Sujet: I want you, all to myself [PV YAOI] Lun 29 Avr 2013 - 21:59
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Sujet: Re: I want you, all to myself [PV YAOI] Mer 1 Mai 2013 - 23:06
CALE & SKYGGE
on est toujours le fou de quelqu'un
Au fond de moi, je me dis que j’aurais peut-être pas dû l’emmener dans ma chambre. Il semble nerveux, gêné. J’avoue que je saisis pas vraiment pourquoi. J’y ai donc réfléchi le temps d’aller chercher deux serviettes à la salle de bain. Et ça a fait tilt. Quand il venait ici, avant, on était simplement amis. Là, c’est différent. Je sens mes joues se réchauffer et je secoue la tête pour chasser les pensées qui m’ont traversé l’esprit. Du calme Skygge, du calme. Va pas te le foutre à dos aussi vite. Je reviens donc et lui donne la serviette que j’ai prise pour lui. Il me remercie. Assez timidement. Le grand Cale Summers qui est timide. Et terriblement craquant. Qui aurait cru que je verrais une telle facette de sa personnalité un jour… ? C’est vraiment… hm. Contrôle-toi, contrôle-toi. La pluie a fait rouiller mon système nerveux. Bravo.
Je me dirige donc vers l’armoire et l’ouvre en regardant dedans, songeant à ce que je pourrais lui donner. Il n’y a qu’une petite différence de taille entre nous, rien de bien folichon. Cela dit, question carrure… il semble un peu moins musclé que moi et… mon dieu. Je viens de me l’imaginer torse nu. PUTAIN. Mind crush là. Bordel. Je sens sa tête pivoter et son regard se poser sur moi. C’est pas toujours un cadeau ce don. Savoir son regard posé sur moi, ça me fait frissonner. J’inspire et expire discrètement pour me calmer. On est seuls. Dans ma chambre. Je suis juste… raide dingue de cet Apollon. COMMENT VOULEZ-VOUS QUE JE NE PENSE PAS A DES CHOSES PAS CATHOLIQUES, HEIN ?
▬ Non... je veux pas déranger, je prendrais une douche dans… il semble chercher ses mots puis reprend… dans… mon cabanon. ▬ Mais… ▬ Toi, va prendre une douche.
Je m’approche et m’accroupis devant lui, coudes sur les genoux. Je plante mon regard dans le sien et l’observe, interloqué. Je suis pas sûr de comprendre honnêtement. Je me gratte la nuque puis tend la main vers lui, la posant sur son front. Il ne semble pas avoir de température. Mais il se comporte bizarrement. Comme j’aimerais être un peu moins con et comprendre ce qu’il a, sérieusement.
▬ Tu ne me déranges absolument pas. Si je te le propose, c’est que ça me gêne pas. J’insiste pour que t’ailles te réchauffer dans une bonne douche. Tu te sentiras mieux après. Enfin… t’auras moins froid quoi.
Il ôte son veston et semble vérifier ses vêtements. Je détourne la tête en me redressant. Il va pas se dessaper devant moi quand même ? Mind crush again. S’il fait ça, je donne sérieusement pas cher de sa peau. Putain… à quoi je pense encore ? J’ai envie de me foutre un coup de poing dans la tronche. J’ai tellement honte des pensées qui traversent mon esprit là. Si Cale savait… non, il doit rien savoir. Il dirait que je suis qu’un pervers, ou pire encore. Mon organe vital loupe un battement à l’idée qu’il puisse me rejeter. Alors que j’ai enfin obtenu ce que je désire depuis un moment maintenant. Il faudrait pas que je gâche tout par ma connerie et mon inexpérience.
▬ Ça va mes vêtements ne sont pas trop touchés. ▬ Tu discutes pas et tu vas prendre une douche !
Je pars attraper un t-shirt et un pantalon ainsi qu’un caleçon. Sait-on jamais. On fait souvent ça avec Preben quand on revient trempés de nos excursions sportives. Donc je suppose que ça n’a rien de gênant. Je m’empare de son poignet et le force à se lever. Puis je lui colle les vêtements dans les bras avant d’aller dans son dos. Je le pousse d’une main jusqu’à la salle de bain et dépose un baiser sur la commissure de ses lèvres.
▬ Tu disposes de tout ce dont tu as besoin dans les tiroirs et sur les étagères dans la douche. Fais attention à pas glisser.
Je lui adresse un sourire et referme la porte après être sorti. Je rejoins mon lit et me laisse tomber dessus, visage dans l’oreiller. Cale est dans ma salle de bain. Cale Summers est dans ma salle de bain. Cale va utiliser mon gel douche. Cale va… Je me fous une baffe mentale tandis que j’essaie de chasser cette pensée puant la débauche. Je vais faire un arrêt cardiaque. J’imagine sa peau pâle glisser sous mes doigts. J’imagine sa peau d’ivoire aussi douce qu’une peau de pêche. J’imagine ses yeux mi-clos, sa lèvre inférieure mordue par ses dents. Putain de merde. J’ai envie de lui. Je me frappe la tête avec mon oreiller avec force. Ne pas faire de bruit. Ne pas faire de bruit. S’il m’entend, je suis mort. La pluie a définitivement et complètement détraqué mon cerveau.
