Sujet: She Hotter Than Fire ▬ PV ANABETH Lun 27 Mai 2013 - 2:28
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Sujet: Re: She Hotter Than Fire ▬ PV ANABETH Lun 27 Mai 2013 - 8:35
TAG : cale. WORDS : #beach #summer #party OUTFIT : flemme de remeeettre.
I'm waking up to ash and dust, I wipe my brow and I sweat my rust, I'm breathing in the chemicals. I'm breaking in, shaping up, then checking out on the prison bus. This is it, the apocalypse.
j'espère que tu seras inspirées j'ai fait environ 800 mots mais osef. ♥ enjoy.
Ce fut l'agréable chaleur des rayons de soleils qui réveillèrent la belle endormie. Puis le doux murmure des vagues. Et enfin le goût salin de l'air qui n'échappa à ses narines. Elle poussa un léger rire, qui passa presque inaperçue à cause d'un coup de vent. Tout cela ne faisait-il pas un trop cliché ? C'est vrai, se réveiller dans une plage sans savoir le pourquoi du comment on est atterrit ici, cela passerait bien dans un film. Cependant, Anabeth n'ignorait pas tout de la raison pour laquelle elle se trouvait ici. Bien que ses souvenirs de la nuit précédente soient flous, la rose savait que c'est parce que Cale l'avait invité à une fête organisée par Holy, Wayne et lui même. Elle jeta un coup d'oeil circulaire autour d'elle et se surprit à être soulagée de ne pas voir le blond dans les environs. M'enfin c'était tout à fait compréhensible, alors qu'il l'avait invitée à cette soirée sois disante géniale, il trouva le moyen de l'abandonner en plein milieu de la fête pour aller avec je ne sais qui d'autre. De quoi profondément irrité Anabeth. Bref, les idées bien remisent en place, ce fut non sans difficulté qu'elle dut se lever. Le contact du sable chaud contre ses pieds froids lui provoquèrent un léger frisson. Elle essaya de retrouver ses vans ainsi qu'un paquet de clopes dans ce capharnaüm ambiant. Lorsque l'étudiante était contrariée, elle commençait à avoir un besoin pressant de nicotine. Et si on ne lui en administrait pas une dose suffisante, elle se mettait à remballer tout le monde sans exception. Par chance, elle mît la main sur un paquet de 20 blondes, ce qui devrait la calmer pour le moment.
Le soleil commençait à peine à se lever. Un jolie spectacle, que l'on avait pas l'occasion d'observer souvent lorsqu'on aimait faire la grasse matinée. Il ne devait pas être plus de 7h et Anabeth voulait rentrer chez elle, probablement pour retourner se coucher. Elle était vraiment épuisée et son mal de crâne l'embêtait depuis tout à l'heure. À force de fouiller dans le sable, elle eut également le plaisir de retrouver une canette de coca cherry, assez fraîche pour qu'elle puisse la boire. Délicieux gnifghrecdw. Ses joues se teintèrent légèrement de rose, comme à chaque qu'elle goûtait à quelque chose de bon. Et puis, par la plus grande des coïncidences, la rose tomba sur Cale qui apparemment venait de se réveiller, tout comme elle. Tssk. Elle aborda une moue boudeuse et fronça les sourcils, afin de lui montrer qu'elle lui en voulait pour hier soir. Ce dernier s'approcha silencieusement d'elle, avant de venir jouer avec l'une de ses mèches roses, la respirer. Elle se mordit la lèvre inférieur, presque jusqu'à la faire saigner, elle aurait voulue lui répondre d'un sourire plutôt que d'un regard plein de reproches, elle aurait voulue se blottir dans ses bras musclés plutôt que de lui tourner le dos. Mais après tout c'était de sa faute, c'était lui qui l'avait laissée toute seule hier soir, c'était lui qui avait commis l'erreur. Et elle ne pouvait pas le lui pardonner comme ça, juste en suivant ses sentiments. Il devait comprendre que cela ne se faisait pas, surtout lorsqu'on a invitée la fille en question. Anabeth ne jugea pas utile de le gifler ou quoi que ce soit, il suffisait de la regarder pour comprendre qu'elle avait été blessée. Elle secoua légèrement sa tête et commença à s'éloigner.
