Familles à l'honneur
Prédéfinis forum
Prismver
Course des maisons
Hamamelis
Dracunculus
Vinca
Mini News
23.12 Horoscope magique disponible ici
RP libres
Ajouter mon RP - Pas de RP en cours
-50%
Le deal à ne pas rater :
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer HD9200/90 Série 3000
54.99 € 109.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 The drug in me is you ?

Aller en bas 
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: The drug in me is you ?   The drug in me is you ? 1400359500-clockMar 28 Jan 2014 - 1:01



The drug in me Is you ?



I wrestle with my thoughts I shook the hand of doubt



▬ Monsieur, c'est pas que votre cours m'interesse pas, qu'il est pas important, mais j'ai quelque chose de prévu, faut que je chope mon ex -que j'aime encore et qui m'aime encore enfin c'est compliqué, à la fin des cours on va juste discuter, hein. Je vous vois venir monsieur, mais je suis aussi chaste et pur que ...
▬ Summers vous pouvez partir, ne dérangez pas les cours avec vos histoires...
▬ Hawn merci, je vous aime troooop fort. Déposez les deux heures de colles à la vie scolaire, j'ai tout l'samedi de libre, y'a mon pote Dave il a annulé ce qu'on avait prévu de ... Oui je pars.

20 minutes avant la sonnerie. Je sors dans la cours, y'a toujours ce groupe de junkie/sécheurs/fumeurs. Un véritable plaisir de les retrouver pour s'en fumer une vite fait avec eux, je regarde l'heure, écrase ma clope.

▬ Tiens, prend un chewing-gum

Je la remercie avec un clin d'oeil et le met dans ma bouche. ça serait dommage de puer encore plus la cigarette, m'faut un déo. Je croise un mec du club de football américain je ne sais plus comment il s'appelle, il m'offre un sourire. Joli brun, 1m89, sans doute, sac de sports adidas avec lui. Il me passe son axe, je m'en asparge vite fait en marchant et je le lui lance. J'y arrive presque. ça sonne, je me dépêche. Je m'approche de la porte, enlève mon chewing-gum um de la bouche et lorsqu'il va pour sortir je lui emboite le pas, souriant jusqu'aux oreilles, j'en profite pour coller mon chewing-gum discrètement, discrèteement, sur l'éclaireur.

▬ BONJOUR TOI quel joie de vivre, quel... quel enthousiasme. Je lui dégage le passage et reprend la parole en éxagérant mes gestes, toujours ce grand sourire et bha dis donc la prochaine fois faudra que je parte plus tot de cours, mais tu sais il parlait seconde guerre mondiale, quand ça commence à en parler ça s'arrête plus. légère pause, en fait, quand je commence à parler je m'arrête plus non plus je devrais peut être faire prof d'histoire, qui sait ? je le bouscule légèrement, je me met devant lui on ne s'arrête pas de marcher sinon, comment ça va ? La vie, la famille, les amours ? Ta faim ? T'as un autre cours peut être, il est juste onze heures, mais j'avais pas envie d'attendre encore plus, tu vois. Que veux-tu, tu m'excites tellement légère ironie, je fais claquer ma langue. Je me remets à ses côtés

▬ Ou peut être que je pourrais faire rappeur, comme Eminem 120 mots par secondes, ouais. Peut être que sais chanter. En vrai, je connais juste le son de mes gémissements léger pouffement, je reporte mon attention sur son magnifique visage je me racle la gorge et c'est avec le plus grand sérieux du monde dans la voix que je lui lance taquin tu t'en souviens, de mes gémissemnts ?

Bon d'accord j'arrête de faire mon malin, mais merde, c'est tellement tentant. Chacunes de ses réactions sont un vrai délice. Je sais franchement pas ce qui me retiens de le bouffer tout cru. Ah oui, je suis un véritable maso, pardon, j'avais oublié.

▬ M'regarde pas comme ça, je blague...

Ce qui est bien avec lui, c'est que, peu de choses sonnent comme une blague. Je ne sais pas vraiment quel est son genre d'humour.


I'm so lovely, lovely, i'm so lucky lucky

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: The drug in me is you ?   The drug in me is you ? 1400359500-clockMar 28 Jan 2014 - 13:38


❝ BECAUZ YOUR LOVE IS MY DRUG
• SKYGGE & CALE•



Exceptionnellement pour aujourd'hui, tu avais daigné te lever. Bâillant sans chercher à mettre ta main devant ta bouche, tu avais erré dans les couloirs un moment, ne sachant même pas à quel cours tu allais assister. Tu avais repéré quelques têtes familières et tu avais suivi le troupeau sans te poser de questions. Tu avais pris place au fond de la classe, au milieu, comme d'habitude. Tu pourrais piquer un somme pendant le monologue du prof. Non, tu lutterais pour ne pas dormir. Après tout, cette journée est à marquer d'une pierre blanche.

Quand, enfin, le monologue prend fin, accentué par la sonnerie stridente et libératrice, tu bouges ta carcasse, te levant en bâillant. Tu ajustes ton sac sur ton épaule, glissant tes mains dans tes poches. Les cours ne t'ont pas manqué. A ce rythme, il y a de fortes chances pour qu'on t'accorde un ticket aller simple chez les E. Mais tu t'en fous, dans le fond.

Soudain, alors que tu sors de la classe, tu sens qu'on s'approche de toi. L'heure H est arrivée. Cale est là, souriant. C'est assez étrange de le voir ici, attendant que tu sortes. Ça te rappelle de bons moments qui finissent par t'arracher un petit sourire.

▬ BONJOUR TOI.

Tu clignes des yeux, surpris par son enthousiasme. Ça lui fait tant plaisir de te voir ? Ou il joue la comédie ? Difficile à dire. Mais tu te contentes de l'explication la plus simple : celle qui te fait plus plaisir. Il sourit, et ça te suffit.

▬ Bonjour Cale.
▬ Et bah dis donc la prochaine fois faudra que je parte plus tôt de cours, mais tu sais il parlait seconde guerre mondiale, quand ça commence à en parler ça s'arrête plus.

Tu hoches la tête d'un air approbateur. Les profs sont toujours passionnés par cette période. Ils en deviennent très lyriques. C'est sûrement parce qu'il s'agit du dernier conflit qui ait eu une si grosse ampleur, et que c'est relativement "récent". Tu avances tout en évitant les autres élèves avec brio.

▬ Je devrais peut être faire prof d'histoire, qui sait ?
▬ Ce serait amusant à voir, en effet.

Tu imagines le blond paré d'un costume à la coupe parfaite en train de parler et parler et encore parler. Il cherche à te doubler, te bousculant un peu au passage. Tu aurais pu l'éviter mais non. Planté devant toi, il reprend, toujours aussi enthousiaste.

▬ Sinon, comment ça va ? La vie, la famille, les amours ? T'as faim ?  T'as un autre cours peut être, il est juste onze heures, mais j'avais pas envie d'attendre encore plus, tu vois. Que veux-tu, tu m'excites tellement.

Tu clignes des yeux en entendant les derniers mots, la bouche légèrement entrouverte. Tu finis par détourner la tête, ne pouvant empêcher le rouge de te monter aux joues. Tu émets un grognement. Si seulement ce n'était pas une blague... si seulement. Tu te masses mécaniquement la nuque, tentant de retrouver ton calme.

▬ Ça va oui. Et toi ?

Allez Skygge, rappelle-toi de sa succession de questions et oublie sa blague.

▬ Et tu sais très bien que j'ai toujours faim.

Il revient alors à tes côtés, et tes yeux s'attardent sur son visage. Tu détournes la tête, te disant que s'il te remarque, il risque de mal le prendre. Amis hein ? Ça va être plus compliqué que tu ne le pensais. Enfin, l'essentiel est qu'il accepte de te reparler. C'est déjà une petite victoire.

