& un poing dans la gue*le, tu le prend comment? [pv E/A/B]

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C'est ma mémoire qui s'envole...

Quelques personnes continuent d'affluer, n'est ce pas pourtant censé être un endroit réservé aux E? Un garçon s'approche de moi, et saisit mon menton pour me tourner vers lui. Ma main se lève pour gifler l'impudent...

Un flash blanc m'étourdit. Je tourne une page et impossible de retourner aux précedentes. je m'appelle Morgane. C'est tout ce que je sais... La barre de fer qui soutenait mes pieds disparait, manquant de me faire tomber par terre. Que se passe-t-il? Où suis je? Tout grouille et tourbillonne autour de moi STOP! Rapprochez vous, papillons luminescents. Calmez vous. Je suis perdue quand vous vous agitez de la sorte... Même quand je ferme les yeux je vous vois. Je ne me suis pas rendue compte que je tiens ma tête entre mes mains, mes épaules haussées tandis que je fais le dos rond. Calmez vous!

Les points de lumière qui s'agitent sans cesse se rapprochent par endroit, cherchant quelques affinités avec leurs semblables. ils obéissent à mon injonction muette... Des gouttes commencent à tomber du ciel pourtant resté bleu. Il pleut sans nuages, mais les yeux fermés, crispée, je ne me rends compte de rien. Les gouttes semblent m'éviter... Cependant, l'hydrogène et l'oxygène ne sont pas les seuls atomes à se rapprocher. L'azote aussi change d'état. Et des gouttes plus froides que la glace elle même tombent également autour de moi. Je ne contrôle plus rien. La barrière de ma mémoire a cédé, à cause de ce gamin prétentieux je vois le monde en pointillé. La colère monte, ce n'est pas moi, c'est forcément de sa faute! Je m'approche de lui, tandis qu'à mon contact les fluides retrouvent leur état gazeux. L'électricité dégagée par tous ces échanges frisent encore davantage ma longue chevelure d'encre. Je ne me contrôle pas. Je me plante devant lui et dit d'une voix paniquée

-Qu'est ce que tu m'as fait?! Monstre, fais moi redevenir comme avant!!

J'ai les larmes aux yeux et je tremble comme une feuille. Je me sens devenir de plus en plus perdue. Mon corps défaille sous l'effort que je lui inflige sans le vouloir. Je ne vais pas tarder à m'écrouler... J'ai peur, maman, j'ai peur. Des flaques d'azote liquide s'étendent à mes pieds, mêlées à l'eau aérienne. Où suis je, où es tu? Est ce juste un rêve? Je l'espère de tout coeur. Sinon, je ne suis pas sure de pouvoir y survivre...

fiche par century sex.

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& un poing dans la gue*le, tu le prend comment? [pv E/A/B] - Page 2 Kick-a10

Getting ready… to what ? A fight ? Naaaah, hope so not

L’attention d’Austin s’était détournée du paysage, après que ses oreilles eurent vent d’une phrase pas très sympa, sympa.

« Putain ! C’est quoi ces beaufs ! »

Clignant un moment des yeux, le jeune garçon chercha la source de ces mots et tout en jetant un regard sur l’ensemble du balcon se mit à compter… un, deux, trois A qui venaient de se pointer sur le balcon. Ah pardon, y en a un qui était déjà là depuis le départ (Saule) et puis une B, reconnaissable à son ruban bleu. Enfin bref. L’INVASION A COMMENCE ! Préparez-vous, le combat ne fait que commencer. En quelque sorte, car quelques secondes après avoir fait ce petit calcul –dont il devrait être fier, SANS CALCULETTE LES GARS ! PAN DANS VOS DENTS- un mec deux fois plus grand que lui (en réalité seulement une quinzaine de centimètres), je parle du gars avec son air anglais, qui se donne un air de « j’ai tout vu, m’as-tu vu » « je connais tout, bande de babouins dégénérés que vous êtes, les E » (en gros, hein, je ne dirais pas à 100% que ce sont les mots de Sir Wellenstein mais j’ai fait de mon mieux pour transcrire le plus fidèlement possible : P) s’approcha de Morgane, puis de James. Austin ne comprit pas vraiment ce que l’autre élève avait fait. Tout s’était passé si rapidement. En un clignement d’œil, l’histoire était terminée, mais c’était louche. Ça ne sentait pas bon. Quel était donc ce tour de magie ?

Austin aurait bien aimé faire quelque chose pour aider ses compagnons, mais tous les deux avaient l’air, comme qui dirait, absent. A la suite de Morgane, le jeune garçon interpela Alec.

