Look the sky, what did you see? feat Aiden

Le soleil commençait à entamer sa descende habituel, une de plus depuis que l'univers à vu le jour, une de plus, concluant une journée de dur l'abeur. Le vent soufflait doucement, faisant envolée ses quelques feuilles se détachant des branches, ces derniers s'entre claquaient. L'automne et l'hiver approchaient à grand pas, adieu l'été et la chaleur, bonjour le température basse et le froid glaçant. C'était d'ailleurs un froid semblant à celui d'une saison très glacière qui mordait avec force les joues de se pauvre Mathis qui avait, enfin réussit à atteindre le toit ! Il respirait un bon coup, s'avançant lentement, grand sourire pendu aux lèvres.

Le jeune professeur regarda alors le ciel bleu parsemait de ses nuages d'un blanc immaculé. Il s'avançait toujours avant de lentement s'arrêter, regardant alors cette fois autour de lui. Rapidement, il avait l'impression d'être emporté par un flot de sentiments qui ne lui était pas inconnu, trop familier. Des sentiments q'il avait alors ressentait plus d'une fois, mais à chaque fois... Il en avait des frissons. Cet endroit, ce toit, à cette même heure, à ce même jour, c'est là que tout avait réellement commencé et que tout, c'était alors fini. C'est l'un des lieux qu'il n'avait jamais pu remettre le pied dé qu'il fut revenu à Prismver. Trop de nostalgique, trop de peine, de joie, de tristesse, de colère, d'amour et de haine dans un seul endroit. Ce toit était pour lui, comme figé dans le passé... Ou alors, c'était encore lui, qui malgré la page tournée, ne put s'empêcher de regarder derrière lui. Sinon... Que ferait-il ici ?

Mathis s'en souvient parfaitement, de lui, de ce jour, de leur vrai premier jour. Il referma les yeux, laissant les souvenir revenir, se souvenant du visage souriant et malicieux de se D qui lui avait voler son coeur dès le premier regard. Ils partageaient les mêmes délires, aimaient pratiquement la même chose et malgré leurs différentes classes, ils étaient inséparables. Et puis un jour, Nathanaël l'avait amener ici, tenant sa main avec force et le traînant presque, Mathis avait la flemme de monter tout ça ! Une fois arrivé, il ne regrettait pas, restant figer devant cette vue magnifique. Et puis, c'était ici que toute leur première fois on eut lieu. Des je t'aime, des caresses futiles en passant aux baiser volé et passionné. Des regards amoureux, promettant un avenir à deux et une nuit sous les étoiles, consumant avant l'heur leur Lune de Miel. Se souvenir fera toujours rire tristement Mathis, le fera aussi sourire tristement sourire. Une époque révolue... Une page qu'il n'aurait jamais voulu tourner. Mais quand l'amour est consumé, les sentiments ne sont plus. C'était ici même, que mutuellement, ils se sont quittés sans se dire Adieu. Car encore aujourd'hui, les deux anciens amants se parlent encore, font encore le con ensemble.

L'ancien A finit par se laisser aller, s'allongeant alors et fixant ce ciel aux couleurs de l'aurore et remarqua qu le soleil avait bien descendu depuis qu'il fut monté. Il était dans ses souvenirs depuis si longtemps !? Il soupire, baillant tout en fermant les yeux. Le jeune homme frisonne à nouveau en sentant le vent se lever une nouvelle fois. Lentement, il se redressa et serre ses jambes contre lui dans une tentative désespéré de se réchauffer. Mathis se mit à bâiller à nouveau, remarquant qu'il était pu fatiguer qu'il ne le pensait. Il se mit à l'abri du vent, assis contre un muret et s'y allongea, fixant à nouveau le ciel s'offrant à ses yeux et puis lentement, s'en vraiment s'en rendre compte, les bras de Morphée s'offrait à lui.

