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Sujet: Come with me, let's fight! [PV. Owain] Mer 25 Avr 2018 - 19:40
Come with me, let's fight!Owain S. BaxterWar is an entire lifestyle but fight is just a game. And imma kick you in the nose only 'cause it's funny, biatch.
La journée a été longue. Sacrément longue... Non. C'est la semaine entière qui a été affreusement longue. Et épuisante. Ces derniers temps, Beryll passe son temps à s'entrainer à son pouvoir, tout seul dans son coin. Il veut recommencer à le maitriser comme avant, mais l'entrainement qu'il s'impose est légèrement trop intensif pour son corps de lâche, alors il manque régulièrement de se retrouver à l'infirmerie. Rien que durant les cinq derniers jours, il a réussi à perdre deux fois connaissance et s'est retrouvé en état de déshydratation presque critique. Il tire trop sur la corde. Abruti. Poussant la porte du bungalow, il jette ses affaires dans l'entrée pour aller directement faire le plein de sucreries dans les placards, avant de venir s'affaler dans le canapé du salon et d'allumer la télévision sur la chaine des dessins animés. Les petits personnages cartoonesques se mettent à s'agiter à l'écran. Ses goûts en matière de programme télé et de nourriture n'ont jamais changé au fil des années. Il rigole ; le vieux scientifique fou et alcoolique de chez Adult Swim l'a toujours vachement fait marrer. Aaahh... Que ferait-il, sans ces cartoons ?
Une demie-heure, quatre cupcakes à la vanille et une sucette plus tard, il se relève enfin et éteint le téléviseur pour passer par la case salle de bain. Après s'être assuré que la porte est mieux fermée à clé que le coffre-fort de Trump, il retire son tee-shirt, son binder et ses bandages, laissant apparaitre sa poitrine féminine devant le miroir du lavabo. Il soupire bruyamment ; parfois, il a juste envie de se les couper lui-même. En entrant dans la douche, il se remémore, sans vraiment savoir pourquoi, le moment où cet enfoiré de Jack a découvert son secret. Ce mec... Quelle ordure. Beryll grogne. Ca fait un moment qu'il a pas entendu parler de lui, d'ailleurs. Un peu trop longtemps, même... Est-ce qu'il prépare un mauvais coup ? C'est jamais bon signe, les silence radio de ce genre. Surtout entre eux deux.
Il finit de se doucher en vitesse et se replace devant le miroir. Une fois sec, il se munit de son attirail habituel et enfile un tee-shirt jaune fluo, une veste sans manche mais à capuche d'un vert pomme, ainsi qu'un short kaki. Il sort de la salle de bain d'un pas décidé et se dirige vers la chambre d'Owain alors que le soleil est en train de se coucher. Après avoir toqué à la porte de celle-ci, mais sans pour autant avoir attendu une quelconque invitation à entrer, il ouvre pour faire face à son colocataire en affichant son air assuré et moqueur habituel :
" Eh, jeune fille. Debout, j'ai besoin de toi."
Il s'appuie sur l'encadrement de la porte en croisant les bras :
"Ca te dirait pas de faire une descente chez notre cher Jack Crane ce soir ?"
Si Jack a prévu de lui faire un coup dans le dos, alors la meilleure des choses à faire est de le devancer. Mais c'est quand même vachement plus drôle à deux.
Tu grognes du fond de ta gorge, Owain. La tête enfoncée dans tes draps, flemme incommensurable occupe ton corps jusqu'au bout de tes doigts. Tu entends bien la voix de Beryll, mais ton envie de bouger tend vers bien plus que le négatif. Tu restes à la ramasse donc D, buté.
-"T'sais ce qu'elle te dit la jeune fille ?"
Tu lui fais un doigt dans toute la gentillesse du monde et te recouvre à nouveau de draps. T'es pas généralement si café amer, blond. On dit de toi que tu ressembles plus à du moccha avec toute cette mousse et ce chocolat dilué dans du lait. S'il se passe quelque chose ? Sûrement. Tu fais une fixette sur un truc, qui te tord depuis un petit bail déjà. A ton chevet ces lettres que tu n'envoies pas, celles adressées à ceux à qui tu aurais tant à dire pourtant.
