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 Stop playing honey and come at home

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MessageSujet: Stop playing honey and come at home   Stop playing honey and come at home 1400359500-clockMer 1 Jan 2014 - 18:46

Stop playing honey and come at home



As life goes on I'm starting to learn more and more about responsibility, I realize everything I do is affecting the people around me



T'es qu'une âme errante, la chanson Lovely ne t'est jamais autant allée que maintenant mon ptit Summers. Oui, je parle de moi à la deuxième personne & alors ? T'es vraiment con ! Cale t'es bête et stupide mais diablement sexy ! FAIS MOI L'AMOUR. Non, ça serait pas son genre de me dire ça, un sourire se loge sur mes lèvres mais bon, après tout, je pense ce que je veux, j'suis seul dans ma tête, pas d'Ashley pour venir dans mon intimité et pouffer de rire - seulement cette musique qui me revient tutête et qui m 'parle.

I woke up in the middle of the night
Je me suis réveillé au milieu de la nuit
And I noticed my girl wasn't by my side,
Et j'ai remarqué que ma copine n'était pas à mes côtés,
Coulda sworn I was dreamin,
J'aurai juré que je rêvais,
For her I was feanin,
Pour elle j'étais meilleur
So I hadda take a little ride,
Donc j'ai dû aller faire un tour,
Back tracking over these few years,
Retraçant mentalement ces quelques années,
Tryna figure out what I do to make it go bad, 'cause
Essayant de comprendre où j'ai mal agis, car
Ever since my girl left me, my whole life came crashin
Depuis que ma copine m'a quitté, ma vie entière s'écroule

Oui, c'est vrai madame, à chaque chanson que je chante, je pense à lui, toutes les paroles lui vont si bien. Je suis coupable, coupable de l'aimer encore. Qu'on m'enferme, qu'on me dope de pilules, qu'on me le fasse juste oublier, je vous jure je ferais ce que vous voulez, mais s'il vous plait, empêchez moi de penser à lui, empêchez moi de le blesser. En ce moment je sais plus trop ce que je suis, le chevalier servant qui surveille la femme qu'il aime, ou le connard qui veut juste la blesser, je jongle entre les deux, horrible devant, gentil dedans. Je suis lassé. De tout absolument tout et... Surtout du basket mes paupières se ferment, je respire lentement, expirant la fumée de cigarette

< t'es pire qu'une meuf, Caleb, tu changes d'envies comme de string >

Kyle j'sais plus quoi faire, je suis un cas désespéré, viens me chercheeer. Tu sais je me suis mis au basket à cause de toi et maintenant que t'es plus là, j'ai plus envie d'en faire. C'est vrai, j'suis pire qu'une meuf et pourtant je peux pas m'empêcher de rire quand je me répète cette phrase, la phrase que t'mdisais sans cesse. Je ferme les yeux, la clope entre les doigts, chantant maladroitement, heureusement que y'a personne pour me voir, ni pour entendre sinon il penserait "il va se suicider" "nous avons perdu Summers" "il va s'étouffer avec cigarette, alongé dans cette position" "il chante vraiment vraiment trop b....non"

j'emmerde le monde, le monde m'emmerde, pensée phylosophique du jour, bonjour.
Je lève, augmonte le son, pour faire chier tout le monde et me met à hurler chanter

▬ So loneeely, so lonely, i'm mister Lonely, so loneleey BAABYYYY....

Aaaah, je m'ennuie tellement que ça me fait délirer. J'en ai marre d'y penser. Un soupire, je ferme les yeux. Quelques minutes plus tard, je suis dehors, sourire, main dans les poches je m'approche du Gymnase, bâtiment, impressionnant et grand, au moins pour ça le pensionnat Prismver à du bon. Je passe devant la grande cour, en trottinant, perdu dans mes pensées, et puis forcément, j'entends ce ballon rebondir sur le béton, ce son je le connais par coeur, comme si je l'avais faits, je l'ai vécu ce son. Je relève mes yeux bleus - lors de ma dernière cuite j'ai perdu mes lentilles- et ils se posent sur lui, jouant seul, comme d'habitude. ça fait 1 mois. J'ai l'impression d'avoir beaucoup changé alors que lui stagne sur la même courbe, Natsson, Natsson quand apprendra tu à te sociabiliser ? Non, je blague. Car s'il devenait soudainement social, sympa avec tout le monde, c'est sûr il attirerait beaucoup de filles et... Et je pourrais pas le supporter. Ce serait au-dessus de mes forces de le voir sourire à pleines dents devant une jolie fille sauf si je l'ai voulu. Je bats des cils quelques instants, m'arrêtant, le regardant jouer. BOUGE POV CON IL VA TE... Ah c'est trop tard, il a dû savoir juste avec son don que j'étais là, juste énervant n'est-ce pas ? Un sourire se loge sur mes lèvres, je suis poussé à lui parler par une étrange force, ça servirait à rien de continuer mon chemin alors qu'il est là juste devant moi, c'est lui la route que je dois prendre, tout simplement.

Never thought the day would come where you would get up
And run and I would be out chasing you
'Cause ain't nowhere in the globe I'd rather be,
Ain't noone in the globe I'd rather see
Then the girl of my dreams that made me
Be so happy but now so lonely

Je l'appelle par son nom de famiille d'une voix charmeuse.

▬ Tu devrais pas trainer ici aussi tardivement je m'approche lentement tu pourrais tomber sur des gens peu fréquentables.

Main dans les poches, je me penche, me corrigeant, car je sais qu'il n'aime pas que je l'appelle Natsson, mais il est tellement mignon quand je l'embête, un petit chiot qui mordille le doigt de son maitre, essaie-t-il de lui faire mal ? Essaie-t-il de jouer avec ?

▬ Skygge.

VAS Y BALANNCE LUI THE SMILE DU KING DE LA DRAGUE. Ahaha je me sens tellement sexy. Ahaha je suis définitivement un petit con, mais il me connaît. Avec ma main je lui fais signe de me passer la balle, gardant mes distances.

▬ Tu veux bien être mon dernier one-on-one ?


So stop playing girl and come on home

Le mon amour m'a brulé la gorge, je l'avoue, mais il m'reste un minimum de retenue. J'suis pas venu pour la guerre, j'suis pas venu pour la paix, je sais pas pourquoi j'suis venu, je crois qu'au fond j'ai envie qu'il me dise encore une fois je t'aime.


I'll be the reason for your pain and you can put the blame on me
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MessageSujet: Re: Stop playing honey and come at home   Stop playing honey and come at home 1400359500-clockMer 1 Jan 2014 - 21:17




CALE & SKYGGE

when I'm dancing with you
tomorrow doesn't matter



Ce matin, en te levant, tu aurais préféré ouvrir les yeux et voir cette personne allongée auprès de toi. Voir son visage endormi, l'entendre ronchonner dans son sommeil et se moquer gentiment de lui. Mais non. Parce que c'est fini, parce que la vie est injuste. Et parce que les mecs comme toi ne méritent pas d'être heureux avec la personne qu'ils aiment. Tu pousses un long soupire, hésitant vraiment à quitter la chaleur de tes draps. Puis, finalement, tu a daigné te lever pour aller t'habiller. Sautant l'étape cantine, tu es allé en ville, séchant une fois de plus les cours. A quoi bon y aller ? Ça ne ferait que plus mal encore. Tu as pris ton petit déjeuner en ville, mangeant pour trois. Puis tu as traîné pendant des heures et des heures, errant sans savoir où aller. Tu es allé à la plage, aux ruines, partout où tu pouvais. Et partout, il y avait un détail qui te le rappelait.