Malgré cette positon inconfortable, adossé contre ce muret le protégeant du vent et des rayons du soleil. La fatigue avait pris le dessus, le tirant dans les bras de Morphée, dans ce sommeil, se sentant alors soudainement fatigué. Son rêve n'était pas différent de la réalité, il retranscrivait son état d'âme. Mathis était entre présent et passé, ils se déchiraient, se mêlaient ensemble, devenant qu'un, ce qu'il aurait voulu réellement. Mais quand les sentiments ne sont plus, l'amour s'étant consumé, que peut-on faire ?

Le jeune professeur le savait, il ne pouvait rien faire, lui-même n'était plus amoureux... Du moins, c'était ce qu'il croyait, car il en avait ensuite souffert de cette séparation, se rendant compte qu'une petite flamme résistait en lui, qu'un brun d'amour pouvant se raviver tel un feu pouvait une nouvelle fois le submerger. Mais Nath' ? Plus rien, vraiment plus rien. Mais maintenant, c'est du passé, mais Mathis était le genre d'homme qui regarde encore et encore derrière lui, se remettant toujours en question, tous ses choix, tous ses gestes comme ce moment-là. Avait-il bien fait ? Le regretta-t-il vraiment ? Aurait-il pu dire non ? Refuser ? Le retenir ? Non... Il le savait aussi parfaitement, qu'il ne pourrait le retenir et il remerciait la vie que lui et son ex-amant étaient toujours en bonne entente.

Le brun plongeait de plus en plus dans les méandres des rêves, de ses songes qui étaient toujours les mêmes, qui les hantent encore et encore. Pourquoi ? Il n'en savait rien, peut-être regardait-il trop en arrière ? Peut-être remettait-il trop en cause son passé ? Devait-il tout laisser derrière lui et ne plus y jeter un nouveau regard ? Encore et toujours des questions sans réponse qui ne faisait que t'accentuer son doute, même dans ses rêves qui se devait être serein et non harceleur !

Il sursauta, ouvrant les yeux sur le coup de la peur. Il avait un sommeil léger et un rien le pouvait réveiller, comme par exemple cette porte qui venait de se claquer. Calmant son cœur battant à tout rompre, main contre celui-ci, il fixa alors le jeune blond qui venait de jurer. Rapidement, il reconnut alors son jeune élève qu'il savait gay et... Il adorait le taquiner (gentiment, hein). Il lâchait un long soupir de soulagement, fermant les yeux un court instant.

- Tu m'a fait peur...

Puis, Mathis regarde autour de lui et vit que le soleil était encore plus bas. Combien de temps avait-il dormir ? 1 heure ? 30 minutes ? Mathis posa sa main contre sa bouche et ferma une nouvelle fois les yeux pour bâiller alors. Il gémit ensuite légèrement à cause de la douleur, le brun était courbaturé... Ça lui apprendra de dormir à même le sol !

*Quel idée de dormir ici aussi !* Pensa-t-il en bougeant ses épaules. Bon, il n'avait pas vraiment remarqué qu'il c'était assoupit, c'était assez rapide... Faudrait pas que ça lui arrive en plein cours, ses moments de fatigues ! Plus dormir, il devait se coucher vraiment plus tôt !... Mais il aime tant jouer à LOL ou bien à WOW, oui, car en plus, c'est pour Geeker qu'il veille tard la nuit ! Mathis gonfle ses joues, maintenant en proie à ce dilemme : Dormir ou jouer ?

Il fit une petite moue mignonne et regarde Aiden qui s'installe pas loin de lui, sortant sa guitare tout en disant que à la base, c'était pour ça qu'il était venu. Oh qu'il aime cet instrument, tout comme la batterie et le piano et aussi chanter ! Parfois ça lui prend, en plein cours de chantonner on ne sait quoi, car il chante des chansons japonaises, souvent des Opening Manga qui l'ont marqué. Don le jeune professeur regarda son élève qu'il aime tant taquiner, souriant légèrement et oubliant presque ses courbatures et muscle qui l'implore d'aller s’asseoir sur quelque chose de plus confortable ! D'ailleurs, où aller vu qu'il n'y a rien de plus confortable à ce moment même.