▬ Ou peut être que je pourrais faire rappeur, comme Eminem 120 mots par secondes, ouais. Peut être que sais chanter. En vrai, je connais juste le son de mes gémissements.

Et, en écho avec tes pensées, il te demande si tu te souviens de ses gémissements. Tu sens son regard posé sur toi et tu déglutis, le rouge revenant déjà sur tes joues. Tu grommelles, gêné qu'il aborde ce sujet alors qu'il sait tes sentiments pour lui. Tu finis par prendre ton courage en main et tu lui adresses un regard sincère et nostalgique.

▬ M'regarde pas comme ça, je blague...
▬ Comment pourrais-je les oublier ?

Vous croisez quelques personnes qui, étonnées de vous voir ensembles, se mettent à murmurer. Tu te grattes la joue, un peu gêné. Que va penser Cale de tout ça ? Il risque sûrement de plaisanter. Tu aimerais remonter le temps, tu aimerais avoir été moins con. Mais il faut assumer ses choix comme ses erreurs. Et l'idée de rompre avec Cale était évidemment une belle erreur. Si seulement tu avais réussi à l'oublier. Mais non. Tu l'aimes tellement que c'est presque douloureux de se tenir à ses côtés sans lui tenir la main.

Tu secoues la tête pour chasser ses pensées de ton crâne. Contente-toi de ce que tu as, Skygge. Et arrête de rougir, abruti.

▬ J'ai plus cours là, et toi ?

Tu t'es arrêté pour mieux le regarder, une main dans la poche, l'autre massant ta nuque. Tu hésites à lui demander ce qui te traverse l'esprit mais, finalement, tu te lances. Il va pas se jeter sur toi et te frapper de toute évidence.

▬ Enfin... si tu veux, on peut déjeuner ensemble. Enfin je t'oblige pas hein...

Tu désignes la classe à ta gauche d'un geste de la tête avant de reporter ton regard sur lui.

▬ La salle est inoccupée du temps de midi. Si jamais tu veux pas t'afficher avec moi à la cafétéria.

Ah mais la ferme Natsson, t'es juste trop con. S'il voulait pas s'afficher avec toi, il serait pas venu te chercher à la fin des cours. C'est pas possible d'être aussi abruti.

▬ Tu acceptes ?

...va mourir, crétin de danois.

▬ Ah, au fait. Ton LMS disait que tu voulais me parler de quelque chose. De quoi s'agit-il ?

•••

code par Skank aka Achiavel sur Apple-Spring
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: The drug in me is you ?   The drug in me is you ? 1400359500-clockSam 1 Fév 2014 - 15:59



The drug in me is you ?



J'ai pas attendu de voir le Titanic pour savoir que les histoires de couples tombaient a l'eau ...  


▬ Comment pourrais-je les oublier ?

Mon sourire perd un peu de vigueur. Je regarde mes chaussures. Les mots ne veulent plus sortir de ma bouche, je sais plus quoi dire. Huuum, aaah. Je voiiis. Attend laisse-moi quelques instants pour répondre à ça....
Quelques instants, quelques minutes ?

▬ Sérieux mec. j'inspire et soupire avant de relever le visage t'es juste pas marrant

Non sérieusement, je lui donne l'oscar du plus gros pourrisseur d'ambiance (lol). J'sais pas il aurait pu répondre par un truc sympa et décontracté qui met pas de gros blancs dans les convers, genre, GENRE "qui saiiiit ?" ou "tu sauras pas" au lieu de dire cash les choses comme ça, d'un coup, prend toi ça dans les dents, entend ce que j'ai à dire et démerdes-toi avec ça, ouais il est comme ça. Sans aucun tact. Je m'énerve tout seul à force de penser. J'arrête de froncer les sourcils ça s'appelle gérer ses émotions il y a des gens qui nous regardent ça semble gêner le brun. Y'a même quelques amis à moi, des proches. Je leur fais des signes avec les mains, discrètement, derrière le dos du colosse. Bien sûr je ne dirais pas ce qu'ils veulent dire c'est top secret et pas très catholique. Je m'arrête rapidement quand il me parle à nouveau, j'ai peur qu'il ait un soupçon de ce que j'étais en train de faire derrière son dos, j'ai le "je suis innocent" "je rien fait" qui se lit sur la face, je vais me faire griller. Il a plusieurs cours et moi ? Et moi et moi.... Soulagement.

▬ J'sais pas. Pour te dire la vérité j'ai fait de mon emploi du temps des bouts papier à jeter sur les paumés du devant...

(et dieu sait qu'y en a) OUAIS. OUAIS. J'ai pas honte de le dire. Si j'avais pas connu Skygge et qu'on aurait était de la même année, il se serait sans doute pris des boules de papier plein l'dos désolé mon amour mais tu n'es pas très populaire. Nha, c'est pas parce que je m'imagine lui jeter des boules de papiers dessus que je souris mais plutot parce que je pense à ce qu'il se serait passé ensuite. Aurait-il  voulu me refaire le visage ou juste m'ignorer ?  Il se masse la nuque. Je regarde ailleurs lorsque je commence à penser "je peux te la masser moi-même ta nuque" gusta face. Je l'entends parler à nouveau. Il voudrait qu'on mange lui et moi ensemble je pétille, les yeux qui brillent et qui le cherche du regard oui dans ma tete ça vient de faire "toi, moi + classe déserte = torride" hum hum un peu de sérieux, j'arrête de regarder son torse et je  commence à réfléchir en plissant légèrement les yeux. Je dois être un peu trop long à la détende car il me demande si j'accepte. J'sais pas, ça se bat dans ma tête là et il me demande pour le LMS, ah ouaiiiiis.

▬ Ah ouaaaais le LMS. Euh j'avais complètement oublié c'était juste pour avoir ta confirmation pour l'annive de Jim.

Mensonge, je passe ma main dans mes cheveux et regarde ailleurs, les gens, les visages, l'heure, accroché au mur.

▬ Et t'façon, les gens sont à courts de rumeur sur moi, ça va leur faire plaisir j'annonce haut et fort "Skyle le retour du couple" lui lançant une légère tape, taquin. Je reprends un peu plus en bas lui adressant un clin d'oeil on fermera la porte qu'ils croient qu'on est en train de se tripoter

Et je sais que c'est ce que voudrait certain. Et ce que redouterai d'autres... Je reprends la marche, main dans les poches direction la cafétéria. J'sais pas ce que je vais commander. J'ai pas très faim, c'est peut-être parce que je me nourris de cigarette, je sais pas, ouais faut que je mange un truc je sais pas ce que je vais prendre en plus la coke ça fait maigrir et j'avoue que j'en ai pris un peu, mais c'était juste pour rire, dans le feu de l'action, je oui merde, j'emmerde tout le monde et toi ? Sans drogue la folle est moins folle ! sisi. Ah et oui, faisons de tout ça un rendez-vous sans un être un. Je me retourne légèrement, car j'ai toujours à tendance à prendre un peu d'avance,

▬  J'te paye le repas je soutiens son regard vraiment, ça me fait plaisir et je me retourne ça va me persuader que je suis pas un gros rad' durant quelques heures ahah je me fais rire et même sourire Non sérieusement. j'arrête de sourire comme un con et je deviens sérieux et ralentis pour qu'il reviennne à mes côtés, prenant le ton de la confidence la dernière fois, aux dernières vacs quand j'étais chez moi j'ai vu à la télé c'était un mec, il allait aux resto's tout le temps, gratuitement. Des filles l'invité et à la fin il disait " j'ai pas d'argent sur moi" j'ai voulu essayer ça la dernière fois avec une amie j'accentue bien le "amie" ,j'ai cru que j'allai me faire assommer.

