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| 3 Juillet // PAINTBALL PART 1 [Cynia] | |
| InvitéInvité | Sujet: 3 Juillet // PAINTBALL PART 1 [Cynia] Mer 16 Aoû 2017 - 11:42 | | 11h30. Elle avait eu de la peine à cacher sa surprise lorsque tu étais venu la trouver l’autre jour pour lui demander de faire équipe avec toi. Elle avait eu de la peine à masquer sa joie que tu penses à elle pour ce coup-là, alors c’est tout naturellement qu’elle avait hoché la tête. Elle avait accepté tu sais, parce que passait un moment avec toi par ces temps de conflits en tout genre lui faisait du bien. Un pot comme un pot de glace lors d’une déprime, un calmant à ses débats intérieurs incessants. Killiam lui en avait parlé quelques jours avant et elle avait hésité à y participer. Pas que l’idée paraissait peu attrayante, mais être vue balançant des boules de peintures sur les gens n’était pas forcément bon pour son image, déjà très mauvaise, bien qu’elle ne cherchait pas vraiment à être plus appréciée des autres. Seulement elle en faisait déjà beaucoup, entre Raven et les S, beaucoup trop et elle se perdait pas mal alors elle avait simplement rétorqué à son frère qu’elle y réfléchirait.
Mais ça avait été trop tentant et ton arrivée avait achevé le reste de ses hésitations.
C’est pour ça qu’elle est là aujourd’hui, avec toi en pleine pause déjeuner à taguer les murs rapidement, discrètement, de façon à tout mettre en place avant le début du jeu. C’était une demande d’Orion, alors si le chef des Kiwis le demandait elle n’avait pas vraiment de raison légitime de refuser. Quelques coups de bombe pour écrire quelques clash à destination des cibles premières de cet assaut pas encore lancé. Cachée par ses lunettes de protection brunes et son survêtement, protégée par toi, Hyacinth, qu’elle observe du coin de l’oeil avec cette demi esquisse qui étire ses lèvres, elle écrit. “Blanche colombe aussi pâle qu’un papier vide.” En blanc, directement destiné à ces chères Colombes frêles et naïves.
Puis vous passez à un autre endroit et les répliques s’enchaînent, quelques dessins un peu troll à l’occasion, d’autres pas vraiment terminés à cause d’une fuite précipitée et quelques éclats de rires discrets entre les rues. Un regard sur sa montre, quelques mots qu’elle t’adresse en vérifiant son matériel pour l’étape suivante.
« Ça ne devrait plus tarder maintenant. Tu es prêt ? »
12h00. Et la musique qui se lance en signal de départ fort divertissant.
HRP // Théa et Hyacinth taguent et s'attaquent la grande place et le quartier marchand ♥ ft. Hyacinth ❖ 3 juillet |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: 3 Juillet // PAINTBALL PART 1 [Cynia] Mer 16 Aoû 2017 - 13:24 | | — Arrêtez de piailler au poulailler = fermez-vos gueules.
— Vous êtes la basse-cour de Prismver, y a rien à en être fier.
| je devrai pas, je devrai pas, je devrai pas te regarder comme ça - j'en ai aucun droit, t'es incandescente théa, t'es plus que brillante, t'aurais rien à faire avec moi et pourtant, pourtant -- tu me regardes de la même façon. |
| n trait ; puis deux, puis trois. On pourrai croire que tu as fait ça toute ta vie, Hyacinth et au fond, le fond à toi, tu sais que ça te rappelle des souvenirs, des souvenirs bons et un peu moins bons de cette période où là était peut-être l'une des seule façon de s'exprimer librement.
