Pseudo du joueur : Meriveri Autre(s) compte(s) ? : Leann De Laine / Matthew J. Adler / T. Hank Oakley Personnage sur l'avatar : Kagari Atsuko - Little Witch Academia / Reina Triendl
Âge / Classe ou Job : 16 ans / 5ème année / Messages : 229
Bloom softlyLiling Hui Tsai
Carte spéciale Inventaire, objets importants pour le personnage:
Je soupirais, me dirigeant vers la cabane dix-huit, faisant tourner une grosse enveloppe en papier kraft entre mes doigts. On m'avait refilé ça, me demandant de le faire passer à ma filleule, Salma. Ca ne me faisait pas vraiment plaisir de faire le déplacement, et ça se voyait sur mon visage. J'allais encore perdre mon temps avec l'autre gitane… Le sort avait décidé de me placer avec elle et honnêtement, ça n'aurait pas pu être pire. L'un comme l'autre, on pouvait pas piffer. En même temps, je ne faisais rien pour arranger les choses. Elle avait déjà du me dire cent fois sa vraie nationalité mais je n'avais aucune envie de parasiter mon cerveau avec ce genre d'information futile. Tout ce qu'il y avait à retenir pour moi, c'est que c'était une roumaine.
Aussi, quelle idée j'avais eus d'aller me balader dans l'entrée du bâtiment de Prismver un samedi? Ah, oui, la salle de musique… J'avais décidé de passer ce début d'après-midi à jouer de la basse, mais alors que je passais par le rez-de-chaussée, les mains dans les poches de mon jean, manches de ma jacket remontée au coudes, l'air de n'avoir rien à faire, la secrétaire m'étais tombée dessus comme une fleure. «Matthew Adler?» Interpellé par une jolie voix féminine, je n'avais pas pu m'empêcher d'enlever mon écouteur et regarder d'où venait cet appel. Terrible erreur. «C'est bien toi, hein! Tu tombes à pique ! Il fallait que je transmette ces papier à Salma au plus vite, mais j'ai des tonnes de paperasse en retard! En tant que parrain, tu peux bien aller lui remettre, non?» Je lui aurait bien répondu d'un non clair et précis, mais on m'avait appris à toujours faire bonne figure face à l'administration. Ca permettait de régler de nombreux problèmes et surtout d'éviter de s'en faire de nouveaux. Je tendis la main vers la jolie demoiselle avec mon sourire charmeur «Avec plaisir»... Salope. Est-ce que je lui demandais de faire mes exercices quand j'étais à la bourg?
Je ne tardais pas à arriver devant sa cabane. Je frappais trois fois contre la petite porte de bois. Je savais qu'elle étais là. Je sentais son aura. La sienne était bleu ciel. Une couleur bien reposante pour la pile électrique qu'elle était. «Sa~lma~ ♪ C'est ton parrain préféré qui vient te rendre visite ~» Annonçais-je avec une voix enjouée. J'aimais bien prendre ce genre d'expression quand je passais la voir par surprise. Je ne pouvais retenir, un petit sourire sadique. Comment est-ce qu'on allait pouvoir s'amuser tous les deux aujourd'hui?
Un simple coup d’oeil à son calendrier fit soupirer Salma. Le 10 février, déjà. Cela faisait maintenant plus d’un mois qu’elle était arrivée à Prismver et ressentait déjà les effets néfastes de la sédentarisation. Elle détestait rester au même endroit trop longtemps - sauf à sa maison, et encore, - alors être recluse sur une île perdue en pleine mer du Nord… Ses nerfs allaient être mis à rude épreuve. Avec un nouveau soupir qui ressemblait plus un grognement long et sonore, la jeune femme laissa tomber son livre sur son visage en inspirant fort pour s’imprégner de l’odeur du vieux papier. Elle tenait entre ses mains une des premières éditions reliées du Tour du monde en quatre-vingts jour de Jules Verne, autant dire une antiquité et un trésor à ses yeux.