Et pendant que je parle avec une main, l'autre vient toucher légèrement celle du métis. Un simple contact de merde qui me perturbe. Je retire rapidement ma main l'air de rien. Il ne s'est rien passé.

▬ Et depuis je suis obligé de lui payer chaque repas grand sourire, yeux qui brillent Ouais, tout le temps en train de lui payer un repas à celle là ferme là ferme làààà Summers et elle parle tout le temps, elle me laisse pas en placer une, j'ai l'impression d'être une peluche. Elle s'auto-fait la conversation je me pince la lèvre non sérieusement, cette fille est super marrante, tu devrais la connaitre je suis sûr que tu l'aimerais, tu veux que je te la présente ?

La porte du réfectoire est déjà devant nous. À force de parler j'ai pas vu le chemin de la cafét se raccourcir, je ne peux bien évidemment pas cacher ma surprise.

▬ Oh on est déjà arrivé.

Je lui lance un regard. Peut-être que j'ai dû le saouler à forcer de parler de filles. Oh et lui il est pas parti je ne sais où avec des potes ? J'ai envie de savoir et envie pas de savoir ce qui s'est passé là-bas. C'est bizarre. Bof. J'hausse les épaules.

▬ Et toi ? T'as rencontré quelqu'un ?

N'essaie pas de prendre l'air détaché et "sérieusement, je m'en fous je pose cette question pour meubler la convers" car dans 70% des cas, la personne comprend la vérité qui est celle de ; je suis vraiment intéressé  par cette question car tu m'intéresses.

On rentre à l'intérieur, je m'arrête devant la femme qui sert la nourriture et j'attrape la manche du métis pour l'attirer pret de moi il est un peu lent quand même la femme et moi avons un sourire jusqu'aux oreilles. Je ne sais pas pourquoi elle sourit comme ça, je ne sais pas pourquoi je souris comme ça. Je regarde le menu, ouais je vais prendre un coca-cola et... et merde je sais pas. Si je prend encore de la salade je vais passer pour une fille qui fait des chichis sur son poids. Alors c'est avec fierté (j'suis fier d'avoir trouvé un truc, quoi) que je m'exclame

▬ Je prends la même que lui !

Je ne comprends ensuite pas vraiment ce qu'elle veut dire par "c'est beau l'amour" j'observe la réaction de mon Skyggounet à cette phrase.
Si seulement elle savait. Pauvre femme...



















c'est dur de se dire que tout est terminé et j'ai beau dire que tout ça n'a plus d'importance, mais tout le monde autour de moi,
sait bien ce que je pense.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: The drug in me is you ?   The drug in me is you ? 1400359500-clockDim 2 Fév 2014 - 20:18


❝ BECAUZ YOUR LOVE IS MY DRUG
• SKYGGE & CALE•



Il avait oublié le pourquoi de votre rencontre visiblement.

▬ Ah ouaaaais le LMS. Euh c'était juste pour avoir ta confirmation pour l'anniv de Jim.

Tu tournes la tête vers lui, sourcils froncés avant de lever les yeux au ciel, regardant de nouveau de toi, te renfrognant. Il fallait forcément que Jim aille en parler à Cale. Quel emmerdeur ce... tu réalises alors. S'il en a parlé à Cale c'est que lui aussi est invité ? Jim, espèce de salopard. Tu te fais la silencieuse promesse de lui enfoncer ton poing dans la gueule. Ce mec est un manipulateur. Saleté de déjanté.

▬ Grmbl. Y a pas de confirmation, je lui ai dis que je viendrai pas.

Et qu'il pouvait toujours crever. Mais c'est un détail.

▬ Et t'façon, les gens sont à court de rumeurs sur moi, ça va leur faire plaisir. Il élève la voix. "Skyle le retour du couple".

Tu le fixes tandis qu'il t'adresse une petite tape. Tu esquisses un sourire se voulant amusé par sa plaisanterie, mais tes yeux traduisent sans mal ton incompréhension. Tu te demandes si ça l'amuse de supposer ce genre de choses. Il est pourtant conscient de tes sentiments, non ? Bah. Cale est comme ça. Même quand il veut être méchant, il ne l'est jamais entièrement. Enfin, tu ne l'as jamais vu furieux. Le blond sous-entend alors la nécessité de fermer la porte. Tu t'abstiens de tout commentaire et c'est, cette fois totalement honnête, que tu laisses échapper un rire. Ce mec devrait faire du cinéma, il est irrécupérable.

▬ J'te paye le repas. Vraiment, ça me fait plaisir. Ça va me persuader que je suis pas un gros rad' durant quelques heures.
▬ Tch. T'es énervant, tu le sais ça ?

La conversation dérive alors sur le repas. Cale parle alors d'une amie, insistant d'ailleurs bien sur ce titre, à qui il paye les repas tous les jours. Tu l'écoutes attentivement, le regardant pendant qu'il s'exprime. Tu secoues la tête, souriant. Cale est décidément trop gentil, ça se retournera contre lui un jour. Soudain, sa main bouge et, tu ne cherches pas à bouger la tienne. Seulement, sa main touche la tienne. Tu te crispes, tournant la tête vers lui, le coeur battant. Mais, déjà, il la récupère, reprenant la conversation comme si rien ne venait de se passer. Tu déglutis discrètement, redirigeant ton regard devant toi. Keep calm Skygge.

▬ Non sérieusement, cette fille est super marrante, tu devrais la connaitre je suis sûr que tu l'aimerais, tu veux que je te la présente ?
▬ ...hm. Je suis pas aussi convaincu que toi sur les chances que je puisse l'apprécier.

Et tu accentues bien ce dernier mot. Vous êtes arrivés devant la cafétéria si rapidement que tu ne t'es même pas rendu compte que le chemin avait été parcouru aussi vite. Vous entrez et Cale reprend.

▬ Et toi ? T'as rencontré quelqu'un ?

Tu penches la tête sur le côté, surpris qu'il te pose cette question. Mais tu n'as pas envie de mentir. Tu n'as rien à cacher, et, de toute façon, ça ne servirait à rien de lui mentir.

▬ Plus ou moins. Heath nous avait invité Lys et moi pour un voyage à Miami. La chaleur qu'il fait là-bas... j'ai cru mourir plus d'une fois. On s'est posés sur la plage, et, avec le tact légendaire d'Heath, on a vite été entourés de filles. Je comprenais absolument rien de ce qu'elles disaient. Les mecs ont pas arrêté de me charrier avec une des filles. Une brune.

Tu jettes un coup d'oeil furtif à Cale avant de reprendre.

▬ On s'est vus plusieurs fois pendant le séjour. Puis voilà.

Ça te fait un peu bizarre de parler de ça à Cale. Mais bon, tu n'as rien à cacher. Tu te rends compte que t'as traîné et l'américain rectifie le tir en agrippant ta manche pour te rapprocher. Ce geste te fait sourire tandis que la serveuse en face de vous vous offre un sourire plutôt louche. Sourire auquel tu réponds par un regard interloqué et une moue perplexe. Même sans parler, t'as pas de tact.

▬ Je prends la même que lui !

Tu souris, détournant la tête en faisant mine de regarder le menu. La même chose que toi ? Si seulement. Tu chasses tes pensées pas très catholiques en secouant ostensiblement la tête, puis tu le regardes de haut en bas, haussant un sourcil.

▬ On va partir pour un truc bien copieux.

Tu désignes alors plusieurs choses : hamburgers accompagnés par une bonne grosse ration de frites, à boire et des desserts. Tu fixes alors fièrement Cale, lui offrant un sourire en coin.

▬ T'as maigri. Et c'est pas avec moi que tu pourras continuer à perdre du poids.

Eh oui. Après tout, un grand gaillard sportif comme toi a besoin de manger beaucoup. Et, de toute façon, même sans ça, tu as plutôt un bon appétit. Un morfale comme on dit. Tu t'apprêtes à le devancer pour payer, mais il te prend de court. C'est pas aujourd'hui que tu lui paieras le déjeuner. Tu grognes.