Beryll mentionne ensuite Jack, tu penses même qu'entendre le nom du A amplifie tes maux de crâne. Tu lèves la masse qu'est ton corps du matelas en un léger balancement, tangue une touche puis baille. Ton corps pivote en direction d'une bouteille d'eau que tu gardes à ton chevet, et fait face au E avec une coiffe chaotique et ces yeux plissés de la fatigue.
-"ça a intérêt à être un plan de ouf pour que je me lève, mec"
Il est temps pour toi d'arrêter de te morfondre et à passer à autre chose, ta situation ne changera pas. Tu pourrais te diriger directement vers les salles de bain, parce que tu vois le mauvais coup pour monsieur Crane venir. Tu reprends un peu de bonne humeur à l'idée de savoir ce que Beryll lui prépare. En général plus un E trouve un autre élève insupportable plus le plan pour troll est bien pensé. C'est parfait pour qu'il change d'air et s'amuse un peu.
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Sujet: Re: Come with me, let's fight! [PV. Owain] Jeu 26 Avr 2018 - 23:39
Come with me, let's fight!@Owain S. BaxterWar is an entire lifestyle but fight is just a game. And imma kick you in the nose only 'cause it's funny, biatch.
L'adolescent ne peut contenir un rire en voyant la tête de son colocataire. Il l'aurait même pris en photo, s'il avait eu son portable sous la main ! Mais l'heure n'est pas à la rigolade ; il sourit de contentement en entendant Owain accepter sa proposition.
"T'inquiète pas pour ça, vieux !"
Se redressant, il laisse au blond le temps de bien se réveiller, puis va chercher dans le salon un grand sac à dos qu'il lui lance à travers la pièce dans un sourire espiègle :
"Veille à bien le garder vide, on le remplira une fois arrivés."
Il regagne ensuite sa chambre, tout en demandant diverses choses à son colocataire en criant à travers le bungalow ; trouver un maximum de bouteilles d'eau, les remplir ; vider une large quantité de sirop de framboise dans chacune d'elles ; prendre son propre sac à dos pour les y ranger. Et sortir du tiroir à friandises une poignée de bonbons colorés – il commence à être à cours.
De son coté, il vide son armoire pour en sortir des tas de fringues féminines. Pourquoi a-t-il cela dans son armoire, lui demandera-t-on ? Tout simplement parce que sa conne de mère espère toujours le voir redevenir une femme, presque dix ans plus tard. Cette abrutie lui envoie tous les mois un colis contenant une robe, ou une jupe, ou du maquillage. Et lui, il les garde, allez savoir pourquoi. Peut-être simplement par peur d'être surpris en train de les jeter, ou quelque chose du genre.
En tout cas, ce soir, elles vont servir. Il en enfourne un maximum dans son sac de sport, en faisant bien attention à prendre les couleurs les plus tape-à-l'œil, qui sont ses préférées. Après quoi, il jette un œil à son réveil : 18h52. Il regagne le salon avec une expression faciale digne d'un chat s'apprêtant à attaquer des pieds gigotant sous une couverture.
"Ce soir, y'a une réunion chez les Adlers." il commence à expliquer "Comme il en est le porte-parole, il est obligé d'y être. Gosha s'ra avec lui et Camélia travaille ce soir. La réunion commence d'ici trois minutes. Et alors, on aura une heure, pas plus, pas moins, pour foutre un maximum de bordel."
En réalité, Jack est sans aucun doute déjà parti pour la réunion ; le bungalow 1 est donc déjà vide. Mais rien ne vaut une bonne clope avant une opération foutage de merde, alors trois minutes de plus ne seront pas de refus. Beryll attrape son sac, ses bonbons, ouvre la porte du bungalow, porte une cigarette entre ses lèvres et l'allume d'un coup de briquet. C'est tout simplement dé-li-cieux.