Salma était seule dans la cabane, alors elle en avait profité pour mettre la BO de Braveheart, même si le récit n’était pas aussi riche en combat que le film l’était. Seulement, le silence ne la supportait pas, c’était ainsi. Oui, le silence ne supportait pas la persane, il la fuyait, tout à fait. Ils n’étaient pas destinés l’un pour l’autre, ô rage, ô désespoir ! Ou disons plutôt que Salma se sentait mal à l’aise quand il n’y avait pas un bruit, il fallait toujours un fond sonore (sauf une horloge qui battait à intervalle régulier). Et puis cette musique, c’était celle de son pays. Celle d’un héros national, alors merde.
En parlant de battre, on frappa à la porte de sa cabane. Trois coups fermes et bien audibles. Qui voulait voir quelqu’un ici au juste ? Salma se releva pour s’asseoir dans sur son lit et prit le temps mettre un marque-page et poser son livre délicatement sur la table de nuit. Et soudain, elle regretta de ne pas avoir mis plus de lenteur dans ses gestes, quand une voix s’éleva de dehors. “Sa~lma~ ♪ C'est ton parrain préféré qui vient te rendre visite” Le léger sourire sur les lèvres brun clair de la jeune femme se tordit en un rictus énervé. Rien qu’entendre sa voix lui suffisait pour avoir la chair de poule, mais pas dans le sens positif de la chose. Rien de très lovey-dovey.
D’un pas lourd, Salma se dirigea vers la porte et l’ouvrit avec un petit sourire hypocrite, en prenant une pose presque indécente, le bras contre l’embrasure de la porte, au-dessus de sa tête et l’autre main sur sa hanche, courbée exagérément pour laisser tomber sa jupe dans un drapé théâtral. “Heeey mais si c’est pas Irene ! C’est marrant comme je suis pas heureuse de te voir !” Sur ces mots, l’écossaise lui referma la porte au nez en le fixant dans les yeux jusqu'au dernier moment, les lèvres étirées par l’impudence. C’était gamin, mais il le cherchait aussi.
Après quelques secondes d’attente, Salma rouvrit la porte et prit un air étonné à outrance, la bouche grande ouverte et cachée par ses doigts fins. Mais son regard disait tout autre chose. “Mince alors, t’es encore là ? Je t’ai préparé de thé ni de petits gâteaux, dommage hein ?” J’aurais bien glissé du laxatif dedans, comme ça. Ou pas. Salma pouvait être puérile mais pas au point de déranger les gens jusque dans leurs intestins. Après tout, c’était elle qui pouvait normalement les guérir de ça - et se récupérer le même genre d’ennui après, - autant s’éviter des désagréments inutiles.
“Bon allez entre, tu m’fais pitié sur le pas de la porte, avec ta grande enveloppe toute mignonne.” Salma se poussa pour le laisser entrer et referma la porte derrière lui en lui désignant la table et les chaises autour. “T’es venu là pour quoi ? À part pour m’emmerder, bien sûr. Ca je le savais déjà.”
Oui, Salma et Matthew étaient liés par le parrainage mais ce n’était pas le grand amour entre eux, personne ne pouvait en douter. Ou alors de l’amour très très trèèès vache. Pistache.
