Pseudo du joueur : xueia Autre(s) compte(s) ? : zelda Personnage sur l'avatar : Kaori Miyazono
Âge / Classe ou Job : professeur d'astronomie Messages : 59
Hello my name isCassandra E. Meiller
Carte spéciale Inventaire, objets importants pour le personnage:
Sujet: a falling star ▬ cassandra Mar 17 Avr 2018 - 20:33
cassandra eulalie
meiller
15 ans physiquement (âge réel inconnu) || née le 31 décembre || allemande || professeur d'astronomie || immortalité temporelle.
inventaire : ses alliances, son violon, son vieux carnet dont la couverture est en cuir, et le blouson d'aviateur d'Aiden
Le Monde a beaucoup évolué, tant dans ses mœurs que dans ses coutumes. Depuis combien de temps, est tu là, en tant qu’observatrice. Tu ne sais plus, tu l'as oublié. Pourtant, tu es bien consciente de changements ayant opérés dans ce triste monde. Ton corps lui, n'as pas changé d'un pouce. Tu ne grandis plus, ton visage reste celui d'une innocente enfant. Tu ne le détestes pas mais, parfois, tu aimerais connaître l'âge adulte. C'est difficile de te prendre au sérieux. En outre, tu n'as beau ne prendre aucune ride, ce n'est pas pour autant que tu ne vieillis pas à l’intérieur. Tu changes, dans ta façon de penser, de parler. C'est tout. Tu es parfois choquée de la tenue de certains élèves, ce n'était pas comme ça de ton temps. Les ordinateurs ? C’est quoi ça ? Ouais, t'es bloqué avec ton temps, comme une petite vieille. Va falloir évoluer petite Cassandra. D'ailleurs, tu ne sais même pas te servir des nouvelles technologies, faudrait que quelqu'un t'apprenne, un jour, que quelqu’un trouve la patience plutôt. T'es consciente que ces merdes vont bientôt se propager dans le Monde entier, remplacer l'être humain un jour, même.
Ce pouvoir s'exerce contre ta volonté, et tu en subis les effets. Tu fatigues facilement, tu as souvent des maux de crâne, ta température corporelle est très basse, tu as souvent une baisse de tension qui engendre quelquefois des malaises... Mais tu n'y peux rien, tu ne peux contrôler un tel pouvoir. En outre, tu as parfois des pertes de mémoire, même sur des choses qui se sont déroulées il y'a peu, tes cheveux ainsi que tes ongles ne prennent plus un centimètre - tout comme ta taille et ton poids qui ne bougent pas.
Cassandra, elle observe le monde silencieusement. La jouvencelle examine le moindre de ses changements, l'analyse. La jeune femme note tout sur un petit cahier, qu'elle garde toujours dans sa veste. Ses impressions, ses sentiments, elle les note également. La demoiselle veut observer ses propres évolutions pour elle-même. Et, depuis toutes ses années, son caractère a bien changé.
L’empathie, c’est ce qui définit le mieux Cassandra. Sensible, sentimentale, il lui en faut vraiment peu pour s’émouvoir. Il lui suffit d’un livre ou d’une musique triste pour éclater en sanglots. Certaines personnes la trouvent stupide, d’autres trouvent que cela fait son charme, lui procure une certaine beauté, une petite étincelle. D’ailleurs, elle compatit plutôt facilement au malheur des autres, faisant toujours tout son possible pour leur venir en aide. C’est comme ça, elle n’aime pas voir les autres souffrir. Cassandra fera toujours passer les autres avant sa propre personne.
En outre, le visage de l'enseignante est plutôt expressif, ses sentiments se lisent relativement facilement. Dans son sourire étincelant, ses yeux brillants, ses mimiques... Tout cela est une partie d'elle, une partie de son charme. La jeune femme a l’étincelle de la vie, aussi surprenant que cela puisse paraître. Cassandra elle est énergique, malgré sa faible condition physique. Elle court tout le temps, elle est toujours pressée, comme si le temps allait lui manquer, ironie du sort. Vous la croyez heureuse, mais au fond tout n’est qu’une façade pour ne pas vous inquiète davantage.
La blondinette est relativement proche de ces élèves, de par son empathie et son côté maternel très développé. Cependant, elle s'attache difficilement aux autres. Elle a beau paraître souriante et extravertie, celle-ci trace tout de même une distance entre sa personne et ses proches. C'est comme ça, c'est une façade, pour ne plus souffrir. Parce quoiqu'il arrive, ils partiront avant elle.
Au fond, Cassandra n'a jamais réussi à trouver sa place, cette sensation d'être extraterrestre, incomprise de tous, lui colle à la peau. Plus rien ne lui semble familier, après tout, tout ce qu'elle avait de plus cher lui a été arraché. Elle n'a jamais vraiment fait face à la vie Cassandra. Coincée entre ses doux souvenirs. Mélancolique, bloquée dans le passé, refusant de faire face à l'avenir.
