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SIXTINE T. NIRVANA

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Anglaise ; 17 ans ; Hétéro (Bi?) ; Danseuse étoile

Sixtine n’est à priori, pas du genre à se faire remarquer ni à s’incliner vers l’excentricité, l’extravagance. Rien de là, juste une jeune femme discrète et délicate au sang-froid éminemment vaincu. Sixtine est élancée, mince, incarnant la féminité en toute simplicité et légèreté. Elle est la fille qui se pavane tranquillement, en compagnie de sa solitude coutumière, dans le couloir et ce, sans rien demander de plus. Sous ses aires dictatoriales, Sixtine peut paraître froide, voire mesquine sur les bords, encore une A qui snoberait les plus ignares direz-vous, et c'est faux. En réalité, elle est une personne au tempérament généreux, pourvue d'une sincère gentillesse et naturellement affectueuse. Sixtine, innée d'une effrayante maturité, n'a jamais vraiment fait son âge et pourrait tantôt être amalgamer à un professeur autant que par son apparence que sa mentalité. Sixtine, malgré sa nature réservée, possède tout ce qui pourrait se caractériser d'une vraie dame, une sorte d’impératrice ~~chinoise~~ (n’est-ce pas Laxist). Gracieuse, affable, parfois on l’admire, parfois on aimerait mieux la connaître, parfois on la trouve farouche, on peut la trouver jolie pour certain, non à son goût pour d'autre. Outre ceci et cela, on notera que madame n’est pas celle qui s’avancerait pour faire le premier pas vers les gens cependant on tiendra tout de même compte de sa réputation de demoiselle au cœur en or et sur la main. Vouée à la danse et aux différents arts depuis plus jeune, vous la croiserez la plupart du temps sur le balcon à répéter divers pas de danses; adages, arabesque, adages, cabriole, changement de pied, jeté aérien. Des enchaînements qu'elle répète sans cesse, sans arrêt mais sans pour autant s'épuiser, une passion de toujours, même s'il lui arrive parfois de s'écrouler en moins de deux par faute de maladresse. Sixtine est également attirée vers tout ce qui touche à l'art de la mise en scène, au théâtre, à la poésie, à la peinture, la philosophie ou même les grands écrivains et passe le plus claire de son temps à étancher sa soif de connaissance; juste une enfant faisant preuve d'ouverture d'esprit à la culture.

LIENS PRÉDÉFINIS

LOVERS ▬ (0/1) J’ai passé toute ma vie à attendre que le bon gars se présente et tout à coup t’es apparu. Tu ressembles en rien à l’homme que j’imaginais, tu es impossible. Mais pour être franche, avoir à t’affronter c’est la meilleure chose qu’il me soit jamais arrivé de ma vie, et je crois qu’il y a de très fortes chances pour que je sois en train de tomber amoureuse de toi. 27 Robes

VERITABLE ▬ (1/1) Halei Leeroy Les épaules sur lesquelles on s’épanche vont et viennent mais une meilleure amie pour la vie on l’a pour toujours. Parce que quelque soit l’endroit ou vous allez, vous savez que vous n’y allez pas tout seul ; Personne ne possède toutes les réponses, et parfois, la meilleure chose qu’il nous reste à faire est de pardonner, en laissant le passé derrière nous ; Lorsqu’on regarde vers l’avenir en croyant tout savoir à l’avance, il ne faut jamais oublier que la vie peut nous surprendre à tout instant ; et qu’il est toujours possible de se surprendre soi-même. Gossip Girl

PASSION ▬ (0/1) On ne lit pas ni écrit de la poésie parce que c’est joli. On lit et écrit de la poésie car on fait partie de l’humanité. Et l’humanité est faite de passions. La médecine, le droit, le commerce sont nécessaires pour assurer la vie, mais la poésie, la beauté, la romance, l’amour, c’est pour ça qu’on vit. Le cercle des poètes disparus, John Keating.

