Une B à l'étage des E | Pv : Emily Baker |

Je n'avais pas cours de la mâtiner, j'en profita donc pour visiter l'établissement de fond en comble. J'avais pris soins de prendre ma trousse d'outil et un calepin, pour noter toutes les irrégularité de l'état du bâtiment, une vilaine habitude que mes parents n'arrivaient pas à m'enlever. Vivre dans un endroit où la peinture s'écaillait était pour moi une véritable torture. La petite fille enjoué et souriante commençait à fixer se défaut et ne s'en détachera seulement lorsque se défauts aura disparue. C'est un gros soucis qui ne favorise pas ma socialisation au sein de se monde. J'avais noter tous les petits détailles qui montrait que l'état était déplorable, le rez de chausser et le première étage était assez propre, il n'y avait pas trop de défauts.

Je venais de quitter la dernière marche de l'escalier pour entrer dans le couloir du 2ème, étage. Ma tête se mit à tourner, tout était à refaire, rien n'était à sa place. Mais qui donc pouvait vivre dans c'est condition ? Une partie de la peinture c'était écailler, les tuyaux de la plomberie qui était coller au plafond était rouiller, et le pire était la multitude de graffitis qui ornaient les mures. Heureusement qu'ils étaient dessiner sur des feuilles et seulement ensuite accroché sur les murs. Parce que j'aurais du prendre le double de mon temps pour tout nettoyer. J'avançais tout en écrivant le matérielle nécessaire pour toutes les réparations dans se seule couloirs. Et oui ! Je suis une petite plain de ressource et de volonté, j'étais peut-être folle, mais je détestais le désordre qui régnait dans le monde des "autres".

Je m'arrêta devant un mur sur lequel la peinture qui devait le recouvrir au paravant laissait place à d'étrange tache grise, surement l'humidité. J'avais ranger mon calepin et réfléchissais à la manière d'enlever cette chose, je leva la tête au plafond, on avait réussi à y coller des chewings gommes.

- Tu fabriques quoi ? Tu sais que tu es à l'étage des E ici ?

Je tourna ma tête, une fille me regardait, son visage était rigolo, il devait exprimer la colère ou l'embarras. Puis mince elle était marrante savoir se qu'elle voulait me dire avec son expressions je m'en fichais. Je ne fabriquais rien ici, que voulait-elle que je fabrique dans un couloirs, un robot ou une potion, mon atelier était fait pour ça, pas les couloirs. Et je savais parfaitement où je me trouvais. Je resta silencieuse un moment, et un petit clic se fit dans ma tête, elle voulait savoir ce que faisais ici , le mot fabriquer ici ne voulait pas dire construire. Oh ! que c'est compliquer, pourquoi utiliser un mot dans un contexte qui ne lui appartenait pas.

- Oui je sais, mais c'est trop dégouttant ici, tout est abimés et cassés il faut que je répare tout.

J'avais articuler d'une manière exagérer, il fallait faire attention à l'emplois de la personne, essayer de parler comme une personne normale, sans avoir besoins de monter et descendre dans les grave et les aigu. Je faisais preuve d'un effort presque surhumains. Je ne la regardais pas vraiment et après lui avoir donner la réponse à ses questions je retourna à mon travaille sans plus faire attention à elle.

- C'est pas très gentil de dire que tout est dégouttant à l'étage des E. Tu crois vraiment qu'on a besoin d'une petite comme toi pour passer derrière nous ?

Je n'écoute pas vraiment ce qu'elle dit, je suis plus préoccuper par la manière d'enlever ces chewing-gum, qui sont arriver là de je ne sais qu'elle façon. La réplique de la grande fille me parviens enfin, pourquoi devrais-je passer derrière eux ? Encore une phrase qui cache un autre sens, je mets mes petites ménages en route, que c'est dure, je laisse tomber. Je reprend mon calepin et note les dernier matériaux nécessaire à la rénovation de l'étage. Mais les chewing-gum reste un problème. Puis pouf, mon calepin disparait de mes mains, je les contemple un instant, vide.

- C'est une liste de course ?

Je tourne la tête, pour la première fois je la fixe. C'est une magicienne elle à fait disparaitre mon calepin de mes mains ou elle la pris mais j'i pas remarquer parce que j'étais trop en train de réfléchir.

- Non, c'est une liste d'objet pas de cours et pourquoi je devrais passer derrière vous ? Et je trouve que c'est très gentil de nettoyer, moi j'aime pas quant c'est sale. Comment vous arrivez à vivre la dedans, m^me les animaux ils font attention à la propreté de leur habita.

Ce que je venais de dire étais complètement innocent, je ne mettais aucun mépris dans ma voie, c'est vrai les animaux il font attention à la propreté et une liste de cours c'est une liste qui contient uniquement des aliments, elle est vraiment idiote, ou ma logique n'est pas la m^me qu'elle, elle est surement idiote.
Voilà ! J'ai trouver, faut une échelle, bizarre d'habitude je mets moins de temps à trouver des solutions aussi évidente, ça doit être à cause de cette fille, elle me gêne dans mon travail. Pour décrocher il faut que je prennes des glaçons et après je frotte, j'adore frotter !

- T'oses dire qu'un E ne vaut pas mieux qu'un animal ?

Mon calepin se retrouve à mes pied, je le ramasse.

-Merci, non, les E sont des humains, où vas tu chercher que se sont des animaux. J'utilisais une comparaison. Je voulais dire que vous n'êtes pas très soigner.