Pseudo du joueur : Meriveri Autre(s) compte(s) ? : Leann De Laine / Matthew J. Adler / T. Hank Oakley Personnage sur l'avatar : Kagari Atsuko - Little Witch Academia / Reina Triendl
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Bras contre la porte, main sur la taille, déhanché sexy, sourire sarcastique. C'est la Salma qui m'a ouvert la porte. Surprenante, vraiment surprenante ! «Heeeey! Mais si c'est pas Irène! C'est marrant comme je ne suis pas heureuse de te voir!» Irène? Pas le temps de redire quoi que ça soit, elle me claque la porte sous le nez, retenant un petit rire, amusée par sa blague grotesque. Pourtant, l'adolescente ne bougeait pas, restant plantée derrière sa porte. J'avais une envie monstre de me mettre à rire à plein poumon, mais ça ruinerais mon plan. Maintenant, c'était à mon tours de la surprendre. Je détache les deux plus hauts boutons de ma chemise bordeaux, retrousse les manche de ma veste, ébouriffe mes cheveux et fait légèrement glisser mes lunettes sur le bout de mon nez tout en m'adossant sur l'embrasure de la porte. Quand elle a ouvrt à nouveau, je me mordillais le bas de la lèvre, lui jetant un regard lourd de sous-entendus. «Mince, t'es encore là? J'ai préparé ni thé, ni petits gâteaux! Dommage, hein?» Si c'est pour me faire empoisonner au cyanure par une guérisseuse, non merci. Je souris tout de même à sa remarque, vérifiant l'éventuelle présence de ses colloc' dans la pièce derrière son épaule. Personne. On allait pouvoir s'amuser un peu. «Bon aller, rentres. Tu me fais pitié sur le pas de la porte, avec ta grande enveloppe toute mignonne.»
Je m'incrustais donc nonchalamment, donnant un petit coup d'épaule à ma filleule malgré la place qu'elle m'avait laissé. «T’es venu là pour quoi ? À part pour m’emmerder, bien sûr. Ca je le savais déjà.» Au passage, je lui laissais les papiers dans les mains. «Te remettre des modèles pour ta lettre d'amour. Je me disais que si j'en voulais une pas trop dégelasse, il te faudrait de l'inspiration. On ne peut pas dire que les auteurs roumains fassent pas exploser les ventes.» Je lui adressais un petit clin d'œil sexy et tournais les talons pour me diriger vers le coin cuisine. J'y ouvrais les placards un par uns à la recherche d'une petite collation. «Pour le thé, ne t'inquiètes pas, on a aboli l’esclavage dans les pays développés.» Je me moquais royalement de son invitation à m’asseoir autour d'une table. Elle restait plantée là, avec sa robe de paysanne. Elle avait vraiment tout de la parfaite petite gitane. Je l'imaginais déjà danser au coin d'une rue, un petit panier à ses pieds, espérant récupérer quelques Prisms. Je m'arrachais de cette pensée en tombant sur un mug blanc dans un placard et un peu d'Earl Gray dans un tiroir. En deux temps trois mouvements je mis l'eau à bouillir et m'installa sur une tout autre chaise que celle que mon hôte m'avait indiquée, jambes croisée, avachi sur le dossier. « Alors comme ça, tu as une maison? Je pensais qu'il t'avais juste laissé une tente dans la forêt, pour pas trop te dépayser.» Je me frottais les mains intérieurement. Ca faisait pas trois minutes que j'étais là et elle avait déjà trois bonnes raisons de m'en foutre une. Ca allait l'énerver, elle allait répondre en sarcasme, moi aussi, et au final, mon après-midi allait être beaucoup plus amusante que ce qu'elle aurait pu être, avec toutes les distractions du monde. Une fin de journée à se prendre la tête avec la petite Salma , mais que demande le peuple?
Salma se retint de mettre un poing dans l’épaule du jeune homme quand celui-ci lui passa devant en faisant bien exprès de la bousculer un peu. Ce type entraînait sa compétence “self-control” au maximum et petit à petit, elle arrivait à repousser ses propres limites. Mais rarement…
“Te remettre des modèles pour ta lettre d'amour. Je me disais que si j'en voulais une pas trop dégelasse, il te faudrait de l'inspiration. On ne peut pas dire que les auteurs roumains fassent pas exploser les ventes.”
