& un poing dans la gue*le, tu le prend comment? [pv E/A/B]

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PV E/ A /B
Une VDM

Aujourd'hui une journée de merde? Tout à fait, Saul était dans un état second, bien sur les nerfs, sans réellement savoir pourquoi. Le beau soleil qui devrait adoucir les moeurs? Il avait juste envie un putain de temps pluvieux, beaucoup plus reposant à son gout. Les sourires sur la face des gens? Il avait envie de leur refaire le portrait que vous soyez en E, en A, en B etc... Simplement aujourd'hui fallait pas l'emmerder, malgré sa nature calme, et patiente, il n'a pas fait partis de gang, pour rien, avant d'arriver à Prismver. Comme tout chef de gang, il avait sa dans la peau dans le sens propre, certains tattoos n'étaient pas là que pour faire beau. Histoire que tout se passe bien aujourd'hui, il ne voulait pas de sang qui coule, il décida de passer la journée sur le balcon, à boire discrètement sa bière et fumer sa clope.

Il s'accouda tranquillement sur le Balcon, et profita que personnes ni soient pour pouvoir se reposer l'esprit. Les cours? Ils les emmerdaient royalement, qu'il soit en E, A etc, il s'en foutait. Si il a pas envie d'aller en cours, il n'ira pas, malgré son assiduité. Il avait déposé son sac remplis de bière à côté, il ne comptait pas faire l'alcolo non plus, c'était juste un petit plaisir personnelle. Il finit par s'affaler sur le balcon, de manière à voire tout le paysage environnent, et souffla discrètement.

" A chier ! A chier ! "

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Guidée par James je me dirige donc vers le balcon. Heureusement, on ne croise personne et bientot nous voici à l'air libre. La légère brise me fait frissonner, il faut avouer que ma tenue ne me couvre pas beaucoup. Contre le froid, un débardeur et un short noir ont du mal à faire le poids. Mais ce n'était qu'une impression passagère, et je savoure le fait de me retrouver à nouveau dehors. Je me sens tout de suite mieux...

Un garçon nous a précédé. Plutot grand, il me semble déja l'avoir vu, peut être en latin. Surement en latin plutot. Il est brun, et ouvert de tatouages, dont certains de très mauvaise qualité. Je préfère le mien, niché au ba de mon dos et déroulant la maxime du chat dément et souriant : "We're all mad here..." Je crois bien qu'il est en E, enfin selon son uniforme. Je lui souris, un peu hésitante

-Salut.

J'ai peur qu'il ne m'envoie voir ailleurs. Ce qu'il fera sans doute. Mais il faut bien que je me lie un peu avec ceux de ma classe non? Au moins pour éviter d'autres incidents fâcheux... Je m'approche un peu plus du garçon, admirant la vue. Et ne peux m'empecher de laisser échapper une exclamation émerveillée

-Woaw! La vue est... Woaw!

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& un poing dans la gue*le, tu le prend comment?

Nous ne sommes pas seuls

James avait prit le devant du petit groupe qu'il formait avec Morgane, sa bouteille de vin rouge à moitié entamée dans les mains. Ils étaient passés par les extérieurs, il y avait quelques élèves comme eux, qui séchaient les cours. Au moins, ils profitaient aussi des journées ensoleillées du printemps, allongés dans l'herbe ou bien simplement assis sur un banc.

En montant les escaliers, un léger vent se fait sentir, ça rafraîchit légèrement mais ça reste toujours agréable, bien que James soit légèrement frileux, et puis, si il a trop froid, il a toujours avec lui sa bouteille d'alcool pour lui réchauffer le corps et l'âme.

En arrivant sur le balcon, Morgane est aussi impressionnée qu'une gamine par la vue qu'offre le pensionnat sur l'horizon, mais James, en bon roi lézard qu'il est, a porté son attention sur autre chose, il y a quelqu'un d'autre, un A peut être, il en est sûr, ça sent le A. Ce type, fume tranquillement sa cigarette, il est tatoué de partout, assez intéressant, James aime aussi les tatouages, mais il n'ose pas encore s'en faire pour le moment, il a toute sa vie devant lui. Il détourne le regard, bien qu'il reste encore vigilant.

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& un poing dans la gue*le, tu le prend comment? [pv E/A/B] Vue-balcon

C'est beau. Tout commençait si bien…

Il monte, il monte, il monte… il ne sait plus trop vers où, mais il continue de monter, histoire de voir où ça va le mener. Le réfectoire était derrière lui ainsi que son histoire. Ses trois compagnons de repas s’étaient tous volatilisés en quelques secondes, sans avoir mot dit. Alors il avait traîné ici et là, cherchant à tuer le temps sans grand résultat, parce que sa montre indiquait seulement une minute de plus au cadran depuis la dernière fois qu’il l’avait regardé. Foutu temps ! Pourquoi n’avait-il pas eu le contrôle du temps ? Beaucoup plus marrant comme don et plus utile, surtout dans des moments comme aujourd’hui.