Elle ferait n'importe quoi Cassandra, ô n'importe pour ne serait-ce entendre sa voix une dernière fois, même seulement sentir sa présence, ou bien même son odeur. Parce qu’elle l'a aimé si fort, si vite, que son absence s'en fait trop ressentir. Alors, elle est prête à tout. Prête à tout oui, même à disparaître une bonne fois pour toute.
C'est une obsession, un désir si fort. Oh Cassandra tu as tant de mal, tant de mal à détourner tes pensées, tant de mal à penser à autre chose que cette personne, triste enfant que le destin n'a pas épargné. C'est pour ça. Oui c'est pour ça qu'elle semble toujours dans la lune Cassandra, qu'elle est toujours seule, parce que il n'y a que Aiden qui obnubile ses pensées.
Cassandra, elle est mignonne, juste mignonne. Elle n’est pas belle, parce qu’elle n’est pas une femme. Les vêtements moulants, les talons hauts ou les chemisiers ne sont clairement pas pour elle. Des fringues, la demoiselle n’en trouve qu’au rayon enfant, et encore. Il lui est difficile d’habiller sa petite taille. En effet, cette dernière oscille le mètre cinquante, il lui est donc difficile de se vêtir comme une vraie femme. En outre, son poids plume n’arrange pas les choses. La taille de la blondinette est plutôt fine, et sa poitrine est à peine développée. Du coup, Cassandra porte souvent un vieil uniforme, ayant appartenu à sa défunte fille. Elle le porte de manière un peu débrayée. En effet, celle-ci ne rentre pas sa chemise dans sa jupe. Une erreur de goût ? Son style vestimentaire est un peu négligé, mais son visage poupin arrange les choses, non ?
Tient, parlons-en de son visage enfantin. Déjà, Cassandra, c’est le parfait stéréotype allemand – sans compter la taille. Une longue chevelure blonde – comme les blés, et de jolis yeux océans. Au moins, malgré son apparence juvénile, on lui a accordé de beaux yeux. L’enseignante maquille d’ailleurs chaque jour ses iris, dans l’espoir de se vieillir un peu. Un trait de crayon sur le dessous des yeux, parfois accompagné d’un trait d’eye-liner sur le dessus. Ses longs cils sont relevés grâce à du mascara, tandis que ses fines lèvres sont couvertes de gloss. Elle est bien mignonne Cassandra, elle ressemble plus à une poupée ainsi, avec son teint blême, sans imperfections – c’est là tout l’avantage de ne pas grandir.
xueia, de retour après une longue absence (j'avais beaucoup trop envie de rejouer Cass'). J'ai bientôt 22 ans et je vos pas quoi rajouter haha.
(c) Xueia
Pseudo du joueur : xueia Autre(s) compte(s) ? : zelda Personnage sur l'avatar : Kaori Miyazono
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Mar 17 Avr 2018 - 20:34
Le ciel. Comme tu l’as vu évoluer, changer. Un peu comme toi. Enfin toi, t’as changé mentalement, pas physiquement. T’es bloqué dans un corps d’adolescente, dans un corps frêle. Tu te détestes, tu détestes ce corps fragile. Tu en as vu des étoiles tomber, tandis que d’autres naissaient. Toutefois, ces étoiles, elles sont toujours tombées avant toi, Ô Cassandra, pauvre Cassandra. Il y’a beaucoup de détails de ta vie dont te souviens, des détails que tu aurais -sans doute, préféré omettre. Parce que tu as tant souffert Cassandra, tu as commis tant d’erreurs… Des erreurs que tu ne pourras jamais effacer, et qui te tourmenteront sans cesse.
