Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine
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Sujet: Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine Ven 3 Jan 2014 - 22:12
Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine
We talk sweet but we're tainted with lies
Je sens un mauvais truc avec ce James. C'est sûr il va la blesser. Ma Ashley qui a déjà le coeur bien brisé. Elle va se croire pas à la hauteur, se trouver encore plus nulle.... Pleurer. Je déteste ce type, il aurait pas pu attendre , être juste là, présent pour elle ? Egoiste, JE JE CRACHE SUR LES FJKRKJFRHJFHRHKR non mais là je.
▬ Je vais prendre des anti depresseurs je crois. légère pause avec un sourire de con vous allez me tuer. Bien avant la cigarette, l'alcool et même la dépréssion ▬ Moi ça me saoule les plaidoyers, je rentre. ▬ Putain ouais, moi aussi je veux rentrer.
Je commence à marcher avec mo' et wait...
▬... Bon, bah j’suis ton homme. »
D'accord ça veut dire que Morgan rentre seul ? Sourire forcé, je me balance, le pauvre, enfin, pauvre moi aussi, demain on se voit en cours, je sais pas ce que je vais faire ni ce que je vais dire, ça va dépendre de la conversation avec son petit ami, sans doute.
▬ D'accord.
Just u and me Jimmy, dont u ? Si j'étais d'humeur je crois que j'aurai fait un petit commentaire sur le fait qu'on se retrouve tous les deux, mais non, non, non, t'ai gâché leur nuit de noce, alors ta gueule Cale. Je reste planté comme un idiot, pendant que Jim fait des allé et retour. Il donne un truc à Morgan, peut-être que c'est un préservatif, coquinou.
▬ ++ MOMO.
non je dis pas < plus plus > car sur le batonet de test de grossesse c'est "++" quand vous êtes enceintes, rhoo.... Jim se remet en route, moi de même, on marche côte à côte dans un silence, lourd, je sais pas par où commencer, tout se mélange dans ma tête, je veux comprendre, j'ai plein de chose à lui dire, à lui demander, j'ai encore un peu de rage, en ce qui concerne mon ex. Il me tend son joint. Je le prend entre les doigts et le porte à mes lèvres, que j'entre ouvre avec difficulté.
▬ C'est un baiser indirecte, ça tu sais ? je pouffe légèrement en expirant la fumée du joint, je regarde mes pompes, puis replogeant mes yeux dans lobscurtié de la nuit, je reprends je vais encore avoir une tête de droguer demain en me levant, c'est sûr après ça Skygge, je prononce son prénom bien fort ne voudra plus du tout de moi.
Silence, bien sûr si je dis ça, c'est pour directement aborder un nouveau sujet.
▬ On m'a dit que t'étais devenu pote avec mon ex, hein ?
S'ils croyaient que j'allai pas le savoir. J'ai des yeux partout à prismver. Je jette le joint par terre et l'écrase avec énergie avec mes pompes. Mais sans aucune agressivité, je suis calme, parfaitement calme, j'ai dit que j'étais là pour m'excuser, pour discuter tranquillement, alors, je ne vais pas lui sauter dessus dans la nuit et le jeter dans une poubelle, j'ai un plus de classe que ça.
▬ Pourquoi, Jim, pourquoi ?
Incomprehension totale.
HRP ; JE RP TELLE UNE LIMACE, PARDON D'AVANCE.
On se tue à coup de haine, à coup de je t'aime
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Sujet: Re: Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine Ven 3 Jan 2014 - 23:45
« Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine. »
feat : Cale
What are you thinking ?
« C'est un baiser indirecte, ça tu sais ? »
Le A esquisse un demi sourire à cette pensée. Cale et lui, c’est quand même pas rien. Déja, à eux deux, ils doivent être les mecs les plus connus de Prismver. Et puis, il y a leur histoire. Cette amitié presque fraternelle, ou l’un protège l’autre, ou l’autre prend soin de l’un. Il y a eu cette nuit. Leur première fois à tout les deux. Perdre sa virginité avec l’un de ses meilleurs potes, complètement drogués, c’est pas banal. Et même dans cet état, bah ça reste la première fois qu’ils ont fait l’amour. Ils se souviennent plus de grand chose. Jim se rappelle qu’ils ont alterné les rôles. Il se rappelle que c’était bon, pour une première fois. Que ça faisait mal, aussi. Mais il se rappelle surtout de leur réveil, dans le même pieu. Un goût de Very Bad Trip, du wtfquisme et des rires. De l’embarras, aussi.
