Nobody for 1v1 ?

FREE RP

Une journée débuta comme tous les jours –faut pas être con hein- et toi, comme tous les jours d’ailleurs, tu fus réveiller par ces abominables rayons de soleil. Ils se faufilaient comme toujours entre tes deux lanières de ton volet à moitié pété. La lumière t’aveugla un instant pour que tu refermes un de tes yeux rapidement en grimaçant assez louchement. Mais, pourquoi le volet était-il cassé au juste ? Oh, t’étais juste trop débile pour sauter de ta fenêtre sans voir qu’il y avait encore le volet d’ouvert. C’était d’ailleurs hier soir, quand tu voulais rendre visite à tes camarades en échappant ces maudits surveillants. Ils te faisaient tous flipper ; ils n’étaient pas commodes c’est pour ça surtout ! En y repensant, tu te souvenais de pourquoi tu avais dormis si soudainement, c’était le fait de courir à pleine vitesse et de se prendre dans la tronche son volet. Un bon moyen de s’endormir en un rien de temps, moins cher que les doli-crânes –sans citer la marque-  et surtout beaucoup plus efficace que les somnifères. Tu n’avais pas la foi d’ouvrir un seul de tes yeux, mais bizarrement, c’était tout dur où tu étais en ce moment. Ne me dis pas que tu as encore dormis sur le sol de ta chambre. Tu ouvris les yeux et tu lâchas en soupir en voyant ce qui était autour de toi. T’essayas tant bien que de mal de te relever sans succès, t’avais trop mal... partout. « J’suis vraiment doué.. » Dis-tu en t’appuyant avec ta main droite contre la rambarde de ton lit en marmonnant quelques jurons à ton égard et aussi à l’intention de ce foutu volet d’merde.

Enfin sur tes deux jambes, un peu entrain de tituber. Tu réfléchissais ce que tu pouvais bien faire aujourd’hui. Aucune idée. Nada. Gogogo power rangers, va te laver Stanley ! Ouais, c’est ce que t’allais faire de toute manière. Tu avanças en adoptant une démarche de zombie, tes pas étaient tous saccadés et d’une lenteur extrême. Ta face déconfite ne disait rien de plus que ta mauvaise humeur. Tes cernes sous tes yeux étaient carrément dégueulasses. Tu eu envie de gerber dans les chiottes quand tu vis ta tronche dans la glace quand tu arrivas tout juste dans la salle de bain. Habituellement torse nu accompagné d’un caleçon avec des cœurs pour dormir, tu enlevas ton bas pour ensuite te jeter dans la douche. Ouais, jeter complètement. Tu t’étalas contre la paroi en faïence blanche. Tu tournas le mitigeur pour que l’eau soit à température. D’un coup d’épaule vers la gauche, tu te décalas sous l’eau. Tu n’eus même pas le temps d’apprécier cette eau que tu lâchas un cri bestial, digne d’un prédateur des savanes lointaines. « Putaaaaaaaaaaaain c’est chaaaaaaaaaaaaaaaud ! » Oh que oui qu’elle était chaude. Elle était bouillante ouais. Tu tournas le mitigeur pour que l’eau se refroidisse un peu. Tu passas ton autre main sous l’eau pour voir si c’était bon. Ça l’était. Tu  pris ta douche dans des circonstances idéales, personne pour t’emmerder. Juste toi et ton eau chaude –pas trop pour brûler merde- . Tu sortis de la douche en chopant une serviette afin de t’essuyer convenablement avec.

