InvitéInvité | Sujet: M A K E U P Ven 4 Oct 2013 - 0:35 | | NABILA COSMÉTIQUE FÉMININ | • Nabila, elle adore le maquillage. Elle se roule dedans, se maquille à chaque matin et pourrait même le manger, tellement elle en raffole. C'est son plat favori. • Nabila, elle est supposément la reine du monde. Fière, elle vous domine avec sa tête peinturée de produit cosmétique comme si elle était la plus belle des plus belles. • Elle désire avoir les moyens de se faire faire une chirurgie des seins un jour. Elle ne désire être que la plus belle femme de la planète. • Nabila aime les beaux garçons, tellement qu'elle leur mange littéralement le doigt en signe de souvenir. • Nabila c'est une vraie réplique de la vraie, en fait. Sauf que notre petit lézard n'a pas encore été victime de la chirurgie esthétique. • Mais tout au fond se cache un vrai colosse, une dure à cuir qui refuse de manger ses brocolis. Car tout ce qu'elle mange, c'est du maquillage. • Pour se baigner ; rien de mieux que de la crème hydratante pour le visage et le corps. L'eau, ce n'est pas pour elle. • Nabila a l'habitude de vous prendre de haut en exécutant de magnifiques flipshair (qu'elle n'a pas -de cheveux-) • Elle n'est pas très intelligente. La ressemblance entre un humain et un crapaud ? « Ce n'est pas du maquillage. » • En fait, dès que vous aimez le maquillage et la chirurgie ou tout simplement être belle, vous êtes une grande amie de Nabila. • Vous ne voulez pas l'entendre chanter. Mais quand elle danse, elle fait trémousser son popotin comme Beyoncé. ABUS DES PRODUITS DE BEAUTÉ | © FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH' |
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InvitéInvité | Sujet: Re: M A K E U P Dim 13 Oct 2013 - 16:57 | | - Réponse a:
- Noah L. Lafgard a écrit:
- ❝ NABILA, CESSE DE FAIRE TA DIFFICILE.
fond de teint ou rouge à lèvres ? Midi et personne n'occupait la demeure à l'exception de moi et Nabila, étant désespérément occupé à me heurter la tête contre un mur alors que mon lézard s'amusait comme une cinglée à faire des galipettes dans le fond de teint de Malory. Elle avait l'air de bien s'amuser, l'arc-en-ciel ambulant. Cependant, ce n'était pas pour cela que c'étais mon cas également. J'essayais en vain de rédiger un magnifique poème au roi de la fête qu'était Jim, mais les seules idées qui décidaient de faire surface n'en valaient même pas la peine. J'avais rageusement barré mon poème complété lorsque je le relisais et m'attarda à en créer un nouveau. Ce n'était pas comme s'il était aisé d'amadouer une personne aussi originale que ce cher blond, il fallait donc que je sélectionne mes mots avec intelligence et tacts, ce qui n'était pas particulièrement mon fort.
« Du haut de votre effroyable succès, vous dominez la scène à l'aide de votre charisme surnaturel. Nous buvons chacune de vos paroles comme des caniches déshydratés. Laissez-moi péchot des bonnes meufs hypra pompettes. Nous partagerons si vous le désirez, grand seigneur de la fête. Je me plierai même à vos quatre volontés, si vous me le demander mais veuillez ne pas essayer de me dominer, car je ne suis aucunement un uke. Dans vos fêtes, il y a du monde à croquer et donc comment résister à l'envie de les baiser ? Je vous supplie à genoux de bien vouloir m'accepter si ce n'est que pour une soirée Je serai le caniche le plus dévoué que vous n'aurez jamais possédé. »
Il n'y avait aucun doute ; ce texte était destiné à un échec pitoyable. Beaucoup trop lèche-botte et amateur, il était évident que le roi de toutes les soirées n'aimerait pas ça. Et puis c'était stupide, mais tellement que même moi j'en avais honte. Je requérait un message beaucoup plus simpliste mais charmeur, mais je ne connaissais aucunement les faiblesses vocabulaires du grand Jim, alors comment l'amadouer et l'inciter à m'inviter ? Je tapotai donc nerveusement le sol à l'aide de ma jambe, distinguant trop facilement les « tic-tac » incessant de l'horloge maudite. Le son qu'elle produisait m'insupportait et me rappelais en permanence que le temps passait et que je n'avançais aucunement dans ma requête.
