Fin de journée givrée [Vic' & Damon ♥]

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Le Printemps rend poétique, à ce qu'il paraît.

Avril, ne te découvre pas d’un fil. Voilà le genre d’expression vieillote et inutile que l’on aurait aimé dire, en ce jour de Printemps où il faisait froid, horriblement froid. A croire que Mr Freeze, Capitaine Iglo, Morphéo et tout un autre tas de choses complètement givrées s’étaient mises d’accord pour faire de cette journée un moment à rester dans sa chambre, sous ses tonnes de couverture. D’ailleurs, toute personne censée ne serait pas sortie prendre l’air habillée de manière tout à fait aléatoire et découverte.

Mais Mackenzie Turnover n’était pas une personne censée.

Elle était là, grande tâche rousse au milieu du paysage grisâtre et semi-moisi de fin d’hiver. Elle était là, habillée de son T-shit dit « écureuil volant » qui dévoilait ses épaules nues. Elle était là, assise en tailleur entre deux flaques de gadoues, des palettes colorées éparses autour d’elle, et le visage extrêmement concentrée. Quand je parle de Mack concentrée, j’ai toujours l’impression de commettre une immense erreur, une anomalie, et je me dis que j’aurai peut être mieux fait de vous parler du dernier exploit du poulpe vert fluorescent qui hante les rêves de la grande rousse. Cela aurait été moins choquant.

Mack était concentrée. Ailleurs. Déconnecté. La ride qui se formait entre ses deux sourcils était la preuve ultime qu’elle s’était transformée en une nouvelle forme de vie, espèce rare, une Mackenzie sérieuse et en pleine réflexion.

Mais à quoi pouvait-elle bien penser ? Pas à son record supersonique à MarioKart, je ne pense pas. Mack pensait à l’œuvre d’art qu’elle était en train de dépeindre sur la toile posée sur ses genoux. A la base, elle était venue pour faire ce qu’elle savait si bien faire : dessiner des fringues complètement déjantées. Puis quelque chose l’avait chiffonné, encore et encore. Il y avait toujours un détail qui n’allait pas, un petit quelque chose qui la frustrait au point qu’elle se mettait à déchirer tout son travail. Finalement, elle avait opté pour un cours de dessin basique, et avait entreprit de dessiner le vague paysage qui s’affichait devant elle. Un arbre presque chauve en dessous duquel trônait un vieux banc au bois pourri. Pas très passionnant.
Et bien différent du paysage vert et frais qui était présent sur la version de la jeune fille. Mack avait encore divagué, avait encore laissé ses mains bouger toutes seules, et avait crée une version bien plus belle que l’originale et bien plus fidèle à elle-même.

Et c’était ce qui la tracassait.
Sa capacité à divaguer.

Elle avait pas demandé à transformer un paysage miteux en arc en ciel elle. Elle voulait juste dépeindre la réalité. Et comme d’habitude, tout ça s’était terminé en gros fail. Dommage.
Du coup elle réfléchissait sur ce qu’elle pourrait faire maintenant, son pinceau virevoltant et rajoutant des touches de couleurs par-ci et par là.

Tout à coup, Mackenzie frissonna. Fort. Elle se mit à trembler comme une feuille, avant de lâcher un énorme éternuement, qui résonna dans tout le jardin. Voilà. Elle avait pris froid cette imbécile, à rester découverte par ce temps. Sortie de sa bulle, elle regarda avec étonnement de tous les côtés avant de contempler le pinceau qui s’était brisé entre ses doigts. Mackenzie soupira. Etre malade ne lui réussissait pas vraiment. D’un geste alerte, elle tira un deuxième pinceau de sa poche et essaya de se remettre à son œuvre d’art.
Sans grand succès.

Alors Mackenzie se mit à chantonner, pour faire passer le temps, et pour que ses doigts se remettent à bouger tout seuls comme ils en avaient l’habitude. Mack n’était pas une de ces personnes qui chantaient mal. Mais elle ne chantait pas bien pour autant. Elle était de ces personnes à la voix juste qui énervent les gens car elles fredonnent trop souvent à leur goût.

Pour apprécier le chant de Mackenzie, il fallait vraiment être sensible. Si vous voyez ce que je veux dire.

