Un chat, normalement, ça viens pas à la plage! Pas vrais??

Nathaniël se réveilla encore une fois dans une maison inconnue à son esprit. Il regarda autour de lui les nombreux cadavres des fêtards qu’il y avait autour de lui. Il vit de la bière, de la vodka, du vin et pleins d’autres sorte d’alcool. Quelque drogué encore gelé sur le H ou le speed. Il se leva avec son verre de vodka à la main et le fini cul sec. Il se secoua la tête et laissa tomber son verre sur le sol où il avait dormi et sorti de la maison en s’envolant.

Une fois plus loin, il se regarda dans une flaque d’eau pour être sur que personne ne lui avait dessiné dans le visage. En effet personne n’osait lui colorier le visage sous peine de faire casser la gueule. Il se leva et parti à pied cette fois. Ce dirigeant vers sa cabane pour prendre une douche et se changer en une éclaire. Il arriva assez rapidement à sa cabane et remercia le ciel que la douche soit libre. Une fois à l’intérieur de celle-ci il se lava les cheveux longuement pour enlever toute trace d’odeur d’alcool ou de fête. Après trois tonnes de shampooing, l’odeur était partie. Il fessait tout de même chaud dehors, alors pourquoi ne pas aller à la plage pour éviter d’avoir trop chaud dans la journée. De plus, aucun cour n’avait l’air pour le moins intéressant. Il sorti, nue, sans serviette et prit son maillot pour l’enfiler en vitesse et prendre une guitare sèche. Il s’envola vers la plage et vit plein de chose en chemin et se déposa devant le marchand de glace et prit un milkshake à la vanille française.

Tout en le sirotant doucement, il arriva à la plage. Il s’assit près de l’eau et accorda sa guitare. Une fois terminée il se décida pour jouer Beautiful de Christina Aguilera. Mais hors de question de la chanter sinon tout serait décapiter.

Je portais lentement mains vers mon réveil et l'assomma de mon poing, comme à l'habitude. J'entrouvris mes yeux graduellement, comme chaque humain, car sinon, je m'aurais plaint de mes yeux toutes la journée. Je me mis stable sur mes deux jambes puis marcha en direction de la fenêtre pour écarter les rideaux de la vitre et observa l'extérieur paisiblement. Je l'ouvris juste assez pour entendre le vent souffler sur la paroi et me décida à me préparer à sortir. Le sol était frais et propre, une chose que j'adorais. Marcher pieds nus sur le parquet n'était que l'une de mes plus grandes préférences. J'avais farfouiller parmi mes commodes et mes vêtements, cherchant désespérément mon uniforme, que j'ai finalement trouvée au fond du tiroir. Je le déposas sur mon lit puis pénétra la salle de bain, toujours aussi accueillante. Je me dévêtis en poussant quelques petits bruits étranges et en exécutant des grimaces plus ou moins flatteuses dans le miroir. Je me douchas pendant une quinzaine de minutes puis agrippas la première serviette que j'aperçue. Mon corps était mouillé a grandeur, même mes cheveux. Et Dieu sait à quel point je n'aime pas mouiller mes cheveux. Je les tordis par-dessus le lavabo et m'hydrata le visage de ma crème, comme toujours. J'enfilas rapidement mes vêtements, me parfuma et m'accompagna d'un suçon géant à la bouche. Je mis ma queue de chat et mes oreilles, fît mon lit et je sortis de la chambre, laissant ma serviette abandonnée sur mon lit.

Me promenant dans les couloirs de la bâtisse, je me décidas a usé mon temps à la plage, malgré qu'elle soit loin. Je passa à travers plusieurs endroits pour y accéder, entendant au passage plusieurs disputes de couples et de séance de baisers ardents entre amoureux. Quelquefois, je tendais l'oreille à la recherche d'un scoop pour collaborer à la Gazette de Shu, mais sans succès. J'aime porter aide aux gens, après tout. J'arriva finalement à la plage, où j'aperçus un garçon aux allures solitaires débuter une mélodie au début méconnaissable aux abords de l'océan. Je resta distante un moment, essayant de distinguer la chanson que le garçon à présent inconnu jouais. Je reconnus assez vite l'harmonie et me présenta d'un ton calme. Cependant, ma phrase ne commença même pas par un ''Salut''.

J'ai toujours été une jeune fille très « correctrice » si l'on veut et je trouve cela également et vraiment très dommage qu'il n'y est pas pensé à accompagner sa mélodie. Je m'assis à ses côtés comme si j'étais l'une de ses amies de toujours et soupira.