« Je t'accompagne jusqu'à prism ? »
Par fierté, elle aurait dût refuser. Sauf que son cerveau était en compote et elle ne se trouvait dans l'incapacité de réfléchir. Alors elle se contenta de lui répondre, d'un ton glaciale :
« Fais comme tu veux, jm'en fous. »
Ce serait vous mentir que de vous dire qu'Anabeth détestait agir aussi froidement, surtout avec des personnes qu'elle apprécie. La rose continua à marcher, soit pas très correctement à cause du fait d'avoir un peu trop but hier soir, et manqua de se ramasser lorsque son pied heurta un gros galet. Poussant un juron, elle atteint enfin la sortit de la plage, sans se préoccuper de savoir si le blond la suivait ou non. (bien qu'intérieurement elle espérait qu'il la suive) Et elle se rendit compte que ses vans ne se trouvait pas à ses pieds. Sa mère. Elle ont du très probablement être paumée dans cette immense étendue de sable et d'eau. Sûrement on les avait balancer à la mer, ou on ne sait où. En tous cas, elle ne risquait pas de les retrouver. Elle soupira. Elle ne rentrerait pas sans chaussures, elle se salirait les pieds. C'est alors que lui vint une idée, peut être pas la meilleure de toute mais c'était une idée. La rose se tourna et vint de planter devant Cale, avant de lui demander ou plutôt de lui ordonner très sérieusement :
Sujet: Re: She Hotter Than Fire ▬ PV ANABETH Mar 28 Mai 2013 - 21:02
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Sujet: Re: She Hotter Than Fire ▬ PV ANABETH Mer 29 Mai 2013 - 5:04
TAG : cale. WORDS : #beach #summer #party OUTFIT : flemme de remeeettre.
I'm waking up to ash and dust, I wipe my brow and I sweat my rust, I'm breathing in the chemicals. I'm breaking in, shaping up, then checking out on the prison bus. This is it, the apocalypse.
je pond pas des trucs comme ça d'habitude et pas aussi vite. D8 j'espere que tu t'ennuieras pas trop en lisant tout ça. ;w; Arrête de m'inspirer roooooh ! èwé moi aussi je suis trop contente qu'on puisse enfin rpey lovelovelove j'espere que ma réponse sera à la hauteur de la tienne ❤❤
« Vos désirs sont des ordres, mademoiselle ♥ »
Elle lâcha un petit grognement, mais très féminin rassurez-vous, afin de montrer son mécontentement. Pas que cela la dérangeait de se faire traiter comme une princesse, mais sa fierté en prenait un coup en demandant de l'aide à Cale. Et puis, ça l'énervait, que son coeur batte à tout rompre dès qu'ils étaient un peu plus proche tout les deux. Elle ne comprenait pas ce sentiment, qui pouvait aussi bien la rendre tendre que rouge de colère, ce sentiment qui semblait avoir prit contrôle de son coeur, ce sentiment qui arrivait à la rende aussi faible et perdue. Un sentiment auquel elle n'avait jamais fait face auparavant. Anabeth ne savait plus du tout là où elle en était, partagée entre sa conscience qui lui disait de fuir loin avant que son coeur ne se brise et son corps qui lui demandait de faire un pas en avant. Mais fuir quoi ? Faire un pas en avant vers qui ? Des questions sans réponses, elle n'avait pas vraiment la tête à réfléchir à tout ça. Tout ce qu'elle pouvait en déduire, c'est que sa poitrine la faisait mal, que son coeur manquait de détruire sa cage thoracique… Peut être à cause de lui ? Non, non, non et trois fois non. L'américaine ne voulait pas tomber amoureuse. Elle le sait, cela ne lui apportera que du mal. Des pleurs, des disputes, de la jalousie. Voilà ce qu'était sa définition de l'amour.