Et puis le temps a passé. Il n’y a plus jamais rien eu d’ambiguë entre eux, si ce n’est des petites remarques comme celles que vient de faire Cale. Depuis, il y a eu Skygge. Depuis, il y a eu Ashley. Et désormais, il y a Morgan.
Ce dont les gens ne se rendent pas compte, c’est que Jim a la capacité de prévoir certaines choses. Du moins, il voit les probabilités évoluer autour de lui. Et il a vu, ces jours-ci, les probabilités qu’il se dispute définitivement avec Cale augmenter. Je vais bientôt le perdre. C’est ce qu’il refusait de croire avant ce soir.
Alors, quand Cale a attaqué Morgan, Jim a agit en toute connaissance de cause. Mais il ne peut pas s’y résoudre. Il ne peut pas accepter de le perdre.
« C'est sûr après ça Skygge ne voudra plus du tout de moi. »
Flash. Skygge qui lui confie, au bar, qu’il est encore amoureux. Et Cale l’est aussi, c’est évident. Alors diable, pourquoi rompre... Il reste silencieux.
« On m'a dit que t'étais devenu pote avec mon ex, hein ? »
Dit comme ça. Jim, les mains dans les poches, hausse les épaules. Il fronce les sourcils alors que Cale jette le joint par terre, l’écrase. Morgan a prit le soin de le rouler. Ses mains tremblaient, et il a eu du mal. Voir Cale l’écraser comme ça lui rappelle le regard méprisant qu’il avait pour Mo toute à l’heure. Cale lui demande pourquoi. Pourquoi il est devenu pote avec Skygge. Jim hausse un sourcil, levant les yeux vers lui.
« Qu’est-ce que ça peut faire ? »
Le Roi de la Fête est ami avec tout le monde. Et c’est pas parce-que Skygge est son ex qu’il n’a pas le droit de l’approcher... si ? Jim n’a pas cette vision des choses. Il fronce les sourcils, avance en shootant dans un caillou qu’il traine depuis quelques pas.
« T’a peur de quoi... ? J’fais pas ça par rapport à toi ou votre rupture... C’juste que Skygge m’aimait pas, et je supporte pas d’être en froid avec quelqu’un sans raison. Alors j’ai essayé de lui faire comprendre que je suis pas le connard qu’il imagine. C’est tout. » Il tourne la tête vers lui, cherche son regard du sien. « J’espère que tu vas pas t’imaginer des conneries.»
Code de Morgan O. Bloomkvist, modifié. Code couleur Jimmy : #FF1A48
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Sujet: Re: Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine Sam 4 Jan 2014 - 4:40
Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine
Could this be out of line ?
▬ Qu’est-ce que ça peut faire ?
Je lève les yeux, regardant le ciel, la nuit les étoiles, j'inspire lentement, fermant les yeux un court instant, je me donne le courage d'y répondre, c'est vrai qu'est-ce que ça peut me faire ? Non, non ce n'est certainement pas de la jalousie, je veux juste vérifier des infos.
▬ Rien, rien du tout
Le silence s'installe, on avance, il joue avec un caillou, finalement, je regrette d'avoir écrasé son joint j'en aurais eu besoin. Puis il rompt le silence, l'air légèrement agacé. je l'écoute attentivement et acquiesce à ses paroles, c'est vrai que Skygge le déteste vraiment pour rien ce pauvre Jimmy. Il me lance un regard qui signifie hey look at me > et je le regarde, alors, attendant ce qu'il a me dire d'autre.
▬ J’espère que tu vas pas t’imaginer des conneries.»
Je pars dans un léger rire, pour qui il me prend ? J'sais que j'suis con, mais y'a des limites bon sang. Chance que Skygge ait envie de toucher ou même d'embrasser Jim : 0,01 %, puis merde, Jimmy est en couple, il n'aurait pas sacrifié autant si Morgan c'était pas le bon... et pourtant je me dis ça, mais ça m'a pas empêché de les critiquer, je n'ai pas à être amer, car je ne crois plus en l'amour, je le sais, je le sais, parfaitement, mais le coeur peut être tellement égoiste, parfois.