Un mois déjà. Le temps a passé si vite. Tu aurais voulu arrêter le temps, suspendre le cours de la vie. Mais non. Il y a des hauts et des bas. Et pour les cons comme toi, il y a un haut puis que de la merde. Tu l'as cherché, après tout. Si t'avais pas été si haineux envers ton propre don, si tu avais réussi à l'accepter, peut-être que t'aurais pas changé. Peut-être que, aujourd'hui encore, tu serais avec lui. Sauf que rien ne se passe jamais comme on veut. Un soupir franchit tes lèvres alors que tu te décides à rentrer au pensionnat. Tu fais un détour stratégique par le gymnase pour éviter de croiser un certain surveillant emmerdant.

Tu arrives devant le terrain de basket, t'y arrêtant pour observer les arceaux. Depuis la rupture, le basket est devenu ton refuge. Et Voltaire ta bouée de sauvetage. Mais tu n'oses pas trop t'appuyer sur elle. Non. Tu ne veux pas. La sociabilité n'est franchement pas une de tes qualités. Tes pensées noires reviennent à la charge et, après avoir secoué la tête, tu es allé chercher un ballon. Tu as besoin d'évacuer. Et le basket est vraiment la seule chose qui puisse t'y aider. Tu pourrais boxer un mur mais, à chaque fois que tes mains sont blessées, ses mots s'imposent à toi. "Tu dois prendre soins de tes mains, tu me promets de ne pas les abîmer ?" Tu tires le ballon. Panier.

Tu te fais une séance de tirs, seul. Et ça passe si vite que tu n'as pas vu l'heure défiler. Il est tard quand tu daignes enfin prendre le temps de regarder l'heure. Le ballon calé sous le bras, tu tires sur ton t-shirt pour t'essuyer le visage. Tu reprends ta respiration puis tu reprends. Mais tu sens une personne arriver, tu t'arrêtes, immobilisant le ballon entre tes mains, et tu tournes la tête vers le nouvel arrivant. Si c'est cet emmerdeur de Jim, tu lui balanceras le ballon dans la gueule. Mais non. Tu fronces légèrement les sourcils, la bouche entrouverte pour reprendre ton souffle, le regard rivé vers ton "visiteur". Cale. Ton coeur se serre, tu as l'impression de mourir. Sa voix arrive jusqu'à toi. Ton nom de famille. Tu ressers ton emprise sur le ballon, serrant les dents. Qu'un prof ou une personne que tu connais peu t'appelle pas ton nom de famille, ça ne te dérange pas. Mais si c'est une personne comme Cale... non. Tu digères pas. C'est comme si tu étais devenu un étranger pour lui. Et ça te brise totalement.

▬ Tu devrais pas traîner ici aussi tardivement, tu pourrais tomber sur des gens peu fréquentables.

Tu le regardes s'approcher avant de détourner la tête. Sa voix, son visage, son corps. Il te manque tellement. A tel point qu'être dans la même pièce que lui est devenu difficile à gérer. Tu voudrais tellement traverser la distance qui vous sépare et l'embrasser. Lui dire à quel point tu l'aimes, à quel point tu es désolé, à quel point tu es nul.

▬ Skygge.

Ton coeur loupe un battement. Tu déglutis discrètement. Tu lèves la tête vers lui, affichant un air à la fois reconnaissant et intrigué. Entendre ton prénom dans sa bouche... tu avais presque oublié à quel point ça pouvait te suffire à sourire. Ce que tu fais sans t'en rendre compte. Un demi-sourire, simple et sincère. Cale garde ses distances et te fait signe de lui passer le ballon. Tu fais l'aller-retour entre la sphère orange et ses yeux ambrés.

▬ Tu veux bien être mon dernier one-on-one ?

Tu clignes des yeux, le fixant avec surprise. Tu ne sais pas c'est quoi qui te choque le plus. Le fait qu'il laisse sous-entendre qu'il ne fera plus jamais de one-on-one, ou le fait qu'il s'adresse à toi pour en faire un. Tu retournes à la réalité, plaçant ta main sur ta hanche, le fixant. Tu hésites un moment avant de lui lancer le ballon, ton bras retombant le long de ton corps.

▬ ...pourquoi pas ?

Ton coeur se serre douloureusement. Est-ce ta faute s'il arrête le basket ? Non, pitié. Si c'est le cas, tu préfères encore quitter toi-même le club plutôt que de le laisser renoncer à ce loisir qu'il aime pourtant beaucoup. Tu te places sur le terrain. Tu brûles d'envie de lui demander, mais tu sais qu'il ne te répondrait pas. Ou, dans le meilleur des cas, il t'enverra paître. Tu réfléchis un moment, plantant ton regard dans le sien. Bordel c'que tu crèves d'envie de le prendre dans tes bras... Tu finis par te concentrer sur lui, ses muscles tendus, ses mouvements.

▬ C'est à cause de moi que tu arrêtes le basket ?

La bombe est lancée. Tes yeux sombres reviennent sur lui, tu profites d'un très court instant d'inattention de sa part pour lui dérober le ballon et t'élancer vers le panier. Tu prends tes appuis et tu effectues un dunk sans problème, rattrapant le ballon pour le faire rebondir au sol. Tu lui lances de nouveau, te rapprochant pour reprendre tes marques.

▬ Si c'est effectivement à cause de moi, il est hors de question que je te laisse faire. Et tu sais à quel point je peux être têtu. Si tu ne veux plus me voir... alors je quitterai le club et tu pourras rejouer normalement.

Tu adoptes une expression sérieuse et sincère, mais tu ne parviens pas à dissimuler totalement la tristesse dans ton regard. Encore moins l'amour. Pourquoi t'es là ? Pourquoi est-il là ? Pourquoi tu l'aimes encore comme un dingue ? Tu lui as dit l'autre jours, dans la salle commune. Que tu l'aimais encore. Tu n'as pas attendu de voir sa réaction et tu es parti. Par peur de voir ce sentiment être brisé par des paroles pleines de haine.


HRP ; je t'aime ♥

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MessageSujet: Re: Stop playing honey and come at home   Stop playing honey and come at home 1400359500-clockJeu 2 Jan 2014 - 23:14

Stop playing honey and come at home



Little baby did I leave a big scar ? Threw me way to far away, ain’t no stupid boomerang, ain’t no bitch for you to fuck, well now you’re all shit out of luck



Il m'envoie la balle, je dénoue ma cravate, enlève ma veste et me mets en place, il semble surpris que je sois là, HEIN, CA TU POUVAIS PAS LE PREVOIR QUE J'ALLAI ARRIVER. Je vois dans son espression qu'il meurt d'envie de me poser des questions. Ces yeux qui se posent sur moi me font plus de la peine qu'autre chose à chaque fois que je m'y plonge, je n'y vois que de la tristesse. Mon Skygge est devenu presque aussi triste que moi. Je fais rebondir la balle me concentrant sur les bruits qu'elle fait lorsqu'elle touche le sol, mais je n'y arrive pas, je n'y arrive plus, je sais pas ce que je vais faire sans le basket dans la vie, j'ai peur, mais je suis trop vide pour continuer à y jouer, je n'ai assez de force pour jouer de ma passion, pathétique, pathétique.

