Une envie folle de Voler! [Pv avec Mae]

Nathaniël se réveilla dans une maison il ne sait trop où. Il regarda autour de lui et vit qu'il avait une bière à la main. Il hoqueta une peut et se rappela qu'il avait fêté toute la nuit. Il déposa sa bière sur le sol et allât à la toilette pour replacer ses cheveux et se laver le visage un peu. Une fois terminer il sorti en douce pour ne réveiller personne et regarda le ciel. La journée s’annonçait chaude et agréable. Nathaniël fit un large sourit et se mit à courir vers l’école. Sur le chemin il croisât des amis qui lui lancèrent le défi d’entrer dans une classe de A et B et de crier quelque chose de complètement stupide. Aimant les défis, il accepta avec joie. Ils se mirent à courir vers les classe de A et B sans se faires remarquer par les profs qui passait. Une fois arrivé devant la classe ils se mirent à compter et d’un seul coup Nathaniël ouvrit la porte et criât comme un défoncer :

-VIVE LES LAMAAAAAAS!!!

Ses amis qui riaient comme des fou à voir la tête des élève et du prof complètement troubler furent horrifier de voir Nathaniel se jeter par la fenêtre. Mais quelque instant plus tard il volait devant la fenêtre leur fessant signe de se dépêcher de le rejoindre dehors. Il ne savait pas comment les autres réagissait mais il s’en fichait. Une fois que ses amis l’est rejoint il se mirent à rires comme des fous. Le prof qui était dans une colère noir sorti la tête de la fenêtre et criât d’une voix forte :

-PETIT GARNEMENT!! VOUS ALLER PAYER VOTRE INSOLANCE!

Nathaniel s’envola jusqu’au prof et lui poussa le front de ses long ongle noir en lui disant avec une moue de colère et un regard froid:

-Tu rêve en couleur papi!
Après il se contenta de redescendre et d’aller vers les ruines. Une fois arrivé il s’assit dans un arbre et ferma les yeux. Il pensa à sa mère et à son père. Il avait hâte de les revoir. Il regarda le ciel et vit qu’il était midi. Il fouillait dans ses poche et en sorti un peu de monnaie. Il soupira, il n’y avait pas assez pour un sandwich. Le reste de son argent était dans sa chambre mais il ne voulait y aller, il était fatiguer. Il rangea la monnaie et tenta de s’endormir sur la branche où il était.

- Je te trouve, enfin. Tu vas en baver !

Les parole de la jeune fille réveillèrent Nathaniël. Il ouvrit ses yeux couleur acier et regarda devant lui. Tout de suite il vit une magnifique fille au yeux bleu et ses cheveux noir. Il la regarda et se souvint de ses parole et se rappela de l,avoir vu dans la classe. Il s,étira longuement et dit d'un ton joviale:

-Désoler d'être sauter par la fenêtre où tu était ma belle, mais c'était le moyen le plus rapide de sortir! Ne m'en veux pas trop!

Il lui souriait les yeux encore plein de fatigue. Il s'assit comme il faut et la regarda dans les yeux. Elle était très belle. Elle avait beau être en B, il sentait qu,il l’apprécierait beaucoup. Il lui demanda doucement comme si de rien n,était:

- Tu t'appelle comment au juste? Moi en tout Cas c'est Nathaniël Delenikas!

Il voulait déjà en connaitre plus sur cette belle jeune fille aux cheveux noir et aux yeux bleu. D'ailleurs il avait envie d'être plus en hauteur. Il prit la jeune fille et s'envola plus haut en la gardant dans ses bras pour ne pas qu,elle tombe et sourit en voyant le soleil éclairer son visage, Le reflet du soleil se voyait plus que bien dans les yeux de Nathaniël et aussi dans les magnifique yeux de la jeune fille. Le vent souffla froidement sur eux se qui fit un des plus grand bien à Nathaniel. la chaleur l'accablait de plus en plus. Il ne se sentait pas bien. D'un coup il senti ses force l'abandonner et il s'écrasa au sol. Il ne voyait plus rien il se sentait mal. Il se demanda si elle était blesser, mais il ne le saurait surement jamais...

