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 Prismver Of The Dead. | FREE ▬ ACT I : Nightmare Of The Death.

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MessageSujet: Prismver Of The Dead. | FREE ▬ ACT I : Nightmare Of The Death.    Prismver Of The Dead. | FREE ▬ ACT I : Nightmare Of The Death.  1400359500-clockDim 9 Déc 2012 - 0:35
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Prismver Of The Dead. | FREE ▬ ACT I : Nightmare Of The Death.  6oj6sm

Il a plu une heure avant le crépuscule de cette apocalyptique éclipse de terreur. Pas un orage, ni une averse diluvienne, mais un triste crachin risible d'arrière-saison tardive, mortifiée par le froid. De l'eau glaciale gelée sous les flocons d'une neige indécente brumait fièrement, en douche lancinante et molle, les rues et pavés grisâtres... Délavant ceux-ci en y laissant de grandes flaques sales et boueuses à fleur de bitume, elle desserrait le dévolu qu'elle entretenait si machiavéliquement sur un cauchemar imbibé de sang.

Cela n'avait duré qu'une minute, minute pendant laquelle une bise mordante s'était levée et depuis, souffle son haleine fétide bipolaire sur le paysage urbain. Prismver en pénurie de bon sens.
L'adolescent solitaire alors qualifié comme loup à part entière aux crocs de foudre remonte les manches de son pull cousu dans les couleurs de son patrimoine ; il n'en croit seulement pas une traître seconde.

L'atrocité des événements est telle que trois pas lui suffisent à trébucher, le faisant s'affaler au sol. Puis, dignité de jeune homme recouvrée, il reprend un pouls stable et court, rehausser sur l'équilibre de ses deux jambes. Il témoigne de sa présence par son étonnement ainsi qu'une aptitude à garder un sang-froid effarant, malgré les circonstances. Cependant, en cette grande saison hivernale, il détenait du mal à préserver un semblant de crédibilité, voire de virilité. Toute cette douleur et cette haine s'était empiffrée d'un amour vivant sans égal au beau milieu de cette allée carrelée de sang. Les pierres n'étaient plus que des édifices sans importances. Bientôt, elles ne joueraient qu'un rôle secondaire sur cette scène morbide emberlificotant la fin d'un monde décadent...

Alors, il retient son souffle... Puis, fuit de sa position, sans but précis. Aux couloirs esseulés de ce foutu pensionnat de dingues, il ressent le vent le pourchassé, les lumières s'éteindre et se rallumées. Ses pupilles n'en reviennent toujours pas ; tout cela n'est que l'anarchie d'une abomination...

Après tout, tenta-il de se rassurer, cela ne peut être qu'un mauvais rêve, un égarement de sa conscience en proie de pulsions et tension... Pourtant, toute cette souffrance dans les aléas et intonations des cris de ce jeune homme, première victime du monstre... Cela paraissait bel et bien réel. Non. Cela était réel. Quoiqu'il puisse dire, quoiqu'il puisse faire, ça le mènerait à la contradiction, lui, arrogant rebelle ne cherchant qu'à échappé à cette fatalité poignante.

Les cloches de l'après-midi sonnent comme un glas élancé sur la piste d'un assourdissant silence de plomb, elles annonces le délit de la mort, entre-autre, le débit de la vie.

Un brouillard diffus descend du ciel soudainement poignarder par une mystérieuse force nocturne et mange le sommet des montagnes visibles par-dessus les hautes-formes du toit de l'internat. Il est anonyme et autonome. Et, tandis que Law dévale en trombe les escaliers du dernier étage qui le sépare du reste des pensionnaires, son cœur l'étrangle, il lui remonte à la gorge, en douceur... Une mort lente et subite comme jamais.

C'est alors que tout défile à ses paupières alourdies, cette femme au visage enfoui sous de longs cheveux gras et humides aux habits fait de haillons et lambeaux dépareillés clopinant d'une démarche aussi bancale que biscornue trépasse les murailles et barrières cadenassées dudit pensionnat paradoxalement sécurisé contre les dangers venant de l'extérieur... Un élève est intéressé ; on voit à son allure qu'il est en retard. Cet idiot s'arrête. L'intrigue prend place aussi aisément qu'une pute en plein trottoir, elle s'empare de lui avec autant de zèle que cela en devenait abasourdissant. Il l’interpelle, certains d'être en mesure de l'aider, d'avoir le sentiment de pouvoir paraître utile, à cette bonne femme qui recrache ardemment ses boyaux décolorant le sol de ses poumons noircis par la mort...