▬ C'est à cause de moi que tu arrêtes le basket ?
▬ Peut être bien.

Le ballon continue de rebondir, un instant de doute et il me la prend facilement des mains pour marquer un dunk. Jouer avec lui c'est vraiment horrible. Il est frustrant.  J'ai l'impression que plus les mois passent et plus son pouvoir est... performant, en fait il est quasiment imbattable. Bon d'accord son instinct n'est pas fiable à 100% mais assez pour que ça fasse perdre toute envie de gagner à l'adversaire. Il se remet en place, me lançant la balle de nouveau, je la réceptionne. Et il parle. Encore. Beaucoup trop. Je me mets en position, main sur le ballon, je me concentre, les trois points c'est mon truc, OUAIS CEY MADE BE CALE LES TROIS POINTS. Ouais, c'était mon truc, un sourire vient se loger sur mes lèvres et je me perds un peu dans mes pensées. Je me souviens de l'excitation, du silence dans la salle, du ballon qui tourne autour de l'arceau, qui tombe finalement dedans, la fin du match qui sonne, la foule qui explose, j'étais connu pour être celui qui fait gagner son équipe à la dernière seconde, avec un panier à 3 points. à cette époque, j'étais fier, j'étais beau, j'étais LE mec. Kyle aller amoureusement serrer dans ses bras sa petite amie, moi, je me faisais interpeler par ma mère, elle était fière et me couvrait de baisers, j'étouffais. Je vous jure elle était fière de moi, quand je jouais au basket. Mes yeux se plissent, mes muscles se tendent et c'est d'une facilité déconcertante que le ballon rentre dans le panier. Qu'est- devenu Cale Summers ?

▬ Les seuls truc que tu peux pas stoper c'est les tirs longue distance, non ? je vais reprendre le ballon et le fait rebondir tu es bon dans ce genre de tir ?

Bon, oui, je ne réponds à aucune de ces questions mais. Je soupire agacé. Poses mes prunelles sur lui, lui envoyant le ballon, je le toise.

▬ On est là pour discuter ou pour jouer ?

Non mais sérieusement, il croit que je suis puéril au point de vouloir partir du club juste pour ne pas le voir ? Mais jusqu'où va son taux d'imbécilité ? En plus de dire des conneries il en a plein la tête, des conneries.

▬ Tu te rejettes toujours la faute, même quand c'est pas la tienne, tu préfères te blesser que blesser les autres, c'est ce qui m'énerve le plus chez toi je prends sur moi pour rester calme, je l'avoue j'ia trop fumé, je suis légèrement nerveux Je te jure que si tu veux qu'on parle on va s'engueuler.

Je regarde derrière moi, pour vérifier qu'il n'y est pas un pauvre mec qui passe et qui assiste à ce qui reste de ma vie sentimentale. Je prends sur moi, ferme les yeux un court instant et me mets à réfléchir, je sais pas quoi faire, ni quoi dire je pourrais m'énerver sur lui, lui demander d'être mon sex friends, je pourrais l'insulter (ça il le verrait pas venir à l'avance hein, ... non c'est pas marrant) je pourrais lui parler calmement l'appeler "mon petit Skygge" et aller lui faire des gâteaux, je pourrais le battre en trichant avec mes 3 points, mais je n'en fais rien, je le regarde, une légère douleur au coeur et lui demande, la gorge légèrement serrée., le regard fuyant

▬  Tu veux que je réponde à ton je t'aime de la dernière fois, Natsson ?

Le regard triste, je n'avais pas pensé à ce qu'il ressentait, lui. Et contrairement à moi, il n'a pas la clope pour le consoler. S'il me répond oui je sais pas ce que je vais bien pouvoir dire, est-ce que je dois lui dire que je l'aime ou que je l'aime plus ? Mes poings se serre , ma machoire, mon coeur on s'en remettra, de nous, ça prendra du temps mais on s'en remettra, on tiendra bon, ouais.



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MessageSujet: Re: Stop playing honey and come at home   Stop playing honey and come at home 1400359500-clockSam 4 Jan 2014 - 1:46




CALE & SKYGGE

when I'm dancing with you
tomorrow doesn't matter



Quand il te dit que c'est effectivement peut-être bien à cause de toi qu'il arrête, ton coeur se serre. Ça fait mal. Tellement mal. En être arrivé là. Tout ça. Si t'avais su, t'aurais préféré crever plutôt que de venir étudier ici. Mais, en même temps, sans ça, t'aurais jamais rencontré Voltaire, jamais rencontré Lys, et les autres. Mais, surtout, t'aurais jamais pu mettre un nom, ni un visage, sur le verbe aimer. Car c'est bien celui de Cale qui s'impose à toi quand tu parles d'amour. Pour le peu que t'en parles.

Il fait allusion au fait que tu ne puisses pas arrêter les shoots à trois points. Tu peux les prédire, mais tu n'arrives généralement pas à les arrêter. Cela dit, tu sais les effectuer. Malgré que les chances que le ballon rentre dans les filets soient plus hasardeuses. Tu préfères les dunks, même si ça rapporte moins de points. Bref. Il te lance le ballon que tu récupères adroitement.

▬ On est là pour discuter ou pour jouer ?

Tu hausses les épaules. Un peu des deux. Qu'est-ce qu'il espérait en te demandant de jouer avec lui ? Que t'allais sagement fermer ta gueule ? Bin non.

▬ Tu te rejettes toujours la faute, même quand c'est pas la tienne, tu préfères te blesser que blesser les autres, c'est ce qui m'énerve le plus chez toi. Je te jure que si tu veux qu'on parle on va s'engueuler.

Tu plonges ton regard dans le sien. Tu aurais préféré avoir une discussion plus platonique. Même si ce n'était que de la parlote sur la pluie et le beau temps. Qu'importe. Tu fixes son visage et tu repenses à un détail. Tu te souviens des mots de Jim. Il disait qu'il prévoyait une fête durant laquelle il irait parler à Cale. Qu'il y avait de fortes probabilités pour que ça se passe mal. Et tu as appris que Cale avait reçu un coup de poing. De Jim qui plus est. Tu le retiens celui-là. L'envie de lui flanquer une rouste te démange, mais tu ne peux pas. Parce que Cale n'est plus tien. Parce que ses problèmes ne te concernent plus. Parce que sa vie n'est plus liée à la tienne. Mais ça ne dispensera pas le A d'une engueulade carabinée.

Tu profites que Cale ferme un instant les yeux pour prendre tes appuis et tenter le trois points. Le ballon heurte le panneau et roule le long de l'arceau avant de basculer dans les filets. C'est passé de justesse. Le prochaine trois points ne passera pas. Tu t'apprêtes à aller chercher le ballon lorsque tu remarques le regard fuyant de ton adversaire. Bordel qu'il est beau...

