"It has me seeking out and searching for you" ◆ ft Aslinn

"IT HAS ME SEEKING OUT AND SEARCHING FOR YOU"  ◆  FT ASLINN


Ni trop tard ni trop tôt, les étoiles ne s'étaient pas encore évadées de la lampe du ciel. Pas un mot ne sortait de ta parfaite bouche aux lèvres de pierre. Elles se dessinaient bien là, sur ta jolie peau perlée de fatigue. T'aimerais jouer de tout ça, de leur lueur nacrée, de ton air de marbre, mais pour l'instant, une seule chose occupait tes neurones. Aslinn.

Quoique tu redoutes ta propre humeur de chien.

T'entrainer ainsi était d'un bénéfice indubitable. Mais cela t'éreintait tout autant. Comme chercher encore ces mille et une choses. Un peu plus et tu te retrouverais avec de nouveaux pansements. Pas que leur présence ne te défigure, au contraire, ils t'allaient bien, mais ils étaient en nombre déjà suffisant.

Tout ceci était pitoyable.

Tu savais que t'y rendre était mi-dangereux mi-joyeux. Mais ta chance ne te tournait pas le dos. Elle avait l'air de préférer t'accompagner, assise sur tu ne sais quel nuage surplombant ton crâne du même blanc. Ç'aurait pu être assez calme sans les gamins bruyants de fausseté. Si ce n'est délicieux. Vraiment, leurs mots si délicats chantaient contre tes oreilles. Et tu en ressentais tant de sensations, tant de certitudes.

Pour raconter des bobards, demandez aux humains.

Heureusement que certains ne s'y plongeaient pas. Sinon ton don te tuerait pour de bon. Ce n'est pas tant dans cet objectif que tu t'aventurais au premier étage. Si cela avait été le cas, tu te serais simplement foutu dans un coin du bungalow avec un livre et de la musique. Sans chant, voyons, ne pensez donc pas à ces idiotes choses à paroles. Elles pourraient tordre tes chairs à force de mensonges.

Et puis si peu complexes à détecter.

Tu cherchais refuge pour un exténué momentané, cher docteur. Et étant arrivé à un point tel que les mensonges banales te fassent mal, il n'y avait pas des centaines de solutions efficaces. Plus que quelques fois par an, ton don surchargeait. Souvent déclenché par un manque de repos, trop d'occupation, une fatigue qu'il accentuait violemment.

Heureusement que ce n'était pas tous les mois.

Si une chose te rendait bien, te rassurait, c'était bien lui. Alors tu en avais fait ta destination. La musique résonnait calmement en dehors de la salle. Ses pas étaient plus bruyants. Alors que tu les savais tout aussi légers. Tu avais hâte d'entrer diantre ! Alors tu te faufiles avec le plus de discrétion possible. Milles efforts sont donnés et organisés. Puisse ton adorable maladresse fermer sa bouche.

Tout est entré, tout est fermé.

Et puis tu le vois et tu t'assois juste.

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Sans peiner un millième de seconde, tu profites de ces sons, de ces mouvements, de ce corps peinturluré de beauté et grâce, tout en gardant son empreinte unique. Tu ne t'empêches pas de sourire devant les paroles si appropriées. Tant de concentration en ce petit bout d'homme. Tu aurais pu percevoir chacune de ses attentions. Un geste par-ci, un balancement tentant de l'autre.




Dos nu, bras nu, et serpent dansant qui laisse ses pas le guider. Il est encore différent, changeant comme l'eau. Vaporeux entre ses sauts et solide sur ses tombés. Puissant et limpide de sincérité. Un flot qui ne peut tromper que lui-même entre ses milles poissons et innombrables herbes, qui ne peut que voir son propre fond si sombre, si flou, si rempli de contre-sens et impulsions insensées.


Wish on your lucky stars
'Cause it's all you got
Won't get you very far
When the music stops


Pour se perdre, se tromper, elle n'est pas seule l'eau. Vous êtes deux avec toi, la lueur. Tu t'accroches entre ses gouttes, elle entre tes rayons. Vous ne faites qu'un dans le noir. Là où tu te blottit et te reposes. À cet endroit doux qui égarent vos pauvres essences. Qui induit vos esprits et vos sentiments en erreur et raison. Parce qu'au bout du bout, il y a des particules de vérités, toujours.




Un demi tour et bam, ta beauté fatiguée entre dans son joli champ de vision. Coucou danseur. Un petit choc tout de même. Tu secoues un peu la tête, ah, si concentré.  Il coupe le son avec allure. La sueur perle, sa gorge se désaltère.


Oui, non, que répondre, que dire. Mais que d'interrogations explosent dans ta petite tête. Tellement qu'elles remplissent ton crâne que diable. Si ce n'est impressionnant, tu ne sais guère ce qui peut l'être.