« Hey… » commença par dire Austin. Sa bouche avait réagi avant que son cerveau ne lui en donne l’ordre. Il ne savait pas du tout ce qu’il allait dire par la suite. Le flou total alors qu’il venait d’avoir (en tout cas c’était ce qu’il lui semblait) un tant soit peu retenu l’attention de l’hurluberlu. « Tu… quoi… qu’est-ce que tu leur as fait ? »

Bon, il avait cafouillé, bafouillé. Ce moment de stress lui avait fait perdre ses moyens. La parole. Pas trop son truc. Sur la réserve, Austin s’était prudemment reculé d’Alec, en direction de l'adulte qui venait d'apparaître. Il ne voulait pas subir le même sort que ces camarades. Il était d’accord pour les défendre, mais pas non plus à ses risques et périls (vive la solidarité, HA HA). Il aurait aussi voulu rajouter « mais pourquoi t’as fait ça, c’est quoi ton problème ? », mais se ravisa. Il était sans doute préférable de PARLER, sur un ton neutre, plutôt que t’attiser la colère du géant et de ses potes A qui étaient non loin de lui.

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◮ Et un poing dans la gueule tu le prends comment? ◮
▬ Feat. A/B/E ♥ ▬

Daphné était plongée dans ses pensées en tentant de terminer cette foutue symphonie. Elle jeta un regard noirs au groupe situé près de la barrière qui était en train de s'extasier de la vue pas si spectaculaire que ça. Putain ils sont obligés de faire autant de bruit? Elle allait se lever pour partir quand une voix lui parvint aux oreilles. C'était Shen, la A qui s'habillait bizarrement et parlait d'une façon étrange. Daphné l'avait déjà croisée dans des cours de maîtrise de pouvoir avec madame Oksana. Si elle se souvenait bien le pouvoir de Shen était de maîtriser les esprits défunt, ce qui était en sois un don plutôt effrayant, enfin selon Daphné. Malgré son air étrange, Shen était une personne aimable et très sympathique avec qui Daphné aimait discuter de temps en temps. La jeune turque aimait bien la façon de penser de la chinoise. Cette-dernière lui demanda si c'était elle qui avait écrit le début de la symphonie, c'est donc souriante que Daphné répondit;

« Oui c'est moi. » dit la grande brune en souriant. Puis comme elle était polie elle demanda; « Comment vas-tu Shen? »

Elle remarqua ensuite que le délégué des E, Warren Andersen, était lui aussi sur le balcon. Ils se sont tous donné rendez-vous ou quoi? ça va finir en bordel pas possible si ça continue. Ensuite une fille aux cheveux roses en A apparut et alla se mettre à l'autre bout du balcon, loin de tout le monde. Moi j'dis, associable. L'autre A qui s'appelait Saulius mais que tout le monde appelait Saule demandant en s'exclamant ce qu'étaient ces beaufs. Je l'aurais dit un peu plus poliment mais on peut traduire ça par ça. Puis une ombre apparut derrière elle, la faisant sursauter. Elle reconnut ensuite la voix d'Alec quand il lui suggéra de mettre un fa dièse. Daphné dut reconnaître qu'il n'avait pas tort et que ça sonnait mieux comme cela. La porte d'entrée qui menait au balcon laisse place à une prof', une prof' de musique. MAIS C'EST QUOI CE BORDEL? POURQUOI TOUT LE MONDE VIENT HEIN POURKWAAAAAAAA. D: .. et encore une autre, et aller que tout l'pensionnat s'incruste sur le balcon. D'ailleurs il n'était même pas sûr que le pensionnait puisse accueillir tout le monde sur le balcon, mais heureusement qu'il était grand quand même. Puis une E qui va s'incruster avec les A. WTF?! Elle jeta un regard à interrogateur à Shen, tout en lui faisant signe de s'asseoir près d'elle.

