Sujet: je ne vois plus que des clones • colombe Jeu 24 Aoû 2017 - 18:09
Je ne vois plus que des clones ça a commencé à l'école à qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Aujourd'hui, pas de surprise, pas de distraction, pas de confrontation. Aujourd'hui, mon programme est simple, et linéaire : je n'ai rien à faire. Et c'est d'ailleurs cette liberté qui m'incitera à prévoir, avec un-e de mes camarades, une petite séance de révisions autour d'un thé. Enfin, révisions est un bien grand mot : nous avons prévu de travailler ensemble nos lectures pour le cours de littérature, ce qui, de mon côté, revient à ficher un ouvrage, et du sien, eh bien. Eh bien je n'en ai cure, parce que j'ai oublié de le lui demander, ou plutôt parce qu'elle a oublié de le préciser, et parce que je n'ai pas que ça à faire, moi, de tout lui demander.
Alors j'ouvre la porte, j'entre, je pénètre les salons. S'il y a bien une chose qui m'aide à tolérer Cole plus que les autres, c'est que c'est quelqu'un d'organisé, pour quelqu'un de la classe B. Je sais exactement vers quel salon me diriger : c'est un des derniers, un de ceux qui est rarement fréquenté. Je sais également que je suis exactement pile à l'heure : c'est l'heure du second service, l'heure des pâtisseries fraîches et du service à thé propre. Mes pas sont tranquilles, ininterrompus, car le peu d'élèves que je croise est bien trop occupé pour avoir le temps de m'agacer, malgré leur brouhaha incessant. L'avantage, avec ces salons, en été, c'est qu'il n'y a pas beaucoup de monde pour les fréquenter : tout le monde leur préfère les pelouses, et délaisse les tasses de thé. Tant pis pour vous, manants.
Arrivée, je dépose mes affaires et je me sers. Du fait de ma cravate violacée, je vous avouerai que j'ai vu de plus beaux services à thé. Mais las ! Si cela suffit à contenter mon camarade, cela suffira à me contenter le temps de notre petite affaire. C'est un Darjeeling que je choisis – un thé fin, léger, qui siéra très bien à l'atmosphère de cette rencontre. Je place la théière à notre table et j'ouvre mon livre. Je sors un stylo de mon cartable et je me mets à l’œuvre.
Je ne pense pas qu'il aura l'impertinence d'être en retard. Je ne pense pas qu'elle aura l'insolence de me donner des excuses. Je ne pense pas qu'il y aura de problèmes, aujourd'hui. Ce n'est pas ce que j'ai prédit.
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Sujet: Re: je ne vois plus que des clones • colombe Lun 28 Aoû 2017 - 11:59
Des coquilles vide, rien de plus, rien de moins, voilà ce que je vois.Nina & ColombeEst-ce que le monde a toujours tourné comme ça ?
Ainsi, sans fin, dans cette ronde merdique qui donne la nausée dès qu’on s’y penche. Certainement. Ça ne change rien que c’est moche. Le monde est moche. Il est fait ainsi et tu n’y changeras rien Cole. Qu’importe de comment tu le regarde. Une photo moche reste moche, même si certain point peuvent sembler joli. De toute façon, ça ne sert strictement à rien que tu demandes ça. Tu as mieux à faire là tout de suite.
Beaucoup mieux que de voir le monde en photo moche. Pourquoi est-ce que tu t’es arrêté pour regarder ses photographies prise par un touriste et exposer là en plein rue comme si des gens en avaient quelque chose à faire ? Simplement parce que même si c’est moche il te fait pitié ce type à pas comprendre l’indifférence des gens. L’indifférence que tu lui offre en partant toi aussi après avoir regardé ses photos. Tu as mieux à faire Cole, tellement mieux.
Nina ne t’attendra pas. Non. Alors ne lui fait pas l’affront d’arriver en retard à vos moments de révisions en commun. Enfin révision en commun est un grand mot quand on sait que vous allez prendre votre thé ensemble, faire votre truc de votre côté et profiter de ne pas être avec des gens qui agace si facilement à ne pas comprendre l’importance du travail bien fait. Alors évitant le contact des passants tu t’approches tranquillement du salon de thé, tes cours d’astronomie sous le bras.
