Ou comment se faire choper par une plante génétiquement modifiée | Cameron O'brien.

Les écouteurs dans les oreilles le regard rivé sur le chemin de roches, le rouquin avait l’esprit en paix pour la première fois. En paix dites-vous? Oui, oui! Cela se pouvait bien et bel qu’il puisse respirer et inspirer, que la pression de ses poumons et que son diaphragme ainsi que ses côtes se pressent et décompressent, que l’air passe de ses narines, à ses fosses nasales, à son larynx, à sa trachée, ensuite dans les bronches, dans les bronchioles et finalement dans les alvéoles, que les capillaires donnent et reçoivent de l’oxygène ainsi que du dioxyde de carbone, tout cela, en une seule et même personne. Les yeux fermés, il respira sur chaque son d’une chanson qu’il aimait bien écouter venant tout droit des États-Unis intitulé Daylight d’un groupe nommé Maroon5. Il n’a jamais été un fan fini de groupe et tout ça pourtant, il aimait bien le style décontracté que dégageait cette chanson.

Ce moment paraissant si simple et délicat se transforma en cacophonie du matin. Comme je vous l’ai précisé un peu plus haut, il avait les yeux FERMÉS et PAF il tomba à la renverse sur une poubelle pour finalement terminer sur un banc dans le parc. Le mal qu’il a ressenti à cette instant même n’ai pas descriptible même je dirais…imaginable. Il avait une douleur au ventre et aux jambes, il sentait ses muscles s’enflammer en un seul coup. Son visage se crispa de douleur devant cette tombée. Finalement, peut-être que le calme n’était pas fait pour lui ou du moins, fermer les yeux! Ouvrant un œil puis l’autre, il vit son skate brisé en deux. La rage ne put se dissimuler sur son visage et ni dans son langage corporelle. Boitant d’une jambe, il prit les deux morceaux et continua sa marche avec le baladeur dans sa poche et un écouteur dans l’oreille. Se rendre à l’infirmerie? Jamais de la vie! Il n’était pas un gosse il était un homme et il n’avait pas affaire à mettre son petit derrière sur un lit pour être inspecter et tout.

Toujours sur une jambe, il marcha sentant le regard des autres passants s’alourdir sur sa façon de marcher. Un peu plus et il se pensait comme le spécimen premier à boité sur une jambe. Pourtant, il ne dit rien. Il préférait se rendre le plus vite à sa chambre et régler tout ça. Lorsqu’il passa devant la serre, il entendit des cris…Non il ne s’agissait pas de deux élèves cocasses faisant muche muche là mais plutôt d’une demoiselle qui était carrément entrain de se faire battre par une plante. Soit il avait vraiment pris un coup soit c’était réel. Pour s’assurer que tout était bien dans le vrai monde, il posa quelques questions.

« Alors…j’imagine que…tu es une vraie personne et qu’une plante t’attaque réellement aight? »

Il avait l’air complètement gelé lorsqu’il prononça sa phrase et avait l’air d’un être stupide. Évidemment que la fille se faisait tabasser par une plante! Comme si cela n’était pas assez évident, le rouquin resta planté la jusqu’à temps qu’elle réponde à lui.

« Bon…t’a besoin d’aide? »

Il voulait faire semblant de ce foutre de la situation et pourtant, il s’enflammait de buter une plante vivante si cela était bien vrai. Et après tout…même s’il s’agissait d’un rêve c’est génial de pouvoir buter une plante!

Vous savez, dans les films où des énormes plantes explosent et une espèce de jus gluant et dégueulasse en ressort? Eh bien tel était l’impression que ressentait Cameron si jamais il avait à transpercer cette bestiole ne sachant même pas si elle était réellement vivante. Il l’a regardait d’un côté et puis de l’autre. Il devait faire vite, car tôt ou tard qui sait ce qu’il pouvait arriver si toute le corps de cette personne se voyait engloutit sous cette…végétation mi- humaine. Prenant son batte de baseball, il commença à tabassé la plante et prit plaisir à savoir que la violence pouvait parfois avoir ces bons côtés! Lorsqu’il sauta pour s’en prendre à sa bouche, la bestiole prit son skate et n’en fit qu’une bouché.