Tu es née d'une famille modeste, près de Berlin. Ils n'avaient pas de dons, tu étais la première en avoir un depuis un ou deux siècles. Tu n'eus pas une enfance difficile, malgré la maladie rongeant ton corps. A l’époque, personne ne savait vraiment ce que cela été. Il faut dire que la médecine n’était pas encore très développée. Tu ne le sus que bien plus tard, lorsque ton propre fils fut emporter par ton mal - la myopathie de Duchenne. Peut-être que ce pouvoir était ta punition, après tout tu avais longtemps demandé à vivre, pour que la maladie ne t’emporte pas. Tu ne voulais pas mourir. Tu avais peur, peur de laisser ceux que tu aimais, peur de les faire souffrir. Parce que, malgré ton jeune âge, tu comprenais déjà toutes ses choses-là. Et c’est peut-être pour ça, que tu as hérité de ce pouvoir. Mais tu avais des parents aimants, qui subvenaient correctement à tes besoins, des frères très protecteurs dont tu étais très proche... Tu étais la petite dernière, la seule fille, choyée et aimée. Tu n’avais donc pas de quoi te plaindre. Ton grand-père, qui avait toujours été amoureux de la musique décida de t’apprendre à jouer du violon. Et ce fut le coup de foudre entre toi et cet instrument. D’ailleurs, tu devins très rapidement habile, pour son plus grand bonheur. Ta vie, ou du moins le début de ta vie se déroula alors sans encombre. Ton pouvoir, tu le découvris assez tardivement. L'année de tes - véritables - dix-sept ans. Trois ans que n'avais pas changé d'un pouce, cela avait quand même intrigué ta famille. Ces derniers soupçonnèrent d'abord tes soucis de santé, mais tu portais comme un charme depuis ses trois ans... Etrange, n’est-ce pas ? C'est ton grand-père qui émit l'hypothèse d'un don, puisqu'il connaissait une personne en possédant un. Il invita alors l’un de ses grands amis à la maison, un traqueur. Lorsque tu vus son air grave, tu compris tout de suite que quelque chose n’allait pas. Dès que tu retrouvas seule avec lui, tu lui demandas, apeurée, quel était ton don. « Immortalité » Ce fut comme un coup de massue. Rien qu’entendre ce mot t’avait effrayée, t’avais fait prendre conscience de la gravité de la situation. La seule chose dont tu te souviens fus de t’être recluse quelques temps dans ta chambre, évitant ta famille.
Il ne te fut pas longtemps pour comprendre que tu allais voir tes proches partir avant toi, que ce pouvoir allait te détruire. Tu coupas donc les ponts avec ta famille, et décida de partir loin de la capitale, dans le plus grand des secrets. Tu ne voulais plus t’attacher à personne. Tu allais finir ta vie seule, alors autant t’y faire maintenant. Et tu ne craquas pas, malgré les lettres que t’envoyaient ta famille, t’implorant de revenir. Tu ne pouvais tout simplement pas, tu refusais de les voir mourir. Parce que la mort, c’est la chose qui t’avait toujours le plus effrayé. Autant la tienne que celle de ceux que tu aimais.
Tu vécus seule jusqu’à la moitié du vingtième siècle, avant de rencontrer Ethan, un jeune étudiant aux beaux-arts. Alors que tu ne voulais céder ton cœur à personne, le jeune homme fini par le gagner. Le souvenir du jour de votre rencontre restera à jamais gravé dans ta mémoire. Celui d’un matin d’été où tu sirotais tranquillement un thé sur la terrasse d’un café, de l’odeur des fleurs, mélangée à celle de la peinture, d’un jeune homme t’implorant de le laisse te plaindre, d’un refus, de son instance… Et pour la première fois depuis longtemps tu avais fini pour céder. Ethan avait eu le coup de foudre pour toi. Tu mis beaucoup de temps à répondre à ses sentiments, pensant que ton don t’empêcherait de connaître l’amour. Finalement, tu finis par lui expliquer que ton corps ne vieillira jamais, et que s’il voulait faire sa vie à tes côtés, il devait l’accepter. Ethan se montra –à ta grande surprise, très compréhensif et s’empressa de te demander en mariage. Malheureusement pour vous, ce projet fut vite annulé par un tragique événement : la guerre.
Tu ne te souviens plus. Tu l’as oublié, ta tendre et précieuse enfance. Tout ce que tu sais, c’est que tu étais amoureuse. Dans ce monde ravagé par la Seconde guerre mondiale. Pourtant, tu l’avais trouvé, cette étoile, cette lueur, cette chaleur qui te rendait toute chose. Tu rêvais, tu rêvais d’un beau mariage, de fonder une famille, malgré les cadavres qui s’amoncelaient chaque jour de plus en plus dans les tranchées. Malgré ce stupide pouvoir. Pourtant, au fond de toi, tu savais. Oui, tu savais que ta chère famille partirait avant toi. Néanmoins, tu voulais croire à un miracle, n’importe quoi. Ô doux rêves de jeune femme.
Tu tombas finalement enceinte, quelques mois après le départ de ton cher et tendre. Tu étais la plus heureuse des femmes. Toutefois, le fait de ne pouvoir l’avouer à ton amant te fendait le cœur. Cette enfant, vous le désiriez tous les deux. Tu lui envoyas plusieurs lettres, en l’implorant de revenir, en vain. Tu ne lui en voulais pas, c’était comme ça, il était retenu par ses obligations. Mais, pouvoir enfin sentir la chaleur de ton enfant te fis bien vite oublier tout cela. Tu aurais bien voulu que ton homme soit là, cependant tu savais qu’il ne tarderait pas à rentrer une fois la missive reçue.