Tu te lèves lentement pour te rapprocher de lui ? Toujours cette sensation, toujours et encore, elle se répète et t'enchaine. Pour le meilleur et le pire. Tu tangues un peu. T'asseoir t'affaiblit diantre. Tu n'oses surement pas t'imaginer grand-père, oh que non. Tu serais affreux. Même toi tu le sais.

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Le joli bonhomme boit encore. Entre les gouttes d'eau et celles de temps, vous vous observez. La simplicité n'a rien fait de plus beau, c'est ce que tu te dis en souriant doucement. Le scepticisme largement exprimé t'apporte peut-être quelques doutes. L'horloge s'est-elle vraiment permis de tourner plus rapidement que ce que tes ordres avaient induit ? Probablement. Elle te joue des tours en ce moment.


Mais bien sûr. Il n'y a après tout que cela qui attire ton intérêt, seulement ses fesses et c'es tout. Et puis bien entendu, tu n'as pas la moindre minuscule inquiétude pour son état de santé. Non, c'est si négligeable. Aussi ridicule qu'une fleur dans un champ. Et puis la question en est réellement une. Tel est le problème. Serviette nonchalante s'assoit sur la chaise, Monsieur boit, toujours.

Et tu te sens vidé d'un peu tout.


Perspicace. M'enfin, à force Aslinn te connais. L'inverse eut été misérable et l'aurait rendu plus stupide que les lapins crétins en personne. Tu remercies le ciel comme tu peux du manque de débilité du jaune.


Tu soupires lourdement en hochant la tête. Un  peu plus et tu deviendrais penaud. Niet. Hors de question, et encore moins lorsque ton vis à vis adopte un si narquois sourire. Ahah, oui, il peut au moins se vanter de ça. Il n'y a bien que lui pour t'accorder une telle paix.


Bien qu'il mange. Tu aurais du apporter un truc plus nourrissant que cette pauvre et délicieuse barre de céréale histoire qu'il ait un peu plus dans l'estomac. Petit inconscient.


L'élégance s'approprie tes traits pour descende le rejoindre, après une décision de la plus haute importance. Ne pas lui taxer sa barre de céréales était un véritable calvaire. Mais tu es brillant, rien de plus simple à endurer.


Ce serait bien que tu lui serves à quelque chose. Tu es suffisemment doué de qualités pour l'aider alors pourquoi, pourquoi tu ne pourrais rien faire pour lui bon sang. Tu te sens patraque, grandement patraque et au bout du fil de jolie vie. Bonjour les complications. Ça sent aussi mauvais que les poubelles de ton bungalow voisin. Tu apprécierais bien que les dieux soient doux avec toi.

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Tu sors tes mots et paroles dans l'oxygène ambiant. Et l'air vibre en réponse. Et Aslinn écoute, hoche vaguement la tête. Tu sens bien qu'un truc cloche, tu n'es certainement pas stupide. Tu es.. brillant. Oui, voilà bien le seul mot qui convienne. Il ne restait plus qu'à espérer que ton adorable sarcasme n'induise pas en erreur. Et parfois, tu dois bien avouer que les gens semblent un peu mal comprendre. Ou juste pas exactement.

Fichue maladresse de verbes.

Ça fait des années et pourtant elle s'accroche à toi dans le noir. Ses griffes entrainent ton cœur dans leur empressement. Les choses et le temps s'emmêlent alors, dans une course effrénée. On ne dirait pas pourtant. Quand tu dis, quand tu parles et annonces, balances et assène. Pourtant y a toujours cette difficulté à communiquer tout clairement et simplement.

À peine agaçant, voyez-vous.

Comme la manière nonchalante de ce cher Aslinn en haussant les épaules. Ni oui, ni non. Tout cela n'est bien sûr ni inquiétant, ni stressant, ni angoissant, et puis surtout, ça ne te fait absolument pas manquer un battement de cœur. Puisses-tu raccourcir le cabotage de ces sentiments mal placés. Ça ne semble faire rien de bon pour lui. Haha.


Sa gaminerie tire la langue et tu te sens fatiguer. Puisses-tu rien du tout. Comme tu hais cette indécision et cette hésitation collantes à la peau. Elles tirent sur les bouts accessibles, sans relâche. Et c'est bien loin d'être agréable, on n'est surement pas proche de l'orgasme sur ce coup là.


Sans y penser, tu penches la tête. Un sourcil se relève avec un si haut scepticisme que même toi tu ne saurais quoi en faire. Pire qu'une montagne que diable !


Tu le regardes fixement. Comment dire..


Et tu le copies. Haussement d'épaules. Puis tu finis par t'allonger sur le sol. C'est un brouhaha de pensées en toi, et tu te sens éreinté. Si éreinté.