Tu te masses les épaules, D. T'étires un peu vu qu'il faut bouger maintenant. Un rapide passage à la douche, de quoi éclairer ta mine de débile. C'est sûr que le monde a une allure différente, tu te dis, les cils humides. Tu attrapes ta serviette, ça va beaucoup mieux. Tu regardes ton reflet, Owain, essaie un peu en vain de faire quelque chose de ta chevelure dorée. Tu finis par hausser les épaules.
En preuve de ta nouvelle forme, tu attrapes sans difficulté le sac que te lance Beryll. Ahah, du vandalisme du coup ? Pourquoi pas. Tu suis les instructions sans broncher, peu sûr qu'il reste vraiment du sirop vu à quel point ton camarade est friand de ce qui est sucre. ((Surpris tu trouves quatre bouteilles de sirop pleines, plus une déjà entamée)). Les bouteilles d'eau vide sont pas vraiment un problème, vu que le sac des poubelles plastiques ((oui ça trie, ici)) n'a pas encore été débarrassé. ((C'était à ton tour, d'ailleurs - trier c'est bien, mais s'y mettre, eh)). Tu lui passes sa poignée de becs lorsque vos chemins se croisent un peu avant que tu le vois disparaître dans sa chambre.
Tu en profite, blond, va trouver Doge, et inscrit rapidement sur un papier que tu lui passes. Tu aides le squamate à partir par la fenêtre avec le message. Ce serait bien de te changer aussi. Un autre t-shirt suffira, blanc cette fois, autant que t'aimes l'inscription "JUST DO IT" sur du bleu marine. C'est pas comme vous y alliez en vrai mission ou qu'est-ce - ça c'était plus les kiwis et leur sessions de paintball. Il espère qu'Othello répondra assez vite.
C'est après un petit moment que Beryll ressort, avec cet air si fier de lui alors qu'il n'ont encore rien fait. Owain enfile une blouson kaki, avec lui le sac rempli de bouteilles d'eau pleines de sirop, ainsi que l'autre sac vide avec lequel faire les fameuses courses gratuites qui les attendent.
Tu serais tenté de ramener ton appareil photo avec toi, Owain. Juste pour garder avec toi les souvenirs du dawa comme qu'on dit dans le milieu, que toi et Beryll comptez faire. Par soucis de place tu finis par fourrer un polaroid dans le sac de bouteilles.
-"On y peut rien s'il avait besoin d'une nouvelle déco intérieur," Tu prends cette expression défiante, mais sûre qu'elle n'avait rien à regretter - puis un rire t'échappe - ça va barder.
Tu tousses un peu fort lorsque Beryll souffle sur toi, puis dis que tu l'emmerdes.
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Sujet: Re: Come with me, let's fight! [PV. Owain] Sam 5 Mai 2018 - 16:44
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Il rigole après avoir craché sa fumée sur son colocataire, alors que celui-ci l'envoie bouler. La nuit est presque tombée, et la soirée s'annonce bonne. A chaque fois qu'il fait un mauvais coup, c'est la même chose : la bonne humeur reprend l'entier contrôle de son esprit, et rien ne peut changer cela. Et même si en l'occurrence, il ne s'agit pas de se battre, ce genre d'action pacifique le met en joie. Ca fait un moment qu'il n'a pas commit de sabotage comme celui-ci. Le but est uniquement d'humilier Jack, de le blesser dans sa fierté. La plupart du temps, c'est comme ça qu'il fonctionne face à lui, de toute façon. Il a envie de le titiller un peu. Ou... Beaucoup. Ouais, son égo va en prendre un sacré coup. Il aurait presque envie de se planquer quelque part dans la chambre pour assister à la réaction de cet enfoiré lorsqu'il rentrera chez lui après sa réunion.
Sa clope tranquillement terminée, il ramasse son sac à dos et le loge sur une de ses épaules :
"Bon, on y va ?"
Il lance à son ami dans un sourire des plus insolents. Et ils se mettent en route. Le bungalow de Crane n'est qu'à une centaine de mètres du leur, une allée plus loin, alors il ne leur faut pas longtemps pour y arriver. Il invite Owain à le suivre, contournant la bâtisse pour arriver devant la fenêtre de Jack. Il demande :
"Tu m'laisses tenter un truc ?"
