorablement ravit de t'avoir choisit, de t'avoir à ses côtés ; plus qu'un soleil, une goulée d'air frais.

Alors il inspire, charge le pistolet et s'élance à ta suite, rentrant en fracas dans la salle de retenue pour viser les élèves qui s'écriaient, se cachaient ou prenaient la fuite, venant même jusqu'à viser la personne responsable qui devait surveiller la salle.

Et la peinture volait de tout les côtés, tu étais encore plus vivace que lui, encore plus rapide et la cohue le fit rire, l'agitation, c'était quelque chose qu'il adorait et le bordel monstre que vous produisiez ne faisait qu’accroître cette joie maligne loin d'être innocente. La pièce ne ressemblait plus à rien et dans tout ça, dans ce meli mélo de bruit, de voix et de couleurs indiscernable, il vint te viser dans le dos dans une douce mélodie qui n'était que le tintement de son rire.

Et cet acte lui valut une réplique direct en plein sur le bras - et il avait bien fait de porter un t-shirt manche longue inutilisé depuis perpét' - et dont le rire se prolongea, avant que tu ne lui renvoie encore deux billes de couleurs dont la vitesse de projection finit par lui laisser quelques traces au visage - et il riait, riait toujours, se protégeant le visage de ses bras instinctivement.

— stop de toucher ton capitaine, soldat ! riait-il toujours.

et vous n'étiez rien de moins que des enfants.

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Invité**Invité**

Event kiwi : Paint-ball Party !

Ezéchiel Prince

J'T'HEADSHOT A COUP DE PEINTURE INDELIBILE ☼
Oh comme tu es heureux Aslinn, t'es heureux de foutre la merde, de faire bordel, t'es heureux de le voir heureux, de l'entendre rire, de le voir si heureux, si loin de cette soirée un peu bizarre où il te semblait si peu lui-même, si peu vrai, si peu heureux de ce qu'il était.

Et tu vises, touches, met de la couleur dans cette salle si morne qui t'as vu de nombreuses fois au début de ta scolarité. Et tu vises les jambes, les torses, et un cri t'échappe quand tu reçois une balle de couleur en plein dans le dos, te tournant vivement pour te venger, tirant deux trois salves sur le bras. Non mais c'est que ça faisait mal cette merde ! T'allais ressortir avec des putains de bleus bordel de cul. Tu lui tires une nouvelle fois dessus, et lâches un cri de victoire en voyant son visage avec plusieurs éclaboussures de peintures.

— Stop de toucher ton capitaine, soldat !
— Jamais ! C'est mutinerie aujourd'hui !

Et bam, de nouveau une bille projetée en plein sur son torse, qui lui balance de la peinture verte sur la bouche aussi, et tu ne peux t'empêcher d'éclater de rire. Le goût doit être horrible. Puis tu te rends compte que tout le monde a fuit la salle de retenue, et tu ris de nouveau en t'asseyant sur une table pleine de peinture, mettant ton arme par dessus ton épaule et tu regardes Ezé, tout aussi peinturluré que toi.

— On pourrait taguer deux trois trucs ici aussi ! Du coup, non ? Vu que tout le monde a fuit !

Et pour la forme, et pour le plaisir, tu tends ton bras et lèves le regard sur le plafond pour y tirer une bille ou deux. Et tu adorais ça.

Invité**Invité**

— La bave de crapaud n’atteint pas la blanche colombe, mais la connerie, si. LOL

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-- les noms de ceux qu'on aime.

L	a peinture lui arracha une grimace de dégoût terrible alors qu'il sentait son torse chauffer sous la douleur des projections des billes que tu lui lançaient -- il se força à ne plus se les lécher pour éviter d'en goûter à nouveau ; frottant sa joue, lui donnant une dégaine pas possible.

Il t'observe ensuite quand tu reprends la parole, s'avançant vers toi avant de hocher la tête avec un sourire, relevant le regard pour observer la peinture s'écraser au plafond ; s'en était presque artistique.

