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 UN INFIRMIER PLEASE.

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MessageSujet: Re: UN INFIRMIER PLEASE.   UN INFIRMIER PLEASE. - Page 2 1400359500-clockMer 11 Sep 2013 - 21:06
La demi-portion appréciait visiblement guère que je lui conseille de ne pas grignoter. Bah moi je disais ça pour préserver sa ligne. Si elle tenait vraiment à finir avec un cul enflé, c’était son choix. Comme me le disait si bien ma sœur : La bouffe c’est 3 minutes dans la bouche et trois ans dans les fesses! Si la demoiselle préférait faire grimper les chiffres sur la balance…libre à elle! Personnellement, le poids était un facteur d’intérêt. Plus une femme prenait des formes disgracieuses et moins elle attirait mes regards flatteurs. Bien évidemment dans ma grande bonté, je saluais tout de même ces chairs gonflées de tissus adipeux. Je sais, je suis trop généreux…
Bref, non contente de s’empiffrer avec une grâce digne d’une truie affamée (mes comparaisons sont très explicite je sais.  J’aurais fait des merveilles dans l’enseignement !), la Hunter vint me taxer la moitié de mon mini casse croute. Pour se faire, elle vint poser ses lèvres sur les miennes…
Certains diront que je devais très certainement être ravi de son action. Et bien pour votre gouverne : IL N EN FUT RIEN! Déjà que je ne suis pas du genre gourmand, alors si en plus elle me laissait des restes, je n’étais pas prêt d’apprécier. J’aimais autant partager que me baigner dans des cuves d’acides. Ma générosité avait tout de même des limites et le partage en faisait parti! D’ailleurs ce dernier était l’un des 7 péchés capitaux! Hein ? Vous n’êtes pas d’accord? Et bah revoyez vos classiques! Tant d’inculture fait pitié à voir…

« Vous n'aviez pas qu'à me narguer avec votre bonbon en me fixant. »

C’était ça son excuse? Je ne la narguais pas mais je JOUAIS avec la nourriture!  Cette gonzesse avait vraiment l’esprit mal tourné! Quoi que attendez… en faite j’étais juste trop sexy. C’était cruel de ma part de tout lui mettre sur le dos. J’étais en partie fautif. Il fallait admettre que mon corps était un appel au viol. Ni plus ni moins. Pardonnons donc cette âme sensible, la tentation était inévitable! Amen.

« Hum et bien ma foie oui. J'ai juste froid aux fesses. »


Compassion : nom féminin : sentiment de sympathie envers les maux d’une autre personne.
Ça c’est ce que vous vous connaissez. Maintenant passons à mon petit dico perso.
> Compassion: Connerie d’origine féminine: sentiment abstrait qui touche les abrutis. Remède: Un rappel à l’ordre sur la dur réalité de la vie.

« platch »

Ce fût le bruit que fit mon bonbon lorsqu’il s’écrasa sur le front de la jeune fille. En effet, je l’avais craché au visage de la demoiselle. Hors de question d’avaler cette saloperie, surtout s’il n’en restait que la moitié. Avec moi c’était tout ou rien. C’était-elle attendu à un papillonnement d’yeux concupiscent face son geste ? A un élan de compassion en réponse à son aveu de postérieur glacé ? N’avait-elle pas comprit quel genre d’individu elle avait face à elle? Si dans son esprit ce n’était pas clair, je comptais bien l’éclairer… à coup de projecteur. Et présentement avec un bonbon fusé qui faisait office de rappel à l’ordre.

" A la base je t’avais quand même proposé le lit."
Ce n'était donc pas de ma faute si elle s'éclatait à faire sa clocharde sur le sol! Le carrelage n'est pas réputé pour servir de radiateur!
" Excuse moi de ne pas ingurgiter à la vitesse de l’éclaire tout ce qui crèche dans ma bouche. La dégustation, ça te parle ?"

J’envoyais donc un regard hautain à mon vis-à-vis. Cependant, je ne daignais nullement me redresser et n’avais pas bougé d’un nanomètre. Enfin si les lèvres… Mais juste pour apprendre à un bonbon comment contourner la graviter et pour déclarer deux trois douceurs à mon encombrante patiente !
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MessageSujet: Re: UN INFIRMIER PLEASE.   UN INFIRMIER PLEASE. - Page 2 1400359500-clockVen 13 Sep 2013 - 18:57


Un infirmier please.