« Albatoor, il revient, le capitaine corsaire ! »

Et voilà qu’elle chantait du Albator maintenant.
Poussée par le capitaine de l’espace au grand cœur, Mackenzie retrouva sa concentration, et continua sa besogne, tout en éternuant de temps en temps, alors que la lumière décroissait lentement.

C’était la première fois depuis longtemps qu’elle faisait quelque chose de sérieusement la Mackenzie.
Et je suis sûre que ça n’allait pas durer.

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Moi,dans le jardin

Damon & Mackenzie & Victoria

Punaise pourquoi je sors dehors avec ce temps, je suis maso ou quoi ? Aherm donc je voulais dire : le printemps débuté et bizarrement il faisait toujours aussi froid comme en hiver, moi qui croyais que j'allai pouvoir arborer sans avoir froid ma toute nouvelle tenue, c'était mort .... J'allai mourir congeler dans les jardins de Prismver *pleure*. J'essayai de me réchauffer à l'aide de mes bras, mais c'était un peu dur, pourquoi je voulais à tout prix rester dans les jardins de Prismver ? Car c'était le seul endroit où je pouvais fumer tranquille, c'est vrai en plus, qui s'aventurerait dans les jardins de Prismver dans ce temps à par une folle ?

(et un fou à l'occurrence) personnes ; nous sommes d'accord. Je commençais à m'asseoir sous un arbre gigantesque, en allumant une cigarette, quand d'abord j'entendis un éternuement et un chantonnement

Mes réactions :
OMG UN FANTOME
OMG JE SUIS PAS SEUL
OMG UN FANTOME ça éternue pas...

( ma peur passait vite, non mais c'était vrai genre y a un fantôme à Prismver, tss. Bientôt je vais croire voir Gripsou)

" Albatoor, il revient, le capitaine corsaire ! "

ALBATORRRRRRRRRRRR

"Avec sa joue balafrée Avec le plus grand des coeurs Albator s'est embarqué ♪"

Oui donc, herm. Désireux de savoir qui pouvait être la personne qui chantait ALBATORR, je me levais de ma place , avec la clope à la bouche et en marchant un peu ( juuuste un peu, hein) . Je me rapprochais du milieu du jardin, là où le paysage était le plus beau. Puis petit à petit au fur et à mesure que je m'approchais, une chevelure rousse s'imposa à moi de loin. Je décidais de me cacher derrière un arbuste plein de feuilles, pour voir ce que faisait la jeune fille, là dans le jardin dans une froideur pareille, ça devait être elle que j'avais entendue, huhuhu.

Peut-être que je la connaissais déjà ? Une élève sans doute, mais laquelle ?♥ J'essayais de me mettre sur la pointe des pieds pour observer encore mieux les traits physiques de la fille, quand mes chaussures glissèrent soudainement sur de la boue, je tombai violemment en arrière, les fesses au sol, j'avais à peine pu zieuter la fille, elle me semblait juste jolie (sisi). Je jetai des rapides coups d'oeil aux alentours pour être sûre que personne ne m'est vue, je riais de mon propre comportement de stalker, quel idiot je suis, pensais-je en continuant de fumer ma cigarette.

Freeze est surement

passé par là !

But, i think that's the end of the winter

Vive le vent, vive le vent, vive le vent d'hiver..♪

Mission suicidaire pour Vic aujourd'hui. Suicidaire pourquoi ? Parce que le temps dehors était aussi froid que celui du Groëland. C'est possible j'vous jure. Même un mammouth revenue de la préhistoire serai entrain de geler dehors. Remarque si votre congélateur marche plus, vous pouvez toujours mettre vos aliments à congeler dehors, ça marche aussi bien. Ewai. Sauf que Vic... Normalement elle aurait du être habillée aussi chaudement qu'un esquimo. Mais là ses habits se résumait à débardeur, mini short, hug + chaussette montante jusqu'à mi cuisse. Du Vic tout cracher. Tranquillement, elle arpentait les jardins de Primsver entrain d'écouter de la musique grâce à son iPhone (ça fait ipod+portable ce machin) blanc ultra classe. Elle revenait après avoir fait quelques amplettes (ou plutôt lécher les vitrines des magasins de fringues) et espérait trouver sa coupine rousse dans les parages. Et si son intuition lui que Mack est ici, c'est qu'elle y est. (et pour ça son intuition est infaillible)

