Rien ne vaut l'air marin . ( Pv Jason Day)

Je monte sur ma bécane, j'ai plus qu'une idée m'enfuir de cette école. Je suis arriver à Prismver il y a un mois, les trois premières semaines j'ai tenus le coup. Mais là j'en peu plus, j'ai trop de boulot, pas assez de temps pour moi. Je travail même le weekend pour avoir un minimum de temps les reste de la semaine pour dormir et mange et si j'ai de la chance me laver. En prennent se boulot je m'attendais pas à me la coulé douce, mais là s'en ai trop !

Je referme mon blouson, met mon casque, démarre la moto et file dans une direction sans savoir où aller. Il est près de six du soir et le soleil commence à se coucher, je fusionne avec ma moto, et la guide par la penser, plus pratique et plus facile. Ca fait dix minutes que je suis sur une route qui longe la mer, je décide de m'arrêter sur le bas coter et d'aller me poser. Je fait quelque pas dans le sable et fini par m'asseoir a quelque mètre de l'eau.

Je suis fatiguer, je suis épuiser, je suis mort. J'en ai marre de cette école, j'ai envie de tout quitter pour rejoindre ma petite île, Malte. Mon pays me manque, ici on ne peut même pas se baigner sans craindre l'hypothermie. Mais j'ai peur de revoir mes parents, je ne leur ai pas donner de nouvelle depuis près de deux ans, je ne leur ai pas informer de mon pouvoir, j'ai juste comme un lâche disparut. Je fixe la lune qui monte petit à petit, le reflet qu'elle produit sur l'eau est magnifique, mais je ne m'attarde pas plus sur le paysage et me replonge dans mes penser a la chercher d'une solution. Soit je quitte mon poste, le problème est que je n'ai presque plus un sous, soit je reste et je m'épuise a la tache. On ne me laisse pas une minute de répit, même s'ils embauchait un autre homme de ménage le travailla viendrait a doubler. C'est une école de fou, n'empêche, des gamins qui peuvent cracher du feu où voler s'en ai trop pour moi. J'ai complètement lâcher l'affaire quand j'ai moi même découvert mon don alors réparer se pauvre établissement remplit de gamin doter de pouvoir c'est pas facile. Encore hier, un gosse à trouver le moyen de péter la moitié des fenêtres du deuxième étage parce qu'il avait éternuer. J'ai passer mon après midi a remonter des fenêtres.

Aujourd'hui j'ai quitter mon boulot une heure plus tôt c'est pas très intelligent le travaille s'accumule en mon absence mais j'ai besoins de me défouler et surtout de respirer et rien de mieux qu'un peu d'aire de la mer pour reprendre des forces. J'ai juste envie de me défouler, de me lâcher. Je me lève et pique un sprinte. Je m'arrête a bout de souffle, cette sensation de brulure dans la gorge. Je ne me suis pas sentie aussi bien depuis longtemps et je laisse échapper :

- Punaise ça fait du bien !  .

J'ai passé la journée en ville à visiter des lieux inconnus et à retourner à ceux que j'aime. C'est le début de la soirée, je suis au bord de la mer sur le remblais à regarder le coucher de Soleil. En voyant ce magnifique spectacle, je me rends compte de l'heure et décide de rentrer. La marée n'étant pas trop haute, je descend en entreprends le chemin du retour sur le sable froid. Au bout de quelques instants, la nuit tombe et j'observe le reflet de la Lune sur l'eau tout en continuant mon chemin, éclairé par la faible lumière de magasins de bord de mer. Cette marche risque d'être longue et cette journée m'a fatigué mais cette vue me redonne des forces pour pouvoir rentrer, de plus, je n'ai même plus assez d'argent pour rentrer: j'ai tout donné à des étudiants dans le besoin.