— ok ! répondit-il tout simplement avec entrain, s'approchant de la table et cherchant un espace vide de peinture - c'est qu'il comptait le laver à la fin de tout ce merdier donc autant éviter de trop lui faire prendre tarif - avant de l'ouvrir, déposant son arme sur le côté avant de prendre l'une des bombes de peintures, te regardant une nouvelle fois, un peu pensif.

— bon, j'ai dit à ollie que son truc c'était pas dans les plans, mais j'vais faire pareils, j'me souviens plus des autres punchline là.

Et avant que tu ne puisses dire quoique ce soit, il vint te positionner la bombe juste devant le visage, espérant te faire instinctivement reculer avant de rire bêtement et de se détourner vers l'un des murs les plus proches qui avaient reçus le moins de dégât de vos conneries à tout les deux ; et puis, il écrit, il souligne, il trace.

— go laisser parler mon imagination.

La bave de crapaud n’atteint pas la blanche colombe, mais la connerie, si. LOL

Il finit par se reculer, admirant son oeuvre avant de revenir à son sac, prenant l'un des pochoir et revenant taguer le logo des kiwis à côté de sa phrase, avant de revenir une nouvelle fois pour ranger le tout.

— faut qu'on bouge vite avant que tout le monde se casse avec l'agitation, ou ils vont grave alerter les autres. la biblio après nan ?

et il sentait déjà son cœur en être meurtrit.

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Ezéchiel Prince

J'T'HEADSHOT A COUP DE PEINTURE INDELEBILE ☼
Et il accepte, et tu poses ton arme à côté de toi, tapant dans tes mains d'impatience. Bien bien. Il récupère une bombe de peinture dans le sac, réfléchissant ensuite à voix haute. Tu hausses les épaules, sans trop savoir vraiment quoi dire. T'étais pas du genre à trouver des punchlines en deux minutes, il te fallait un temps de réflexion quand c'était pas du tac-au-tac dans une discussion. Tu as un vif mouvement de recul qui te fait presque tomber de la table quand il approche vivement la bombe de ton visage. Son rire te fait lui faire un doigt puis lui tirer la langue. C'était purement instinctif hein !

— Connard va, lâches-tu dans un rire.

Puis il parle de nouveau et tu hoches la tête, ouais, c'était une bonne idée de laisser parler son imagination : Robin en avait dessiné avec sa bite, de son imagination, alors bon, ça pouvait toujours amener quelque chose de drôle et de bien, l'imagination. Tu lis en même temps qu'il tag et tu laisses échapper un rire. Okay, celle-là était plutôt bonne.

— Faut qu'on bouge vite avant que tout le monde se casse avec l'agitation, ou ils vont grave alerter les autres. La biblio après nan ?
— Ouais vaut mieux, puis j'suis sûr qu'on pourra faire deux trois victimes dans les couloirs. Ah, et si on croise de nouveau Amy et Ollie, j'les recouvre de peinture !

Tu récupères ton sac au sol, attends qu'Ezéchiel fasse pareil avant d'attraper sa main et de le tirer à ta suite, courant dans les couloirs qui mènent jusqu'à la bibliothèque. Et tu ne lâches la main d'Ezéchiel que lorsqu'il y a des élèves qui passent, s'enfuient en voyant recouvert de peinture une fois la surprise passée, mais pas assez vite pour échapper à vos tirs qui les recouvrent de peinture indélébile ou fluorescente. Oh et Aslinn, Aslinn comme tu pouvais être heureux, de rendre ce pensionnat haut en couleur, comme l'arc-en-ciel que tu étais.

Invité**Invité**

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A	cquiècement accordé après un rire insufflé et puis, vous vous envolez, dans un éclat de rire, comme des enfants qui ont grandis trop vite, un pas devant l'autre dans votre course folle et vos cheveux s'envolent -- ah, que vous étiez beaux, jeunes et souriants.