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« Un livre devrait être un geste. »

Erika Blackson ► C'est... comment dire, étrange. Entre nous, c'est limite limite amitié et... plus que ça? Enfin, j'en sais rien et ça me perturbe un peu. Peut-être qu'elle a ses tendances? Ce n'est pas ça qui me dérange le plus mais... 'fin bref. Erika et moi, on partage les mêmes intérêts, ou presque, puis son tempérament n'est non plus pas très éloigné du mien. C'est comme si on se comprenait, l'une et l'autre, comme si je me voyais en elle. Avec ses petits airs intimidés, ses petits sourires, je la trouve réellement adorable même si parfois j'en reste intriguée. Sinon, c'est toujours sympa de pouvoir partager nos livres, notre passion. Au moins, je ne me sens plus vraiment très seule à Prismver.

« Bouddhisme, fait toujours appel à la raison et à la science, non à la foi aveugle ou à l’autorité. »

Shen Jia Feng► Shen et moi, nous sommes dans la même classe. C'est une personne que je trouve plutôt ouverte d'esprit, c'est ce qui me plaît chez elle. Parfois, il nous arrivent de converser pendant perpète et là, je me dis que c'est toujours intéressant de s'ouvrir aux autres. J'ai entendu dire qu'elle était religieuse, qu'elle exerçait le bouddhisme plus précisément. Cela tombe bien, j'ai toujours voulu rencontrer une croyante de Bouddha malgré le fait que je sois athée. D'ailleurs, ce doit être la seule religion qui me passionne réellement. En claire, Shen est une camarade classe très agréable, avec qui j'aime tout particulièrement philosopher sans me retenir. Même si, je dois avouer, que de mon côté, je suis un peu intimidée avec elle, mais ça passera sans doute au fil du temps.

« On a besoin de rien d'autre au monde. »

Halei Leeroy ► Halei est certainement ma seule véritable amie. Je ne sais pas, j'ai toujours eu du mal à m'imaginer sans elle. Halei doit être la toute première personne à me faire connaître l"amitié". L'amitié de deux personnes, je n'aurais jamais cru que cela prendrait autant de place dans ma conscience. Même si maintenant, ma timidité me pèse encore, avec Halei, j'ai l’impression de changer peu à peu. On traîne souvent ensemble en dehors des cours, on rigole, on se confie des secrets, des ragots, oui, avec Halei j'ai la vive impression d'être quelqu'un et c'est pour cela que sa présence m'est essentielle. Et je me contrefiche de ceux que peuvent en penser les autres, qu'on en A ou en E, même si cela peut paraître insolite, nous sommes inséparable.

« Le flamenco aide à garder la tête haute. »

Elena Perez ► Elena Perez, professeur d’espagnole, que j’ai rencontré avant même de le savoir. Je l’admire, réellement. Talentueuse, belle, un parfum d’Espagne et de soleil qu’elle nous ramène à Prismver sur ses airs de tango et de flamenco. Tout un art à elle. Je l’ai rencontré un soir, c’était à la danse. Même si le registre et le style de danse met un poing de différence entre nous, il n’empêche qu’une proximité s’est étendue, comme si notre passion nous avait relié. Enfin, c’est ce que je ressens plus personnellement. Je ne sais pas si cela va au-dessus de l’enivrement envers mademoiselle Perez, je suis même venue à assister à ses cours d’Espagnole lorsque j’ai su qu’elle était professeur au pensionnat. Pourtant, ce n’est pas une option que j’affectionne tout particulièrement mais elle me fascine, ou plutôt, elle a réussie à me donner de l’intérêt pour son pays natal..

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« Mieux vaut le diamant brut, que le diamant poli. »

Pytha K. Hemelrijck ► Au début, j'avais un peur de lui et je ne pouvais pas m'empêcher de lui sourire à chaque fois que je le croisais dans le couloir. (Une sorte de technique de défense inutile) Sérieusement, parfois j'avais l'impression qu'il pourrait bondir d'un coup et vlan, bam. Mais c'est parce que je ne savais pas comment m'y prendre avec une personne de ce type. Au fond, il doit être une gentille personne malgré son physique imposant. J'en ai même eu la confirmation même lorsque je le voyais s'acharner sur son livre de maths. J'ai d'abord hésité mais eu final, je suis venue l'aider et je pense que ça s'est bien passé entre nous... du moins, je crois. Et de plus, c'est lui qui m'a appris à me servir de mes poings et à me défendre de manière utile. Si je pouvais résumer, entre nous, ce n'est ni plus ni moins, je l'ai aidé, il m'a aidé, on s'est rendu la pareille mais étrangement, rien de plus. Peut-être que c'est de ma faute?