Vuala donc ça faisait 15 bonne minutes qu'elle était en quête de tomber sur une tignasse orange. Après maintes et maintes recherche, la rose décida d'envoyer un texto à Mack afin que celle ci lui dise où elle se trouvait. Mais ça ne servait à rien. Car a peine elle eu fini d'envoyer son texto qu'elle distingua un point roux au loin. Alors Vic fit apparaître sur son visage son air de gamine quicherchaisquelquechosedepuisdeslustres (charabia je sais) et couru vers elle, bras grand ouvert et lui sauta littéralement dessus afin de l'enlacer tel le pouple.

« MAAAAAACCCKKK ! J'ai achetée un nouveau verniiis ! »

J'avais même pas remarquer qu'elle était entrain de chanter Ablator et continuais de l'étouffer dans mes bras mais gentiment. C'est alors que je remarqua un homme qui était sur la pointe des pieds, entrain d'essayer d'observer quelqu'un puis qui ensuite perdit l'équilibre et tomba sur les fesses. Pour Vic c'était trop, elle éclata de rire et le pointa du doigt pour que son amie le voit. C'était pas un rire méchant ou moquer, mais un rire assez mignon et sincère qui prouvait que Vic ne se moquait pas du tout de l'homme mais que c'était sa chute qui l'avair fait rire sur le coup. Elle lâcha Mack et s'approcha de l'homme et lui tendit sa main pour l'aider à se relever.

« Désolé d'avoir autant rigoler, mais faut avouer que c'était drôle sur le coup. Vous allez bien ? »

Et elle sourit. Comme à son habitude. Et pis Vic aime sourire alors. Elle n'attendait même pas une réponse de la part de l'homme et lui prit la main pour le relever, toujours son sourire chaleureux coller aux lèvres.

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E.T call home !

Ainsi, je pourrai mourir en paix. Un évènement joyeux s’était produit dans la vie de ma petite Mack. Pour la première fois. Pour la première fois de sa petite vie de grande fille, Mack se faisait stalker. Grande première dans la vie de la géante rousse, qui était plus stalkeuse que stalkée. Oh, elle a tellement grandi ma petite Mack. Je suis émue. Mais pourquoi, pourquoi donc ne se doute-t-elle de rien ? Pourquoi ne tourne-t-elle pas la tête face au cri d’ALBATOOOR ?

Parce qu’elle est ailleurs Mack. Les yeux embrumés et vitreux, perdue dans ses pensées, comme d’habitude. C’est une proie trop facile Mack. Il suffirait qu’un prédateur arrive pour que … MWARGLIA ! Chose rose non identifiée en approche ! Au contact de la chose poulpeuse qui l’enlaça Mack poussa un cri de stupeur, et frôla la crise cardiaque.

-sdgDJJFIOSJF MWARGLIA !

Elle resta paralysée, en attendant que l’on mette fin à sa pauvre vie de rousse. Oui, c’était fini, c’était foutu, elle allait finir bouffée par un poulpe alien rose fluorescent.

Rose ?

Redescends sur Terre Mack. Les poulpes de tes rêves sont verts.

A la vue d’une mèche rose qui passait devant son nez, et au cri de reconnaissance qui retenti dans le jardin, Mack compris. C’était Vic’, une de ses congénères. Et de ses plus grandes amies. En plus, elle avait un nouveau vernis.

-Ma p’tite Vicouuuu ♥ Tu m’as fait trop peur ! KWOA un nouveau vernis ? Naaan, vas-y montre montre montre !

Dit la rousse en sautillant sur place, faisant rebondir ses cheveux lâchés sur ses épaules.
Voilà, on avait remonté la rousse bavarde et mis au placard la jeune fille pensive.

-Eh d’ailleurs, regarde mon vernis il est trop topissime nan ?