« Tu sais combien ça coûte c’genre de planche! Enfoiré t’es mieux de pas l’avoir bouffé! »

Le visage devint de la même couleur que ses cheveux de feu. Ses mains tant qu’à elles se serrèrent autour du bâton qu’il tenait. Fonçant à grande vitesse sur la plante, il cherchait à frapper pour qu’il puisse lâcher sa victime. Après plusieurs coups, il ne cherchait pas à abandonner au contraire, sa rage avait augmenté et son plaisir également. Finalement, les crocs de la bête émirent une moins forte pression permettant à sa proie de s’enfuir. Cameron prit la main de la victime et sortit immédiatement avec à la course pour se rendre jusqu’au parc. Essoufflé, il regarda si cette personne était toujours auprès d’elle. Une fille? Il était trop fatigué pour lancer ne serait-ce que la moindre goutte de gêne envers celle-ci. Cependant, il ne savait pas trop comment aborder une conversation convenable à ses côtés. Il ne voulait pas qu’elle le remercie, il souhaitait tout simplement qu’ils repartent chacun sur leur chemin et qu’il ne fasse comme si de rien n’était. Or, cela n’aurait pas été très galant de la laisser ici sans même voir si elle était blessée. Plus le temps passait, plus le jeune O’brien apprenait à manipuler ses mots ainsi que les conversations avec les demoiselles.

« Dit moi que tu vas pas transformer en espèce de mangeuse d’humaine végétale hein? »

Ouais on le sait bien parole stupide, mais tout de même c’était bien essayé venant de sa part. Soit la fille s’enfuyait voyant que le mec était aussi bizarre que la plante, soit elle le regarderait croche évitant à nouveau de le croiser dans l’école mais bon, lui il s’en fichait quoi! De son tic naturel, il se gratta la nuque et chercha à voir ce qu’il pouvait bien faire pendant que la fille se rétablissait de ce choc.

« Au juste comment tu t’es foutu dans cette merde? »

Venant à peine de faire exploser une plante dans la serre, deux élèves du Pensionnat de Prismver s’échappaient de l’endroit pour reprendre leurs souffles de cette mésaventure du matin. La fille qui se retrouvait au côté du rouquin a été la proie même de cette énorme plante mouvante.

«Hmmm disons que... j'ai eu la merveilleuse idée.... de me balader dans... cette fucking ....serre.»

Enlevant du revers de la main la poussière et la saleté s’étant logées sur ses vêtements, le jeune roux tendit la main à la fille pour qu’elle puisse se relever plus facilement. Le regard neutre, il vérifia s’il n’avait pas été touché ou encore égratigné par cette bestiole.

« Eh bah! Elle ne nous a pas laissé de chance celle-là! » Dit-il en regardant à l’opposé de la fille.

Lorsqu’il redéposa ses yeux sur celle-ci, elle l’a vit en train de soulevé son chandail et au lieu de rougir comme il en a l’habitude, le garçon fronça les sourcils. Des traces de crocs avaient été laissé dans la chaire de la fille qu’il venait de sauver. Un peu plus et la plante carnivore en faisait son repas. De loin, il observa d’un côté puis de l’autre en penchant sa tête pour inspecter si la plaie n’était pas trop profonde. Cette question s’évapora rapidement lorsqu’il vit un liquide rouge vif sortir de ces marques profondément enfoncées.

« Merci au passage, et désolée pour ton skate. Je me débrouillerais pour te dédommager. »

Revenant à la réalité, il acquit de la tête en écoutant plus ou moins ce qu’elle disait toujours aussi perturber par la douleur qu’avait pu causer cette plante monstrueuse. Il fut soudainement reprit à la réalité par la main de la jeune fille tendu vers lui en signe de compassion et de salutation.