Bien que ce ne soit pas l'envie qui lui manque, briser une vitre pour pénétrer à l'intérieur serait beaucoup trop risqué, et il n'a pas envie de se faire prendre à cause du bruit alors qu'ils n'ont même pas commencé à s'amuser. Alors, c'est l'occasion de voir si son entrainement intensif de ces derniers temps porte ses fruits. Il ferme les yeux, se concentre. Et au bout d'une trentaine de seconde, il est parvenu à se transformer.
Putain, ouais.
Il jubile : son corps tout entier, vêtement compris, est maintenant fait d'eau.
"Attends-moi ici, j'vérifie qu'il y ait personne à l'intérieur et je t'ouvre."
Il n'a pas beaucoup de temps, il doit faire vite. En se concentrant encore plus, il parvient rapidement à faire se mouvoir les molécules d'eau qui le composent à présent et s'immisce petit à petit entre la fenêtre et son encadrement. Une fois à l'intérieur, il se laisse glisser sur le sol pour ne plus former qu'une flaque et progresse ainsi discrètement dans chaque pièce du bungalow, en longeant les murs ; comme il s'y attendait, celui-ci est vide. En vitesse, il retourne alors dans la chambre de leur victime, et reprend sa forme humaine pour ouvrir la fenêtre dans un sourire satisfait :
" La voix est libre, camarade."
Il rigole, puis demande une bouteille d'eau à son colocataire ; il faut qu'il boive s'il ne veut pas perdre connaissance avant d'avoir fait quoique ce soit, la déshydration due à l'utilisation de son pouvoir a déjà commencé.
Après avoir descendu la moitié de la bouteille d'une traite, il annonce :
"Okay, alors voilà mes idées. Les bouteilles, j'te laisse en faire ce que tu veux. L'important, c'est qu'un max de ses affaires soient trempées. Et le sucre, c'est pour qu'ça colle. Comme ça, il pourra rien récupérer. (Il sourit narquoisement avant de poursuivre en ouvrant son sac pour en montrer l'intérieur à son ami) De mon coté, j'compte lui refaire une petite garde-robe... D'où l'utilité de ton sac : on va remplacer toutes ses fringues par... Ca."
Il sort une robe jaune pâle décorée de fleurs violettes et se marre encore, avant de vider l'intégralité de son sac sur le sol, puis prend un air ironiquement solennel :
Tu t'esclaffe en même temps à la vue de la robe qu'il tient en main.
-"Tu me diras un jour comment tu te dégotes ce genre de bail," Petit clin d'oeil et coup de coude connaisseur - tu ne demandes pas d'où elle vient, sous entend seulement qu'il doit y avoir une histoire ((drôle tu espères, en vain, peut-être)) derrière.
Tu ne te rappelles pas l'entendre parler d'acheter des robes pour le-dit coup que vous aviez préparé dans le tas. Vous aviez pris cette décision sur un coup de tête, après tout.
La fenêtre t'es ouverte, bien assez que vous y entrez l'un après l'autre. Tu passes en premier. C'est une chambre plutôt bien rangée, et d'un certain gout tu admettras, de ce code couleur blanc et noir. Tu sais ou va tout l'argent avec lequel il se trimbale, Owain. Tu tiques, parce que c'est ce même argent dont le monde a besoin pour des choses bien plus importante que de la déco intérieur. Tu soulèves la couverture noire.
((Ton avis est complètement biaisé de tes expériences passées avec l'argent - peux-tu vraiment en dire quelque chose ?))
-"La seule bonne chose qu'a sa chambre..." Une moitié de bouteille sur ses draps blancs. "c'est un certain sens de l’esthétisme."
Et comme ça t'es lancé, à renverser du sirop ici et là au feeling - les cours auquel le A tient tellement, ses chaussures, le tapis, les bouquins qui traînent... Tu laisses Beryll s'occuper de récupérer ses affaires pour échanger sa garde robe avec, entre autre, cette magnifique robe du bon goût. Le mur reste intact, avec la chaise de bureau du A.