Une fois ensemble, vous repartez vers la salle de classe. Tranquillité oblige. Tu aurais bien proposé le toit, mais il fait frisquet ces derniers temps. Mieux vaut ne pas courir le risque de refiler la crève à Cale. Il t'en voudrait. Et tu ne pourrais même jouer à l'infirmier avec lui. La vie est moche. Tu ouvres la porte d'un coup de pied. La douceur et toi... une grande histoire d'amour. Tu t'installes au fond de la classe, posant la nourriture sur une table.

Une fois la porte fermée et deux tables rapprochées, tu t'assieds, commençant déjà à manger. Dire que manger seul en tête à tête avec Cale te rend heureux serait un euphémisme. D'ailleurs, tu le fixes depuis tout à l'heure. Tu finis quand même par t'en rendre compte et tu regardes ailleurs, un peu perturbé.

▬ Jim t'a demandé de me convaincre de venir à son foutu anniversaire, c'est ça ?

Tu lui accordes un regard, buvant une gorgée d'eau. C'est pour ça que Cale voulait lui parler non ? Autant entrer dans le vif du sujet afin de pouvoir passer rapidement à autre chose. Tu t'enfonces dans ta chaise, t'étirant avant de te redresser.

▬ Je suis désolé qu'il t'ait dérangé avec ça.

Tu esquisses un sourire avant d'ébouriffer ses fins cheveux blonds, souriant. Puis tu te recules dans ta chaise après avoir pris quelques frites que tu engloutis rapidement. Tu suçotes le bout de tes doigts avant de le regarder de nouveau, te souvenant d'un détail.

▬ Au fait. Comment ça se fait que t'ais maigri comme ça ? Tu fais une grève de la faim ou quoi ?

•••

code par Skank aka Achiavel sur Apple-Spring
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: The drug in me is you ?   The drug in me is you ? 1400359500-clockMer 5 Fév 2014 - 20:18



The drug in me is you ?



You're a pretty little flower i'm a busy little bee




▬ On va partir pour un truc bien copieux.

Il me reluque de bas en haut. Ça va j'suis pas un africain........... Les filles aiment pas les types trop maigres moi non plus je sais me forcer à manger, j'suis pas un foutu gosse. Il commence à désigner, des hamburgers, des frites, une boisson tout le tralala, je pars dans un esclaffement "oh non..." il m'offre un sourire en coin, me disant que j'ai maigri et que ce n'est pas avec lui que je vais continuer à perdre du poids. C'est pas lui qui va me sauver, qui va me redonner l'envie de manger, mais j'essaie d'apprécier ce geste, en l'approuvant d'une mimique. Il s'apprête à payer je le dévance, bien évidemment. Tant d'engouement fait plaisir à la caissière.

▬ Rajoutez du thé, s'il vous plait. Beaucoup de sachets de thé, je vais en ramener pour une copine.

HOLLYY HOLLY JE PENSE À TOI. Quand je vais lui dire elle a intérêt à me sauter au cou, en plus aujourd'hui c'est un peu spécial, je devais bien lui offrir quelque chose. Je regarde le prix, je regarde le métis et je commence à chanter que j'ai plein d'argent en pleurnichant intérieurement sur les billets qui sortent de mon portefeuille en cuir.

▬ Putaing, plus jamais je t'offre le repas......

Je ris et on arrive rapidement à la salle de classe, il ouvre la porte avec son pied. Je dois faire quoi ? Applaudire ? Kyatté comme un dingue ? Lui dire que je le trouve excitant. Non, je ne dis rien, fais les gros yeux et rentre en silence. Il m'a passé l'envie de faire le malin, je ne sais pas pourquoi... Il s'installe au fond de la classe, j'aurais préféré devant, mais c'est lui qui porte, alors je ne dis rien. Sourire hypocrite habituel sur le bout de mes lèvres, sourire de quand je veux faire semblant que tout va bien et que rien ne va mal, sourire de quand je critique dans ma tête, non franchement pourquoi le fond ? y'a pas de soleil, c'est sombre c'est les mauvais élèves. D'ACCORD, D'ACCORD J'ARRETE DE RALER. Je m'avance lentement vers le putitre, me m'y assoie et en profite pour enlever tout de suite la veste de mon uniforme scolaire bleu marine  je dénoue ma cravate jaune. La porte est fermée, je le remarque en zieutant ce qui se passe derrière mon dos, me blançant sur la chaise en bois qui grince légèrement.  Je secoue le visage en murmurant  tout doucement avec un sourire éclatant "T'as vraiment fermé la porte..." c'est sans doute mieux ainsi, juste nous deux. Il s'assied à son tour, commençant à manger. Il ne mreste plus qu'à faire de même, ouais, grand soupire, je fixe les emballages. Quand je  regarde tout ça, toutes cette merde, ça me donne pas envie, mais je sais, JE SAIS, que quand je vais enfoncer mes canines dedans que je vais tout engloutir, je suis comme ça. Puis, franchement, on est pote, si je m'en mets partout peut-être qu'il va me trouver dégueulasse et qu'il va plus vouloir de moi ? Ahahah, je ris dans mon for intérieur et prends une grande bouchée de l'hamburger de la cafétaria ça se mange je finis de mâcher mon bout, me lèche les doigts et reprend la conversation comme si elle ne s'était jamais arrêtée.

▬ Franchement, ça vaux pas les hamburgers d'Amérique, tu verrais, y'avait pas loin de chez moi un petit commerce, leurs hambergers c'était les m.e.i.l.l.e.u.r.s, limite je veux vivre à côté

Et je continue de manger, m'enfous qu'il me regarde. Je tends l'oreille lorqu'il revient sur le sujet de Jim, mon cher Jim. Est-ce que je suis là pour le convaincre de venir à son annive ? Non pas vraiment, j'aurai pu prendre un autre jour. J'ai tout mon temps pour le convaincre. Je peux m'en amuser, même.

▬ J'sais pas ce que t'as avec lui. je laisse un instant mon hamburger dans ma main pour grimacer bon d'accord je me suis pris un pain la dernière fois, mais, maiiis index levé ça m'a fait beaucoup de bien j'enfonce mes crocs dans la nourriture

Lol. Dans mon cerveau ça fait "maso, maso, maso", dans le sien aussi ? Non, franchement, ce gars est vachement sympa et il l'invite à son anniv. Combien de paumé voudrait avoir la chance qu'il a ? Faut dire, lui c'est pas un paumé comme les autre, car il est sorti avec moi. Non, madame mes chevilles vont trèès bien.
Des centaines ? des milliers ? Je plisse les yeux, chopant une frite et ouvrant mon coca-cola

▬ Je suis désolé qu'il t'ait dérangé avec ça.
▬ Nha, j'ai l'habitude qu'on m'emme...

Ses doigts se faufilent dans ma chevelure blonde, je ne le prend pas mal, souriant en continuant de mâchergoulument. Putain, dites-moi que j'ai de la sauce partout autour de la bouche et qu'il pense "plus jamais je le touche"
Pas que ça me fait pas plaisir,
pas que je l'aime pas,
pas que je veux pas le reconquérir,
pas que je rêve plus de lui,
mais j'ai peur. De me faire des idées, de recommencer à partir trop loin dans ms délires amoureux qui ne font plaisir qu'à moi Je veux pas, je veux plus Ah merde. je regarde ma cravate, mon pantalon, je viens de mettre de la sauce dessus. AH MERDE...

▬ Au fait. Comment ça se fait que t'ais maigri comme ça ? Tu fais une grève de la faim ou quoi ?

Je reporte mon intention sur lui, l'examinant, bin, c'est pas que je fais un régime ou un truc du genre, hein.