Tu mangeais tranquillement encore un de tes bonbons et y'a l'autre narcissique qui vient te cracher ton bonbon gentiment à la gueule. Là t'es blasée. Tu ne dis rien, tu restes calmes. De toute façon pour qu'on t'énerve il fallait te pousser à bout et c'est pas un petit comme lui qui allait te faire sortir de tes gonds. Tu te lèves difficilement. Boitant jusqu'au lavabo et mis ta tête sous l'eau. Moment de réflexion. Bon quelle attitude adopter avec ce garçon ? Tu continues de faire la meuf débile ou tu te mets genre sérieuse accompagnée de ta franchise ? Hum. La drogue à redescendu. Tu sais dès à présent ce que tu fais. Tu cherches tout ce qu'il te faut pour soigner ton entorse, étant donné que tu ne peux pas compter sur le sois disant- infirmier. Tu te munis de glaçon et d'une bande de contention et va t’asseoir sur le lit. Pendant tout ce temps, tu ignorais complètement le garçon, enfaîte t'aurais peut- être lui demander de l'aide parce que là t'étais vraiment exténuée et ta cheville te faisait horriblement mal. Bah ouais à la base tu dois EVITEZ DE TE BOUGER mais avec ce pauvre débile, t'étais obligée de faire tout toute seule.

- Merde, excusez- moi encore une fois de vous déranger. Mais là à la base c'est vous l'infirmier donc j'aimerais bien que vous vous comportiez comme tel, profitez de vos derniers moments non ? Donc, j'aimerais JUSTE que vous m'apportiez les béquilles là bas. Je peux plus vraiment bouger et après vous pouvez vous casser, j'en ai rien à foutre.

T'avais juste trop de mal à bien mettre les glaçons sur ta cheville, ta vue était trouble. Tu  soupires, marmonnes un fait chier. Essaye de mettre tant bien que mal le sac de glaçons sur ton pied élevé. Tu souffles un « Tant pis ça sera comme ça sera ». Tu contemples le plafond ignorant une seconde fois le jeune homme. Ça te faisait chier, ouais parce que t'es pas une fille qui aime avoir de mauvaise relation, tu t'en fous à la limite mais ça te fais chier parce que tu pourras pas apprendre à le connaître et donc tu pourras pas confirmer que c'est peut- être pas un gros connard. Tu reposes tes yeux sur lui mais tu ne dis rien. Tu ne l'admires pas non plus. Ton regard est vide. Tu sais qu'il ne va sûrement pas s'excuser mais au font tu l'espères.

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MessageSujet: Re: UN INFIRMIER PLEASE.   UN INFIRMIER PLEASE. - Page 2 1400359500-clockSam 14 Sep 2013 - 8:36
Etrangement, ma patiente la boucla et ne répliqua rien après mon bonbon volant. Ce qui fût une bonne chose si l’on notait son don certain pour ramener sa fraise et tomber dans des abysses de stupidités remarquablement désastreuses.
Ainsi, la Hunter partie tant bien que mal en direction du lavabo sous mon regard nullement compatissant. Toujours au sol, je suivais avec mes iris son déplacement douloureux sans faire mine de désirer lui venir en aide. Après tout, si elle pouvait me foutre par terre, la chasseuse de papillon pouvait parfaitement se trainer jusqu’au robinet. Et puis entre nous, je n’ai jamais été un bon samaritain sauf cas d’intérêt majeur dans l’histoire.
Bref, la demi-portion finie par se passer la tête sous l’eau. Comme si elle n’était pas suffisamment trempée… Mais qui étais-je pour critiquer la reine du savoir ? Après tout les hématomes ne sont que pour les femmes enceintes.
Au final, la demoiselle farfouilla dans l’infirmerie sans daigner me consulter et se dégotta  des glaçons et une bande pour ensuite retourner sur le lit. Pour ma part, je ne bougeais pas d’un poil, me contentant de suivre la silhouette menue des yeux en me demandant comment elle allait se dépatouiller avec sa cheville enflée.  

« Merde, excusez- moi encore une fois de vous déranger. »

Notez qu’elle avait tout de même compris qu’elle me cassait les couilles depuis un bon moment. Son cas avait encore de l’espoir. Amen. Néanmoins je me demandais si elle avait vraiment pris conscience du degré de pitié qu’elle m’inspirait…

« Mais là à la base c'est vous l'infirmier donc j'aimerais bien que vous vous comportiez comme tel, profitez de vos derniers moments non ? »

J’étais surtout un infirmier quand ça l’arrangeait. Personnellement j’étais aussi bon soignant que prêtre. C’était pour dire mon incompétence dans le domaine. Et puis franchement…mes derniers moments lui disaient merde. Ce n’est pas que la Hunter avait cassé mon trip de l’infirmier mais presque. Moi « à la base » je voulais soigner des petits bobos sans importance et non servir de boniche pour une crétine en puissance.

« Donc, j'aimerais JUSTE que vous m'apportiez les béquilles là bas. »

Elle pouvait bien rependre ses viscères sur le lit que je ne bougerais pas mon cul d’un nanomètre. Je n’étais nullement disposé à lui rendre le moindre petit service si je ne gagnais rien dans l’histoire. Pas la peine de vous dire que sa gratitude ne valait pas un rond! Le jeu de rôle était terminé et je lui souhaitais bon courage pour m’extirper le moindre petit élan de bonté.