Comme un bonhomme, tu sortais de la salle de bain, les mains sur les hanches. Un détail t’échappait mais tu ne savais pas quoi. Ah oui ! Pourquoi t’étais à poil, bon dieu ?! Osef, personne n’allait venir dans ta chambre et faire : Coucou, c’est nous ! T’es débile hein. Ouais et t’es un peu schizophrène aussi. Tu te parlais à toi-même à travers la pensée. Ahurissant... ou pas. T’arrive rapidement devant ton armoire où il avait toutes tes affaires et autres choses inutiles, comme cet atroce uniforme. Tu regardais attentivement tout ce qu’il y avait. Du genre tes chaussettes ! C’est super important les sous-vêtements uesh. Tes yeux étaient attirés par des choses étranges quand même. Tout à coup, dans un élan héroïque tu passas ta main sur un vieux débardeur noir et tu te demandais ce qu’il faisait ici. Tu ne portais jamais ça. Une idée explosa à l’intérieur de ton petit crâne de moineau. Pourquoi ne pas aller emmerder ceux qui étaient sur le terrain de basket ? C’était une super idée ! Faire un peu de sport n’allait pas te faire du mal. Tu n’étais pas si mauvais en plus pour un mec qui ne jouait pratiquement jamais au basket. Dans tes plus profonds souvenirs, tu te rappelais de l’époque où tu passais des soirées entières à jouer au terrain vague en lançant ton ballon dans des pneus. T’avais tout délaissé à cause de tes parents strictes qui ne voulaient pas que tu joues si tard et surtout qu’ils ne voulaient pas que tu joues dans un endroit qui craint. D’où ça craignait ? Tout ce qu’il y avait autour c’était des maisons de riches et encore des pavés de maisons dans un quartier résidentiel ; jusqu’à n’en pas voir l’horizon.

Revenons à nos moutons. Tu t’étais mis dans la tête que t’allais bien faire un saut –pas par la fenêtre en tout cas- au terrain de basket. Tu te préparas et mis tout ce que t’avais besoin pour jouer au basket aisément. Une bouteille d’eau. Des vielles chaussures à tes pieds, ton débardeur noir que t’avais enfilé juste pour ça et évidement ton short blanc pour être plus à l’aise. Du grignotage dans ton sac ainsi qu’une pomme car t’adore ça, fallait pas s’en cacher. Le meilleur pour la fin, tu chopas ton ballon qui était en haut de ton armoire. Tu repassas dans la salle de bain où tu t’arrêtas deux secondes pour t’ébouriffer un peu tes cheveux. Tu pris ta clef dans ta main, ton sac dans l’autre main et ton ballon coincé contre ton bras et ton torse. Tu fis un demi-tour sur toi pour sortir de ta chambre puis tu fermas ta porte avec précaution. Tu remis tes clefs dans la petite poche de ton sac. Tu te faufilas rapidement dans les couloirs, prenant ensuite les escaliers pour te rendre dans le hall. Tu avanças d’un pas déterminé, la hanse de ton sac sur ton épaule droite, l’autre ne servait tout simplement pas. Tu ne pouvais pas remarquer la présence de certaines personnes, sans doute car tu allais tout simplement trop vite. Cependant, elles le pouvaient. Tu étais facilement remarquable. Tu passas, néanmoins, la grande porte du pensionnat pour te diriger ensuite vers le complexe sportif où se trouvaient ces fameux terrains de basket. Il faisait agréablement chaud, pas assez pour te faire transpirer naturellement, heureusement d’ailleurs ! Une brise accompagnait cette température idéale. Tout était si parfait à tes yeux. Un tel moment pour rejouer au basket, tu ne pouvais pas rêver de mieux en fait. Un petit 20° était affiché sur enseigne qui clignotait, juste en face de toi.