Les mois s’enchaînent, il n’est toujours pas là. Tu as peur, tu es morte de peur. Cependant, tu avais confiance en lui, il ne pouvait pas mourir, il te l’avait promis. Promis de passer l’éternité à tes côtés. Et, tu eu raison de lui accorder ta confiance. La guerre touchant à sa fin, ton cher et tendre ne tarda pas à rentrer. Tu l’attendais, sourire aux lèvres, serrant ton enfant contre toi :
« Tu es papa Ethan ! »
Un sourire, puis des larmes de joie. Ethan te serra contre lui, doucement. Une nouvelle vie commençait.
Elizabeth, c’est ainsi que vous baptisèrent votre nourrisson. Plus la fillette grandissait, et plus elle te ressemblait tant physiquement que mentalement. Elle était calme et souriante. L’enfant parfait. Vous étiez fous d’elle, vous cédiez à tous ses caprices. Enfin, ta vie prenait une bonne tournure. Ô combien de fois, l’avais-tu trouvé tragique ? Toutefois, c’était du passé maintenant. Tu étais heureuse désormais, tu avais une famille, tu avais enfin pu te marier.
Elizabeth s’épanouissait de jour en jour, elle s’étonnait chaque semaine de plus en plus :
« Dis Maman, pourquoi ton ventre il gonfle tout le temps ? »
Tu souris, avant de la prendre sur tes genoux. Elizabeth allait être grande sœur, tandis que vous alliez être parents, encore une fois. Ton bonheur grandissait, encore et encore. Les étoiles brillaient, le soleil était chaud. Tout était parfait.
Tu avais eu un petit garçon, le choix du Roi. Il était tellement attaché à toi, malgré ses trois ans. Un vrai fils à maman. Cela ne te dérangeait point, tu le maternais beaucoup. L’été arrivait, le soleil également. Avec Ethan, vous décidèrent d’emmener vos enfants en voyage, à la plage. Après tout, ils n’avaient jamais vu la mer. Cette idée rendit fous de joie les deux bambins. On disait que l’entente entre une sœur et frère était difficile pourtant, les disputes étaient rares. Tu avais une vie trop parfaite, beaucoup trop.
Les enfants courent sur la plage. Tu les regarde, assise sur un petit dôme de sable. Ethan est assis à côté de toi, sa main droite sur ton ventre. Un troisième enfant était en route. Encore un petit bout de bonheur. Des pleurs vous sortent soudainement de votre torpeur, votre fils est étendu sur le sable, un filet de sang coulant de la commissure de ses lèvres jusqu’à son menton. La peur t’envahit, tu ne sais comment réagir. Il était malade, il avait hérité de ta maladie. Bien que ton pouvoir eût stoppé sa croissance. Tu restas au chevet de ton fils, essuyant ses pleurs, essayant de calmer ses douleurs.
Il pleut, le ciel est gris. Il pleut aussi, sur ton visage, d’une certaine manière. C’est dur, de voir votre enfant, partir avant vous. Depuis la mort de votre fils, Elizabeth refuse de sortir de sa chambre. Tu la comprenais, ils étaient proches. Tu faisais des efforts, pour lui rendre le sourire, en vain. Après la naissance de votre troisième enfant, la fillette devint invivable. Elle pensait que vous cherchiez seulement à remplacer votre défunt fils, mais cela était faux sur toute la ligne.
La mort de ton enfant adoré te fit ouvrir les yeux. Ils allaient tous partir avant toi. Tu devais profiter un maximum de ta famille bien aimée. C’était la seule que tu aurais.
Les années défilèrent, tandis que ta relation avec Elizabeth se détériorait. Heureusement qu’Ethan et Rose – votre troisième enfant, étaient là. Sans eux, tu serais devenue dépressive. Bientôt, tu vis ton premier enfant s’envoler du nid, c’était drôle, de la voir se marier, avoir un enfant. Tu étais grand-mère, une grand-mère dans le corps d’une fillette de quinze ans. C’était amusant, mais seulement au début. Ethan, quant à lui, subissait les ravages du temps, son corps se fatiguait, ses cheveux devenaient grisonnants. Tu sentais qu’il allait bientôt te quitter lui aussi, et tu ne voulais pas, il en était en hors de question. Comme tu aurais voulu pouvoir transmettre ton pouvoir aux autres. Tu allais finir ta vie seule, terriblement seule.
C'est l'année des vingt-cinq ans de Rose qu'Ethan perdit la vie à l’âge de soixante-dix ans. La vieillesse l'avait rattrapé. Tu étais dévastée. Tes filles insistèrent pour que tu prennes le large, tu décidas alors de voyager, afin de te changer les idées. Tu n’arrivais pas à te remettre de la mort de ton mari. Ethan t'avait laissé une lettre, où il s’excusait de ne pas avoir pu tenir sa promesse, d'être partit avant toi. Quel idiot, comment pourrais-tu lui en vouloir ?