« Je peux plus vraiment bouger et après vous pouvez vous casser, j'en ai rien à foutre. »

La dernière partie de sa phrase était-elle censée me motiver à l’aider ? Si c’était le cas c’était très clairement loupé. Déjà que je n’étais pas du genre compatissant mais si en plus elle me dénigrait avant, mon aide relevait du domaine de l’utopie.
Bref, un « fait chier » et un « Tant pis ça sera comme ça sera » ne tardèrent pas à pointer le bout de leur nez quand la Hunter se débâtit avec un tas de glaçon. Et ouai, c’est qu’après les papillons bleus, les glaçons s’avéraient être des adversaires de taille!
Rebref, visiblement la reine des insectes était maintenant dans un état vaseux. Son regard absent me laissait fort sceptique. Son cerveau se déconnectait peu être par intermittence ce qui pouvait arriver à expliquer certaines choses…

« T’as de l’énergie pour ce qui t’arrange. »

Bah ouai, pour ses bonbons je l’avais trouvé plutôt vigoureuse. Alors que la Hunter n’aille pas me dire que se trainer jusqu’aux béquilles était un effort innommable.
Je me relevais donc et quittais ma blouse (histoire de lui mettre la puce à l’oreille sur mes nouvelles dispositions) avant de m’assoir à côté d’elle sur le lit.

« Et j’ai l’air du genre à servir de boniche?  »

J’ajoutais un petit regard blasé à l’appuie qui prouvait que j’étais nullement disposé à faire le moindre petit effort de bonne volonté pour m’acheter une bonne conduite. Peu importe la façon dont elle pouvait bien me voir j’en avais rien à cirer.
Après tout, qui mettrait un quelconque poids dans l’avis d’une personne qui se faisait tacler par un insecte microscopique?
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MessageSujet: Re: UN INFIRMIER PLEASE.   UN INFIRMIER PLEASE. - Page 2 1400359500-clockSam 14 Sep 2013 - 10:41


Un infirmier please.

Tu le regardes enlever sa blouse et t’asseoir à coté de toi. Tu soupires. Il commence vraiment à te faire chier. Genre profondément là. T'as une envie soudaine tu lui foutres ton vent dans la gueule suivit d'un point. Non mais y'a des limites à la connerie. Tu soupires désespérée de son cas.

- Je pense que tu es autant désespéré de mon cas que je le suis pour toi.

Bon là t'avais pas vraiment envie de jouer. Tu commençais à perdre patience. Tapotant légèrement tes doigts sur le lit. Une question te vint à l'esprit. Pourquoi il reste ici ? Pourquoi il me laisse pas comme une conne sans béquille et qu'il se casse ? Il est bizarre ce type. Enfin, bref là toi tout ce que tu veux c'est fumer. Genre oui là ça te démanges. Juste pour te détendre, je crois que t'en as bien besoin. Tu regardes un peu partout. Déjà. Il te faut ouvrir une fenêtre en grand. Par chance elle est ouverte, tu la pousses à l'aide de ton vent pour l'ouvrir un peu plus. Au moins t'avais de l'air frais. En ce qui concerne ton sac, t'as juste à te baisser. Le truc qui va te faire bien mal. Tant pis, tfaçon avec cette tête mule t’arrivera a rien. Bon je crois que là t'as une idée de génie enfin ouais on peut dire. Tu te concentras genre bien sur ton sac. En priant pour que ça marche. Tu le mis dans un petit tourbillon qui le fit monter en hauteur et enlevant la tornade tu le rattrapas de justesse. Épuisée. Rendue. Tout tanguait autour de toi mais tu restes silencieuse. Prenant une lucky strique et là portant à ta bouche. Tu commenças à l'allumer.

- Bon qu'est ce que tu veux ?

Tu te détends. Tirant sur ta clope. Bon au moins si il aime pas l'odeur de la clope ça sera peut- être un moyen pour qu'il dégage ou au contraire le fait que tu prennes autant de risque le pousserais à rester. Bah ouais, c'est interdit de fumer dans l'enceinte de l'établissement, mais toi ça te passe au dessus de la tête. Tu t'en fous royal. Au pire, on te choppe tu te prends des heures de colles, un avertissement et tu seras accompagnée sûrement de ce cher Garçon.

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MessageSujet: Re: UN INFIRMIER PLEASE.   UN INFIRMIER PLEASE. - Page 2 1400359500-clockSam 14 Sep 2013 - 13:49
J’entendis soupirer la Hunter avec lassitude. Visiblement elle se débarrassait de toutes ses dernières illusions à mon égard. Chose que j’aurais applaudit si je n’avais pas eu une flemme monstre de le faire. Bah ouai, vous ne vous rendez pas compte de l’effort que consiste le fait de rapprocher ses mains l’une de l’autre! In-sur-mon-ta-ble !