Alors vous dégainez et vous chargez, vous mettez le feu à cette agitation, à ses cris qui alimentent votre hilarité, votre bonheur d'être heureux, là, à cet instant, loin de tout soucis, loin de tout problème, et plus que des kiwis, vous êtiez simplement des adolescents aux sourires trop grands.

Puis c'est lui cette fois-ci, qui vint agripper la main, t’amenant à sa suite dans l'immense bibliothèque qui s'offraient à vous et il s'arrête, une fois entrée, se mordant la lèvre en voyant tout ces livres, ces pages où l'encre s'y est écoulée et où les connaissances et le savoir l'attiraient toujours autant -- savais-tu, Aslinn, qu'il les avaient pratiquement tous lus ? Alors il inspira, chassa l'idée même de les amocher ; et c'était drôle, amusant, légèrement triste, le fait qu'il porte presque plus de compassion à des livres qu'à ses propres connaissances -- presque, presque, entièrement.

Et à nouveau vous faites feu, ciblant toutes personnes qui s'échappaient, s'élançant à travers la salle pour viser ceux baignant encore dans l'incompréhension et rien, rien n'échappait à votre passage, réalisant le même carnage qu'il y a peu dans la salle de retenue.

Il s'était un peu éloigné de toi et il en profita pour longer l'une de longue étagère à ta recherche, avant de t’apercevoir pour venir te viser sans le moindre scrupule, te couvrant de peinture de couleur avant qu'il ne s'échappe, t'empêchant de répliquer, courant à perdre haleine entre ses livres couverts d'histoires pour s'enfuir ; prêt à jouer.

et ça faisait bien longtemps qu'il n'avait pas rit de cette façon.

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Ezéchiel Prince

J'T'HEADSHOT A COUP DE PEINTURE INDELEBILE ☼
Y'a les cœur qui tapent, et les rires qui s'envolent, qui virevoltent et rebondissent sur les murs. Y'a cette amitié réciproque à laquelle tu ne crois pas, à laquelle tu n'aspires pas. Tu sais, Aslinn, cette amitié qu'il te porte, toi qui le crois si indifférent à toi. Tu sais, Aslinn, il t'aime bien, Ezéchiel, il t'aime même beaucoup, mais t'y crois pas, tu le vois pas, t'as tellement peu d'estime de toi, tu te crois tellement remplaçable et jetable. Mais tu profites de l'instant, parce que ça te rend heureux de le voir si heureux, parce que son sourire vaut de l'or, et qu'il te donne des ailes ; parce qu'Ezéchiel, c'est ton poto, un peu comme un ange tombé du ciel.

Y'a vos mains, qui se lient et se délient, qui se lient encore et il t'attire jusqu'à la bibliothèque, et tu sens son hésitation, mais tu te lances tête la première, arme rechargée avant d'être entré. Et tu ris, tu ris, tu ris en tirant sur les gens, en foutant le bordel, en t'amusant, tu ris jusqu'à n'en plus pouvoir, et un cri faussement outré t'échappe quand tu sens la violence d'une balle dans le dos, et tu te tournes, déjà à la recherche d'Ezéchiel que tu vois disparaître derrière une étagère :

— Traître ! cries-tu, partant déjà à sa poursuite.

Puis tu te caches derrière une étagère, calmant ton rire, tes vêtements blancs ne l'étant plus vraiment : tu étais rose, vert, bleu, jaune, orange, rouge, violet. Tu étais un énorme arc-en-ciel. Tu restes là, contre une étagère, la bibliothèque se faisant soudain beaucoup trop silencieuse. Tu lances quelques coups d’œil furtif, et tu crois l'apercevoir derrière une étagère...

Alors tu tires.
Et tu tires tires, tires, jusqu'à ce que tu le touches.

Et tu éclates de rire en voyant une bille de peinture exploser sur son épaule, l'éclaboussant. Tu n'étais pas mieux, tu étais même recouvert de peinture de la tête au pied : tes cheveux en étaient plein. Et tu te diriges vers lui, levant les bras en signe de paix avant de lui balancer :

— Allez chéri, allons répandre de l'arc-en-ciel partout.