Voyager autour du monde te permit d’acquérir cette sagesse qu’il te manquait, t’insuffla un amour pour la philosophie. Tu voyais le monde sous d’autres d’angles, tu appris à avoir une réflexion philosophique. Pendant cette année où tu fis le tour du monde, tu en profitas pour venir en aide aux plus démunis, aidant au passage des associations humanitaires. Tu aurais voulu continuer encore longtemps, tu te plaisais à vivre ainsi. Néanmoins, un cas de force majeure te força à rentrer en Allemagne. Elizabeth et son mari avait eu un accident de voiture. Tu le savais, au fond de toi tu savais que cette stupide invention causerait bien des malheurs. Les deux époux moururent sur le coup, laissant leur petit garçon orphelin. Tu recueillis alors le bambin, faisant tout ton possible pour lui offrir une vie décente. Tu n’osais point lui avouer la vérité mais, il en posait des questions le petit Alexander, du haut de ses douze ans. Il voulait sa chère et tendre mère. Tu fus donc contrainte de lui avouer la vérité, contre ton gré. Malgré la tristesse, le garçon ne te rejeta pas, au contraire, tu te rapprochas beaucoup de lui. Mais, tu savais qu'il partirait lui aussi avant toi, à cause de ce stupide pouvoir.
« Je resterais toujours avec toi grand-mère ! »
Alexander le répétait, sans cesse, comme pour s’en persuader. Comme si cela était le seul moyen de réaliser son vœu. Il te faisait sourire, il arrivait à ton remontait le moral, et te faire oublier ta peine. Tu retrouvais enfin cette sensation, celle d’avoir une famille, celle que tu avais perdue depuis la mort d’Ethan. Mais, tu savais qu’Alexander allait partir un jour ou l’autre, qu’il fonderait une famille, et que tu vivrais à nouveau dans la solitude. Rose venait souvent te voir, à chaque fois, elle t’implorait de trouver quelqu’un, de refaire ta vie. Toutefois, tu n’étais pas prête à oublier Ethan, pas encore. Il était ton premier amour. Le temps passait à une vitesse folle, bientôt le jeune Alexander devint un homme, et fonda une famille. Contre toute attente, il refusa de te laisser vivre seule. Tu vécus alors aux côtés de sa famille, ce qui te fit le plus grand bien. Peu à peu, tu réussis à retrouver le sourire. Et tu lui seras à jamais reconnaissante. Début du vingt-unième siècle, la vieillesse a attrapé Rose. Tu n’as plus d’enfants. Parfois, tu aimerais en ravoir, mais tu ne sais pas, tu ne sais pas ce qu’en penserait Ethan. Et tu ne sais surtout pas si tu es prête à retomber amoureuse.
L'une des filles de ton petit-fils avait hérité d'un pouvoir, c'était la première de ta lignée. Tu en étais heureuse, mais ce n'était malheureusement pas le tien, pour ton plus grand désarroi. Elle pouvait manipuler son sang. Un matin, un professeur de Prismver, un pensionnat non loin de l’Angleterre vous proposa de rejoindre cet établissement. Ce dernier venait visiblement d'ouvrir. Tu refusas catégoriquement, hors de question de te séparer ta chère famille. Tu ne changeas d’avis quelques jours plus tard, après qu’Alexander ait fortement insisté. Tu fus admise en classe C, tandis que ta petite fille fut admise dans la classe A. Pour ne pas éveiller de soupçons, tu changeas d’identité, te faisant passer pour la fille d’Alexander. Puisqu’il connaissait l’existence des dons, il n’eut aucun mal à trouver une petite maison sur l’île, ainsi qu’un travail. C’est pendant ce temps où tu étais sur l’île que le directeur d’un orphelinat contacta Alexander. L'un des descendants de l'un de tes frères avait perdu ses parents et se faisait trimballer d’une famille d’accueil à une autre. Tu fis les démarches nécessaires afin de l’adopter, enfin. Que ton petit-fils puisse l’adopter. Tu cachas ton pouvoir à cet enfant, pour ne pas davantage le choquer. Jusqu’à ce qu’il découvre lui aussi son pouvoir. Encore une fois, ta descendance n’avait pas hérité de ton don. Il pouvait seulement modifier son âge.
Tu eu bien du mal à t'habituer à ce nouveau siècle, innovant énormément en matière de nouvelles technologies. Tu ne comprenais rien du tout à tout cela. Les ordinateurs, téléphones... Gabriel t’en avait offert mais tu n’avais jamais réussi à t’en servir. Il avait essayé de t’apprendre pourtant, mais il n’avait jamais réussi, perdant au final sa patience. Alors ils prennent la poussière dans un coin de ta chambre. Et ce n’est pas comme si tu avais envie de faire un effort.