▬ Tu veux que je réponde à ton je t'aime de la dernière fois, Natsson ?

Tu fronces les sourcils. Natsson. Tu sers les poings un très court instant avant de détourner la tête. C'est vrai, tu l'aimes encore. Et il le sait. Tu brûles d'envie de lui dire oui. Tu meurs d'envie qu'il te réponde qu'il t'aime encore. Mais l'idée qu'il puisse te dire à quel point il te déteste t'anéantit totalement. Tu préfères vivre dans l'ignorance. Tu préfères vivre sans savoir ce qu'il ressent. Parce que c'est plus facile de continuer à avancer en ignorant ce que l'autre pense. Certes, s'il t'aime toujours, avancer en gardant la tête haute serait plus aisé. Mais ce serait trop beau pour être vrai.

▬ ...non. C'est inutile.

Tu le contournes pour aller chercher le ballon. Tes mains tremblent légèrement sur la surface granulée du globe orange. Tu pousses un soupir et tu le rejoins.

▬ J'ai pas besoin de savoir à quel point tu me hais. J'ai pas besoin de savoir à quel point je suis devenu un étranger pour toi. Tu marques une pause durant laquelle tu lui donnes le ballon. Tu voulais jouer, pas vrai ? Alors jouons.

Tu cherches à éviter le sujet, en réalité. Parce que tu as peur de ce que tu pourrais entendre. Vraiment peur. Si peur que tu serais capable de faire tes bagages et de rentrer au pays. Tu secoues la tête, faisant craquer les articulations de ton cou. Te concentrer sur le jeu, sur le basket. Sur ton adversaire. Tu le fixes intensément. Et dieu sait à quel point c'est une torture. Ne plus pouvoir le toucher, l'enlacer, l'embrasser...

Tu tentes de lui voler le ballon, mais il évite de justesse. Tu esquisses un sourire, anticipant ses mouvements. Il sait que les tirs à trois points sont ta faiblesse, il va miser dessus. Mais si tu le marques de trop près, il ne pourra pas prendre ses appuis suffisamment longtemps pour pouvoir shooter. Tu le colles donc au train, faisant écran entre le panier et lui. Ça te rappelle le bon vieux temps. Tu finis par lui prendre le ballon, mais tu ne vas pas à la charge, tu te contentes de le regarder.

▬ J'peux pas croire que tu veuilles abandonner le basket. T'es trop doué et t'aimes trop ça pour quitter. Y a autre chose là dessous. De quoi t'as peur, Cale ?

Tu pivotes, tu prends tes appuis, tu sautes. Mais sa main s'interpose. Astucieux. Tu forces le passage du ballon, mais il réussit à l'effleurer suffisamment pour permettre au ballon de rebondir sur l'arceau et d'être envoyé plus loin. Tu regardes l'objet s'éloigner puis tu fixes Cale, t'essuyant le visage avec ton t-shirt, dévoilant ton abdomen. Oui, Cale est bien trop doué et bien trop passionné pour se permettre d'abandonner. Tu refuses de l'admettre.

▬ C'est quoi la véritable raison ?


HRP ; //

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MessageSujet: Re: Stop playing honey and come at home   Stop playing honey and come at home 1400359500-clockLun 6 Jan 2014 - 3:06

Stop playing honey and come at home



J’imagine que plus on en apprend sur l’amour, plus on devient mauvais




▬ ...non. C'est inutile.

Mon coeur se serre, je reste muet, c'est ça, mes sentiments sont inutiles, ce que je ressens pour toi c'est inutile ? Oui, c'est vrai, mais ça me fais mal, ça me fais mal pour rien. RHA MERDE. pourquoi on a dû en arriver là ? Je déteste ce trop plein de sentiments chez moi. Il me contourne pour aller chercher le ballon, j'étouffe.

▬ J'ai pas besoin de savoir à quel point tu me hais. J'ai pas besoin de savoir à quel point je suis devenu un étranger pour toi.

ça fait tellement mal... Je rattrape le ballon, sans émotion, en ne bougeant pas, allez, merde, dis quelque chose, je serre la balle un peu plus contre moi.

▬ Tu voulais jouer, pas vrai ? Alors jouons.

Je déglutis,  jonglant avec l'épaisseur ronde, allez, souris, putain, machine à sourires, Ken, tu vas sourire, tu vas sourire.

▬ Compte sur moi pour t'exploser

Large sourire, la balle commence à rebondir sur le pavé, alors que ses yeux se font assistants sur moi, tellement frustrant, ça me déconcentre énormément à me dire qu'il me regarde là, maintenant. Il m'aime, veut-il m'embrasser ? Veut-il me toucher ? Il essaie de choper la balle, mais je ne le laisse pas faire, je veux pas perdre, je veux le battre, je veux partir vainqueur. Il me colle, il a dû comprendre que ma stratégie allait être les 3 points, tss, tss, tss, je tente quand même le tout pour tout, me disant que peut être si... Mais il me prend la balle, facilement

▬ J'peux pas croire que tu veuilles abandonner le basket. T'es trop doué et t'aimes trop ça pour quitter. Y a autre chose là dessous. De quoi t'as peur, Cale ? un léger sourire, ça le tracasse vraiment que je quitte le club, hein ?
▬ J'ai peur de rien, c'est pas de la peur

Ma respiration commence à s'accélérer, il essaie de marquer un panier mais je le lui empêche, de justesse, c'est toujours de justesse avec lui, le ballon va s'écraser plus loin, j'ai un peu trop forcé sur ma main, je la regarde, la bougeant, puis forcément une fois après avoir fini de faire mumuse avec ma main, je tombe face à face à ses abdomens qu'il laisse subtilement apparaître en s'essuyant, je, ah merde, JE REGARDE AILLEURS PUTING, oh mon Dieu je n'avais pas vu, ils ont repeint les murs en blanc.

▬ Hey t'as vu ça, ils ont repeint les murs !

Non il s'en fout, non, on ne changera pas de sujet.

▬ C'est quoi la véritable raison ?

Je lève les yeux au ciel, reporte mon attention sur ma main, puis sur lui, je, quoi. Il sait donc que ce n'est pas à cause de lui que je veux partir, c'est déjà bien. Je cherche ses foutus yeux bleus

▬ Tu vois c'est comme toi avec moi, tu m'aimes mais tu veux pas être avec moi, j'aime le basket mais je ne veux pas en jouer je prends un air plus dur et ferme qui fait comprendre qu'il vaut mieux clore le sujet dès à présent c'est comme ça, y'a pas d'explications, du jour au lendemain.

Et je quitte son regard car je sens les nerfs montés et quand les nerfs montent, je fume. Je vais chercher la balle, la fait rebondir et m'arrête près de lui, lui fait comprendre que le match recommence.

▬ J'sais pas ce que t'as cru. Qu'on serait ami ? tu veux être mon ami c'est ça ? Et bien, soyons les meilleurs amis du monde mon petit Skyggounet.