Allez répandre cette joie de vivre qui ne vous quitte pas aujourd'hui.

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C	oup d'oeil furtif et pas lent, frôlant les bouquins du bouts des doigts, prudent, vaguant d'une étagère à une autre sans pour autant te trouver -- insinuant ce stress innocent au creux de son estomac, le rendant alerte aux moindres mouvement.

Bam. Bam. Et d’atteints son dos, son épaule, lui volant un éclat de rire alors qu'il relevait son arme te tirant maladroitement sur les jambes alors que tu enchaînais les tirs ; les tirs sur la peau, les tirs dans son cœur, les tirs dans sa gorge -- ce joli méli mélo de gaieté toute retrouvé et de cette innocence presque délicate et un peu ingrate.

— allez chéri, allons répandre de l'arc-en-ciel partout.

Alors vous vous arrêtez pour mieux recommencer et dans sa grande bonté, accepte le signe de paix, se rendant à tes côtés en quelque enjambé, un sourire rayonnant alors qu'il était couvert de peinture parfois même à moitié étalé sur le village ; il ressemblait à un enfant devant ses parents après avoir dévoilé son côté Valérie Damidot.

Et tu n'étais pas mieux lotie, alors qu'il te détaillait, riant un peu presque attendrie avant de hocher la tête ; et qu'il se sentait bien, si espiègle, si joueur, une part de lui bien encrée qu'il semblait pourtant dépoussiérer.

— et que dis-tu d'un arc-en-ciel de nuit ? ... j'ai toujours pensée que la passerelle manquais de charme... fit-il malicieux en référence aux billes phosphorescentes que vous possédiez avec celles recouvrants toutes la surface d'une chose ou d'une personne.

— comme ça, ils vont encore plus galérer pour tout retirer...

et cette perspective suffisait à le faire jubiler.

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Event kiwi : Paint-ball Party !

Ezéchiel Prince

J'T'HEADSHOT A COUP DE PEINTURE INDELEBILE ☼
Tu hoches vivement la tête à sa proposition, t'étirant ensuite et rajustant la lanière du sac sur ton épaule. Tu quittes la bibliothèque après avoir rechargé ton arme totalement vide et tes pas se font plus lents qu'au début de la partie. Ça doit bien faire une heure que vous alliez ici et là à tirer sur tout le monde, ça t'étonnerait encore si vous croisiez d'autres personnes dans les couloirs dorénavant.

Vos pas résonnent dans le couloir et tu sifflotes un air que tu n'arrives plus vraiment à reconnaître. Ça viendra tout à l'heure. Tu as une petite pensée pour Ambroise, qui va sûrement être horrifié par ce que vous veniez de faire à la bibliothèque, sans compter le fait que t'aimerais bien le voir, tiens. Peut-être ce soir, à cette soirée de continuation de paintball géant. Soirée peinture fluorescente sur le corps et lumière noire, ça, c'était plutôt cool.

— Oh ! Viens on dessine genre euh... un truc énorme style... euh...

Tu t'arrêtes en plein milieu du couloir, réfléchissant à ce que vous pouviez bien dessiné de sympa à part le logo des kiwis.

— Pas une bite sinon on va se faire défoncer, mais genre, un truc cool t'sais. Aaaaaah, pourquoi Robin est jamais là quand on a besoin d'lui !

Puis tu te tournes vers Ezéchiel qui te fixe depuis un moment :

— T'as pas une idée toi ? Genre, un bon gros dessin de la mort qui tue ?

Un truc si gros que ça rendrait la vice totalement folle.

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I	l ne te lâchait pas du regard, penchant légèrement la tête après ta proposition, comme s'il réfléchissait véritablement à la question -- un bon gros dessin de la mort qui tue, hein ? Le soucis c'est qu'il ne visualisait pas vraiment ce que tu désirais.