« Je pense que tu es autant désespéré de mon cas que je le suis pour toi. »

Serait-ce un éclair de lucidité de sa part? On progresse, c’est pas mal du tout. J’eu d’ailleurs un petit sourire en songeant au nombre de fois où l’on m’avait étiqueté comme étant un cas dit « désespéré ». Au final nous semblions avoir un petit point commun, bien que je me doutais que nous ne désespérions pas le monde avec les mêmes armes.
Bref, alors que mon esprit s’envolait dans de vieilles réflexions miteuses, un raclement me fit tourner la tête en direction de la fenêtre qui s’ouvrait toute seule… Casper nous avait-il fait l’honneur de sa présence? Genre l’infirmerie était hantée par les âmes qui avaient péries ici? Ou alors était-ce un signe du destin qui me suggérait de fuir par la fenêtre avant d’être contaminé par la bêtise en phase terminale de ma patiente ? Suspicieux, je me tournais vers la Hunter et la regardais avec un air soupçonneux. Dans cette école de créature de foire, je me doutais bien que ma patiente n’était pas là en touriste mais devait posséder une étrangeté qui l’avait conduite ici. Restait à savoir quel type de bizarrerie. Manipulait-elle des esprits pour en faire des boniches? Malheureusement pour la pérennité de mon hypothèse, le sac de la guerrière pris de l’altitude sous l’effet d’une sorte de petit tourbillon. Visiblement, mon parasite d’infirmerie contrôlait l’air et non la famille de Casper (dommage).
Observant toujours la miss courant d’air, je constatais que la clope était un vice que possédait ce petit bout de femme. En effet, le chasseuse de papillon avait maintenant une cigarette entre les lèvres. Cette fille contrôlait l’air mais le polluait… douce ironie de la part de mère nature.
Néanmoins pour en revenir à des préoccupations beaucoup plus terre à terre : Bonjour le respect pour les autres patients qui viendraient ici! Pour peu que certains aient des problèmes aux niveaux des poumons, je n’expliquais pas leur joie en sentant l’odeur du vieux tabac dans ce lieu de soin. Pas que ça me concerne d’une quelconque façon, néanmoins je n’aurais pas pensé cette jeune fille égoïste. Quoi que dans son cas j’optais plutôt pour une absence de projection dans le futur qu’un réel manque d’empathie. Bien que cela restait à prouver.

« Bon qu'est ce que tu veux ? »

Hum…était-elle capable de faire voler les feuilles de réponses des exams d’un prof de son sac à ma divine main? Pouvait-elle faire « malencontreusement » tomber deux trois connards à coup de tourbillon dans les couloirs? Mieux encore: Pouvait-elle m’aider à m’évader des salles de retenus? Ce n’est pas que son don me donnait des petites étoiles dans les yeux mais presque. Peut être qu’avec un entrainement intensif en ma compagnie je pouvais arriver un faire un truc pas mal… (si j’éloignais les papillons de sa personne pour la préserver d’une mort abominable, of course.)

« Je t’avertis, je veux bien aider pour la cheville mais je ne touche pas à l’état miteux de tes poumons.»

C’est sans plus de manière que j’envoyais valser les glaçons sur le sol d’un geste vif. Ces derniers se rependirent en une petite musique cristalline sur le carrelage de l’infirmerie. Puis je posais mes longs doigts fins (débarrassés des gants) sur la cheville difforme de ma patiente. Après quoi je laissais mon don faire le reste. N’étant pas non plus mère Theresa et ne souhaitant pas trop me casser le cul non plus, je me contentais de prendre la moitié de la plaie de la jeune fille.
Au final, la cheville de la Hunter avait retrouvé son volume initiale bien que maintenant ornée d’un bel hématome violacé. D’un geste blasé, je soulevais le bas de mon pantalon et constatais que ma cheville avait la même couleur violine. C’était comme si on s’était cogné méchamment dessus mais sans conséquence autre qu’un bleu et des petits élancements.
Bref, je fixais maintenant d’un regard amusé les iris de ma patiente et déclarais avec bonne humeur :

« Franchement j’ai pas la classe incarné comme infirmier? »

Moi je dis que j’avais quand même vraiment loupé ma vocation ~ Moi faire les trucs qu’avec un intérêt derrière la tête ? Mais PAS DU TOUT. Moi aussi je peux être sympa juste pour la beauté du geste ! Vous ne me croyez pas? Z’êtes pas gentils…
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MessageSujet: Re: UN INFIRMIER PLEASE.   UN INFIRMIER PLEASE. - Page 2 1400359500-clockSam 14 Sep 2013 - 15:54


Un infirmier please.