Après une petite demi-heure plus tard, après que toutes le voitures soient reparties vers les hôtels ou vers le pensionnat, je remarque au lion une personne assise sur le sable, qui a l'air perdue dans ses pensées. Tout à coup elle se lève et pique un sprint dans ma direction, j'ai l'impression qu'elle m'en veut. Elle s'arrête un peu après, essoufflée, et il se trouve que cette silhouette me semble familière. Je me précipite alors à ses côtés en l'entendant crier:

- Punaise ça fait du bien !

Je crois alors reconnaître l'homme de ménage de l'école. Je continue de m'approcher à vive allure. Il n'a pas l'air de m'avoir remarqué. A portée de voix, je lui demande:

- Vous ne travaillez pas au pensionnat Prismver, par hasard ?

- Vous ne travaillez pas au pensionnat Prismver, par hasard ?


Je regarde partout, surpris d’entendre une voix humaine, une silhouette se dessine petit à petit devant moi, c’est un jeune garçon. Je me racle la gorge, reprend mon souffle.

  - Oui, et toi t’es un élève de Prismver ?

Je me sens tout d’un coup gêner, s’il fait bien partie de Prismver il tardera pas à dire à tout ses copain qu’il a vu  l’homme de ménage piquer un sprinte sur la plage en plaine nuit. Déjà que pas mal de rumeur coure sur moi, je sais qu’on ne peut pas les éviter quand on travaille dans une école. Mais je veux quand même  faire attention à mon image. De toute manière ce qui est fait et fait. Le garçon est maintenant juste devant moi, je le reconnais, je l’ai déjà vu dans les couloirs de l’établissement.

Moi qui voulais ne plus voir une seule tête de prismver c’est loupé. Les élèves ne se rendent jamais compte du boulot que peut avoir un concierge, surtout dans un établissement avec des cabanes en guises de chambres et des élèves qui n’ont aucun respect avec le matériel (là je parle des E). Puis il y a ceux qui arrive ici et qui ne contrôle pas du tout leur aptitude. Faut vraiment que j’arrête de penser à mon boulot, j’était venu ici pour me vider la tête pas pour me faire des nœuds au cerveau.

Le gosse devant moi doit avoir autour de 15, 16 ans, il a les cheveux noirs couper jusqu’aux oreilles, un élève plutôt normal. Enfin normal tout est relatif, il pourrais se transformer en une créature étrange ou lire dans mes penser en se moment qui sait.

Il a l'air surpris de m'entendre. Il me cherche un court instant et, après m'avoir vu, me répond:

- Oui, et toi t'es un élève de Prismver ?

Je m'attendais à cette question même si elle est quelque peu rhétorique, sachant que peu de monde, hors-mis les étudiants et les employés, traversent les couloirs du pensionnat. Je lui répond avec un sourire, même s'il ne doit pas le voir:

- Oui, je suis en cinquième année de la classe C, je m'appel Jason Day. Vous êtes un homme de ménage, non ? Ce n'est pas trop dur ce travail ? Je veux dire avec tous ces élèves qui se battent ou qui ne maîtrisent pas du tout leur pouvoir.

Je crois que c'est sur lui que toutes ces rumeurs, qui m'ont l'air infondées et ont dû partir d'une blague entre amis, portent. Mais peu importe, je me demande bien ce qu'il fait ici, à cette heure. Je le lui demande donc sans lui laisser le temps de répondre à ma précédente question:

- Et aussi; qu'est-ce que vous faîtes ici, à cette heure ?

J'espère qu'il ne va pas trouver ma question trop indiscrète. J'aimerais lui demander beaucoup d'autres choses sur lui, mais je vais lui laisser le temps répondre d'abord, et puis, si quelqu'un me posait beaucoup de questions d'un coup, ça me ferait un peu peur et je ne veux pas qu'il me prenne pour une personne étrange.

- Oui, je suis en cinquième année de la classe C, je m'appel Jason Day. Vous êtes un homme de ménage, non ? Ce n'est pas trop dur ce travail ? Je veux dire avec tous ces élèves qui se battent ou qui ne maîtrisent pas du tout leur pouvoir. Et aussi; qu'est-ce que vous faîtes ici, à cette heure ?