C’est avec un soupir de soulagement que tu rentres dans le salon de thé. Plus personne à éviter tout simplement. Sans une hésitation tu avances vers la table où Nina est déjà installée et passe commande rapidement au serveur pour un Blue Butterfly Pea. Le changement de couleur au contact du citron avait beau être enfantin ça t’amuse tout de même et puis le gout de ce thé te plait tout simplement. Pas besoin de chercher plus loin.
« Bonjour Nina. »
Formel. Comme tellement de point de votre relation. Tu ne lui demande pas si elle a commandé, c’est tellement évident que c’est le cas. Tu lisse ton uniforme masculin que tu portes et pose tes propres affaires.
« J’espère que tu as pu venir sans avoir trop d’affichette sous les yeux. »
Sujet: Re: je ne vois plus que des clones • colombe Sam 16 Sep 2017 - 16:11
Du bout de ma mine, je dépose une fine couche d'encre en dessous des mots qui m'intéressent le plus pour pouvoir écrire un résumé. La sensation de la plume qui gratte le papier me distrait, le temps que mon camarade arrive. J'ai le droit à un salut poli, qui me fait lever la tête pour le lui rendre tout aussi poliment. C'est d'abord son visage, que je regarde – stoïque, mais avec quelque chose de froissé, comme peut-être cet uniforme qu'elle s'acharne à lisser ? Allons, tout le monde sait bien que l'équipement des bleus est de seconde main, pas la peine d'excuser les performances de son fer à repasser. C'est dans un uniforme masculin qu'il se présente aujourd'hui – ma foi, tant qu'il est suffisamment à l'aise pour que cela ne perturbe pas nos activités, c'est tout ce qui compte. Je n'ai pas que ça à faire de m'encombrer des angoisses et des petits problèmes médiocres des faibles d'esprit ; et s'il y a bien une raison pour laquelle je bénis Cole de ma présence, c'est qu'elle en est complètement consciente et fait le nécessaire pour ne pas m'emmerder avec ce genre de niaiseries.
J'attends par politesse qu'elle soit confortablement installée pour répondre à sa remarque, qui semble soulever la réelle raison de son irritation. Effectivement, je les ai vues, ces affiches pathétiques, à la recherche d'une attention qu'elles ne semblent vraiment obtenir de personne, dépourvues de message ou de but. Frappée par le dégoût de l'expression d'une passion si futile, mes yeux sont pourtant rieurs, non : moqueurs. N'y a-t-il donc rien de plus ironique qu'un cri si désespéré qui résonne dans le vide ?
- Ma foi, il semblerait que le vandalisme prenne de nouvelles proportions dans cette école.
Je sirote mon thé et me délecte de la vapeur de l'eau brûlante qui caresse mon visage. La douceur amère du breuvage est à ma convenance, et elle complimente parfaitement le ton de cet échange, trivial mais pourtant si libérateur. Vous vous en doutez peut-être : je n'apprécie pas vraiment la compagnie de mes pairs. Mais s'il y a une compagnie que j'apprécie, c'est celle de ceux qui se révèlent tout autant amers. Vous l'aurez deviné : sous ses airs d'oiseaux pacifique, Colombe est de ceux-là.
- Mais peut-être sommes nous censés trembler devant les quantités de colle et de peinture qu'ils sont prêts à utiliser pour revendiquer un oiseau de plus, tu ne crois pas ?
Mes mots sont choisis avec soin, pour souligner, complimenter, et accentuer son irritation si évidente. Ma voix est insidieuse, même si je reste impassible. Ce n'est pas que je ne partage pas ses émotions – c'est surtout que j'ai bien trop l'habitude de ne pas les montrer, celles-là. Mais je sais que cela ne gênera en rien notre débat : ce n'est pas une idiote que j'ai en face de moi. Ou si c'en est une, ce n'en est pas une dont l'esprit est aussi bas que celui de ces rats.