- Je t’avertis, je veux bien aider pour la cheville mais je ne touche pas à l’état miteux de tes poumons.

Tu allais t’apprêter à parler mais tu regardas le sac de glaçon voltigé par terre. Euh WTF. Qu'est ce qu'il fou là ? Il a le pouvoir de guérison ? Mais Pourquoi il fait ça ? Il est vraiment con ou quoi. Enfin non surtout incompréhensible. Et puis c'est pas lui qui va faire le ménage. Je dois tout nettoyer. De fond en comble. Le sol. Les placards. Les murs. Si je fumerais pas aussi dans cette fichue salle, je serais pas obligée de faire ça. Ta cheville ne te fit soudainement plus vraiment trop mal, que quelque petit pique par ci par là et un putain d'hématome. Tu le regardais en mode « c'est quoi ton problème la ? » Il soulève alors le bas de son pantalon et t'aperçois les yeux écarquillés qu’enfaîte il avait pris une partie de ta douleur. Putain, ce pouvoir de ouf. Tu te ressaisis. Ne montre pas que tu es en admiration. Ne montre rien okai.

- Franchement j’ai pas la classe incarné comme infirmier?

Enfaîte quand il a dit ça, t'as pas pu t’empêcher de sourire. Son pouvoir a la classe ouais. Mais y'avait juste un truc que tu captais pas. Il devait avoir quelque chose derrière la tête ou toi qui étais encore trop méfiante. Finissant ta cigarette et l'écrasant dans ton cendrier de poche blanche colombe. Tu le regardas encore une fois.

- Merci... Bon. Tu veux quoi en échange de ça ? Je suppose que t'as un truc derrière la tête. Je vois pas pourquoi tu aiderais une meuf que tu viens à peine de connaître et en plus de ça que tu rabaisses. Enfin, sinon t'es vraiment con d'avoir fait ça. Maintenant toi aussi tu as un bleu, c'est malin.

Ta dernière phrase était en soit partie d'une bonne attention. Au fond chez pas. C'était vraiment gentil de sa part mais trop surprenant à ton goût. Enfin tu te posais peut- être trop de question. Et puis t'avais été peut- être un peu trop cru dans tes mots ? Regardant par la fenêtre. Toujours allongée dans le lit et d'ailleurs tu comptais pas bouger. C'était trop confortable. Ramenant le petit drap sur toi de manière à qu'on ne puisse voir que tes yeux bleus. On aurait dit que t'étais toute fragile. Tout mignonne.

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MessageSujet: Re: UN INFIRMIER PLEASE.   UN INFIRMIER PLEASE. - Page 2 1400359500-clockSam 14 Sep 2013 - 20:32
Suite à ma question, j’eu droit à un sourire de ma patiente. Visiblement la Hunter avait l’air d’accord avec moi et j’étirais donc d’avantage mes lèvres en une mine amicale. Puis, pour m’occuper les mains, je tâtonnais mon nouvel hématome pendant que la jeune fille finissait sa clope en l’écrasant.

« Merci... Bon. »

Quand même, ce n’était pas trop tôt! Un minimum de gratitude ne faisait pas de mal! Notez que la grande chasseuse aurait pu y mettre un petit peu plus d’enthousiasme que ça. Là, c’était à se demander si la difformité de sa cheville ne lui manquait pas! D’ailleurs si y avait que ça, je pouvais le lui rendre ! Y avait cas demander ! Non mais franchement! UNE INGRATE! Elle aurait pu rajouter un « beaucoup » après merci, mais visiblement c’était de trop. C’te chieuse devait pas avoir si mal que ça! Pour se plaindre là y avait du monde mais dès qu’il s’agissait de remercier le preux chevalier, là y avait plus personne !

« Tu veux quoi en échange de ça ? »

Un acolyte puissant pour foutre la merde dans ce putain de pensionnat miteux. Une petite gueule d’ange qui ne serait pas en E et qu’on ne soupçonnerait jamais. Un don pratique pour élargir mon champ d’action! … Mais quelque chose me disait que débiter cela reviendrait à me faire passer pour une sorte d’individu peu fréquentable et aux attentions peu louables. Voir pire, à une sorte de manipulateur sociopathe ! Chose que je n’étais pas ! Enfin je crois….

« Je suppose que t'as un truc derrière la tête. »

Parfaitement, mais elle pouvait toujours crever pour que je l’admette ! D’ailleurs pourquoi la Hunter me voyait forcement avec une idée obscure en arrière plan? Je ne pouvais pas être un brave type bien gentil? Et bah non, la Reine des Papillons m’avait déjà catalogué. Monde cruel.