Les narines de l’écossaise s’évasèrent sous le coup de l’énervement et elle eut envie de lui faire manger ce petit oeil aguicheur qui venait de cligner malicieusement. Oh oui, elle lui aurait fait bouffer mais pas par la bouche, non, elle aurait été trop gentille ! Au lieu de ça, elle sourit hypocritement, même si on y sentait bien ses nerfs en boule et répliqua. “Mais tu es ma source d’inspiration, ma muse que dis-je ! Telle l’Irène Adler de Sherlock, tu es le Matthew Adler de Salma. Je te ferais une magnifique lettre d’amour que je parfumerais à l’eau de rose.” Que je tremperais au préalable dans de la merde, ce qui te convient parfaitement, petit con.
La jeune femme l’observa faire comme chez lui, ouvrant les portes des meubles nonchalamment. La prochaine fois, Salma aussi se taperait l’incruste dans son bungalow et fouillerait partout, en expliquant bien aux colocataires du A la raison de sa présence. Ils comprendraient tous son irritation, elle en était presque certaine. Qui dans ce bas monde pouvait ne serait-ce qu’apprécier la présence d’un type aussi arrogant et énervant ? “Pour le thé, ne t'inquiètes pas, on a aboli l’esclavage dans les pays développés.” Les paroles de Matthew la sortirent de ses pensées et une fois de plus, elle combattit l’envie de lui sauter à la gorge ou le faire dégager à coup de pieds dans le cul. “Pauvre abruti. T’es nul en géographie, à confondre Roumanie et Inde. Ca me déçoit, venant de toi. Et puis je suis écossaise bordel !”
Ne tenant même plus compte de la présence de l’autre, Salma sortit les formulaires administratifs qu’elle avait à remplir et les parcourut en diagonale, lâchant un long soupir à la fin de sa lecture rapide. Elle détestait la paperasse… À la maison, peu importe pour quel membre de la famille, c’était toujours sa mère qui s’en occupait. Ruben était trop feignant, Salma se prenait toujours la tête dessus et leur père… Leur père était toujours occupé, donc c’était à madame qu’il échoyait l’honneur d’enluminer ces bouts de papier d’une chiantise incomparable. Sauf que là, la jeune fille était seule et elle ne demanderait surtout pas d’aide à son parrain, sous peine de se prendre des remarques pendant des jours et des jours.
“Alors comme ça, tu as une maison? Je pensais qu'il t'avais juste laissé une tente dans la forêt, pour pas trop te dépayser.” Salma releva les yeux de ses papiers en fronçant les sourcils. “T’es casse-couilles avec tes insinuations. Tu veux mon acte de naissance et des photos de ma maison peut-être ?” Elle se dirigea vers la table et s’y assit en scrutant le visage agréable - ce qui était fort dommage, vu son caractère détestable, - de Matthew et s’arrêta un instant, posant un masque d’illumination sur son visage. “Oh mais attends… J’ai deviné ! En fait tu m’adores trop mais t’es trop timide pour me poser des questions sur moi, alors tu m’emmerdes jusqu’à ce que je décide de moi-même de te livrer des info sur moi !” Une grimace moqueur fit place à “l’illumination”. Si c’était vraiment ça, Salma voulait bien se brûler les mains ! Non, un mec comme ça n’était pas timide ni du genre à tirer les vers du nez d’une personne de cette manière. Cela faisait un peu plus d’un mois qu’elle était là, un peu moins de cette période qu’on lui avait assigné Matthew comme parrain et elle pouvait affirmer avec certitude qu’elle le détestait profondément. Il était con, imbu de lui-même, égoïste, sarcastique et la liste était encore très longue. Le seul point positif chez lui, c’était sa belle gueule.
Salma se leva alors et prit rapidement la tasse des mains du jeune homme, avant que celui-ci ne puisse faire un quelconque mouvement pour la retenir. Puis, le coeur serré de gâcher une telle boisson, elle vida le contenu restant dans l’évier et se retourna vers Matthew. “Bien, je vois que tu as fini ton thé. Maintenant tu peux y aller, n’est-ce pas ? Je voudrais pas te retenir plus longtemps dans ma maison.” fit-elle en insistant bien sur le dernier mot. Casse-toi, casse-toi, casse-toi, casse-toi… C’était une litanie qui tournait dans sa tête depuis qu’il était entré, c’est-à-dire à peine dix minutes.
