Sujet: Les côtelettes de la mort (w/ Noel Sixte) Dim 20 Oct 2013 - 15:45
PV : Luke Plandon Les côtelettes de la mort~
Tu avais faim. Mais quand tu dis faim, c'est faim-faim. Tu pourrais manger un bœuf comme on dit. Mais un bœuf qui aurait manger deux éléphant et trois girafes. TU. AVAIS. FAIM. Pouah ! Coincé à l'infirmerie. Tu regardes ta montre, encore trois heures à rester enfermer dans cette putain d'infirmerie. Tu te trouves des origines de racaille, c'est merveilleux. Au diable les heures restantes, tu te lèves de ta chaise toujours aussi mal fixée et prend ton manteau. Tu ouvres la porte avec un délicatesse inexistante mais ne prends même pas la peine de la fermer. Au diable la porte fermée aussi. Les élèves pourraient dévalisés l'infirmerie, tu s'en contre-ficheraient. Ils pourraient découvrirent ta cachette de soda, tu t'en foutrais pareillement. Ton ventre criait famine et ta première règle de survie est de toujours écouter les demandes de ton estomac. Un traînée de salive sortit de ta bouche, discrètement et dégoulinant le long de ton menton avant de tombé à tes pieds alors que tu marchais, direction la cuisine. Tu avais difficilement enfilé ton manteau, tellement pressé et affamé. Tu ne savais même pas si t'avais le droit d'y aller, alors tu faisais le plus doucement possible, te penchant à chaque fois que tu croisais une fenêtre où il y avait présence ou de la lumière. C'est que tu étais tellement discret avec ta faux calée sur ton dos et ton chapeau qui te rajouter au moins vingts centimètres de hauteur. Tu aimais bien être imposant aussi. Tu arrivais devant le bâtiment où se trouvait la cuisine, tu attendais... quoi ? Tu avais tellement peur qu'on te découvre.
" - Brrrouuuggghhh"
Merde ! Ton ventre. D'un coup, la lumière des fourneaux s'alluma, tu ne savais plus quoi faire.
" - NON DIDIOU !"
Tu avais tellement mal au ventre. Et puis, au pire, tu étais l'infirmier, tu avais tous les droits. Tu pouvais faire ce que tu voulais. OUAIS ! Tu te donnes du courage, en vain, tu n'arrives pas à bouger un pied. On dirait un élève allant à la piscine à l'heure de fermeture et qui sait combien il y en a. Prenant ton courage à deux mains -ou deux pieds plutôt, l'humour, c'est ton fort-. le pied droit, puis gauche puis tes deux pieds. Tu courais. Tu te plaques alors contre la porte d'entrée. Agent secret Plandon s'il vous plaît. Tu tires la poignée de la porte. Mauvaise pioche, il fallait pousser. La porte ouverte, tu prends une grande inspiration, tu sens encore la viande de ce midi. Cette odeur de pomme de terre frit avec de la sauce au poivre. Qu'est-ce que tu aimais cet endroit. On pouvait trouver de tout ici. Mais tu dis de tout, c'est vraiment de tout. Tiens par exemple, les bonbons cachés au fond tu placard des féculents. Tu avais alors trouver la cachette du cuisinier. Niehehe.
Tu rentres doucement en évitant de faire grincer la porte et la refermes. Mission accomplie. Tu y es, c'est tellement beau, ça te donne envie de pleurer. Tu es tellement ému que tu voudrais t'en rouler par terre, même dans de la farine. Tu te souviens alors des lumières qui ce sont allumées. Il y a quelqu'un. Si c'est la cuisinier, tu es mal barré. Si c'est un élève, tu vas pouvoir l’engueuler. La belle vie d'un personnel d'établissement.
