Un bel après-midi [Pv Antonin]

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C'était un très bel après midi, pas trop froid, mais pas trop chaud non plus. Pas trop chaud ... On est quand même en automne. Comme d'habitude, je m'étais levé en retard et j'avais laisser tomber d'aller à mon cours. Je m'étais fait une tasse ~~de rhum~~ de café pour me réveiller. Aujourd'hui j'avais prit mon sitar et un carnet de dessin tout neuf. Je n'avais pans encore profaner les pages blanches et pures de ce magnifique univers. Je m'arrêtais devant ma cabane et me demandais où j'allais aller pour dessiner. Après 15 minutes à me concentrer, je fini par me dire que la falaise serais parfaite. Je me dirigeais donc vers la falaise à toute vitesse pour ne pas me faire prendre à ne ps être en cours à treize heures.

Donc une fois arriver à cette falaise, je m'assis, déposai mon sitar au sol et regardais l'horizon. Il me prit un certain temps avant de savoir quoi dessiner, mais ça fini par apparaître dans mon esprit. Je commençais un beau dessin d'un aigle qui volait devant le soleil, avec des nuages qui le suivais et les arbres agiter en dessous de lui. Je souriais en dessinant et me concentrait que je fini par en oublier ma tasse de rhum au café et simplement admirer ce que je faisais.

Pendant cette concentration extrême, je cru entendre un son, mais je me dis que c'était un petit animal qui passais dans le coin. Alors pourquoi s'en préoccuper ? Je déposais mon carnet un peu pour laisser reposer l'idée et prit mon sitar pour l'accorder un peu.

© Riva

[hors Rp] Désoler, je suis merdique en rp >> ....

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Un bel après-midi.
© FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH'

Feat. - ALISTAIR-AZAEL.
Qu'avons-nous là ? Trouver un élève près des falaises, c'était plutôt inattendu, Antonin était persuadé qu'en venant ici, il aurait le calme complet, qu'il ne verrait que quelques animaux passer par-ici, par-là, sans pour autant se faire déranger.

Mais non.

Il fallait qu'il tombe sur un élève. Par chance, celui-ci ne semblait pas l'avoir vu, et heureusement, puisque l'allemand n'avait pas vraiment envie de parler. Il avait passé une journée affreuse et horriblement stressante : déjà, ce matin, il s'était levé en retard. Son réveil avait décidé de faire la grasse matinée. A cause de ça, il n'avait pas pu prendre son petit déjeuner ni prendre sa douche, ce qui fait qu'il sent un peu le chacal depuis la veille. En arrivant en cours, il s'était rendu compte qu'il avait oublié sa trousse et il avait donc dû se débrouiller pour se faire prêter un stylo pour le reste de la journée. Pour finir, il n'avait plus de chocolat dans ses affaires et cela le mettait de mauvaise humeur. Il pensait que tout le monde se retournait contre lui d'un seul coup sans raison apparente.

Antonin laissa échapper un léger soupire. Tant pis, il fera comme si l'inconnu n'existait pas. Il alla alors s'asseoir à même le sol, gardant une certaine distance entre lui et l'autre.

:HRP:

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À peine si j'avais terminé d'accorder mon sitar que quelqu'un est venu s'asseoir un peu plus loin de moi. Je regardais et vit un garçon, a son uniforme, je vis bien que c'était un C. Je lui lançait un petit sourire. Il n'avait pas l'air dans la meilleur des humeurs, mais autant bien essayer de discuter, alors je lui demandais avec une voix calme et un fort accent indien dans mon anglais:

« Ça va pas mon ami ? »

Autant commencer par quelque chose, le pauvre avait dû avoir une journée dégoûtante pour avoir cette mine, je prit ma tasse de rhum et bu un peu. J'avais déposer mon sitar pour me rapprocher et parler à cet élève. Bon ce n'est pas ma spécialité de remonter le morale des gens, mais autant bien essayer tant que je suis là.

J'essayais de me rappeler de ce que ma mère faisait pour me remonter le morale quand j'allais mal, elle me chantait une chanson en hindi et me berçais dans ses bras des heures durant, mais je ne pouvais pas faire ça avec lui, je ne le connaissait pas après tout.

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Un bel après-midi.
© FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH'

Feat. - Alistair-Azaël
Antonin ne le voyait pas ne s'occupait pas de lui, l'ignorait parfaitement. Il n'avait pas besoin de quelqu'un sur qui compter, il n'avait besoin de personne. Il ne pouvait plus compter sur son père pour le consoler, lui dire que tout va bien, pourquoi se tournerait-il vers les autres, dans ce cas ? Il devait apprendre à faire face aux moments douloureux, aux instants les plus stressants et à la crainte de sentir son cœur s'arrêter de battre, un jour ou l'autre.