▬ Bin... oui je commence bien euh.... je regarde par la fênetre et reviens sur lui tout sourire j'suis bizarre comme mec, fais pas attention.

La flemme de m'expliquer. Je m'essuie la bouche.

▬ Et j'te jure pour Jim, faut que tu viennes, peut être qu'on finira dans les bras l'un de l'autre  au cours de cette soirée je prends  une frite en haussant les sourcils qui sait ? sourire carnassier on pourrait passer du temps tous les deux...

Je déglutis. Oui je suis horrible de donner ça en argument.

▬ Toute façon, c'est moi qui te convaincs ou c'est Ashley... Jim est super sympa, si tu veux qu'on se remette un jour ensemble il va falloir que tu upgrade dans mon monde.

Je sais pas s'il comprend où je veux en venir. Je sais pas s'il serait capable, de rire, sourire, d'être hypocrite, ce genre de choses, mais juste de découvrir les gens avec qui je traine, les aimer, être sociale avec eux, ça me va. Je rapproche ma chaise de la table, engloutissant mon hamburger, expliquant avec les mains et chopant au passage une serviette.

▬ Tu peux pas rester avec Volty le surnom que je lui ai donné avec mes potes m'échappe, sur le coup je ne m'en rend pas compte toute ta vie

Et je le dis avec humour plus qu'autre chose.  QU'IL COMMENCE PAS A LE PRENRE MAL CAR JE PARLE DE VOLTAIRE. Je soutiens son regard bleu, c'est très important pour moi, là. Je m'humecte les lèvres. Je reprends en voulant lui sortir les mots de la bouche.

▬ D'accord ?





c'est dur de se dire que tout est terminé et j'ai beau dire que tout ça n'a plus d'importance, mais tout le monde autour de moi,
sait bien ce que je pense.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: The drug in me is you ?   The drug in me is you ? 1400359500-clockDim 9 Fév 2014 - 17:01


❝ BECAUZ YOUR LOVE IS MY DRUG
• SKYGGE & CALE•



Cale ne comprend pas ce que tu as contre Jim. Tu le regardes, esquissant un sourire. Voyons voir. Qu'est-ce qui pourrait justifier que tu ne puisses pas encadrer Jim ? Peut-être le fait qu'il ait couché avec celui dont tu es raide dingue. Ou encore cette sale manie qu'il a à se mêler de ce qui ne le regarde pas en pensant tout comprendre. Non, ce mec est définitivement emmerdant. Avec ses probabilités à la con. Ceci dit, tu n'avoueras jamais que, au fond, tu commences à l'apprécier. Un peu. Suffisamment pour que ça t'énerve.

Après avoir ébouriffer ses cheveux, il se regarde, remarquant ses vêtements tâchés. Tu le fixes en te demandant depuis combien de temps il n'a pas mangé pour être aussi peu attentif aux risques impliqués dans l'ingurgitation d'un hamburger. Il tente une explication mais semble se raviser en fournissant une excuse bidon. Tu n'insistes pas. Il n'a aucun compte à te rendre.

▬ Et j'te jure pour Jim, faut que tu viennes, peut être qu'on finira dans les bras l'un de l'autre  au cours de cette soirée. Qui sait ? On pourrait passer du temps tous les deux...

Tu le fixes, clignant des yeux. La bouche entrouverte du fait que tu voulais mordre un coup dans ton hamburger. Figé, c'est le mot. Tu reprends tes esprits, détournant la tête sans parvenir à dissimuler ta gêne. Est-il seulement conscient de l'effet que ses mots te font ? Rien ne pourrait te faire plus plaisir que de pouvoir réaliser ses dires. Et force est de constater que Cale a raison : l'anniversaire de Jim pourrait être une occasion pour renouer contact.

▬ Toute façon, c'est moi qui te convaincs ou c'est Ashley... Jim est super sympa, si tu veux qu'on se remette un jour ensemble il va falloir que tu upgrade dans mon monde.

Cette fois, tu voulais boire. Tu manques t'étouffer. Tu tousses à plusieurs reprises, donnant quelques coups sur ton torse avant de le regarder de nouveau. Bon dieu mais quelle cruauté de sa part ! Te faire espérer de la sorte alors qu'il est sans doute peu probable que ça se passe. Mais bon dieu, t'as envie d'y croire. T'as réellement envie d'y croire, de placer tous tes efforts là-dedans. Mais lui ? Est-ce qu'il envisage sérieusement que vous puissiez revenir l'un vers l'autre ? Ou dit-il ça pour se venger du mal que tu lui as fait ? Tu ne poserais pas la question. Car il est en droit total d'agir de la sorte.

▬ Tu peux pas rester avec Volty toute ta vie.

Tu fronces légèrement les sourcils avant de baisser les yeux, songeur. C'est vrai que tu te reposes énormément sur elle depuis la rupture. La pauvre ne doit plus avoir assez d'oxygène pour elle seule. Tu lui bouffes tout son temps libre, tout son espace vital. Elle ne s'est jamais plainte, mais, dans le fond, peut-être qu'elle en a assez que tu puisses pas définitivement surmonter cette épreuve. Cale a raison. Tu ne pourras pas éternellement t'appuyer sur elle. Tu relèves la tête, plongeant ton regard dans le sien.

▬ D'accord ?
▬ ...d'accord.

Tu reposes ta boisson, continuant à le fixer avant de regarder par la fenêtre.

▬ Tu as raison. Je dois arrêter de toujours me raccrocher à elle comme à une bouée de sauvetage après un naufrage.

Tu le regardes de nouveau, une nouvelle lueur brillant dans ton regard. Tu lui offres un sourire reconnaissant.

▬ Je viendrai et... je ferais des efforts.

Tu ne le quittes pas un seul moment tu regards. Silencieusement, tu avoues que tu fais ça uniquement pour lui. Parce que tu l'aimes plus que de raison. Parce que tu pourrais faire n'importe quoi pour avoir la chance de pouvoir entrelacer de nouveaux tes doigts aux siens. Pouvoir sceller ses lèvres des tiennes. Tu fermes un instant les yeux. Même après votre rupture, tu n'as jamais sourit de cette manière avec une autre personne que lui.

Tu attrapes quelques frites que tu te mets à grignoter tranquillement, cessant de l'observer. Le pauvre va finir par croire que tu vas te jeter sur lui. Tu tournes la tête vers le couloir, ressentant la présence de quelques personnes grâce à la tension de leurs muscles. Tu reportes ton attention sur ton repas, le terminant peu de temps après. Tu te laisses ensuite tomber au fond de ta chaise, te balançant sur cette dernière et tapotant ton ventre. L'envie de t'accorder une sieste après tout ça, et par extension sécher les cours, te tente grandement.

Mais Cale est là. Tu profiteras de lui jusqu'à ce qu'il décide de partir. Tu repenses à ses mots, esquissant un sourire.

▬ En fait, le plan que t'as en tête c'est de me sociabiliser. Je me trompe ?

Le pire, c'est qu'il pourrait réussir à le faire le bougre. Quoi ? Avouez que ses arguments sont des plus convaincants.

▬ Tu sais comment je suis, n'est-ce pas ? Tout âne a besoin d'une carotte pour avancer. Je suis curieux de voir comment tu vas t'y prendre.

Curieux et impatient. Si tu as vu juste, ça va impliquer que tu vas passer plus de temps avec lui. C'est la plus belle des promesses, à l'heure actuelle. Seulement, tu sais aussi que ce ne sera pas une mince affaire. Tu es tellement têtu, râleur et acerbe que peu de gens voudront t'accorder une chance. Pauvre Cale.

▬ Je t'admire vraiment, tu sais ?

Tu brûles d'envie de lui demander pourquoi il fait ça. Mais tu préfères t'abstenir.