J’attrape alors un magazine au pied de mon lit et me mets à le feuilleter. Je l’ai déjà lu mais j’ai rien d’autre à faire en attendant que Cale se douche. J’ai la certitude de mal faire les choses, d’aller trop vite. Putain sérieusement… je donnerais n’importe quoi pour avoir un minimum de tact. Cale est bien plus expérimenté que moi, il sait ce qu’il aurait fallu faire dans des moments pareils. Mais mon tact d’ours et ma maladresse rendent les choses assez compliquées. J’espère tellement qu’il ne me tiendra pas rigueur de mon incompétence. Je soupire et laisse le magazine tomber au sol, plaçant alors mes bras derrière ma tête. Je regarde le plafond et attends sagement.
Lorsqu’il sort enfin -non pas qu’il ait mis longtemps- je me redresse en souriant. Mais lorsque mon regard se pose sur lui, je ne peux m’empêcher de rougir, la bouche entrouverte. Mes vêtements sont plus grands que je ne le pensais, il semble nager dedans. Je détourne la tête, une main sur la bouche. Il est juste tellement séduisant putain… Je tâche de reprendre rapidement mes esprits et m’approche.
▬ Alors ? Revigorante cette douche, non ? T’as trouvé tout ce que tu voulais, ça va ?
On est si proches là. J’ai envie de l’embrasser. Encore, oui. Mais il faut que je me calme. Une bonne douche me remettra les idées en place. Enfin… j’espère.
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Sujet: Re: I want you, all to myself [PV YAOI] Sam 4 Mai 2013 - 23:44
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Sujet: Re: I want you, all to myself [PV YAOI] Lun 20 Mai 2013 - 17:05
CALE & SKYGGE
on est toujours le fou de quelqu'un
Honnêtement, le voir saper avec mes fringues trop grands pour lui, c’est juste tellement… adorable. Mon t-shirt ne se cadre pas parfaitement avec ses épaules et me laisse entrevoir sa peau d’ivoire. C’est mauvais pour le cœur tout ça. Il pouvait pas faire la même taille que moi, non ? Raah. Il va s’imaginer que c’est mon trip de voir ceux que j’aime avec mes fringues. Quel con je fais sérieusement. J’ai encore beaucoup de chemin à faire. Je me lève alors et m’approche de lui, dans le but de regagner la salle de bain.
▬ Alors ? Revigorante cette douche, non ? T’as trouvé tout ce que tu voulais, ça va ? ▬ Tu vas prendre ta douche ? ▬ Oui, j’allais y…
Ses doigts effleurent mon bras, remontant jusqu’à mon épaule. Un frisson me parcourt l’échine et je déglutis avec le plus de discrétion possible. Il me fait un putain d’effet là, est-ce qu’il s’en rend seulement compte ? Peut-être que oui et il joue avec moi.
▬ Tu es sûr ? Parce que là, je viens juste de trouver tout ce que je voulais.
Ses ambres fixent mes lèvres et il finit par m’embrasser. Bordel, c’était à moi de franchir le cap, merde ! Mon cœur bat à tout rompre et j’ignore totalement pourquoi. C’est rien de plus qu’un baiser. Mes bras emprisonnent sa taille, le ramenant contre moi. Je réponds à son baiser de la façon la plus correcte qui soit, tout en tentant de me contrôler le plus possible. Son corps est encore chaud du fait qu’il ait pris une douche. Et ça me fait frissonner, moi dont la peau est encore froide à cause de la pluie.
Tes instincts primaires ressurgissent au fur et à mesure que ta température grimpe et que ton rythme cardiaque s’affole. Des semaines entières que tu rêves de l’embrasser, de toucher son corps. Et maintenant que tu en as la possibilité, tu hésites. Tu as peur qu’il te prenne pour un pervers. Tu as peur qu’il te rejette avec un dégoût notoire. Parce qu’il est vrai que ça va peut-être un peu vite. Tu n’y connais rien en amour, mais tu sais au moins ça. Il ne faut jamais aller trop vite. Même si t’en crèves d’envie. Ça pourrait le brusquer et le bloquer. Et tu t’interdis tout dérapage, par peur de le perdre.
Mes lèvres quittent les siennes, à regret. Ma main commençait d’ores et déjà à caresser le bas de son dos, sous le t-shirt. Il faut absolument que je me calme. Sinon il va sérieusement se poser des questions et douter de mes intentions. Je secoue discrètement la tête et dépose un baiser sur sa joue avant de m’écarter de lui.