« Bordel... marmonnais-je silencieusement, emporté par une impatience sans limite. »
Dans mes doigts, je laissais mon crayon à l'encre faire un magnifique balancement de gauche à droite, imitant un « tap-tip-tap » quelque peu énervant. Je fixais rêveusement le mur, l'air pensif, cherchant un texte plus favorable à utiliser. C'est ainsi qu'une demi-heure s'écoula, alors que pendant tout ce temps, Nabila s'épatait à semer le désordre dans la palette de maquillage appartenant à Malory. Après tout, il fallait bien que je trouve un moyen de nourrir cette petite bête et comme cet enseignant travesti était évidemment trop idiot pour se rendre compte qu'on lui volait du maquillage, j'en profitais pour me servir sans l'ombre d'un remords. Néanmoins, le plus important était de retour ; l'inspiration. C'est donc ainsi, avec courage et bonté, que je m'attardai à la tâche.
« Ô, vous, jeune divinité de l'amusement, permettez-moi, avec tout mon respect à votre égard d'avoir l'invraisemblable chance d'admirer avec imploration votre époustouflant talent de créateur d'événements historiques. Sans plus de votre incroyable intelligence, je serais honoré d'assister à votre prochain succès né du miraculé de la fête. Votre aisance à épater la foule a largement dépassé mes attentes et dois-je préciser à quel point vous êtes le Dieu de cette décadence. À peine avez-vous planifier la soirée qu'elle ne fera même pas le tour de l'univers en une soirée ! C'est bien grâce à vos aptitudes enchanteresses que la joie ne se blesse car il est évident que toutes vos faiblesses ne forment aucunement une simple pièce décorée de magnifiques personnages aux allures grandioses et tout aussi extravagantes que votre âme envoûtante. »
Beaucoup mieux. Extrêmement poétique et charmant. J'espérais donc que cet effort me porterait fruit et que, de cette manière galante de m'inscrire, j'aurais la fabuleuse chance de pouvoir participer à cette fête des plus anormales. J'avais mis tout mon talent dans ce simple et court texte, mais suppliais le bon Dieu de faire que ma poésie est un petit effet à ses yeux.
C'est donc sur un pas plus joyeux que j'allais allègrement porter la lettre à Nabila, qui s'empressa de fermer sa palette pour s'aventurer jusqu'à la cabane de Jim. La corde rattachée à son kit de maquillage était fermement retenu par sa gueule, et mon message était paisiblement déposé sur la fameuse palette avec délicatesse. Ainsi partie donc mon cher lézard, qui allait tenter par tous les moyens de franchir tant bien que mal la lointaine demeure de Jim. « Lointaine », quoiqu'elle n'était qu'à dix appartements de différence, comme il habitait à la sixième.
« J'espère que ça suffiras, me dis-je à moi-même. »
Point de vue de Nabila
Encore du boulot. Encore et toujours. Avec Noah, j'étais décidément condamné à aller porter des stupides messages inutiles. Néanmoins, il me gavait de maquillage, et c'était décidément quelque chose dont je ne pouvais me plaindre. En plus, il était beau. C'est à peine si je me retiens de lui manger le doigt lorsqu'il dort.
« Des pieds. Il n'y a que ça ici, des pieds ? Franchement, poussez-vous. Vous êtes tous dans mon chemin, bandes de garces. Hé, toi. oui toi, la grande salope blonde qui me bloque, arrête de fixer ma palette comme ça où je te démonte à coup de queue de lézard à la figure, pensais-je rageusement. »
Après un périple épineux et périlleux, j'accédai finalement à la cabane. Je m'y infiltrai donc subtilement avant de déposer l'inscription de mon maître sur le comptoir de cuisine pour ensuite scruter les horizons à la recherche d'un coin paisible. Après tout, quand l'on vient d'effectuer une telle tâche, on mérite tous un petit moment de repos pour se rouler dans son maquillage. C'est donc ce que je m'autorisai à faire... dans le lit de quelqu'un. Je ne sais pas celui de qui, mais il aurait une jolie douillette colorée maintenant.
Noah L. LafgardEVENEMENT : INCONNU LIEU : INCONNU DATE : INCONNUE Jimmy. ♥ |
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