Tu t'accroupis sous le bar, afin que personne ne puisse te repérer et régule ta respiration pour qu'elle ne soit pas trop bruyante. Tu devais encore traverser la moitié de la cuisine pour arriver à ton but : la viande. Toutes ces effluves de dîner et repas servis dernièrement, ça faisait tellement réagir ton ventre qu'il fallait que tu le tiennes durement pour qu'il arrête de geindre. Tu voyais une ombre de là où tu étais, mais tu ne pouvais pas deviner qui s'était, tu étais trop loin. Tu plisses les yeux mais rien, tu es vraiment trop éloigné. Le seul moyen de savoir, c'est d'y aller. Tu te relève doucement, faisant craquer tes genoux ramollies par l'âge et sers les dents.
" - Il y a quelqu'un ?"
C'était pire qu'un murmure, juste un petit souffle. Tu n'avais pas peur, non. Enfin si, mais pas de se faire punir où quoi. Il avait l'impression de faire quelque chose de mal. Voler de la nourriture, c'est mal mais tellement bon. Encore une plainte de son ventre. Cette fois-ci, tu te résolus à savoir qui s'était. Des bruits de couvert se faisaient entendre plus tu te rapprochais de ton but. Tu y étais presque.
En longeant le bar -c'est qu'il était long lui aussi- tu vis un petit morceau de saucisson. DÉLIVRANCE ! Depuis combien de temps était-il là ? Tu t'en fichais. TU. AVAIS. FAIM. Le goût explosa dans ta bouche.
" - Putain que c'est bon"
Tu fonds.
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Sujet: Re: Les côtelettes de la mort (w/ Noel Sixte) Lun 21 Oct 2013 - 17:52
i'm. so. fucking. hungry.
"Trululululu. Brmlblmlrlbmlm. grmblrbmlr."
Orage et éclair dans son ventre. Noel avait faim, non, son VENTRE avait faim. Lui, il résistait à la tentation, enfin, il essayait mais Dieu sait que c'était peine perdue. Il avait pris quelques kilos en trop -deux kilos mais chuuut-, le jeune homme s'était inquiété sur son poids. En allant se regarder dans le miroir, il se voyait gros et trapue pourtant, son physique n'avait pas changé. Son corps athlétique formé en V était toujours là mais lui voyait un gros monsieur avait un bide énorme. Il devait faire un régime. Perdre ses fichus kilos en trop. Jogging, musculation, il a tout essayé pour suer comme un malade. Mais non, il n'avait perdu qu'un petit gramme. GRMBL. Comment font les mannequins pour perdre du poids ? C'était la grande question de Monsieur Sixte. Il fouilla les bibliothèques de fond en comble, demanda un peu partout et se renseigna sur Internet. Le moyen efficace de perdre était de ne pas manger, RIEN DU TOUT. Enfin si, un peu d'eau et des courgettes. Au début, il rigolait au nez de cette information. Comment un carnivore allait-il pouvoir résister à la tentation de manger de la viande ? Il riait, il riait mais ce petit gramme qu'il avait perdu était perdu.
"OH BITCHIES" avait-il gueulé dans les toilettes.
C'était décidé, il allait faire un régime et efficace. Il ne buvait que de l'eau et mangeait que des courgettes toute la journée. Mais il faut s'en rendre compte, ce n'était pas facile. Son ventre faisait des bruits bizarres. Une fois dehors, dix fois dans la classe que ça en devenait géant. Après cette longue journée, il était resté dans sa chambre, tenant la main sur son ventre. S'il pouvait, il aurait pleuré tout les larmes de son corps pour cette peine de n'avoir aucune viande dans son ventre (excepté la sienne, bien sûr). Mais il ne pouvait pas, il n'avait pas la force nécessaire. Il sentait son corps faible, ses mains tremblantes. AAAARHG. Il ne pouvait plus résister, il ne pouvait plus. Il fonça dans la cuisine, tant pis s'il se fait pêcho, il aurait au moins eu l'occasion de combler ce manque depuis 13h.