▬ Tu me rends totalement dingue…
Ma main ébouriffe ses cheveux encore humides tandis que je retourne vers mon armoire pour sélectionner quelques vêtements propres et secs. J’opte pour un t-shirt ample et un simple short destiné à faire du sport avec Preben. Je repasse prêt de Cale et lui montre ma chambre d’un geste de la main.
▬ Je suis à toi dans quelques minutes. En attendant, fais comme chez toi.
Je rejoins la salle de bains et ferme assez rapidement la porte derrière moi. Je pose mes fringues sur un meuble et secoue la tête comme un dingue avant de la prendre dans mes mains. Bordel il est… non Skygge, calme-toi, tout va bien se passer. Respire. Inspire. Je quitte mes vêtements humides et froids puis je rejoins l’habitacle de la douche. Je vous passe les détails hein. Lorsque je ressors, je me sèche rapidement et m’habille à la vitesse grand v. Il s’agirait pas que je fasse poireauter Cale quoi.
J’inspire un grand coup et sors de la salle de bain en poussant un soupir de bien-être. Une bonne douche. Rien de tel pour vous remettre d’aplomb. Un sourire se dessine sur mes lèvres lorsque je vois qu’il est toujours là. Je l’avoue, j’avais peur qu’il se tire pendant que j’étais sous la douche. Ravi de m’être trompé. Installé sur mon lit, je m’approche et me pose prêt de lui. Il a l’air… bizarre.
▬ Je ne t’ai pas trop fait attendre ? Je marque une pause durant laquelle je dirige mon regard vers le sol, puis je reprends. Tu… enfin, ça va ?
J’ai envie de lui dire qu’il est libre de partir, que je le force pas à rester ici avec moi. Mais j’ai juste envie qu’il le sache, pas qu’il le fasse. Putain j’commence à devenir un putain d’égoïste. Je veux qu’il reste. Même si on dit rien, même si on roupille. Qu’importe ! Mais qu’il reste bordel. Vu la tête qu’il tire, ça me fait clairement comprendre qu’un truc cloche. Je suis trop envahissant, c’est sans doute ça. Raah !
Je me gratte la nuque, silencieux et gêné. Qu’est-ce que je pourrais dire qui puisse lui remonter le moral ? Putain j’en sais rien bordel. Si je l’embrasse, il va se dire que je pense qu’à ça. Si je lui dis que je l’aime, il va me prendre pour une collégienne transie d’amour. Je veux pas être trop envahissant. J’veux qu’il comprenne que je l’aime comme un dingue mais que je lui laisse la liberté de choisir ce qu’il désire faire. Bordel je suis un gros nul je sers à rien. Je me laisse tomber en arrière, sur mon lit, et fixe le plafond. Une idée serait la bienvenue là.
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Sujet: Re: I want you, all to myself [PV YAOI] Mer 5 Juin 2013 - 1:17
CALE & SKYGGE
SURPRISE:
Je sais c'est pas joulie de mentiiir et en plus je mens mal mais voilà, je t'avais dis que t'aller avoir une récompense aujourd'hui et dooonc voilààà, amour - MALHEUREUSEMENT CEY PAS UN BAISER- et bref je sais que parfois je peux te blesser ou te rendre triste, mais heureusement j'espère que t'as trouvé quelqu'un pour te rendre plus heureux que moi [NON JE SUIS PAS EN TRAIN DE TE FAIRE UNE DÉCLARATION, sinon y aurait des paroles de chansons nyanyan, là, tu sais, du genre "We both know I'm not what you, you need aaand I will aaalways looooooooove you I will always loooooove you] (et oups c'est fait) et bref. je vais pas te faire un roman, désolée du rp, mais j'ai fait ce que j'ai pu, HEIN. QwQ ♥ Et parce que shelliana c'est mon dieu et que cet icons va bien avec mon mot ;
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Sujet: Re: I want you, all to myself [PV YAOI] Mer 5 Juin 2013 - 17:34
cale & skygge
Allongé, là, prêt de lui, c’est comme un rêve. C’est débile de penser des trucs aussi niais. J’ai l’impression d’être une gamine à son premier rendez-vous. C’est pitoyable. Mais, tant pis. Au diable tout ça. Je suis avec lui et c’est tout ce qui m’importe pour le moment. Je pourrais me perdre des heures entières dans ses yeux, parsemer son corps de caresses, de baisers. Mais ça va pas être possible. Je le sens hésitant, sur ses gardes. Peut-être que je vais trop vite en besogne. Peut-être que j’aurais pas dû le forcer à venir ici, le forcer à prendre mes fringues et à se doucher. J’ai fait le con, sérieusement. Je suis un parfait idiot, c’est désespérant.
Il me sort de mes rêveries en prenant ma main, entremêlant nos doigts. Je tourne mon regard vers nos mains puis vers lui, sans vraiment comprendre. Il ne dit rien, moi non plus. Un silence s’installe, silence durant lequel je ne le quitte pas des yeux un seul instant. Je sais pas ce qui me retient de l’embrasser, de le prendre contre moi. Je respire calmement lorsque je devine qu’il va prendre la parole.