Je prends appuis sur mes talons, me concentre et marque 3 points, tellement facile. Je passe ma langue sur ma lèvre, reprenant ma respiration, le regardant oui, je compte bien te faire perdre je regarde le panier, l'arceau le ballon, et lui demande d'aller chercher la balle.

▬ Un jour je t'apprendrai à faire des 3 points je soupire, un discret sourire comme ça tu seras imbattable.

J'en ai marre d'être méchant, s'il vous plaît, faites moi devenir le gentil de l'histoire.

▬ Et crois pas que j'dis ça, car je t'aime bien.

Bon, c'est pas pour tout de suite.

HRP ; je rajouterai des lignes pour combler le vide QAQ <33333333
Je t'aime ♥

Your touch is all I desire, one look and you take me higher
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MessageSujet: Re: Stop playing honey and come at home   Stop playing honey and come at home 1400359500-clockMer 8 Jan 2014 - 17:07


 come back at home, please



Il essaie de changer de sujet en parlant des murs, mais t'as pas con à ce point. Tu vas pas tomber dans le panneau. Il regarde sa main puis relève la tête, plongeant ses yeux dans les tiens. Tu ne détournes pas le regard, affrontant le sien.

▬ Tu vois c'est comme toi avec moi, tu m'aimes mais tu veux pas être avec moi, j'aime le basket mais je ne veux pas en jouer.

Tu fronces les sourcils, prêt à répliquer, mais il te fait clairement comprendre que le sujet est clos avec un regard autoritaire, presque froid. Tu pousses un grognement, détournant cette fois la tête. Ça t'énerve. La manière qu'il a d'agir avec toi t'insupporte. Le coeur serré, tu le regardes aller chercher la balle. C'est vrai, comment vous en êtes arrivés là ? Tu soupires discrètement, te massant la nuque tandis qu'il revient.

▬ J'sais pas ce que t'as cru. Qu'on serait amis ? Tu veux être mon ami c'est ça ? Et bien, soyons les meilleurs amis du monde mon petit Skyggounet.

Il prend ses appuis, mais tu ne cherches même pas à prendre les tiens pour tenter de stopper la balle. Le ton de sa voix t'a paralysé, voir même conforté dans cette idée qu'il te déteste. Et c'est dur, ça fait mal. Autant qu'un poignard qu'on t'aurait planté en plein coeur. Enfin... tu as très peu d'éléments de comparaison.

Tu préfères même regarder ailleurs plutôt que de le fixer lui. Tu hais cette facette de lui qui semble tellement fausse. Mais t'es plus en mesure de lui dire quoi que ce soit. Alors tu fermes sagement ta gueule. Peut-être que t'es un peu maso de rester là, avec lui, et de supporter ses mots qui traduisent tout sauf de l'amour ou de l'amitié. Peut-être oui. Mais tu préfères te taire et encaisser, juste pour avoir la chance d'être avec lui. Tu vas donc chercher la balle, la gardant entre tes mains tout en revenant vers lui.

▬ Un jour je t'apprendrai à faire des 3 points. Comme ça tu seras imbattable.

Tu regardes la balle puis lui, silencieux et n'affichant aucune expression en particulier. Dépourvu de toute émotion, tu sais qu'une chose s'est brisée en toi. Et que ça ne pourra sans doute jamais être réparé. Uniquement par lui. Mais tu peux faire une croix dessus.

▬ Et crois pas que j'dis ça car je t'aime bien.

Tu hausses les épaules, te tournant vers le panier. Tu te concentres, prends tes appuis, et tires. Un 3 points qui rentre sans trop de mal. Le ballon rebondit sur le sol et tu t'avances pour aller le récupérer, passant prêt de lui.

▬ J'ai pas besoin d'apprendre à faire des 3 points. J'ai pas besoin de devenir imbattable. Alors pas besoin de m'encombrer de choses comme celles-là.

Tu reviens à sa hauteur. Tu lui mets la balle entre les mains. Vous êtes si proches à cet instant que l'idée de l'embrasser te traverse l'esprit. Tu te tapes même une fixette sur ses mains tenant le ballon. Tu finis par soupirer, t'écartant pour retourner à ta place. Mais tu lui tournes le dos, les yeux rivés sur le panier de basket.

Il n'est pourtant pas sans savoir que, en arrivant ici, tu disais en avoir fini avec le basket. Le simple fait d'en parler t'énervait. Tu refusais d'en rejouer à nouveau. Puis tu l'as rencontré. Il a été tellement emmerdant que tu pensais sérieusement l'encastrer dans un mur ou le noyer dans le caniveau le plus proche. Puis ça a été tout le contraire. Il t'a redonné le goût de jouer, le goût de profiter de la vie, de tout ça. Tu pivotes, à moitié tourné vers lui, le regard sincère et les sourcils légèrement froncés, un sourire éteint aux lèvres.

▬ La seule chose dont j'ai réellement besoin, je ne l'aurais jamais.

Tu te tournes de nouveau vers lui, prenant tes marques, courbant doucement le dos, te concentrant sur ses mouvements.

▬ Puisque tu vas quitter le club, je n'aurais plus de raison d'y venir non plus. C'était toi ma motivation.

Ta décision est prise. S'il part, tu partiras. Parce que c'est lui qui t'a redonné goût au basket. Il y a eu aussi Gautier et Pytha, mais la première démarche venait de Cale. Et tu ne l'oublierais jamais. Un sourire nostalgique ourle alors tes lèvres.

▬ Désolé de profiter de l'occasion pour tirer, moi aussi, ma révérence.

La vie sans lui n'a de toute façon plus de saveur. Alors le basket, n'en parlons même pas. T'es dingue de lui. Son départ signifie la fin de tout pour toi. Plus rien ne vous liera. Si ce n'est quelques amis ou connaissances en commun. C'est ton deuxième adieu au basket. Peut-être définitif qui sait. Si tu n'as plus Cale, tu n'as plus rien. Il y aura toujours Voltaire, Lys, Heath. Mais sans coeur, tu ne peux plus vivre correctement. Tu te redresses, mettant une main sur ton coeur, les yeux clos. A l'époque, au Danemark, c'était ainsi que ton équipe saluait le départ d'un des joueurs. Les yeux clos signifiait qu'on ne le voyait plus, et la main sur le coeur montrait qu'il avait toujours sa place à cet endroit. Tes yeux s'ouvrent de nouveau et tu murmures.

Il t'a toujours appartenu, et il t'appartiendra toujours.


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MessageSujet: Re: Stop playing honey and come at home   Stop playing honey and come at home 1400359500-clockJeu 9 Jan 2014 - 1:27

Stop playing honey and come at home



I need a doctor



Il se concentre balle en main et marque un 3 points sans trop de mal. Il se retourne vers moi en haussant les épaules. Punaise, même quand je fais -un peu- des efforts pour être gentil il me remballe "blabla pas besoin" quel gros con je le rhgjerhhjgehh. Moue boudeuse. Il me met la balle dans les mains, pendant que je l'insulte mentalement, le pire, le pire c'est qu'il reste devant moi comme s'il allait me bouffer, il regarde avec insistance mes mains. Je me sens mal à l'aise, je sais pas.... ce qu'il est en train de faire, de penser, pourquoi il regarde mes mains ? Te gêne pas pour les embrasser gnihi ♥ yeah, non... Je le dévisage, essayant de comprendre. Finalement il soupire, je le regarde s'éloigner, what is the problem with this nigguh ? I dont fucking know.
Andi dépresseur, anti dépresseur. Je joue seul, marquant des trois points.