▬ Tu sais que ça va vite les rumeurs, les gens étaient déjà en train de me dire que tu l'avais dragué, invité dans un bar mais qu'il t'avais réfoulé je souris et l'attrape pour passer mes bras autour de ses épaules, je reprends puis tu sais je t'en voudrais pas si tu voulais le mettre dans ton lit, mon Skygge iil est sexy !
Je ris. Bon je l'avoue si j'avais était 100% sobres jamais je n'aurai dit une connerie du genre. Mais c'est pas pour autant qu'au fond je le pense pas, heiin. Je perds mon sourire, serrant le petit Jim un peu plus contre moi.
▬ Je suis vraiment désolé je colle ma joue contre la sienne Je veux juste savoir, qu'est-ce qu'il s'est passé avec Ashley, bon sang.
Non, c'est vrai je n'ai pas oser lui demander, la nature de cette histoire d'amour. Pourquoi avoir voulu impliquer Ashley dans leur histoire d'amour ? Car on est bien d'accord, Momo & Jim ça date pas d'hier.
▬ ça faisait longtemps que je savais déjà pour le "Jim x Morgan"
Alors pourquoi j'ai réagit comme ça, hein ? pour plein de raisons.
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Sujet: Re: Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine Sam 4 Jan 2014 - 16:31
« Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine. »
feat : Cale
What are you thinking ?
« Tu sais que ça va vite les rumeurs, les gens étaient déjà en train de me dire que tu l'avais dragué, invité dans un bar mais qu'il t'avais réfoulé... »
« What the heeell... Si je draguais tout ceux avec qui je bois une bière on devrait faire de Prismver mon harem. » Il marmonne, le sourcil haussé, tandis que Cale passe son bras sur ses épaules, ce qui le fait instantanément esquisser un léger sourire.
« ...puis tu sais je t'en voudrais pas si tu voulais le mettre dans ton lit, mon Skygge iil est sexy ! » « Meeeh Cale, tu sais bien que depuis toi je ne fais que dans le blond. »
Ils rient doucement, bras dessus bras dessous. Comme si de rien n’était, comme si, il y a une demi heure, ils ne se faisaient pas souffrir. Mais cette facade de bonheur de d’insouciance rappelle tout ça à Jim. Il porte son bras dans le dos de son ami, agrippant doucement son tee-shirt sur son flanc. Il soupire, et c’est à cet instant que Cale s’excuse, rapprochant sa tête de la sienne. Jimmy s’y appuie, à peine plus grand que lui, baissant les yeux au nom d’Ashley. Il s’humecte les lèvres, alors que Cale lui dit qu’il savait depuis longtemps que Morgan et lui finiraient ensemble. Jim inspire, se redresse, sans néanmoins lâcher la prise qu’il a sur lui.
Il reste silencieux quelques secondes, cherchant les mots. Il ne peut que répéter ce qu’il a dit à Ashley à la plage. Ce qu’il a dit à Skygge au bar. La vérité, aussi stupide soit-elle.
« ... Moi je pensais que ça arriverai jamais. » Ses yeux noisette glissent sur ce qui les entoure, suivant des yeux les différents éléments du décor qu’ils croisent.
« J’pensais que Mo était toujours avec Mike après notre nuit. J’pensais sincèrement qu’Ashley m’aiderait à l’oublier, et que j’pourrai la rendre heureuse. Mais au lieu de ça... » Je pensais à lui quand je lui faisais l’amour à elle. Il détourne les yeux loin de Cale, honteux de ses pensées. « ... Ca a foiré. »
Quelques secondes, et il tourne la tête vers Cale, posant les yeux sur la marque de son coup sur son visage si parfait. « ... S’cuz moi, pour ce soir. » Une boule au ventre le prend alors que lui reviennent en mémoire tout ce qu’ils se sont dit.
« J’aurai jamais dû dire ça... J’suis vraiment désolé mec... »
Il se passe la main dans les cheveux, nerveux, replongeant son regard dans ses pompes, honteux. Cale est tellement populaire, ça va forcément se savoir. Ca va faire tout le tour de l’école... Il déglutit, et lâche son épaule pour enfoncer sa main dans sa poche. Un regard au loin, droit devant eux. Morgan marche, loin. Il détaille sa silhouette quelques secondes. C’est vrai, Cale lui dit depuis longtemps qu’ils vont finir ensemble. Il avait raison. Il sait, au fond, qu’il aime bien Morgan. Ce soir, il ne faisait qu’exprimer violemment la peine d’Ashley. Et il avait besoin d’éclater, aussi. Parce-que ses mots pleins de détresse, Jim les a toujours en tête. Il passe sa langue sur ses lèvres, fixe le sol.