Nathaniël ouvrit les yeux et regarda vers la jeune fille une énorme colonne de pierre tomber sur celle-ci qui avait pousser un cri de terreur. Nathaniël qui allait l'aider à se relever quelque instant plus tôt, était maintenant paralyser par la peur et l'agonie des souvenir horrifiant de son enfance. Il revit l'image de son meilleur ami se faire écraser par la colonne et d'un coup, comme ça, les larmes se mirent à couler sur les joue de Nathaniël. Il regardait la colonne, impuissant et il se mit à hurler à plein poumons:

-DANAËL!!! NON!! PAS ENCORE ÇA?! NON!

il se sentait coupable, triste, en colère contre lui même. Il se mit à frapper le sol du plus fort qu'il le pouvait. Ses jointure commencèrent à saigner, se briser. Il voulait souffrir car c'était de sa faute. Pourquoi il devait être aussi imbécile?! amené une fille avec lui dans le ciel quand la chaleur pouvait lui faire perdre conscience à tout moment. il se sentait si mal. Il approchât de la colonne et essaya de la faire bouger avec un effort de désespoir. Rien à faire, ça ne bougeait pas! pourquoi fallait t'il que ça lui arrive encore? À chaque fois? Il s'assit et repliât ses genoux jusqu'à sa tête et se mit à pleurer de culpabilité. Jamais il ne c'était senti aussi mal de tout sa vie. Il continuait à pleurer et dit à voix haute comme si la jeune fille l'entendait encore:

-Je n'ai même pas su ton nom et par ma faute tu est morte, comme mon meilleur ami... Pardonne moi....

Sur ses mots les larmes coulèrent de plus belle. Ses long cheveux blanc coulant en cascade sur ses épaules et ses doigt plein de sang autour de ses genoux, il pleura.

- Tout va bien. . . Respire. Je suis là, tout va bien. Tu n’es pas le seul à avoir un don hors du commun, tu sais ?

En entendant les paroles de la fille il se retouna subitement les yeux grand ouvert et plein de larmes. Jamais il n'avait pleurer comme ça de sa vie pour quelqu'un qu'il ne connaisait même pas. Il lui sauta dans les bras et la serras très fort contre lui. Il se sentait si soulager de la voir en vie. Il vit ses jambe blesser et lui fit signe de l'attendre et s'envola vers sa cabane. Une fois là bas il prit ses bandage et son désinfectant, pourquoi il avait ça? les bandage va savoir! Mais le désinfectant c'était pour ses perçages. Il retourna auprès d'elle et sorti ses choses du sac qu'il avait amené. Il se mit à désinfecter sa jambe en disant:

-Si ça picote pas un peu il y à un problème!

Une fois terminer il se mit à mettre les bandages. En les plaçant comme il faut il lui dit d'une voix douce:

-D'ailleurs tu ne m'a toujours pas dit ton nom!

Ses yeux était rouge, à cause des larmes. Il reniflat un peu et leva la tête. Il tendit la main et caressa la tête de la fille aux cheveux noir, comme si il voulait s'assurer qu'il n'était pas devenu complètement fou et qu'il fessait des bandage à une pierre ou un arbre. Elle était bien là, devant lui. Sa tête lui fit mal une seconde fois. Il se mit à coter d'elle et s'accota la tête sur son épaule pour se reposer un peu. Fermant les yeux encore quelque larmes coulèrent en la mémoire de Danaël son ami défunt.

- Mae. Je suis Mae McAllister. Et toi, demanda-t-elle en colère, qui es-tu espèce de malade? Tu trouble les cours et après tu tentes de quoi? De me tuer? Sache que je suis plus précoce que cela et qu’il m’en faut plus pour me tuer! Espèce de E… Vous êtes tous les mêmes.

Il regarda la jeune fille avec un regard perdu. "Vous êtes tous les mêmes.". Ses parole résonnait encore dans la tête de Nathaniël. Il était encore recroqueviller sur lui même avec peur. Il s’écorçait de retenir ses larmes mais elle coulait toutes seules. Il répondit à Mae d'une voix tremblante en tentant de se lever:

- Je suis Nathaniël Delenikas... Je n'ai pas essayer de te tuer, j'ai eut un malaise... Et c'est pas tout les E qui sont des monstre de violence tu sauras....

Il se sentait mal. Il repensait à Danaël, le jour affreux où celui-ci c'était fait écraser par la colonnes de pierre. Les image de l'incident était encore très claire dans sa mémoire, le sang de son meilleur amis qui giclait partout, son cri de terreur et la pierre qui l'avait blesser au visage. Il toucha sa cicatrice avec regret, la main tremblante. Il s'envola et alla dans l'arbre où il cachait quelque bouteille de vodka et de rome. Il prit une de vodka. Il ouvrit et se mit à la boire à même la bouteille en descendant de l'arbre. L'alcool était le seul moyen pour lui d'oublier ce qui lui fessait mal, mais l'effet temporaire le détruisait encore plus. Il se disait qu'il valait mieux qu'il se détruise petit à petit, plutôt que d'un coup. Comme ça, il pourrait surement se dire que la paix lui viendra un jour. Il regarda le ciel, ses yeux gris acier plein de larmes et le nez morveux. Il dit dasn se qui paraissait plus être un soupire:

- Danaël...