Pourtant, Alexander, tout comme Rose auparavant, tentait de te persuader de refaire ta vie, de trouver un travail, prendre le large. Tu suivis finalement son conseil, comme pour rendre hommage à ta fille. Tu décidas de retourner à Prismver, terres du passé, où tu comptais bien t’écrire un nouveau futur, bien moins tragique – si possible. Tu devins alors professeur, malgré ton jeune corps. Cette fois-ci, pas besoin de changer ton identité. Tu avais fini tes études en 2013 techniquement, tu avais vingt-sept ans, tu étais apte à être un professeur. Tes élèves ne te prennent d’ailleurs, souvent pas au sérieux. Certains élèves viennent même te draguer dans les couloirs… Néanmoins, tu sais te montrer sévère, alors ils abandonnent bien vite. Enfin, pour toi, c’était eux qui n’étaient pas sérieux. La jeunesse, c’est un concept que tu ne comprendras probablement jamais, mémé Cassandra.
Tu t’habituas rapidement à ta nouvelle vie, tissant de nouvelles amitiés. Tu avais rencontré, un immortel comme toi, et tu t’efforçais à lui redonner espoir. Mais au fond, tu avais toujours été seule, seule, désespérément seule. Et tu en étais consciente. Mais tu le cachais, derrière tous ses beaux sourires, toutes ses belles paroles auxquelles tu ne croyais même plus. Cependant, tu ne le disais pas. Tu faisais semblant, tu portais un masque. Tu arrivais à sourire, alors que tu n’en avais pas envie, tu disais que tu allais refaire ta vie, et tu y croyais encore, alors qu’en fait, ce n’était qu’un tissu – que dis-je, un ramassis – de mensonges. Deux siècles que tu étais là, à observer le Monde, sans un mot. Qu’avais-tu fait, depuis que tu avais perdu ta famille ? Rien. Tu cherchais juste à t’échapper, ne serait-ce que quelques instants de cette triste réalité. Alexander, tes élèves, les gens que tu fréquentais. Ils allaient tous mourir, tandis que toi, tu allais rester seule, désespérément seule. Néanmoins tu faisais semblant de ne pas y croire, semblant de ne pas en souffrir. Tu voulais juste fuir cette souffrance, ton cœur cherchait maladroitement une échappatoire à cette triste réalité. Même si tu ne l’avais pas montré, tu t’étais reconnue dans le pessimisme dans lequel nageait Aiden. Comme en proie à un danger, il se méfiait. Vous étiez pareils, vous étiez pareils et tu refusais de lui montrer. Tu avais une promesse à respecter, sa promesse. Toutefois, à force de cacher tes faiblesses, tu allais tomber de haut, tôt ou tard, Cassandra. L’éternité est un fardeau.
Tu traînes les pieds, dans les longs couloirs du pensionnat. Tu ne sais plus quoi faire, ce soir, tu es perdue. Perdue dans le long fil de tes pensées, perdue dans le flot et l’intensité de tes émotions. Le doute subsiste en toi, tu aimerais le trouver, et lui déballer tout ce que tu avais sur le cœur. Mais, était-ce nécessaire ? Etait-ce nécessaire de briser le peu d’espoirs que tu avais faits naître en lui ? Etait-ce nécessaire de le troubler davantage. Tu ne savais point. Tu ne savais point, car tu pensais toujours aux autres, plutôt qu’à toi. L’égocentrisme t’était tabou. C’était pourtant dans la nature de l’Homme de faire passer son égo avant tout mais, tu étouffais cette petite voix, cette petite voix qui te disais de lui livrer ton cœur. De penser un peu plus à toi.
Tes pas te guidèrent vers l’un des salons du pensionnat, à cette heure, il ne devait y avoir personne. L’endroit idéal pour te remettre d’aplomb. D’un geste désespéré, tu poussas la porte contre le mur. Mais tu regrettas bien vite de t’être aventurée ici. Il était là, assis sur l’un des canapés. Ton regard croisa le sien, bien que tu cherches à le fuir. Ta tête se baissait doucement, tes mains serraient doucement ta jupe. Tu n’as jamais été aussi mal à l’aise de ta vie. Tu lui murmures un simple « désolée », avant de partir en courant.