« Pourquoi vous avez rompu... ? Ca crève les yeux que vous vous aimez encore. » La même question que celle posée à Skygge. D’après lui, il avait voulu préserver Cale. Le préserver de quoi ? A quoi ça rime si ils en souffrent ? Il pose son regard sur le blond. Ils ont rompu d’un commun accord. Mais Cale semble juste crever à petits feux, et ça affecte Jim bien plus qu’il n’y paraît.
Notre amitié risque de se briser. Protège Cale, Skygge, continue de le protéger, parce-que je ne le pourrai peut-être plus.
Code de Morgan O. Bloomkvist, modifié. Code couleur Jimmy : #FF1A48
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Sujet: Re: Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine Sam 4 Jan 2014 - 19:33
Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine
Could this be out of line ?
▬ ... Moi je pensais que ça arriverai jamais.
ça me surprend. Mais pas tant que ça, après mures réflexions. Les gens ont toujours tendance à voir que ce qu'ils veulent. Il m'explique ce qui s'est passé -ENFIN en gros - ça doit lui faire bien l'embêter de raconter à tout le monde la même chose, la même histoire, le même déroulement. J'incline la tête, satisfais, ou non juste lassé, mais moi aussi, moi aussi j'ai essayais d'oublier l'autre avec une fille, mais moi aussi j'ai pas pu. Il me regarde avec ses yeux marrons chacolat et s'excuse, je trouve ça chou.
▬ J'avais déjà oublier je lui met un léger coup de coude dans les cotes déprime pas, j'avais besoin d'un poing, ça fait toujours du biien de retomber sur terre. ▬ J’aurai jamais dû dire ça... J’suis vraiment désolé mec...
Ah oui. C'est vrai. Il a tout déballé. Tout à l'heure j'avais oublié. Je me gratte le menton, MERDE MERDE MERDE QUE VAIS-JE FAIRE A CE PROPOS ? Oh putain si Skygge le sait, mes yeux ressemblent à des billes, ma main vient se loger sur ma bouche, calme, calme..... Non, ça va aller Summers, car être populaire c'est tout tourner à son avantage, c'est une comédie burlesque et tout le monde sait que j'excelle au théâtre, OUAIS. j'aurai qu'à faire le triste, à expliquer à tout le monde cette sombre année dans ma vie, peut être en rajouter, où en diminuer, ce qui est sûr, c'est que je vais servir au peuple, un héros, car ils aiment ça, les héros. Ou j'peux même nier, après tout, personne n'a de preuves. Il passe sa main dans ses cheveux, l'air honteux, embarrassé, grand sourire, je secoue vaguement la tête, regardant à présent le goudron pendant qu'il remet ses mains dans ses poches, je le bouscule légèrement pour lui signifier que ce n'est rien, sisi c'est rien, tu peux même le dire à ma mère. Facepalm intérieur.
▬ Oh tu sais, les gens oublient vite. Puis c'est ma faute, si j'avais pas voulu que cette histoire soit dévoilée, j'avais qu'à pas la raconter, c'tout, puis, puis un coup dans le pif et je raconte plein de conneries ! mes yeux se posent sur lui, qui regarde la silhouette de Morgan, plus loin, faible sourire, je murmure plus bas Tôt ou tard tout se sait, tu devrais mieux le savoir que quiconque ça.
Je suis comme une mère poule rassurant son poussin, je sais, mais il doit savoir que je lui en veux pas, non, pour toutes ces paroles je lui en veux pas... Je crois. Suffit qu'à un moment je me sente plus seul que d'habitude pour que je me monte la tête, tss.... Mon intention revient sur lui lorsqu'il me demande la raison de ma rupture avec Skygge alors qu'on s'aime encore, lui et moi, encore ce même sourire au bout des lèvres, car ce sourire il est permanant, tout le temps là. AHAHHA, sérieusement. Ouais, ça crève les yeux, mais pas pour tout le monde, étant donné que Mosieur Natsson, ne comprend rien, ne voir rien, qu'il reste abruti celui là, quand dans quelques années il aura prit du recul vis à vis de cette histoire il se trouvera bien con !
▬ Ah nous y voilà grand sourire, je prend mon inspiration, attendant quelques instants, le regardant du coin de l'oeil, il va sans doute trouver ça con, car ça l'est je préfère ne pas l'avoir du tout que l'avoir un peu je déglutis, mon coeur se serre je... je veux qu'il soit avec une fille.