« Nah t’inquiète… »

Il s’en fichait complètement de son skate. Il avait dit ça tout simplement parce qu’il était née pour répondre des répliques de ce genre quoi. Certains sont nés pour les math d’autres pour être bête et grognon. C’était une drôle d’habitude ou plutôt un drôle de plis qu’il avait pris dans sa vie.

« Moi c'est Daphné. »

Toujours aussi mal habile avec les femmes, il tendit sa main moite et fit un demi-sourire assez…effrayant.

« Moi Cameron. »


Le vent venait à nouveau de soufflé entre les deux pour laisser un énorme silence retombé. Finalement, le mec qui préfère s’occuper que de sa classe et d’envoyer chier les autres personnes de différentes classe fit exception aujourd’hui. Il mit toute cette haine pour ne voir qu’une seule et unique classe, celle de Prismver. Tournant pour faire face au parc, il mit ses mains derrière sa nuque et fit mine de ne pas vraiment se soucier du cas de la demoiselle à ces côtés…ou du moins pendant 2 minutes quoi.

« Mff! Tu sais que tu serais mieux d’aller voir le docteur là chez pas trop! Ça l’air aussi grave que ma dernière chute en skate ce que tu t’es fait. Enfin j’dis ça comme ça après tu fais c’que tu veux j’peux t’accompagner au pire si ta peur. »

Peut-être n’avait-il pas utilisé les mots justes et pourtant, l’intention était bien là. Elle était tout simplement dissimulé derrière cette phrase n’ayant ni queue ni tête.

«Ou là, je n’avais pas fait gaffe ça a empiré. Ouais je pense que je vais y aller, je veux bien tu m'accompagne si ça ne te dérange pas. »

Effectivement, la fille n’avait pas tords. Le sang ne pouvait coaguler étant donné la profondeur de la morsure. Elle devait être désinfecté, nettoyer, vider et ensuite penser. Le rouquin n’avait ni les compétences ni vraiment l’envie de le faire. Le jeune O’brien n’a pas la phobie du sang, mais cependant il doit avouer que jouer dans tout cela le dégoutait à un certain point quoi…Il prit son chandail, car de toute façon, il avait une camisole en dessous cela lui évitait de paraître pour un pervers à moitié à poil et aussi de se faire avertir par les surveillants. De sa main gauche, il lui passa pour qu’elle puisse mettre une pression parce qu’il savait très bien qu’elle n’irait pas loin avec son petit mouchoir et en plus des chandails il en avait milles.

«Tu n'es pas obligé de venir hein, si t'as autre chose à faire j'irais seule. »

« Ça va personne m’oblige à le faire j’veux seulement prouver au proviseur que j’peux faire de bonne action et puis…ça me rend malade de te laisser comme ça j’suis p’têtre du E, mais j’suis pas sans cœur non plus y a des limites. »

C’était la première fois qu’il osait dire ce genre de chose surtout à une fille et en plus elle était d’une autre classe. À croire que depuis son entrée au pensionnat, il avait évolué plus rapidement que jamais. Peut-être que son air bagarreur et chercheur de trouble ne s’arrêtait pas là, mais il avait fait de grand effort depuis 2 mois.

« Bon aller on file à l’infirmerie ensuite je te redépose à ta cabane. »

Il ne voulait pas qu’elle cherche à s’enfuir du traitement, il ne voulait pas non plus qu’elle discute et qu’il passe tout le trajet qu’ils avaient à faire jusqu’à l’infirmerie pour finalement se faire la gueule. Pour une fois, il avait pris sa journée de congé pour faire une bonne action comme quoi ce ne sont que les idiots qui ne changent pas d’idée.

Depuis combien de temps était-il arrivé ici? Il avait l’impression d’être imprégné de cette école. Malgré toutes ses emmerdes qu’il a eues, il s’amusait comme un fou dans cette école. En plus, il avait beau se ramasser le derrière chez le directeur aux deux jours, il se marrait bien avec. Une mentalité jeune et fragrante de plus il était facile de dérivé le sujet avec lui. Maintenant, sa vie a été aspergé par ce pensionnat, sa classe est devenue sa famille, ses amis les membres de cette famille, l’école sa maison et les profs…bon difficile à assumer mais ses « parents ».