Tu remarques du coin de l'oeil les photos de Jack et sa mère omniprésentes dans la chambre. Rien de surprenant, dirait-on, jusqu'à peut-être que tu trouves tout un mur recouvert d'un nombre incalculable de photos souvenirs de sa mère, toutes encadrées et ce jusqu'au plafond même. Ce qui à ton avis donnait un sens eerie à la chambre, comparé au reste si ordonné.
T'es là pour t'amuser, au delà de ce que t'as personnellement fait Jack, au delà de la raclure et pauvre excuse d'humain qu'il puisse être. Il ne t'a rien fait de particulièrement personnel. Pour Beryll, c'est autre chose.
Autant que tu le connaisses depuis un bail, autant que t'aies vu le mal que lui a causé le A et la rage dans laquelle ça l'envoyait des fois. T'es peut-être là qu'il soit pas le seul con à s'en prendre aux affaires d'un mec qui mérite clairement pas l'attention que vous lui donniez.
En parlant de truc con, tu vois Pouet et Doge arriver par la fenêtre, transportant sur leur dos (d'une force que tu ne comprendras jamais) cinq bombes différentes chacun. Ton lézard étant particulièrement bête dans son genre, descend de la fenêtre pour atterrir sur une partie du bureau pleine de sirop, et du coup glissante de Jack.
Tu le regardes tomber comme une merde et les peintures elles au sol contre la carpette en poils.
-"...Doge, tu sers à rien."
L'animal fait un son, traduit ça aurait été : "Ferme ta gueule."
((Pouet lui, dans sa fab ultime, arrive à descendre de la fenêtre et atterrit sans problème avec le lms d'Othello et les peintures.))
Pouet te tend le message d'Othello ((qui te conseille de prendre mieux soin de ton lézard, soit ta résolution 2018, mais tu sais ce qu'on dit des résolutions)). Tu les remercie, d'une friandise chacun. Doge se relève également, et les deux repartent.
-"T'veux quelle couleur, 'Ryll ?" Entre rose pupute, jaune flashy dégueulasse et autres, il y avait le choix pour décorer les murs.
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Sujet: Re: Come with me, let's fight! [PV. Owain] Lun 28 Mai 2018 - 0:45
Come with me, let's fight!@Owain S. BaxterWar is an entire lifestyle but fight is just a game. And imma kick you in the nose only 'cause it's funny, biatch.
Lorsque son ami fait référence à la façon dont il obtenu les robes, le jeune homme tique intérieurement, mais ne laisse rien paraitre et rit à son tour:
"Un jour, t'inquiète !"
En réalité, ça veut surtout dire "PTDR NON. Ja-mais.", mais il préfère autant que son coloc ne remarque pas son malaise intérieur soudain, alors il décide de le laisser espérer. De toute façon, il aura sans doute oublié dans quelques temps, non ?
Alors que Beryll commence à remplacer tous les vêtements du A par les fringues de nanas que son sac contenait, le blond se met à balancer du sirop un peu partout de son coté. Mais l'adolescent ne peut s'empêcher de le contredire quand il avance que Jack a un certain sens de l'esthétique. Pas seulement parce qu'il ne peut pas le blairer, mais surtout parce qu'il pense, en toute honnêteté, que la pièce manque cruellement de couleur. C'est d'ailleurs au moment où il fait part de cette observation à Owain que tous deux sont rejoints par deux lézards, qui ne se gênent pas pour entrer par la fenêtre dans un grand fracas. Le premier, qui glisse sur le sirop étalé sur le bureau de Crane, est la raison du vacarme ; alias Doge, le compagnon du D, qui se fait d'ailleurs presque insulter par ce dernier. Le second est inconnu au bataillon, mais Beryll se réjouit en voyant ce que les deux bestioles transportent.
"Ah, ben la voilà notre couleur! Bonne initiative bro'."
Après réflexion, il opte pour la bombe de peinture rose pétasse ; une couleur parfaite pour cette ordure de Jack.