« La gaieté est la moitié de la santé. »

Sam Anghone ► Sam, l'infirmier de Prismver, est une personne pour le moins fort sympathique. Je l'ai rencontré la première fois après mon premier cours de danse au pensionnat. Je m'étais fais une entorse au niveau des chevilles. Ce qui m'a valu de nombreux bandages de sa part, certes, puisque je me fait bobo régulièrement. Au début, c'était juste "Bonjour monsieur.", après, je me contentais de me taire et d'agoniser en silence devant lui, mais au fil du temps (au fil des blessures), je ne sais pas, on a commencé à discuter plus souvent. Je trouve ça plutôt agréable d'avoir un Sam à nos côtés, à notre écoute, pendant qu'on serait allonger sur le lit de l'infirmerie. Il a ce quelque chose de chaleureux qui le rend attachant, à tel point qu'il serait presque l'une des seules personnes à qui je pourrais me confier sans gêne, ou plutôt avec un minimum d'ouverture d'esprit. Sam m'a d'ailleurs un peu aidé afin de sortir de ma coquille, oui, je l'aime bien. Peut-être que je devrais lui apprendre quelques pas de danses? Histoire de lui être correctement redevable.

« Un roman doit toujours contenir un secret. »

Kéane O'Malley ► Il est mystérieux, ce garçon. Je l'ai aperçu de nombreuse fois aux environs du gymnase, je pensais à une simple coïncidence, rien de plus qu'un jeune homme qui passe aux même horaires. Néanmoins, ce que j'ai remarqué ou du moins, senti, c'était ce regard secret, furtif, ce regard qui se posait sur moi, d'où? Je le méconnaissais. Mais j'en étais sûre et certaine que l'on m’observait de loin, ce n'était pas juste un présentement, ni de la paranoïa. Alors, attisé de curiosité, j’ai attendu le jour où enfin je le prendrai par surprise. Et ce jour est venu, un après-midi, je ne savais pas trop quoi lui dire ou plutôt, réagir. Je me suis contentée de le fixer d’une mine curieuse et là, on s’est compris, d’une manière ou d’une autre. Entre nous, je ne sais pas, je l’ignore de quelle façon, mais une ambigüité s’est installée.

« Non prévu pour faire avancer ses intérêts. »

Alexander D. Buster► Je l'ai rencontré dans le couloir, alors que j'errais seule dans ma profonde solitude coutumière. Il est venu vers moi, il avait ce sourire à la limite du narquois toutefois, je pensais qu'enfin on s'intéressait à moi, mais apparemment ce n'était juste que pour me chercher des noix. A vrai dire, je n'ai pas vraiment réagi vis-à-vis de lui, non je ne cherche pas réellement à le fuir, rien de ça (pour le peu de compagnie que j'ai). Mais, d'un autre côté, sa réputation d'emmerdeur en série ne fait pas mine basse. Alors, juste pour ne pas le perdre complètement ni trop m'approcher de lui, histoire d'avoir au moins un petit lien qui nous unie, j'essaye de lui sourire, parfois. Et après, je le trace par faute de temps, il doit penser que je le snobe, non? Enfin, j'aimerai bien tenir une vraie conversation avec Buster, un jour. Un jour, peut-être.

« Rentre ton foin tant que le soleil brille. »

Jaime O. Manzanares ► Il y a des jours où je regrette réellement d’avoir préféré l’option espagnole. Ce prof, j’ignore comment il a pu arriver au pensionnat et se tenir là, debout, devant les élèves à faire le professeur. Certes, fort aimable et gentille, cependant un peu gamin dans sa tête. Dans sa tête, je ne sais pas ce qu’il a dans le crâne de s’approcher autant des « chicas » comme il le dit si bien. Tendance lolicon ? Bref, je ne peux pas le saquer davantage néanmoins, je resterai accroché à ma table du fond jusqu’à la fin de l’année s’il le faut, même si sang-froid oblige. Jusque là, j’ai eu beaucoup de cran à le supporter en classe et non, monsieur s’est aussi senti obligé de m’interpeler en dehors des cours. Ce qui relève d’un sentiment insupportable à son égard. Mais je me contente de l’ignorer, encore et encore, avec ce même sourire angoissé. Et malgré tout, je n’arriverai jamais à m’énerver contre lui, Sixtine, tu es si faible.