J'ai toujours appréciée donner des conseils aux gens en ce qui concerne le chant, moi-même étant chanteuse. Je ne voulais cependant pas paraître comme si j'étais « Madame je suis la meilleure » et j'espérais de toutes mon âme qu'il apprécie mes renseignements.

Pendant qu’il jouait, une jeune vint s’asseoir à coter de Nathaniël. Elle se mit à lui dire des choses que sa mère lui avait déjà dites quand il était plus jeune. Mais elle trouvait qu’il jouait bien.

« D'ailleurs, je me présente, je m'appelle Ana Sugar, douze ans. Si tu veux que je te laisse tranquille, tu me le dit tout de suite hein. »

Elle ne l’énervait pas. Elle avait l’air très sympathique. Il arrêta se qu’il se mit à jouer autre chose. Il fessait des accords en cherchant quoi jouer et trouva. Il se mit à jouer la chanson de Pirate des Caraïbes. Il dit en rythme avec la mélodie, sans toutefois chanter :

- Je suis Nathaniël Delenikas, seize ans. Ravi de te connaître Ana, en passant j’adore tes oreilles de chats!

Du tact, tout en se concentrant sur une musique qui ne lui était pas inconnue. Il espérait qu’en se présentant directement, il lui ferait comprendre qu’elle ne dérangeait pas le moins du monde. Nathaniël n’était pas du genre à refuser un peu de compagnie dans ses temps solitaire et plein de musique. Il tourna la tête vers elle et lui demanda d’une voix un peu curieuse :

- Dit moi, cela te dirait de m’accompagner au chant sur une chanson de ton choix??

Il la regardait continuant à jouer comme pour se réchauffer un peu, en attendant la réponse de Ana. Il regarda l'horizon avec un sourire niait. Un vent frais soufflait sur la rive et fessait voler les long cheveux blanc de Nathaniël.

Il était beau, malgré ses longs cheveux blancs et cette étrange cicatrice marquant son visage. Lorsque je l'avais vu de face, j'avais été agréablement surpris de constater que... il était unique physiquement. C'était amusant de voir des personnes originale, qui sortait de l'ordinaire. Il faut dire que sur le coup, je l'ai trouvé très chaleureux dès mon arriver.

C'était certainement le premier élève qui ne m'avait pas dévisagé en apercevant mon accoutrement et j'ai trouvée cela formidable qu'il me complimente plutôt que de critiquer ma façon de m'habiller. J'eus le goût de le serrer fort dans mes bras dès qu'il avait prononcés cette phrase et m'a première réaction mentale fût : J'ai un ami ! Du moins, je le considérais déjà comme étant un de mes amis. Peu importe son opinion sur ce sujet, si j'ai dit quelque chose, c'est que c'est le cas.

Je ne m'avais aucunement attendu à ce genre de question soudaine. J'étais chanteuse, oui et j'ai également hériter d'une voix selon moi, assez agréable à entendre. Cependant, je n'ai jamais vraiment appréciée chanter devant le public de peur d'oublier mes paroles ou de fausser affreusement.

J'espérais une bonne réaction. Je ne m'attendais certainement pas à la meilleure, mais au moins à un minimum de coopération de la part du beau blanc. Ce n'est pas tout le monde qui a le cran de chanter devant d'autres personnes. J'ajoutas une dernière phrase juste de manière à le faire hésiter et de le faire suer.

Il la regarda avec des yeux de truites et cligna des yeux plusieurs fois. Il fini par pousser un léger soupir en souriant. Il déposa sa guitare, s’attacha les cheveux et lui répondit d’un ton confiant :

- D’accord! Cela me convient!

Il rangea sa guitare acoustique et sorti sa guitare sèche, qui était plus approprié pour la chanson. Il sorti l’accordeur et ajusta le son de chaque cordes de son instrument. Une fois parfaitement juste, il mit ses doigts au premier accord et attendit qu’Ana se mette à chanter. Après tout, ce ne serait pas lui qui commencerait. Il se dit qu’après, il pourrait chanter, à son tour, une chanson qu’il chantait bien. Il réfléchit et pensa à « Hey, Soul sister!». C’était une très bonne chanson, un petit air joyeux qui chassait un peu la brume de la tête de Nathaniël. Entre temps, pendant ses penser, sans même s’en rendre compte, il c’était envoler comme si de rien n’était. Il l’attendait toujours, mais sans vraiment se soucier de se qu’elle fessait. Elle allait surement lui dire quand commencer à jouer. Il referma les yeux et se laissa flotter doucement dans les airs avec la brise à la douce odeur marine qui lui chatouillait les narines. Ses longs cheveux blancs réuni en une queue de cheval flottant au vent comme l’herbe plus loin sur les berges de la plage de sable fin.

