Pique-nique. {cale}

Aujourd'hui j'ai filé 100 prisms à la meuf qui controle le temps pour qu'elle nous fasse un soleil de fou vers quand nous serons nstallé moi et elle dans le centre ville à manger un sandwitch, je suis un bon père faut pas croire, hein. J'étais arrivé avec joua dans son cabanon réveillant tous ses colocs qui semblaient me détester au vu des regards austiles qu'ils me lançaient ainsi que les pantoufles, une pantoufle avec des motifs de vieux, enfin vous savez les pantoufles marrons, QUAND ON A TOUS.  Azy petit con, il m'a loupé de peu, j'suis Cale Summers, si tu touches mon visage, mon copain va te fra... ARTEMIS

▬ HELLO MA CHERIE !

Mon regard se repporte sur la petite princesse endormie. La pauvre elle  n'a pas hérité de mon incroyable beauté au reveil, je vois, qu'elle tristesse, pour elle. Je viens ébouriffer ses cheveux avec un sourire lui soufflant plein de petit nom affectueux avec un sourire large jusqu'aux oreilles. Abruti heureux, oui c'est l'adjectif qui me résume mieux et je l'assume complètement, que serais une fille une vie sans idiots heureux ? Elle serait assuréement moins joyeuse. Je lui dis en long et en large les yeux brillants mes projets, posant mon sachet remplit de garnitures.

▬ Dépeche toi avant qu'un relou nous chope à la sortie !

Oui, je dépeche la demoiselle, même si dans le pensionnat on est légèrement en manque de personnels. Je l'ai attendu dehors, le temps qu'elle s'habille et lorsqu'elle a ouvert la porte, avec une once de mauvaise humeur je commence déjà à papilloner, l'attrapant par la main la trainant avec moi. Lorsqu'on a prit le bus j'ai bien cru qu'elle allée s'endormir sur mon épaule, mais finalement, non elle a juste fermé les yeux se laissant bercé. Une fois dehors je me suis mis à frissoner, passer du chaud au froid, oui décidement je déteste toujours autant ça. Nous somes allées jusqu'au centre ville, nous baladant, je lui ai montré la boutique d'animaux avec les chatons, m'exclamant a chaque coin de rue par des "REGARDES" "OH MON DIEU", la fatiguant sans doute rapidement, on a prit la rue sud. Elle pose en première ses fesses sur l'un des bancs glacés, je la rejoins sans m'y faire prier

▬ Omg, j'sens plus mes fesses

Je commence comme une petite grand mère avec les yeux brillants à sortir le repas composé de tout ce que j'ai pu trouver dans mon frigo ainsi que celui des cabines voisines - Pytha m'a viré, je l'avoue- personne m'aime. En vrai. Sauf Skygge, sauf que lui ça compte pas, il est sous ma dictature, il est obligé. En gros y'a des sandwitch avec du thons, de la mayonnaise, du taboulé, du coca, des chips, des oranges, des bananes - héhé- -oui je peux pas m'empecher de penser héhé quand je pense banane...- qu'elle me dise pas que c'est un repas de pauvre, ou je l'étouffe avec l'emballage. Elle semble être ailleurs, loin, très loin, je pose comme un bourrin la nourttireu pour la réveiller, elle reporte son attention sur moi, je reprends mon sourire

▬ Au fait,  pourquoi t’as absoluement tenu à faire un pique-nique ?  Ça t’es venu comme une envie de pisser ?
▬ Ici, celui qui pose les questions c'est MOI, fille indi.. Mais non pleure pas, je blague, bien sur que ça m'est venu comme ça, faut être fou pour y penser des jours à l'avance. T'es pas contente de te geler les fesses, ici, avec moi et de te prendre 39 kilos ? Finissons obéses, comme ça, plus personne voudra de nous, on comptera que sur nous deux pause mentale, je rencheris Et sur Skygge... Non je peux pas lui faire ça....... Il sera mieux avec une brune, mince et belle

Je pleure en mangeant ma barre de chocolat

▬ Oh putain, qu'est-ce que c'est bon

Oui, j'oublie vite, pardonne moi Skygge mais là je peux pas résister à cette délieuse barre, QUOI. Elle fait tomber une miette, je pose mon doigt sur son haut, lui disant qu'elle a une tache, je viens donner un petit coup sur son nez

▬ Pistache !

Gros débile. Gros débile et je ris, pourquoi est-ce que je ris ? je m'arrête un instant pour contaster les rayons de soleils qui commencent à arriver, je fais presque un bond, heureux de ne pas avoir dépensé 100 prisms pour rien, je la regarde, fier, elle doit pas comprendre pourquoi, elle doit peut êter croire que je crois que j'ai fait appareil le soleil ? nan, je sais pas mais un truc du genre.

▬ AHAHAHA LE SOLEIL.

APPLAUDIS MOI, PLS.