Elle était donc vraiment idiote, j'étais contente de se que je venais de dire, une comparaison, c'était bien la seule chose que je comprenais en français, les métaphore et autres figures de style était bien trop compliquer pour mon autisme. Et par chance, on m'avait expliquer comment on appelait chaque niveau de classe, sinon je n'aurais pas su quoi répondre. Elle c'était rapprocher de moi, je ne m'en étais pas rendu compte tout de suite. Mes yeux baisser croisa ses chaussures et la une de mes fixations revins, les chaussures. Elle portait des rangers, et toutes les rangers que j'avais vu au paravant défilèrent dans mon esprit. J'étais euphorique, elles étaient super belle, les bonnes manières s'envolèrent et je me baissa pour aller toucher ses chaussures.

- Elles sont magnifiques, comme celle de mon grand frère !

Un petit oiseau sortie de mon monde, signe que ma joie avait atteint un stade incroyable, je vivait un moment de pure bonheur, ce qui signifiait que je n'avais plus aucune prise sur mon monde et que celui si pouvait déborder à n'importe quel instant, pour le moment un simple petit oiseau bleu était sortie mais si la peur et la colère m'envahissait alors là sa ne serait pas aussi mignon.

- Mais t'es complètement attardée, ma parole. Relève toi, ou jte piétine !

Elle avait prononcer deux phrase avant celle-ci, mais le seule mot qu'elle avait retenue était "Attarder". Je me releva, mon visage était toujours souriant, mais à l'intérieur commençait à bouillonner une colère et une rage que je n'arrivais pas à contenir. J'étais en train de faire une surdose d'émotion, passer de la joie à la colère aussi rapidement était fortement déconseiller dans mon cas. Petit à petit, mon visage afficha la colère, le petit oiseau disparu laissant place à un félin noir, presque une panthère mais plus fin, se n'était d'autre qu'un chat noire de 40 cm de hauteur. Ce chat, c'était un chat qu'on avait, il était fou et se mettait à griffer tout le temps, je l'avais associer à ma colère. C'était plus simple pour moi, de voire la colère comme un animal que par une simple expression.

Mes poing serre et la bête à mes coters, je cria à la fille.

- Je suis pas attarder ! Je suis autiste.

Je retenais difficilement mes coups mais je n'étais pas assez près de la grande fille pour la frapper. Ma colère poussa un crie féroce, n'importe qui aurait eu peur de se chat géant mais il ne pouvait rien faire dans le monde des autres, c'était un simple reflet de mon émotion. Il fallait tout de même faire attention, une fois un des être de mon monde à blesser quelqu'un, une simple griffure superficiel mais qui avait monté que mes créature avit lorsque j'étais dans une de mes crises le pouvoir de faire mal.
je ne haïssais pas cette fille, c'étais la réaction que j'associais dans cette situations, un copain m'aurait dit la m^me chose avec humour je serais aussi rentrer dans une colère noire. Malgré mon aire innocent, je pouvais me défendre, même très bien. Mon année de judo m'avais beaucoup aidé.

- Je t'ai trop secouée ? Pourquoi .... tu pleures ? C'est moi, hein ? Je t'ai fais peur. Dis toi que ce serra pire si tu traînes souvent dans ce couloir. Les E ne sont pas des enfants de cœur.

Je lui fais un non de la tête. Elle n'a rien a voire, je suis juste en train de ressentir une foule de sentiment, d'émotion que je n'arrive pas à contrôler. Je ne sais pas s'il faut que je me mette en colère, que je sois gentil. Je ne sais pas, je suis perdu. Calme toi Emily, ça ne sert à rien de paniquer. Il faut rester calme, c'est la première chose. J'essuies mes larmes, renifle un peu et j'essaye tant bien que mal à formuler quelque chose.

- Fatiguer....Je suis fatiguer. Faut...que j'aille dormir. Je crois.

Voilà, ça devrait suffire, elle allait me laisser partir. J'ai compris il ne faut pas revenir ici, il ne faut pas c'est trop dangereux.

- Trop dangereux ici.

Elle ne semble pas vouloir de moi ici. C'est trop compliquer, stop, stop. Des enfants de coeur !? Mais on est pas dans une église et c'est pas la messe. Non, elle ne m'a pas fait peur, c'est tout.
Voilas encore une fois, je comprend tout en retard, patience et la première chose qu'il faut avoir avec moi, vous aurez beau me donner un ordre comme "donne moi tout de suite le téléphone !" je ne le ferais pas dans l'immédiat, vous pourrez attendre quelque minute avant que je comprenne et que je vous donne ce téléphone. C'est pour ça que je n'aime pas votre monde, il demande tout trop rapidement, comme ci vous aviez peur de ne pas avoir le temps. Je ne comprend rien et ça m'énerve et m'exaspère. Là, pourquoi Kath me demande si elle m'a fait pleurer, pourquoi sa voix à changer. Trop de pourquoi et jamais de réponse !

Il faut que je parte, c'est tout, partir je n'es plus que ça en tête. Je n'attend plus rien d'elle. Je ne veux rien d'elle. Je lui tourne une nouvelle fois le dos et je me mets a courir. Je descend les escaliers comme une folle, il faut que je retourne dans ma chambre. Il y a du monde autour de moi, je panique, ma respiration s'accélère, je pousse des petit cris tout en essayant de me faufiler dans cette amas d'élève. La sortie de cours le pire moment de la journée, lutter pour ne pas crier. Je n'ai plus la force, la porte de sortie est à quelque pas de moi, je m'effondre dans un coins. Les élèves me regarde bizarrement, je ne les voie plus. Je suis en train de paniquer, tout devient trop  fort, lumineux. Je mets pas tête dans mes genoux et sanglote.

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