Dernières marches, puis une porte. Il l'ouvre.

Une petite brise vint ébouriffer les cheveux d’Austin quelques secondes, puis repartit vers l’autre extrémité du balcon. Il avait l'air de faire plutôt bon. C’est là, après avoir fait un tour d’horizon du balcon, main au-dessus des yeux qui lui servait de visière car la luminosité était assez forte, que le jeune garçon reconnut de dos ses camarades d’infortunes (il est physionomiste, il n’oublie jamais le physique des personnes qu’il a rencontré –enfin ceux avec qui il a des contacts réguliers). Il émit un espèce : « Oh ! » trahissant sa surprise. Mais qui voilà ! Le jeune garçon ne pensait pas les revoir de sitôt.

Ce dernier s’approcha d’eux et se mit du côté droit de Morgane et leur gratifia d’un sourire. Genre « salut ! ». S’appuyant alors sur la rambarde, Austin admira enfin la vue. Plutôt sympa !
« C’est la première fois que vous venez ici ? » leur demanda-t-il dans un murmure, essayant de ne pas briser le moment magique auquel ils assistaient. Un moment en toute sérénité que venait accentuer la beauté du paysage devant eux. En fait, il venait seulement de se rappeler qu’il était déjà venu ici. Mais c’était la nuit. Bien que cela ne faisait pas une différence majeure pour lui, Austin nota tout de même quelques singularités : le bruit, les odeurs, les couleurs.

Leur souriant alors, d’un sourire honnête, sincère et spontané chose relevant du miracle vu le caractère du garçon, il se retourna de nouveau pour contempler la vue. Inlassable. Et jusqu’à présent, celui-ci n’avait pas remarqué la présence d’un autre élève, autres que Morgane et James.

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◮ Et un poing dans la gueule tu le prends comment? ◮
▬ Feat. A/B/E ♥ ▬

Déambulant dans les couloirs Daphné soupirait. Elle venait de sécher un cour de maths pour pouvoir continuer sa partition qu'elle avait commencé plusieurs jours plus tôt pour une "représentation". Enfin si on pouvait appeler ça comme ça, c'était juste un morceau qu'elle devait présenter à la présidente du groupe. Pourquoi? Allez demander ça à celle-ci, ce n'était pas Daphné qui lui avait proposé mais l'adulte qui lui avait demandé. Ses longs cheveux de jais se balançaient au rythme de ses pas tandis qu'elle se dirigeait vers le balcon, où elle espérait ne pas trouver trop de monde. Du haut de son mètre quatre-vingt huit elle observait d'autres sécheurs qui passaient à côté d'elle furtivement. Elle avait choisi de sécher les maths car c'était la matière où elle était la plus douée -17 de moyenne bitch plz. Comme quoi on peut rêver en RP *PAN* et qu'elle n'aurait donc aucun mal à rattraper ses cours.

Elle monta les escaliers doucement, stylo et carnet de note à la main puis arriva sur le balcon.... où il y avait déjà trop de monde pour elle. Tant pis, elle ferait avec. Elle observa les personnes se trouvant sur le balcon quelques instants. Un mec tatoué en train de boire, un brun avec des cheveux mi-longs, un autre brun aux cheveux bouclés et une brune aux cheveux frisés. AAAAAAAAAAAH UNE INVASION DE BRUNS AU SECOUUURS...;w; à mais c'est vrai je suis brune aussi.... putain que je suis conne. Elle adressa un signe de tête à ceux qui lui avaient jeté un regard puis alla s'asseoir silencieusement à une table en y déposant avec douceur son cahier et son crayon. Elle avait déjà fait la moitié de sa partition, elle devait pouvoir terminer ça en une heure, enfin si rien ne la dérangeait d'ici là. A et si quelqu'un pouvait éviter de mourir afin que se pouvoir ne s'active pas ce serait cool. Vachement cool même, elle n'avait pas envie de tuer les tympans de tous ceux présents sur le balcon, ce serait dommage pour eux. Elle se mit à penser à voix hausse, en chuchotant à moitié.

« Hmm.. si je mettais un Fa? » elle chantonna la note avec les autres qu'elle avait déjà inscrite sur son cahier puis se ravisa en voyant la consonnance que cela entraînait « Non, ça ne le ferais pas. Un Sol? hm.. oui ça sonne mieux. »

Elle se remit à écrire ensuite, sans perdre plus de temps à observer la vue qu'elle avait du balcon.