La rose poussa un soupire puis un hoquet de surprise lorsqu'on la souleva dans les airs, Cale la tenait maintenant fermement dans ses bras. Elle agrippa ses mains glacées à sa nuque et se pressa un peu plus contre lui, la chaleur que son corps dégageait réchauffait ses membres frigorifiés. Cependant, elle évita de le regarder dans les yeux et conserva son air boudeur, histoire de bien lui montrer qu'elle ne lui pardonnerait pas aussi facilement. Elle sentait son souffle chaud, pouvait l'entendre respirer, ils étaient tellement proche que cela en devenait limite perturbant. Ses joues prirent légèrement une teinte rouge, mais elle cachait assez bien le fait que cette proximité pouvait l'affoler. Pour se changer un peu les idées, Anabeth se mit à ressasser certain de ses souvenirs à Phoenix, sa rencontre avec Nevada, lorsqu'elle s'achetait des fringues à forever 21 et se vantait de ses découvertes le lendemain, lorsqu'elle faisait des sleepovers avec des amies, lorsqu'elle allait au starbucks après les cours… Le bon vieux temps quoi. Cependant, un souvenir bien moins doux lui revint en tête. Solal et Marjolaine. Erk. Elle se souvenait encore de leurs faces de rats, de leurs manières dégueulasses et de la façon dont laquelle ils essayaient d'enfumer sa mère. Ceux-là, elle ne les reverrait plus jamais, en plus l'une de ses amies de là-bas l'avait informer de leur déménagement au Texas. Enfin bref, on s'écarte du sujet principale là.
« Tu as perdu tes chaussures ? J'irai les chercher quand je reviendrais ranger le matériel. »
Elle sourit, mais discrètement.
« Je doute que tu puisses les retrouver dans c'te véritable bazar qu'est devenue cette plage, elles ont surement dut passer à la mer. » fit-elle suivie d'un rire.
Et l'américaine se refroidit aussitôt, son regard se dirigeant ailleurs. Rire n'était pas vraiment conseillé lorsqu'on faisait la gueule à quelqu'un, cela lui montrait que tout de même on s'attachait à cette personne et qu'elle pouvait toujours nous faire rire. Tout l'inverse de ce qu'Anabeth essayait de lui faire comprendre. Elle se maudissait intérieurement pour cette erreur de sa part. Mais là, paf, le blond lui sortit une phrase des plus déroutantes.
« Je veux pas qu'un autre garçon le fasse. »
Elle rougit. Bêtement. D'un rouge écrevisse très voyant. Est-ce qu'il voulait dire par là qu'il tenait à elle ? En plus, il la serra un peu plus contre lui. Elle allait faire une attaque cardiaque là, pourquoi il lui balance des choses pareilles lui ? La rose aurait voulue se creuser un troue et s'enfoncer dedans le plus profondément possible. Son coeur battait à cent à l'heure, ses mains commençaient à devenir moites, c'était pas bon, pas bon du tout. Est-ce que cela signifiait qu'elle était amoureuse ? Non. Bien sur que non. Anabeth ne tombera ô grand jamais amoureuse de quelqu'un. Surtout pas de Cale, le beau blond aux airs d'Alex Pettyfer, le dragueur universel, celui dont le lit à déjà été occupé par un bon nombre de filles. Oui, elle ne pouvait vraiment pas tomber amoureuse d'un mec comme ça. Son amoureux, ce serait un véritable prince, qui n'aurait que d'yeux pour elle et qui s'occuperait d'elle comme une princesse. Elle pourrait placer en lui une confiance aveugle, il lui susurrerait des mots doux au creux de son oreille, il rirait à chacune de ses blagues, même les plus mauvaises. Peut être que physiquement Cale ressemblerait à ce beau prince dont elle rêve tant, peut être que certain de ces gestes font penser à ceux parfait gentlemen mais elle ne pouvait pas, enfin elle ne voulait pas, croire que son coeur l'ait choisit lui. C'était tout bonnement impossible.
