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 A SUPPRIMER

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Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: A SUPPRIMER   A SUPPRIMER 1400359500-clockLun 11 Fév 2013 - 13:27
« C'est décidé, je pars faire ma vie au soleil. C'est là-bas que je veux résider, plage de sable fin au réveil. Je veux changer les idées, avec du bon son dans les oreilles ; c'est bon c'est décidé je pars faire ma vie au soleil » © Keen'v

feat Darren Spike.


____ « Il y a dans ce monde quelque chose de magique, quelque chose d'incomparable à ceux que nous pourrons vivre. Ce quelque chose est si fort, si puissant, si impressionnant que rien ne pourra l'égaler. Tout aussi beau ou magique soit-il. Oui, la nature est quelque chose de merveilleux et rien ne pourra être aussi beau qu'elle. Même pas les inventions des Hommes, même pas les dons que nous possédons, nous les élèves du pensionnat Prismver. J'en suis convaincue. Avez-vous déjà regarder la nature de plus près ? L'avez-vous observé comme si vous n'aviez que ça à faire ? Comme si, c'était un besoin vital ? Non ? Ba il serait peut-être temps de s'y mettre. Ne faîtes pas ça toute votre journée, juste quelques minutes, justes quelques instants, assis quelque part. Observez l'oiseau qui vole. Observez le vent qui souffle dans les feuilles d'un arbre ou d'un buisson. Essayez de comprendre le chant harmonieux de l'oiseau. Vivez au rythme de la nature comme si elle faisait partit de vous, comme si c'était votre créatrice. Mais c'est votre créatrice à vrai dire. C'est elle qui nous a tout donné. Notre anatomie, notre intelligence, notre esprit, notre âme, nos maisons, nos refuges. Et nous tout ce que nous avons été capable de faire c'est de la briser. De briser cet équilibre si important. Nous sommes en train de détruire ce pourquoi nous sommes nés. N'est-ce pas étrange ? N'est-ce pas injuste ? L'Homme n'est pas le Tout Puissant. L'Homme est comme tous les animaux, comme toutes les plantes, créé par la Dame nature mais avec plus de capacités de ces dernières. Que penserait la nature quand elle verrait ce que nous faisons d'elle ? Peut-être nous punira t-elle ? Peut-être connaîtrons-nous cette fin qu'on appelle fin du Monde. Peut-être et peut-être pas. Peut-être qu'un jour nous serons tous détruits, nous aussi, mais avec toutes les autres créations de la Terre. Nous entrainerons avec nous tout ce qui fut et nous deviendrons ce qui sera. Rien. Nous ne serons rien car nous nous sommes enfoncés tout seul dans le Néant. Mais peut-être pouvons-nous encore sauvés ce pourquoi nous sommes nés ? Peut-être et peut-être pas. Tout dépendra de notre détermination, de notre intelligence et de nous. »

____J'arrête d'écrire. Je relis ce que je viens d'écrire, laissant le son des vagues bercés mes mots. J'enfonce un peu plus mes pieds dans le sable chaud. C'est agréable comme sensation. Je mets alors un point final à la fin de ma phrase et relève la tête. Le vent souffle. Il est chaud, il est doux. Mes cheveux détachés virevolte doucement dans l'air de l'été. J'avais décidé de prendre mon block-note, mon crayon et ma tête pour aller écrire un peu dans la nature. Pensais-je ce que j'écris ? Un peu, mais c'était surtout pour le DM en phylo. Notre sujet est assez tordu et il me faut toute ma tête et ma concentration pour arrive à quelque chose de satisfaisant. Le sujet évoquant l'Homme et la Nature, il n'y a rien de mieux que d'aller dans la nature même. Il fait beau, il fait chaud, j'ai sorti mon short en jean, un débardeur, des sandales et j'ai filé à la plage. Je range mon block-note et mon crayon dans mon sac à main et je regarde mieux la mer. Elle est calme et semble douce. Les vagues s'écrasent doucement dans le sable, laissant derrière elles l'écume des autres jours. Je replis mes jambes contre moi, posant ma tête sur mes genoux. C'était agréable cette longue et délicieuse pause, coupée du reste du monde, seule avec une nature silencieuse et harmonieuse. Il n'y a rien de mieux pour reprendre tranquillement ses esprit, pour faire un break avec la pression et l'angoisse de la réalité.