"Laisse-moi le temps de finir sa garde-robe, et j'me transforme en De Vinci."
Alors qu'il accroche la dernière robe à un cintre, son regard se tourne vers les tiroirs de l'armoire, contenant probablement sous-vêtements et autres conneries du genre. Pas que l'idée de toucher aux sous-vêtements de Jack ne l'attire vraiment – quoique, il doit bien l'admettre, cet enfoiré est clairement baisable – mais pourquoi s'arrêter en si bon chemin et lui laisser ses sous-vêtements, alors que le reste de ses vêtements ne sont maintenant plus que des jupes et des robes ? Il vide le contenu des tiroirs dans son sac, quand soudain, une chose plutôt lourde au milieu des caleçons attire son attention. Saisissant l'objet, il se rend compte qu'il s'agit d'une bouteille d'alcool, encore pleine aux trois quarts. Il en prend une gorgée avant de la tendre à Owain en souriant :
"Tu veux boire ? C'est du whiskey. J'aurais préféré de la vodka, à choisir, mais on va pas cracher sur de l'alcool."
La vodka, c'est le pêché mignon du E. Mais du whiskey fait aussi l'affaire, après tout ; ils peuvent bien la ramener au bungalow, non ?
Une fois ses machineries terminées, il se relève donc et se munit de la bombe rose, reprenant au passage une ou deux gorgée de la bouteille. C'est qu'il est bon, son truc. Il a du payer ça une blinde. Secouant la bombe de peinture, il réfléchie à ce qu'il peut bien faire pour redécorer la chambre. Les idées défilent dans sa tête, mais toutes sont aussi classiques les unes que les autres... Quand soudain, il s'exclame :
"Oh, j'ai une idée !"
Il change de bombe pour en choisir une bleu fluo, se poste face au mur sur lequel se trouve la fenêtre qu'il prend soin de refermer préalablement et, tout le long de celui-ci, trace une bande d'une dizaine de centimètres d'épaisseur – il ne se gêne d'ailleurs pas pour passer sur ladite fenêtre, qui se couvre d'un bleu translucide plutôt joli. C'est pas ultra propre, mais il s'en fout. Il attrape une bombe vert pomme :
"Jack est gay, non ? Soutenons la cause lgbt !"
Oui, il compte bel et bien faire un drapeau lgbt sur ce mur. Ce n'est pas de l'homophobie, bien sur, puisque lui-même est homo, mais il aime bien ce drapeau. Alors, il enchaine les couleurs, jusqu'à qu'un magnifique arc-en-ciel recouvre la moitié du mur. Il recule pour admirer son œuvre en s'esclaffant : il est plutôt fier de sa connerie.
"T'en penses quoi ?"
Le E entreprend de continuer à peindre des conneries un peu partout, mais lorsqu'il se tourne vers un autre mur, son regard se pose sur le mur rempli de photo. LE fameux mur. Il s'est très rarement introduit chez par le passé, alors ce doit être la deuxième ou troisième fois qu'il le voit. Seulement, aujourd'hui, il a une envie terrible de ne pas le laisser intact. Il sait très bien que s'il veut faire mal, il faut taper là où ça fait mal. Et clairement, ça, c'est ce qui fait mal, chez Jack. Et, même s'il n'était pas venu à la base dans le but de faire vraiment mal au A, maintenant que l'occasion de le faire se présente à lui, il doit bien avouer que c'est affreusement tentant. Pourtant, il hésite encore à passer à l'action : s'il décide de faire quelque chose à ces photos, c'est sur, ce sera la guerre. La vraie. Toutes leurs petites ententes supposées seront alors nulles et non avenues. Et ce serait vraiment dangereux pour lui-même. Mais Jack...
Cette ordure le mérite, putain.
Est-ce que ça ne pourrait pas donner une bonne leçon à ce connard ? Le genre de correction que personne a jamais osé lui donner. Il soupire. Et puis merde. Il retire toutes les photos du mur, sans vraiment de délicatesse, et les déchire une par une, pour faire un tas avec les morceaux sur le sol, bien au centre de la chambre.