Quelques éclats de voix la sortirent à nouveau de ses pensées. Sentant que tout cela allait dégénérer, Daphné se leva de son mètre 98 et s'approcha d'eux en soupirant. Si tous commençaient à se frapper dessus elle n'aurait qu'à utiliser son pouvoir pour qu'ils s'arrêtent. Elle hésite à s'approcher de la brune, car elle voit que celle-ci tremble comme une feuille et que des flaques d'eau commençaient à se former autour d'elle. La brune se plaça entre Alec et Morgane en demandant d'une voix apaisante pour ne pas aggraver les choses; « Hey il se passe quoi ici? » elle voulut poser sa main sur l'épaule de la brune qui avait l'air paniqué mais elle n'eut que le temps de débuter sa phrase, car elle reçut une décharge électrique;« ça va qu'est ce q... ! AH PUTAIN ANNESI LANET CA FAIT MAL BORDEL DE...! » Sous l'énervement elle était passé au turc, sa langue natale. Dans sa douleur elle recula d'un pas et faillit foutre un coup au E là avec les longs cheveux noirs lisses qui avait l'air d'un zombie (oui Austin je parle de toi *PAN*) mais elle retint sa main de justesse qui s'arrêta à un centimètre de son visage, environs. Elle se tourna vers lui et marmonna un « .dezfzgr.. désolée » puis soupira. Voila, ça lui apprendra à être gentille avec des E. Sa main était rougie et quelques éclairs sortaient de ci et de là de sa longue chevelure d'ébène. Elle ferma les yeux, la veine sur son front avait légèrement grossit signe de son énervement et son sourcil gauche tremblait en montant et en redescendant car elle se retenait de hurler sur la brune -qui n'y était pour rien vu qu'elle ne maîtrisait pas son pouvoir-. Agacée, elle rouvrit les yeux avec des éclairs toujours présents dans ses cheveux puis dit froidement; « premier qui fait un commentaire j'le.. j'le.. j'le azertyuiop"(@'(gzt"''u@è-*htr. Compris? » Journée de merde

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& un poing dans la gue*le, tu le prend comment?
"Une tension désagréable apparaît..."

Daphné s’était retournée pour te saluer avec un sourire. Elle te dit également qu’elle était effectivement la compositrice de la mélodie. Cette fille avait un grand talent dans ce cas. Comment pouvais-tu le déduire alors que tu ne connaissais pas grand-chose dans l’art musical ? Eh bien, tu savais tout de même que composer des musiques n’était pas à la portée de tout le monde. Avoir une oreille musicale n’était pas facile à obtenir pour commencer. Certaines personnes pouvaient très facilement et instantanément nommer la note qu’il venait d’entendre. Ce genre de talent t’impressionnait. Ce genre de talent, on pouvait dire que tu l’enviais. C’était très certainement utile. Toute connaissance avait une utilité, c’était ce que tu disais tel un slogan. Ton attention se redirigea vers Daphné, qui te demandait si tu allais bien.

- Je me porte à merveille, je te remercie. Qu’en est-il de toi ?, disais-tu en souriant.

Puis plusieurs personnes entrèrent au balcon, les uns après les autres. A commencer par la présence du délégué de la classe E, un garçon aux cheveux bleus courts et souriant. Tu n’avais jamais réussi à lui parler, peut-être que tu allais le faire plus tard. Ce n’était pas pressant, surtout que Daphné et sa partition t’intéressaient plus. Tu vis Meredith entrer pour s’éloigner ensuite. Tu lui adressas un sourire. C’était une gentille fille après tout. Une fille qui aimait bien quand tu lui expliquais ce qu’elle n’avait pas compris. Elle était humaine, elle avait le droit de ne pas comprendre. Puis à présent, tu fus surprise par l’arrivée d’Alec, un A à l’allure imposante dans le bon sens. Oui il était très reconnaissable. Il suggéra à Daphné de remplacer sa dernière note par un fa dièse. Cette histoire de dièse, tu ne la comprenais pas vraiment. Tu avais entendu cette histoire de notes de musique, mais concernant les dièses et les bémols, tu ne savais pas ce que cela signifiait. Dans tous les cas, Daphné n’avait rien corrigé sur sa partition.

Puis un professeur arriva. Décidément, il y avait beaucoup de monde ici. Pourquoi tout le monde venait ? Était-ce un rendez-vous auquel tu n’avais aucune connaissance ? Le professeur en question était une femme qui semblait aimable. Elle vous salua d’une manière sympathique. Puis vint encore une fille aux cheveux bleus magnifiques qui se dirigea directement vers les A. Daphné s’était retournée vers toi d’un air interrogatif. Elle non plus ne devait plus comprendre grand-chose. Tu pouvais la comprendre, tu t’étais incrustée et tu n’avais pas tout suivi. Puis elle te proposa de t’asseoir près d’elle. Tu souris puis tu t’apprêtais à t’installer. Cependant, tu vis Alec plonger son regard dans celui de deux E. Qu’était-il en train de faire ? Ce n’était pas un comportement normal de fixer les gens de cette manière, même si tu n’étais pas très bien placer pour parler de normalité. Tu vis la jeune fille aux cheveux frisés s’affoler. A ce moment là, Daphné se leva pour s’interposer entre les deux. Elle posa sa main sur l’épaule de la E.

Cependant elle l’avait retirée subitement en criant que cela faisait mal.