____Je me lève, et marche vers la mer. Ma démarche est souple et peut-être élégante, je ne fais pas attention. Je trottine vers le sable mouillé par les flots. L'empreinte de mes pieds restent marquée dans le sable jusqu'à ce que la mer vienne l'effacer. Je marche un peu le long des vagues, les laissant lécher mes pieds lorsqu'elles passaient. Le vent marin envoie mes cheveux roses dans tous les sens et moi, je marche, sereine. Un moment, je m'arrête et me mets face à la mer. Je regarde l'horizon, une main tenant mon bras nu. Je respire l'odeur de la mer et je ferme les yeux. Je laisse le chant des vagues me murmurer un secret que je ne comprends pas. Je laisse l'eau salée m'expliquer quelque chose que je ne sais pas. Je laisse toute la nature me parler même si je ne comprends pas sa langue. Jusqu'à ce que j'entende un bruit de pas dans le sable. Je sens que quelqu'un arrive. Je ne me retourne pas tout de suite. J'attends un peu. Lorsque je sens l'inconnu un peu trop près, je lance d'une voix calme et douce :
« C'est beau n'est-ce pas ? »
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Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: A SUPPRIMER   A SUPPRIMER 1400359500-clockJeu 14 Fév 2013 - 23:00
Marcheras-tu avec moi ?"Une matinée n'est pas là pour nous troller, alors profitons"


Un jour d’été. Je le sentais comme les autres et pourtant dans ma tête il était différent. Je n’étais pas seulement moi. J’étais un A. Un jeune homme qui deviendrait bientôt homme, même s’il se sentait déjà homme dans sa tête. La vie est trop dure. Il est impossible dans ce Monde de vivre heureux. Impossible de vivre sans cicatrices, impossible de vivre quelque chose de joyeux tout le temps. Mais la question n’est pas là. Car ce matin, je vais bien. Je me sens bien dans ma peau, et je refuse que cette bonne humeur me quitte. Je suis en caleçon, en train de me vêtir. Je viens de sortir de la douche mais je décide quand même d’aller faire un tour. Marcher pieds nus dans le sable, fusionner avec la nature pour en ressentir tous les effets positifs. C’est ça avoir de l’énergie, c’est de pouvoir vivre pleinement de la nature qui nous entoure.

Je souris, je quitte mon refuge pour traverser comme tout le temps les longs couloirs qui ne cessent de s’éterniser. Je suis là depuis quelques temps déjà, et ce « Monde » me paraît comme un paradis. Mais un Paradis qui n’a pas fini de cacher ses secrets.

Oh, un couple. Je fais demi-tour et j’emprunte une porte, puis une autre et fini par trouver les escaliers. Je l’ai esquivé ce couple, pour la simple et bonne raison que ça me donne envie de pleurer, j’en ai le poing et le cœur serré. Certes, il n’y a qu’une seule chose que je souhaite depuis un bon bout de temps, qu’une seule personne. Mais ce n’est pas vraiment possible que nous soyons faits l’un pour l’autre. Tant pis. Je soupire et garde tout de même le sourire aux lèvres.

C’est d’ailleurs ainsi que, chemise ouverte, volant à cause du vent, jean taille basse, et pieds nus –je viens de retirer mes baskets- j’arrive à la plage. Ce magnifique paysage. Je n’ai jamais dû le voir trop en vrai. Juste sur des photos, ou alors on me le décrivait. J’ignorais que ce serait aussi beau que ça ! La nature, je l’avais surtout connue sous forme de forêt. Et là, sentir des petits grains chatouiller la point de mes orteils, le vent passer à travers ma chemise mi ouverte, le soleil cogner sur ma peau blanche, je me sens revitalisé. Je marche, je marche, sans plus m’arrêter. Je me surprends même à rire et à courir. Le soleil se lève doucement, les vagues claquent dans un bruit merveilleux. Et moi, je suis là, comme un enfant. Mais que je sois un A ou non, j’ai besoin de profiter de ce qui m’entoure. Je n’ai jamais réellement fait ça, alors je fais comme si j’étais seul. « Comme si j’étais seul »… Cette phrase résonne dans ma tête quand au loin je remarque une silhouette féminine assise sur le sable. Suis-je au Paradis ? Dans un rêve ? Ses cheveux rosés flottent au vent, ses lèvres s’étirent dans un sourire en regardant l’horizon. Je ralentis, je m’approche, souriant également.