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Les sons de craquements résonnent sous tes cheveux. Jolis cheveux sur le sol. Mais parfois, ne faut-il pas faire quelques sacrifices ? Tu es ravi qu'il mange, et cela n'en est à point douter. Tu pourrais rester des temps indéfinis allongé là, dans le frais et le silence. Comme une statue au milieu d'une cave bien agréable quoique mortuaire. Les reflets de vie se verseraient régulièrement sur ton corps de pierre, et tous les petits bruits du quotidien se répercuteraient contre ton enveloppe.




Mais tu espères avoir un peu de temps avant de devenir quelque peu cadavérique. Tu ne sais pas tellement d'où vient cette attitude d'Aslinn. Ou cette conviction indiscutable de sa non importance. Et de sa fugacité dans la vie des gens, comme si on se servait de lui avant de le laisser tomber, comme un vulgaire chiffon. Au sol et si seul. Le pire semblant bien être sa joie de d'une telle utilité. Le secouer comme un prunier n'était pas une solution à cela. Tu avais quelque peu dû te raisonner. Mais sans trouver une véritable solution. Tu doutes que ce soit réellement le moment de penser à ça néanmoins.




Empêcher un sourire de s'en emparer eut été bel et bien impossible. Quel joli baiser diantre,  et cela avec une certaine surprise. De la même manière que ses paroles, balancées dans l'air frissonnant autour de chacune de ses syllabes.




Tu te relèves plus aisément et avec plus de vitesse que n'importe quel athlète aurait pu le faire. Rapide comme l'éclair, rapide comme la foudre. Après avoir pris la décision, de laplus haute importance, d'ignorer le pétillement de tes yeux et leur éclat, tu fixes intensément le charmant danseur en face de toi. Tu admires ses mouvements, toujours si étranges à tes yeux. Loin d'être déplaisants toutefois.




Et la salle commence à chanter d'une voix forte et claire, douce comme les premiers éclats de l'aube. Enfin, ça c'est ce que les poètes disent. Mais c'était en effet lumineux. Si vous voulez. Mais ce n'est pas si important que ça, surtout en comparaison de ce qu'il se passait actuellement.




Ses gestes, tout. Il n'a qu'à s'élancer pour briller. Pour être flamboyant. Pour rejoindre des étoiles inaccessibles à la plupart, atteignable ni par les astronautes ni par la science. Seulement par les gens comme lui, des personnes réellement bizarres. Qui savent ressentir différemment et faire ressentir un peu de ce qu'ils perçoivent. Il serait bien appréciable de voir par ses yeux et suivre ses mouvements. Pour comprendre.

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Dessiner l'air de ses gestes ne semblait pas une mince affaire, pile entre beauté et fêlure. Comme si pour que le magnifique fasse sa place était nécessaire une imperfection tremblante, soufflant sur les pieds et les bras pour contraster la scène. Du blanc pour faire briller le noir, du jaune pour souligner le bleu. Et c'était tout simplement parfait en ce point.



Mais tu esquisses un sourire narquois lorsqu'il jure. Alors Monsieur, pas un peu excessif niveau détails ? Quoique tu comprennes son perfectionnisme, ça ne t'empêche pas de t'en moquer correctement. La musique résonne dans la pièce vide avec la pathétique force des choses. Et il tombe au sol, soufflant. Alors tu n'as qu'une réponse, celle de rire bassement. Et les sons ne se brisent que dans les mélodies pastelles de la chanson. De quoi couvrir ton amusement, occasion exemplaire diantre !

Son regard porté vers le plafond te rappelle ceux plantés vers les cieux. Comme une prière d'acharnement et désespoir. L'ironie du sort reste probablement que ce misérable asticot ne percevait pas son propre don. Ni à quel point ses hésitations et tâtonnements forment un ensemble cohérent. Quelque chose qui flamboie entre le crépuscule et les flammèches de l'aube pour démontrer à quel point la teinte du ciel n'en sera que plus parfaite par la suite.




Tu hausses un sourcil. Ton scepticisme engloberait bien l'île entière si on le voyait totalement. Mais oui, bien sûr, et puis il dansait si mal n'est-ce pas. Quel stupide idiot. Tu te penches simplement sur ses lèvres. Ce n'est pas un baiser aussi léger que le sien. Tu t'appuies plus, cherchant un charme et une douceur perceptible. Tu te rallonges ni vu ni connu, proche de lui, soupirant presque d'amusement.

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Un souffle se cache, à l’interstice des étoiles et du ciel, juste là coincé entre deux astres éternels. Ça ferait une flamboyante poésie de chanter les cieux et la nuit, seulement tu n'y croirais guère. Ces mélodies et ces sons de beaux, on les retrouve en si grand nombres dans tous ces mensonges enchantés, à quoi bon salir la réalité de tout ça.