Une douleur ? Venant d’où ? De la jeune fille ? La jeune fille manipulait la douleur ? Elle recula en manquant de frapper accidentellement un autre E derrière lui. Elle regardait sa main. Tu pouvais apercevoir des rougeurs, et presque des étincelles sur ses paumes. La pauvre, cela devait faire vraiment mal. Tu voulais faire quelque chose, mais quoi ? Car Daphné semblait presque se retenir de hurler d’un cri strident. Un pouvoir effrayant mais fort intéressant encore une fois. Tu cherchais quelque chose pour aider la pianiste aux cheveux d’ébène. Tu regardais autour de toi. Elle avait ajoutée qu’elle ne voulait aucun commentaire. Tu devais te taire. Enfin… tu avais compris qu’il fallait que tu te tusses. Tu voyais sa partition par terre. Tu essayais doucement de la ramasser pour la garder pour qu’elle ne pût pas être abîmée. Tu étais certaine qu’elle devait y tenir, à cette partition. Puis tu te rassis, n’essayant pas d’entrer dans la bagarre. Dans le pire des cas, tu essaierais de trouver Flinn, le délégué des B, pour faire baisser la tension.

Tu regardais la scène. Cela te rappelait la tension qu’il y avait lors de ta rencontre avec deux autres filles. Tu n’aimais pas ça. Ce n’était pas de la crainte, mais plutôt de l’inquiétude…

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& un poing dans la gue*le, tu le prend comment?

Warren se fit accueillir par ses camarades de la classe E. Morgane l’avait remarqué et lui avait adressé un sourire tout en s’exclamant concernant la beauté du paysage. Warren était habitué à la vue depuis cet étage. Cela ne l’impressionnait plus. Mais soit, ce n’était pas un mauvais paysage. Il rajouta simplement un sourire suite à l’exclamation de sa camarade. Il tourna légèrement la tête pour remarquer une tête familière. Des cheveux roses rattachés par des couettes. Il n’y avait aucun doute concernant l’identité de la jeune fille : Meredith. Une jeune fille que Warren aimait bien tout de même. Mais cette dernière ne semblait pas apprécier que Warren fût le martyrisé de Prismver. Ainsi, elle le punissait à chaque fois d’un coup de baguette derrière la tête, pour se laisser faire aussi facilement. Mais le jeune Australien ne lui en voulait pas ; il y était habitué. Il sentait que ce regard observateur s’adressait à lui. Il hésitait à la saluer.

- Salut Meredith, dit-il enfin.

Il lui adressa un sourire. Puis il se retourna. Il vit à ce moment là un jeune homme apparaître. Il était grand, portait un monocle et un chapeau élégant. Warren l’avait certainement déjà croisé une fois ou deux dans les couloirs, mais sans plus. Ce garçon restait debout devant Morgane en la fixant d’un air fier. Puis il s’avança vers James pour reproduire la même action. Était-il en train de simplement les regarder ou de faire quelque chose de bien précis ? Le jeune délégué ne faisait rien, ne comprenant rien. Puis le jeune homme élégant se retourna vers lui pour lui montrer ce sourire empli d’une grande fierté. En voyant son uniforme, il pouvait reconnaître en lui un élève de la classe A. Un regard de mépris donc… Mais ce n’était pas grave, il y était habitué. C’était à cela que se résumait sa vie de tous les jours. Il n’allait pas s’en plaindre, il n’aimait pas ça. Sans oublier que ce n’était pas quelque chose dont il fallait se plaindre. Il oubliait, rien de plus. Il pardonnait, rien de plus. Il laissait passer l’affront comme si de rien n’était.

Il regardait le reste du balcon et voyait que la population présente s’était bien agrandie. Il voyait une adulte et une jeune fille aux cheveux bleus en plus. Il savait que cette dernière était une élève de la classe E. Elle était reconnaissable. Puis tu entendis Morgane crier et trembler. Encore ? Cela s’était déjà déroulé comme ça dans le réfectoire lorsque Warren lui avait dit qu’elle avait l’obligation d’avoir un don pour être ici. Cette fille semblait perturbée de nature. Austin semblait surpris par le comportement de Morgane. Puis la jeune B essayait de calmer Morgane mais elle reçut une décharge. Jusqu’à crier de douleur et essayer de se retenir. Puis ses cheveux dégageaient des étincelles. C’était effrayant. Il en avait peur. Les éclairs étaient dangereux. Surtout que la fille avertit froidement qu’il fallait se taire. Warren recula, apeuré. Reculant en direction de Meredith. La B lui faisait peur. Il avait juste envie de ne pas s’en mêler. Mais il sentait qu’une bataille allait s’engager. Mais il n’allait pas pouvoir l’empêcher ; c’était trop tard. Il n’arrivait plus à dire un mot, figé par la peur.

