✘ personnages non joueurs ; did they seem afraid of you

Tout le monde connaît Ms. Renfield comme la femme à la poigne glaciale qui est parvenue à faire entendre sa voix sur l'île dans des temps chaotiques. Anciennement maire d'un petit village de campagne anglaise, elle a été forcée de quitter son poste lorsque ses pouvoirs ont été découverts par la population. Elle a par la suite décidé de rejoindre l'île de Prismver et forte de son expérience en politique, est devenue maire de la partie magique du refuge aux sorcières en 2018, après le décès de l'ancien maire dans l'explosion qui secoua alors le pensionnat.

Toutefois, son influence restait moindre et son poste non-officiel, jusqu'au renvoi de Helena Staunton, à qui elle a succédé à la tête de l'île toute entière. Forte de ces nouvelles responsabilités et de ce nouveau pouvoir, May O. Renfield a entamé avec l'aide de Ruthel Prismver un long processus visant à l'indépendance de l'île. Un projet ayant finalement vu le jour en janvier 2024, lorsque l'ONU a officiellement reconnu l'indépendance de Prismver. Depuis, elle en est devenu la première ministre.

May est une dirigeante ferme mais accueillante, prête à tout pour protéger les Monomageias du monde entier et leur offrir une vie nouvelle comme celle qu'elle a pu obtenir elle-même après avoir rejoint l'île. Cependant, en dépit de sa faveur pour l'égalité, elle ne peut s'empêcher de ressentir un peu de rancoeur à l'égard des non-mages, qu'elle tient pour responsables de la perte de son poste initial.


ANECDOTES :
►  Avant d'arriver à Prismver, elle a beaucoup souffert de perdre son rôle de maire de campagne, pour lequel elle avait beaucoup travaillé et dans lequel elle se distinguait par son jeune âge.

►  Ses actes sont motivés par un idéal dans lequel plus aucun Monomageia n'aura à souffrir à cause de son pouvoir.

►  Elle possède la faculté de contrôler l'eau et maîtrise son pouvoir à la perfection, mais elle a avoué être plus à l'aise avec la forme solide de l'élément.

►  May est issue d'une famille de mages dans laquelle seules les femmes, de mère en fille, héritent de pouvoirs. Ils sont tous plus ou moins liés au contrôle des éléments.

Désormais maire de Prismver, Patricia se distingue aussi parce qu'elle a été l'une des premières élèves à rejoindre l'école. Entrée en première année à l'âge de 12 ans en 2003 et immédiatement en classe A pour son application et ses formidables capacités de lecture des pensées, elle s'est orientée vers un cursus de droit avant de devenir professeur de droit à Prismver, passionnée par son sujet et par cette île dont elle est tombée amoureuse.

En parallèle, elle s'est beaucoup impliquée bénévolement pour la protection et l'accueil des mages au sein de l'île. Lorsque Prismver est devenu une principauté et que May O. Renfield est devenue première ministre, Patricia a décidé de se présenter aux élections organisées pour trouver un nouveau maire et forte de la popularité qu'elle avait gagné grâce à son bénévolat, elle a été élue par la majorité.

Patricia prend son rôle très à coeur et sa nature à se soucier des autres est appréciée pour ce poste. Parfois, l'enseignement lui manque, mais elle ne faillit jamais à la tâche. Elle fut parmi les premières personnes à demander la nationalité Prismvérienne et c'est également la maire adoptive d'un jeune mage rejeté par ses parents après la découverte de ses pouvoirs.

ANECDOTES :
►  Dans sa jeunesse, Patricia était une adolescente hautaine et égocentrique. Toutefois, cela a fini par changer avec l'âge et même si elle en garde un fond exigeant, elle s'est largement adoucie.

►  Elle est très excitée dès qu'elle doit procéder au mariage de qui que ce soit, un peu trop peut-être.