Tout cela l'angoissait. Pourquoi continuait-il à vivre ? C'est vrai, une fois sorti du ventre de notre mère, c'est toute une vie, pour se reloger. Se reloger en travaillant, en se tuant à la tâche, pour finalement mourir dans l'oubli, dans la tristesse et la dépression.

S'il pouvait faire en sorte de ne jamais vieillir, rester jeune à tout jamais, l'allemand l'aurais fait depuis longtemps. Après tout, qui se soucierait de lui ? Personne. Des amis ? Il en avait peu. Son père ? Il ne le voyait que très rarement et ne prenait jamais de ses nouvelles. Il n'aimait pas vraiment communiquer avec le monde extérieur. Il était donc condamné à finir sa vie seul.

Seul à tout jamais.

Puis il y a cette voix qui le sortit de ses pensées. « Ami » ? Et si seulement c'était le cas. Antonin voudrait bien en avoir un, sur qui il peut compter quand il se sent mal.
Dans un soupire, il répondit avec un fort accent russe / allemand :

- Ne dit pas qu'on est amis alors qu'on ne se connaît même pas. De toutes façons, j'ai pas besoin de toi, je m'en sors très bien tout seul.

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Ses paroles. Des paroles comme celles-ci, sont blessante, même si elles n'ont rien de méchantes. De petite larmes me sont monter au yeux, mais je les ravalai bien vite et lui dit sur un ton bien acerbe et avec un regard coléreux:

« Tu est bien chiant pour quelqu'un qui a l'air de mal aller ... Surtout quand tu parle à quelqu'un qui veux juste voir un sourire au milieux d'un visage peiner ... »

Je m'étais lever et pris une gorgée de rhum en m'appuyant sur un arbre qu'il y avait dans le coin. Je repris un de mes vieux carnet de dessin pour regarder de vieux dessin que j'avais fait en attendant que le gars avec balais dans les fesses me réponde sur un ton moins énerver qu'à ça première intervention, quoi que je doute que ça ce fasse ... mais autant espérer, comme on le dit souvent: " L'espoirs fait vivre". Par contre, l'attente fait mourir. Mais comment cela pourrais me déranger, je n'aurais pas a attendre longtemps pour me faire taper sur les doigts par le garçons énerver.

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Un bel après-midi.
© FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH'

Feat. - Alistair-Azaël.
Antonin pouvait facilement reconnaître qu'il avait réagi sur le vif et il regrettait profondément ses paroles. Il soupira et resta là, à réfléchir, un long moment.

Avait-il vraiment besoin de quelqu'un, d'un ami ? Avait-il vraiment besoin de se confier pour que tout aille mieux ? Et surtout, en avait-il envie ? Il ne pouvait pas le savoir lui-même. Peut-être que non, mais il n'avait pas besoin de se montrer arrogant. Il ne tenait pas à se faire un ennemi qu'il ne connaissait même pas, en plus de cela.

- Ok, je m'excuse et je m'incline, mais ça fait un bout de temps que j'ai arrêté de parler à n'importe qui.

Il n'avait pas envie d'aller trop loin dans les détails. Certaines choses devaient rester confidentielles, du moins, jusqu'à ce que l'autre type et lui aient fait plus ample connaissance. Il tourna la tête vers lui, le voyant adossé à un arbre, comme s'il attendait vraiment quelque chose venant de sa part. Que pouvait-il lui dire de plus ? Raconter sa journée à un parfait inconnu n'était pas franchement quelque chose qui lui tenait à cœur.

- Et ouais, je suis énervé parce que j'ai passé une très mauvaise matinée.

Si l'inconnu avait besoin de savoir autre chose, qu'il pose des questions.