C'est, sans hésitation, qu'elle lui saute au cou, à lui, qui ne demandait rien de plus que de pouvoir être efficace. Elle le tue, il est faible. C'est la loi de la nature, manger ou être manger. Il détient aux creux de ses paumes ce pouvoir que tout le monde désir, inconnu aux yeux de notre héros. Pourtant, malgré sa position, il a été amadouer par la pitié. Elle en profite, la créature... faites de croûtes au visage dont dépasse des vers luisants de pourpre grignotés à la peau criblée de trous ; elle lui arrache sauvagement la chair fraîche dans laquelle son corps est forgé, puis la mange. Lui tirant les muscles et le bras, elle n'hésite pas à y planter des canines en faim de viande humaine... Lui, arrivant à se défaire de l'étreinte mortelle de la Chose lui ayant rongée la moitié de son anatomie, bondit, chancelant, en direction du grand hall, poursuivit par celle-ci qui se rétame au sol après avoir glisser sur son propre intestin. Cela lui fait gagner des minutes de répits, bien que son sort soit déjà compter pour lui...

Law n'arrive pas à s'effacer cette image de sa tête, pourtant, tout cela était vrai. Cette saloperie s'était immiscée au sein d'une journée à la fois paisible et merdique et maintenant, c'était le début des hostilités d'un éprouvant tourment. La peur, lui tenaillait le ventre...

En trombe, il défiait les lois de la gravité en sautant marches par marches jusqu'au sol, enfin, il accède à l'immense Hall de Prismver. Sans dessus dessous, il est, dans la beauté du mal, l’ébullition de la crainte et l'écroulement d'une symphonie trop parfaite. De fines notes d'horreur surplombant les autres, elles font s’entrouvrir les pensées les plus chapardeuses. Chaque personnalités de chaque classes aux multiples pouvoirs y sont regroupées, rare est cette situation de mélange qui incitait les élèves à attesté d'un rigoureux « brassage ethnique ».

Les professeurs perdent de leurs autorités, ils ne gèrent plus la situation. Et le vieux Ruthel qui n'arrive pas dans un moment si critique... Ils sont tous ameuter autour du corps de la victime tantôt éprise par la bête noire lui ayant si aisément ôter la vie... Il entend des cris se faire, sa maturité prend le dessus. Des pleurs et des étonnements, des questionnements sans réponse, il en est l'ultime responsable, de cette notion de connaissance... Finalement, une inflexion sourde éclate. Elle créer un écho de silence tandis que Law dirige la vitesse de ses enjambées vers les escaliers de l'estrade. Cette résonance étrangère érigeait la suspecte couardise que personne n'osait s'avoué...

« Ces... CES MARQUES DE MORSURES !!... Il n'y a pas d'autres explications... C'EST L'OEUVRE D'UN Z... »

Un claquement de doigt ; les enceintes situées aux colonnes de marbres s'allument et bourdonnent instantanément, s'obstruant à un calme plat, explosant les tympans de la totalité du personnel sur les lieux. Son contrôle de l'électricité lui avait laissé le bénéfice de se raccorder à la technologie afin d'attirer l'attention de tout le monde. Ce n'était pas dans son habitude de faire ça, de prendre les devants. Cette allure de leader qui ne lui allait pas l'irritait au plus haut point... d'ailleurs, monté sur ce gigantesque estrade de bois, il pouvait reconnaître plusieurs têtes qu'il avait croisé auparavant... Cela lui importait peu, il était de son devoir de mettre tout le monde en garde. En temps normal, il n'aurait rien fait. Un chien aurait mordu un élève ? Et après ? Il aurait put séjourné une soirée entière sur ce balcon qui offrait une vue tellement splendide, nimbant le pique des réverbères d'une auréole jaune orangé se reflétant au soleil. Le vent se serait fait malin, il aurait papillonné jusqu'à ses cheveux couvert d'un bleu cathodique... Mais non. Désormais, c'était à lui qu'incombait le destin du commencement de cette mauvaise journée. Il s'exclama, aussitôt :

« À présent, fermez-là. des œillades lourdes pesaient sur lui, cependant son regard était bien plus radical, il était feutré dans l'impassibilité. J'ai vu ce qui... ce qui a fait ça. Ça... n'a rien d'humain. Je vous assure, c'est tout sauf cohérent... Cette saloperie... C'était un zombie. »
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