Il sprinta pour arriver dans la cuisine, rien à battre qu'on le voit, si c'était un surveillant, il pourrait très bien activer son pouvoir et se surveillant le laisserait passer sans problème. Après 3 minutes top-chrono, il arriva à la cuisine (la faim fait des pousser des ailes, au diable Redbull). Il poussa les portes du paradis et toutes les viandes du monde était là. Saucisse, côtelette, dinde, poulet, T-O-U-T. Le Paradis. Des baves commençait à lui sortir par la bouche mais il ne pouvait pas résister. Il sauta sur toute les viandes qu'il trouva. Il enfonçait tout cette bonheur dans sa bouche, tant pis si sa mâchoire allait souffrir, il devait gâter son estomac. Au fil du repas, il entendit comme une voix, il s'arrêta un petit instant. Il pensa que c'était un fantôme. Il posa ses yeux sur les viandes à nouveau. "VA TE FAIRE LE FANTÔME". Il avait trop faim, rien à battre du fantôme, si ce fantôme était apparu devant lui, il l'aurait aussi bouffé, avec ou sans viande. Il continua à mâcher ces viandes juteuses quand tout à coup, il entendit une voix s'exclamer :
- Putain que c'est bon
Il se mit à sursauter et gueuler comme un fou. Il se retourna et vit que c'était l'infirmier fou qui voulait tout foutre dans le cercueil, il se retenait d'utiliser ses pouvoirs, il avait peur de ses réactions si jamais ce fou tombait amoureux de lui.
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Sujet: Re: Les côtelettes de la mort (w/ Noel Sixte) Mer 23 Oct 2013 - 19:55
PV : Luke Plandon Les côtelettes de la mort~
« - VA TE FAIRE LE FANTÔME ! »
QUOI ? Toi ? Un fantôme ? Tu rigolas un bon moment. Tu dégustais ton saucisson se coinçant entre tes dents.. Hmmm... Quelle jouissance. Tu te rends compte alors que c'est quelqu'un, se trouvant dans la même pièce que toi, qui venait de te traiter de fantôme. Tu écarquilles alors les yeux. Tu entends alors un cri et te retournes à le vitesse de l'éclair. TU AVAIS RAISON. Il y avait bien quelqu'un ici. Ton cœur battait de plus en plus vite, même si le visage que tu voyais n'était pas du tout un membre du personnel. C'était un élève. Mais qu'est-ce qu'il fait ici bordel ? Mais que tu es bête, bien sûr, il est aussi pour les mêmes raisons que toi. Ce qui veut dire que... C'EST LA GUERRE. Toi, tu étais arrivé après lui donc bien sûr, il en avait profiter plus que toi. Tu es prêt pour la bataille. Les sourcils froncés tu t'avances vers lui, histoire d'essayer de le gronder un peu. C'est vrai que tu étais quand même supérieur à lui. Monsieur l'infirmier allait gouverner les fourneaux.
« - QU'EST-CE QUE TU FOU ICI BORDEL DE MERDE ? »
Mais où sont passé tes bonnes manières d'adulte. Tu penses qu'elles se sont envolé en même temps que la faim s'était installé. Tu le voyais manger de la viande. TA viande. NAMEO IL VA PAS BIEN LUI. Tu voudrais bien lui donner une bonne leçon, c'est ce qu'il mériterait pour voler TA nourriture. Alors que toi tu t'étais contenté d'un petit bout de saucisson.
Et mais... Tu le reconnaissais. Après tout, dix ans dans cette école, tu savais différencier parfaitement le visage de l'un et de l'autre. C'était monsieur Noël Sixte. Monsieur j'ai le pouvoir de me faire baiser quand je veux, où je veux... Autrement dit le pouvoir d'attraction. Hum.. Hum... Pas très subtile la pensé que tu viens d'avoir mais bon, c'est simplement la vérité. C'est vrai qu'il n'était vraiment pas mal. Tu t'arrêtas et te regardas. Tu ressemblais à un clochard -comme d'habitude-. Ta chemise à moitié défaite laissait entrevoir un peu de ta peau blanche et était à moitié rentré dans ton jean noir qui descendait le long de tes hanches. De toute façon, tu t'en fiches.
MON DIEU. Encore une plainte de ton pauvre ventre. Tu te rends devant l'élève. Bon point numéro un : tu étais plus grand que lui malgré ton âge. Enfin plus grand, tu devais faire quelques centimètres de plus, mais cela te donnait le pouvoir -ehui-. Tu te mis entre la nourriture et le jeune homme qui voulait la manger. Tu le regardas, ah non, le fusillas des yeux, lançant des éclairs et comme animé d'une vie sauvage.