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A la mention de la Paintball Party, tu n'avais pas hésité une seule seconde à participer ; pour saccager et faire des ravages, tu t'impliquais toujours et puis, c'était l'occasion de redevenir un peu un enfant le temps d'un instant. Alors tu avais demandé à Théa si elle était partante pour un binôme, tu lui avait demandé avec nonchalance mais tes yeux avaient trahis l'excitation du moment -- et jamais tu n'avouerais avoir appréhender sa répondre, le cœur battant et les doigts moites, l'attente insupportable. Puis elle avait dit oui -- et elle t'avait conquis. Amoureux.Il était amoureux de toi, Théa. (( et il était tellement désolé )) il en avait eu le souffle c o u p é Vous vous connaissiez depuis des lustres, construisant cette amitié en toute simplicité malgré que vous n'ayez rien avoir, malgré vos différences, malgré les divergences, vous l'aviez construit petit à petit et puis -- et puis. Et puis il y a de ça quelques jours, il avait compris. (( désolé, désolé, désolé, pardonne-moi je t'en supplie )) Un trait ; puis deux, puis trois. -- et il a envie de se railler lui-même. Perdu dans ses gestes, taguant de jolies paroles telles que Arrêter de piailler au poulailler = fermez-vos gueule. si fleurit ou encore Vous êtes la basse-cour de Prismer, y a rien à en être fier ; il taguait avec dextérité, les lunettes reposant autour de son cou en trouvant l'inutilité de les porter - il n'était plus à ça prêt - conscient de ta présence à ses côtés mais perdu dans un monde qui lui appartenait. Mais dès que tu prenais la parole, son attention t'étais toute attribué et il te regardait comme il n'a jamais regardé personne, te souriant, riant, blaguant, te prenant la main quand vous couriez, te taquinant parfois quand tu étais à ses côtés, t'effrayant un peu en te menaçant de sa bombe ; et vous ressembliez à des enfants qui se cherche sans se trouver. - ça ne devrait plus tarder maintenant. tu es prêt ? ( coup d'oeil & sourire ) - toujours prêt pour jouer, princesse.Et son timbre n'a rien de parfait, d'élégant, de posé ; non, il est joueur, amusé et pour une fois, pour une seule et unique fois, ça pourrait être carrément vrai. Il vint reposer ses bombes dans les sacs qui se trouvaient à vos pieds, prenant les pistolets chargés de billes de peintures tout en t'en tendant un dans l'intention que tu le prennes et avec lui, des recharges. Il prit l'un des sacs sur son dos et vint lier vos mains comme si c'était tout naturel, t'offrant un sourire si beau, si éclatant, presque - presque - heureux, avant de venir embrasser ta tempe ; avec cette fausse nonchalance. - montre-moi tes talents au tir ! celui qui touche le plus de personnes, a gagné. fit-il ensuite avec cette touche de malice si éloigné de cette douleur au cœur ; synonyme de malheur et de rancœur. - interdiction de toucher les petits vieux, okay ? reprit-il en te donnant un léger coup de coude. à savoir ce que serait la récompense à la clé. _____ |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: 3 Juillet // PAINTBALL PART 1 [Cynia] Mer 20 Sep 2017 - 23:52 | | Tu ne saurais la ravir plus qu’en étant présent à ses côtés, est-ce que tu le sais, Hyacinth ? Elle avait accepté de participer à cette event parce que tu le lui avait demandé, et être ici, avec toi à rigoler et faire ces blagues un peu idiotes ça lui redonnait le sourire. Elle avait le sourire Théa, lorsque son regard se perdait dans le tien, le sourire lorsqu’elle te parlait et lorsqu’elle t’écoutait. Elle avait le sourire parce que tout était si simple, étonnement simple avec toi. Elle avait cette envie d’espoir, cette petite touche de charme qui la faisait brûler de l’intérieur. Alors, tu sais, quand tu prends sa main avec douceur elle se sent fébrile sans qu’elle ne puisse l’expliquer, et elle a envie de te serrer dans ses bras pour te protéger Hyancinth. Elle a envie de te serrer dans ses bras et de ne plus jamais te lâcher, parce que tu avais sur elle cet effet si réconfortant, et parfois lorsqu’elle y pensait dans la solitude de son bungalow, les larmes se mettaient à couler tristement sur ses joues.
Elle se surprenait à penser que tu lui manquais. Et elle ne saurait dire si c’est mal alors elle ne dit rien. Et tu continues de lui manquer Hyancinth, tu continues si fort de lui manquer. Un baiser sur sa tempe, frisson incontrôlé, heureusement discret, qui s’égare à l’intérieur de son corps tout entier pour venir l’électriser. Elle est si agréable cette sensation de calme autour de vous. Malgré vos courses à travers les rues, malgré son coeur qui tambourine, tambourine, tambourine dans sa poitrine.
Elle est là Théa, à te sourire encore comme rarement elle l’avait fait auparavant.
« Et qu’est-ce qu’on y gagne ? »
Elle avait toujours adoré jouer avec toi, ces provocations gentilles qu’elle te lançait pour faire durer le jeu un peu plus longtemps. Il y avait cette douceur dans tes gestes, cette même dans tes mots qui lui arrachèrent un rire, joli rire d’un clair surprenant. Comme le chant des oiseaux les jours de printemps.
Qu’est-ce que vous y gagnez, Hyacinth ? C’est vrai ça.
« À ne pas viser les petits vieux je veux dire. »
Se reprit-elle en t’adressant un clin d’oeil. Elle avait dans ses yeux ces paillettes que l’on ne voyait jamais, et dans sa légèreté une tendresse infinie. Alors que la musique débutait enfin, elle attrapa ta main et dans un dernier élan te tira à sa suite pour vous emmener vous perdre dans les rues de l’île.
« Essaie de ne pas perdre trop vite surtout ! »
Jolie voix de cristal qui s'éloignait au vent.
HRP // Théa et Hyacinth taguent et s'attaquent la grande place et le quartier marchand ♥ ft. Hyacinth ❖ 3 juillet |
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