Holla, petit calme toi. Un vrai curieux celui là. Bah au moins c'était pas un E, je sais pas pourquoi mais je peux plus les voire. Il était pas très polie, mais de nos jours c'est courant, alors tant pis pour les préliminaires.

- Oui, je suis bien homme de ménage, oui c'est pas facile et je suis ici parce que j'ai besoins de me reposer hors de cette établissement de fou, sans vouloir de vexer.

J'avais répondu posément, en le regardant en face. Il était de plus en plus difficile de distinguer ses trais et par la même occasion les expression que son visage pouvait afficher. Je n'avais pas fini avec ce garçon, avec moi quand on veut savoir des chose sur moi c'est donnant donnant, alors a mon tour de poser les questions.

- Et toi que fait tu là ? Es-tu un de ses élèves qui sèche les cours juste pour aller emmerder les gens de la ville où tes simplement un élève qui reviens d'une apres midi passer avec des amis ?

C'étais un peu idiot comme réaction surtout venant d'un gars de 26 ans, mais j'avais vraiment du mal a contrôler mes nefs et la moindre chose pouvait m’énerver.
Je jette un coup d’œil a ma moto, elle a pas bouger. En même temps, je vois pas pourquoi elle aurait bouger. Enfin bref, mes yeux se reporte sur le garçon.  

-Et puis tu as quoi comme pouvoir, juste pour savoir..?

Une chance pour que peut-être ce soit lui le responsable d'une des nombre dommage que le bâtiment est due subir. Il y a eu depuis mon arrive une bonne vingtaine de truc vraiment louche et étrange. Comme, des tagues sur le plafond, des trou dans les murs, un lion dans les toilettes des filles, un casque et un bouclier datent du moyen age dans le matériel sportifs, et j'en passe bien d'autre. S'il fallait tous les énumérer on y passerais la nuit. Donc, si se gamin peut êtres coupable de l'un de ses vandalismes involontaire ou volontaire je sais qui aller chercher pour m'aider demain a remettre a neuf un vieux cabanon.

Ma question a l'air de l'avoir un peu énervé et soulagé quelquepart même si je commence à avoir beaucoup de mal à distinguer les traits de son visage avec tous ces magasins éteignant leur lumières. Il me répond d'un ton calme et posé:

- Oui, je suis bien homme de ménage, oui c'est pas facile et je suis ici parce que j'ai besoins de me reposer hors de cette établissement de fou, sans vouloir de vexer.

En me répondant il m'a regardé droit dans les yeux et je vois maintenant dans les siens une envie de me poser des question, comme si je devais payer pour les réponses qu'il m'a donné:

- Et toi que fait tu là ? Es-tu un de ses élèves qui sèche les cours juste pour aller emmerder les gens de la ville ou tes simplement un élève qui reviens s'une apres midi passer avec des amis ?

Il avait l'air un peu énervé, sûrement parce qu'il croit que je suis un de ces étudiants qui font tout et n'importe quoi pour embêter les autres ou dégrader les lieux publics. Au moins, il a l'air de tenir au respect des autres et de leurs biens. Il jette un coup d'oeil à une moto qui semble être la sienne et continue sans même me laisser le temps de reprendre mon souffle:

- Et puis tu as quoi comme pouvoir, juste pour savoir..?

Avant d'entrer à Prismver, je n'aurais jamais cru entendre quelqu'un me poser cette question, et maintenant elle fait partie de ma vie de tous les jours. Je me demande qi lui aussi en a un. Je répond chaleureusement et directement:

- Je suis entrain de retourner au pensionnat, j'ai passé la journée en ville, seul, et j'ai pensé que ce serait sympa de rentrer pas la plage. Ensuite mon pouvoir c'est la création et manipulation d'atomes mais je ne peux pas encore en faire grand chose, le mieux que je puisse c'est de l'eau. Je suis content que vous soyez là pour vous reposer: travailler dans un endroit si particulier, ça doit pas être de la tarte, donc si vous êtes là, c'est que vous êtes plutôt normal. D'ailleurs, c'est quoi votre pouvoir, si vous en avez un?