Je le regardas de mes yeux quelques secondes tâtés son instrument. Il semblait me fixa soudainement, esquissa un sourire narquois et me dit :

Je fus un peu abasourdis au début de savoir qu'il accepta une telle tâche sans aucune réflexion, mais vite, je trouvas de nouveau un moyen de le faire hésiter. Je n'avais pas vraiment la tête à chanter présentement depuis mon arrivée et j'avais accepté par gentillesse. S'il y avait encore un moyen de reculer en arrière, pourquoi ne pas utiliser cette chance ?

Il semblait se questionner et pendant ce temps, je décidas de laisser le coup de grâce à l'oeuvre.

Un sourire amusé se dessina sur mes lèvres pâles et j'étouffa un petit rire. Voir l'air totalement perdu s'étendre sur son visage n'était qu'un simple délice à mes yeux. J'adorais voir le monde être anxieux, nerveux ou gênée. J'arborais un sourire de plus en plus voyant jusqu'à ne plus pouvoir l'agrandir. Beau que je ne connaissait encore personne dans l'école, je me plaisais bien ici.

J'attendis quelques minutes pendant qu'il cherchait les paroles. Je soupiras et me dit que les paroles des choeurs n'étaient pourtant pas difficile. Et si en fait il connaissait les paroles, mais qu'il pensait à quelque chose ? Après tout, je n'étais pas dans sa tête. Je ne pouvais pas vraiment décrire ses actions...

Il soupira fortement et se posa sur le sable et se mit à jouer, seulement après un moment pour s'habituer il commença:

Il espérait que c'était la bonne chanson car il avait un très mauvaise mémoire pour ce qui était des paroles. Enfin bon en attendant il fallait qu'elle chante sa partie, puisqu'il ne fessait que les chœurs. Il continuait tout de même à jouer de sa guitare et attendait la partie de la chanteuse de douze ans. Nath n'avait pas l'habitude de chanter les chansons de Christina, seulement les jouer à la guitare ou au violon. Enfin bon, il aimait jouer alors pourquoi pas chanter un peu comme ça maman lui avait apprit autrefois avec son frère. Il avait toujours eut l'habitude de faire les chœur et son frère la voix principale. Alors ça ne le changeait pas vraiment de faire ça. Rien ne le changerait au fond. Il regarda Ana pour qu'elle commence à chanter au plus vite qu'il puise finir et qu'il aille se baigner un peu, il avait si chaud qu'il avait l'impression de cuire comme dans un BBQ. Le vent avait disparu, donc la chaleur insupportable et cela de plus en plus. À chaque Note que Nath jouait il avait encore plus envie de lâcher sa guitare et sauter dans l'eau pour se rafraîchir et ne plus avoir mal à la tête. 

Je regardais le soleil au loin en humant l'air frais paisiblement. Cependant, cet instant de pures bonheurs fût d'une courte durée. L'autre crétin, qui m'avait proposé de chanter, avait laissé tomber sa guitare et s'était élancé dans l'eau chaude de l'océan. Je fût énormément vexé sur le coup ; étais-je une mauvaise chanteuse ? La chanson que j'avais décidée d'interpréter était-elle mauvaise ? Les questions se bousculèrent dans ma tête pendant quelques minutes, remettant tous mes loisirs en question ; Peut-être n'étais-je pas bonne en dessin et en danse également ? Après les centaines de questions que je m'étais posé, je me sentis bien. Je n'avais plus chaud et je n'avais pas froid, pourquoi donc ? Car ce crétin m'avait asperger d'eau. Moi, toute habiller, vêtit de mon pantalon Adidas, de mes Vans qui seront bousiller par sa faute. S'en était de trop, j'explosa. Il avait tué mes chaussures, mon pantalon, tout ! Mes oreilles et ma queue de chat était trempe, j'étais trempe. Je me releva aussitôt, telle une furie sortant d'une douche à l'improviste et décida d'user de mon don pour le faire revenir vers la plage. Dès qu'il fût rendu, j'hurla comme une cinglée, attirant l'attention sur nous.