Alors qu’elle parlait à toute vitesse, elle agitait ses doigts en direction de Vic, dévoilant ainsi un vernis vert pomme flashy qui vous grillait les yeux comme des ptits marrons. Dans cette nature semi-morte (qu’elle avait d’ailleurs complètement oubliée), Mack était une erreur, un point rouge, un canard noir qui vous piquait les yeux.
Puis quelque chose se produisit. Sa super ceupine Vic s’en alla en défiant son étreinte, ce qui provoque une bouffée de panique chez la rousse. Quoi ? Qu’avait-elle fait ? Pourquoi elle partait ? C’est la fin des haricoooots !
Non, c’est juste un professeur stalker Mack.

Se retournant, elle aperçut alors ce qu’il se passait. Un monsieur dont elle ne voyait pas encore le visage était misérablement vautré sur les fesses. Et Vic’, sa gentille et adorable Victoria, allait l’aider. Prenant sa toile dans un main, laissant tout le reste par terre, Mack réagit au quart de tour et suivit sa camarade s’accroupissant et se baissant jusqu’à se retrouver à 5 cm du visage du pauvre monsieur, ses cheveux raides luis chatouillant les joues.
Là, le choc.

-Mais … mais …. C’est monsieur Ackles !! Vous allez bien ?

L’avait-elle interrogé, ses yeux chocolat empreints de cette panique passagère qui vous prend lorsque vous pensez que quelqu’un que vous appréciez souffre le martyr.
Pas un instant elle n’a pensé au pourquoi du comment le prof d’histoire-géo s’était retrouvé là. Pas un instant elle a pensé que c’était un stalkeur qui la regardait tranquillement dessiner.

Trop naïve cette Mack.
Toujours trop naïve.

codage par palypsyla sur apple-spring

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Trololol

Damon & Mackenzie & Victoria

J'entendais des gloussements et je voyais un truc rose bougé *meurt* Je me haussais un peu plus sur les pieds pour regarder et entendre ce qui se passait mais malheureusement mes chaussures venaient de glisser sur la boueee ma première réaction fut

"Est-ce que mon costume a pris de la boue ? *MEURT*"
" Quelqu'un a vu et se fout de ma poire ?"
" Tin je sens plus mes fesses "

Et on se foutait bien de ma poire la jeune fille aux cheveux roses m'avait vu et elle me pointait du doigt en riant, "AHAHAH" je continuais de fumer sur les fesses au sol, j'avais trooops mal pour me relever et j'avais un léger rictus au visage " ça m'apprendra à épier des élèves" Et puis la jeune fille arriva devant moi en me disant avec un charmant sourire

« Désolé d'avoir autant rigoler, mais faut avouer que c'était drôle sur le coup. Vous allez bien ? »

J'allai me mettre à balbutinais un truc à la jeune fille ( moi aussi j'aurais rit si j'avais vu ça *tousse*) quand Mademoiselle Mackenzie soudainement s'abaissa à mon niveau pour se mettre à juste 5 centimètres de mon visage en me dévisageant comme un poulpe ses cheveux me chatouillait les joues, c'était donc elle le truc orange que j'avais eu *meurt*

-Mais … mais …. C’est monsieur Ackles !! Vous allez bien ?

Je la regardais avec des gros yeux puis c'est avec un sourire mesquin et en m'approchant genre à 1 centimètre de son nez que je crachais de la fumée de cigarette sur son visage, pleins de fumeeeeet partout ♥

"Bwaaaa" je lui lançais en m'humectant les lèvres, je reprenais "tu peux te pousser s'il te plaît ?" avec un sourire sadique et en étirant ses joues huhuhu

HAHAHAHA t'esque j'aimais embêter cette élève. Ensuite son amie en mini short (je me demande comment elle fait) me releva doucement je la remerciais sous forme de chuchotement et en me relevant péniblement je grognais tout bas "comment j'ai mal aux fesses" *pleure* et je regardais la gentille élève Mackenzie

"Merci de t'inquiétais pour moi " *larmes aux yeux* je me retournais légèrement pour la regarder avec des yeux pétillants genre comme dans les films et je repris " Vous n'avez pas froid ?"

En plus d'avoir mal aux culs j'avais froid moi.

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Bonjour le rp avance-t-il ?
(Merci de ne pas répondre à ce message à la suite de ce sujet, continuez juste le rp si vous souhaitez le faire et ce post sera alors supprimé, ou prévenez un admin par MP pour le jeter. Si pas de réponse dans un mois il sera jeté, vous pourrez le récupérer en demandant à n membre du staff.)

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