▬ Bon, à ce qu'il paraît il faut en parler. Nous sommes un couple de jeunes hommes en bonne santé et sans aucune maladie -enfin tu veux que j'aille me faire dépister peut être ?- oui oui bref et donc forcement qui dit couple dit…
Un couple… je me sens virer au rouge. J’ai l’air si con et si inexpérimenté que ça ? Merde.
▬ Aide moi à trouver un mot pour le dire, idiiiiot. Oui bref, tu vois ce que je veux dire. Et donc, je voulais que tu saches que je suis prêt à attendre le temps qu'il faut pour avoir ce genre de rapport avec toi… Pour sceller notre amour, enfin sceller notre amour c'est peut être "trop" comme phrase, non ? Non… je veux pas que tu te frustres à chaque fois que je veux aller un peu plus loin… Je sais comme la première fois peut être importante.
Tu perds le peu de raison qu’il te reste et, lorsqu’il caresse tes doigts d’une tendresse frissonnante tout en se collant à toi pour te susurrer un simple « je t’aime », tu sais que t’as franchi un cap. Tu pourrais pas dire ce qu’est ce cap mais tu sais que vous avez avancé d’un pas, tu as avancé d’un pas. Ta main se pose sur sa joue et tes lèvres se posent sur les siennes. Jamais tu ne pourras te lasser de ses lèvres, jamais tu ne pourras te lasser de lui. C’est débile, tellement puéril, mais tu l’aimes. Tu l’aimes tellement.
Et sa manière d’avoir aborder l’aspect sexuel de votre relation de façon si prudente ne fait que renforcer ce côté adorable qu’il affiche. Tu pourrais le bouffer entièrement, tu pourrais lui faire tellement de choses qui défient les mœurs. Mais tu ignores s’il le désire vraiment. Tu ne sais pas si c’est raisonnable de montrer cette ardeur qui te bouffe actuellement, ce désir de ne faire qu’un avec lui. Mais t’as honte et t’as peur. Honte que ce soit encore ta première fois, peur qu’il te rejette, qu’il ait peur.
▬ Merci de te soucier autant de moi, vraiment.
Je me redresse, prenant appui sur mon coude, et je caresse sa joue du bout des doigts. J’avoue que je suis encore assez loin de le comprendre entièrement, mais j’ai saisi le message. Je crois. J’enfouis mon visage dans son cou, échappant un soupir.
▬ Comment veux-tu que je te résiste après un discours aussi… adorable. C’est une torture.
Je ne résiste donc pas, mes lèvres se posant dans son cou, par mécanisme, par désir. Et plus mes lèvres s’emparent de son cou, plus l’envie grimpe en moi. Si je continue comme ça, je donne pas cher de notre peau. Je plante mon regard dans le sien, mon souffle se mêlant au sien, trahissant mon désir naissant.
▬ T’es sûr que ton don est pas plutôt en lien avec le magnétisme ?
Je n’attends pas forcément une réponse, esquissant d’ores et déjà un sourire avant de l’embrasser, ma main rejoignant son don. Mes doigts se frayent un chemin sous le t-shirt que je lui ai prêté. Je caresse le bas de son dos. Sa peau est douce, tiède. Et t’en veux plus, beaucoup plus. Tu le colles contre toi, malgré la chaleur qui commence à envahir ton corps. Tu quittes ses lèvres pour le laisser respirer. Tu voudrais l’emprisonner à jamais dans tes bras, mais tu sais que c’est impossible. Alors tu te contentes de le garder contre ton cœur le plus longtemps possible. Ta main poursuit sa trajectoire, traçant sa colonne vertébrale du bout des doigts. Tu te délectes progressivement de ses abdos qui se découvrent au fur et à mesure que le t-shirt remonte du fait de ton action dans son dos. Tu ne peux pas te retenir de te mordre la lèvre inférieure. Tu ne peux plus reculer maintenant. Non, tu ne veux plus reculer.
▬ Cale… si jamais… je vais trop vite, ou trop loin… n’hésite pas à m’arrêter. Je plonge mon regard dans le sien. Parce que je ne pourrais plus le faire seul.
Mes lèvres rejoignent les siennes, et je l’embrasse, tendrement, le plus calmement possible. Je veux qu’il comprenne à quel point je l’aime, à quel point il me rend fou. Mais j’ai tellement peur d’aller trop vite, de mal faire les choses, de brûler les étapes. J’ai jamais fait tout ça de toute ma vie. C’est tellement honteux. Lui, il est expérimenté, il sait comment procéder. Moi j’ai besoin d’être guidé. Mes lèvres rejoignent son cou et je murmure à son oreille.