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& un poing dans la gue*le, tu le prend comment?"Une personne t'étant familière t'intéresse"

Tu avais à nouveau congé cet après-midi. Quel malheur s’abattait sur toi. Oui, vraiment, toi qui aimait tant travailler. Heureusement cela n’arrivait pas souvent. Cependant, tu te souvenais à chaque fois que c’était le cas. La dernière fois, cela t’avait permis de t’incruster dans un cours d’allemand où tu avais rencontré des gens dont tu étais devenue proche à présent. Mais voici, aujourd’hui il n’y avait pas d’allemand. Donc qu’allais-tu faire ? Aller clandestinement dans un autre cours ? Certainement ! Tu errais dans les couloirs tel un randonneur en montagne sans destination. Cependant tu devrais expliquer pourquoi tu adorais errer chez les E. Toi qui étais adoratrice de ce que tu appelais « la magie », en faisant référence aux dons, tu devrais préférer la haute maîtrise, n’est-ce pas ? Eh bien ce n’était pas ton cas. Tu aimais tout le monde et le seul critère méritant ton admiration était de posséder des pouvoirs magiques. Dans ce pensionnat, tout le monde en était détenteur. C’était la raison pour laquelle, peu importe la classe, tu allais vers tout le monde. Tu t’arrêtas au milieu des couloirs, devant une classe en lisant le panneau où il était inscrit « classe E ».

« Il arriva que cette classe fut intéressante. »

Tu te préparais à entrer lorsque tu entendis quelqu’un marcher. Tu te retournas légèrement pour remarquer la fille en question. Tu la reconnaissais, elle avait des cheveux noirs et une silhouette magnifique. Tu remarquas une partition dans sa main. Tu l’avais à plusieurs reprises vue, au cours d’allemand et de maîtrise de pouvoirs par exemple : Daphné Moreau. Tu décidas de la suivre. Elle se dirigeait vers le balcon et ne t’avais pas remarqué. Elle t’intriguait. Son pouvoir aussi. Elle l’avait nommé « banshee ». Pour résumer, il s’agissait d’un hurlement d’une puissance grandiose et terrifiante. Tu n’en voyais qu’un don très intéressant. Un jour tu allais t’approcher d’elle pour faire une interview complète. Mais pas tout de suite ! Pour le moment, seule sa destination t’intriguait. Que faisait-elle ? Les B avaient des cours non ? A la fin, elle arriva au balcon en remarquant quatre autres personnes. Vous n’étiez pas toutes seules. Daphné chantonnait quelques notes de sa partition en se questionnant sur la suite. Tu voulais en savoir un peu plus sur la musique, surtout depuis que Honey t’avait parlé de K-pop.

« Serais-tu la compositrice de cette mélodie ? »

Ta question s’était posée avec un sourire. Il fallait dire que pour le moment, seule Daphné t’intéressait. C’était intéressant de voir qu’une fille avec un don vocalement terrifiant aimait écrire des partitions. Tu fixais sa partition, intriguée. Les quatre autres personnes allaient peut-être se questionner sur ton habillement. Certes, tu portais ton uniforme, mais tu portais également ce chapeau intriguant et tu tenais cette baguette. Même ton expression blasée, ne laissant apparaître aucun sentiment, allait peut-être les étonner. Mais tu n’avais jamais voulu croire que c’était étrange. Peu importe finalement, tu n’allais peut-être pas t’ennuyer.

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& un poing dans la gue*le, tu le prend comment?

Warren s’était planqué dans un coin avec son corps de phoque pour attendre sa transformation en humain. Il venait de manger et se sentait lourd. Où pouvait-il se mettre en attendant ? Il vit une salle sombre et assez petite. Autant cacher cette forme ridicule et dite « adorable ». Il se déplaça avec peine jusqu’à la salle. Il se mit en boule pendant une minute ou deux. Puis il sentit cette sensation. C’était bon, il avait repris sa forme humaine. Bonne nouvelle. Il regarda ses mains pour vérifier. Oui, tout était bon, il pouvait repartir. Il se leva puis sortit de la salle. Il essayait de se souvenir de ce que lui avaient dit ses trois camarades. Il lui semblait qu’ils lui avaient demandé de les rejoindre au balcon ? Pourquoi pas. De toute façon il avait accepté. Il essayait de retrouver le chemin pour aller au balcon. C’était à l’étage des E, il connaissait donc. Oui il savait que c’était au fond du couloir. Il avançait en cette direction et apercevait le balcon. Il voyait déjà des gens en reconnaissant ses trois camarades de tout à l’heure : James, Austin et Morgane. Il sourit.

« Salut, depuis tout à l’heure. »

Il vit trois autres personnes. En regardant les uniformes, il voyait déjà deux A et une B. Un A tatoué qui regardait la vue. Une autre A aux cheveux verts et un chapeau imposant et pas commun et une B aux cheveux noirs magnifiques avec une partition. La B chantonnait et la A au chapeau semblait intéressée. Warren préférait rejoindre les membres de sa classe. Il se demandait ce qu’ils voulaient faire. Il s’accouda sur le balcon puis regardait la vue avec Morgane, en regardant les E. Il attendait des explications.

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& un poing dans la gue*le, tu le prend comment?