•••

code par Skank aka Achiavel sur Apple-Spring
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: The drug in me is you ?   The drug in me is you ? 1400359500-clockVen 21 Fév 2014 - 1:57
The drug in me is you ?



J'ai pas attendu de voir le Titanic pour savoir que les histoires de couples tombaient a l'eau ...  



Il me dit d'accord. Juste d'accord. Attendez quoi ? Il est d'accord. Je bats des cils, poker face. Il n'a pas a râlé, pas grogné, Juste dit oui en détournant son regard du mien pour regarder par de là la fenêtre le paysage. Ce gars m'aime vraiment et j'ose continuer à me faire désirer. Je secoue légèrement la tête, souriant discrètement t'es vraiment con, Cale. En plus, il doit être en train de réfléchir pour qu'il regarde de cette façon par de là la fenêtre. Sans doute à propos de Volty. Il a toujours cette expression quand il pense à elle, sauf que là, sa mine est légèrement plus renfrognée.

▬ Tu as raison. Je dois arrêter de toujours me raccrocher à elle comme à une bouée de sauvetage après un naufrage.

Hum, y'a pas de mal à se raccrocher aux gens.

▬ Y'a pas de mal, t'inquiète.


Laisse-la juste respirer et se trouver un copain, veux-tu. J'ai pas envie d'avoir Skygge Voltaire, juste lui ça me suffit déjà amplement, je peux pas adopter les deux. Ou peut-être plus tard. Là ce n'est pas dans mes objectifs ou dans mes plans, en plus elle m'a dans le piff avec tout ce que j'ai faits à son bestou. Je grimace légèrement et viens passer mon doigt sous mon nez, ça me gratte. Il m'offre un sourire reconnaissant, alors, je lui rends ce sourire automatiquement, mécaniquement. J'aime quand il sourit comme ça, ça me ferait presque battre le coeur à donf. Il va venir et même faire des efforts, je suis heureux, je mets mes mains dans mes poches. Je touche quelque chose, ah ouais... MERDE... J'avais complètement oublié que j'avais ça, quoi. Je prends quelques secondes avant de reporter mon attention sur lui et de laisser le paquet au fond de ma poche de slim, le temps de ne pas avoir la face du mec prit en flague. Je lui lance légèrement préoccupé encore dans mes pensées

▬ Viens donc, viens donc, je n'attends que toi je me balance légèrement sur ma chaise. Elle grince. Puis, il me regarde, je loupe de me casser la figure. Je m'arrête vite

Je rapproche ma chaise de la table, pose mes coudes dessus, écarte la nourriture, pose mes bras et fout ma figure dedans. Je soupire légèrement je sais pas quoi faire, je sais pas ce dont j'ai envie et pourtant je sais, qu'il suffit que je montre que c'est lui que je veux pour qu'il me tombe à nouveau dans les bras. Il finit son repas, il me reste encore une tonne de frite, et de la boisson. Je sais que je ne vais pas terminer, j'ai faim, mais c'est de la gourmandise et je ne prendrais pas des kilos supplémentaires parce que la tentation de la bouffe est trop forte. Non. Je relève légèrement le visage, main à présent sous le menton. Il a l'air d'avoir bien mangé. Je le regarde. Il reprend la conversation, que dit-il ?

▬ En fait, le plan que t'as en tête c'est de me sociabiliser. Je me trompe ?

Non, mon plan c'est de te récupérer, te reluquer en douce et le pire c'est que c'est juste ça

Je veux juste voir un sourire comme ça au bout de ses lèvres n'importe quand, n'importe où avec n'importe qui, comme ça, quand je suis pas là, il a pas cette mine triste, comme ça quand je suis pas là et que je le regarde de loin, je peux tomber encore et encore amoureux de ce sourire-là qu'il dévoile avec beaucoup trop de difficultés. Dans la vie, faut savoir faire des choix. Juste penser-le voir sourire avec une petite brune - les brunes c'est son genre que voulez-vous- ça me noue, mais, je peux pas le garder juste pour moi, ça non. Je souris tout de même, car il n'a pas tout à fait tort, mes objectifs le mèneront à la sociabilisation.

▬ C'est plus profond que ça, mais on va dire que oui.

Il reprend en me dévisageant avec curiosité et une lueur dans les yeux, qu'il a besoin d'un petit quelque chose pour avancer et qu'il est impatient de voir comment je vais m'y prendre. Je fronce légèrement mes sourcils, je pourrais lui donner un bisou. Je sais pas. Avec le temps les récompenses monteraient en grade.
Je sais pas à quoi je pense mais je crois que j'aime ça. Je balaye le sourire de ma face

▬ J'ai mes petites idées.

Ou pas. OK. JE VAIS PAS DEVELLOPER MES IDEES TOUT DE SUITE.

▬ Je t'admire vraiment, tu sais ?

Oui, bien sûr que je le sais. Je suis Cale smmers, toutle monde m'admire, tout lemonde mecopi,e tout le monde m'aime. Même toi. Je me recale au fond de ma chaise pour mieux le regarder et planter mes yeux dans le sien. Bras allongés sur la table, air songeur. Non, je ne suis pas quelqu'un d'admirable, assurément pas. Mes doigts viennent tapoter la table, faisant résonner un son dans ce silence.

▬ Je suis pas quelqu'un d'admirable. je prends une pause, reprends mes mains et viens les poser sur ma chaise, entre mes jambes 'fin je veux dire, je suis, jaloux, possessif, parfois dépressif, anxieux, je déteste perdre, je déteste quand une fille minaude devant toi, je déteste cette situation je le regarde bien dans les yeux, parce que, ce que je dis le concerne, tout simplement, je reprends plus bas je frole le 8 de moyennes, je laisse les gens que j'aime dans la merde, je fais semblant de les aimer, semblant de rire, de faire l'amour, de gémir. Ma vie est une grosse blague. Le genre de blague, qui ne fait même pas sourire. Et y'aura toujours des gens pour me prendre pour un dieu, pour un roc, pour quelqu'un d'admirable et bon. je lève les yeux aux ciels, fatigué et lassé je suis égoïste, Skygge, affreusement égoïste.

Ma gorge se noue et mon regard faiblit

▬ Si je fais quelque chose pour toi c'est parce que ça va juste me rapporter beaucoup. je lâche tristement, baissant les yeux c'tout. et je commence à repenser,  que je vais lui briser le coeur, qu'il sera mieux avec sa foutue  brune, avec sa Johanna, sa je sais plus quoi, j'ai rien à lui offrir, ouais... Et si tu continues de m'aimer, je peux vraiment rien y faire je croise les bras on ira s'épouser au Danemark, on adoptera une tonne de Chinois on leur donnera des noms pourris et on sera heureux jusqu'à la fin de notre vie.

QUOI. J'AI PLUS LE DROIT DE DIRE DES CONNERIES . Bref. Je sors de ma poche la fameuse boite et la lui lance, bien sûr il arrive à récupérer mon cadeau sans trop de mal.

▬ Je me voyais mal me ramener avec une rose, comprends-tu.

Ouais. Je me vois pas du tout avec une fleur dans la main à jouer les jolies coeurs "tiens Skygge, mon amour. Une roseee" PEUT ETRE L'ANNEE PROCHAINE, QUAND ON SERA ENSEMBLE. Mais je dis bien peut-être peut-être et... oh mon Dieu, il n'a aucune réaction, peut-être qu'il va le prendre mal. Ou qu'il est mort. Ou qu'il fangirling, je sais pas, j'ai peur d'avoir gâchez l'ambiance, les efforts. Aussi, c'est pas en me cramant que ça va lui donner envie de ressortir avec moi "JE SUIS DEPRESSIF, POSSESSIF" Rhaaa ta gueule, Cale, faut vraiment que j'arrête les substances. Je me pince la lèvre, bon sang il va réagir oui ??? Je me perds exprès dans mes pensées pour pas examiner sa réaction de près, genre "il vient de s'humecter les lèvres. Il veut de moi. Il vient de froncer les sourcils. Il a oublié que c'était aujourd'hui/croit que c'est une blague" non, stop l'analyse faciale des gens, ça sert à rien, ça veut rien dire, non ? La gorge sèche, qui me pince, je désamorce le blanc en chantonnant légèrement de ma voix rauque.