►  Patricia partage l'idéal de May O. Renfield, mais elle doit avouer que parfois, la nature froide de cette dernière l'effraie.

Le directeur du prestigieux pensionnat Prismver, vous l'imaginez comment ? Sérieux, plein de sagesse et responsable ? Si c'est le cas vous avez tout faux. Ruthel est un gros bisounours. Il n'a de directeur que le nom. La paperasse et les corvées du proviseur habituelles, il les laisse à la CPE et se contente de regarder des dessins animés ou de faire des coloriages les pieds en éventail dans la salle commune.

A Prismver, on ne parle pas de pedobear mais de Pedoruthel. Ses élèves sont ses petits chéris, ses choupinets en sucre, il les attend à la sortie des cours pour leur offrir des beignets au chocolat et leur faire des papouilles. Il connaît toutes leurs dates d'anniversaire par coeur et a une liste de leur nourriture préférée tatouée dans le dos (façon de parler, hein).En général les élèves aiment bien l'affection que Ruthel leur porte, mais les cookies c'est bien, les câlins c'est trop, quand tu vois Ruthel à la porte de ta classe tu prend la gâterie et tu cours, loin, qui que tu sois. Et encore, parfois il va carrément dans la classe et lève la main à toutes les questions des professeurs qui tentent de l'ignorer.

Mais toutes cette guimauve et cette bonne humeur, au final, c'est que du vent, une façade. Parce que Ruthel, il sait bien qu'au fond il est seul, et ce pour longtemps. Ces dernières années, avec la sécurité de son île mise à rude épreuve, il a beaucoup souffert. Il est celui qui a porté à l'ONU le projet d'indépendance de Prismver avec l'aide de Ms. Renfield.

ANECDOTES :
► Ses amis de jeunesse font maintenant beaucoup plus vieux que lui et ne lui parlent plus.

► Il a commencé à rénover l'île lorsqu'il avait 28 ans, quasiment tout seul et est très fier de son pensionnat.

► Il a beaucoup de respect pour le premier Ruthel Prismver, par contre Loïs lui est indifférente.

A peine arrivée au pensionnat Prismver que je fis des ravages. Ma beauté, mon intelligence et mon élégance me valaient toutes les faveurs du monde. Mon surnom devint vite "La fille la plus raffinée du pensionnat". Et à peine arrivée que l'on me mis en garde contre elle. Elle, dont on ne sait pas grand-chose mais qui sait tout sur nous, de notre nom jusqu'à la couleur de nos chaussettes en passant par le surnom que l'on donnait à notre petit chien. Elle, qui avait anéanti la réputation d'une bonne centaine de personne en révélant quelque chose qu'absolument personne n'aurait jamais du savoir dans le journal du pensionnat. Parce que c'est elle qui s'en occupe, elle et elle toute seule. L'on raconte qu'elle est très reconnaissable, avec ses oreilles pointues, ses deux longues couettes brunes nouées par deux rubans violets, ses lentilles violettes et son uniforme violet. Sans oublier son téléphone portable, celui qui a fait le malheur de tant de personnes. Jaune, le portable. Mais elle arrive à se faire si discrète grâce à son pouvoir, que l'on ne s'aperçoit même pas qu'elle nous suit. Et quand bien même; pour notre plus grand malheur, elle est réputée pour être très douée en matière de déguisement et de filature.

Enfin, ce ne sont que des rumeurs... … J'espère.

« Mais une fille comme toi n'a rien à cacher, j'imagine, alors tu n'as rien à craindre ! » me dit une amie.

Haha, si tout pouvait être aussi rose...