Effectifs

James avait remarqué qu'il commençait à y avoir pas mal de monde dans les alentours, et pas forcément des E, tant que tout se déroulait tranquillement, ça allait, il ne fallait pas que quelqu'un lance des hostilités, ça risquait de partir en bagarre et donc, pour certains, de démontrer leur pouvoir. Sachant que son pouvoir est assez inutile au niveau offensif, il ne peut pas apporter grand chose, il peut être considéré comme un pouvoir de soutien, bien que ce ne soit qu'un pouvoir inutile pour le combat, qu'il soit offensif, ou défensif.

Quatre E, deux B, et un A, voilà les effectifs pour le moment, le A pouvait aisément s'occuper de deux E, deux B pouvaient s'occuper du restant, et pour les E, il fallait espérer que les hostilités ne commencent pas. James ouvrit une fois de plus la bouteille de vin rouge et en but une gorgée. Il avait oublié son verre. De toute façon, ça lui importait peu, il n'était pas non plus malade. Il jeta un dernier coup d'oeil aux autres élèves, puis à son tour, il se concentra sur la vue qu'offrait le balcon.

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Je veux m'envoler!

Je regarde la vue, la dévorant et l'imprimant au coeur de mes rétines. Je me sens comme une enfant mais je m'en fous. Je suis bien... Pour un peu, je sauterais en voulant m'envoler. Déjà, je suis appuyée sur la rambarde, tendue vers le ciel comme une funambule. Mais alors, j'entends quelques personnes nous rejoindre. Je reconnais notamment Austin et lui adresse un sourire flamboyant. Oubliée ma honte, oublié mon désarroi. Il n'y a plus que le ciel... Il me répond avant de se placer à ma droite et de murmurer :

- C’est la première fois que vous venez ici ?

J'acquiesce, mon regard émerveillé affirme cela bien plus que des mots ne sauraient le faire. Quelques nuages, gros chats blancs paresseux, s'enlacent et s'étirent au firmament, tandis qu'en bas, les arbres tendent à rejoindre le soleil et les étoiles... C'est magnifique, vraiment.

J'entends alors un nouvel arrivant mais ne me retourne pas pour l'accueillir. Le vent qui agite mes longues boucles noires attire toute mon attention. Mais quand il vient se placer à ma gauche, je me tourne vers lui et reconnait Warren. Alors je lui souris aussi, comme s'il était mon ami perdu de vue depuis trop longtemps. Le ciel me rend heureuse et joyeuse. Je me sens invincible...

-Salut, depuis tout à l’heure.

J'incline la tête en guise de salutation. Je suis complétement shootée à l'air pur. Je ne savais pas que ça me manquait autant... Pour un peu, je me mettrais à rire et à danser, en équilibre sur la rambarde, entre terre et ciel, entre vie et chute. Mais je sais que je ne le ferais pas, et me contente de profiter de l'instant... ALors je dis joyeusement à mes deux camarades

-C'est vraiment magnifique... Presque une vision d'Eden...

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Et un poing dans la gueule tu le prends comment?

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Meredith marchait dans les couloirs, ses longs cheveux roses renoués en deux couettes se balançant de droite à gauche. Une si grande masse de cheveux roses, n'était-ce pas impressionnant? Ses yeux jaunes fixaient maintenant avec mépris une fille qui lui bloquait le passage. Cette-dernière n'avait pas l'air décidée de bouger et fixait avec provocation la jeune irlandaise en restant exprès dans l'encadrement de la porte qui permettait l'entrée dans la salle de classe. Soupirant, Meredith sortit de nulle part sa baguette de bois et frappa sèchement la fille avec sur les mains; « Très chère, si vous pouviez bouger votre postérieur.. assez encombrant de l'encadrement de la porte histoire que je puisse accéder à la salle de classe je vous en serais reconnaissante. Merci. » ET SCHLAAAAK! Meredith et ses répliques cinglantes dont elle seule avait le secret. La fille lui jeta un regard assassin et disparut dans les couloirs. Meredith la suivit du regard puis soupira en secouant la tête ce qui eut pour effet de faire bouger son opulente poitrine. Elle se dit à elle même en soupirant; « Toutes des primates sans aucune éducation. C'est si triste. » puis entra dans la salle de classe en rangeant sa fidèle baguette de bois dans un endroit que je garderais secret. Elle prit le cahier qu'elle avait oublié à son bureau puis repartit sans un regard pour les élèves qui la fixaient bouche bées. L'anglaise partit en suite en direction du balcon où il ne devait pas y avoir trop de monde. L'agoraphobe tenait son cahier entre ses mains tout en replaçant ses lunettes correctement sur son nez. Elle monta les escaliers qui menaient au balcon non sans jeter un regard dédaigneux aux murs du couloir des E complètements abîmés. Aucune éducation digne de ce nom. Une fois en haut, elle ferma les yeux et lâcha un soupir après avoir vu tout ce monde, et elle commençait déjà à être ml à l'aise. Quelques gouttes de sueurs froide coulèrent le long de son front, et elle alla se mettre à l'autre bout du balcon où il n'y avait personne sans faire attention aux personnes qui se trouvaient sur le balcon. Elle adressa juste un regard à Warren qui voulait dire "Attention toi, j'ai ma baguette sur moi." Et avec son silence habituel et se mit à écrire sur son cahier quelques enchaînements pour une chorégraphie qu'elle était en train de mettre au point. Elle n'avait pas cours pour les deux heures qui suivaient alors autant en profiter.