Déjà arrivé sur le terrain de basket. Tu ne vus personne pour le moment. Peut-être que quelqu’un allait se ramener hein, on sait jamais ce qu’il peut se passer. Tu posas ton sac à côté du banc à proximité du terrain en chopant l’eau qui était enfoui dans ton sac. Tu bus quelques gorgées en relâchant un soupir de soulagement. Tu remis ta bouteille dans ton sac, puis fermis ce dernier. Tu pris le ballon entre tes deux mains en t’avançant jusqu’au panier. L’excitation montait en toi  pendant que tu fis tourner le ballon sur la paume de ta main droite. Tu laissas la balle tomber pendant que tu l’as reprise en la faisant rebondir contre le sol à l’aide de ta main droite, le ballon rebondit et remonta jusqu’à ta main pour que tu refasses sans cesse ça. Le contrôle de la balle n’était pas si sorcier, tu fléchissais tes deux genoux et passa le ballon derrière toi en le faisant encore rebondir, accélérant les rebondissements de la balle, le rythme avait changé.  Ton regard était fixe devant toi, ton souffle s’était coupé sous l’espace de quelques secondes. Ton corps pivota à droite puis à gauche, la balle suivait les mouvements que tu faisais avec tes bras. Tu changeas plusieurs fois de main, ce qu’on appelle un crossover plus précisément. Un changement d’orientation de la balle, on part à droite puis on change de main pour dribler avec celle de gauche tout en passant à gauche. Une feinte qui mène à un anckle break des fois. Soudainement tu pivotas sur toi-même, rapidement, en gardant le ballon dans ta main, tu te décalas d’un pas en arrière afin de sauter et d’amener le ballon le plus haut en l’air contre la paume de ta main, en amenant précautionneusement ton autre main contre la balle pour faire l'office d'appuis pour le lancer. Dans un mouvement de poignet,  tu lanças. La trajectoire que prenait le ballon était semblable à celle d’une cloche. Tu regardas attentivement l’arrivée du ballon. Ce dernier rentra sans toucher le cerceau, en faisant claquer les filets pendant qu’il rentrait dans le panier. Il retomba au sol, rebondissant quelques mètres plus loin. Tu esquissas un sourire de satisfaction pendant que t’allas rechercher la balle, avec des foulées rapides. Tu te baissas pour reprendre le ballon avant de te redresser et de regarder tout autour de toi, tu voulais à tout prix affronter quelqu’un en fait. Ça n’avait aucun sens de s’entraîner seul. Le plaisir vient en affrontant quelqu’un à un jeu qu’on apprécie. Ton corps bougea tout seul pendant que ta tête se baissait en direction du sol. Ton sourire vint s’intensifier. Ta main fis quelques mouvement pour envoyer ta balle contre le sol en la refaisant rebondir sans interruption. Tu attendais maintenant une brave personne qui allait venir te défier, l’attente était insoutenable.

« C'est chiant.. »

H.S : C'est libre pour toutes classes, lâchez vous. o/

Cela faisait un moment que Peter dormait, à moitié sous sa couette, à moitié par-dessus, il semblait avoir un sommeil quelque peu..agité. En effet, agitée était le mot, alors que tout semblait calme, il bougeait de manière assez bizarre dans son lit. Bougeant ses bras dans plusieurs sens, il semblait manipuler un objet invisible. Soudainement, il tendit son bras en l’air, emmenant sa couette au passage et glissa de son lit. La chute fut plutôt rude, tout d’abord, son bras tendu en l’air vint tomber violement sur sa table de nuit, éclatant au passage son radio réveil, il continua sa chute , ses genoux vinrent frapper le sol alors qu’il tombait et le reste de son corps finit par s’écraser au sol, son visage terminant la course dans le mur, il glissa pathétiquement jusqu’à ce que son menton touche le sol.
Suite à cette «  magnifique » action digne d’un basketteur professionnel, un silence s’installa à nouveau pendant quelques secondes tandis que Peter ne bougeait plus, s’en suivit alors un magnifique cri de douleur venant du jeune homme à la chevelure argentée : « Bordel de merde sa fais maaaaaaaaal ». Notre pensionnaire se releva tant bien que mal, le pif rougit et les genoux écorché par sa chute. Il jeta d’un geste de main sa couette puis attrapa sur le sol un petit ballon de basket, ce dernier était orange et tenait dans une main, Peter jeta un rapide coup d’œil au panneau de basket miniature accroché au-dessus de son bureau puis lança la balla vers ce dernier. L’objet effectua une trajectoire quasi linéaire, comme si il suivait une ligne droite et vint frapper le haut du carré noir qui était dessiné sur le panier avant de tomber droit dans les filets du panier, finissant ensuite sa course sur le sol.