« - C'EST A MOI ! TOI PAS TOUCHER ! »
Ça y est, tu redeviens un homme des cavernes. Tu te mets en position de combat, prêt à lutter pour TA nourriture. La peur que tu ressentais avant d'arriver en cuisine s'envola pour faire place à la colère. C'est que tu pouvais devenir hargneux niveau bouffe. Que dieu pardonne ton langage. Ta langue claqua contre palais comme signe d'avertissement. Dans ta tête, tu commençais à grogner comme un lion, ton ventre toujours vide.
Tu pris alors un bout de bacon qui traînait sur la pile de viande que l'élève avait regroupé. Tu le fixais, sans cligner une seule fois des yeux et mis le morceau de viande dans ta bouche. Tu le mâchas, lentement, goulûment, toujours les yeux encrés dans ceux de ton spectateur. Tu te réjouiras de sa réaction. Tu l'attendais avec impatience. En gros, tu le menaçais. Il n'avait aucune chance. L'alliance de toi et de la conscience de ton ventre était imbattable.
Tu redoutais quand même quelque chose. Son pouvoir. D'accord, il était bien plus original que le tiens, mais toi, tu avais l’expérience. S'il utilisait son pouvoir contre toi, tu penses que ça l'embêterai plus lui-même qu'autre chose. Tomber amoureux d'un élève, ce serait tellement amusant.
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Sujet: Re: Les côtelettes de la mort (w/ Noel Sixte) Dim 3 Nov 2013 - 11:28
Truc à dire.
I'M GONNA KILL YOU.
Le fou était sursauter de nulle part. Il était fou de rage, il avançait vers Noel. Il regardait ce qu'il y avait dans l'assiette derrière Noel, il était encore plus furieux qu'avant. Perdant son sang-froid de professeur -même si on doute de son soi-disant "sang-froid"-.
- QU'EST-CE QUE TU FOUS ICI BORDEL DE MERDE ? lança le prof.
Il avait utilisé ses pouvoirs de professeur et ses quelques centimètres qu'il avait en plus. Il pensait sûrement qu'il avait des ailes derrière son dos.
- et vous alors ? c'est pas votre local à ce que je sache.
Le prof avait commencé à dévisager Noel puis, engloutissait ses yeux vers ses vêtements. Il commençait à analyser ses vêments. Chemise à moitié défaite, l'autre dans le pantalon, les cheveux en batailles... «clochard.» pensait Noel, tout bas. Il en avait plus rien à faire de ce débile à moitié-fêlé. Il se retourna vers la nourriture, les côtelettes, les viandes. paradis sous ses yeux. Il allait plonger sa main dans ce paradis de viande, mais tout d'un coup, le fou se mit entre les viandes et Noel.
- C'EST A MOI ! TOI PAS TOUCHER !
Ce prof était fou. Il avait piqué un bout de bacon derrière lui puis se mit en position de combat. Il courba son dos et ouvra ses deux bras comme s'il voulait câliner le vent. Il regardait Noel, il le défia. Noel rigola tout bas. Il était ridicule. Lui, se mettre entre Noel et le paradis ? Hahaha. Il en a rien à faire.
- Ok, vas-y, mange tout, mon bon professeur.
Noel n'en avait rien à faire de lui. Il avait caché son plat préféré dans un des armoires, qu'il mange toute ces viandes, Noel, lui, avait caché les côtelettes dans l'armoire. Il sortait l'assiette des armoires, s'assit par terre et commença à déchirer ces viandes autours des os. Ce goût divin, la sauce qui enrobait ces côtelettes dégoulinait des doigts de Noel. 1, 2, 3, ces côtelettes partait après chaque minutes. Ses viandes lui avait donner de l'adrénaline, il lançait les os sur le professeur pour le défier, il rigola un bon coup et s'attaqua aux 5 côtelettes restants.
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Sujet: Re: Les côtelettes de la mort (w/ Noel Sixte)