« Je vois pas pourquoi tu aiderais une meuf que tu viens à peine de connaître et en plus de ça que tu rabaisses. »

C’est clair que ce n’est pas mon genre du tout. Sauf cas de plan diabolique, bien évidemment. Cependant si ma patiente s’avérait être une grosse impotente dans les projets que j’avais… Là elle n’aurait plus aucun doute sur l’étendu de mon caractère peu fréquentable.
Et puis d’abord « que tu rabaisses », c’était un peu fort. Je me trouvais relativement courtois avec elle…non ?

« Enfin, sinon t'es vraiment con d'avoir fait ça. »

Bah voyons, je diminuais sa plaie et elle me traitait de con… Ca m’apprendra. La bonté et moi on ne s’aimait pas. Et quand je faisais un effort EVIDENT pour faire le premier pas sur le chemin de la bonne conduite on me le reprochait. La prochaine fois, je cracherais sur sa cheville et puis voilà. Comme ça je serais un type odieux mais pas con.

« Maintenant toi aussi tu as un bleu, c'est malin. »

C’est moi ou je sentais une pointe de culpabilité dans tout ça? Ah bah, c’est sûr que je n’étais pas magicien et que je ne faisais pas disparaitre le mal mais me contentait de le balader. Alors oui j’avais maintenant une cheville violette. Mais entre nous, elle n’allait pas le rester longtemps. Dès que l’occasion se présenterait, je ne manquerais pas de refiler ma douleur au premier élève qui croiserait mon chemin. Après tout je suis un mec qui défend corps et âme la notion de partage! Ma grandeur d’âme me perdra…

Bref, ma patiente regardait maintenant par la fenêtre en une fuite évidente de mon divin regard bleu gris-cendre. C’est que j’avais un charisme époustouflant qui était très difficile à encaisser! Puis je vis la Hunter se planquer sous le drap, laissant juste dépasser ses petits yeux. J’haussais donc un sourcil sceptique en me demandant si elle avait aperçu un abominablement terrifiant papillon bleu. D’où sa tentative de cache-cache. Pourtant lorsque mes iris se posèrent sur le décor extérieur, aucun de ces ténébreux insectes ne semblaient être dans les parages. Haussant les épaules, je me contentais de m’allonger en bout de lit, perpendiculairement à la longueur du matelas, avec ma fameuse nonchalance. Les bras maintenant croisés derrière ma nuque, je tournais mon visage en direction du remake de l’enfant de 4 ans et déclarais avec un petit ton boudeur:

« Si ça te perturbe à ce point que je me sois montré un poil sympa, je peux toujours ramener ta cheville dans son état boursouflé. Suffit de le dire. Je ne voudrais pas t’imposer de terribles suspicions plus longtemps. »

Puis je levais les yeux au ciel avec une exaspération non feinte et chopais le drap pour tirailler dessus. Puis je rouspétais avec un ton narquois.

« Et de quoi tu te caches? Y a pas de terrifiant papillon bleu dans le secteur! C’est promis j’ai vérifié ! »

Moi me foutre ouvertement de la gueule de sa dernière mésaventure? Mais non, ce serait méchant…
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MessageSujet: Re: UN INFIRMIER PLEASE.   UN INFIRMIER PLEASE. - Page 2 1400359500-clockMar 1 Oct 2013 - 10:36


Un infirmier please.

Il hausse les épaules ne comprenant sûrement pas pourquoi tu te caches derrière la couette. C'est vrai ça pourquoi tu fais ça ? T'es pas pudique. T'as pas froid. Bon parfois tu fais des trucs pas compréhensible. Donc on va mettre ça sur ton manque de bon sens. Et puis, elle est douce. Et puis t'aimes bien te cacher sous la couette. C'est mignon. Tu voulais te reposer mais tu vois qu'il s'assoit au bout de ton lit.

- Si ça te perturbe à ce point que je me sois montré un poil sympa, je peux toujours ramener ta cheville dans son état boursouflé. Suffit de le dire. Je ne voudrais pas t’imposer de terribles suspicions plus longtemps.

Il avait dit ça avec un ton boudeur. C'était trop chou. Tu souris amusée. Mais bon, c'était obligé il avait quelque chose derrière la tête.  Au pire, il te ferait un coup de pute et tu lui en ferais baver toute sa vie ? C'est une solution. Là lorsqu'il leva les yeux au ciel, tu sentis un truc venir pas cool. Ouais pas manqué, il tirait comme un bourrin sur ta couette.

- Et de quoi tu te caches? Y a pas de terrifiant papillon bleu dans le secteur! C’est promis j’ai vérifié !

Il se foutait de ta gueule. Genre royalement. Quel connard. Tu te débattais tant bien que mal. Limite vous étiez des gamins à tirer la couette vers vous. Des gens vous auriez vu ils auraient tout de suite été plié de rire.