Alors Mathis ne bougea pas, le regardant jouer et remarque qu'il commence à fredonner en même temps. Et puis à son tour, le prof eut envie de chanter et de jouer de la guitare (car oui, Monsieur en sait en jouer). D'ailleurs, il devait avouer que Aiden ce débrouille très bien ! Et ce qu'il jouait était si beau, agréable à oreille, Mathis ne pouvait décrire ce qu'il ressentait à ce moment là. Il était... Comme ailleurs ? Ça fait toujours ça quand il écoute de la musique, il était comme absorber, physiquement là mais mentalement, ailleurs. Il fut prit de léger frisson de bien être, souriant presque niaisement.

Mathis finit par ce lever, profitant de ce faite, pour s'étiré et ce dirige vers son élève musicien. Une fois à ses côté, il se laissa aller à côté de lui, fixant ses mains grattant dans de lent mouvement les cordes, l'autres appuyant sur différentes cordes, donnant un beau son. C'était doux, si calme et sa voix, faut avouer qu'il chantait si bien ! Mathis en frissonne encore, vraiment, la musique avait parfois de drôle d'effet sur lui. Et puis, il eut encore cette envie de le taquiner, mais cette fois, en chanson pour changer ! Il rit intérieurement, le fixant lui au lieu de ses mains.

- Je pourrais y jouer ?

Ouais, Mathis savait parfaitement quoi jouer, quoi chanter.

Après qu’il ait terminé de jouer et avec son accord également, le jeune professeur récupéra donc la guitare. Mathis se cala bien contre le mur, souriant légèrement et une fois qu’il ai trouvé une bonne position, même si le sol et le mur entretenait cette petite douleur musculaire, Mathis gratta les cordes pour se remémorer les différent sons qu’ils émettaient. Puis après avoir réfléchit un court instant à la mélodie, commença alors à jouer la musique, sourire au coin. Son regard se porte sur Aiden, essayant de lui faire comprendre silencieusement, son intention de le taquiner pour la 30ème fois. Oui, car il compte à chaque fois qu’il le taquinait !

Puis, les premières mélodies passaient, le professeur de Français ouvrit alors la bouche et ce mit donc à chanter cette chanson, commençant directement par le second couplet :

- What a wicked game to play
Quel jeu pervers de jouer
To make me feel this way
A me mettre dans cet état
What a wicked thing to do
Quelle chose perverse
To let me dream of you
De me laisser rêver de toi
What a wicked thing to say
Quelle chose perverse de dire
You never felt this way
Que tu ne t'es jamais sentie ainsi
What a wicked thing to do
Quelle chose perverse
To make me dream of you
De me faire rêver de toi

Oui, il aurait put chanter quelque chose d’encore plus oser, mais seulement, c’était la seule chanson qui lui avait traversé l’esprit à ce moment là. Rapidement, il se mit à chanter avec entrain le refrain, le regardant droit dans les yeux tout en souriant au coin. Oui, il est méchant ~ Oui, c’est un gros gamin ~ Mais bon, dés qu’il taquine quelqu’un gentiment, c’est qu’il l’aime bien après tout ! Et Aiden, il l’aime beaucoup ! Il continue encore de chanter, le fixant toujours dans les yeux, voulant voir sa réaction à cette nouvelle taquinerie de sa part.

Mathis ne put que rire à sa remarque, cessant cette p'tite chanson qu'il avait écourté et ce mit à gratter les cordes, improvisant une mélodies assez rythmé. Il aimait tellement la musique, mais le jeune homme de petite taille préféra largement le Théâtre. En faite, tout ce qui touchait le domaine artistique était à ses yeux, quelque chose de vital. Il aimait dessiner, écrire parfois, jouer de la musique dés qu'il pouvait et quand il fut en primaire, faisait un peu de Théâtre. Travaillait dans ce domaine ne lui aurait été pas une quelconque gêne, loin de là, mais enrichir la connaissance de ses élèves lui plaisait le plus.