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PV E/ A /B
Une VDM

Après avoir tiré une latte sur ma clope, et posé tranquillement sur rebord du balcon, j'entendit un bruit de la fenêtre. Je me retournait et j'aperçu une brune, qui tout simplement au premier regard ne me revenait. Vous savez les filles qui ont l'air de sainte de nitouche et qui traîne avec un sois disant bad boy pour se donner un genre. Elle me sourit tout en me saluant, je préférais ne pas répondre et son commentaire sur le paysage confirma mes préjugés sur elle. J'aime pas les gens qui cherchent à se faire pote surtout ceux qui ont l'air de paumés de seconde zone. D'ailleurs il remarqua qu'elle était accompagnée, mais il ne préféra pas remarquer sa présence, et les ignora avec un profond mépris.

Et merde, encore 2 personnes ça passaient, mais là, une troisième qui avait une allure de plouc " essayons d'en faire abstraction" il n'aimait pas s’énerver, pour lui l'ignorance était le meilleur des mépris. Malheureusement le pas des nerfs qui augmentent, et qui explosent facilement. Il glissa tout naturellement, sans même aucune gêne avec discrétions.

" Putain ! c'est quoi c'est beaufs ! "

Il aperçu, une fille extrêmement grande qui était en B, et il l'avait croisé déjà de nombreuse fois dans le couloir. Sa taille et son allure impressionnait vraiment. Il remarqua aussi une autre fille, qui semblait la suivre, il l'avait déjà aperçu, il semble qu'il soit dans la même classe, mais vu qu'il venait d'arriver, il avait du mal à retenir les têtes. Il retournait à sa bière même si il entendit de nombreux pas défiler rapidement laissant place à une tranquillité presque impossible.

HRP

Spoiler:

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Ennui. Triste quotidien d’Alec. Aujourd’hui encore exacerbé ; malgré l’excellence des cours divulgués aux A, il était lassé par avance d’écouter des profs déblatérer des heures durant des choses qu’il connaissait déjà pour les trois quarts. Décidé même à changer ses habitudes, histoire de mettre un peu de piment dans sa vie, monsieur Wellsenstein avait décidé de se rendre à un endroit où il n’avait jusqu’ici jamais mis les pieds que pour aller chercher Gautier ; l’étage des E. Ces sous-hommes. La peinture tombe en ruine, à l’image de l’intellect des occupants. Rapidement agacé par ce côté hideux de la chose, il décide qu’une bouffée d’air lui fera le plus grand bien ; ca PUE le E, au sens propre comme au figuré. Décrépi et renfermé que sont les couloirs, trouver le balcon n’est qu’une question de secondes.

La déception arrive aussi vite.

Mais pourquoi tant de monde ? Pourquoi ? Plus le moindre endroit où être tranquille, dans ce bahut ; s’il avait su, Alec se serait réfugié dans sa cabane (surtout maintenant que tous ses colocataires avaient mystérieusement disparu, hé hé hé). Sa propre compagnie lui suffit amplement, et de loin. Mais malheureusement pour lui, Alec, n’a pas su. Il s’approche de la première tête connue, j’ai nommé Daphné, se penche sur son travail, fredonne la mélodie, le trouve plutôt pas mal, mais sans rien en dire, évidemment, et glisse un « sans vouloir te vexer, je mettrais plutôt un fa dièse, ici. ». Il salue d’un signe de tête poli les deux que l’uniforme désigne comme des camarades de niveau ; cependant, même si la teinture de cheveux de la seconde –WAUZE- le fascine, il ne dira rien non plus.

-« C'est vraiment magnifique... Presque une vision d'Eden... »

Monsieur Wellsenstein ne peut s’empêcher de lever les yeux au ciel tout en se retournant pour voir qui peut bien avoir dit une connerie pareille. Ce qu’il faut pas entendre, franchement. Ce paysage est juste blasant et banal au possible. Poète en manque d’inspiration ? Il faudrait être sérieusement atteint par le syndrome de la page blanche pour trouver un semblant d’inspiration dans ce panorama.

-« Putain ! C’est quoi ces beaufs ! »

Exactement. BRAVO. QUI QUE TU SOIS, ALEC T’AIME.
S’il y avait un point sur lequel il devait protester, c’aurait été la forme ; quant au fond, il rejoignait en revanche à 120%. Sachant par un quelconque hasard du destin ce que voulait dire le mot « beaufs », lui qui usait d’ordinaire d’un langage autrement plus soutenu, il s’approche de la source de ces quelques mots crachés au vent. Et comme il lui semblait, il s’agit bien d’un camarade de classe.