Ah merde je vais me remettre à chialer, INSPIRE LENTEMENT, LENTEEEEMENT. Mes yeux se posent au loin, ailleurs, dans mes pensées, non, si je suis au moins sûr d'une chose c'est que.
▬ L'homosexualité, c'est pas rigolo.
Expression sérieuse. Regard triste, j'aurai préféré ne pas le rencontrer.
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Sujet: Re: Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine Lun 6 Jan 2014 - 15:20
« Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine. »
feat : Cale
What love is.
« Je préfère ne pas l'avoir du tout que l'avoir un peu. Je... je veux qu'il soit avec une fille. L'homosexualité, c'est pas rigolo. »
Jim ne l’a pas quitté des yeux, marchant toujours à ses côtés. Il a observé chaque mouvement, chaque expression. Les pupilles brillantes de son ami ne lui ont pas échappé, pas plus que sa voix étouffée. Jim observe et détaille son ami, encore quelques instants, son cerveau analysant les données. Puis, doucement, il ferme les yeux, sort une main de sa poche pour venir donner une tape derrière la tête de Cale dans un « Tssss. » qui en dit long.
« Bullshit. »
Il rouvre les yeux, renfonce sa main dans sa poche pour en sortir son paquet de filtres, détournant le regard dessus. « C’est quoi ces principes à la con. J’t’en fouttrais moi. Arrête de réfléchir Cale, c’est pas fait pour toi. » Ce n’est pas méchant, évidemment. Jim taquine souvent Cale avec ce genre de phrases, s’amusant du fait que Cale est un peu niais parfois, et lui un espèce de génie de A, même si on ne dirait pas comme ça. Il sort ses feuilles, en glissant une entre ses doigts, et poursuit, s’expliquant.
« Vous êtes dingues l’un de l’autre. Mais vous avez rompu parce-que vous avez pas confiance en vous-même. Il me dit qu’il veut te préserver, et toi tu dis qu’il vaut mieux qu’il se trouve une fille. Tout ce que vous voulez, c’est rendre l’autre heureux, mais vous pensez pas être la bonne personne pour lui. Mais rien que ça, c’est une preuve d’amour, et une preuve que vous voulez le meilleur pour l’autre. Alors portez vos couilles, assumez c’que vous êtes et c’que vous pouvez apporter à l’autre, au lieu de fuir. »
Tabac glissé dans sa feuille, il lèche cette dernière avant de la rouler, filtre en place.
« Parce-qu’à ce compte là, vous allez vous contenter de personnes qui n’ont pas autant de valeur à vos yeux, et vous finirez par les rendre malheureuses aussi. Alors arrêtez de vous trouver des excuses. Faut se battre pour ce qu’on aime. »
J’veux pas te laisser abandonner. J’veux pas que tu baisses les bras, et plonge dans le ravin. J’te laisserai pas faire.
« T’es un mec en or Cale. Skygge a pas besoin d’une fille. Il a pas besoin de qui que ce soit d'autre. Il a besoin de toi et de ton amour, parce-que personne ne l’aime autant que toi. T’es la plus belle chose qu’il puisse avoir dans sa vie. Alors assume et le lâche pas. »
Il porte sa cigarette roulée à ses lèvres, et l’allume.