Sujet: Re: I want you, all to myself [PV YAOI] Dim 9 Juin 2013 - 10:49
CALE & SKYGGE
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Sujet: Re: I want you, all to myself [PV YAOI] Lun 10 Juin 2013 - 1:41
cale & skygge
C’est presque inespéré. T’es là, seul avec lui. Seul avec Cale. Ta peau contre la sienne. Vos souffles entremêlés. Vos lèvres frémissantes du désir d’embrasser l’autre. C’est mieux que tu l’avais imaginé. Plus réel, plus passionné. Il te rend totalement dingue, totalement accro. Tu ne veux pas le lâcher, tu ne veux pas partir loin de lui. C’est fou, mais tellement bon, pour toi. Il se décolle de toi et tu prends peur. Peur qu’il soit en train de te repousser. Tu sers les dents. Mais il ne fait que se redresser pour retirer le t-shirt que tu lui as prêté. Bouche entrouverte, tu le regardes, tu l’admires. Tu te redresses un peu, prenant appui sur ton coude, tendant déjà l’autre main pour toucher sa peau d’ivoire. Mais il se tourne déjà vers toi, agrippant ton t-shirt pour te le retirer. Sa main se pose sur ton abdomen et il caresse ta peau. Un profond frisson parcourt ton échine et tu le laisses faire. Ses doigts courent sur ta peau et ce simple contact n’a pour conséquence que d’augmenter un peu plus ta température.
Une fois débarrassé de ton t-shirt, tu l’observes, tendrement, avec envie, désir. Tu as envie de dévorer sa peau d’ivoire, d’embrasser son torse, tracer ses muscles de tes doigts, couvrir son corps de baisers. Tu as perdu toute raison depuis son discours. Tu as commencé à la perdre le jour où tu l’as rencontré, mais tu en étais inconscient. Il te fait basculer sur lui et, lorsqu’il attrape tes lèvres, tu te laisses envahir un peu plus par cette chaleur te brûlant le corps. Tu réponds à son baiser, tentant de contrôler cette fougue qui coule dans tes veines. Ses doigts se frayent un chemin dans tes cheveux et ça ne fait que renforcer ce désir brûlant.
▬ Je veux que tu n’appartiennes qu’à moi. ▬ Je t’appartiens depuis longtemps déjà, répondis-je en esquissant un sourire.
Sa main retombe sur ma nuque et, d’un sourire le rendant encore plus désirable, il effleure mes lèvres des siennes. Putain, il me rend totalement dingue. Totalement accro.
▬ Il est temps que je prenne le dessus, amour ♥
Je devine son intention et me laisse renverser. Il se met à califourchon sur moi, me laissant une vue sur lui absolument… excitante. A-t-il seulement conscience de son effet sur moi ? Je pense que oui. Oui Skygge. Cale finira bien rapidement par remarquer ton érection. Son sourire me montre clairement qu’il est ravi d’être perché là où il est. Ses doigts caressent les muscles de mon bras et il parvient à capter un peu plus mon regard sur lui. Il est… quelle vision putain.
▬ Je vais te manger. Un dernier mot avant de quitter la terre ?
Il ne me laisse pas répondre, venant mordiller ma lèvre inférieure. Il me fait perdre la tête. Sérieusement. Lorsqu’il me libère pour embrasser mon menton, j’en profite pour lui répondre.
▬ Hmm… j’ai quitté la terre depuis que tu m’as embrassé. Tu m’offres donc un ticket vers le 7ème ciel ?
Ses lèvres traversent mon torse, continuant leur descente vers mon bas-ventre. J’essaie de calmer ma respiration devenue saccadée, rapide. Je me redresse lorsqu’il me retire mon short. Il va la voir. Il va la voir. Il l’a vu. Je me laisse retomber sur le matelas, partagé entre la gêne et la honte. Être aussi excité en si peu de temps, il va se foutre de ma gueule. Je dois reprendre les choses en main. Rapidement. Je me redresse et le bascule sur les draps, plongeant mon regard dans le sien.
▬ C’est à moi d’apprendre. En pratiquant.
Je souris et l’embrasse tendrement. Ma main glisse le long de son corps, le caressant avec avidité. Je quitte ses lèvres pour embrasser son abdomen, traçant ses muscles de ma langue, tandis que mes mains le débarrasse de son short. Mes lèvres s’attardent sur son bas ventre et je remonte embrasser ses lèvres.
Sujet: Re: I want you, all to myself [PV YAOI] Mer 3 Juil 2013 - 20:06
CALE & SKYGGE
« I'm addic dic dic dic dicted to you »
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Sujet: Re: I want you, all to myself [PV YAOI] Sam 6 Juil 2013 - 17:10
cale & skygge
Sa remarque concernant la marque déposée sur sa peau te fait sourire, même rire. Une charmante demoiselle un peu trop sauvage. Y a de la suite dans les idées. Tu déposes un baiser sur la marque laissée par le suçon, vraiment ravi d’y avoir apposé un peu de toi sur lui. Tu l’aimes vraiment. Comme un dingue. Il n’y a que lui, rien que lui, seulement lui. Tu ne vois personne d’autre que lui. Tu le détailles. Ses yeux ambrés, ses longs cils charmeurs, ses lèvres délicieuses, ses cheveux d’or, son visage si parfait, son corps si sublime. Il est tellement parfait que tu as encore du mal à réaliser que tu le tiens dans tes bras et que vous êtes en tenue d’Adam, tous les deux, l’un contre l’autre.