Le jeune homme se dirigea ensuite vers son armoire, marchant d’un pas lent, il l’ouvrit et regarda ce qu’il y trouvait. Il avait décidé de se poser au complexe sportif du pensionnat, en effet vue le soleil dehors, il devait à peine être neuf heure trente. Peter pris donc dans son armoire un débardeur blanc avec un numéro onze affiché derrière, le débardeur était en fait son ancien maillot de basket qu’il gardait précieusement, il prit ensuite un boxer, une paire de chaussettes basse et pour terminer, son survêtement noir et blanc, lui aussi marqué du numéro onze au niveau de la cuisse droite. Le jeune homme fila sous la douche, n’ayant pas de problème particulier avec l’eau, il ne mit que quelque minute avant de ressortir de la salle de bain. Peter enfila ensuite sa paire de chaussure favorite, une paire de chaussure typiquement utilisé pour les matchs de Basket, ces dernière étaient noir et rouge ce qui contrastait avec le blanc de son actuel uniforme. Il partit ensuite de sa chambre, enfilant tout de même la veste du pensionnat avant de fermer à clef derrière lui et de partir vers le complexe sportif.

Alors qu’il marchait lentement, Le jeune homme se rappelait de ses anciens matchs de basket, tout défilais dans sa tête, ce sport était sa plus grande passion, il avait travaillé pendant des années, rentrant tard chez ses parents, couvert de sueurs, de petite écorchure et d’autre signe de son implication pour progresser. Certes il en avait bavé mais au final, il adorait sa, le bruit des chaussures sur le parquet, les panneaux de basket qui sont frapper par la balle, la sensation du ballon sous ses mains et enfin le bruit du ballon. D’ailleurs en parlant de ce bruit, Alors que Peter arrivait devant les portes du complexe, il entendit un ballon qui frappait sur le sol. Quelqu’un était déjà là ? Plutôt étonnant vue l’heure, il entra cependant sans un bruit et regarda furtivement les terrains, c’est là qu’il le vit. Un jeune homme, il semblait avoir son âge environ, brun, légèrement plus grand que Peter enfin pas tant que ça. Admirant silencieusement celui qui jouait, Peter le vit alors enchainer plusieurs mouvements plutôt simple en soi mais qui combiné montrait une magnifique prouesse technique qui aurait laissé plus d’une personne sur les fesses, le tout finissant en un magnifique shoot. Au plus profond de lui, Peter ressentait quelque chose monter, comme une flamme dévorante, cette sensation il ne la connaissait que trop bien, c’était de l’excitation, l’envie de jouer contre ce type le dévorait déjà.

Peter retira rapidement sa veste et la jeta sur le banc le plus proche, s’approchant du brun qui semblait se faire chier à jouer seul, Peter lui lança alors sur un ton neutre mais qui pourtant ne pouvait cacher son envie de jouer : « jouer seul n’a pas vraiment d’intérêt non ? »

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Soudainement, comme une illumination divine, des bruits de pas s'avançaient vers toi. Encore un qui s'était perdu et qui te demandait où était les dortoirs, c'était sans doute ça ouais. Tu pivotas ta tête d'où les bruits provenaient et tu fus surpris que ce n'était pas du tout ça. Ton vœu s'était exaucé à vrai dire. Tu aperçus un mec qui était habillé pour faire du basket, du moins c’était à quoi ressemblaient les joueurs de basket. Il semblait vouloir venir vers toi, il retira aussitôt sa veste et s’approcha de toi tout en gardant son calme. T’avais remarqué une once d’excitation vis-à-vis de ce soudain affrontement.

« jouer seul n’a pas vraiment d’intérêt non ? »

Tu lui répondis calmement aussi, cachant quelque chose en toi aussi.