Il ne fallut que quelques secondes à Aiden pour comprendre ce qui venait de se passer. Et, il lui en fallu encore moins pour se lever et te rattraper. L’empathie ne pouvait que régner entre deux êtres immortels. Vous portiez tous les deux le même fardeau, celui de l’éternité. Ton regard fuyait toujours le sien, il y’a tant de choses que tu voulais lui dire, mais les mots te restaient bloqués au travers de la gorge. La seule chose que tu réussis à faire, c’est de laisser ta tête tomber contre son torse, et d’éclater en sanglots. Tu libérais enfin tes sentiments, ceux que tu retenais depuis plusieurs années. Lorsque tu sentis les deux bras d’Aiden t’étreindre, tu relevas doucement la tête, jusqu’à que tes yeux embrumés de larmes croisent les siens. Malgré l’air glacial qu’il s’efforçait d’avoir, tu pouvais sentir toute sa chaleur. Les minutes défilent, et les mots ne vous viennent pas. C’est toi qui brisas finalement le silence :
- « J’en ai marre de voir les autres partir avant moi… J’en ai marre d’être toute seule… ! »
Tes mains viennent serrer les épaules du brun, avant de s’enrouler autour de son cou. Ton visage vint s’enfouir dans le creux de son cou. Tu es fatiguée, fatiguée de cette vie. Mais, tu ne trouves pas les mots pour le lui dire. Depuis quelques temps, tu n’avais qu’une envie : passer le restant de tes jours à ses côtés. Cependant, tu ne pouvais point le lui dire, la situation ne s’y prêtait pas. Puis, tu ressentais bien trop de gêne pour cela. Et qu’en penserait ton défunt mari ? Alors que tu t’apprêtais à fuir une nouvelle fois, Aiden releva ton visage, et posa son front contre le tien :
- « Reste avec moi, de toute façon je ne vais pas mourir. »
Tes joues se teintent de rouge, tandis qu’un large sourire se dessine sur ton visage. Depuis combien de temps rêvais-tu d’entendre ces mots ? Tu hochas simplement la tête, en essuyant d’un revers de main tes larmes. Puis, ces dernières se glissent aux joues de ton partenaire, tandis que ton visage se rapproche du sien. Tu ne sais pas quoi faire, mais pourquoi perdre ton temps à chercher en vain ? Tout ce que tu voulais c’était son bonheur :
- « Je te donnerais tout le bonheur dont tu auras besoin Aiden … »
Il esquive l’ombre d’un sourire, tandis que ses doigts jouent avec ta chevelure dorée. Tes yeux se perdent dans les siens. C’était comme si le temps s’était arrêté. Vous n’étiez que tous les deux, dans cet immense couloir, à redécouvrir le véritable sens du mot bonheur, du mot amour. Lentement, tes lèvres s’approchaient des siennes, cela faisait une éternité que tu n’avais pas embrassé quelqu’un. Pourtant, ce baiser se fit naturellement et, malgré ses lèvres gelées, tu sentis toute sa chaleur t’envahir. Tes doigts jouaient maladroitement avec les quelques cheveux qui tombaient sur la nuque d’Aiden. Tu ne savais pas ce qu’il pensait de toi. Tu ne lui avais pas clairement avoué tes sentiments. Mais, ton comportement est assez explicite pour qu’il comprenne ce que tu ressens. Tu ignorais si vos sentiments étaient réciproques et, même s’ils ne l’étaient pas, tu voulais passer le fléau de l’éternité à ses côtés. Tu voulais lui dire, lui crier que tu l’aimais. Mais cela était bien trop dur. Ces mots, cela faisait des années que tu ne les avais pas prononcés. Des années que tu ne les avais pas entendus. Pourtant, combien de fois avais-tu rêvé de les entendre ?
Et pourtant tu avais finalement réussi à lui dire. Et il ressentait la même chose. Que pouvais-tu demander de mieux ?
Il est resté quelques temps à tes côtés, jusqu’à disparaître du jour au lendemain, sans même t’en informer. Et tu n’as pas compris Cassandra. Tu te demandais ce que tu avais bien pu faire.
L’avais-tu blessé ? Avais-tu mal agi ? Tant de questions sans réponses.
Tu étais si préoccupée que tu en perdais le sommeil. Et ton corps ne le supporta pas. Tu finis par perdre brutalement connaissance, te retrouvant ainsi dans une chambre d’hôpital avec une élève qui avait rien demandé.
Et c’est ce jour-là que ton monde entier se brisa. Lorsqu’elle évoqua la mort d’Aiden avec froideur.
Tu ne le supportas pas. Tu ne supportas pas un autre décès. Parce que tu y croyais. Tu croyais qu’il allait passer l’éternité. Encore une belle utopie, et de faux espoirs. Tu étais à nouveau seule.
Il était impossible pour toi de rester davantage à Prismver. Ton arrière-petit-fils, Gabriel, inquiet pour toi, décida de t’emmener faire le tour du Monde, une nouvelle fois. Tu passas beaucoup de temps à aider des associations humanitaires, donnant parfois des cours à des élèves issus de milieux populaires. Tu retrouvas peu à peu le sourire, au fil du temps, mais la plaie dans ton cœur restait béante.
Tu avais aimé Ethan, vraiment. Mais avec Aiden c’était différent.