Tu l’observes en silence, admirant chaque infime parcelle de son corps, de son visage. Tu t’égares dans tes pensées. Comment vont réagir les autres quand ils apprendront ? Hm. Peut-être serait-il raisonnable de ne rien dire pour le moment. Tu te doutes que les réactions seront partagées. Tu esquisses à sourire à l’idée de voir les têtes de toutes ces filles qui ont le béguin pour Cale. Dépitées. Tu laisses échapper un léger rire bref. De toute façon, tu préfères te concerter avec lui avant d’annoncer la nouvelle à qui que ce soit. Dans un couple on est deux, on prend pas de décision seul.
Lorsque tu l’embrasses, tes mains descendent le long de ses cuisses que tu caresses. Le simple fait de déposer tes lèvres sur les siennes, en ayant conscience de votre position et de votre nudité, suffit à t’exciter. Et tu sais qu’il a deviné ton état, puisque tu sens déjà son corps se réchauffer, les battements de son cœur s’agiter. Tu te mords la lèvre, tu as véritablement envie de lui.
▬ Cale… tu m’excites vraiment… t’es conscient de l’effet que tu me fais ?
Je l’embrasse, et il m’embrasse, plusieurs fois. Et je ne me lasse pas du contact de ses lèvres contre les miennes. Il embrasse si bien… Ses doigts glissent sur ma peau, me faisant frémir. Il parcourt mon cou, puis mon torse, poursuivant sa descente. Et il hoche la tête, en réponse à ma question. Je me mords la lèvre, me redressant lentement vers lui.
▬ Et toi, est-ce que t'es conscient de l'effet que tu me fais ?
J’esquisse un sourire, gardant mes mains sur ses cuisses, embrassant son menton.
▬ Je me forge une idée, oui.
Il s’empare de ma main pour la poser sur sa joue que je caresse, puis il l’embrasse, portant mon index sur ses lèvres avant de le suçoter avec un regard subjectif. Putain. Il est tellement pervers. Est-ce qu’il le sait ? Ça ne le rend que plus désirable encore. Je déglutis discrètement, sans le quitter du regard. Il dirige de nouveau ma main vers sa joue, fermant les yeux. Je souris, caressant sa peau, doucement, tendrement. Il n’est pas en sucre, je le sais. Mais je m’en voudrais tellement de lui faire mal.
▬ Tu me fais plus d'effet que quiconque sur cette foutue terre... ▬ Ton aveu me va droit au cœur… vraiment.
Il ouvre les yeux, passant ses mains dans mes cheveux, se collant à moi. Mon cœur bat à tout rompre. Mes bras se referment autour de sa taille alors que son corps, collé au mien, m’excite par sa proximité. Je le veux. Entièrement.
▬ Je veux que tu me fasses l’amour.
Explosion du système cérébral. Réinitialisation. Attends attends. Je le regarde avec des yeux ronds, parfaitement conscient que mon sang a pris un allé simple vers ma tête. Je bouillonne. Je cligne des yeux, ayant la pensée fugace que ce soit une plaisanterie. Non. Il est sérieux. Mon corps a automatiquement réagi à sa demande. Je vais passer pour un pervers. Et puis merde, on s’en fout.
Lorsqu'il me répond que mes désirs sont des ordres la part de moi pourri gâter est heureuse ; c'est donc vrai, j'ai tout ce que je veux, et la part amoureuse a peur ; elle espère que la part pourri gâter va pas faire de cet amour un simple caprice d'enfant roi. Mon sourire s'étire. Et je sais que je vais le regretter ce sourire, car je vais avoir un fucking mal de chien -non, ne parlons pas de chien-, je déglutis m'embrouillant le cerveau, est-ce que c'est idiot de vouloir qu'il me fasse l'amour mais de ne peux pas vouloir avoir mal ? Oui. C'est stupide...C'est comme vouloir du gâteau sans les calories ; c'est pas possible DONC MAINTENANT, pour une fois dans ma vie j'assume, j'assume. \WARNING YAOI/ - hors rp ; LE HIDE EST TROP MOCHE. vous êtes responsables si vous continuez à lire.