« Être marginal, proposer une alternative à la masse. »

Nemo Hannibal ► Nemo, l’une des seules personnes qui me comprend, qui me conçoit de toute cette marginalité, qui m’accepte telle que je suis, différente? Nous deux, nous renions la banalité et pourtant, nous deux, on se ressemble tellement. Nemo, on traîne assez souvent ensemble après les cours, sa compagnie m’encourage parfois à aller de l’avant et au final, discuter avec lui devient agréable comparé à certaine personne. Avec Nemo, je me sens bien, je me sens moi-même. C’est sans gêne ni timidité que je m’ouvre à lui, puisque nous sommes de vrais amis ? Non, plus que ça, une amitié soudé, je tiens énormément à lui et c’est pour cela que je le considère comme un être chère à mes yeux.

« La danse, plus qu'une discipline. »

Marwin Jefferson ► Marwin, au début, lorsque j’ai su qu’il voulait s’initier à la danse, j’ai commencé à m’intéresser à lui. Notre relation s’étant sur ma passion de la danse et puis, il est devenu comme un de mes élèves de cet art, pour moi. Il est vrai qu’au commencement, ça a été un peu rude mais il s’est amélioré au fil des entraînements et sans que je m'en aperçoive, une amitié s'est nouée entre nous. D'ailleurs, ce gars est originale et a un style bien à lui, assez particulier. On s'épuise, on recommence, de nouveaux enchaînements, bref, Marwin, même si parfois je le trouve légèrement étrange, est quelqu'un de fo-mi-da-ble. Je n'ai rien à redire, s'il continue ainsi, Marwin va devenir un champion.

« Listen, smile, agree, and then do whatever the fuck you were gonna do anyway. »

Nazario R. Salvador ► Et voici le professeur typé « cool », le genre de personnage que de nombreux élèves apprécieraient avoir pendant les cours, surtout en maîtrise de pouvoir. Le genre de professeur qui ne laisserait aucun élève dans son coin, y compris ma pauvre petite personne. Enfin, c’est ce que j’ai cru comprendre lorsqu’il a essayé de m’attirer vers mes amis mes camarades, histoire de me faire des amis tout aussi benêts les uns que les autres. Je ne dis pas que je suis contre ce grand avancé en termes de sociabilité néanmoins, ne suis-je pas venue apprendre à maitriser mon pouvoir? ~~On est pas sur Meetic non mais oh~~. Bref, sympathique et assez particulier comme monsieur. A suivre.

« Firgide, se dit d'une femme atteinte de frigidité. »

Morgan O. Bloomkwist ► La première fois que l’on s’est rencontré, oui je m’en souviens, c’était quand ce garçon sympathiquement frigide est venu faire le premier pas vers la Nirvana. Il m’est apparu tel un héro, avec cet air impérial pour… pour… me demander de l’aide ? Un appel au secours ? Des maths ? Oh, bien, bien. Ou c’est plutôt que je ne sache pas dire non enfin, au fond, je n’ai rien contre pour faire le bon samaritain. Quoi que, depuis le jour où l’on s’est parlé, une étrange coïncidence m’a attisé de curiosité. Après quelques vifs débats philosophiques que j’engendre avec Morgan, qui d’ailleurs, sont très prenants et agréables, le soir même, je me fends une cheville, d’où mes certaines crampes répétés. Ou bien suis-je paranoïaque ? Enfin, passons, Morgan, est de ce que je pourrais qualifier de bon ami, me conviant parfois à des fêtes par-ci par-là que je refuse poliment. Non que ça me déplaise, cependant, trop d’heures d’entraînements de danse m’y empêchent. Un jour, peut-être.