Donc il était revenu sur les bancs de l'école mais cette fois, c'était lui qui donnait les punitions et les notes. Et rapidement, il avait comprit ce que certains prof enduraient quotidiennement ! Les bavardage à répétition, les conneries et gamineries incessant (certes, il en fait toujours lui, mais durant son cours ça devient chiant !), les problèmes et j'en passe ! Mais aucunement, il regrettait une seul fois d'être devenu professeur et il participait parfois aux rigolades de ses élèves et parfois à leurs discussions. Il était cool, mais Mathis pouvait se montré sévère et strict.

- Sans doute... Mais là j'ai plus affaire à un jeune adolescent rougissant comme une pivoine ~ Fit-il avec amusement, fixant ses joues rosé.

Il lui fit un grand sourire béat, les yeux pétillant d'amusement tout en riant légèrement à la vu de ses précédentes réactions durant cette 30ème taquineries. Mathis lui ébouriffa les cheveux, s'arrêtant de jouer avant de porter son regard vers le ciel embrasé tel un feu de foret et qui devenait toujours plus sombre, les étoiles apparaissant lentement.

- Dit... Que vois tu en voyant ce ciel ?

Ce que lui voyait ? Plein de choses, bizarrement plus proche de la mort et du désastre et ça, depuis tout petit à chaque fois qu'il levait son regard vers ce ciel flamboyant. Sans doute suite à ce film qu'il avait plus jeune avec son père ? Cela l'avait d'ailleurs marquer, ses grandes flammes qui se mêlaient à l’étendu du ciel rougeâtre. Quel était le nom de ce film déjà ? Il ne le savait plus, mais qu'est-ce qu'il avait aimé le voir et le revoir avec son père ! Il soupirait, les yeux toujours levé vers la voûte céleste qui les surplombaient tel un maître suprême et il finit par répondre à la question de Aiden :

- Cela dépend également, tantôt à une marre de sang, tantôt à un grand feux, mais jamais quelque chose de joyeux bizarrement...

Un silence s'installe entre eux deux, mais pas quelque chose de pesant ou de gênant. Non, c'était un silence partagé, plutôt agréable même, où tout deux fixait encore le ciel qui s'assombrit toujours plus. Mathis avait trouvé que la journée avait passé rapidement, trop même à son gout. Il soupir, lui redonnant sa guitare en souriant et se remit bien, lâchant une petite grimace, il sentait plus ses fesses ! C'était bizarre... Il ricane à sa pensée assez stupide et se frotta les yeux.

- Au faite... Que pense tu de la guerre des classes ? De tout cela ?

Mathis c'était toujours demandé ce que pensaient ses élèves sur cette chose appelé "Guerre". Pour sa part, il trouvait ça débile tout simplement... Puis il lui pose de suite une autre question :

- Et tu pense comment ça va se finir comment cette histoire ? Le faite qu'ils aient découvert notre vrais nature ?

Non, Mathis n'avait pas peur de la réaction violente ou non des habitants, de leurs regards craintifs, accusateur, dévisageant voir dégoûté qu'ils pourront leur lancer. C'est même avec plaisir qu'il pourra répliquer avec en train "Que eux, se détache de la masse, qu'ils ne leurs ressembleront pas totalement et resteront avant tout unique !". Mais... Cela serait mentir s'il disait qu'il n'avait pas complètement peur, si la vie d'un de ses élèves étaient en danger, il réagirait en quart de tour !

Ce que lui en pensait ? Beaucoup de chose… Sans doute trop de chose même. Que cela soit pour la guerre des classes ou bien pour ce bordel qu’il y avait en ville. Il soupira, le regardant alors, choisissant un instant ses mots avant d’ouvrir la bouche :

- Eh bien, pour cette « Guerre », si on peut ainsi l’appeler… Je suis vachement réticent là-dessus. Depuis ma première année à Prism’ je n’ais jamais apprécié cette idée de guerre et comment les classes étaient formées. Peut être qu’au début, ils voulaient mettre les E a part pour mieux élever le niveau, s’occuper pleinement d’eux… Mais ça n’a pas vraiment marché d’ailleurs. Je pense qu’il faudrait mélanger les différents niveaux… Ca pourrait être mieux.