Il haussa les épaules, l'air faussement blasé et vint lever le bras dont la main tenait toujours une bombe de couleur, l'index sur le spray et d'un geste lourd et gras, il vint inscrire un énorme phallus sur le mur du couloir où vous vous trouviez.

— on va d'jà se faire défoncer, se justifia-t-il tandis qu'il finissait de peigner, te regardant une fois cela fait, un sourire éclatant et innocent ornant à nouveau ses lèvres, donnant l'étrange impression qu'il passait d'un état à un autre ; légèrement lunatique.

Et il vint te donner un coup de coude, joueur.

— désolé, j'ai pas la patte artistique, tu voyais quoi genre ? reprit-il en se foutant clairement de ta gueule avec ce petit rictus insupportable qui lui allait si bien.

— au moins tu l'as, ton truc énorme. et son rire le faisait passer pour un idiot doublé d'un abruti.

--- à savoir qui était le plus mature des deux.

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Event kiwis – Paintball Party

feat. Ezéchiel Prince

☼ ☼ ☼

Tu n'as pas vraiment le temps de comprendre ce qu'il va faire avant qu'il se dirige vers le mur le plus proche pour dessiner un énorme pénis et tu ouvres la bouche, la refermes avant de laisser échapper un rire. D'accord, il marque un point, vous alliez forcément vous faire défoncer. Mais tout de même. Et il se fout de ta gueule, et tu lui fais une grimace. Ahah, oui, très drôle. Tu ne peux t'empêcher de rire toutefois, parce qu'il fallait quand même avoir des couilles pour le faire, hein.

— Au moins tu l'as, ton truc énorme.
— C'est clair que j'aimerais pas avoir ça dans mon lit tellement c'est gros.

Tu lui jettes un regard, souris avant de t'étirer, regardant ce phallus géant devant toi. Non, pour une fois, t'imaginais vraiment un truc artistique, un truc qui donnait l'envie de se libérer, un truc qui montrait un peu ce que tu ressentais quand tu dansais : la liberté, cette sensation de voler sans limite. Mais tant pis, ce ne sera pas pour aujourd'hui.

— Je pense que je flipperai comme une merde si j'avais ça dans mon lit, lâches-tu alors très sérieux avant de lancer un regard à Ezéchiel.

Et ton regard coule sur son entrejambe avant de lâcher en haussant les épaules :

— Dieu merci t'en a un rikiki, je peux toujours avoir envie de te mettre dans mon lit sans en flipper.

Et un clin d’œil avant de lâcher un rire, attrapant une bombe d'une autre couleur dans ton sac pour colorier ce magnifique phallus géant.

Ah, que vous étiez cons.
Mais que c'était bon.

☼ ☼ ☼

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I	l hausse un sourcil presque interrogateur, alors que tu le détaillais d'une façon indécente qui le laissa de marbre, à peine circonspect avant qu'il ne lève les yeux ciel face à ta remarque, t'offrant ensuite un air vexé presque boudeur ; retrouvant cette attitude limite blasé.

— ouais, ouais, dieu merci la taille de ma bite t'es inconnu alors rêve toujours, tu s'rais mort de peur. maugréa-t-il alors qu'il t'observait de dos, alors que tu continuais son oeuvre -- mais cette subite mauvaise humeur n'avait aucun rapport avec ce que tu insinuait sur sa virilité, mais directement relié au fait que son pote lui faisait du rentre dedans alors que son propre crush, lui, ne voulait même plus avoir affaire à lui.

Quelle tristesse -- mh.

(( s o u p i r e ))

Avec une étrange facilité, peut-être déconcertante, il retrouva très vite le sourire et cette attitude joviale qui ne le quittait plus depuis qu'il se trouvait à tes côtés ; comme s'il arrivait à balayer ces soucis antérieurs pour ne s'occuper que de l'instant présent -- une capacité agréable à posséder.