« La solitude est essentielle à la fraternité. »

Andrew T. McAdams ►Qu’est-ce un grand-frère? Eh bien, ce serait au-delà d’un lien d’amitié, une affection d’autant plus forte. Non pas de l’amour, mais une fraternité plus que soudée. Andrew est d’abord, avant son statut de professeur, un grand-frère. Non pas n’importe lequel, non pas celui qui d’office, par les liens du sang, est de votre fratrie. Rien à voir, Andrew, est plutôt ce frère de cœur. Un frère que j’aurais toujours eu avoir autrefois. N’importe qui aurait voulu une personne telle que lui à ses côtés. Un frère qui sait quand on va mal, quelqu’un sur qui s’appuyer lorsqu’on sait que l’on pourra toujours compter sur lui. Un frère qui vous encourage à aller de haut lorsqu’on baisse les bras. Andrew est sans doute une personne en qui je crois.

« Le beau jour se prouve au soir. »

Cyr Kingston ► Une rencontre au gymnase, une soirée, au défunt de mes perpètes entrainements coutumières. Cyr Kingston, il se nomme et je n’oublierai pas son nom. On s’est parlé une fois, une seule. Au début, je n’aurais jamais pensé qu’il reviendrait un jour à la charge. Depuis, je le vois de temps à autre me tenir compagnie en salle, à me regarder valser en soliste, loin de tout tohubohu et agitation. Au début, juste quelques mots échangés et maintenant, je pourrais m’imaginer toute une nuit à lui raconter des choses, partager mes connaissances, notre culture ainsi que des discussions vouées à notre idolâtre James Franco. Un sentiment de complicité s’est entravé entre nous, d’une autre manière dite, on s’aide, on se soutient. Un soir, une histoire d’un soir aussi. Elle m’a parue inévitable, en même temps, regardez moi ce bel homme. Un charme irakien qui en ferait craquer plus d’une.

« Si les hommes viennent de mars et les femmes de Pigale. »

Johnson Man-Shik ►Blabla.

« Une touffe rousse sympathique. »

Adrian Fuego ► Un garçon sympa, un garçon hors-norme, de part par son extravagance capillaire mais aussi de sa façon d'être. Je ne pensais pas vraiment tomber sur ce genre de personne, lui venir en aide. Mais tout compte fait, je pense bien l'aimer, au fond. Enfin, si ce n'est que j'ai l'impression de parler dans le mur, mais bon. Adrian est en E, après tout. On se voit assez souvent et sa compagnie ne me dérange pas, au contraire. Je suis contente de pouvoir lui expliquer les divisions, et tout ça. Adrian, un jour, tu y arriveras. Je crois en tes capacités, je crois en toi, je suis certaine qu'au plus profond de toi-même, il y a cette intelligence soudaine, incomprise. Courage. Un jour. Pour le moment, finis moi cette équation de second degré.

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HELLO JE VEUX UN LIEN

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Omg. Je me suis fait devancée. Shit.

Bref, je veux un lien aussi, positif s'il te plaît. c: (même si t'as encore rien écrit, j'y tiens.)

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Pythagore -
Pas de souci, je pense à un lien entre le positif et le neutre. Pour toi, Sixtine c'est la fille qui ne te parle pas vraiment mais qui aime bien te sourire à chaque fois qu'elle te croise dans le couloir. Un peu ambiguë comme relation, ouaip, mais c'est parce que Six' elle sait pas trop comment réagir vis-à-vis des gens comme Pytha. Ils se disent "Salut" mais sans plus, tu vois? Et puis un jour, - comme tu es en E-, tu as sans doute eu des difficultés dans un devoir et Nirvana, c'est la fille qui serait venue t'aider entre les cours. Et de ton côté, tu l'aurais aidé à devenir moins "chiffe molle" en l'apprenant à se défendre en échange. Mais étrangement, depuis ce jour, ça n'a pas vraiment changer et leur relation est resté telle quelle, stable. Et ce par la faute de Six, qui n'est franchement pas très intéressante pour les conversations et nulle en amitié.