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Et un poing dans la gueule tu le prends comment?

codage par palypsyla sur apple-spring

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Tu restais dans ton coin tandis que d'autres commençaient à arriver, mais tu ne faisais pas attention à eux. Les gouttes de sueur froides te coulaient dans le dos, tes mains étaient moites et ton regard se faisait fuyant, fixés sur ton cahier sans dévier vers les personnes situées non loin de toi. La seule phras equi te parvint jusqu'aux oreilles fut "c'est quoi ces beaufs!". Mais.. MAIS POURQUOI PERSONNE N'UTILISE-T-IL PAS UN LANGAGE CORRECT? SUIS-JE LA SEULE A AVOIR UNE BONNE SYNTAXE ICI? L'anglaise aux cheveux rose soupira puis se replongea dans ses maths, ignorant les éclats de voix qui l'agaçait tout de même. Elle fit tout de même un rapide calcul des personnes présentes en quelques secondes, elle les connaissait toutes. Enfin presque. Mme la professeure de musique dont le nom lui échappait, Austin le E qu'elle maltraitait pour qu'il ne se comporte pas en boniche, Alec Shen et Saulius qui étaient dans sa classe, Warren qu'elle martyrisait pour qu'il ne se laisse pas frapper, Morgane et son ami avec qui elle traînait souvent, Juliet qu'elle ne connaissait que de nom car elle avait des cheveux bleus ce qui ne passait pas inaperçu -tout comme elle la plupart des gens connaissaient Meredith car elle avait les cheveux roses- et Daphné une B au langage trop vulgaire pour elle. Peut être avait elle omit de citer quelques personnes mais elle n'avait pas envie de s'attarder sur cette masse grouillante de personnes. Une voix attira l'attention de Meredith, et elle eut un sourire -MIRAAACLE- à l'attention de Warren en lui répondant amicalement;

« Bonjour Warren. »

Meredith allait se plonger à nouveau dans ses maths quand des cris attirèrent son attention, la faisant sursauter -ce qui eut pour effet de faire trembler son opulente poitrine krrkrr- et soupira. Ce n'était qu'Alec qui s'était approché de Morgane et de son acolyte. Quand il se pencha vers celle-ci, Meredith se posa une question; *va-t-il l'embrasser?* ne me regardez pas comme ça, je suis sûre que la moitié des gens a pensé ça en voyant Alec se pencher de sa haute taille vers la brunette. Quand il fit de même avec le compagnon de la E, Meredith eut la réponse à sa question. Il devait sûrement les observer dans les yeux pour leur jeter un regard méprisant et leur montrer à quel point les A sont plus forts qu'eux. L'irlandaise aux cheveux roses grimaça quand Morgane se mit à crier des phrases qu'elle ne comprenait pas. Qu'est ce qu'Alec lui avait fait? Elle allait se lever pour demander en toute politesse à la brune frisée si elle pouvait "fermer son clapet" mais elle fut prise de vitesse par la grande Daphné qui alla se placer entre Morgane et Alec qui s'était éloigné pour poser gentiment la main sur l'épaule de la E.. pour s'éloigner avec un cri silencieux de douleur en se tenant la main -au passag elle faillit donner un coup de main à Austin mais se retint de justesse.- Grande godiche maladroite écervelée sans éducation sans vocabulaire. Idiote. Gentille Meredith hein? Elle vous sourit poliment mais dans sa tête pense des choses pas très sympas sur vous. Elle remarqua ensuite Shen se baisser pour ramasser un carnet qui devait appartenir à Daphné. Soupirant, Meredith se leva et demanda poliment avec un masque austère et froid collé au visage, en s'approchant;

« Que se passe-t-il? Pourquoi tant de hurlement? »

Elle replaça ses lunettes et posa sa main sur sa hanche en toussotant légèrement. Pour l'instant son agoraphobie ne lui jouait pas de tour, mais ça n'allait pas tarder elle allait finir par partir en courant loin de cette masse grouillante en tremblant, mais pour l'instant elle était calme.

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A peines Alec avait-il fini d’appliquer au mieux ses capacités qu’une enseignante arrivait. Coïncidence ? Je ne crois pas. Elle avait dû sentir qu’il se passait un truc AWESOME ici, et avait absolument voulu assister au spectacle.

Ou simple coïncidence.

