Sujet: Confessions Intimes PLZ. Ven 13 Sep 2013 - 21:51
Confessions Intimes. PLZ.
Aujourd'hui. Vendredi 13. Présage de malheur. Aight. Toi tu t'en fous et tu proposes à Noah de venir au jardin, peut- être qu'avec un peu de chance il se passera des trucs hors du communs. Genre les fleurs allait se mettre à danser. Peut- être même que la terre allait se mettre à tourner. Ouais tu pars loin comme d'habitude. Bon par-contre tu voudrais pas avoir la poisse. Habillée d'une petite robe simple, embellit par un petit chapeau mettant ta teinture rose en valeurs, tu te dirigea vers le jardin. Tu galères à le trouver, te pommant dans le parc. Les fleurs se ressemblent et sont à la fois différentes.Tu sais pas comment l'expliquer, elles ne t'inspirent pas la même chose. La rose rouge, la passion. La pensée jaune, la gaieté. Chacune d'elles à une âmes différentes. Et toi tu te fais guider par ses fleurs et leurs doux parfum. Tu aperçois au loin un petit pont. Souvenir douloureux. Ouais t'as glissé dessus et t'es tombée comme une merde dans l'eau et t'as du allé à l'infirmerie et t'as fait la connaissance d'un con. Y'a pas d'autre mot je crois. Bref, il débouchait sur le jardin. Un jardin fleurit. Encore plus beau que le parc. Un air de pique nique entouré d'arbre s'y trônait. C'est endroit est calme. On y respire l'air frais. Seul le bruit des oiseaux et d'une légère brise de vent se fait entendre. C'est apaisant. Tu t'aventures dans cet endroit magique, cherchant Noah. Parce que oui, tu t'étais encore une fois paumée, donc t'étais pas encore à l'heure, donc il devait t'attendre. Donc tu t'es mise à zieuter partout à la recherche de sa petite tête châtain. Tu le vois pas très loin de toi, devant une fontaine. La fontaine aux souvenirs. La fontaines où tu peux retrouver la mémoire. La fontaine qui peut te faire autant de bien que de mal. Ouais, elle est mystique celle là. Elle et ses jet de toute les couleurs. C'est ça Prismver. Un établissement au recoin les plus surprenants les uns aux autres. Tu t'approchas de lui à pas de loup. Et tu lui sautas dessus, t'agrippant délicatement à son cou. Il était tellement plus grand que toi que tu ne touchais plus le sol. T'étais fière de ton cou là. Prenant une voix de rauque.
- Devine qui ... Tu pouffas de rire. Non pas possible de faire genre je suis un homme. Tu vas bien mon grand ?
Vendredi treize. Probablement la journée dont les superstitieux ont le plus la trouille. Même les chats noirs lui arrivent pas à la cheville, à ce fameux jour. En cette journée de malchance pourtant très ensoleillé, Lottie m'avait proposé une balade au jardin et moi, comme bon homme que je suis, avait décidé d'y rajouter un pique-nique complet à l'improviste, en espérant qu'elle n'ait pas mangé avant notre petite escapade au pseudo parc. Je m'étais donc pointé à l'heure de rendez-vous à la fontaine aux souvenirs, accompagné de mon panier tresser en osier avec une nappe blanche carroté de rouge sur le dessus, comme le chaperon-rouge. Très gay et romantique, je sais, mais c'est tout ce que j'avais trouvé pour traîner mon pack-sac de nourriture. J'étais donc arrivé à la fontaine alors que Lottie, elle, était en retard. Comme toujours, elle fixait un rendez-vous mais n'y était que rarement à l'heure. Ensuite, je me mis à penser à une question existentielle ;
« Pourquoi cette putain de fontaine s'appelle comme ça ? Elle sert à rien, d'abord. Excepté à pisser de l'eau de tous les côtés, elle fait rien par rapport aux souvenirs, cette décoration. »
Je secouai donc ma tête, essayant de me débarrasser de cette question totalement débile et inutile. Lottie n'allait pas tarder à arriver, si . Je me retournai donc de l'autre côté, perdant le pont de vue, en espérant la voir arriver du côté du jardin auquel je faisais face présentement. Avait-elle oublié ? M'avait-elle poser un lapin ? J'en doutais fort, ce n'était pas le genre de Lottie. C'est alors que je sentis deux bras s'accrocher à mon cou avant de sentir un poids se dresser en arrière de mon dos. Elle était finalement arrivé à destination.