- ARRETES. Laisse ma couverture toute douce tranquille. Et j'ai pas peur des papillons, j'aime les papillons imbécile.

Tu te mets alors tout entière dans la couverture et le pousse à l'aide ta tête pour qu'il tombe du lit comme un taureau. C'est à dire passer pour une débile et être inutile. Bon quand même au bout de quelque minutes,  tu ressors les cheveux en fouillis total avec une mine boudeuse.

- Ça marche pas.

Alors tu lui jettes la couette dans la gueule et te recroqueville sur toi même. Bon j’espère qu'il est content monsieur NYANYA, il a eu ma couette.

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MessageSujet: Re: UN INFIRMIER PLEASE.   UN INFIRMIER PLEASE. - Page 2 1400359500-clockMer 2 Oct 2013 - 10:39
C’est avec un haussement de sourcil sceptique que j’observais une tentative de rébellion de la part de la Hunter. Genre un papillon bleu la faisait se planquer sous sa couette, mais moi j’avais le droit au remake de la révolution. Où était la logique ? Depuis quand je n’inspirais plus la terreur et la panique dans le cœur des petits élèves des autres classes ? Ca devait venir de la blouse blanche…
Bref, la Reine des insectes tirait sur la couverture que je tentais de lui piquer. Au final, on avait l’air relativement con. Et encore, le « relativement » était juste là pour la déco de ma phrase.

« ARRETES. »

Ouai hein, vous avez bien deviné la bonne volonté que je mettrais à respecter sa volonté. C’est donc de plus belle que je tirais sur la couverture sans daigner tenir compte de ce que disait ma patiente. Le jour où quelqu’un réussira à m’ordonner quelque chose…. Haha, ce sera l’apocalypse. Pas besoins de se fier au calendrier maya et je ne savais pas quoi. Suffisait de me regarder. Tobias est obéissant = cataclysme planétaire. Amen.

«  Laisse ma couverture toute douce tranquille. »

Déjà ce n’était pas sa couverture mais MA couverture car nous étions dans MON infirmerie. Même si je n’en étais pas l’officiel propriétaire, je restais de nous deux le soignant le plus compétent dans cette pièce (tout du moins tant que les hématomes daignaient encore décorer les épidermes de tout le monde). Et donc tout ce qui ce trouvait ici me revenait de plein droit!
Bref, la Hunter trouvait la couverture douce ? Pff. Mes cheveux, eux ouai, ils étaient ultra doux. Mais alors ce bout de tissu blanchâtre, fallait pas déconner. Ma peau était douce, ma toison de jais était douce mais la vieille couette moisie n’avait absolument aucune chance de rivaliser avec ma splendide anatomie!

« Et j'ai pas peur des papillons »

Non, bien sûr que non, c’était d’une évidence… Se cacher sous une couverture témoignait d’une aisance et d’un courage extrême. Nan mais quelle mauvaise foi…c’était quand même incroyable. Néanmoins, le fait qu’elle tente de se donner une image de grosse dur devant moi avait presque un petit côté attendrissant. Notez bien le « presque » qui changeait RADICALEMENT le sens de ma phrase, merci. Car pour l’instant je n’avais qu’une envie… lui enfoncer un de ces insectes dans les narines et voir un peu le résultat.

« J'aime les papillons imbécile. »

Ha.ha.ha… Je suis hilare. La blague était phénoménale. Non mais franchement, elle se croyait crédible là? TOUT PROUVAIT qu’elle était TERRORISEE (et persécuté… mais nous ne ferons aucun commentaire sur ce sujet sensible) par les papillons ! (Bleu! Allez savoir, les rouges sont sans doute plus terrifiants encore. Les bosses de cette noire Mafia ailée… Théorie a tester.)
Bref, alors que j’allais tirer un grand coup pour remporter le combat en faisant jouer ma musculature d’escaladeur, je vis la tronche de la Hunter plonger sous le drap pour se faire le remake d’un taureau… ou plutôt d’une vache qui se prendrait pour un taureau. Visiblement le bovidé avait l’air déterminé en me poussant avec sa tête… je vous laisse imaginer la réussite de son plan machiavélique… RI.DI.CU.LE. La honte suprême et le pathétisme incarné. J’aurais pu dire qu’il s’agissait là d’une surprise pour moi, mais après la conspiration des papillons, j’avais du mal à m’étonner...
C’est donc avec un visage qui incarnait toute la pitié qu’elle m’inspirait que je vis ma petite vache ressortir de sous la couverture avec sa défaite peinte en gros sur sa gueule.  Et ouai ma chère! Dans la chaine alimentaire, elle était en dessous de moi. La vie était faite ainsi. Remarquez au passage l’horreur de sa coiffure qui lui donnait des airs de démente. Ca c’était le résultat qu’elle devait donner au réveil… bonjour la découverte macabre pour le pauvre mec qui partagerait un jour son lit. Cette gosse allait terminer vieille fille…