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Sujet: Re: je ne vois plus que des clones • colombe Sam 16 Sep 2017 - 20:39
Des coquilles vide, rien de plus, rien de moins, voilà ce que je vois.Nina & ColombeLa délicatesse qu’elle a d’attendre que tu sois installé pour te répondre est manifestement quelque chose que tu sais être déjà une preuve de considération a ton égard que tu notes dans un coin de ton crâne. Pour certainement l’oublier plus tard, mais c’est amusant de voir les minuscules efforts qu’elle fait pour toi. Pour ne pas cracher son dédain de ta classe à la figure. Ça tu le sais. Pas parce que tu es proche d’elle, enfin pas vraiment, mais parce que à force de la voir tu as compris au moins ça.
A vous regarder ainsi, là assise avec vos cours entre vous et ton thé qui arrives on aurait presque pu trouver que vous ressembliez a des amies. C’est mignon. Ce n’est tellement pas ça non plus. Tu aurais presque pu rire de ses mots, presque. Seulement le rire ne te viens pas et c’est plus un soupir de frustration contre ce monde qui t’entour qui sort de tes lèvres. Que tout cela t’ennuie. Les humains t’ennuient, les luttes vaines pour des causes aussi superficielles aussi.
Tout serait plus simple s’il n’y avait que la paix dans le monde. Pas de conflits, rien de tout ça. Une acceptation de l’autre pour ce qu’il ait, un autre humain, et ça sans échelle de valeur. Pas de réputation, pas de méritocratie stupide, pas de moi j’en ai une plus grande que la tienne ou de pleurnicherie sans intérêt. Juste et uniquement la paix dans le monde. Seulement ça semble trop demander.
« Je crois surtout qu’ils sont entrain de révisé leurs listes de mots à apprendre pour la maternel. Après les aigles, les vautours, les pingouins, les colombes et les kiwis, nous voilà avec des corbeaux. J’attends de voir quand le groupe de dodo apparaîtra. »
Tu mets quelque goutte de citron dans ton thé et le regarde changer agréablement de couleur tout en le mélangeant doucement. Cette histoire te fait penser un peu à cela quelque part. On ajoute deux trois goûtes d’une autre idée, on mélange, change de couleur, mais ça reste le même thé un peu plus acide. Ni plus, ni moins. C’est joli. Ça change. Seulement au final le résultat est le même et rien n’avance ou ne bouge vraiment.
« Comme si avoir un groupe en plus dans son coin ça allait changer les choses. Diviser pour mieux régné, le chaos est roi et rien ne bouge encore une fois. C’est un caillou lancé dans un lac. La surface remous au début, puis on l’oublie au fond ensuite, avec tout le reste. »
Tu hausses les épaules. Quelques parts ça t’exaspère. Tu es certainement trop idéaliste sur comment le monde devrait fonctionner. Trop plein de rêve sur une unité de tout le monde.
« Si ça les amuses de faire autant d’effort pour simplement dire qu’ils sont contre ce qui est en place, c’est leur choix, mais j’aurais préféré moi d’affichette tout de même. Ce n’est pas des plus écolo comme mouvement du coup. »
Sujet: Re: je ne vois plus que des clones • colombe Dim 26 Nov 2017 - 21:20
Je l'écoute parler avec tempérance. Je ne suis pas particulièrement d'accord avec tout ce qu'il dit, mais je vous avouerai qu'une pointe de curiosité me force à prêter autant attention à des propos que, d'habitude, j'aurais ignoré et méprisé. L'interrompre ne m'apporterait rien, et lui faire la moue encore moins. Je peux sentir que c'est un de ces moments où son prénom la porte plus qu'elle ne le porte. En confiance, je me prête au jeu et me permets d'esquisser un petit rictus moqueur à l'évocation répétée de ces « affichettes ». Il semblerait que l'oiseau qui porte le rameau d'olivier n'aime pas que l'on perturbe son trajet de l'arche jusqu'à la côte. Qui eut cru que de simples bouts de papier puissent autant perturber sa paix ? Bien que, en soi, je suis plus ou moins d'accord : leur choix de couleurs est de mauvais goût, tout comme leur nom et leur imprécision. Je bois de nouveau une gorgée de thé, avant de m'éclaircir la gorge et de lui répondre tout en m'assurant de reposer délicatement ma tasse dans sa soucoupe.