▬ La seule chose dont j'ai réellement besoin, je ne l'aurais jamais.
What. Un soupire, je ferme les yeux. J'ai tout sauf toi, donc rien puisque tu es tout, et que je ne t'ai pas je m'arrête de jouer un instant
▬ Si dans "chose dont tu as réellement besoin" tu veux dire moi, sache que tu m'as eu, tu m'as eu et... ah merde... et... tu m'as quitté.

Je balaye les souvenirs de cette journée rapidement de ma tête, je m'en remet toujours pas, combien de temps ça va durer ainsi, ce mal au coeur ? Il reprend ses marques, se courbe, je n'ai aucune envie de jouer, de faire retentir la balle sur le terrain, il reprend.

▬ Puisque tu vas quitter le club, je n'aurais plus de raison d'y venir non plus. C'était toi ma motivation.

Je soupire, levant les yeux aux ciel, je jongle une nouvelle fois avec le ballon, il s'excuse de profiter de l'occason pour partir. Je peux pas le laisser faire ça, le laisser s'en aller du club, j'étais tellement content  qu'il s'y soit remit. Si je montre un seul signe de faiblesse il quittera ce club, je peux pas. Je continue de réfléchir ballon dans les mains. Il ferme les yeux, porte sa main à son coeur et murmure je ne sais quoi.

Je lui balance la balle orange dessus - bon elle va s'échouer tel un déchet sur le sol mais VOILA - je chope son attention.

▬ Arrête de murmurer, assume ce que tu dis je prends un ton ferme, le fixant tu ne quitteras pas ce foutu club, tu vas bouffer du club de basket jusqu'à la fin de ta vie, tu m'entends ?  Je viendrais te tenir la main tous les jours pour t'y emmener si tu veux. Oh me regarde pas comme ça je sais que ça te plairais. un léger sourire à cette pensée, je reprends T'es bon au basket, t'aimes ça, faut pas que tu t'arrête à cause de moi ! Tu cherches à me faire culpabiliser ? je baisse tristement les yeux Tu vas faire du beau temps & même de la pluie ta nouvelle motivation, puis tu vas m'oublier j'ai du mal à cracher ces mots, mais faut que je le dise oublie moi Skygge !

je t'en supplie oublie moi, disparais, tu me fais trop mal, je t'en supplie m'oublie pas, reste avec moi, tu me fais sentir vivant, je sais plus ce que je veux, je suis perdu  je reprends plus bas, tristement, les yeux baissés, les poings sérrés

▬ Si tu veux passer de "rien" " à "ami" il va falloir que tu arrêtes de me regarder comme ça, car c'est insoutenable...

Je me mords la lèvre, je sais pas ce qu'on va faire, ce qu'on va devenir, je suis en colère contre lui, vous savez pour ce remettre d'une rupture il y a plusieurs étapes, j'ai sauté l'étape "tristesse" pour directement aller sur la case "colère" et maintenant je peux pas me remettre correctement de cette rupture... Pourquoi tu 'mdis je t'aime alors que t'as voulu rompre avec moi ?

▬ T'es vraiment aveugle...

Un léger sourire, un léger pincement, ça me rappelle le jour de ma déclaration. Il croyait que je l'aimais pas, je croyais qu'il ne m'aimait pas, là ça va que d'un sens il croit que je l'aime pas, je sais qu'il m'aime, je... je sais pas je devrais peut être lui dire ces deux mpts, comme m'a dit Jim, comme m'a dit Voltaire, oui je devrais.  

▬ Tu vois pas que je ...

ça reste dans ma gorge, non je peux pas le dire. ça fait erreur dans mon cerveau je déglutis, je meurs. Quelle folie m'a frappé ? Je lui tourne le dos, je soupire et me dirige vers l'entrée du terrain pour reprendre ma veste, j'en sors une clope - ma dernière-  et je vais m'assoir sur le banc vert à l'extérieur du terrain m'asseyant sur la partie supérieur du banc , mettant mes pieds là ou les gens normaux s'assoient  - i dont fucking care sur le coup, HEIN- j'allume une clope "pause"  il préfère discuter,  soit, on va parlementer. Je lui lance au cas où qu'il décide de s'enfuir comme un voleur, un bref sourire mon subconscient me hurle d'arrêter de blesser ce pauvre garçon

▬ T'as besoin d'une invitation pour v'nir t'asseoir ?

Allez mon petit Skygge, on se dépeche de venir s'assoir sur le banc. Et qu'il mette ses fesses là ou je mets les pieds, car ça me stresse, il est trop grand, pfeuh.  Je tire une taffe et l'expire avant de lui tendre ma cigarette, sans le regarder, il n'a qu'à me la prendre des doigts

▬ Tiens, fumes. Tu me tue le coeur, laisse moi te tuer le poumon

J'espère qu'il ne va pas le faire, quand même, hein.


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MessageSujet: Re: Stop playing honey and come at home   Stop playing honey and come at home 1400359500-clockDim 12 Jan 2014 - 20:21


 come back at home, please



Il te balance le ballon si mollement que tu es obligé de te pencher pour le rattraper avant qu'il n'atteigne le sol. Ce qui t'arrache un sourire amusé. Tu te redresses, capté par son regard, par l'infinité de ses yeux d'or.

▬ Arrête de murmurer, assume ce que tu dis.

Tu lui tires la langue pour seule réponse tandis qu'il prend un ton plus ferme.

▬ Tu ne quitteras pas ce foutu club, tu vas bouffer du club de basket jusqu'à la fin de ta vie, tu m'entends ? Je viendrais te tenir la main tous les jours pour t'y emmener si tu veux. Oh me regarde pas comme ça je sais que ça te plairait.

Tu hausses un sourcil. D'abord par le fait qu'il veuille te forcer à jouer au basket. Mais l'idée qu'il te tienne la main... rien que ça, ça suffit à t'arracher un sourire nostalgique. Et tu remarques aussi son sourire. Mais c'est certainement une illusion. Tu cales le ballon sous ton bras, ton autre main venant se poser sur ta hanche. Tu l'écoutes attentivement, respectueusement.

▬ T'es bon au basket, t'aimes ça, faut pas que tu t'arrête à cause de moi ! Tu cherches à me faire culpabiliser ? Tu vas faire du beau temps & même de la pluie ta nouvelle motivation, puis tu vas m'oublier. Oublie moi Skygge !

Tu restes silencieux, le coeur serré. Oublier Cale ? Tu as essayé. Que les dieux nordiques t'en soient témoins, tu as essayé. Sans succès. Son visage hante tes pensées, son sourire suffit à faire battre ton coeur meurtri. Tu aimes bien trop Cale pour pouvoir l'oublier. Il te faudrait bien plus de temps. Toute une vie peut-être.

▬ Si tu veux passer de "rien" à "ami" il va falloir que tu arrêtes de me regarder comme ça, car c'est insoutenable...