« Devine qui ..., me dit-elle d'une voix rauque avant d'arrêter sèchement sa phrase. Elle éclata ensuite de rire, complètement amusée. Non pas possible de faire genre je suis un homme. Tu vas bien mon grand ? »
J'esquissai un sourire au coin de mes lèvres et hésitai ma réponse quelques secondes. Une agréable odeur de plat fraîchement cuisiné se dégageait du panier en osier dont elle n'avait pas encore remarqué la présence. Je me retournai ensuite vers elle, lui renvoyant sa question.
« Très bien. C'est une journée magnifique pour un vendredi treize, dis-je sur le ton de la rigolade.
Random fact, what else ? | H.R.P
Je pense que ma réponse est potable. J'espère que tu trouveras l'inspiration pour une éventuel réponse.❞
Tu le regardes, il esquisse un petit sourire. Une odeur alléchante te viens aux narines. Tu regardes à un peu partout en pensant manger manger manger. En plus là, c'était pas du fast food, c'était la cuisine de Noah quoi. The chef. Tu vois le panier en osier et tu regardes Noah avec de grand yeux.
- Tu sais que t'es un amour !
Tu sors tout d'abord la nappe, genre avec les même motifs que le saucisson sec cochonou. Non en réalité ça s’appelle une nappe imprimée vichy. Tu la déposes délicatement sur l'herbe. Tu sors tout les ustensiles que vous aviez besoin. Noah avait pensé à toi pour la nourriture et le fait que rien ne soit dépariés. C'était vraiment un ange. Une fois, que tout était parfaitement mis à disposition. Tu invitas Noah à s’asseoir. Lui montrant la petite table simplette que tu avais faite tout sourire.
- Tu nous a préparé quoi de bon à manger ? Fis- tu, les yeux pleins d'étoiles. Faudrait vraiment qu'un jour, tu m’apprennes à cuisiner...
Vous aviez déjà essayer, mais vous aviez plus fait une bataille de nourriture qu'autre chose. En plus le si peu que t'avais fait, c'était à vomir. Pauvre Lottie. T'es pas faite pour la cuisine c'est tout. Soupirant, tu regardas le ciel. Aucun nuage. Des petits oiseaux par ci par là. Le soleil éblouissant.
À peine eus-je le temps d'humer l'odeur de ma cuisine qu'elle aussi, l'avait remarqué. Elle s'attarda sur mon magnifique panier gay et le déballa en vitesse, de manière à commencer à dresser la pseudo table. Je l'observais aller, impressionné par son évidente faim gastronomique. Pendant un moment, j'ai même crû entendre un son de baleine agonisante échouée sur le bord de la plage, réclamant la mer. À la penser d'une telle idiotie, je secouai ma tête pour la deuxième fois de la journée puis posèrent mes yeux de nouveau sur l'énergie débordante de Lottie. Notre pique-nique était totalement près à être utilisé. Un peu plus tôt, alors que j'hallucinais les cris de la baleine, j'avais cru entendre mon amie me dire que « J'étais un amour ». Repensé à la phrase fis agrandir mon sourire, amusé. Le jardin était vide pour un bon moment, les E étant certainement aux ruines et les plus haut gradés en classe. Des arbres se levaient des piaillements d'oiseaux et un doux chant d'inconnu, ressemblant à des paroles espagnoles. Du jardin se distinguait également un son apaisant d'eau, cascadant fraîchement sur plusieurs étages de béton que contenait la fontaine. Le vent soufflait entre les feuilles des arbres et de l'herbe, rajoutant un son de frottement naturel et calme. La journée était tout simplement parfaite pour ce genre d'activité.
« Tu nous as préparé quoi de bon à manger ? dit-elle, visiblement impatiente. Faudrait vraiment qu'un jour, tu m’apprennes à cuisiner... »
Cette remarque me fis rire discrètement. Je positionnai ma main devant ma bouche, tentant vainement d'étouffer mon rire indiscret. Nous n'entendîmes qu'un vulgaire " pff " accompagné de mes yeux clos. Je passai ensuite cette même main dans mes cheveux, révélant quelques secondes mon front bronzé avant de farfouiller dans le panier. Les rayons du soleil frappaient chaudement mon visage et mes yeux, faisant luire ceux-ci d'un vert encore plus éclatant. En cette agréable journée, j'étais vêtu d'une chemise blanche, manche retrousser élégamment vers les coudes. Je m'étais également habillé d'un pantalon noir plutôt slim et charmant au niveau du bas du mollet. Mon pantalon était un peu baissé, dans le style Baggy, mais restait tout de même un accoutrement plutôt chic. La chemise étant plutôt longue, on ne voyait que très peu mes caleçons noirs qui se révélaient à cause du pantalon. Mes pieds, armés de soulier Vans noirs à lacet blanc avec de court bas noir me portaient une fois de plus toute la journée. Je sortis donc plusieurs mets différents, entreprenant de les présenter à Lottie.
« J'ai de la salade de pâtes ici, une autre aux pommes de terre là et un cheesecake avec coulis de fraise juste ici. Aussi, j'ai amené des fraises avec de la crème chantilly et de la fondu au chocolat pour trempée celle-ci si tu veux. Il y aussi des sandwichs, tout simplement. Je ne savais pas si tu aimais les tomates ou non, donc comme je ne les aimes pas, je n'en ai pas mis. Ça te dérange ? lui demandais-je, priant qu'elle ne se plaigne pas de l'hésitation par rapport aux fameux fruit rouge. »
Random fact, what else ? | H.R.P
Je dois dire être assez fier de cette réponse, en espérant qu'elle te plaise.❞
Il pouffe un rire à l'entente de tes paroles. Toi, tu lui tires la langue. Bah ouais nan mais oh. Bon ok. C'est strictement rien. T'aurais pu boudé, te mettre à chialer, le taper sans lui faire de mal car tu n'as strictement pas de force. On pourrait comparer tes bras à des haricots vers. Fins et sans aucune force. Mais non, toi, t'es tellement de bonne humeur que tu ne fis rien de ça. T'étais si contente de passer une journée avec lui, avec ce soleil brillant, ces petits papillons jaunes, verts, bleus. T'étais limite au paradis là. Tu remarquas ses vêtements. CLASSIEUX. Et toi tu ressemblais plus à l'une des petites filles dans la petite maison dans la prairie. Dans ta tête, c'est facepalm. Extérieurement, c'est sourire. De toute façon. Toi tu souriras jusqu'à en perdre la vie. Il commença à te déballer TOUT ce qu'il avait fait. Tu bavais déjà. En admiration total. Des fraises. OMG, des fraises et de la chantilly. C'est un dieu ma parole.
- Je ne savais pas si tu aimais les tomates ou non, donc comme je ne les aimes pas, je n'en ai pas mis. Ça te dérange ?
Tu restes coi. Attendez, il fait des plats à en baver et te demande si ça te dérange de pas avoir des misérables tomates. Noah. Noah. T'es bien trop gentil.
- Bien évidemment que non imbécile.
Ça va de soit. Déjà que t'es pas quelqu'un de difficile alors tu vas pas pété un câble pour ces petits fruits rouges. Tu t'assoies parterre, enfin t'écrase sur le sol en mode patapouf. C'est que t'es exténuée, t'as cherché pendant longtemps cet endroit au beau paysage. Et en plus là t'as faim. Alors tu commences à manger avec des petites étoiles dans les yeux. It's délicious. Une goinfre. Une grosse bouffe.
- C'EST TROP BON.
Bien évidemment, tu gardais le dessert pour plus tard. Les desserts c'est la vie pour toi. Ça se déguste. Et puis avec de la chantilly tu peux faire pleins de choses. Des idées machiavéliques se cognaient dans ta tête. Supervisant tes plans diaboliques tu attendais Noah qu'il ai finit de manger. Autant que toi tu manges en deux deux autant que lui prends bien son temps.
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Sujet: Re: Confessions Intimes PLZ. Mar 8 Oct 2013 - 2:44
❝ Confessions intimes plz (Feat Lottie)
Bitch plz j'ai encore mangé quelque chose.
« Bien évidemment que non imbécile. »
Soupire de soulagement. Ô mon Dieu que j'avais eu peur. Je ne supportais pas de faire des erreurs lors de ma cuisine, et étais donc extrêmement rassuré que Lottie ne sois pas un minimum vexé par cette histoire de tomate. Je laissais ma main calmement se déposer sur mon coeur et souffla un bon coup avant d'entendre Lottie s'étaler bruyamment sur la couverture, qui s'apprêtait déjà à déguster avec admiration ma préparation. Je m'assis donc à mon tour, mine de rien, face à elle et commençai à mon tour à manger. Contrairement à elle, je n'avais plus très faim et mangeais donc lentement mes aliments tandis que celle-ci les croquaient à pleines dents. De toute façon, j'étais démoralisé plus que d'autre chose ces temps-ci, mais je m'interdis de le faire paraître et réaffichais mon sourire à Lottie après avoir fixé mon sandwich quelques minutes avec dégoût.
« C'est trop bon ! s'exclama-t-elle. - Content que ça te plaise, lui répondis-je semi-enjoué. »
Sans trop m'en rendre compte, je retombais donc dans un autre monde, les yeux rivés sur la nappe. D'un regard vide, sans émotion, je pensais à tout à rien jusqu'à ce que je m'en rendit compte, et lui souriait inconsciemment avant de prendre de nouveau une bouchée de mon sandwich.
« Je vais préparer la fondue de chocolat. C'est plutôt long à faire fondre de toute manière. »
Je présentais le matériel à ma chère amie et le déposai au centre du pique-nique avant d'y ajouter la gigantesque tablette de chocolat tout en allumant le feu. Je laissais nos deux ustensiles à l'extérieur de celui-ci et retournai à mon sandwich. Ma bouche souriait innocemment à Lottie, mais ce n'était pas le cas de mes yeux. J'étais beaucoup trop agité mentalement aujourd'hui et je devais focuser sur le positif, sinon comment passer un bel après-midi en sa compagnie ?
Random fact, what else ? | H.R.P
C'est court désolé. ❞
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Sujet: Re: Confessions Intimes PLZ. Jeu 10 Oct 2013 - 20:17
Confessions Intimes. PLZ.
Tu le regardes par moment. Il paraît absent. Qu'a t- il ? Il t'affiche de faux sourire. Tu n'aimes pas ça, mais tu te dis que tu fais pareille. Il ne mange quasi rien. Il t'inquiète, mais tu ne montres rien et continue de manger. Que faire ? Faire comme si de rien n'était et essayer de profiter ? Ou lui demander ce qui ne va pas pour qu'il soit mieux ? Tu ferais tout pour ce pervers. Tout. C'est une partie de toi. C'est ton répertoire à secret. Ça pourrais être le narrateur de ta vie.
- Je vais préparer la fondue de chocolat. C'est plutôt long à faire fondre de toute manière.
Tu bavais en voyant la tablette de chocolat. Tu secoua la tête. Atteignis le feu. Tu regardas dans les yeux ton ami, ton confident. Tu pouvais lire dans ses yeux de la tristesse comme si il était perdu. Tu baissas les yeux quelques secondes. Tu te déplaça jusqu'à lui. Tu t'allongeas parterre, regardant le ciel qui éclaircit le monde. Les nuages sur lesquels l'imagination s'évade. Le soleil qui réchauffe les cœurs.
- à quoi tu penses lorsque tu regardes ces nuages ?
Cette question peut paraître troublante ? Quel rapport avec ce que tu entendre ? Hum, et bien. Lorsque l'on regarde les nuages, tu t'évades. Tu penses à tout et à rien. Tu penses à la première chose qui te tracasse. À la première chose qui te traverse l'esprit. Alors toi. À quoi tu penses ? Tu penses à ton passé. Au bon moment passés avec ton frère. À qu'elle point ça te manque. Alors oui ça te fais mal au cœur de repenser à ça. Ça te donne des nausées et pourquoi ? Pourquoi alors que ce sont des bons souvenirs ? Parce qu'ils sont PASSÉS. Mais tu te dis qu'il faut vivre. Vivre jusqu'à en mourir. Sourire et pas se prendre la tête pour des balivernes. Arrêtez de ce poser des questions sans réponse. Tu sors alors de ton petit sac en toile, style ethnique. Un joint. Pour changer. Rien de mieux avec ça pour pouvoir oublier. Du moins pour toi. Ça te détend. Ça te fait réfléchir. Ça t'aide ? Non ça t’enfonces dans ce business illégal mais tu t'en fous. On a qu'une seule vie.
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Sujet: Re: Confessions Intimes PLZ. Sam 12 Oct 2013 - 23:59
❝ Confessions intimes plz (feat lottie)
bitch plz j'ai encore manger quelque chose.
Elle laissait, une fois de plus sa salive pendre à sa bouche à la vue de l'immense tablette que je laissais sans souciance tombé dans le matériel à fondre. Enfin, ce n'était pas littéralement parlant, mais une expression lorsqu'elle aperçut le délicieux chocolat sortir de son enveloppe. J'esquissai un sourire amusé à son égard et, une fois de plus, m'attardai à mon sandwich. L'appétit me prenait peu à peu grâce à Lottie. Non qu'elle me donne faim, mais plutôt qu'elle me remonte le moral. Lorsqu'elle eut fini de déguster son banal sandwich, celle-ci entrepris de me rejoindre et s'étala à mes côtés, fixant le ciel d'azur d'un air penseur.
« À quoi tu penses lorsque tu regardes ces nuages ? »
Pour être franc, je ne voyais pas où mon amie cherchait à en venir. Des nuages... n'étaient que de simples nuages après tout, n'est-ce pas ? Lottie avait-elle une quelconque fixation sur les nuages, ou n'était-ce qu'une question aussi random sois-t-elle ? Du coin de l'oeil, je put l'observer sortir un de ses joint favoris, toujours aussi fidèle à elle-même. Combien de fois, dans mon entière vie, l'avais-je prévenu qu'elle risquait de laisser plusieurs jours devant elle à cause d'un simple cylindre garni d'une plante malsaine ? Cette tête dure semblait renier mes avertissements et, sans aucun doute, ne pas se préoccuper de mon attention envers elle. Eh bien, que pouvais-je réellement faire à cela ?
« Demain, je vais aller m'acheter un joli habit noir pour tes funérailles, lui lançais-je sur le ton de la rigolade, lui faisant subtilement passé mon message à propos du déchet qu'elle s'apprêtait futurement à porter à sa bouche. »
Je m'étendis, à mon tour, à ses côtés de manière à l'imiter. Je ne comprenais toujours pas où elle voulait en venir.
« Je ne comprends pas ce que tu essayes de me dire, Lottie. Ce ne sont que de banaux nuages, ils n'ont rien d'extraordinaires. »
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C'est court et j'ai pris quelques jours à répondre. Pardon. ❞
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Sujet: Re: Confessions Intimes PLZ. Dim 20 Oct 2013 - 14:03
Confessions Intimes. PLZ.
Tu attends sa réponse patiemment. N'aurait- il pas compris où tu voulais en venir ? Ça ne t’étonnerait pas. Peu de personne comprennent tes questions, bizarres ? Quoi qu'il en soit, tu le laisse cogiter et toi tu fumes. Pour changer, tu sais que ça l'agace mais tu t'en fiches. Tu fais ce que tu veux, tu es libre comme l'air et tu sais qu'il ne te lâchera jamais pour si peu. T'as déjà pensé à arrêter, mais non. Ça te permet d'oublier. Ça te permet de vivre et d’avancer. Enfin, c'est ce que tu te dis. En réalité, ça te fais stagner. Tu t'inventes une vie parfaite et un jour tu croiras que cette vie inventée sera la tienne et tu ne pourras jamais t'en échapper. Mais tu vis. Tu ries. Tu t'amuses. Tu ne te prends pas la tête.
- Demain, je vais aller m'acheter un joli habit noir pour tes funérailles. me dit- il sur le ton de la rigolade.
Tu souris et lui donne une petite tape amicale sur la tête. Il s'étend à son tour à coté de toi. L'herbe fine vous caresse. Tu inspires et soupires. Sentir l'air frais te pose. Tu es si bien. T'es yeux sont dès à présent mis clos. La plante paradisiaque commence à faire effet. Tout tourne. Tu as l'impression de t’enfoncer dans la terre. Sa voix résonne dans ta tête. Réponds Lottie. Décortiques sa phrase mot par mot.
- Je ne comprends pas ce que tu essayes de me dire, Lottie. Ce ne sont que de banaux nuages, ils n'ont rien d'extraordinaires.
Tu le fixes. Plonges dans ses yeux noisettes. Comprends moi Noah, j'ai la flemme de parler. Après quelques instants de calme. Tu réponds d'une voix basse, douce.
- Qui y- a t-il Noah ?
Tu ne réponds même pas à sa question et préfère en débuter une autre en y allant franco. Tout est si confus dans ta tête. Tu ne comprends rien. Tu veux te lever mais tes jambes ne bougent pas d'un poil. Tu veux tourner sur toi même. Rien , tu restes livide tel un zombie allongé sur le sol. Tu sais pourquoi tu aimes être dans cet état ? Parce que tu ne te contrôles pas. Tu ne contrôles pas tes paroles. Ta petite voix peut te dire de ne pas dire ça toi tu le diras car c'est un besoin. T'as besoin de te confier et tu y arrives pas tant que tu n'es pas dans ton monde.
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Sujet: Re: Confessions Intimes PLZ. Dim 10 Nov 2013 - 0:26
❝ Confessions intimes plz (feat Lottie)
Bitch plz j'ai encore manger quelque chose
Aujourd'hui la jeune femme ne se prenait pas vraiment la tête. Elle disait ce qu'elle pensait sans vraiment ce soucier de ses paroles ou de ses réactions. Elle ne passait pas par dix mille chemins avant de dire ce qui la tracassait ou la question qu'elle voulait poser. Non, rien de tout ça. Ce soir on faisait quelque chose de simple, une soirée simple, des mots simples et on allait profiter de ce moment de plénitude et d'harmonie pour vider notre sac. Du moins, c'est l'impression que j'avais lorsqu'elle m'avait demandé ce qui n'allait pas. Décidément, Lottie devinait tout de moi. Elle savait quand j'allais mal, quand j'étais tracassé ou autre chose et elle était toujours disponible pour m'écouter parler de mes petits problèmes banals de la vie de tous les jours. Cette fille est formidable. Je soupirais donc discrètement avant de passer ma main dans mes cheveux et de la regarder.
« Beaucoup de choses idiotes que j'ai faite ces derniers temps. J'arrête pas d'y repenser, mais normalement je suis insouciant à propos de ce genre de geste. Mais cette fois-ci, ils me quittent pas. Ça me travaille. »
J'adore Lottie. Autant car elle ne juge pas que parce qu'elle écoute. Autant parce qu'elle aussi, elle se confie à moi autant que je me confie à elle. Passez du temps avec elle est un privilège pour moi, car c'est une occasion de tout avouez sans être jugé. Elle garde tous mes dires comme étant des secrets et je j'ai décidé de faire pareil avec elle. Lottie est tout simplement une personne très agréable à côtoyer. Elle est d'une confiance insoupçonnable et j'ai appris à l'apprécier plus que n'importe qui avec le temps. Me défaire de sa compagnie pour une semaine serait un terrible supplice.
« Et toi ? N'as tu rien à me dire ? »
Lottie a toujours quelque chose à raconter. Du moins, elle avait. On verra bien si aujourd'hui , il fait exception à la règle.
Random fact, what else ? | H.R.P
J'ai mis un énorme délais de temps à répondre, pardon. ❞
Il soupire discrètement avant de passer une main dans ses cheveux alors que tu le regardes pour le mettre en confiance. Je suis là Noah, ne l'oublie pas. Noah, c'est un être important pour toi, Tu lui dis tout. Il ne te juge pas et tu fais de même. C'est comme ton journal intime. Un petit bijoux que tu chérie, une partie de ta vie. Alors quand il va mal, tu es là. Tu l'écoutes, tu le conseilles et fait en sorte qu'il aille mieux.
- Beaucoup de choses idiotes que j'ai faite ces derniers temps. J'arrête pas d'y repenser, mais normalement je suis insouciant à propos de ce genre de geste. Mais cette fois-ci, ils me quittent pas. Ça me travaille.
Tu acquiesces, réfléchissant avant de lui demander de quoi il parle. Robbie ? Ouais sûrement Robbie. Tu aimerais tellement lire en lui, savoir sans qu'il te dise ce qui ne va pas, ça lui éviterais d'avoir mal lorsqu'il en parle.
- Racontes- moi tout. Dis moi ce qu'il te travail. Robbie peut- être ? Ou chez pas ? Quoi qu'il en soit Noah, y'aura toujours des problèmes. Des choix à faire, parce que sinon ta vie ce serait de la merde. T'imagines toi avoir une vie sans soucis, sans anxiété ? Sérieusement, je m’ennuierais. Tout ces petits problèmes nous construisent, nous forgent. Le mieux c'est de les affronter.
Tu lui souries et pourtant tu fais exactement l'inverse. Les problèmes toi tu ne les affrontes pas, tu les fuies et de ces faits t'es devenue insomniaques parce que tes souvenirs t’assaillissent, tes démons te hantent. Tu n'arrives plus à dormir, t'es obligée de te rouler un oinj à chaque fois pour trouver la paix ou encore t'assommer au somnifère. Et pourtant toi t'es toujours là pour les autres, le sourire aux lèvres à leurs dire d’avancer alors que t'es la première à stagner.
- Et toi ? N'as tu rien à me dire ?
Cœur qui bat. Même si c'était Noah, même si tu lui faisais entièrement confiance. Une petite voix t'interdisait de répondre à cette question. Tu la combattais et ça depuis très longtemps. Trop longtemps. T'avais besoin d'évacuer, sinon tu allais finir par sombrer. C'est alors avec hésitation que tu montras à l'aide de ton doigt le ciel.
- Je me suis toujours demandée où il était, tu penses que si je suivrais les étoiles une nuit, elles me conduiraient à lui ? après quelques instant tu repris.[color=#FF3A5E] Je suis vraiment conne dès fois ! Sinon, j'ai nettoyer les couloirs de Prismver, c'était marrant !
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Sujet: Re: Confessions Intimes PLZ. Mer 13 Nov 2013 - 1:37
❝ Confessions intimes plz (feat lottie)
Bitch plz j'ai encore mangé quelque chose
Soupire. J'étais son confident, disait-elle, celle à qui elle "' pouvait tout raconter ''. Pourquoi avais-je donc quand même l'impression qu'elle refusait de m'avouer quelque chose ? De dire ce qu'elle voulait réellement ? Lottie avait beau être une femme forte, elle ne laissait jamais vraiment paraître ses émotions ou sentiment face au public. Pour ça je l'admirais mais je la détestais aussi ; ne pas vouloir inquiéter les gens était une belle qualité, mais c'était haïssable de la voir autant se mentir à elle-même en restant joyeuse, avec un masque complètement factice. Être résistante est certes, également un avantage mais mentir à tout le monde et à ses amis n'était pas quelque chose que je jugeais de remarquable envers elle.
« Lottie, ce n'est pas vraiment le moment pour jouer la comédie. Tu sais qu'à cette heure il n'y a et n'y auras que nous. Tu peux dire ce que tu veux. Rappelles-toi, je ne fais qu'écouter. »
J'aurais juste le goût de lui dire que personne n'est parfait et qu'elle ne pouvait pas faire semblant de l'être aussi, toujours souriante et occuper à faire sourire les autres. Ouais, c'est ça. À force de se taire, de jouer l'être synthétique, elle allait causer sa propre perte. J'étais désolé de la voir dans une attitude si pathétique quelquefois. Elle se force tellement pour la survivre des autres qu'elle ne pense même plus à la sienne. Devrait-ce être de l'admiration ou de la haine ? Ses anciennes paroles commencèrent graduellement à hanter mon esprit, un torrent de larmes invisibles et de mots tout aussi philosophiques les uns que les autres se forma dans ma tête. Mes mains se posèrent sur les côtés de ma tête et celle-ci secouait légèrement de droite à gauche.
« Alors parles-moi en. On reviendra à moi plus tard. Qu'est-ce qui a été si terrible ? enchaînais-je. »
Quelquefois, j'aimerais que Lottie se mettes moins sur ses gardes et un peu plus vulnérable. Cela lui ferait du bien autant pour moi que pour elle, de tenter de se détendre.
Random fact, what else ? | H.R.P
Bof bof. ❞
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Sujet: Re: Confessions Intimes PLZ. Mer 13 Nov 2013 - 21:56
Confessions Intimes. PLZ.
Il soupire. Tu baisses la tête. Tu sais que tu l'as blessé en changeant complètement de sujet, puisque c'est censé être ton confident, celui à qui tu dis tout sans aucune pudeur. Mais... Mais tu n'aimes pas ça. Tu as l'impression d’être un fardeau qui se plaint tout le temps et toi, tu veux être forte et pour ça tu gardes tout pour toi. Mais, c'est faux. On est pas fort si on ferme notre gueule. On est fort si on affronte nos problèmes et toi tu les enfoncent bien profondément dans ta petite tête.
- Lottie, ce n'est pas vraiment le moment pour jouer la comédie. Tu sais qu'à cette heure il n'y a et n'y auras que nous. Tu peux dire ce que tu veux. Rappelles-toi, je ne fais qu'écouter.
Tu le regardes en écarquillant les yeux. C'est vrai ? Tu peux dire tout ce que tu as envie. Tu peux crier que tu te hais, que tu hais cette vie. Ce passé qui te ronge. Ton corps tout entier se crispe. Rien que de repenser à tout ces souvenirs ça te brisent la tête.
- Alors parles-moi en. On reviendra à moi plus tard. Qu'est-ce qui a été si terrible ?
Il pose alors ses mains aux extrémités de sa tête, secouant légèrement la tête. Tu t'approches alors discrètement et enlève ses mains avec douceur, avant de les serrer délicatement. Plongeant, ton regard dans le sien, tu souris faiblement avant d'aller te blottir dans ses bras. à ce moment là, t'avais besoin de ses bras. T'avais besoin de le sentir près de toi. Penser, que si tu tombes, il sera la pour te rattraper et que si tu pleures, il sera là pour essuyer tes larmes. Prenant une grande inspiration tu te lanças.
- Je n'ai jamais connu mon père. Il est parti quand j'ai su que j'allais naître. -Ta voix se brise- Et... C'est de ma faute comme dirait ma mère. Je ne l'ai pas connu, pourtant ça me fait comme un vide. Il me manque même si au fond je le hais d'avoir fuis son devoir de père.
Tu aurais pu en déballer plus, mais chaque chose en heure et déjà ce que tu as raconter, c'était trop. Alors, tu plonges ton visage dans le cou de Noah, tu ne voulais pas qu'il te voit si triste. Et encore moins voir tes larmes perler le long de tes joues rosies. Et putain, ça te fait du bien de parler, tu veux pas te l'avouer mais c'est comme une délivrance.
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Sujet: Re: Confessions Intimes PLZ. Dim 24 Nov 2013 - 4:11
❝ Confessions intimes plz (Feat Lottie)
bitch plz j'ai encore mangé quelque chose
Elle se blottissait soudainement dans mes bras en enfouissant son nez dans mon cou. Elle semblait si malheureuse, si triste, mais personne n'agissait vraiment ou le remarquait. Excepté moi, par chance. Je ne sais pas ce qu'elle serait aujourd'hui si elle n'avait personne pour se confier et pour qui pleurer dans ses bras. Pour Lottie, cependant, j'allais toujours être là. Mes doigts se perdaient au travers de ses longs cheveux et je lui embrassaient quelquefois la tête en lui murmurant que tout allait bien et que ce n'était aucunement de sa faute. Je tentais de la consoler. Voir quelqu'un en si piteux états m'affectait vraiment, encore plus quand il s'agissait d'elle. Je l'entourais de mes bras toujours en susurrant des mots rassurant alors qu'elle se laissait aller et pleurer sur mon épaule. Je la gardais là, sans rien dire. Je la laissais décompresser, se vider un peu pour finalement recommencer sa mascarade d'ici quelques heures. Les étudiants ne semblaient pas comprendre que Lottie était humaine également, qu'elle avait des sentiments et une histoire à conter. Ils ne comprenaient pas non plus qu'un jour, ces personnes qui avaient tant de chose à dire disparaîtront à leur tour. Il faut ouvrir les yeux, mais il semble que ce n'ait pas tout le monde qui osent regarder la vérité en face. Je continuais donc de la caresser en silence sans dire un mot. On avait bien du temps devant nous avant de devoir cesser notre accolade, après tout. Je préférais en profiter tant que j'en avais encore l'opportunité.
« C'est tout ce que tu as à dire ? Je suis certain que tu peux faire encore mieux. »
J'avais l'impression d'être comme un père qui parlait à son enfant. Enfin, comme le père que j'aurais voulu, sans doute. Ce que j'aurais voulu qu'il me dise.
J'espère au moins que Lottie comprenait que si je lui parlais comme cela, c'était par simple inquiétude et non par moquerie.
Ses doigts se perdant dans tes longs cheveux blanc, te susurrant à l’oreille des mots réconfortant. Tu pleurais toujours et encore, parfois tu le serrais un peu plus fort, t’accrochant même par moment à son t shirt. Noah c’était l’ange tombé du ciel, c’était les rôles qui s’inversaient juste un instant. C’était ta perle rare, ton confident. Il t’apaisait avec ses petits baisers sur le front. Il atténuait tes souffrances. Tes cries intérieurs. Tu n’en pouvais plus. Toujours afficher ce sourire, cette gaieté c’était fatiguant. Même si ça te rendait vivante, ça te faisait penser à autre chose, c’était pas totalement toi. C’était un masque. Un masque si bien fait que tout le monde n'y voyait que du feu. À part quelques- uns. Comme lui.
"C'est tout ce que tu as à dire ? Je suis certain que tu peux faire encore mieux."
Ton cœur fait un raté. Non, tu peux pas. C’est trop tôt. Ouais, t’as dit trop de chose là. Tellement que tu t’en mords les lèvres. Tellement que tu quittes les bras de Noah en le remerciant par un baiser sur le front. Et tu lui souris. Pourquoi tu fais ça ? Tu sais très bien qu’il croit pas à ton sourire. Lui il voit dans quel état tu es, et tu crois qu’il va gober ça ? Non, c’est une habitude. Cette habitude de dire à chaque fois que l’on te pose la question si ça va, de répondre oui avec ce sourire qui illumine les vies.
Et ton visage sombre. Tu te recroqueville sur toi- même. Enfouissant ta tête entre tes genoux. Tout se chamboule dans ta tête. Des souvenirs refont surfaces. Tu ne veux pas. Tu les rejettes. Tu ne veux plus souffrir. Tu ne veux pas les revivre. Tu souffles. Encore et encore. Prends mécaniquement un de tes bédo et le porte à tes lèvres. Tu respires maintenant. Tu décontractes petit à petit à chaque bouffée. Et tu t’écroules sur l’herbe fine.
“Merci Noah, mais je… Je peux pas. J’ai l’impression de passer pour une faible. Et je peux pas, parce qu’au fond je l’accepte pas. J’accepte pas qu’elle est rejoint les cieux. Je préfère me dire qu’elle est encore là. Près de moi, à me protéger. C’est mieux non ? Faut positiver. C’est ce que j’essaye de faire. Et je pense qu’en reparler ça ne fera que m’attrister.” Fis- tu, pensive, fuyant son regard.
Et c’est vrai. T’essayes de t’en sortir. Tout les jours tu te bas pour ça. Mais ce que tu n’as pas compris, c’est que seule tu n’y arriveras pas.
“Et toi qu’as - tu à me raconter ? Je veux t'aider comme toi tu le fais pour moi.” Dis- tu avec un sourire simple. Un vrai. Celui qui réconforte, celui qui met en confiance. Parce qu'après ton but dans la vie, c'est de rendre heureux les gens.