"Putain, y'en a vraiment des tas..." Il jette un regard à Owain, comme pour lui expliquer "C'est une vieille histoire entre lui et moi, t'inquiète, je sais ce que je fais."
En vrai, il en a aucune idée, de ce qu'il peut bien être en train de foutre. Mais il en a rien à faire, tout ça l'énerve, sans même qu'il ne veuille se l'avouer. Il demande une bouteille de sirop au blond, afin d'arroser le tout du liquide rosé. Il saisit alors à nouveau une bombe de peinture et taggue un gros "MAMAN" sur le mur. Le genre de tag un peu mal fait, parce qu'il sait pas tagguer, mais il apprécie quand même le résultat.
L'alcool ? Ok, il va pas s'en plaindre. Le drapeau c'était aussi bien joué. Le D est plié, larme à l’œil à l'idée d'imaginer Crane devant tout ça. Une bombe de peinture verte dans sa main, on notera le "g pa dami sniff" sur la table tagué ((autres petits commentaires sympathique comme "suceur")) indiscernable de son écriture habituelle.
Les insultes partent, ou du moins peut-être restent-elles chez les autres sans forcément un jour s'effacer, mais ce sont des mots, et on apprend tous à les écouter ou les oublier.
-"Shit - téma la fabitude d'cte chambre, l'mec il va rien comprendre"
L'attention de Beryll finit par vriller vers le mur aux photos. Si Owain riait à en perdre l'haleine y'a peu, lorsqu'il voit le E enlever les photos de leur cadre et les déchirer, son faciès prend une expression quelque peu perplexe.
-"Putain, y'en a vraiment des tas..."
-"What the eff are you-"
-"C'est une vieille histoire entre lui et moi, t'inquiète, je sais ce que je fais."
-"BS"
Beryll continue son truc. Owain lui passe le restant de bouteille et le E s'arme à nouveau d'une bombe à peinture. Avant qu'il ne fasse plus de dégât le blond intervient.
-"J'pense que ça suffit. Encore une chambre il peut s'en racheter une autre avec son argent, mais pas des photos de sa mère."
Un air inquiet d'un coup.
-"Tu raconteras la crasse qu'il t'ait fait qui vaille une vengeance pareille."
Il doute pas de ce que le A peut faire, reste que c'est dommage. Le D sort de son sac le polaroid. Histoire de faire quelques photos en envoyer une ou deux à Othello comme preuve due. Photos du drapeau, du mot maman, de la chambre en général. Il garde celles des meubles, des cours, des vêtements gâchés, passe à son camarade celles du drapeau et du maman.
-"Euh ouais par contre faudrait pas tarder, on est là depuis un petit bail."
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Sujet: Re: Come with me, let's fight! [PV. Owain] Lun 3 Sep 2018 - 15:06
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Finalement, c'est Owain qui le stoppe dans ses conneries. Le blond semble inquiet par l'attitude du E, il pense sans doute qu'il va trop loin. Et Beryll le sait qu'il va trop loin, mais il s'en tape. Le but, c'est justement d'aller trop loin. Parce que ça fait quoi, sept, peut-être huit ans ? Que toute cette mascarade entre eux dure. Huit ans qu'ils se font des crasses, mais sans jamais dépasser certaines limites, qu'on ne sait quel idiot a fixé sans que personne ne le sache. Des limites fictives, au final. Et à cause de ces limites, tout ça commence à tourner en rond. Et lui, il en a ras-le-bol. Alors ouais, son but premier en débarquant ici était juste de vandaliser un peu la chambre, mais finalement, il a vraiment envie de lui faire mal, à cette ordure de Crane. Le but est justement devenu de briser ce qu'il ne pourra pas racheter. Mais ça, Beryll le dira pas Owain, évidemment. Le blond ne comprendrait sans doute pas pourquoi il agit comme ça. Personne ne comprendrait, en fait. Mais qui le pourrait au juste, à part Jack ? Il acquiesce tout de même pour que son coloc soit satisfait :
"Ouais ouais, je t'expliquerai ça plus tard, t'inquiètes."