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Elle me dis qu'elle me fera une magnifique lettre d'amour parfumée à l'eau de rose. De sa part, je m'attendais plutôt à une enveloppe badigeonnée de suc de Berce du Caucase histoire que je me retrouve avec mains brûlées. Pendant que je fouillais dans ses placards, elle me traita de «Pauvre abrutit» ne connaissant rien à la géographie. Et toi à l'ironie ma chère… J'étouffe un petit rire en retournant m'assoir. «T’es casse-couilles avec tes insinuations. Tu veux mon acte de naissance et des photos de ma maison peut-être ?» Je lui adresse un sourire sarcastique pendant que je réfléchie à quoi lui retourner. Ça n'a pas l'air, mais c'est un travail à plein temps de trouver des blagues agaçante en réponse à tout ce qu'elle dit. Je ne lui ferais pas l'affront de lui répondre que je le fais exprès. Pourquoi pas lui dire que sans ses couilles que je me donne tellement de mal à casser, elle ressemblerait peut-être enfin à une fille? Cependant, je n'étais pas certain que ça l'énerve autant qu'une énième vanne sur la Roumanie… «Parce qu'ils savent écrire dans ton sous pays?» Elle s'installe sans un mot face à moi, s'installant sur la table. c'est quoi ça, une tentative pour se rendre sexy? Genre, la jambe légèrement surélevée pour dévoiler un morceau de son mollet habituellement cachée sous les drapés de sa jupe de gitane? Je me contentais de lever un sourcil. Puis son visage s'illumine d'un air exagérément étonnée. «Oh mais attends… J’ai deviné ! En fait tu m’adores trop mais t’es trop timide pour me poser des questions sur moi, alors tu m’emmerdes jusqu’à ce que je décide de moi-même de te livrer des info sur moi !» Je ne pu m'empêcher d'étouffer un rire à sa déduction. Et elle me parlait de Sherlock tout à l'heure? Si j'étais bien son Irène Adler, elle était plus proche de Gladestone, le chien de Watson que du célèbre détective. Je me contente de m'affaler un peu plus sur la chaise, un air faussement gêné sur le visage. «Oh! Que faire? Je suis découvert!» répondis-je avec un air extrêmement ironique. Cependant, elle ne m'écouta même pas et se leva, m'arrachant ma tasse de thé des mains. La brune se précipita dans la cuisine et jeta tout le contenu dans l'évier. Je la suivi du regard avec un air dégouté. «Oh, non! Pas le saint Thé!» râlais-je en posant mes mains sur le dossier de la chaise. Je me tournais finalement de façon plus franche, la trouvant la main sur la hanche, une moue agacée sur le visage. «Bien, je vois que tu as fini ton thé. Maintenant tu peux y aller, n’est-ce pas ? Je voudrais pas te retenir plus longtemps dans ma maison» Je soupirais, un peu déçu qu'elle craque aussi vite. Mais la manière dont elle le faisait me plaisait. En fait de manière générale, j'adorais ses réaction. L'écossaise (oui, cette information futile a fini par me rentrer dans le cerveau, au vu du nombre de fois où elle me l'a répétée) était de loin mon jouet préféré. Cependant, on m'avait appris les bonnes manières, alors je me contentais de me lever lentement, et me diriger vers la porte. Ce fut court, mais fort distrayant. «Eh bien, je te laisse tranquille alors, Salama Caque ♥ A la prochaine !» J'ouvrais la porte, lui faisant un petit clin d'œil avant de quitter la pièce. «Chu~»
10.02.15 •• Cabanne 18 •• mediumvioletred
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Sujet: Re: Knock, Knock, Konck [S. Salma Dastan]
Knock, Knock, Konck [S. Salma Dastan]
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