Tu voulais lui répondre que tu ne voulais pas être son ami. Que tu voulais plus. Que tu le voulais lui. Mais tu tais ce voeu. Tu fronces les sourcils, détournant doucement la tête. Tu crèves d'envie de lui ouvrir ton coeur, de lui dire à quel point tes sentiments pour lui te consument. Mais tu en es incapable. Cette trêve entre vous est bien trop fragile, bien trop instable, pour que tu puisses te permettre de te lancer.

▬ T'es vraiment aveugle...

Ses mots font échos à cette journée pluvieuse durant laquelle vous avez enfin osé vous dévoiler. Cette même journée où ses lèvres se sont posées sur les tiennes. Tu inspires, regardant le plafond. Ne pas pleurer, surtout pas. Rester fort.

▬ Tu vois pas que je ...

Tu fronces les sourcils, le regardant alors. Qu'il quoi ? Ton coeur bat à tout rompre. Non, calme-toi Skygge, ce serait vraiment trop beau pour être vrai. Calme-toi ou ton coeur va te lâcher. Trop d'émotions d'un coup. Il se dirige alors vers sa veste, en soutirant une clope avant de sortir. Tu ne le vois bientôt plus et la tension retombe d'un coup. Putain, c'est tellement dur. Soudain, sa voix te parvient.

▬ T'as besoin d'une invitation pour v'nir t'asseoir ?

D'abord surpris, tu finis par le rejoindre après avoir secoué la tête en souriant. Installé de manière peu conventionnelle, tu poses tes fesses sur le banc, pensant qu'être sur la même hauteur que lui pourrait lui déplaire. Il te tend alors sa cigarette. Tu hausses un sourcil, levant les yeux vers lui. Il sait pourtant que tu ne fumes pas.

▬ Tiens, fume.
▬ Tu sais bien que je ne fume pas, Cale.

Tu poses ta main sur la sienne, la repoussant doucement. Le contact avec sa peau te semble électrique, douloureusement délicieux. Tu rougis presque, détournant la tête en ramenant un genou contre ton torse, appuyant tes deux mains dessus avant de poser ton menton dessus. Tu repenses à ses mots, réfléchissant. Il faut bien que tu y répondes.

▬ J'ai essayé, tu sais. T'oublier je veux dire.

Tu laisses un silence s'installer. Et lorsque tu sens qu'il te regarde, tu reprends, les yeux rivés sur les buissons à quelques pas de vous.

▬ Si les sentiments étaient partis, peut-être que ça aurait été plus facile de le faire. Mais ce n'est pas le cas. Et je ne peux pas oublier la personne que j'aime. Me demander de t'oublier, c'est comme me demander d'oublier d'aimer.

Tu te risques à le fixer, le regard sérieux, déterminé, et irrévocablement amoureux.

▬ Je ne peux décemment pas oublier la personne à qui j'ai donné mon coeur. Alors ne me demande plus jamais un truc pareil.

Tu reportes ton attention sur les buissons pour ne pas subir un quelconque reproche à travers ses beaux yeux.

▬ Il est évident que la manière dont je t'aime aurait fini par te faire souffrir. Et... je ne pense pas que tu aurais accepté d'être emprisonné par un tel sentiment. Parce que je suis incapable de me contrôler. De maîtriser tout ça. Je ne sais pas le faire. Alors, oui, j'ai pris la décision de te quitter. Mais, crois-moi, aujourd'hui encore, je le regrette. Parce que, oui, la seule chose dont j'ai besoin, c'est toi.

Tu pousses un soupir, le coeur battant. Il t'en a fallu du courage pour dire tout ça. Du courage pour ne pas avoir simplement fui. Du courage pour assumer tes mots. Du courage encore pour subir ses foudres, ses mots poignants. Ceux qui allaient venir. Ceux qui te briseraient. Ceux qui signeraient ton arrêt de mort.

Tu finis par te lever, avançant un peu, mains dans les poches. La fraîcheur te fait un peu frissonner, mais c'est agréable. Une température te rappelant ton Danemark natal. Tu te tournes vers lui, esquissant un sourire.

▬ Quant au basket... laisse-moi te retourner tes mots. Tu es doué et tu aimes ça. Alors pourquoi arrêter ? C'est toi qui m'a redonné goût à tout ça. Alors si t'es plus là, à qui je vais me raccrocher ? A personne. Parce que marquer des paniers, faire remporter l'équipe... tout ça n'aura plus de saveur sans toi. Alors à quoi bon ?

Tu finis par shooter dans un caillou puis tu regardes les lieux avant de sourire, nostalgique à nouveau.

▬ C'est ici qu'on s'est rencontrés. Tu te souviens ? Léger rire amer. A l'époque, c'était toi le passionné, et moi le récalcitrant.

Tu finis par le regarder, tes yeux reflétant un mélange de tristesse, de regret, d'amour... Et tu repenses à ses mots. "Si tu veux passer de "rien" à "ami" il va falloir que tu arrêtes de me regarder comme ça". Tu reprends confiance en toi, suffisamment pour lui tendre la main pour une poignée de main amicale.

▬ Devenons amis, tu veux bien ?

Mais tu ne garantis pas pouvoir réussir à changer ton regard sur lui aussi rapidement qu'il le voudrait. Parce que, quoi qu'il puisse se passer entre vous, tu l'aimeras toujours.


je te vends
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fais de moi
ce que tu veux

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MessageSujet: Re: Stop playing honey and come at home   Stop playing honey and come at home 1400359500-clockJeu 16 Jan 2014 - 4:36

Stop playing honey and come at home



Le bien qui fait mal



▬ Tiens, fume.
▬ Tu sais bien que je ne fume pas, Cale.


Il pousse ma main, rejettant la cigarette, je souris et met la cigarette dans la bouche

▬ L'amour ça rend con tellement con qu'on ne le voit pas on ne sait jamais.

Je détends mes jambes et regarde le ciel, je refléchis, je m'égare, je viens de rencontrer une fille, le sait-il ? Les rumeurs vont bon train, on nous voit comme le nouveau couple à la mode. Il ramène ses genoux contre son torse, pose son menton dessus. Je ramène mes jambes. Il ouvre la bouche, pour revenir sur un sujet, je grogne légèrement je joue avec ce que j'ai entre les doigts, ouais on pourrait devenir un couple très populaire elle et moi. Cale et Skygge c'est tellement démodé...Ouais et pourtant j'arrive pas à controler ce que je ressens, je déteste ça.

▬ hn.

Je regarde ma cigarette, fais tomber la cendre, et murmure un "je vois" et le regarde, je n'aime pas trop comment le sujet évolue, dites moi juste pas qu'il va me sentir une déclaration, je sus pas pret à entendre ce qu'il à a me dire, je ferme les yeux, presse les poigts.

▬ Si les sentiments étaient partis, peut-être que ça aurait été plus facile de le faire. Mais ce n'est pas le cas. Et je ne peux pas oublier la personne que j'aime bouche toi les oreilles, bouche toi les oreilles Me demander de t'oublier, c'est comme me demander d'oublier d'aimer.