Je pense qu'il s'attendait à cette question, je ne sais même pas si le personnel qui n'est pas un professeur doit avoir un pouvoir pour travailler ici, n'empêche ça me parait logique.

- Je suis entrain de retourner au pensionnat, j'ai passé la journée en ville, seul, et j'ai pensé que ce serait sympa de rentrer pas la plage. Ensuite mon pouvoir c'est la création et manipulation d'atomes mais je ne peux pas encore en faire grand chose, le mieux que je puisse c'est de l'eau. Je suis content que vous soyez là pour vous reposer: travailler dans un endroit si particulier, ça doit pas être de la tarte, donc si vous êtes là, c'est que vous êtes plutôt normal. D'ailleurs, c'est quoi votre pouvoir, si vous en avez un?

Je m’attendais à ce que ma question me soit retournée. Il avait l’air sympathique, pas une de ses crapules qui vous insulte dans votre dos et qui ne sont même pas capable d’un minimum de politesse. D’ailleurs faudrait que je demande si j’ai le droit de leur donner des heures de colle.

- Je sais fusionner avec la matière et les objets, je le maitrise bien, mais sa ma pris beaucoup de temps et d’aide.


Je le regard un peu soucieux, on parle depuis un bon moment, et l’heur tourne. Faut bien une demie heure de marche pour arriver au lycée par la plage.

- Tu ne veux pas rentrer avec moi, tu arriveras en retards à l’internat ?

Punaise je dois passer pour un débile, je n’aurais peut-être pas dû, mais en même temps ce n’est pas très sur la nuit, surtout seul.

- Mais tu sais tes pas obliger d’accepter après tout, tes libre de faire ce que tu veux.

Tout d’un coup je sens quelque chose me chatouiller la cheville, je baisse les yeux et distingue malgré le peu de lumière un lézard, celui d’un surveillant, je le connaît bien.
Je me baisse pour le ramasser et récupéré le mot. J’y vois rien, je plisse les yeux et réussis a lire le message.

« Désoler de vous déranger à une heure pareille, mais nous avons un tout petit problème, pas grand chose, juste un groupe d’élève qui ont, sans le vouloir, casser le disjoncteur principale du bâtiment administratif, étant donner que pas mal de professeur et personnel travaille encore, pourriez vous venir immédiatement réparer la panne. Merci d’avant. »

Je reste un petit moment a me demander comme un groupe d’élève ON FAIT SANS LE VOULOIR abimer le disjoncteur qui se trouve au sous sol et dont je suis l’un des seule a posséder la clé. Je garde mon calme, avec beaucoup de difficulté, mais je garde mon calme. Je me retourne et me dirige vers ma moto. Je me retourne et cris au garçon.

- Faut que j’y aille, si tes d’accord je t’accompagne, dépêche toi de te décider j’ai du boulot !

Spoiler:

La nuit se fait de plus en plus noir, le ciel est magnifiquement étoilé avec la Lune au centre et il ne reste plus que quelques magasins ouverts. L'homme me répond moins froidement qu'auparavant:

- Je sais fusionner avec la matière et les objets, je le maitrise bien, mais sa ma pris beaucoup de temps et d’aide. Tu ne veux pas rentrer avec moi, tu arriveras en retards à l’internat ?

Il peut fusionner la matière et les objets? C'est super, ça doit être pratique, en plus il me propose de rentrer avec lui, sûrement en moto, il a l'air plus sympa que ce que je pensais. Il reprend:

- Mais tu sais tes pas obliger d’accepter après tout, tes libre de faire ce que tu veux.

Tout à coup, il se penche pour ramasser un lézard et lire le message qu'il transporte, il a l'air énervé et pars vers sa moto en vitesse, il m'interpelle:

- Faut que j’y aille, si tes d’accord je t’accompagne, dépêche toi de te décider j’ai du boulot !