C’est après quelques mois que tu décidas de revenir enseigner au pensionnat. Tu ne pouvais plus te cacher davantage, cela ne te ressemblait pas. Tu devais te montrer forte pour tous ceux que tu aimais. Et puis, tu étais habituée au pensionnat, et à tes élèves. Ils te manquaient il fallait l'avouer.
• Les ressentis du personnage concernant le secret des pouvoirs dévoilé dans le monde entier : effrayée, elle craint une nouvelle chasse aux sorcières. Pour Cassandra c'est une très mauvaise chose que le secret ait été levé. Leurs conditions de vie n'en seront qu'affectées. • Et ceux concernant l'explosion au Pensionnat par des non-mages : Triste mais prévisible depuis la découverte des pouvoirs dans le monde. Des élèves qu'elle appréciait beaucoup sont décédés dans l'explosion. Elle a eu de la chance, écopant seulement d’égratignures et d’hématomes. • L'avis du personnage au sujet de Mrs Staunton ; du nouvel apprenti surnommé le Leader ; Est-il actif dans son groupe (Adlers, Colombes, Kiwis, Pinguinos ou Voltors) ; quel avis sur la classe PUMA (précisez si membre de cette classe) : Cassandra trouve la vice-directrice aigrie, elle ne l'aime pas, et ses méthodes non plus d'ailleurs. Elle évite au maximum d'avoir affaire avec. Elle ne partage pas vraiment les idéaux du Leader, qu'elle trouve trop radicaux. Mais pour moment Cassandra ne pense pas grand-chose du personnage, attendant de voir par la suite. Toutefois, elle soutient totalement la classe PUMA. Pour Cassandra, c'est une bonne initiative pour rapprocher les humains des mages. Bien que cela va être difficile avec toutes ses tensions. Une utopie à laquelle elle voudrait croire.
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Mar 17 Avr 2018 - 20:35
OUI.
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Mar 17 Avr 2018 - 20:35
rebienvenue
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Mar 17 Avr 2018 - 20:36
Welcome back !
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Mar 17 Avr 2018 - 20:36
Rebienvenue!! Contente de te revoir parmi nous
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Mer 18 Avr 2018 - 22:06
Merci à tous pour vos messages
J'ai fini
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Jeu 19 Avr 2018 - 0:13
Bon retour par ici o/ Ton perso est toujours aussi frais à lire, ça fait chaud au cœur
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Jeu 19 Avr 2018 - 14:29
Hey ! C'est un re-rebienvenue, du coup. Je suis heureuse de revoir Cassandra par ici, avec sa triste histoire et ses on-ne-sait-combien de printemps. (Et puis en vrai, j'ai un faible pour les fiches en 2 posts c:)
Avant de te valider, j'ai juste besoin que tu indiques l'avis de ton personnage sur la Vice et le projet de la classe PUMA. Après ça tu seras libre comme l'air ! 8)
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Jeu 19 Avr 2018 - 14:45
Anw désolée j'ai complètement oublié ;ww; J'ai rajouté ça tout en bas de l'histoire !
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Jeu 19 Avr 2018 - 17:02
T'inquiète, c'est bon maintenant
Félicitations !
Te voilà validé(e) !
Maintenant, tu vas devoir t'occuper de tes recensements :
✦ Consulter le guide qui est très utile ! ✦ Activer ta Carte spéciale dans ton profil et remplir les champs qui s'y trouvent ! ✦ Recenser ton avatar ✦ Recenser ton pouvoir ✦ Recenser ta filière (si tu as 18 ans et +) ✦ Recenser ton groupe d'opinion (les Piafs) ✦ Demander une chambre ✦ Demander un parrain/filleul (facultatif) ✦ T'inscrire à PUMA (facultatif) ✦ Recenser ton métier si tu es un adulte (facultatif)
Une fois cela fait, nous te donnerons ta couleur et ton rang ! Tu pourras alors :
✦ Faire ta fiche de relations (RS pour les intimes) ✦ Faire ton LMS ✦ Demander un RP
Et surtout, amuse-toi bien !
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Lun 30 Avr 2018 - 19:02
Sortie pour refonte le 30.05.18
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Mer 27 Juin 2018 - 15:57
Bonjour ! Le délai de 14 jours pour la refonte est largement dépassé. Tu disposes à présent de 10 jours pour te manifester et demander un délai supplémentaire si besoin.
Passé ces dates, ta couleur te sera retirée ainsi que ta capacité à RP... (cf règlement)
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Mer 27 Juin 2018 - 20:18
Pardon, j'ai complètement oublié de mettre à jour ;ww; c'est tout bon du coup !
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Sujet: Re: a falling star ▬ cassandra Lun 30 Juil 2018 - 13:14
Vraiment vraiment désolée de passer après autant de temps ;;
Du coup tout me va encore ! Juste, ce serait possible d'avoir plus de précisions quand à son époque d'origine (et donc son âge) même si inconnu IRP ?