- Même si effectivement un groupe supplémentaire divisera encore plus l'école, peut-être cela finira-t-il par nous rendre service. De toute façon, ce genre de regroupement inconscient s'exprime dans l'impulsion et a tendance à, sur le long terme, se décrédibiliser tout seul. Mais j'imagine que nous serons là pour en constater le résultat.
De quel « nous » puis-je parler ? Est-ce un « toi et moi » propre à cette discussion, ou est-ce un « nous contre vous » qui rappelle nos désaccords les plus primaires ? C'est à Colombe de le savoir, et à vous de le comprendre. Après tout, je n'ai jamais consenti à une narration indulgente, et je me trouve déjà bien assez éloquente comme ça.
- Ca m'intéresse surtout de voir avec quelle hypocrisie ils justifieront ces actions de bas-étage, que ce soit en tant que groupe ou en tant qu'individus.
Je remets une mèche de mes cheveux qui me gêne à sa place, derrière mon oreille comme elle aurait dû y rester, et je jette un œil à la page que je lisais avant d'écrire quelques mots sur une fiche cartonnée. Notre discussion semble m'avoir apporté des éléments pertinents à mon analyse. Après avoir griffonné quelques mots d'une encre pertinente, je me permets d'élargir une réflexion, sans pour autant mentionner sa source – je préfère rester au niveau de mon interlocuteur – et de la tourner en interrogation.
- A ton avis, quel genre de crétin serait assez crédule pour se rallier à leur cause ? Si tu as des noms, n'hésite pas – je t'avouerais que cela m'intrigue, mais je ne fréquente pas assez la plèbe pour avoir mes propres réponses à cette question.
Je me mêle rarement de ce qui peut se passer dans cette école. Mais lorsque je le fais, j'aime aller jusqu'au bout des choses. Et, sans en savoir plus que ça sur Cole, mes informations sont suffisantes pour savoir que ni les termes que j'utilise, ni cette ébauche de curiosité malsaine ne seront mal pris. Après tout, c'est dans ce manque de tact que nous nous comprenons le mieux ; et pourquoi habiller nos mots de draperies mensongères quand leur brutalité ne les rend que plus vrais ? Je n'ai jamais eu aucun intérêt à lui cacher mon sentiment de supériorité, vous voulez savoir pourquoi ? Car elle se revendique du groupe le plus condescendant, et je sais que c'est en connaissance de cause. Rien ne crie plus fort une auto-proclamation de supériorité absolue que de prétendre s'engager pour la paix, et c'est dans ton nom même, Colombe, et dans chacun de tes faits et gestes que tu renforces cette revendication. Je peux même m'avancer à dire que c'est jusque dans chacune de tes relations – mais qui es-tu, et qui êtes-vous, colombes, pour être si persuadés que vous n'êtes pas, vous mêmes, des engrenages participant à un clivage qui ne fait que s'agrandir entre mages et non-mages ? Je vous le dirai, et je ne vous le dirai qu'une fois : vous êtes Œdipe roi qui s'arrachera les yeux, vous êtes ce tyran qui titube dans les ténèbres de ses erreurs tout en se proclamant si pur et si blanc, et dont les batailles ne seront que des ombres lorsque la lumière de votre nature vous éblouira.
Colombe parmi les colombes n'osera pas me reprendre sur les mots que j'utilise avec ma voix, car ce sont les mêmes qu'utilise son cœur à chaque combat. Alors pourquoi les restreindre ? Je ne le ferai pas, et je sais qu'elle s'en ira si ça ne lui va pas.