Puis, je m’arrête, je m’installe à côté en silence pour observer dans la même direction qu’elle. Et lorsque cette inconnue dont je ne ressens pas le besoin de connaître le nom me demande si c’est beau, je hoche légèrement la tête. Il n’y a pas de mots pour décrire ce que je vois. Le plus beau spectacle est fixé par mes pupilles. Et je me sens bien, alors je ne dis rien, c’est un silence qui se met à planer, un vent qui continue à nous secoue nos vêtements. Je dépose mes chaussures à côté de moi.





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MessageSujet: Re: A SUPPRIMER   A SUPPRIMER 1400359500-clockSam 2 Mar 2013 - 17:14
« A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi et regarder le temps qui s'en va. » © Renaud


feat Darren Spike.


____L'odeur de la mer a toujours eu cette petite dose salée, cette petite touche d'eau gentillement salée. Je la respire. Ma chemise virevolte dans le vent chaud de l'été. Je sens les vagues venir mourir à mes pieds. Je garde les yeux fermés. Le soleil est chaud et puissant, il lèche tendrement mes joues. Huum. L'été. C'est tellement agréable : cette chaleur, ce temps, ce ciel bleu, cette mer... Tout est magnifique en été. Bon, le sable c'est pas trop mon coupain, mais bon, c'est pas grave, on peut pas tout avoir hein. Je rouvre les yeux. La luminosité me pique légèrement les yeux. Je baisse la tête. J'observe le sable qui est venu se poser sur mes pieds. Mais je relève super vite la tête. Pourquoi ? J'aime pas mes pieds. Non, mais sérieusement, j'aime pas mes pieds. Tu as des gens qui ont des pieds super jolis, moi ils sont trop trop moches. Je crois que mes orteils se sont chamaillés. Genre le petit voulait être devant les autres, sauf que les autres ba y voulaient pas alors, ils ont quand même discuté entre eux parce que le petit s'était mis à pleurer. Le plus grand pensait qu'il faudrait l'échanger avec le grand numéro 3 sauf qu'il n'a pas voulu alors ils se sont chamaillés puis le grand numéro 2 est venu ramené sa poire, donc ils se sont encore plus chamaillés puis le grand numéro 4 il s'est rajouté alors c'était la guerre totale. Tout le monde s'est monté dessus et le petit ba... Il est aussi monté sur les autres ! Nan, mais... Je rêve ou je viens de raconter la vie de mes orteils là ?!! Hé toi, oui, toi qui lis tout ça, pas un mot, d'accord. C'est ma réputation qu'y est en jeu, donc s'il te plait... ça reste entre nous. Merci !
____Oh, un jeune homme. Je tourne légèrement la tête vers lui. Je le regarde. Il s'installe à côté de moi, posant ses chaussures sur le sable. Il observe l'horizon, approuvant le fait que le paysage était merveilleux. Je souris. Les mouettes qui volent dans le ciel piaillent. Je n'ai jamais aimé leur cri. Je lève mes yeux émeraude vers les oiseaux blancs. Je pose mes mains derrière moi pour laisser tomber légèrement la tête en arrière et regarder le ciel. Il y a quelques nuages. Vous savez quand il fait beau, il y a de superbe nuages immaculés. Ils sont magnifiques je trouve. Le plus drôle, c'est d'essayer deviner les formes qu'ils peuvent créer. Si vous me regardez bien, vous pourrez constater que j'ai l'air d'une vraie gamine en train de regarder le ciel. Mes yeux brillaient de cette petite lueur enfantine. Je peux voir un nuage qui ressemble à une tête de dragon je trouve. Je souris et je lève la main vers ce nuage. Un filet de lumière file droit vers ce nuage et le fait briller. Je souris de nouveau et annonce au garçon à côté de moi :
« Héhé, regarde, on dirait un dragon. »
____D'un petit mouvement de main, je le fais bouger puisque je lui ai attribuer les propriétés de la lumière. Je le fais foncer doucement sur un autre nuage. J'éteins sa lueur, retirant la magie que j'ai posé dessus. Les deux nuages fusionnent entre eux et deviennent un nuage commun qui cette fois, ne ressemble à rien. Du moins, je ne vois pas à quoi ça pourrait ressembler, malgré ma grande imagination. Je soupire et je tourne de nouveau la tête vers le jeune homme.
« Au fait, je m'appelle Chloé, dis-je en souriant. »

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Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: A SUPPRIMER   A SUPPRIMER 1400359500-clockSam 30 Mar 2013 - 20:47
Vous pouvez supprimer ce sujet, étant donné que Darren a été supprimé. /:
Merci. ~
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MessageSujet: Re: A SUPPRIMER   A SUPPRIMER 1400359500-clock
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