Je lui réponds sans réfléchir tout en courant vers le véhicule:

- J'arrive tout de suite !

On monte sur la moto et il démarre après m'avoir donné un casque. C'est la première fois que je suis sur une moto qui roule, je ressens le vent sur mes bras et admire la vue imprenable sur la mer.

- J'arrive tout de suite !

Je le fait monter sur la bécane, lui tant mon casque. Je le fait s'asseoir derrière moi et démarre. Je ne respecte pas la vitesse, de toute manière je suis déjà en retard et sa m'étonnerait que les flic surveille la route a une heure si tardive.

- Jason, tient moi par la taille je vais te montrer un truc.

Je lui cris pour qu'il puisse entendre. J'ai déjà fait ça avec une fille, elle a adorer. Bon, là c'est un gamin, non ne vous méprenez pas. Je fusionne entièrement avec la moto, le gamin avec. La sensation y est complètement différente, on ne se trouve pas sur la moto, mais dans la moto. L'odeur d'huile, le bruit du moteur, la chaleur qu'il produit fait partie de votre être. La vue quant a elle est irréaliste, vous avez l'impression qu'a chaque instant le paysage va venir s'écraser contre vous et ajouter la vitesse à cela est vous aurez un cocktail d'expérience unique et inoubliable. Après, le gosse a pas intérêt d'être claustrophobe, bah tant pis. On longe la cote pendant un bon moment, je prend la route la plus longue pour faire durer le plaisir. Malheureusement, l'internat apparait soudain devant nous, tel un monstre prêt a vous dévorer enfin c'est ma vision. Je me gare juste a coter de mon studios. J'arrête le moteur et ressort de la moto avec le petit. Je met pied a terre, passe ma main dans mes cheveux, un vieux tic que j'arrive pas a défaire. Jason me rend mon casque.

- Alors sa ta plus, tu sais ta de la chance. Bon, je crois qu'on se quitte ici, sauf si tu veut me donner un coup de main mais je penses que ta autre chose a faire.

Mes paroles ne sont pas naïf, si j'arrive a avoir une paire de bras supplémentaire sa serais pas mal du tout.

Alors que j'apprécie le magnifique paysage nocturne qui s'offre devant mes yeux, l'homme m'arrête dans ma rêverie en me criant:

- Jason, tient moi par la taille je vais te montrer un truc.

Il accélère, je sens les vent dans mes manches, j'ai l'impression d'être un coureur dans un jeu vidéo de course en moto, cette sensation extraordinaire que je n'avais jamais ressentie auparavant envahit tout mon corps, tellement rapidement que j'en frissonne. Avec le paysage qui défile plus vite que le vent, je me sens plus léger que l'air, comme si je volait. Mais ce sensation magnifique s'estompe dès que j'aperçois le pensionnat et ses lumière, qui, si j'étais rentré à pied me paraîtraient si chaleureuses et qui sont à l'instant si froide que j'ai l'impression qu'elles pourraient briser n'importe quel rêve. Mon chauffeur descend tout en enlevant son casque, j'enlève le miens et le lui rends quand il me dit:

- Alors sa ta plus, tu sais ta de la chance. Bon, je crois qu'on se quitte ici, sauf si tu veut me donner un coup de main mais je penses que ta autre chose a faire.

Il veut bien que je l'aide ? Bon, si j'étais à sa place moi aussi j'aimerais avoir de l'aide puisqu'heureusement sa paye n'est pas en fonction du travail fournit, enfin je crois... Je réponds spontanément:

- Je n'ai rien d'autre à faire que d'aller me coucher, donc je suppose que je vais vous aider. Mais comment je dois vous appeler ?

C'est vrai, ça, je lui ai dit mon nom dès le début mais je ne sais toujours pas comment l'appeler, surtout je ne sais pas s'il préfère que je sois poli comme avec un professeur ou que je lui parle comme à un ami.