« Ouais c’est vrai. T’as tout pigé le D. »

Tu repris la parole en te raclant le fond de la gorge.

« Pourquoi pas faire un petit 1v1, toi et moi ? »

Un sourire vint se graver aux niveaux de tes lèvres, pendant que tu jouas avec la balle en la faisant rebondir sur le sol, sans interruption. Ton regard était bien ancré dans le sien avec une ardeur assez remarquable. Ça faisait bien longtemps que t’attendais ça en fait, une personne qui viendrait de son propre chef vers toi et te demandais de jouer avec toi. N’était-ce pas magique ? Pour toi oui, ça l’était. Tout autant que le fait de se faire ton premier ami, ça le serait pour toi non à l’avenir ? Qui sait, seul Dieu peut le savoir hein. Pour le moment, vous étiez réunis ensemble pour pouvoir jouer au basket, en un contre un. Le plaisir montait petit à petit en toi pendant que tu fléchissais tes deux jambes, ta concentration haussait grandement aussi. Tu te positionnas face à lui, à 1 mètre à peine de lui. Tu étais fin prêt de l’affronter dans les meilleures conditions.

Comme il le voulait, il allait pouvoir voir ton grand jeu en action -ahem- et tu pourras aussi voir de ce qu’il est réellement capable. Tu n’en doutais pas une seule seconde qu’il pouvait être fort, tu ne rabaissais personne, tu les testais ce n’était pas pareil. Commençons les choses sérieuses. Tu passas ta balle rapidement dans ta main gauche et inversement, sans pour autant bouger. T’avais juste fléchi un peu plus tes genoux, le fait d’apprécier le centre de gravité et ainsi dribbler avec une plus grande liberté. Le ballon passait derrière toi et indirectement tu fis une feinte vers la droite et tu changeas quasi instantanément de main pour la passer dans la gauche, une seconde fois. Tu profitas de ce léger déséquilibre pour passer par la gauche, tu te baissas encore légèrement et accentua ta vitesse en prenant appuis avec ta cheville droite en donnant une impulsion telle qu’elle t’avait procuré au moins un ou deux pas d’avance par rapport à ton adversaire. Tu ne t’arrêtas pas ici, ton adversaire n’avait pas dit son dernier mot non plus. Il essaya de te stopper en interposant sa main devant toi, un réel danger se mettait entre toi et le ballon si tu tentais quoi que ce soit.

Comme tu détenais un pas d’avance sur lui, une seconde ou un peu moins exactement. Tu reculas furtivement d’un pas en arrière, un step back en pivotant tout de suite sur toi pour te retrouver plus sur la gauche. Ton adversaire était dans le vent total, tu pouvais à présent sauter et shooter. Ce que tu fis sans plus attendre. Tu pris l’impulsion nécessaire avant de porter ton bas bien haut avant de faire un mouvement de poignet très net, comme si tu cassais ton poignet. La trajectoire n’était pas si belle que la dernière mais néanmoins elle allait vers l’arceau. Le ballon se rapprochait rapidement du panier, tu retenais ton souffle. T’étais quand même assez essoufflé pour ne pas refaire ça plusieurs fois, c’était assez fatiguant.

Tu dis quelque chose tout bas en te tournant, affichant une mine assez dégoûté et à la fois énervé.

« Raté.. »

Le ballon rebondit contre l’arceau et se dirigeait tout droit vers le coin droit des 3 points. Tu allas directement là-bas. Mais tu savais que ton adversaire allait être le premier à le récupérer, tu réagis normalement et tu te postas toujours entre le panier et ton adversaire. Ta posture était vraiment spéciale, surtout celle défensive. Elle était vraiment trop décontractée pour un joueur qui devait défendre, tes yeux devinrent ternes et fixaient ton adversaire. Tu restas tout de même attentif en positionnant tes deux bras le long de ton corps, un prêt à intercepter et l’autre à contrer un de ses tirs. T’étais préparer à tout.

H.S : C'est libre pour toutes classes, lâchez vous. o/