Il m'embrasse et me colle contre lui, mon sexe se frottant contre son ventre j'essaye de ne pas y faire attention mais ça m'excite. Ses mains glissent le long de mon dos puis s'en suit un long moment où on se dévore entièrement, mutuellement j'ai faim de son amour, j'en ai jamais assez et il commence à me préparer en faisant attention à mes réactions, au fur et à mesure qu'il va plus loin je me pince la lèvre pour ne pas gémir, ce qui fait ralentir considérablement ma respiration, je ne peux pas m’empêcher de venir m'accrocher à lui, c'est bizarre la sensation qu'il me procure. Je le veux tellement que ça m'en fait mal au coeur, que ça vient me remué l'estomac. Arès quelques minutes à me rendre fou il récupère sa main et doucement il me soulève et me pose sur le lit et je n'arrive même plus à réfléchir correctement tellement je suis aveuglé par mon envie qu'il aille plus loin, j'en oublie presque je vais être en dessous. Je dis bien presque. omg omg je vais être en dessous et il se met entre mes jambes et vient déposer sur mes lèvres un baiser en me regardant et là je fond comme un glaçon entre ses bras, je rends les armes, je suis vaincu, je l'aime trop, qu'il fasse de moi son "neko" de toute façon ça ne peut pas en être autrement, hein. Enfin. , UN JOUR JE SERAI LE SEME, genre pour mon annive et pendant que je me raconte des conneries pour m’empêcher de stresser, lui, il est là, à me regarder sérieusement, avec ses yeux bleus et son regard de gars amoureux et mon coeur il bat encore plus fort, à m'en casser les oreilles.
▬ Je t’aime… je t’aime tellement.
Et il clôt sa phrase en venant jusqu'à mes lèvres, tout doucement, un baiser romantique digne des feuilletons télé et comme un niais je me sens bizarre et rouge, et chaud donc ma gorge est trop serré pour quoi je puisse dire quoique ce soit, même pas un moi aussi, de toute façon je l'aime plus que tellement, je l'aime à n'en plus respirer et c'est tellement con, tellement nyan nyan que je me garde bien de le dire. mourir d'amour c'est pas pour moi et pourtant et il se redresse - un peu trop rapidement- attrapant virilement mes jambes pour les mettre autour de sa taille c'est donc le moment. Dans quelques secondes. Déconnexion du cerveau lorsque je sens son sexe près de mon intimité, quand je l'entend haleté et que je le vois parfaitement mordre ses lèvres. Si sexy. Et il m'adresse un regard, c'est dans un murmure d'excuse qu'il vient le plus doucement possible. Je gémis de douleur, merde, faut que mon corps s'y habitue et il pousse un long soupire pendant que je mords la lèvre, en vrai, je pensais même pas que ça allait rentrer, je c'est pas marrant j'attrape ce que je peux avec ma mains c'est-à dire le drap et il vient poser sa tête contre mon épaule me laissant m'habituer au fait qu'il soit à l'intérieur et je n'ose même pas bouger de peur que ma voix parte dans les aigu et cet idiot vient mordre ma peau, me faisant émettre un son de fille un peu trop excitée et mes bras viennent s'agripper à lui , alors qu'il se rehausse.
▬ J’y vais…
Je ravale ma salive et ferme fort les yeux, essayent de prendre de l'air avant d'étouffer et il commence avec ses hanches à me procurer du plaisir. Ou de la douleur. Ou les deux; mon coeur est tellement enflammé que je ne fais plus vraiment la différence, la douleur se mélange avec le plaisir, c'est un peu ça l'amour, à la fois douloureux et merveilleux. Je le sens bien qu'il y va doucement mais j'ai mal et j'ai peur de le lui dire car je veux pas qu'il s'arrête, ye souis con je sais et finalement comme toute douleur je sais que je vais y prendre gout. Je plante mes ongles dans la peau de son dos, le griffant lorsque ses coups de reins se multiplies, lorsqu'il fait de plus en plus sautiller ma frange, je pousse des gémissement de plus en plus audible et je charcute de plus en plus son dos et les sons qu'il produit m'excitent encore plus, oubliant dans un instant de folie cette foutue douleur qui m'anime.
▬ Aah… tu es… hmm.
Je commence à bouger mes hanches, la seule chose qui m’empêche de parler c'est le fait que si j'ouvre la bouche, le jardinier ou un foutu con qui passe risque de nous entendre, et surtout lui, risque de m'entendre et je sais pas pourquoi, je veux pas. Mais je murmure faiblement son prénom et lui demande dans un instant de folie d'y aller plus fort, je suis maso, définitivement maso, je veux faire plus qu'un avec lui, avec cet être que je chéri tant même si ce n'est pas approuvé par ma religion ou par Dieu. Non, c'est sûr pour aimer qu'il me fasse l'amour, je vais payer pour ça, il s’insère plus profondément en moi.
▬ Sky, je vais.....
Et j'essaye de me retenir jusqu'à ce qu'il me dise que pour lui aussi c'est bon. Mais c'est trop tard. J'ai honte. On a même pas joui ensemble, je sais pas si je dois en rire ou en pleurer. Si je ris il va me prendre pour un fou si je pleure il va me prendre pour une fille.
▬ AHAHA faux rire j'aurai jamais cru être si rapide............
Cale Summers, TU SORS.
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Sujet: Re: I want you, all to myself [PV YAOI] Sam 17 Aoû 2013 - 18:50
cale & skygge
▬ AHAHA. J'aurais jamais cru être si rapide… ▬ Dois-je comprendre que je suis ton premier homme ?