-« Zen, zen, mon petit Saule –qui fait deux centimètres de plus que lui OLOOOOL-, ca ne sert à rien de s’énerver. Les gens médiocres, il faut les enfoncer dans leur côté pathétique, mais certainement pas s’agacer pour ça. »

S’il fumait, c’aurait été exactement maintenant qu’il aurait tiré une latte. Mais voilà, Alec s’estimait bien trop pour se bousiller les poumons à coups de cigarette.

-« Sinon, tu n’en auras jamais fini. Tu t’y perdras. »

Le mépris teinté d’expression vantarde de la propre supériorité dont il est persuadé d’être imprégné –n’est-il pas en A, après tout ?- est la marque de fabrique du jeune Wellsenstein. Pas encore déposée sous un copyright à son nom, mais cela ne saurait tarder.
Se retournant d’un coup vers la demoiselle la plus proche, il fixe ses cheveux emmêlés, et surtout, surtout, le nœud rouge ceint autour de son cou. Fronçant le nez ; ca pue le E à plein nez. Expression dégoutée rapidement volatilisée, il lui accorde un petit sourire et s’approche d’elle. Doucement, gentiment, comme pour ne pas la brusquer. Se penche vers elle du haut de son mètre quatre-vingt-huit, saisit son menton entre ses doigts et plonge ses yeux bleu océan au fond des siens.

Un. Deux. Trois.

Les A aspirent à l’excellence, dans la maitrise du don également. A peine un léger mal de tête pour Alec, et l’autre pauvre cruche de E est complètement amnésique. Oh, quel dommage pour elle. Il connait ce sentiment, étant lui-même frappé du syndrome ; ce n’est pas pour autant qu’il prendrait les autres en pitié et répugnerait à exercer son don à la moindre occasion, loin de là.
Se redressant finalement, satisfait de lui-même comme le montre son sourire narquois, l'adolescent cherche une autre cible. Un échevelé juste à côté d’elle. Beurk. Encore du E. Du sous-homme. Tsk.
Il le fusille du regard, comme pour le défier d’intervenir. L’autre semble bien le genre à ne pas se défiler en cas de provocation, surtout de la part d’un A. Les E n’aiment pas les A, c’est bien connu. D’ailleurs, ceux-ci le leur rendent bien. A coup de mépris la où les autres donnent dans la jalousie.

Un. Deux. Trois.

Ersatz de rebelle ou non, lui aussi a perdu toute cette denrée précieuse qu’est sa mémoire.
Le mal de crâne s’accentue ; et pourtant, le Britannique ricane d’un air satisfait. Il ferait bien d’autres démonstrations, mais ce n’est sans doute pas nécessaire.
Vous ne pouvez pas lutter contre les A. Vous êtes trop faibles, trop pitoyables, en un mot, trop ratés.
Alec reconnait le délégué un peu plus loin ; et c’est à lui que son prochain sourire narquois est adressé. Qu’il fasse un rapport si ça lui chante. Il n’est de toute façon pas idiot ; étant le seul à posséder cette faculté à Prismver, il sait qu’il devra rendre leur mémoire aux deux victimes rapidement sous peine d’avoir des ennuis avec la direction.

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& un poing dans la gue*le, tu le prend comment?

« Bon sang, mon thé est froid. »

La blondinette était installée devant son piano, tapotant sur les blanches et les noires. Personne n'était dans la salle et la porte était fermée, elle en profitait donc pour s'amuser, partition sept qu'elle avait trouvé dans ses archives et qu'elle avait imprimée : Rolling In The Deep D'Adele. Une sacrée artiste, sa voix est tout simplement époustouflante, mais elle n'est pourtant pas la seule. Ah mais certains artistes gâchent le plaisir de la musique pour l'argent, le matériel et le luxe, c'est pourtant populaire. Les jeunes d'aujourd'hui ne regarde que l'apparence, c'est triste comme ça, le capitalisme. Pourquoi est-elle en train de penser à cela ? Elle devrait se concentrer sur la musique, bon sang. Un souffle de voix se fit entendre entre ses lèvres, puis elle haussa la voix pour quelques paroles :

- The scars of your love, they leave me breathless... I can't help feeling. ~ We could have had it a.. !