Le jeune homme lui adressa un grand sourire, sincère ; une fois n’est pas coutume. Mais cette demoiselle, il l’apprécie réellement. Après tout, la musique fait partie de lui.
Une demoiselle aux cheveux bleus débarque aussitôt ensuite ; elles ont flairé le truc awesome, je vous dis. Il ne la connait pas, mais confrérie des cheveux teints RPZ. L’envie de répondre sarcastiquement à sa question le démange, évidemment ; mais avant qu’il n’ait l’occasion de le faire… Dégénérescence météorologique? Il reste impassible, pas surpris pour deux sous, et encore moins inquiet, mais prend tout de même l'extrême mesure de prudence de reculer de deux pas. Son chapeau empêchera ses cheveux de friser, de toute façon.
Le pouvoir qui merde ; si typique de la part de la classe E. Tellement attendu et toujours aussi grotesque. Syndrome de panique ; son petit tour de passe-passe fait flipper leur race aux concernés. Normal, d’un autre côté.

-« Qu'est ce que tu m'as fait?! Monstre, fais moi redevenir comme avant!! »

Trois minuscules secondes, et Alec a détruit la vie de la demoiselle. Il est de plus en plus rapide ; ou sa victime était cette fois-ci d’une médiocrité absolue, la condamnant à une fragilité sans égale. Elle tremble, on dirait qu’elle va se trouver mal ; serait-ce pour autant que le A ressentirait la moindre pitié ? Non. Compassion ? Qu’est-ce que c’est ?

-« Monstre ? Mais choupette, si tu veux m’insulter, fais-le de manière plus recherchée. Ou du moins, plus imagée. C’est pathétique. Un peu d’originalité dans tes propos, bon sang. Mais désolé de te décevoir, ce n’est pas de ma faute si tu es perdue dans ta vie. Avant, maintenant, et demain aussi. Rien n’a changé. »

L’échevelé ne réagit pas, voilà qui est… Vaguement décevant.
Daphné se met entre eux comme apaiser les choses ; c’est à son tour de péter un câble. Electricité statique, il suppose. Des mots qui n’ont plus de sens, une main qui a failli giffler un E innocent (tant est que ces deux mots ne soient pas antithétiques) ; Alec croise les bras tandis que ses lèvres esquissent un sourire compatissant. Il sait à quel point la Banshee est susceptible, et n’a guère envie de s’attirer ses foudres.

-« Hey… »

Alec fusille le mec du regard ; encore un paumé dans sa vie. Un E. Négligé, l’œil terne, le cheveux gras. Beurk. Monsieur Wellsenstein tient la saleté en horreur, la plus profonde d’entre elles. Il le regarde de bas en haut, de haut en bas, sourcil arqué, air encore plus méprisant que d’habitude ; mais si l’autre bégaye, il ne se décourage pas pour autant.

-« Tu… quoi… qu’est-ce que tu leur as fait ? »

Toujours les même questions qui reviennent. Les sempiternelles mêmes questions.
Cafouillage ; les E ne sont même pas capables de s’exprimer. C’est lamentable. LA-MEN-TA-BLE. Même pas la peine de répondre. Le monoclard le fera quand même.

-« Tsh. Moi ? Absolument rien. Je leur ai rappelé le juste ordre des choses, c’est tout. »

Il se redresse de toute sa taille. Ce qui n’est pas peu dire.

-« On vous écrase. Comme des blattes. »

Phrase articulée avec soin; même le plus parfait crétin pourra comprendre son sens, et surtout à quel point Alec était convaincu de la véracité de ce qu'il disait.
Du coin de l’œil, il remarque Meredith qui s’approche. Voila qui doit lui en couter, vu l’aversion qu’elle ressent au contact de la foule ; et il commence effectivement à y avoir du monde sur ce balcon minable.

- « Que se passe-t-il? Pourquoi tant de hurlement? »

Des questions, toujours des questions. Lassant. Malgré tout le respect et l’affection qu’il porte à celle qui a posées les dernières… Alec ne put s’empêcher de soupirer avec lassitude, avant de croiser les bras pour s’accouder à la rambarde, regard ennuyé posé sur l’assistance.

-« Les E sont tout bonnement incapables de garder leur calme plus de dix secondes, voilà ce qu’il se passe. C’est tout de même fort dommage pour eux. »

Claquement de langue hautain en guise de conclusion. Les souvenirs sont libérés, du moins ceux des dix premières années de la vie des concernés. Premiers pas, grand frère, petite soeur, chute dans une mare, l'école, premier amoureux, gentille petite copine, ce genre de choses. Les souvenirs qu'il a volés seront rendus au compte-goutte.

Sadique, monsieur Wellsenstein s'amuse.