Et je sais qu'elle ne s'en ira pas.
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Sujet: Re: je ne vois plus que des clones • colombe Lun 4 Déc 2017 - 14:50
Des coquilles vide, rien de plus, rien de moins, voilà ce que je vois.Nina & ColombeNous. Un léger pouffement te prend à l’entente de ce simple et unique mot. Il voulait tout indiquer et rien dire en même temps. Un terme vague qui peut être interprété de tellement de manières et toi, tu ne veux pas t’amuser à cela. Tu ne veux même pas tenter de savoir Nina à utiliser ce terme pour décrire les Adler ou les mages. Voir même vous deux. Qui sait qu’elle a mis comme importance pour vous deux. Cela t’arrache un sourire au combien ironique à la simple pensée. Bien entendue que non. Ce n’est pas vous deux. On parle de Nina et c’est déjà une sorte de miracle qu’elle t’accepte à sa table sans te dénigrer. Heureusement que tu es en B.
Qu’importe qui constatera le résultat cela n’en sera qu’un fouillis horrible. Tu en es certain. Comment quelque chose de bien peux sortir d’un mouvement qui tag les murs, place des tonnes d’affichette dans tous les sens, hack l’intranet et à un nom aussi dark emo, pourrait-il apporter du changement dans cette guerre d’oiseau déjà stupide dans les faits ? Tu ne vois pas du tout. Vraiment pas. Tu ne comprends même pas le pourquoi de ce mouvement sans aucun sens. Cela irrite ton sens de la justice. Ce truc en toi qui veux un monde en paix et un ennemi en plus contre qui se défendre n’est pas pour une paix durable. Vraiment pas du tout.
« Miles S. Finch. C’est le nom du leader du nouveau mouvement. C’est le nom que j’ai retenu. Un E. Comme si cette classe avait besoin de cela en plus. »
Comme si chaque merde en plus pour les choses merdiques devait venir des E et ainsi décrédibiliser encore plus ces élèves. Tu serais honnête avec toi-même, tu dirais que beaucoup de E ne font pas des grand efforts pour que tout se passe pour le mieux ou calmer les conflits. Tu en as l’exemple parfait entre Poulkheria ou Kamyl pour ne citer qu’eux.
« Qui que soit les naïf et fou qui pense qu’un mouvement en plus qu’ils suivront en protestation du reste son stupide. »
Comme toi quelque part Cole. Tellement comme toi quand tu veux croire si fort qu’une paix est possible avec de simples mots, qu’il suffit de long discours pour changer le monde. Ton monde peut-être, mais jamais celui des autres. Pas avec les tiens pour le moment en tout cas. Pas avec tes actions plus prudentes et grondantes qu’autres choses. Pour le moment, tu es un spectateur qui grogne sur les acteurs d’un film sans tenter de faire mieux qu’eux en performance. Bordel qu’ils sont tous idiots tout de même. Toi au milieu de tous les autres. Nina aussi.
« Puis cela pour lâcher un corbeau laid et si gothique en manque d’amour et de sang. Des enfants. Voilà ce qu’ils sont. Des enfants qui ne comprennent pas le combat en place. Comment peut-on être aussi débile pour croire que c’est ainsi qu’on fera quelque chose ? Si au moins il avait en sous-marin et préparer vraiment le terrain sur leurs actions à venir. Pourquoi pas. Mais là. Là, c’est juste hurler son nom en disant qu’on est contre le système et qu’on va tout changer. Du vent. De l’horrible vent qui sens la déchetterie à plein nez. »
Grogner sur ce que l’on reprocher au propre mouvement dans lequel tu es, c’est tellement ironique. Mais tu es une enfant, comme tellement de participants de cette mascarade qu’est cette guerre des PIAF. Comme eux, tous, tu souhaites te croire adulte, alors que tu es tellement loin de cela. Horriblement loin. Au moins les critiquer avec la A te rend plus léger et serein sur la suite à venir. 2981 12289 0
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Sujet: Re: je ne vois plus que des clones • colombe