▬ Joyeuse St-Valentin ♪

BON SANG.



c'est dur de se dire que tout est terminé et j'ai beau dire que tout ça n'a plus d'importance, mais tout le monde autour de moi,
sait bien ce que je pense.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: The drug in me is you ?   The drug in me is you ? 1400359500-clockVen 21 Fév 2014 - 12:43

cale & skygge


becauz your love is my drug

La vérité, c'est pas que tu l'admires parce que tu l'aimes. Y a de ça, mais pas que. La vérité, c'est que son geste te touche. La vérité, c'est que tu penses toujours que tu seras jamais fait pour vivre de manière si "sociale" que lui. La vérité, c'est que tu ne redeviendras jamais le garçon que tu étais à tes 16 ans, avant que ton don ne se manifeste. T'as peut-être retrouvé le goût au basket, mais uniquement parce que tu as trouvé des adversaires plus coriaces. Surtout Pytha qui est certainement le seul qui puisse te défaire.

Cale se recule dans sa chaise avant d'agrémenter le calme par le son de ses doigts tapotant sur le bois de la table. Tu n'as pas vraiment de mal à savoir ce qu'il pense. Même si ta capacité à toi c'est de prévoir les mouvements et non les pensées ou les mots. Il prend la parole, et tu ne le quittes pas un instant du regard.

▬ Je suis pas quelqu'un d'admirable... 'fin je veux dire, je suis, jaloux, possessif, parfois dépressif, anxieux, je déteste perdre, je déteste quand une fille minaude devant toi, je déteste cette situation.

Son regard croise le tien. Tu l'écoutes patiemment, l'invitant à poursuivre d'un léger hochement de tête. Tu commenteras après. Tu préfères le laisser terminer sur sa lancée.

▬ Je frôle le 8 de moyenne, je laisse les gens que j'aime dans la merde, je fais semblant de les aimer, semblant de rire, de faire l'amour, de gémir. Ma vie est une grosse blague. Le genre de blague, qui ne fait même pas sourire. Et y'aura toujours des gens pour me prendre pour un dieu, pour un roc, pour quelqu'un d'admirable et bon. Je suis égoïste, Skygge, affreusement égoïste.

Tu penches légèrement la tête sur le côté, le menton coincé dans le creux de ta main. Un petit sourire ourle tes lèvres, sans que tu ne le réalises.

▬ Si je fais quelque chose pour toi c'est parce que ça va juste me rapporter beaucoup, c'tout. Et si tu continues de m'aimer, je peux vraiment rien y faire. On ira s'épouser au Danemark, on adoptera une tonne de Chinois on leur donnera des noms pourris et on sera heureux jusqu'à la fin de notre vie.

Tu fermes les yeux, secouant la tête avant d'attraper ton gobelet et de siroter à la paille, avalant quelques gorgées avant de te redresser un peu, t'affalant dans ta chaise, croisant les bras derrière ta tête.

▬ Tu sais, je pense pas que tu sois aussi égoïste que tu le penses. Tout le monde a des défauts, personne échappe à la règle. Parce que personne n'est parfait. T'auras beau dire que tu laisses les gens que tu aimes se démerder, ça fera pas de toi une personne détestable. Dans la vie, il faut savoir apprendre à franchir les obstacles seul.

Tu poses ton regard sur lui, esquissant un sourire avant de te rapprocher pour poser les coudes sur la table.

▬ T'es quelqu'un de gentil et de naïf, Cale. Je t'admire parce que tu te fixes des objectifs un peu débile comme me sociabiliser. Petite tape sans violence sur sa tête avec ton poing. Tu penses un peu trop aux autres. Donc non, tu n'es pas égoïste. Juste idiot. Nouveau sourire. Et si t'arrêtais un peu de te déguiser en celui que tout le monde veut que tu sois ? Laisse le véritable Cale s'exprimer. Peut-être que, une fois que t'auras laissé tomber le masque, on pourra parler d'égoïsme.

Ta main fourrage ses cheveux blonds et tu te recules de nouveau, t'étirant de tout ton long. Cale n'est pas plus égoïste que toi. Toi-même tu l'es sans doute davantage. Mais qu'importe. Il fouille alors dans sa poche et tu sens ses muscles se contracter. Tu prépares ta main et tu ne tardes pas à voir un objet atterrir dedans. Tu hausses un sourcil avant de le regarder, ne comprenant pas réellement ce que ça signifie.

▬ C'est quoi ?
▬ Joyeuse St-Valentin ♪

Tu écarquilles les yeux, le fixant, la bouche légèrement entrouverte sous le coup de la surprise. Cale qui te fait un cadeau un jour comme celui-ci ? Bordel, on est le 14 février ? C'est une blague ? T'as jamais vraiment fêter ça toi. Même au Danemark, ça n'a jamais été quelque chose de super répandu. En réalité, les danois se sont inspirés de la tradition américaine et n'ont commencé à fêter ce "jour des amoureux" qu'à partir des années 90. "Jour des amoureux". "Amoureux". Nom de dieu. Tu regardes ailleurs, gêné. On peut même déceler des rougeurs sur tes joues. Bravo Cale, bravo.

▬ M-mais... j'ai rien moi.

Déjà qu'il te paie le repas, maintenant ce cadeau. Et pour la Saint Valentin en plus. Trop d'un coup. Tu marmonnes quelques mots danois dont on taira la traduction et tu te lèves, te penchant au dessus de la table pour déposer tes lèvres sur son front. Tu te réinstalles sur ta chaise, essayant de dissimuler ta gêne. Mais avouons que l'attention te fait plaisir. Même si elle te plonge dans un doute monstrueux.

▬ Tu fais des allusions équivoques, t'aimes pas que les filles minaudent devant moi -et je me demande où t'as vu que j'en intéressais ne serait-ce qu'une-, tu me paies à manger, et maintenant tu m'offres un cadeau pour la Saint-Valentin.

Bras repliés sur la table, tu dissimules ton visage dedans. Pour cacher ta gêne, et pour ne pas affronter son regard après ce que tu vas dire.

▬ Cale. Arrête de me donner de faux espoirs... Oui parce que bon, pour toi c'est évident qu'il fait ça juste pour te déstabiliser. Parce que tu sais qu'il aime te voir gêné. C'est d'ailleurs le seul qui puisse se vanter de t'avoir vu rougir. Même Voltaire ne peut pas se targuer d'avoir assisté à ça. ...sinon je vais finir par te sauter dessus.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: The drug in me is you ?   The drug in me is you ? 1400359500-clockVen 14 Mar 2014 - 5:13







 . . .
Damn this guy can make me cry, it's so contagious, i cannot get it out of my mind. It's so outrageous. You make me feel so high all the time



▬ M-mais... j'ai rien moi.
Encore heureuux.
Je croise les bras et incline la tête pour renchérir
▬ Je sais

Haawn, hawn, tu m'as pris pour une foutue fille qui espérait secrètement qu'on lui tende des foutus chocolat ?
J'en ai déjà trop reçu, désolé.