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Sujet: Re: Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine Jeu 16 Jan 2014 - 5:40
Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine
It just ain't been my day, nothing's comin' easily
En l'espace de 3 minutes Jim vient de tout me balancer à la tronche conneries, manque de confiance, excuses, vérité je sais, je ... je sais tout ça d'accord. J'ai juste trop la haine, j'ai juste trop mal, il ne sait pas ce que j'ai traversé quand Skygge m'a quitté, personne. C'est inhumain ce que j'ai ressenti, idiot, putain d'idiot. Deux semaines de gouffres béants avant que monsieur me lance à la face qu'il maime toujours. Je le déteste parce que même après tout le mal qu'il m'a fait j'ai continué à l'aimer, j'ai continué tellement fort que j'ai continué de rêver de lui, je me réveillais en priant pour que ce soit juste un cauchemars qu'il ne m'a jamais quitté, qu'il soit juste mes côtés avec son sourire d'idiot amoureux, je me serais blottit contre lui en lui racontant ce douloureux cauchemars, il m'aurait réconforté avec sa voix grave qui laisse entendre que monsieur vient de se reveiller, ouais, je me suis fais ce genre de scénarios, désolé... Horrible, lorsque je buvais trop, il me revenait, une putain d'obsession ce mec. Juste horrible ce manque qu'il a créé à moi, il est un foutu poison qui coule dans mes veines, je suis foutu ya aucun point de non-retour quoi que je fasse je ne peux l'oublier je suis sans doute condamné. Je veux en guérir, je veux qu'il souffre comme moi, je veux
▬ retrouver une vie normale les yeux larmpyants, la gorge qui commence à se nouer comme une petite fille, sur le point de craquer je déclare il m'a détruit, anéanti, m' amis plus bas que terre, je le hais, je le déteste, tu m'entends Jim ? Je le hais, j'veux qu'il disparaisse, qu'il n'ait jamais existé. je m'arrête, mon coeur déborde trop, je desserre les poings
▬ je.. je vais demander à Crystal de m'effacer tout souvenirs de ce mec, je veux plus souffrir je m'arrête et prends Jimbo dans mes bras, le serrant fort contre moi, mes mains serrant sa veste, en manque d'oxygene, j'étouffe, tellement je t'en suplie dis moi que c'est une bonne idée que j'aille tout de suite la réaliser sur le point de pleurer je murmure plus bas en frodonnant un air de musique When everything's goin' wrong, don't worry, it won't last for long, yeah it's all gonna come around, Don't let it get you down, you gotta keep holdin' on, je suis tellement désolé d'être si faible...
J'ai besoin d'un ami, mais je sais pas si Jim est celui qu'il faut, pas après ce que je viens de lui faire avec son couple j'ai pas le droit de lui demander ça, ouais j'ai pas le droit, je me décolle de lui, m'excusant, essuyant les larmes qui commencent à monter, punaise je passe mon temps à chialer. Je déteste faire chier les autres avec mes histoires de coeurs, mais il fallait bien que ça tombe sur quelqu'un, Jim a gagné le gros lot à ce que je vois. Ma main vient se poser sur la épaule, je regarde ailleurs, le coeur lourd, douloureux, la voix qui va avec, trop grave, trop basse, tremblante, j'essaie de la stabiliser pour ne pas donner une image encore plus triste de Cale Summers.
▬ Sois heureux avec Momo je baisse les yeux ouais, promets-le-moi et crève de bonheur fade sourire, mes yeux vont rencontrer ses yeux noisette c'est tout ce que je te souhaite.
Je lui tends une poignée de main regardant ailleurs.
Hrp ; DESOLEE DU TEMPS DE REPONSE LOV U JIMBO QWQ <333
I just wanna disappear
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Sujet: Re: Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine Jeu 16 Jan 2014 - 12:00
Et finalement, il craque. Sa voix tremble, ses yeux se noient. Moi, j’inspire, inspire toute la fumée qu’il m’est possible d’inspirer, nerveux. Cette soirée nous aura vraiment mis en vrac. Quelle merde. ... Mais peut-être qu’elle est le point de départ de nouvelles choses. Pour Nemesis et Betsabe. Pour James, Ashley. Et pour nous trois, qui l’avons fouttue en l’air. Retenant mon souffle le temps que la fumée me donne ma dose, accro, je tourne mon regard sur Cale, qui ralentit. Il craque. Il craque, et j’sens mon coeur se fissurer en voyant une personne que j’aime autant dans cet état. ... Mais j’suis juste impuissant... Je l’accueil dans mes bras, libérant doucement mon poison, enlaçant son corps de mes bras que je veux rassurants. Putain, Jim, ta lumière est vraiment faiblarde en ce moment. Entre Anshu, Selphie et Selwyn qui ne font que survivre depuis la mort de Drew, Ashley que t’a complètement tuée, James que t’a jeté dans le ravin, et Cale qui a le coeur brisé... Je serre les dents, tente de garder contenance alors que l’un de mes meilleurs amis craque complètement dans mes bras. Je ferme les yeux, accentuant légèrement la pression que je met autour de lui, pour lui montrer que j’suis là. J’suis là, malgré c’qui s’est passé.