Nouveau soupir de sa part alors que son regard se redirigeait vers ce ciel perdant un plus de ses couleurs, la nuit n’allait pas tarder à venir. Détournant le regard encore une fois, il fixa alors ses pieds, répondant à la deuxième question :

- Sinon pour ce qui ce passe actuellement hors des grilles du pensionnat… Je suis inquiet sans l’être. Nous ne devons pas avoir peur du regard d’autrui et leur faire comprendre que nous ne sommes pas un danger pour le monde… Il ramenait ses pieds contre son torse, posant sa tête sur ses genoux avant de continuer. Au moins, nous nous détachons de la masse, nous sommes uniques. En espérant que les tensions se calme, que Ruthel revient le plus rapidement que possible et que le Gouvernement n’en sache rien… Personnellement, je n’ai jamais aimé les hommes en blouse blanche.

C’était ça plus grande crainte, ainsi que pour d’autres vivants au pensionnat sans doute… Ce retrouver dans un laboratoire. Ils ne sont pas des bêtes de foires non plus ! Après tout, ils ne possédaient seulement qu’un don plus ou moins important. Et si le pensionnat était là, c’était seulement pour leurs apprendre à les maîtriser pour éviter ce genre d’accidents qu’il y avait eut dans la ville.

- Quel galère n’empêche…

Mathis ferma les yeux, gonflant légèrement les joues alors que le vent se levait. Le brun avait soudainement froid d’un coup, il en tremblait légèrement et n’avait pas prévu de manteau plus chaud, pensant qu’il n’allait pas rester plus longtemps ici. Et puis la nuit commença à étendre ses longs bras noirâtres, signifiant ainsi que l’heure du dîner approchait.

Espérer... Oui ils ne pouvaient faire que ça. Attendre, attendre et encore attendre tout en priant que tout finira bien, qu tout rentrera dans l'ordre, qu'un drame ou une chose tragique ne se produit. Il ne veut pas, Mathis ne pourra pas accepter le fait de se retrouver dans un labo tout comme pour ses élèves. Le brun était devenu encore plus protecteur envers eux, eux qui pour la plupart son faible, même si certain veulent faire croire le contraire. Le prof n'a pas envie que ça se termine comme ça... Surtout que certain peuvent être utiliser à des fins militaires ! Comme ceux maîtrisant un éléments ou bien ceux ayant des capacités sur-développer. Mathis se promit que rien de tels ne se produira et qu'il les protégera avec les autres professeurs et personnels.

- Euh... Si vous avez froid il vaudrait mieux rentrer sinon vous aller tomber malade...

Le jeune professeur qui grelottait dans son coin le regardait. Lui et le froid ? Une grande histoire d'amour si vous voulez savoir ! Nan, c'est le genre de mec qui n'aime pas l'hiver pour est capable de plonger dans une couche de neige en oubliant que c'est très très trèèèès froid et ensuite se plaindre d'avoir froid. C'est aussi le genre de mec, au moindre vent froid, tremblera. C'est le genre de mec, qui porte deux ou trois pulls, un manteau, une paire de gant et deux paires de chaussette. Ce mec est un putain de frileux ! Mais rares les fois qu'il tombe malades, même très rare. Il rit légèrement et regarde son élève avec une certaine amusement, c'était comment déjà dans les films à l'eau de rose ? Ah oui c'est vrai ! Oui oui, vous l'aurez deviné, il va encore une fois le taquiner. Chose qui était normal ! Cette semaine il ne l'avait pas encore fait !

- Ah ? J'aurais pensé que tu me proposerais de me réchauffer dans un câlin ou avec une veste comme dans les films ~ Ria-t-il légèrement, oubliant un court instant le froid qui le tue.