Je sais pas comment j'aurai réagi s'il avait eu quelque chose à m'offrir, mais je commence à imaginer et çame plait pas. Trop tard. Je ne peux plus m'arrêter de penser et d'imaginer. Je suis un gars comme ça avec une très très grande imagination. J'aurai d'abord éclaté de rire, puis j'aurai saupoudré le tout d'un "t'es trop trop mignon", mon coeur serait devenu une chose dégoulinante et sucrée et je lui aurais sans doute dit "allez, viens m'embrasser mon gros, je sais que ne te n'attend que ça" en venant le prendre dans mes bras virilement. J'inspire en passant mes mains sur mes bras, pour me réchauffer. Je n'aime pas les choses dont je n'ai pas prévu l'existence peut-être bien que je suis un calculateur. Un emmerdeur comme Lynette Scavo dans desparate housewife, paraît-il, même. Les rougissements, les balbutiements de fillettes je le les lui laisse. Il le fait pour deux et il le fait très bien. Suffit de regarder ses fossettes d'adolescents et son sourire d'homme comblé pour comprendre que ça lui va à ravir ce rôle. Il murmure quelques mots en danois. Je fronce les sourcils. Moi aussi je peux parler dans ma langue avec mon accent mâché qui ne ressemble à rien, monsieur. Moi, au... ses lèvres se retrouvent sur mon front. J'arrête de râler. J'arrête même de penser. Je. Mmmh. Je viens me masser la nuque discrètement, je sais plus où me mettre maintenant, la honte. J'enlève ma main de ma mâchoire, je prends le ton qui donne l'impression que je ne suis absolument pas troublé et qu'en plus, c'est mon grand-père qui m'embrassait sur le front. Yeux rieurs.

▬ La joue c'était bien aussi

Si mon grand père savait que je pense à lui en ce moment même... Pourquoi la joue aurait été bien aussi ? Mais parce que j'aurais pu détourner le visage et sans faire exprès l'embrasser "oups an accident !" qui a dit que les accidents n'étaient pas agréables ? Je viens me racler la gorge et me remets en place sur ma chaise. Oui, je sais je devrais pas penser ça, c'est mon ex, mais comment résister à ce type ? Si aucune fille n'a mis le grappin dessus c'est parce qu'il laisse approcher aucune fille. Je grimace et feinte d'être distrait par le paysage pour pouvoir penser très fort idiot idiot qui aime les brunes.

▬ Tu fais des allusions équivoques, t'aimes pas que les filles minaudent devant moi -et je me demande où t'as vu que j'en intéressais ne serait-ce qu'une- idiot idiot qui ne remarque pas les brune qui te font de l'oeil, mais moi, je le vois, je le sais, j'ai l'habitude tu me paies à manger, et maintenant tu m'offres un cadeau pour la Saint-Valentin.

Bon c'est vrai que ça commence à faire beaucoup.
Trop. Mais ! C'est mon kiff de jouer les gentleman.

Air innocent et "je ne vois pas de quoi tu parles" qui trône sur mon expression faciale, je vais faire passer tout cela pour de la pure galanterie et gentillesse américaine. Car nous, les Américains nous sommes très compatriotes, nous venons toujours en aide à ceux qui en ont besoin. Non, je suis absolument grillé et foutu, alors il ne me reste plus qu'à hausser les épaules -mais là, tête dans ses bras, il ne voit rien- et à changer de sujet : mais à quoi bon ? Il va tout le temps y penser. Rha, je savais que j'aurai dû le laisser payer, quel con ! MON BON COEUR ME PERDRA. Sa voix désespérée et amoureuse me parvient et me perfore les entrailles (lol)(non pas lol) il me demande, me supplie d'arrêter de lui donner des faux espoirs. Air blasé. Méchant Cale donne des faux espoirs à gentil Skygge, bouh... hou... Je vais pleurer. Oh l'idée de me venger, de lui faire croire, de le faire miroiter m'est venu à l'idée, mais c'est tellement bas, tellement pas moi. L'honnêteté, l'honnêteté nous sauvera mon petit Skygge et j'en suis convaincu. Je fais claquer ma langue, cherche une bonne phrase rhétorique à répondre à celui-là. Je pourrais prendre ce ton désinvolte, battre des cils, faire glisser le long du pupitre mes doigts là et lui dire d'une voix enjôleuse, que je lui ai donné ces chocolats, car j'en avais trop et que j'avais pitié de lui, je pourrais dire que c'est une fille- UNE BRUNE - qui me les a filés. Tellement facile de briser le coeur de quelqu'un et pourtant, le connard de Cale ne le fera pas.
Et pourquoi ? Parce que je tuerai celui qui le blesse. Et je ne rigole pas. Je pourrais sauter du haut du toit si je le voyais pleurer à cause de moi. Enfin, après avoir bu assez de verres et avoir sniffé un peu, c'est VRAI, mais le résultat serait là.

▬ dé..
...sinon je vais finir par te sauter dessus.


hein ?
Deux, trois, soleil. Sourcils froncés l'envie de réveiller la belle au boit dormant par une tape amicale sur la tête me passe par l'esprit, mais non. Car j'observe son visage, son adorable visage. AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH IL EST GENE. LE GRAND OURS EST GENE PAR LE LION. Et ça me donne juste envie d'hurler comme une fangirl. Oh combien je me retiens... Merci la maitrise. Je prends dû recul sur la situation, j'analyse. AAAAAAAAAAAAH PUTAIN C'EST TROP MIGNON. Tout ça, ça me donne tellement envie de rire. Mais je reste stoïque et en mode pokerface. En plus ça sert à rien de rire s'il ne le voit pas. Je commence par des
"je vois" nuancés -bien tendu-, je remballe mon sourire et mon air heureux, m'humectent les lèvres et me concentre sur la table.

je me suis pas épilé depuis deux semaines. Donc, non. Je suis en période "pas de sexe" alors commence pas à t'imaginer me prendre sur la table, coquin....

Oui, je ne manque pas d'humour. Je me lève légèrement et me penche assez pour atteindre sa tignasse brune et la lui ébouriffer. Sourire de gamin aux lèvres, je relève son visage en le prenant par le menton. Je plonge mes yeux dans le sien, me décris la couleur de ses pupilles quelques instants et pense haut et fort

▬  T'es vraiment, vraiment, vraiment, séduisant

Vraiment, je choisis bien mes ex à ce que je vois. Je me retire et me lève de ma chaise. Je reprends ma veste et commence à l'enfiler, je lui accorde un coup d'oeil après avoir mis correctement mon col. Plus je passe du temps avec lui et plus j'en veux. C'est un cycle perpétuel. Quand vous avez ce que vous voulez, vous voulez toujours plus et quand vous pouvez pas avoir plus, vous sombrez. J'ai le coeur lourd, je veux le voir encore, j'ai tellement de choses à lui dire, tellement de questions. C'est vendredi. Le vendredi on sort. Ouais, c'est une bonne idée, de faire quelque chose ensemble tous les deux. Je me pince la lèvre, j'hésite. Oh ça pas me faire de mal de lui proposer de boire. Je prends le plus de confiance en moi et me lance

▬ Ce soir on sort, toi et moi entre potes je surligne bien le entre pote avec un sourire carnassier qui dévoiles mes dents
Je t'attendrai à 21 heures, d'accord ? je soutiens son regard et je me balance légèrement sur mes pieds je t'attendrai à 21 heures devant la grille. Pas plus pas moins. Je n'accepte aucun retard je lui accorde un léger sourire pas même à mon ancien petit-ami.


Hrp ✖✖
Je me suis couchée tot, alors je me suis réveillée dans la nuit et je me suis dis "autant répondre au rp" même si t'as pas trouvé la bonne réponse tout à l'heure xD.
Pardon pour le retard qui est inéxcusable ;w;  ♥
(en vrai j'ai l'impression d'être stalké sur ce que je vais marquer, là)


Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: The drug in me is you ?   The drug in me is you ? 1400359500-clock
Revenir en haut Aller en bas
 
The drug in me is you ?
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: RPs :: Fini m'dame-
Sauter vers: