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 T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !

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InvitéInvité
MessageSujet: T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !    T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !  1400359500-clockMer 25 Juin 2014 - 22:07





Alfie Isidora Harley


Eh les gars, j'ai encore envie d'faire pipi !  


Identité


Prénom(s) : Alfie Isidora
Nom : Harley
Date de naissance : Le 5 juilleeeeet
Âge : 19 aaaaans (bientôt 20, hein !)  
Année : 8 ème année
Maquée? : P'tain qu'nan !  
Orientation sexuelle : Je n'aime les filles et je n'aime les garçons. Je n'aime TOUT LE MONDE !  
Classe : C sans cédille
Avatar : Original Character fait maison + Isla Fisher IRL




Dans ta tête (Ptass)


Décrivez votre personnages en quelques lignes, son caractère, au minimum 5 qualités et 5 défauts, développez pour que le curseur soit utilisé. Décrivez votre personnages en quelques lignes, son caractère, au minimum 5 qualités et 5 défauts, développez pour que le curseur soit utilisé. Décrivez votre personnages en quelques lignes, son caractère, au minimum 5 qualités et 5 défauts, développez pour que le curseur soit utilisé. Décrivez votre personnages en quelques lignes, son caractère, au minimum 5 qualités et 5 défauts, développez pour que le curseur soit utilisé. Décrivez votre personnages en quelques lignes, son caractère, au minimum 5 qualités et 5 défauts, développez pour que le curseur soit utilisé. Décrivez votre personnages en quelques lignes, son caractère, au minimum 5 qualités et 5 défauts, développez pour que le curseur soit utilisé.

Ton corps, ton temple


 Tu ne corresponds à aucun canon de beauté : ni à ceux des magazines modernes, ni à ceux des cabarets des années 20, ni aux statues grecques. Ton physique n’a rien du temple des clichés de la beauté. Peu de garçons en viendraient à te décrire en pensant à leur idéal féminin. Pourtant, tu es belle, hein. Tu as du charme à revendre, une aura qui pince un peu le cœur et une attitude qui lui fait louper un battement.

 Pourtant, tu n’en imposes pas des tonnes : mesurant une taille moyenne, dans les mètre soixante-cinq, tes jambes semblent bien petites par rapport au haut de ton corps. Oui, tu es courte sur pattes, et tu n’as pas non plus les mensurations idéales. Gourmande à tes temps perdus, et ne faisant du sport que lorsque tu en as l’envie (c’est à dire pas assez pour garder le rythme), tu bénéficies d’un ventre plat mais de fesses et de cuisses rebondies. L’avantage de ne pas être mince comme une top modèle, c’est d’en avoir un peu plus sur le torse, et ton patrimoine féminin s’impose sur ton corps : tu es fière de pouvoir montrer un 90D bien pigeonnant. Comme quoi, tout est une question d’équilibre.

 Mais tes défauts, on ne t’en tient pas bien compte, parce qu’ils ne t’empêchent pas de respirer le bien-être : tu as la démarche rapide et assurée d’une femme en bonne santé, une désinvolture qui contredit tout complexe. Quand tu déambules dans la rue, on pourrait te croire déambuler dans une boîte de nuit : ta démarche se marie à la bande originale de «Saturday Night Fever», tu engages un catwalk naturel digne de toutes les féministes des années 70. Car il est vrai que tu ne sembles pas appartenir à ton époque, peut-être même pas à ton univers.

 Tu changes de style comme on change de saison. Un jour hippie, l’autre jour urbaine, un autre pin-up de fifties, le lendemain habillée en déchet complet. Ta garde-robe est le reflet de tes émotions et de ton état d’esprit. Tu aimes mélanger les styles, assembler des tenues complètement dissonantes et épicées, que tu sembles tirer de nulle part, de l’immaculée conception : on pourrait facilement te prendre pour le clochard fou du quartier ou pour le riche lunatique ayant perdu son esprit dans les années de poudre blanche et de seringues. Mais non, tu t’habilles vraiment comme tu aimes, comme tu sens. Pour toi, la mode est aussi une question de sensation corporelle et d’expérience visuelle. Tu la considères comme un art-plastique à part entière et tu la traites comme Marcel Duchamps eut traité ses ready-made : en mettant en relation des choses n’ayant aucun rapport et en la transfigurant en œuvre d’art.

 C’est vrai que pour l’instant, le portait que je dresse de toi n’est pas très flatteur. Pour résumer je viens de décrire une petite rondelette qui s’habille bizarrement. Mais non, non, détrompe-toi, tu es bien plus que ça. Déjà, même si tu t’affirmes dans ton attitude et dans ton style, tout dans toi recèle une certaine délicatesse. On ressent ta sensibilité aussi à travers ton corps. Notamment dans tes chevilles, tes pieds et tes poignets. Des tout petits pieds carrés, creusés sur la plante, suivant une courbe gracieuse qui font pointer tes orteils en haut lorsqu’ils le touchent pas le sol. Tu as une cicatrice bleue sur ta cheville droite, que tu as reçu lors d’une opération (suite à une fracture en roller). Tes mains aussi sont petites, et tes doigts tout fins et précis dans leur gestes, tout doux. On dirait que dans chacun de tes mouvements, tu joues une balade aux piano. Tu as l’air d’être faite en porcelaine : ta peau est blanche, laiteuse. Elle irradie au soleil, elle t’illumine le soir sous la lumière.

 Mais moi, ce que je n’oublierais vraiment jamais, c’est ton visage. Ovale, posé sur un cou fin et courbé, toujours un peu tourné vers le haut. Il est encadré par une folle tignasse rousse, un carré bouclé complètement décoiffé, qui ressort tellement sur ce visage pâle. Tes cheveux rebondissent de vitalité, ils ont l’air aussi vivants que toi (un peu comme les serpents de Médusa), et se tortillent avec joie sur ton crâne. On peut dire qu’on te repère de loin avec ta couleur : d’un roux irradiant en hiver, tirant vers le rouge ; d’un roux lumineux en été, aux reflets de blé, regorgeant de soleil.

 Ils mettent en valeur tout ce que contient ton faciès : un nez droit et pointu, des lèvres généreuses et rosée, en forme de cœur quand tu souris. Quand tes lèvres s’étirent, une petite fossette se forme au creux de ta joue droite. Tes pommettes sont toujours rosées sur ton teint pâle. Et tes yeux prennent une dimension incroyable quand tu les soulignes avec un trait noir et une petite virgule. Mais ils sont aussi très bien un lendemain de cuite quand ils sont cernés et démaquillés : ils agissent comme des petites lumières, de couleur dorée, noisette, encadrés par des cils roux.

 Finalement, tu es un temple aussi, à ta propre manière.




Surnom : Zorro
Âge : Bientôt légale frère, bientôt
Comment avez vous connu le forum ? : Je ne répondrais pas à cette question ! \o/  
Comment trouves tu le forum ? : Si j'y suis tu crois que je pense quoi petit malin ? ;)
Code règlement : Attention Ruthel est à l'affût !


MADE BY .ANGELUS









She's bad, bad, badass


Dis-moi petit huluberlu, tu casses pas trois pattes à un canard!  



  « - La putain de putain de putain de putain, mais putain mais ça me PÈTE LES COUILLES, quoi ! Mais la putain d’sa race mais comment c’est MORT, comment j’irai pas ! Mais jamais d’la vie quoi, faudra me trainer mais par la peau du cul ! Vous m’entendez, putain? J’irai pas, j’irai pas, j’irai pas, j’irai pas !»

 À quelques mots près, ce fut ma réaction lorsque j’ai compris que j’allais quitter mon cocon familial pour me faire interner dans un bahut de mutants à «deux balles». En effet, la nouvelle ne me mettait pas en joie, mais rassurez-vous : j’étais loin d’être au bord du drame émotionnel, j’avais juste tendance à prendre ce genre de choses un peu trop au sérieux, et j’ai peut-être adopté un discours un tantinet exagéré.

« - Mais allez-y, foutez-moi dehors bande d’INGRATS, famille indigne, prête à abandonner la CHAIR DE LEUR CHAIR pour un léger détail génétique ! Voilà, une petite anomalie et je suis un MONSTRE À LEURS YEUX.»

 Oui, bon, j’ai peut-être grave abusé, même. Je me souviens de l’air lassé de ma mère qui sirotait une bière fraîche en lisant un magazine populaire, comme tous les samedi soirs. Moi, j’avais prévu de sortir faire la fête après. Le même endroit que tous les samedi soirs : une salle de «concert» plus ou moins alternative. Mon papa était en train d’étendre une machine, et sifflotait sereinement tandis que je me contorsionnait de douleur sentimentale sur le tapis.

 Autant vous dire que deux heures après, j’avais complètement oublié la douleur, alors que je dansais sauvagement sur de la Hard Tech. J’avais un peu boudé aussi, le lendemain, mais j’ai complètement arrêté quand mon comportement commença à agacer mon père, qui me fit le regard avec les yeux plus gros que sa tête. Le regard qui le fait ressembler à une gargouille indienne et qui fait comprendre que faut pas trop pousser le bouchon si on veut pas avoir d’ennuis. À partir de ce moment-là, je suis re-devenue adorable, toute douce et polie.

 Bref, mon déménagement à Prismver : comme n’importe quel déménagement, n’importe quel changement de bahut. J’en avais fait tout un plat, mais j’en aurais fait tout un plat de toute manière. Pour n’importe quel déménagement, dans n’importe quel bahut. J’adorais trop mon mode de vie, et je redoutais le changement comme personne. Pourquoi est-ce que ç’aurait dû changer? J’étais très bien, là où j’étais. Je n’avais jamais été plus heureuse que là où j’étais : du moins c’est ce que je pensais, or, c’était la seule chose que j’avais connu.

 J’habitais à Londres, le paradis : une ville riche de gens, de culture, d’activités... Mon quartier était un peu miteux, mais qu’est-ce qu’on s’y était amusés. Je connaissais mes amis depuis que j’étais sortie du ventre de ma daronne. De la crèche au collège, on a toujours été ensemble, proches comme les cinq doigts de la main.

 Au fur et à mesure du temps, on s’était tous coltiné un rôle et un surnom. Reece était le meneur, intelligent et tempéré, avec un vocabulaire du ghetto. Lily était «sa femme» même s’ils n’étaient vraiment qu’amis, mais elle était son bras droit et la maman du groupe. Theo  était le «trop beau gosse swaggy boy OMG», même s’il n’étais pas si beau que ça : en primaire il regardait toujours sous les jupes des filles, il a dû se trainer une réputation de coureur. Jacky était juste le bon pote, le gentil, et celui qui se faisait bizuter. Et moi j’étais fouteuse de merde à mi-temps, grosse grosse chieuse à temps plein. Je faisais pas toujours exprès.

 BREF.

 Je pense que vous avez compris : mon «don» ne m’a jamais empêché de vivre une vie normale et heureuse. Je n’ai vécu aucun traumatisme, j’suis allée à l’école, j’ai eu des potes comme tous les autres gamins, je n’ai jamais été isolée, ou blessée. J’avais une famille au-delà de la moyenne cool : j’aimais mes parents plus que tout, j’avais deux petits frères, j’étais une aînée bien sympa de mon côté aussi. Et tous les jours j’étais reconnaissante de la vie que j’avais. Laisser ça derrière, ça me brisait un peu le cœur, même si je savais que j’allais m’en remettre, parce que je détestais la tristesse, tout simplement.

 Mes parents avaient toujours freiné un peu mon départ : ma différence, ils en étaient conscients depuis ma naissance. Dans mon berceau, à l’hôpital, ma mère se réveillait, et j’étais couverte de tomates cerises et de petits bourgeons de fleurs en guise de couverture. Je bavais de la sève et les bêtes aimaient se loger au creux de mes mains. Ça ne les avait pas choqué : ça les avait étonné. Et au final, ils sont tombés amoureux de ce pouvoir.

 Mes parents étaient plus ou moins des hippies un peu underground. Ils m’avaient eu jeunes, même s’ils étaient déjà mariés depuis deux ans. J’ai rarement vu de couples comme mes parents, et je pense que leur attitude a toujours influencé mon état d’esprit. Actuellement, ils sont mariés depuis vingt ans, ils sortent ensemble depuis vingt-deux ans, et ils se prennent la tête une fois tous les sept ans. Rien n’est compliqué, pour eux : je n’ai jamais été «voulue», mais avoir un enfant ne les empêchait pas de sortir et de faire la fête. Ils m’emmenaient avec eux quand ils ne trouvaient pas de baby-sitter. Je passais dans les bras d’un camé à un autre. Autant dire que j’étais tombée dedans quand j’étais petite.

 J’ai grandi dans une bulle d’amour, de tendresse, d’ouverture d’esprit. J’ai vécu en vacances la plupart de ma vie, en fait, et je ne comprenais pas les embrouilles qu’avaient mes amis avec leurs parents durant l’adolescence. Alors je n’en ai jamais vraiment voulu à mes parents de m’envoyer à Prismver : ce ne pouvait être qu’une expérience enrichissante pour moi. De plus, ils auraient pu m’y envoyer plus tôt. C’est à mes seize ans qu’ils prirent la décision : il fallait que j’en apprenne plus sur moi, tout simplement, et que je me confronte à des jeunes comme moi, et que je prenne aussi mon envol. J’avais trop besoin de mon cocon confortable : il était temps de couper le cordon.

 Je ne vous cache pas avoir été réticente, au début. Je suis partie un peu à reculons. Mes nombreux bagages étaient lourds et pleins à craquer, parce que j’avais ressenti le besoin d’amener toute ma maison avec moi. Tous mes vêtements, tous mes livres, mes consoles portables, mon matériel de dessin, mes vieux carnets de croquis, mes peluches, des photos, quelques posters, des lettres... J’avais amené avec moi mon passé et mes souvenirs : je pense que j’avais un peu peur de me perdre de vue et d’oublier. Au fond, je savais qu’il fallait que je tourne un page.

 Pourtant, malgré ma nostalgie, mon intégration à Prismver s’est très bien passée, mais je pense que c’est aussi parce que j’ai fais des efforts, je voulais que ça se passe bien. Je suis arrivée dans la classe moyenne, et je m’en réjouissais : ainsi, je ne ressentais aucune pression. Je ne devais pas me confronter au meilleur, et je n’étais pas non plus étiquetée comme une grosse merde du système scolaire. En C, on se contentait d’être soi-même, on n’avait rien à prouver à personne et on travaillait plus ou moins dans une ambiance sereine et détendue. Ça me convenait parfaitement. Je ne suis pas une grande bosseuse, et je n’approuve pas tout ce qui ressort du système scolaire. Je préfère apprendre des choses sur la vie, sur les gens, apprendre sur le tas. La méthode empirique, quoi !

 Je n’ai pas été toute seule très longtemps, parce que je n’ai pas attendu que les gens viennent vers moi. Je voulais prendre ma place et m’imposer un peu, alors je suis allée vers les gens, j’ai discuté, j’ai été honnête avec eux et avec moi-même quand à mon histoire, et finalement j’ai commencé à me faire des amis assez vite. C’était facile, les gens avaient l’habitude des nouveaux qui débarquaient en milieu d’année, ici.

 Les cours, c’était facile. La vie, c’était facile. Mais je dois avouer avoir compris que le fait d’en apprendre plus sur mes pouvoirs et d’apprendre à les contrôler était important pour le futur. J’ai appris à en faire quelque chose de bien : je n’ai pas le pouvoir le plus impressionnant ou le plus utile de la planète, je me suis sentie même un peu nulle en comparaison à d’autres en arrivant à Prismver. Cependant, maintenant, mon pouvoir me permet d’apporter de la joie, à moi et aux autres. Je peux même gagner de l’argent avec, plus ou moins légalement.

 Oui non mais parce que, comme je vous l’ai dit : je suis tombée dedans quand j’étais petite. Alors j’ai toujours été confrontée à ÇA, et même si je n’ai pas commencé trop trop jeune, je connais le milieu. Mes parents vendaient et faisaient pousser dans leur jeunesse, ils ont arrêté depuis, mais je les ai vus faire. Y a des choses qui restent, et ça en fait partie. En fumeuse régulière, il était plus judicieux d’investir mon don pour économiser des sous et même faire du bénéfice. En plus, je donnais la possibilité aux gens d’avoir «de la frappe» comme on dit dans le milieu. Alors je ne suis pas vraiment DEALEAUSE parce que je n’aime pas zoner pour vendre à des inconnus. Mais ces derniers viennent chez moi se fournir. Moi, je suis juste la «fleuriste». P’tit surnom dans le métier.

 Avec une activité comme la mienne, on arrive à se faire connaître, autant dire que je me fis amis avec les oiseaux de nuit assez vite. On avait souvent «besoin de mes services» et j’étais à l’aise avec les gens. Que ce soit par intérêt ou pas, je m’en foutais, tant que je n’étais pas seule. Je n’ai jamais d’emmerdes avec personne, mais je n’en ai jamais cherché, d’un autre côté.

 Là j’en suis au stade où je vais avoir 20 piges, presque 4 ans passés à Prismver. Autant dire qu’au bout de 4 ans, Prismver est devenu ma maison, où réside une partie de ma smala. Je vais en cours normalement avec une motivation modérée, mais je fais des rencontres exceptionnelles et je passe ma vie à partager, ici.


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MessageSujet: Re: T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !    T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !  1400359500-clockMer 25 Juin 2014 - 23:01
BIENVENUUUUE TOI. JE T'AIME pas (pourpasquetuvomisses) BONNE CHANCE POUR FINIR TA FICHE LKFJRKFJRLKF ♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥
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MessageSujet: Re: T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !    T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !  1400359500-clockJeu 26 Juin 2014 - 18:50
omgomgomgomg WELCOME LONDON GURL MOA C LONDON BOY
ah là là déjà fan d'Harley sorry il a suffit que je lise l'histoire et voalà
fight pour boucler ta fiche krrkrr
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MessageSujet: Re: T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !    T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !  1400359500-clockJeu 26 Juin 2014 - 19:16
Welcome, je nages dans ton vomi ♥ point avec des couleurs
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InvitéInvité
MessageSujet: Re: T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !    T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !  1400359500-clockJeu 26 Juin 2014 - 23:11
Gnnnniiii *amoureusedelaprésaetduperso*
Welcomee heeere
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InvitéInvité
MessageSujet: Re: T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !    T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !  1400359500-clockSam 28 Juin 2014 - 17:52
Hiroki : Merci t'as vu, de multiple cœurs sur toi ! T'inquiète elle se finira vite ;)

Stan : OMG LONDON BOY MOA C LONDON GURL, so nice to meet you t'as vu ! C'est bientôt fini pelo ;)

Mike : Petit fétichiste, je te retiens. :3

Amanda : On peut s'arranger si tu veux y a pas d'soucis ;) Merci pelotte !
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Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !    T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !  1400359500-clockVen 11 Juil 2014 - 13:08
Fiche postée le 25 juin.
Dernières nouvelles le 28 juin.
Compte à rebours de 10 jours.
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Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !    T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !  1400359500-clockVen 1 Aoû 2014 - 14:15
Compte à rebours terminée, la fiche est envoyée à la corbeille ~
N'hésite pas à mp un membre du staff pour la récupérer !
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MessageSujet: Re: T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !    T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !  1400359500-clock
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T'as vu j'ai même pas vomi cette fois !
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