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& un poing dans la gue*le, tu le prend comment?

Purée, c'est la guerre !

À en voir les élèves et leurs frictions, une réelle guerre se passait entre les E et les A, normal, étant donné que c'étaient deux opposés. L'enseignante écarquilla les yeux en voyant la jeune fille à la chevelure bouclée qui criait sur Alec, son violoniste le plus doué. Alec n'était entré qu'une seule fois dans sa classe pour lui prouver qu'il était talentueux, mais aussi hautain. Un frisson traversa la colonne de Pearl et elle déposa sa tasse à même le sol pour rejoindre rapidement la scène, claquant ses talons contre le dur plancher.

- Hé ! Pas de bagarre !

Un stresse s'était emparé d'elle alors que ça ne faisait que quelques minutes qu'elle y avait mit les pieds. Elle était vachement douée pour trouver les mines d'or, une façon de parler. Elle reconnaissait faiblement quelques élèves, étant-donné qu'elle n'était pas ici depuis très longtemps. Elle reconnue Austin, Daphné, Meredith, Morgane et Alec.

Elle s'arrêta devant les deux élèves, se positionnant entre Alec et Morgane. La pauvre, elle semblait perdue et perdait de ses couleurs. Des ondes électriques lui fit une plus grand peur, mais elle prit la situation en main, en tant qu'enseignante, elle ne devait en aucun cas démontrer une pointe de peur. La blondinette se rapprocha de Morgane pour tenter de la calmer, mais voilà que Daphné se rapprocha pour remettre une couche de crème sur le gâteau. Oh mon dieu ! Un peu plus et elle giflait Austin. Comment nettoyer une pièce si le désordre se refaisait de lui-même. Elle déposa une main sur l'épaule de Daphné.

- Du calme !

Puis regarda Morgane, qui semblait paniquée. Elle n'en savait que peu de sur ce qui était arrivé, mais apparemment, elle devra punir Alec, vilain canard. Elle relâcha Daphné et regardait Morgane avec la tendresse d'une maman.

- Ça va, tu n'as pas à te faire de soucis, tout va bien.

Elle lui envoya un petit sourire, mais se retourna vers Alec avec un air de furie, le fixant dans le blanc des yeux d'un regard perçant.

- Alec.

L'interpella-t'elle d'un ton autoritaire d'entre ses lèvres pincées. Elle se rapprocha du garçon et lui attrapa la mâchoire entre ses doigts parfaitement vernis. Elle ressemblait beaucoup à un chihuahua qui aboie sur un danois, misère.

- Qu'est-ce que tu lui as fait ? À la place de dire des bêtises sur les E, tu devrais soigner tes erreurs ! Si tu n'arranges pas tout de suite ce que tu as fait à cette demoiselle - car oui je suis sûre que c'est toi -, je te colle à la retenue jeune homme !

Elle fronça les sourcils tout en fixant sévèrement le jeune garçon, comme si elle souhaitait percer son bouclier par le regard et lui ordonner d'une pensée d'aller s'excuser à Morgane. Elle ne se tarda pas sur le sort du garçon et se rapprocha de Daphné.

- Tachez de savoir que la violence n'est pas acceptée ici, que ce soit un accident ou non, contrôler vos gestes jeune demoiselle, la prochaine fois ne sera pas tolérée et une retenue vous attendra, est-ce clair ?

Elle fit le tour des regards en pointant du doigt.

- Et c'est comme ça pour tout le monde !

Elle abaissa ses gardes et s'éloigna, l'air sévère. Le blondinette ramassa son thé et sortit un moment du balcon, voir si les élèves allaient l'écouter, ce qui l'étonnerait, quand même.

Never Utopia

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& un poing dans la gue*le, tu le prend comment?

Chauffé à blanc

Dans ce cas de provocations, on préfère ignorer, l'ignorance est le meilleur des mépris. Malheureusement, quand on perd la mémoire, c'est plutôt difficile de se souvenir de ses principes. L'amnésie de James est plutôt dangereuse sur le coup, le roi lézard se fait jeune lion, il se sent presque poussé des griffes et de la fourrure.

Alors, il s'occupe simplement de transformer vulgairement la bouteille d'alcool qu'il a dans sa main gauche, il est gaucher, et pourtant, c'est plus simple pour lui de maîtriser son pouvoir de la main droite. L'alcool se transforme, quelques bulles se forment, puis plusieurs, c'est comme si le vin rouge commençait à chauffer. Quelques secondes passent, James arrête subitement la transformation, un contrôle vulgaire, mais une provocation qui sera à la hauteur du degré d'alcool.