« Je t'en supplie dis moi que c'est une bonne idée, que j'aille tout de suite la réaliser... »
Je remue la tête. Non, Cale. C’est une idée de merde, et tu le sais. Je soupire, me contente de lâcher à son oreille le titre de ce film, Eternal Sunshine of the Spotless Mind. Ce film qui retourne le cerveau, qui met mal à l’aise. Ce film que beaucoup ont du mal à comprendre à la première vision. Un film de fou, écrit par un fou, avec le plus grand fou du monde dedans. La gorge sèche, je l’écoute fredonner, avec sa voix tremblante. Des paroles positives, soufflées d’une voix larmoyante. J’inspire, soupire, alors qu’il se dégage de moi doucement.
« Sois heureux avec Momo... ouais, promet-le-moi et crève de bonheur. C'est tout ce que je te souhaite. »
Je sais. Je sais que c’est tout ce que tu me souhaite Cale. Je sais que tu veux mon bonheur, et tu as été l’un des premier à comprendre que c’est avec Mo que je l’aurai. Je serre la poignée de main qu’il me tend, creusant légèrement ma fossette pour lui adresser un sourire confiant, une tape sur l’épaule. Ca va aller. J’pourrais me contenter de lui dire ça. Et on repartirai la gueule dans nos pompes. Il serait toujours aussi triste, et j’aurai rien pu pour lui, même pas pour quelques minutes. Non, je peux pas me contenter de ça. Je dois trouver un truc. Je dois l’extirper de cette putain de noirceur. Tous, tous me surnomment le soleil. C’est bien que j’ai cet effet sur eux. Cet effet e lumière, de chaleur. Cet effet de bonheur. C’est mon rôle. Et là, Cale a besoin de moi. Je lâche sa main, mes yeux glissant sur notre environnement, plus par réflexion qu’autre chose. Trouve quelque chose.
Je bouge de là, dépassant finalement Cale pour m’approcher des containers à l’angle de la rue. Je saisie cette barre de fer toute tordue qui traîne à côté, jetant un oeil à la patrouille nocturne composée de quatre policiers qui s’approchent d’ici en discutant tranquillement. Quelques pas, je repasse à côté de Cale sans lui adresser un regard, et m’approche d’une boutique de vêtements. Je repère le nom de la boutique, mémorise l’emplacement. Je reviendrais leur donner de la thune, et bien plus qu’il n’en faut pour réparer leur vitre, parce-que j’suis un chouette type friqué, et que je sais pas quoi fouttre de toute ma thune. Je frappe. La barre de fer ricoche contre la vitre dans un bruit qui déchire le silence de la nuit, alors que les flics se mettent à crier. Je frappe de nouveau avec force, et la vitre se brise, projetant quelques éclats sur mon jean sans le traverser. Regard. Sourire. Je m’approche vivement de Cale pour lui déposer la barre de fer dans une main, saisissant l’autre pour me mettre à courir en l’emportant avec moi, les flics à nos trousses.
Et on s’embarque en course poursuite dans les ruelles avec des flics hurlant pour qu’on s’arrête. Allez Reed, fais- moi cracher mes boyaux. Fais moi me sentir vivant. Cours, Cale. Je lui pique finalement la barre d’entre les mains, et brise une nouvelle vitre - toujours en repérant le nom de la boutique. Une petite bijouterie. Je fracasse la vitre, saisie vivement les bijoux que je peux choper et les enfile aux poignets et au cou de Cale, m’étouffant entre rires et précipitation. « Tu les offriras à tes futures conquêtes ! » Pace-que, au pire, le monde continue de tourner, même sans SkyggexCale. Une tape dans le dos, et on se remet à courir, parce-que, bordel de merde, là ça craint.
On m'a arraché le coeur, je le sens plus, je ne ressens plus rien je te dis. Moi, mon coeur bat à 2000 à l’heure alors que résonnent derrière nous les alarmes de boutiques et les cris des flics. J’espère que ton coeur bat, Cale. Parce-que je suis encore capable de beaucoup, si c’est pour que tu te sente vivant, ne serait-ce que quelques minutes. Je peux pas t’apporter l’amour de Skygge, de toute façon tu l’a déja. Mais je peux, peut-être, t’aider à l’oublier quelques instants. Alors cours avec moi, fais toi choper avec moi, passes une nuit en taule avec moi. On remboursera tout, c’est pas l’argent qui nous manque. Mais laisse-moi redevenir ton soleil, laisse moi une chance de t’illuminer, si je le peux encore.
Et dans les ruelles sombres, le rire éclatant de Jim Reed résonne, alors qu'il s'arrache les poumons dans sa course effrénée.