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Une simple mauvaise matinée ? Ça ne pouvait pas être la seule raison d'une si mauvaise humeur. Tout le monde en passe des mauvaises journées et ils n'ont pas cette quand même, enfin je crois, mais c'est un détail pour le moment. Je soupirais un peu et me grattait le fond de la tête pour réfléchir un peu. Le hamster dans mon cerveau courrait dans sa petite roue pour une des rares qu'il accepte de le faire. Pour commencer autant m'excuser, parce que j'ai tout de même été sec avec lui et qui dit, peut-être que ce qui a gâcher sa matinée ce n'est pas seulement trébucher ou se lever du pied gauche. Alors je m'approchais et m'assit à côté de lui et lui dit beaucoup plus doucement et essayant d'avoir un sourire coller au visage:

« Désolé j'ai été sec avec toi ... Ce n'était pas voulut ... En passant, moi c'est Aza ! »

Je tentai d'être le plus sympathique possible, après tout, si on veux se faire un ami, il faut commencer par là, ce que j'oublie souvent. Je venais aussi de lui tendre la main pour faire une meilleure impression. D'ailleurs ce jour là, puisque encore une fois je m'étais réveiller trop tard, j'avais l'uniforme à moitié mit. Ma cravate et le veston traînaient encore sur les branches de l'arbres et mes souliers était parti plus haut dans les branches, comme par magie ! ~~Non en fait je les ait lancer le plus haut possible.~~ Mais en ce moment ce qui m'importais plus en ce moment, c'était d'amener un petit sourire à quelqu'un d'une humeur peu agréable.

HRP:

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Un bel après-midi.
Feat. : Alistair-Azaël.

Voilà maintenant que l'autre gars bizarre décide de taper la discussion avec l'allemand. Bien que ça ne le dérangeait pas, il n'était pas VRAIMENT d'humeur à raconter sa vie. Néanmoins, il tenta de se montrer sympathique en lui faisait une place à ses côtés, sans oublier que l'inconnu lui avait légèrement tapé dans l’œil. Il fallait bien avouer qu'il le trouvait un peu mignon, mais il n'allait sûrement pas le lui dire.

- Aza ? C'est ton prénom ? Un surnom ? Un nom de fleur ? Moi c'est Antonin. Antonin Alexander, mais tu peux m'appeler Ludwig, c'est mon deuxième prénom.

« Ludwig », ça ne sonnait pas terrible quand si on n'a pas l'accent qui va avec. Mais c'était la même chose avec « Antonin » l'allemand-russe ne savait pas prononcer ce nom à la français et l'écorchait toujours en disant « Antonine », ce qui le rendait encore plus féminin -déjà qu'on le confondrait facilement avec une fille, vu de dos- et c'est bien pour cette raison qu'il préfère qu'on l'appelle Ludwig.

Après que le prétendu Aza s'était présenté, il avait tendu la main. Que croyait-il ? Qu'Antonin allait la lui serrer alors qu'ils venaient tous les deux à peine de se rencontrer ? Qu'il rêve. L'allemand avait tout simplement décidé de l'ignorer et de continuer à taper la discussion, se forçant à sourire pour ne pas à nouveau se faire réprimander sur sa mauvaise humeur.

- Vu ton caractère un peu loufoque et ta mentalité de taré, je dirais que tu es un D, je me trompe ?

Il n'espérait pas avoir raison. Il ne tenait pas à être tombé sur un type qui serait capable de toquer à sa porte vers trois heures du matin pour l'obliger à venir en boîte de nuit pour boire jusqu'à en perdre la raison et se réveiller dans le lit d'un inconnu le lendemain avec une gueule de bois.

:HRP:

Codage (c) Tenderness || Edité par Antonin.

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Un nom de fleur ? Sérieux ? Non, c'était juste un diminutif pour pas dire mon nom de de vingt mètres de long. Je regardai vers le ciel et lui dit avec un ton un peu plus exaspérer:

« T'est con ou quoi ? C'est certainement pas un nom de fleure ... c'est mon surnom moorkh*, sinon je m'appelle Alistair-Azaël Komodo. »

Après il me sort que j'ai un comportement de toqué et que juste à ça il peut dire ue je suis un D. Bon il a raison, mais en fait c'est même pas ça puisque je suis dans la classe blanche. Je suis contre les classes, je trouve ça stupide, surtout avec cette guerre des classes qui sévit toujours avec ceux qui sont d'accord avec ça. Donc pour le moment je sirote le reste de mon café, mais il n'y en a presque plus ... J'aurais aimé qu'il y en ai plus. Je déposai ma tasse et prit mon carnet de dessin à la place pour finir la fleur de cerisier que j'avais commencer il y quelque jour. C'était une petite fleur fragile et solitaire sur une branche dépourvue de toute vie. J'aimais particulièrement ce dessin, mais je ne savais pas pourquoi. Donc aussi il faux que je réponde à Ludwig et lui dit avec une voix presque absente tellement j'avais commencer à me concentrer sur les trait du crayon:

« Et oui, normalement je suis un D, mais maintenant je suis dans la classes blanche ! »

J'avais dit cela en pointant toute mes choses dans l'arbre d'à coter et me remis bien vite à dessiner.

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