Il boit une gorgée, une grosse gorgée, qu'il n'avale simplement pas, le vin rouge est devenu trop dégueulasse pour pouvoir le boire, mais au contraire,il n'est pas encore trop dégueulasse pour cracher à la face de l'agresseur. L'alcool s'extirpe de la bouche du jeune lion, pour s'écraser nonchalamment sur la face d'Alec.

- Et toi t'es bon qu'à te faire cracher dessus.

James s'essuie légèrement les lèvres, continuant de regarder dans les yeux celui qui lui a fait quelque chose, impossible de savoir quoi, il ne se souvient même pas avoir vu cette personne dans le pensionnat.

fiche par century sex.

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i know you want it

eh eh eh

Plus de cours, plus de devoirs – tous faits à l'avance, on est A ou on ne l'est pas. Et ça parcourt les couloirs, en quête de trucs à faire ; comme à l'habitude, en somme. Avec un petit plus dans la main – non, Cyr n'est pas un travelo, ou toute autre chose de ce genre. Il s'ennuyait seulement. Puis, c'était tout proche. Et, il s'est dit que les accrocher sur le toit serait fun. Sarah ne lui en voudrait pas...

Bah non.

Cyr, il est loin d'avoir le don de détecter les auras, ces trucs-là. Mais toute cette accumulation d'ondes négative, il la sent bien s'accumuler sur le bal-... Non, en vérité, ce sont les éclats de voix qui l'ont attiré. Avec sa curiosité qu'on lui connaît bien, le bellâtre irakien -autant se lancer des fleurs dans cette situation de lvl -100 ; puis, franchement, on ne pouvait que se vanter avec un physique aussi parfait que le sien. Erm. Bref. Toujours est-il que l'équivalent masculin et brun de Raiponce se retrouvait à lancer un regard sceptique au véritable troupeau qui s'accumulait sur le balcon, faisant tournoyer distraitement les sous-vêtements d'une certaine chouette dans sa main droite.

« Heyy les gens. C'est quoi ces têtes ? » terrain miné. Vraiment, l'ambiance régnant ici bat largement plus le froid que le chaud. « Vous avez vraiment besoin d'un bon joint. Puis, au passage, quelqu'un pour m'aider à accrocher... » triomphant, l'oriental brandit la lingerie intime d'Edwige « … Ceci sur le toit ? »

Cyr Kingston, élève de classe A ; l'un des plus brillants du pensionnat.
L'on n'y croirait pas, n'est-ce pas ?

« Allez, venez on va s'amuser !» il tourne déjà les talons, trottinant gaiement vers le toit – qu'on le suive ou pas... Vraiment, s'en soucie-t-il ? Courir après le peuple, c'est bon pour les chiens en quête de popularité.

RPZ:

Invité**Invité**

❝ Rule number one,

Rule number three, wear your heart on your cheek but never on your sleeve, unless you wanna taste defeat. Rule number four, gotta be looking pure kiss him goodbye at the door, and leave him wanting more, more

L'ambiance n'était plus la même qu'avant. Ils pétaient tous un câble. Il y avait le grand type en costard qui avait fait quelque chose aux nouveaux E. Apparemment, il leur aurait effacé la mémoire. C'était juste ça. Et pourtant, ça n'avait pas l'air de plaire à la petite moutonne noire. Des flaques d'eau se formaient autour d'elle et des éclairs commencèrent à sortir de nul part autour d'elle. C'était quoi son don ? Le mauvais temps ? Bizarre. Elle avait giflé le grand type. Un certain Alec. Une brune s'était levée pour calmer la moutonne, mais ça ne marcha pas. Elle s'était pris une décharge dans la main. Elle gueulait des mots en langue inconnue. Elle a même failli donne une gifle à un E. Elle précisa que le premier qui disait un commentaire allait le regretter. Toi, t'étais là comme une cloche à ne pas comprendre ce qu'il se passait. En même temps, tu comprenais jamais rien, donc bon. Tu n'écoutais pas ce qu'il se passait, ça ne t'intéressait pas du tout. Mais pas du tout. Ils pouvaient te taper dessus, ça te serait bien égal. Et puis là. Cyr arrive. Ohh, enfin quelqu'un d'amusant qui arrive, merci mon dieu. Tu t'approches de lui et tu te met à côté de lui.

▬ Cyyyyyr, c'est tout des malades ici ! Moi je viens avec toi, ce sera mieux.

tag: juliet » notes: retaaard » words: ???

is that you gotta have fun ❞

thanks

Spoiler:

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» moone se prend en main... il serait temps.
» Mais comment qu'on va faire ??!!

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