« Bah je suis ici depuis…environ j’sais pas moi quelques mois. Enfin, j’ai pas l’habitude de compter ce genre de chose et toi? »

Quoi de plus simple que de continuer sur le même sujet. Cela évitait toute embrouille et également le silence. Voyant que le sang n’avait pas encore coagulé, il regardait la fille puis la porte de l’infirmière espérant grandement qu’elle ne soit pas trop occupée. Il ne voulait pas que la fille à ses côtés souffrent encore pour lui c’était une torture non de l’amener avec lui mais bien de voir une fille souffrir. Cela ne paraît peut-être pas mais Cameron est aussi gentleman que cela envers la gente féminine malgré ses malaises continuelles qui commencent de plus en plus à ce détériorer. Le rouquin se pencha en se mettant en petit bonhomme devant Daphnée.

« Aller monte sur mon dos. On pourra filer plus rapidement à l’infirmerie comme ça. »

C’est sure, cela le gênait. Mais il fallait ce qu’il fallait après tout.

« Bon désolé tu disais? C’est juste que plus vite on se rend plus vite on évitera que ton sang coule par tout. Ça fait pas trop mal si je te transporte sur mon dos? »

Oui bon, il devait se promener comme ça devant tous les étudiants. Pourtant…il toucha ses joues et ne sentit aucune chaleur, aucune sueur et de plus ses joues n’étaient pas rouges. Il n’avait pas la phobie des filles, mais c’était embarrassant de savoir qu’à chaque fois qu’il en regardait une, qu’il parlait avec, ça le rendait aussi rouge qu’une tomate. D’une part ça le réjouissait et de l’autre il savait que ses amis allaient en profiter pour lui faire le tour des filles avec qui il pourrait sortir…Bon un plan s’imposait et vite…Mais premièrement il devait s’occuper de celle qui souffrait.

Avant qu’elle ne dise qu’elle était arrivée au Pensionnat de Prismver depuis deux semaines et demie environ, elle fit un joli doigt d’honneur et lança quelques insultes au garçon s’étant moqué d’eux. Le rouquin qui transportait la demoiselle de classe B haussa un sourcil, surpris de cette réaction venant d’une élève de sa tranche. Dans la tête de Cameron, les gens de la classe A et B étaient identique à l’image stéréotype de la personne qui passe ses journées enfermé dans cet endroit quel est le nom déjà…ah oui! La bibliothèque où la plupart de ces élèves passent leurs vies et qui n’osent pas prononcer des paroles vulgaires. On dirait bien que le roux de classe E s’était trompé, la génération avait changé. Il se trouve que Daphnée l’a elle-même démontré en gueulant sur tous les toits à quel point le garçon qui avait ris d’eux était un idiot. Un sourire se dessina sur le visage du garçon et il jeta un regard au-dessus de son épaule et secoua la tête.

« Moi qui croyait que vous étiez même pas foutu de parler des autres dans leurs dos. Mff ! »

Bon c’est vrai dit comme ça cela pouvait paraître légèrement « je dis ce qui me passe par la tête » mais cela ne changera jamais chez Cameron. Lorsqu’il a une idée en tête, il ne se gêne pas. Éventuellement, ses idéaux peuvent changer tel que sa façon de voir les membres des autres classes. Plus le temps passait, plus il pensait que finalement, ils n’étaient pas si différent. Peut-être n’aimait-il tout simplement pas certains élèves par leurs attitudes hautins ou autre.