« Et si on partait ? Le temps des vacances, c'est bientôt. T'es aussi de phoenix non ? »
Anabeth éclata de rire. Pas d'un rire moqueur, loin de là. D'un rire affectueux, tendre, charmant. Le type de rire que l'on aimait bien entendre, celui qui te faisait chaud au cœur. On aurait dit qu'il lui demandait de s'évader au loin, de s'échapper de Prismver. Mais en même temps, on aurait dit qu'il s'étouffait à dire ça. Comme ci il avait quelque chose sur le cœur, quelque chose dont il voudrait parler mais n'osait peut être pas. Elle ne savait pas vraiment. Cependant, ce détail ne lui échappa pas. Elle posa sa main sur sa joue et le regarda d'un air tendre, son regard vert pomme contre ses iris maintenant azuré. Émeraudes contre saphirs. Il était plutôt mignon sans ses lentilles.
baby you're a firework, come on, let your colors burst.
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Sujet: Re: She Hotter Than Fire ▬ PV ANABETH Lun 3 Juin 2013 - 2:42
CALE & ANABETH
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Sujet: Re: She Hotter Than Fire ▬ PV ANABETH Dim 10 Nov 2013 - 9:50
TAG : cale. WORDS : #beach #summer #party OUTFIT : flemme de remeeettre.
I'm waking up to ash and dust, I wipe my brow and I sweat my rust, I'm breathing in the chemicals. I'm breaking in, shaping up, then checking out on the prison bus. This is it, the apocalypse.
quel est ce rp wtfesque que je viens de te pondre la XD vraiment vraiment désolée pour le temps de réponse impardonnable, je suis impardonnable, tu peux me gifler. ;w; gros bisous baveux je t'aime en espérant que mon rp t'inspire ne serait ce qu'un peu ❤
« C'est juste une stupide histoire d'amour, je vais m'en remettre. »
Je frissonne. Après avoir frôler l'eau saline de la mer, le zéphyr vient caresser avec douceur ma peau. La fraîcheur de cette bourrasque était tel que mes membres se mirent à trembler. Instinctivement, je me blottit un peu plus dans ses bras. Parce que j'avais froid, et je devais me réchauffer. Et puis, on est bien installés dans ses bras, je trouve. Mensonge. Ni coup de vent, ni fraîcheur ne m'avait fait trembler. Juste cette phrase qui venait à l'instant de franchir ses lèvres, juste quelques stupides mots qui sans le vouloir, avaient tout juste transpercer mon... Cœur ? Impossible. Je ne suis absolument pas affectée par le fait qu'il puisse aimer une autre personne que moi. Je ne serais pas du tout brisée et détruite si il m'effaçait de sa vie et s'en allait voir quelqu'un d'autre. Il peut bien se casser une jambe ou un bras, je m'en fiche totalement, je ne serais pas la première à m'inquiéter et sauter dans le premier taxi pour aller le voir à l'hôpital. Bon, ok, j'arrête je vais lui porter la poisse. De toute façon, je n'ai pas besoin de me justifier, j'ai toujours raison. Toujours. Même quand j'ai tord.
« Oh wiii filons en douce une nuit avec pour bagage seulement ce qu'on porte. À ton avis on peut convertir des prisms en dollars ? Je suis riiiche. »
Une nouvelle fois, j'éclate de rire. Et pourtant, je ne devrais PAS rire, bon sang de bois. En plus, c'est même pas marrant. On pourrait très bien, en cours de route, mourir dans l'avion parce que le pilote, déprimée depuis que la personne avec qui il était censée aller à une soirée qui devait être l'une des meilleurs fêtes de sa vie la lâchement abandonnée pour aller voir quelqu'un d'autre, avait envie de se suicider et pour ce faire a fait crasher l'engin volant, emportant tout les passagers avec lui dans la mort ! Et c'est tout à fait une coïncidence si ce pilote a subit la même chose que moi. Et j'avoue exagérer un peu les choses. Et puis zut.