Je lui foutus une gifle sur la joue gauche et mon poing sur le nez. Je partis aussitôt, sur les nerfs, complètement énervé. Je passe par le jardin et retourna dans ma chambre, humilié. Pas seulement humilié que certains élèves me connaissent maintenant comme une colérique sans limite comme premier aperçus, mais aussi parce que moi, nouvelle étudiante de l'école, croyait savoir trouver un ami. Un ami qui lui a finalement fait faux bond à la dernière minute en la ridiculisant.

La jeune fille lui avait crié dessus comme une folle furieuse et était partie.  Nathaniël regardait en direction de où elle était partie. Les yeux gris acier rond comme des billes. Ne comprenant pas ce qu'il avait fait de mal. Il s'envola et la poursuit du plus vite qu'il le pouvait. Il s'était élever dans les airs pour mieux voir le sol et la repérer. Il l'a trouva qui entrais dans sa chambre. Il soupira et descendit à une vitesse folle, entra dans la cabane, l'attrapa dans ses bras et sorti aussi aussitôt. Il remonta dans les air air aussi vite qu'il était descendu et la ramena à la plage. Mais en chemin il lui dit doucement en regardant partout pour être sur de ne pas être dans les pattes des oiseaux:

Il avouait ses erreurs comme toujours, il en fessait trop d'erreurs. Il soupira et la déposa doucement sur le sable. Il s'assit, essouffler. Ça ne paraissait pas, mais pour qu'il puise voler à haute vitesse il fallait qu'il fasse un effort colossale. Des gouttes de sueur perlait sur son front. Le seul effort qu'il n'avait pas eut besoin de faire c'était quand il était descendu en piquer. Il regarda Ana et lui dit:

Frustré. Le seul mot pour d'écrire le moment présent. Rouge de colère, une vrai furie. C'est ça que je fût sur le coup. Lorsque j'arriva à la porte de ma cabane, je l'ouvrît et la claqua bruyamment, couvrant la place d'un bruit désagréable. Je donna un coup dans un des meubles puis commença à me changer. Cependant, un obstacle fît apparition après que j'ai enlevée mon chandail et mis des jeans : Nathaniël Delenikas, cet abruti, avait pénétré dans ma cabane sans aucune permission. Il s'avança vers moi, me pris dans ses bras et partit... sans fermer la porte ! Dès qu'il fût hors de ma chambre, il utilisa son pouvoir pour se déplacer dans le ciel. Je commença aussitôt à hurler :

Par malheur, il ne prêta aucune attention à mes cries incessant et continua à voler parmi les oiseaux. Je n'avais pas eu peur... du moins, pas encore mais lorsqu'il se mit à parler, je m'inquiéta un peu. J'avais peur que parler et voler en même temps ne nous fasses faire une chute libre par manque d'attention.

Soudain, il descendit en piqué, sans me prévenir. Je me défonça les poumons sur le coups. Nous arrivâmes aussitôt à la plage, où il me déposa délicatement sur le sable pour ensuite débuter un minuscule discours dont je ne prêtais aucune attention.

Je ne dis rien à propos de ses excuses lors du trajet. Il ira chez l'infirmière et je l'oblige, peu importe ce qu'il dira.

Sans vraiment se préoccuper de sa blessure au nez, Nathaniël se fit traîner de force à l'infirmerie. Mais avant qu'il n'arrive, il prit Ana dans ses bras et la ramena à la plage. Il lui fit signe d'attendre et parti comme une flèche vers la cabane de celle-ci. Une fois à l'intérieur, il prit un chandail au hasard et retourna à la plage, prenant le temps de fermer la porte cette fois-ci. Il lui mit le chandail sur la tête en riant et lui dit par la même occasion:

- J'ai prit le premier que j'ai vu alors, chiale pas!

Il se foutait de la mode et tout, pour lui, un chandail est un chandail et un pantalon est un foutu pantalon. N'étant pas expert il préférait resté hors de ça. Il s'assis sur le sol essuyant le sang coulant de son nez fin. Il prit un élastique et se fit une queue de cheval qui le fessait ressembler à une fille. Il prit sa guitare et se mit à jouer l'air de Popular song et fit signe à Ana de chanter si elle la connaissait. Il adorait cette chanson, elle était drôle, surtout quand ont en comprenait le sens. Continuant de jouer, il dit à Ana d'un ton bien joyeux:

- Au fait c'est pas grave pour le coup de poing, je me fait pire blessure parfois!

À force de faire des cascade stupide et de se casser la gueule à presque tout les jours, il y devenait habituer. En plus ce n'est pas comme si elle lui avait arracher son perçage. Là, il aurait eut mal.