— attends, attends, il faut signer toute oeuvre ! c'est comme ça que font les artistes, non ? poursuivit-il en s'approchant de toi avec un sourire peut-être bien trop rayonnant pour être innocent -- agrippant ta bombe de couleur sans te demander ton avis, pour te l'arracher des mains et se l'approprier ; avant de s'éloigner de toi de quelques pas, prunelles rivées sur le mur qui lui faisait face.

— tiens... regarde... et il tendit le bras, commençant a y inscrire les lettres, preuves du méfait accomplie.

— ééé... zéééé... chiel... découpa-t-il lentement de façon amusé, à chaque arabesque du prénom, alors qu'en vérité, il n'en était rien.

aslinn lol :p

— la directrice sera ravie !

-- et il riait bêtement.

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Invité**Invité**

Event kiwis – Paintball Party

feat. Ezéchiel Prince

☼ ☼ ☼

— Ouais, ouais, dieu merci la taille de ma bite t'es inconnu alors rêve toujours, tu s'rais mort de peur.
— Pourquoi, elle est si petite que ça, ta bite ?

Mais il ne relève pas, et peut-être ne lui feras-tu pas relever, car son sourire a disparu tout d'un coup, car il semble se perdre un instant avant de retrouver son sourire. Et tu décides de laisser tomber, de laisser ça de côté. Il t'en parlera s'il veut t'en parler, mais tu sais très bien qu'il ne le fera pas, qu'il ne le fera jamais. Tu n'es pas assez important pour ça. Tu ne le seras jamais.

Et il va pour signer, et pendant qu'il le fait, tu continues de colorier le dessin, t'appliquant bien plus que lorsque vous avez repeint les rideaux de la salle d'art avec Robin. Tu jettes un regard à sa signature quand tu restes bouche bée un instant, ne sachant pas trop comment réagir. Puis le mouvement le plus instinctif semble de tourner le bras vers lui et de le pulvériser de peinture, partout sur le corps dans un rire.

— SALE TRAITRE ! hurles-tu en riant avant de commencer à écrire son prénom sur le mur, le plus gros possible.

Il voulait la guerre ? Il l'aurait !

☼ ☼ ☼

Invité**Invité**

on écrit sur les murs

-- les noms de ceux qu'on aime.

E

clat si beau et si brillant, tintant si agréablement, alors qu'il semblait rire et rire encore comme il n'avait pas rit depuis longtemps, comme il ne rierait pas avant un long moment, alors, peut-être inconsciemment, comme connaissant les circonstances, il semblait rire et rire comme si cet éclat, serait la dernière fois.

Premier réflexe et il cache son visage, sentant la peinture se propager sur ses vêtements, sur sa peau dénudé et comme mué par ce côté si structuré, il vint à bloquer ses poumons, s'empêchant d’inhaler de quelque façon ce qui était considéré comme un poison ; et pourtant, il y en avait bien qui s'écoulait dans son œsophage, battait sous ses veines et s'agglutinait dans son cœur -- qu'importe.

Immédiatement suivit par son index qui vint contre-attaquer, combien même il n'avait aucune visibilité, il tendait son bras en pressant sur la peinture qui, il l'espérait, t’atteignerais et quand, enfin, tu vins à l'abandonner pour le mur, immédiatement il passa un jet derrière les lettres que tu inscrivais et, évidemment que tu essayas pas tout les moyens de l'en empêcher ; et vous ressembliez à deux ados se battant éperdument avec sur les lèvres, cet amusement presque attendrissant.

Vous ne ressembliez plus à rien, à l'image du mur qui semblait avoir accompagné cette bataille incompréhensible et essoufflé, de la peinture sur tout le corps sans avoir rien épargné si ce n'est son visage, tout de même salis par vos conneries, il alternait entre souffle court et rire idiot.

— j'te réchaufferai la place à côté de moi en retenue, à la fin de tout ça... et il riait toujours, toujours encore et toujours.

-- et il n'y avait pas à dire, vous faisiez de l'excellent travail.

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