Un polaroid sorti et quelques photos prises plus tard, Beryll contemple une dernière fois le spectacle, deux petits carrés prouvant leurs méfaits à la main. Il remercie Owain pour ceux-ci et confirme les dires du blond en jetant un coup d'œil à son portable :
"Putain, ouais ! La réunion vient de se finir, faut se tailler, et fissa !"
Beryll récupère ses sacs, en veillant à ne rien oublier dans la chambre. Il embarque aussi la bouteille de whiskey, mais laisse sur l'oreiller de Crane quatre petits bonbons à la framboise, en guise de signature. Après avoir tout jeté par la fenêtre et laissé son colocataire sortir, il passe à son tour par l'encadrement de bois.
"Pas besoin de refermer, si ?"
De toute façon, ils risquaient de ne pas avoir le temps. Et vu comment Beryll maitrisait son pouvoir, l'utiliser deux fois en moins d'une heure risquait plus de l'envoyer à l'infirmerie qu'autre chose.
C'est la deuxième fois. La deuxième fois que Beryll lui répond qu'il lui racontera quelque chose avec cette voix assurée et ce regard au loin. Owain n'est pas dupe. Il a pas de raison de poser la question un peu plus loin au final, même si curiosité lui y poussait. S'il on ne le croyait pas capable de comprendre, que pouvait-il y faire ?
((Tu pourrais dire quelque chose, tu sais.))
C'est inutile. La vérité c'est que tu seras jamais aussi proche du monde que tu le voudrais. C'est simple, quand tu n'en dis rien.
((Tes pensées d'impuissance te reviennent, tout ça a un goût trop amer, et pourtant tu ris quand Beryll te parle.))
-"J'suis là pour ça"
Il sort un embout métallique de sa poche, qu'il a au préalable plié avec une pince. Owain ferme la fenêtre derrière lui et vient se trouver devant la porte d'entrée à fermer de l'extérieur. Un côté court et long, dépendant des types de serrures.
S'il était courant comment ouvrir des portes ainsi, lui il savait également les fermer. Quelques tours d'une main, l'autre tenant le sac, le reste de bouteilles éventuelles qui ne rentraient pas et évidemment le polaroid. Owain appuie plusieurs fois sur la poignée pour s'assurer qu'elle était bien fermée.
Le bruit de voix l'alerte, le D regarde le E d'un oeil rapide.
-"Bouge-toi"
Ils filent sous la pénombre.
•••
En rentrant, Owain se laisse tomber sur le canapé de l'espace commun. Le rangement attendra, là ils ont les affaires de Crane, vidé leurs sirop et cette tête satisfaite d'avoir fait une bonne blague comme on les aime.
-"Je dis qu'on vend toutes ses affaires."
La seule crainte qu'il ait c'est que Crane lui fasse pitié plus qu'autre chose. Et qu'une crapule de son genre lui fasse se sentir mal en conséquence. Il n'appréciait pas être pris par les sentiments ou qu'on essaie de le faire culpabiliser. A son avis à lui prêter une si grande importance pour aller bousiller sa chambre, c'était déjà donner trop d'attention au A. Il est là pour quelqu'un qui, même si ses intentions ne sont pas forcément louables, elles reste d'ordre personnelles et non de l'attaque sans raison comme Jack était capable de faire. On pourrait aussi discuter de l'attention béante que Beryll lui paie, attention qui même sans être attentionnée devait être rendue en bonne est due forme par Jack.
Le D pensait qu'ils allaient bien ensemble, ou du moins - qu'ils trouvaient un sens l'un à l'autre.
((Ce serait le bon moment pour en parler. Ou pas.))
Le D se sert deux verres dans la cuisine qu'ils puissent partager le whiskey du A avec le goût d'une victoire. C'est ce moment là que le D aimait, loin des regards, un peu après un coup pareil, à se sentir les rois du monde. Rien ne leur est supérieur, rien pour se mettre en travers de leur chemin de leur liberté, ou presque.