Sujet: Re: Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine Sam 1 Fév 2014 - 17:52
Jim's Birthday
"Girls" ? Bitch Please, i'm gonna marry Jim
Nos mains viennent s'entre choquer. Ouais, maintenant y'a pas de raison que ça aille pas entre lui et moi, aucune raison, je suis heureux, je crois, puis un peu triste, je sais pas pourquoi. Il lâche ma main et commence à me devancer, je le regarde. Wesh pars pas comme ça j'ai pas le sida *sad face* il revient vers moi barre de fer en main, je le regarde le dévisageant, cherchant à comprendre dans ses yeux noisette ce qu'il veut faire, mais il ne me lance aucun coup d'oeil et passe devant moi comme si j'étais un Gasper le fantôme. Quelle idée farfelue lui traverse la tête ? Je peux m'empêcher de sourire, parce que je sens que ça va encore envoyer du lourd. Il s'approche de ma boutique préférée de vêtements avec avec la barre putain ! Avec mes bras je lui fais signe de s'arrêter et essaie de ne pas hurler, mais de murmurer
▬ ARRETE MEC, ARREEEETE.
J'ai déjà eu trop d'ennuies, wes, je pleure intérieurement. personne ne m'écoute jamais. Je suis gasper le fan.. Il s'approche de moi je le regarde en faisant les yeux furieux, le dévisageant, en plus y'a les flics, et merde, long soupire, grand sourire c'pas possible ça Je baisse les yeux , regarde la barre entre les mains, et plonge mes yeux dans les siens.
▬ Je t'aime Jim
Lueur brillante dans mes yeux, je me mets à courir derrière lui, les flics nous appellent, j'entends encore l'alarme de la boutique au loin. Pour la première fois depuis longtemps mes baskets servent à quelque chose, pour la première fois depuis longtemps j'ai de la vraie adrénaline, mon coeur bat tellement fort qu'il va exploser et je ne pense plus à rien, absolument à rien, sauf à nous échapper des poulets. En route il me prend la barre des mains, je le laisse la prendre, courant toujours le plus vite possible et d'une traite, je m'arrête pour le regarder. Je reprends ainsi mon souffle, mains appuyées contre mes genoux, je prends des grandes bouffées d'air, j'étire mon dos putain j'ai trop couru, je le sens dans mon sang, dans ma tête, j'ai chaud, je ... Il casse une nouvelle vitre, yeux ronds, il me ramène cette fois-ci quelque chose de la boutique je continue d'halèter et je bats des cils. Une légère douleur au nouveau de l'abdomen. J'ai un point de côté, mec, je peux plus te gronder ou t'engueuler. Il m'enfile les bijoux autour du cou, je cherche des réponses dans ses yeux noisette, est-il sérieux ? Puis aussi autour des poignets, je ressemble à un roi avec tous ces bijoux partout, ou à un rappeur bling-bling. Ouais, faudra aller le payer demain. Sourire à pleines dents, je suis heureux.
▬T'es pas possible ▬ Tu les offriras à tes futures conquêtes !
ça me touche, ça m'ému, je crois que je suis bon pour pleurer, c'est trop dans mon coeur là. Je vais me transformer en fontaine.
▬ Merci.
Il me met une tappe dans le dos et c'est là qu'on voit la casquette des gendarmes, je siffle un "et merde" et on repart de plus belle, dans les rires, on fait les cons, on joue un peu avec eux et à la fin de tout ça, je le serre fort contre moi, très fort. On reste comme ça, je me surprends même à lui murmurer prêt de l'oreille
▬ Plus jamais on se sépare, mon poto
Erm. Bon d'accord j'arrête de m'accrocher à lui de cette façon.
Jim, je sais pas comment te remercier, t'es une véritable bouet. Parfois tu laisses couler mais tu remontes toujours. On s'est blessé pour mieux se retrouver. L'été n'est rien sans le soleil, le Cale n'est rien sans le Jim. C'est comme ça, désolé, y'a que les rayons de ce mec qui peuvent me faire aller mieux, Peace'n'love
Je t'aime à un point que je ne peux pas mettre de virgule
InvitéInvité
Sujet: Re: Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine Sam 1 Fév 2014 - 17:54
FINISH
(lol j'aime ce gif) CE FUT UN PLAISIR, HEIN, I LOVE U
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Sujet: Re: Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine
Allez, dis-moi que tu m'aimes, on se fait de la peine
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