Tu ne sais pas si ce sont ces espèces de picotements entre ton palpitant et tes synapses qui se mélangent pour former cette compote étrange, ou si c'est simplement un mirage chamboulé de fatigue qui te pousse à faire ce que tu fais, être ainsi. Mais tu es perdu, réellement, perdu entre cela et Aslinn lui-même. Aucun doute que tes yeux doivent exprimer ce désarroi.


Que croire, que dire, que faire, que choisir, que penser, que faire. Ça tourbillonne sans cesse. Et jamais ô grand jamais une telle chose ne s'est éclatée à te tourmenter ainsi, d'une façon si étourdissante. Ce n'est pas agréable. Et tu n'aimes pas ça.


Ce ton pâlichon résonne comme peu de fois. Il te vient pas souvent, se distrait rarement avec tes paroles.  Mais dès lors que ce dépaysement ce fait, il réapparait. Baiser. Tu n'es pas là pour ça, plus comme avant. Ça a évolué. C'est sensé être visible. Et tu sais qu'il sait, parce qu'il n'a rien de ces gamins innocents nés de la dernière pluie. Tu ne saurais poser de mots ou paragraphe dessus. Seulement que ce n'est plus identique à ce que vous étiez. Ça ne ressemble plus à rien.

Tes muscles et ton crâne ont beau s'être apaisés, tu aurais presque envie de retomber sur place. Tu suis ses mouvements du regard, assis. La décontenance ne te va pas. Plus vite tu pourras la jeter mieux ce sera.


Cette fois, tu le détailles de haut en bas. Est-ce que c'est toi qu'il fuit, toi et tes gestes, ou lui et ses réactions, ses barrières ?

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Tes traits se plient comme un vulgaire et éphémère origami. Ça n'a rien de bien beau mais tout de fébrile. Le tonnerre aurait frappé avec plus de force s'il avait été sadique. S'il avait voulu te laisser sombrer sous les larmes de tes joues, il aurait pu, il aurait pu de bien loin. Ça ressemble bel et bien à une faille ignoble et pitoyable, mais si présente et palpable que tu la haïssais plus que la moyenne. Plus que les autres.




Aslinn pouvait te faire mal sans dire les choses, et cela avait de quoi impressionner un tel dépendant des mots que toi. Un vrai accro à la compréhension et aux vérités. Peu importe que tu saches plus ou moins ne pas être détesté par ce fichu danseur aux airs de fichu feu follet, te retrouver résumé à vos embrassades te paraissait débile. Et ça faisait picoter ton palpitant aussi, pauvre idiot de bougre pas fichu d'aller mieux. Une telle façon d'agir ne devrait rien te faire, rien du tout ou à peine t'éventer. Mais non, ça ne faisait pas ça. Et cet attachement si flou que tu avais pour lui commençait à ne voir qu'un jour et plus la nuit. Que pile et pas face.




Un jour, tu as rêvé que les mots compliqués remplacent la douleur des mots habituels. Comme si un nouveau bras pouvait remplacer celui coupé par une hache.. C'était une belle illusion. Ah, ton côté indéniablement idéaliste était remarquable n'est-ce pas ? Ce rire légèrement vidé de sentiment te le fait bien dire.  




Tant de sérieux, et autant de stupidité. C'est vrai que discuter ça n'arrive jamais hein, mais quel idiot es-tu pour avoir eu d'aussi nombreuses hallucinations de bonne entente. Tu chasses les recoins de son visage et les tourbillons de ses yeux avec le plus de méthode possible.  Tu te sens si démuni. Et encore plus quand il change de masque pour rire et jouer avec excès un personnage qui n'a rien à faire là. Peut-être que le pousser ainsi est particulièrement mauvais de ta part. Que tu ne l'aides en rien. Enfin cela ça n'en est à pas douter. Tu ne lui es pas utile. Et si ça continues comme ça rien ne va changer là dedans.




L'image qui se forme dans ton esprit est délicatement alléchante. Ce serait presque redoutable si tu avais eu des dispositions différentes. Mais ce n'est pas à l'ordre du jour. Alors tu te relèves, baissant les yeux au sol pour ne pas balancer ta carcasse branlante sur le sol. Et puis tu te diriges juste en face de lui, presque à le toucher. Rien ne va changer avec une telle poursuite des choses. Sauf que la probabilité que ce soit pour le meilleur est bien supérieure à toute autre chose.








Même toi tu es ébloui par le flou qui engage ta vision. Par les Dieux, ça faisait bien longtemps que ça ne t'était pas arrivé une chose pareille. C'est vraiment comme quand on met des gouttes. Sauf que dans ta situation, impossible d'y faire quoique ce fut.






Pitoyable Ambroise, ridicule cette voix enraillée.