Ou sinon, autre possibilité, un lien négatif. Hum. Peut-être que tu ne supporterais pas Sixtine du fait qu'elle est l'air à première vue hautaine et asociale, repliée sur elle-même? En plus, elle est en A, l'opposé des E. Elle t'aurait sans doute, ce qui n'est pas très étonnant venant d'elle, dévisagé, regardé de travers et tu t'es posé des questions et ça t'as mis hors de toi? Si je comprends bien, Pytha est impulsif nahon? Quelque part, ça effraye Six' et en même temps, tu la fascines, tu l’impressionnes et c'est pourquoi elle arrête pas de te regarder avec ces yeux grands ouverts à chaque fois qu'elle te voit. Juste parce qu'elle ne sait pas comment l'exprimer, en fait.

Erika - (Atta, je reflexionne)

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J'aimerais aussi un lien, positif ou neutre. ♡

Edit : J'vais y réfléchir, alors !

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Mh, tu aurais une idée? Je sèche. x)

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LOVE U

Va pour le positif alors.
♥♥♥

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Shen manque de lien avec les A

Donc je sais pas..... J'aimerais bien du positif mais je sauf pas vraiment si c'est possible

Six est renfermée sur elle même et est nulle en amitié. Mais Shen a tendance à sortir de la norme et a apprécier tout le monde. Je pense qu'une fois Shen serait allée vers elle et que par timidité, Six n'aurait rien dit. Malgré tout Shen aurait continué de l'approcher pour faire connaissance (avec un visage inexpressif et un léger sourire). La bizarrerie de Shen aurait gêne Six parce quelle ne sait pas commet s'y prendre avec elle. Même si au bout d'un moment, elle se rend compte quelle n'a pas besoin d'être timide. Même si Six n'arrive pas a "améliorer" la relation, Shen va continuer a venir la voir. Six a toujours un livre sur elle, et Shen adore lire. Ça peut parler littérature. Ton personnage semble aimer la philosophie, peut-être quelle pourrait être lune des seules personnes auquel le Shen pourrait parler de sa religion (ou je me gourre complètement).

Bon en fait j'ai pas d'idée, tu en aurais ou j'essaie dappronfondir ;.;

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Va pour ce lien. Ca me va. ^^

Invité**Invité**

Link? :333
Je pense qu'Halei et Sixtine pourrait bien s'entendre d'après ta description

Invité**Invité**

Oh oui. ♥
Donc du positif, Sixtine et Halei serait comme "les meilleures amies"? Sixtine te verrait comme la seule sur qui compter et avoir une pleine confiance. Des amies super super super proche malgré le fait qu'elle soient à l'opposé, A et E. c:

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Ah j'adore ce que tu propopose ♥
Ouais vwala ca me parait parfait D: genre hors cours elle serait tout le temps ensemble, mais ce serait le duo étrange A et E, qui surprendrait une grosse masse de gens mais pourtant ce serait souvent les même délires, et Halei se confierait souvent à Sixtine. Elle se rapporterait les potins chacune de leurs classes, et se plaindraient de leurs classe mutuellement.

Invité**Invité**

J'ai trouvé une - petite - idée de lien qui pourrait sans doute convenir.

Ton personnage et le mien ne sont pas trop différentes, calme, timide, de vraies merdes en amour, les livres, bref.

Pour ce lien positif...

En fait, Sixtine, c'est un peu le modèle de Erika. Elle est belle, ayant un côté mystérieux qui la rend encore plus belle, et elle est grande. (plus que mon perso..., On est d'accord.)
Erika aime beaucoup lire et lui montrera souvent les romans qu'elle a beaucoup apprécié. Evidemment, elle restera encore plus timide car au fond elle l'intimidera.

De son côté, Sixtine pourrait éventuellement être intriguée par le comportement d'Erika à son égard vu que cette dernière lui fait souvent des petits sourires, timides mais c'est quand même des sourires, elle lui filera beaucoup de livres et Sixtine croirait qu'Erika est lesbienne. - ce qui est faux c: -

On peut donc dire que c'est une relation plutôt... ambiguë. Je sais même pas si on peut appeler ça positif, tu peux à la rigueur foutre ça en neutre. o/

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