Sa voix se noua et perdit la dernière note. Elle toussota en grognant et prit une petite gorgée d'eau ''pure'' venant des glaciers, nah mais LA façon de faire de la pub. Elle râla en constatant qu'elle devra recommencer à chanter régulièrement, elle avait perdu sa jolie voix de jeune adolescente. Prit de nostalgie, elle cessa de pianoter sur l'instrument et se releva tout en frottant ses paumes de mains contre ses jeans bleutés. L'enseignante attrapa ensuite une crème pour la peau et en étala sur ses petites mains fragiles, elle était encore sous le choc de ce que lui avait dit le directeur la veille. Des pouvoirs ? Pearl croyait aux contes de fée lorsqu'elle avait neuf ans, mais c'était très différent, aujourd'hui. Le directeur savait aussi qu'elle n'y aurait pas cru, car il avait préparé une petite démonstration; elle en était traumatisée. La jeune femme s'attendait à rester dans cette école longtemps et croyait qu'il ne s'agissait que d'un manque de personnel, mais maintenant elle avait une petite idée de la raison du départ de l'ancienne enseignante de musique. Sang de dieu, dans quoi s'était-elle embarquée ? Au début, c'était carrément effrayant et elle avait perdu ses couleurs, mais ce matin en donnant ses cours, tout semblait normal, sauf quelques batailles venant des élèves. Ouais bon, ce n'était pas si horrible que cela, mais tout de même, elle ressentait toujours une certaine peur envers ses élèves, quoique certains semblaient inoffensifs, surtout les plus jeunes. Après, elle ne connait pas vraiment ses élèves et le directeur l'a rassurée en disant qu'ils n'oseraient jamais faire de mal à leur enseignante, devait-elle le croire ? Enfin, elle était courageuse et elle n'allait pas abandonner maintenant, il y a probablement d'autres gens qui n'ont pas de pouvoir et qui bossent par ici, elle n'était pas la seule, nada.

Elle fut sortie de ses pensées lorsqu'un frappement à la porte retentit. Un hoquet de surprise s'échappa de sa gorge. Elle tourna les talons et accouru vers la porte, faisant claqueter ses talons contre la moquette, qui étouffa le son. Alors qu'elle ouvrit la porte, un petit garçon était revenu pour rendre la trompette qu'il avait empruntée la veille. Oliver venait tout juste d'arriver et elle avait tout le boulot du monde, enfin, en ce qui consiste la musique. La blondinette remercia l'étudiant et lui offrit le sourire d'une maman, avant qu'il ne parte. Dieu qu'elle aurait aimé être mère, dès la vingtaine et elle voulait déjà ressentir la sensation d'avoir un être vivant remplit d'amour, dans son ventre, tout près d'elle. Un frisson traversa sa colonne alors qu'elle refermait la porte en levant les yeux au ciel, les enfants, elle en avait en quantité industriel par ici, même s'ils n'étaient pas d'elle, ça ne changeait rien. Elle entra dans la salle des instruments et rangea la trompette sur son étagère, elle avait même vérifié avant si elle avait été nettoyée.

Parfait, maintenant, elle n'avait qu'à prendre sa tasse de thé et se rendre à la salle des enseignants pour faire chauffer sa boisson. Elle attrapa sa tasse sur son bureau et quitta la pièce, la verrouillant au passage. Elle marchait d'un petit pas rapide et frénétique, ce qui fit résonner ses talons contre le plancher dur et froid. Heureusement, la demoiselle était facilement camouflée au sein de ses grands jeunes hommes, tous plus grands l'un de l'autre. Sa génération était donc si petite, elle qui était la plus grande de sa classe, au collège. Elle se rendit au rez-de-chaussée et entra dans la salle du personnel, déposant sa tasse dans le micro-onde pour deux minutes. Cette salle était la deuxième source de confort et de sécurité pour Pearl, après son bureau. Tandis qu'elle saluait quelques-uns de ses collègues qui revenaient entre leurs devoirs, elle vérifiait les catalogues et se marrait bien en voyant des vedettes aussi minces qu'un bâton, jusqu'à ce que le micro-onde décida de crier. Sa main se tendit et attrapa la poignée qu'elle tira pour retrouver sa tasse verte avec un petit coeur et un soleil dessus, un truc acheté dans la petite boutique pas chère, quoi. L'enseignante délaissa le catalogue et quitta la salle avec sa tasse bien chaude, si chaude qu'elle manqua de se brûler en touchant le dessous du contenant.

Elle avait terminé ses cours, elle avait terminé sa journée, tôt d'ailleurs, c'était plaisant, de terminer ses devoirs et ses cours tôt, vraiment. Cependant, il ne faut pas sauter et danser de joie tout de suite, pas avant d'avoir vérifié si une secrétaire ou le directeur même ne viennent pas lui dire ''Besoin d'une surveillante, de suite.'' Elle s'arrêta en voyant une secrétaire girly se mettre devant-elle.

- Bonjour Mlle ! Comme vous n'avez rien sur votre agenda pour la journée, une surveillance s'impose, au deuxième étage. Merci beaucoup de votre généreuse aide !

Puis elle fila en coup de vent. Un grincement énervé se fit entre les dents de la demoiselle. L'hypocrisie et la fausse politesse qu'empruntait la secrétaire pour son vocabulaire était tout simplement insupportable. Elle secoua la tête et monta donc les escaliers pour se rendre au deuxième étage. En entrant, une odeur âcre emplit son nez, elle le fronça et éternua finalement. Bon sang, qu'avaient-ils fait brûler cette fois-ci ? Ses pas résonnèrent le long du couloir, rien en vue. Quelques élèves de classe E bavardaient, mais rien de bien anormal. Elle envoyait un sourire à quelques-uns d'entre eux, certains l'ignoraient, d'autres lui envoyait un regard insulté. Son réflexe fut de baisser les yeux et observer le liquide foncé dans sa tasse.