J’émets un léger rire, embrassant ses lèvres. Je n’ai pas besoin de réponse. Ses histoires passées ne me regardent en rien, et je n’ai aucun droit de lui demander quoi que ce que. Chacun son passé, pas vrai ? Je recule, m’extirpant de lui. Je descends du lit et rejoins rapidement ma salle de bain, me débarrassant de ma protection que je jette à la poubelle. J’attrape un linge en coton et je m’essuie promptement. En attrapant une nouvelle, je rejoins Cale sans attendre, revenant sur le lit. Je lui tends le linge en souriant.
▬ Je suppose que tu ne vas pas rester comme ça, hein ?
Je m’allonge prêt de lui, tête logée contre mon bras replié. Je tire le draps au dessus de nous, histoire de ne pas rester nus comme des vers. Avec cette averse et malgré notre douche, il faudrait pas qu’on chope une pneumonie. Je le dévore du regard. Je voudrais tellement lui dire à quel point ce moment a été exceptionnel, parfait. J’ai pas vraiment d’autres éléments de comparaison mais qu’importe. Je caresse son bras, tendrement, simplement.
▬ Merci, Cale…
Je ne sais pas s’il comprendra, mais je n’ai pas d’autres mots pour lui dire. Je l’aime tellement. Qu’importe ce qu’il dira, ce que je dirais, je l’aimerai toujours.
▬ Dois-je comprendre que je suis ton premier homme ?
Il se met à partir dans un léger rire. Comment est-ce qu'il peut rire de ça ? Mais comme la tornade vient tout emporter sur son passage, il balaye mon monde d'un seul baiser, comme dans les contes de fées, sauf qu'on est pas dans un conte de fées et que normalement je lui en veux lààààà, PUNAAAISEE. Il se lève. Sans doute pour aller à la salle de bain. Je me relève -un peu trop vite- pour lui lui dire
▬ LA PREUVE QUE TU M’ÉCOUTE JAMAIIIIIIS je t'ai dit que j'étais je murmure 100% hétérosexuel.
Je recouvre mon corps du draps me sentant mal, peut être que c'est parce qu'il pense qu'il n'est pas mon premier ou peut être parce que je viens de faire quelque chose que je n'aurai jamais cru faire ? Je retombe sur l'oreiller me recroquevillant, il revient à mes côtés doucement, je ne lève même pas les yeux. Il me tend un linge propre, je l'attrape sèchement et le remercie, je m'essuie proprement en râlant que je suis bon pour une 3ème douche, mes yeux croisent les siens, finalement cette douche attendra. Il s'allonge près de moi et nous recouvre du drap, il caresse mon bras doucement, je souris faiblement, je suis un peu ailleurs, dans mes pensées, je suis loin. Il me réveille quand il me dit ;
▬ Merci, Cale…
Idiot, idiot, je pousse un petit soupire et viens me lover contre lui, j'reste rouge, j'ai peur, j'suis con, même si j'ai la certitude que tout ça c'est bel et bien vrai j'ai cette foutu impression que tout peut se détruire facilement en ce moment même, après tout pourquoi pas ? Même les instants les plus parfaits que deux êtres complètement imparfaits se partagent peuvent se détruire d'un moment à l'autre, hein ? Alors, il faut vite que je lui mette un collier autour du cou pour qu'il ne me quitte jamais. AHAHA. CA COMMENCE A ME PRENDRE LA TÊTE, sérieusement, on ne peut pas mettre un collier autour du cou de celle ou celui qu'on aime. ça serait malsain de s’approprier quelqu'un. Je réponds à son merci en lui demandant le plus sérieusement possible ;
▬ Si je t'emprisonnes dans mon palais, tu penses que tu t'enfuirais ?
Je jubile en m'imaginant un "nooon", s'il me dit oui ; c'est quelqu'un de sensé voir d'intelligent, s'il dit non, c'est qu'il est fou, aussi fou que moi et qu'on formera un magnifique couple de malades dépendants émotionnellement de l'autre, huhuuuu. Promis, je ne profiterai pas de sa folie pour l'enfermer. Bon, peut être pas maintenant mais je ne promets rien pour la suite, hinhin je suis diabolique. Ou amoureux. Ou les deux ? Arrg.... Ce mot "amoureux" "amoureux" "amoureux" je le déteste. Je le hais, mais je dois l'accepter car je suis "amoureuh" "amoureuheuuh" "follement amoureuh". Je vais. Vomir, je crois.
▬ Je suis amoureux.
Chuchottais-je tout bas sans même m'en rendre compte, espérant qu'il n'y fasse pas attention, je soupire et me mord la lèvre, je passe même mon pouce sur ma lèvre en fronçant les sourcils ; c'est étrange, oui, tout ça est étrange, le fait que Cale Summers soit amoureux, surtout. Je pose mon front contre ses pectoraux humant son parfum, je veux partir, je demande quand même dans un murmure de peur de rompre le silence.