Je déteste tellement tout ce qu'il dit, ça suffit, on a rompu c'est terminé. tu crois quoi que je vais revenir dans tes bras ? Parce que tu regrettes ? Que t'es désolé ? Que tu m'aimes ? J'ai trop le gout du mensonge dans la gorge, il m'a laissé tombé. Je peux pas lui pardonner. Coude sur ma jambe, ma main vient sur ma tempe, je me la masse, arrête de parler arrête de parler, je suis fatigué, lassé de t'aimer  ne me demande plus jamais un truc pareil. D'accord mais arrête  de parler

Je ne suis absolument pas d'humeur pour les déclarations à l'eau de roses que tu aimes temps me répeter.


▬ Il est évident que la manière dont je t'aime aurait fini par te faire souffrir c'était tellement mieux de me quitter pour me faire souffrir, léger sourire, je secoue la tête et soupire Et... je ne pense pas que tu aurais accepté d'être emprisonné par un tel sentiment. Parce que je suis incapable de me contrôler. De maîtriser tout ça. Je ne sais pas le faire. Alors, oui, j'ai pris la décision de te quitter douleur, je plisse les yeux, douleur lacinante Mais, crois-moi, aujourd'hui encore, je le regrette. Parce que, oui, la seule chose dont j'ai besoin, c'est toi.

la seule chose dont j'ai besoin, c'est toi
la seule chose dont j'ai besoin, c'est toi
la seule chose dont j'ai besoin, c'est toi


C'est exactement ce que tu voulais entendre Cale, alors quoi, pourquoi tu ressens rien, pourquoi t'es triste, pourquoi ton coeur se serre ? Il a besoin de toi, t'as qu'à l'embrasser et tout redeviendra comme avant, t'as juste à la regarder, à caresser son visage mâte, passer tes doigts sur ses lèvres pour qu'il soit à nouveau à toi, son corps, ses yeux, son coeur, ses lèvres, ses mots, juste un putain d'effort et tu redeviendrais sa putain de cendrillon, un frisson me parcous et je crache tout simplement un <▬ Interessant. > je me déteste, je le jure je voulais pas dire ça. J'expire la fumée de ma cigarette, ne me laisse pas le choix Skygge, laisse moi t'attraper. Voix froide, sans émotion, presque ironique, il ne semble pas vouloir s'arrêter de parler.  J'ai assez entendu qu'il m'aime, c'est bon, il peut s'arrêter, là tout de suite, arrête toi. Il se lève, mon coeur retient un battement, je me sens moins tendu lorsqu'il s'éloigne. Je reprends mes esprits, je déglutis, je passe mes mains sur mon visage ça fait tellement mal d'entendre ça. J'ai envie de m'enfuir. Il se tourne vers moi avec son sourire, ce sourire que j'aimais tant et qui m'énerve aujourd'hui tellement, je me mord la lèvre, regardant ailleurs, pourquoi, pourquoi, pourquoi, la cendre de ma cigarette s'écrase sur le sol. et ça continue comme ça longtemps, des flots de paroles mièvres que toutes les filles aimeraient entendre sans doute, il est bon, il sait parler, il sait toucher là où ça vous fait le plus mal, assurément il est bon ou juste sincère.

▬ C'est ici qu'on s'est rencontrés. Tu te souviens ?
non la seule chose dont je me souviens c'est tes gémissements, non mais sérieux je hoche la tête en signe que oui, je me souviens, j'ai perdu ma langue, il faut mieux. Et il shoot dans un cailloux, regardant avec son stupide sourire de mec amoureux les environs, ah punaise je sais pas ce que je vais devoir prendre pour oublier ce foutu sourire de con de sa face, mais ça va être du lourd.

C'est ici qu'on s'est rencontrés. Tu te souviens ? Léger rire amer. A l'époque, c'était toi le passionné, et moi le récalcitrant.


stop stop stop. Pourquoi, pourquoi tu me dis ça, tu me parles de ça ? je le regarde le fusillant, se moque t'il de moi à la fin. Il se rapproche je le regarde, le reluque, qu'est-ce qu'il est en train de faire, à quoi il joue.

▬ Devenons amis, tu veux bien ?

L'info à du mal à rentrer dans ma tête. Quoi ? La surprise se lit dans mon visage et surtout la récalcitrance. Ne lui brise pas le coeur, soit gentil Cale, s'il te plait, j'inspire lentement. Il veut juste une poignée de main, mon coeur se serre, je peux pas, j'ai peur, j'ai peur de souffrir à nouveau, tellement peur que je voudrais ne plus jamais le regarder. J'écrase ma cigarette contre le banc, la balançant

▬ désolé, je peux pas... Je..

Je me lève rapidement du banc et lui fait avec mes mains signe que je décampe.

▬ Je me casse

Je ramasse mes affaires, les amasses rapidement, pour partir le plus vite possible de cet endroit lourd, trop lourd d'ambiance. je ferme un instant les yeux encore une fois, je sais pas si je devrais lui accroder une chance, être son ami, essayait, faire des efforts. Rha merde.... Je me retourne et m'avance sur lui, je le regarde avant de baisser automatiquement les yeux, parlant un peu plus bas pour qu'il soit le seul à entendre.

▬ Je suis désolé de pas être celui qui te rendra heureux. Je suis désolé si tu crois que je te déteste. Je suis désolé si je te fais du mal léger sourire; main dans les poches J'essayerai de faire des efforts avec toi, mais laisse moi un peu de temps.

Je ferme les yeux, soupire, le regardant avec sincérité et la lueur au fond des yeux, oui promis j'essayerai pour toi, pour nous. Je prends sa main pour le saluer, ses mains sont chaudes, j'suis tellement amoureux de lui, je m'éternise un peu trop je veux pas lâcher sa main, je veux pas la lacher, au bout de trois je la lâche, c'est ça, un, deux, deux édemi, deux 7ème, deux 9ème, 3... Je lâche d'un coup sec sa main m'excusant < désolé mais comme ça risque d'être la seule poignée de main qu'on va s'échanger avant un long moment je voulais te faire plaisir > erm #BITCHFACE toutaffé c'est cela. Je m'agace, je souris légèrement, j'suis con vraiment, avant de disparaitre, je lui fais le signe de peace, je le porte mes lèvres et le lève

▬ Allez kiss

et vite vite vite je m'en vais. Essaie de marcher d'un air cool mon petit Cale, jusqu'à ce que tu disparaisses de son champ de vision, oui c'est ça, un pied devant, ah merde ma vue se brouille faut que je me casse, un autre pied devant, j'ai mal, c'est isnupportable, encore quelques pas et je serais loin. J'avance lourdement jusqu'à la fin du chemin, je tourne. ça y est, il ne te vois plus, mon coeur est tellement lourd, tellement douloureux, je suis désolé je peux plus me retenir, c'est juste quelques gouttes d'eau.


HRP ; je me corrige après avoir dormi.



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MessageSujet: Re: Stop playing honey and come at home   Stop playing honey and come at home 1400359500-clockJeu 16 Jan 2014 - 21:20
[terminé *gratte des prisms*]
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MessageSujet: Re: Stop playing honey and come at home   Stop playing honey and come at home 1400359500-clock
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