« Ça marche pas. »

Sans blague. J’eu donc une moue blasée face à sa déclaration. Néanmoins je supposais que je me devais tout de même de lui décerner une médaille. Après tout des propos logiques n’étaient pas monnaie courantes chez ce petit bout de femme. Manque de chance, je n’avais pas de trophée à lui remettre. Je me contentais donc d’un petit sourire encourageant qui disait « Biiiien, va y continue! Un jour tu arriveras à être intelligente, t’es sur la bonne voix !! ».
Bref, alors que j’allais lui témoigner verbalement l’étendu de mes félicitations, je reçu la couverture sur la façade. Ceci me mit dans une obscurité temporaire car je ne tardais pas à me débarrasser de la chose pour la jeter sur le sol. Je retrouvais donc une Hunter en mode fœtus malgré l’absence d’insecte… Je me demandais si elle ne suivait pas un traitement médical… Il allait vraiment falloir que je m’intéresse à son dossier. Ne serait-ce que pour savoir si c’était contagieux son truc…

« T’es bien ingrate avec moi. »

J’en profitais pour me re masser la cheville. Histoire de remettre au goût du jour mon sacrifice pour améliorer le petit confort personnel de la vachette.

«  « Con » et « imbécile », tu ne manques visiblement pas de mots doux pour me qualifier. Moi qui pensais les C sympathiques… c’est la grosse désillusion. »

Puis vu que moi j’étais en E et que donc j’avais TOUT LES DROITS de me comporter en sale con, je décollais mes jambes et les posais sur le fœtus recroquevillé. Ce dernier me faisant un divin repose pied.

« Même pas foutu d’être confortable… »

Bon ok, là c’était un mensonge car la chasseuse d’insecte incarnait un divin coussin pour mes jambes fatiguées après une dure journée de labeur en tant que infirmier. Mais le jour où je daignerais lui décocher un compliment n’était pas près d’arriver. Bah ouai, faudrait pas qu’elle prenne la grosse tête!
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MessageSujet: Re: UN INFIRMIER PLEASE.   UN INFIRMIER PLEASE. - Page 2 1400359500-clockMer 9 Oct 2013 - 21:14


Un infirmier please.

- T’es bien ingrate avec moi.

Tu affiches un air blasé face à ses paroles. Wtf. C'est bien à lui de dire ça. Non mais je rêve là. C'est vrai t'avais raison. Ce mec se fout de ta gueule ouvertement, te recraches le bonbon que tu lui as donné, te dis même pas son prénom, t'enlève ta couverture. Alors non, tu n'étais pas ingrate avec lui. Il mérite ce qu'il mérite.

- Con et imbécile, tu ne manques visiblement pas de mots doux pour me qualifier. Moi qui pensais les C sympathiques… c’est la grosse désillusion.

Et bien quoi ? T'as bien dosé ces mots. En ce qui concerne les C, ce ne sont que des étiquettes mis sur des classes. Tout les C ne sont pas sympathiques. Toi tu l'es quand l'on est avec toi. Logique non ? Et lui son comportement est suspect. Hum, pourquoi aider une fille qu'il trouve idiote, si il n'a pas quelque chose derrière la tête. Et toi, dis moi que ferais- tu si il te demanderait un service ? Tu ne sais pas. Tu verrais sur le moment venu. Tu ne te tracasses de rien. La vie vient comme elle vient. Tu ne prévois rien. Il arrivera ce qu'il arrivera. Tel est le destin. Le mec sans gène, installent ses jambes sur toi. Pépère. Tu relèves la tête.

- Même pas foutu d’être confortable…

Tu soupires, le jour où il te complimentera de toute façon. Si il est pas content, il a qu'à prendre un coussin. Tu n'es pas un repose pied de toute façon. Et puis il a pas à s’asseoir sur le lit UNE place. C'est toi la patiente donc qu'il te fasse pas chier. Et si il veut plus faire l'infirmier, il dégage. D'ailleurs si tu utiliserais les même préjugés qu'il a sur les classes, ça reviendrait à en dire qu'il est en E. Connerie sur connerie. Sans gène. Bagarreur. Sale con. Enfin ce ne sont que des étiquettes, toi tu ne juges que la personne et tu pars du principe que tout le monde à quelque chose d'intéressant, personne n'est "méchant" juste brisé sûrement ?

- Ce ne sont que des préjugés, je ne me fie pas à ça. Mais si je suivrais ton raisonnement, tu dois sûrement être un E. Un con, sans gène, jamais content, bagarreur et qui fait connerie sur connerie. Affiches- tu avec sourire. Je te rassure tu n'es pas que ça, j'arriverais bien à te trouver des qualités. Finis- tu par dire.

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