« Je te présenterai mes soeurs. Elles sont toutes bizarres mais.... Je suis sûr que tu vas bien t'entendre avec. »
J'hausse un sourcil.
« J'espère que tu n'insinuerais pas par là que je suis également bizarre. Parce ce que, je tiens à le préciser, je suis une personne normalement constituée. Toi par contre, je ne suis pas sur que ce soit le cas, crétin. »
Je lui souris malicieusement, avec taquinerie. C'est de la provocation, bien sur, je ne le pense pas vraiment. Quoi que... Non, je plaisante. Pourquoi je plaisante dans un moment pareil, d'ailleurs ? Je ne suis pas censée le bouder jusqu'à nouvelle ordre ? Mais c'est de sa faute aussi, pourquoi il me fait rire ! Oui tiens, pourquoi il me fais rire même lorsque ce n'est pas rigolo ? Tu vas arrêter de me faire rire, oui ? Imbécile ! Ah, parce que j'avais oubliée de le préciser, maintenant je suis capable de communiquer par télépathie. Je viens de me découvrir un second don, à l'instant, tout à fait. Je ne suis pas entrain de me battre avec moi même, avec un Cale imaginaire. Je suis une jeune fille on ne peut plus normal, qui parle normalement, s'habille normalement, mange normalement, dort normalement... Bon, Cale, quand est-ce que tu vas arrêter de me rendre folle ?
« Désolée. »
Quoi, désolé pour m'avoir laisser tomber aussi facilement que l'on évacue ses (restons polis) excréments aux toilettes ? Faut pas voyons.
« Je suis désolée pour hier. »
Mais non, c'est pas grave enfin, tu n'y es pour rien si j'ai eu envie de me jeter à la mer ce soir là.
« Gifle moi. Je suis sûr que ça va te faire du bien et en plus je le mérite. »
... Bon celle là je ne m'y attendais vraiment pas. Le gifler ? Ça me défoulera, sûrement. Mais rien de plus. Ça ne risque pas d'arranger les choses. Au contraire, ça pourrait même les empirer, les envenimer. Non, ça ne servirait strictement à rien. Là, tout de suite, maintenant, j'avais juste envie de lui déballer tout ce que j'avais sur le coeur. Et c'est bien ce que je comptais faire.
« Imbécile... Imbécile, imbécile, imbécile ! Bien sur que tu la mérite, cette gifle ! Mais ça servirait à quoi, franchement, que je te la donne ? Me donner encore plus envie de te taper, oui ! Tout ne rentrera pas dans l'ordre avec une simple gifle, tu en a conscience non ? Non, pour que tout redevienne comme avant, nous allons parler ! Parleeeeer ! Oui, nous allons parler, c'est bien plus sage. Dieu nous a d'ôter d'une langue et de corde vocales, n'est ce pas merveilleux ? »
Je marque une pause, légèrement essoufflée. Parce que, oui, débiter des âneries, ça essouffle, croyez-moi.
« Pourquoi tu m'as invitée hier soir si c'était pour voir quelqu'un d'autre, hein ? Tu m'as laissée me morfondre dans mon coin, toute seule, avec des idées pas possibles de meurtres et de suicides. J'aurais très bien pu me jeter à la mer, tiens ! Ou alors d'une falaise comme ça je me fracasserais la tête contre des rochers. Ce serait une plus belle mort, non ? Connard ! Si tu me refais un coup pareil, je... Je ferais quelque chose de pas bien, mais genre de vraiment pas bien ! Espèce de... De... Bougre ! Malotrue ! Ouvre les yeux et essaye de comprendre mes sentiments, sacre bleu ! »