Des bruits attirèrent son attention, le balcon ! Elle s'avança avec un petit sourire joyeux et remarqua une panoplie d'élèves, tous différents. Cela commença par une demoiselle à la chevelure magnifiquement bouclée, un jeune homme à la chevelure pâle et mis-longue et deux jeunes hommes géants aux vêtements étincelants. C'est lorsqu'elle s'avança que ses talons résonnèrent sur le balcon, un frisson l'empara lorsque certains la remarquèrent, elle leurs fit un joli sourire et leurs envoya la main.

- Bonjour les élèves !

Arg, c'était tellement niais, dit comme ça, Pensa-t'elle. Elle se redressa et rapprocha sa tasse de thé de sa poitrine, sentant une ambiance légèrement tendue. Yep, elle allait devoir surveiller avec toute son attention, par ici...

Never Utopia

Spoiler:

Invité**Invité**

❝ Rule number one,

Rule number three, wear your heart on your cheek but never on your sleeve, unless you wanna taste defeat. Rule number four, gotta be looking pure kiss him goodbye at the door, and leave him wanting more, more

Tu ne savais pas pourquoi, mais une tu sentais qu'il y avait du combat dans l'air, et pas de l'amour. Oui, tu pouvais sentir ce genre de choses toi. Huh. Tu te demandais pourquoi tu sentais ça, toute la matinée, pendant que tu te promenais dans l'établissement en essayant d'éviter ce dinosaure qui se nommait Tartiflette. Tu décidas de te diriger vers le balcon, pour prendre un peu l'air. D'ailleurs, tu entendais du bruit plus tu t'approchais. Du grabuge ? Non, sûrement pas sur un balcon, étant donné que si il y avait un mouvement mal placé, on pouvait tomber par dessus la rambarde. D'ailleurs, tu osais espérer qu'il n'y avait pas de vent, étant donné que tu avais mis une robe en dentelle. Et qu'elle risquait de s'envoler trop facilement. Une fois arrivée sur le balcon, quelle surprise. Tu vis une ribambelle variée d'élèves. Meredith, un type avec un costume et un chapeau, Saulius, ton délégué, une adulte et des autres personnes. Qu'est ce qu'ils faisaient tous là ? Il y avait eu un rassemblement de personne sans que tu le saches ? Bah. Tu te dirigeas vers les A, gracieusement, avant de leur dire un bonjour mielleux. Pourquoi tu t'étais dirigé vers les A, espèce de gourde ? Tu ne sais pas que c'est les ennemis des E ? Si, bien sûr, tu le savais. Mais honnêtement, il n'y avait que des nuls disgracieux chez les E, donc autant aller vers un parti qui te ressemblait plus. Des gens hautains, quoi. Tu aimais bien les personnes hautaines comme toi. D'ailleurs, si tu t'étais présentée au test au lieu de faire les boutiques, tu aurais pu aller en A. Mais les boutiques, tu trouvais ça plus intéressant que des tests de dons débiles. Surtout que tu savais que tu ne maîtrisais pas bien ton don, donc bon. D'ailleurs, qu'est-ce qu'une adulte faisait là ? Elle n'était quand même pas de garde sur le balcon, non ?

▬ Salut. Qu'est ce qu'il se passe ici ? C'est normal qu'il y ait autant de monde ?

tag: juliet » notes: retaaard » words: ???

is that you gotta have fun ❞

thanks

Spoiler:

Invité**Invité**

& un poing dans la gue*le, tu le prend comment?

Je est un autre

Voilà qu'un A s'était ramené à son tour. Il avait jeté un regard sur le petit groupe de E, James l'avait intercepté, il semblait presque menaçant à son encontre, il ne lui avait rendu que son regard, dénué de sentiments, comme il avait l'habitude d'en jeter. Sa bouteille toujours dans sa main, il regarde à présent ce type plutôt grand s'approcher de Morgane, doucement, comme si il tentait de la séduire, alors, il jette son regard dans le sien, puis plus rien.

Ensuite, il fait face à James, un, deux, trois. Pendant un instant, un flash blanc se fait ressentir. James ne sait même pas où il se trouve, il sait juste qu'il est quelqu'un, et qu'il sait manier l'alcool. Et aussi la bouteille pour l'envoyer dans la gueule du colosse car il n'a ni une gueule de porte-bonheur, ni une gueule qui plaise au roi lézard.

Mais rien ne se passer comme prévu, autant ne pas s'occuper de lui, de transformer l'alcool en quelque chose de puissant, finir ivre pour la soirée, perdre la mémoire, et s'en souvenir demain matin avec une gueule de bois.

fiche par century sex.

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