« Bon aller on arrive faudra que tu débarques hein? »

Voyant la porte de l’infirmière ouverte, il se mit en petit bonhomme et arrêta à quelques centimètres plus loin pour la laisser aller. Se mettant en petit bonhomme, il fit signe à la demoiselle qu’il l’attendrait juste ici jusqu’à sa sortie. Galant? Oui c’est vrai! Mais il souhaitait également éviter de se faire avertir à tout bout de champ. Pour une fois, il avait une bonne raison d’avoir le derrière ailleurs que dans une classe. Évidemment, cela n’était pas juste question de rester à l’extérieur de ses cours tout ne faisant rien. Tranquillement, son corps tomba dans le fond de sa chaise et ses paupières s’alourdirent pour finalement tomber semi endormie. Il se réveilla parfois, car une personne le réveillait où parce qu’il était tout simplement en train de tomber de sa chaise. Il entendit un bruit de porte s’ouvrir.

« Bon alors comment ça été? »

Privée de sport pendant deux semaines? Nah impossible! C’était la seule façon que Cameroux avait afin de s’échapper, rester dans sa bulle, dans son petit nid quoi. Quoi que…ne pas avoir besoin de se présenter en cours durant une matinée ne ferait pas de mal…Mais bon! C’est bien l’une des seule matières dans laquelle il excelle réellement! Enfin, ça ne te demande que de l’effort physique après tout et le non de réfléchir.

Finalement, ils avaient quittés cet endroit sentant les microbes, la maladie, les gants en plastique. C’était pire que chez le dentiste! Non le jeune O’brien n’avait pas la phobie des maladies et ni de tous les domaines médicaux seulement, l’odeur n’était pas son parfum favori… Sachant que sa nouvelle amie allait bien ils se mirent en routent vers l’extérieur. Cet endroit mirifique et gracieux se retrouvait maintenant ensevelit sous un énorme nuage grisâtre qui bien évidement créa de la pluie. L’enthousiasme de traverser une température ne paraissait pas réjouir pour autant la compagne du rouquin. Pour lui, cela ne faisait aucun changement du soleil. Oui il était vrai que ses vêtements allaient être mouillés or, il était encore en vie et il ne souffrait pas. Suivant toutefois Daphnée sous un arbre pour se mettre à l’abri, l’élève de classe E s’amusait bien à voir pour la première fois de sa vie une classe B jurée pour si peu.

« Ouais bon! C’pas grave une pluie et puis quoi le pire c’est qu’on va voir nos sous-vêtements. Au pire on s’en fiche on rentre dans nos cabanes et on se change quoi. »

À son tour il l’invita à le suivre jusqu’à sa cabane. Bon c’est vrai que toute cette histoire peut paraître louche, mais il ne faut pas exagérer LA SALLE BAIN EXISTE QUOI! Lorsqu’il arriva pour fermer la porte afin d’éviter l’eau d’entrer, il comprit rapidement qu’une petite complication s’installait…Daphnée n’avait apporté aucun vêtement de rechange et donc, par « galanterie » le jeune rouquin se devait de prêter les siens. Ouais, premièrement, il devait faire un peu de ménage le bazar quoi. Ensuite, fouiller dans sa commode et donner du linge qui ferait facilement à son invitée.

« Mff…Désolé j’ai juste pas…Ouais bah j’ai oublié que t’avais pas ton linge avec toi c’peut paraître un peu stupide mais…enfin si tu veux j’en ai de rechange tient dit-il en lui donnant son linge propre. »

Montrant rapidement où était le chemin pour se rendre jusqu’à la salle de bain, dans tout ce labyrinthe, il entreprit le grand ménage du printemps dans sa chambre. Pour vous donner une rapide idée de la place et bien voici une jolie petite description pour vous. Des milliers de vêtements de couleurs ternes jonchèrent le sol autrefois vu sous une autre facette prénommé; le bois franc. Des paires de souliers par-ci et par-là accompagné de jolies petites boules de papier étant le produit de mainte idée écrite sur une feuille de papier. Un mélange d’humidité, de renfermé ainsi que de chien mouillé firent surface dans cet endroit restreint par trois lits et les meubles attribués à chacun. Bref…vous voyez le genre? Toujours en train de ramasser cet endroit salit par le temps et par le manque de propreté, Cameron ne fit plus attention à Daphnée trop préoccupée par l’esthétique de sa chambre.