Fin d'une énième journée de cours. Des amies me demandent de rentrer ensemble, mais je refuse. Un garçon me fait une déclaration. Encore un. Je l'envoie balader. Je ne veux pas gaspiller mon temps avec des gens pareils. Mon ventre gargouille. Je n'ai pas assez mangé ce midi. Mes camarades s'inquiètent, mais je les ai rassurés en leur disant que c'était pour mon régime. Ils m'ont regardée bizarrement mais tant pis. Au lieu de rentrer directement aux dortoirs, je fais un détour par le village, car il y a quelque chose que j'aimerais acheter. C'est l'automne, alors le sol est jonché de feuilles mortes. Il n'y a aucune autre personne dans les parages, c'est très silencieux. Les arbres continuent de perdre leurs feuilles, qui virevoltent au vent. J'aime beaucoup ce paysage, il m'apaise. Mais un frisson me parcourt, et pas à cause du froid. Tout d'un coup, je ressens une impression de mal-aise, comme si quelqu'un me suivait. Je me retourne, personne. L'allée est absolument vide, mais le regard me poursuit. On se serait cru dans un mauvais film d'horreur. J'ai peur. Je me mets à courir, mais ce sentiment continue.  Essoufflée, je finis par arriver en ville. Je m'arrête devant le magasin que je cherchais. Toujours apeurée, je regarde autour de moi. Des enfants jouent sur la place, emmitouflés dans leurs doudounes, un vieil homme avec une écharpe se repose près de la fontaine en face de moi, une femme dans un grand manteau en fourrure portant des sacs en plastiques sort de l'épicerie tandis qu'une autre, avec un chapeau cette fois, assise sur un banc, donne du pain aux pigeons. Ils sont tous habillés très chaudement, à cause du froid, et je ne distingue pas bien leur visage. Mais rien de suspect. Je pousse un soupir de soulagement et entre. Le magasin est pratiquement vide, il faut dire qu'à cette heure-là je dois bien être la seule à demander cela. Je commande ce que je veux, m'assois à une table, patiente un peu puis une fois servie je commence à mordre à pleines dents. *Clic*

« Huhu~ Je vois d'ici les prochains titres: "La raffinée se met à la graisse !" »

D'effroi, je lâche mon hamburger double-ration. Sur le seuil du café se tient la dernière personne au monde que je souhaitais voir, un téléphone jaune à la main. Elle était là, debout, arborant un sourire cruel et satisfait sur son visage. Shu Rockwell. Ma réputation est finie."

ANECDOTES :
► Shu ne donne jamais le nom de famille de son père, Shi, car elle en a honte... ShuShi. Les gens ne la connaissent donc que sous le nom de Shu Rockwell.

► Elle avait accédé au poste de rédactrice en chef en étant gentiment nommée par l'ancienne occupante du poste. Du moins, ça c'est la version officielle : un petit "coup de pouce" et hop, la place offerte.

► Depuis la fin de ses études à Prismver, Shu s'est établie en ville où elle a ouvert un journal. En parallèle, elle continue d'alimenter son blog. Il semblerait qu'en dépit de son âge, son amour des ragots reste intact...

► N'hésite pas à aller fouiner dans les lieux "interdits", comme le bureau du directeur ou tous les recoins de l'île.

► Elle publie régulièrement des messages sur son blog. Pour plus de renseignements et pour les découvrir en EX-CLU-SI-VI-TÉ /PAN/ c'est ici ~

Ancien élève du pensionnat, Dimitri a passé sa scolarité en classe C. Plutôt discret, on n'entendait jamais parler de ce jeune homme calme à la présence si peu remarquable. Très à cheval sur les règles, il continue à présent de les faire respecter avec le plus grand des sérieux.

En tant que surveillant, il se sert de son don d'invisibilité pour rôder dans les couloirs et prendre les élèves sur le fait. Il est extrêmement stricte et ne se laisse pas aller à la pitié quand il s'agit de mettre des punition.

Véritable cauchemar des pensionnaires les plus téméraires, il semble toujours au là au pire moment et cherche probablement à gagner le concours inexistant de retrait de points de maison.

Ce PNJ peut intervenir dans tous vos RP dans le pensionnat si vous enfreignez le règlement de l'école.