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 La nuit tout est permis ☨ Harry Wayland Ashtonson

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Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: La nuit tout est permis ☨ Harry Wayland Ashtonson   La nuit tout est permis     ☨    Harry Wayland Ashtonson 1400359500-clockJeu 20 Juin 2013 - 2:18
 Décadence




Le Chat noir, un nom sonnant comme un simple restaurant ayant une face caché. Partant à la recherche qu'autre chose que de banale lieu de débauche telle que les boites de nuit, Wood finit par trouver un nom. Juste un nom. "Le chat noir" accompagné d'un mot "décadence". Un mot de passe probablement. Une farce stupide, bien plus probable. Le chat noir connu à Prismver comme un bon petit vieux restaurant fréquentés d'anciens Riches, la vieille noblesse. Cependant, ce simple bout de papier vint titiller sa curiosité. Qui a bien pu lui envoyer ça? Son premier amour viendrait encore la hanter? Surement quelqu'un qui veurt lui chercher des embrouilles. Ce dont elle avait besoin, c'était d'en avoir le cœur net. Bien trop de mystère à son goût.  




Evidemment Mademoiselle, ressent le besoin de ne pas être seul dans ce méli mélo. Son regard se porta sur Harry. Un Jeune Homme, très charmant, qu'elle vient à peine de connaître. Elle décida de refaire une lettre, où elle inscrit seulement le lieu "Le chat noir", le mot de passe " Décadence", et l'heure "00h00" accompagnés d'une trace de baiser rouge telle une signature. Elle passa sa journée à observer Harry en le scrutant dans les couloirs et oubliant son boulot d'infirmière. Elle se demanda si elle devait le donner directement, où le laisser dans un totale mystère. Tiens un élève réclamant soigneusement son aide pour un mal de ventre à la con. En échange d'un cachet, elle lui ordonna de transmettre la lettre à Harry. Vu le regard sadique qu'elle lança au pauvre gamin, il oublia vite fait son mal de tête pour aller rejoindre le Jeune Homme. Pour vérifier si sa proie a reçu son petit cadeau, elle passa en salle des professeur, prendre son café enfin d'apparence. Tout en sirotant son café,  avec sa grâce de damoiselle, , elle inspecta d'un regard lointain le jeune prof en possession de la lettre, du moins sur la table. Pour ne pas paraître trop suspect elle était repartis. De toute façon, ce soir elle irait avec ou sans lui.



Parée pour une nuit, soit rythmée de décadence comme elle les aime, soit de déception de ne pas trouver un lieu pour faire les pires folies. Ses portes jarretelles d'attaques étaient de sortie sur ses jambettes. Une robe en crayon moulée son corps, tout en étant assortis à son rouge à lèvre criard. Ses cheveux roses virevoltes dans le vent lors de sa longue marche pour arriver à bon port. Ses talons raisonnent au rythme de son excitation, un rythme effrénés où ses faux cils laissent place à une ligne noire sur ses délicieuses paupières. Elle se place devant ce restaurant totalement déserté à une heure pareille. Son pauvre manteau ne lui couvrait que la partie haute du corps, qui décèle un fente sur le côté de la robe remontant jusqu'en haut des cuisses. Elle pouvait entendre des basses résonner, donnant l'impression de venir de la porte voisine du restaurant. Hasard? Ou juste les boites de nuit autour d'elle redonne une once d'espoir. Elle se place devant cette porte, qui laisse entrevoir une sonnette placer sur le côté en forme de chat et de couleur noir. La porte tremblait, comme si un jeune adolescent faisait la fête derrière en mettant la musique à fond. Elle fût hésitante à sonner, elle resta bloquer si elle devait sonner ou attendre si Harry viendrait.

Chamalow' pour Epicode

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Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: La nuit tout est permis ☨ Harry Wayland Ashtonson   La nuit tout est permis     ☨    Harry Wayland Ashtonson 1400359500-clockLun 1 Juil 2013 - 6:03
#ALLEZ VIENS DANSER LA DECADANSE



« Love stupid, I know it.. »

Pas de danse léger – sa tasse de café ne tremble ni ne tombe. L'assurance assurée de ne jamais manquer son coup ; oh qu'il aime ça. C'est confortable, c'est doux comme de la soie, c'est sécurisant. Il ne manquera ni ses acrobaties, ni la balle qu'il vous plantera entre les deux yeux si vous l'énervez. Effrayant, n'est-ce pas ?

Pour l'heure, Harry songe au soir venu ; l'invitation d'une ravissante pin-up au Chat Noir. Seriez-vous surpris de savoir que Wayland connaissait les dessous secrets de cette entreprise ? Si le professeur se contrefiche du nom de ses élèves, il suit avec attention les lidos de l'île. Peut-être une future carrière de manager, qui sait ? Il oubliait déjà la raison pour laquelle il avait choisi d'enseigner – oh non, il n'avait pas choisi. Mais ce n'était plus bien important. Il n'aurait qu'à signer sa démission et se barrer continuer ses voyages, comme ça, du jour au lendemain. Son poste d'enseignant n'était plus qu'une ligne futile dans son CV, un titre dérisoire qu'il honorait avec autant de ferveur que Frank Sinatra soutiendrait Rebecca Black. Il y avait un monde entre les deux. Et, se servant son énième café de la journée, Harry songeait qu'il était tellement facile de tout plaquer, sorti des contraintes sociales et de la dictature des biens. Pour lui, oui. Qu'en était-il du reste du monde ?

Ah ! Il s'en souciait peu.

Son manteau de fourrure lui tient toujours aussi bien ; Harry faisant malheureusement parti de la secte des gens revêtant des lunettes de soleil la nuit, les siennes sont bien mises, lui donnant, une fois de plus, l'air d'un proxénète. Et l'on s'étonnait qu'il possède le pass pour un genre d'endroits tels que le Chat Noir. L'air naturellement nonchalant, il repère la silhouette gracieuse de l'infirmière de Prismver, non-loin d'ici. Presque arrivé.

« Bonsoir. J't'ai pas trop fait attendre ? » s'enquiert Wayland, une fois arrivé à destination ; il devine que Wood doit venir ici de nuit pour la première fois, à son appréhension évidente. « Allez, faut pas avoir peur, va ! » amorçant une pirouette pour se planter devant la porte, l'anglais prononce d'une voix chantante :

« Sésame de la décadence, ouvre-toi. »

Magie. Sens du burlesque. Harry prend délicatement sa compagne féminine par la main pour l'entraîner sans autres formes de procès dans l'antre du Chat Noir, saluant au passage quelques connaissances d'un signe de tête. « Est-ce que tu as réservé une table ? » Après tout, il faut en vouloir, pour découvrir cette micro-société grouillant à Prismver ; cette communauté que le mot de passe de ce soir pourrait parfaitement résumer. Un monde qu'il n'est pas si simple d'intégrer – un monde qu'il a apprit à la fois à haïr et à aimer. L'opulence dégueulasse et le parfum capiteux de certains qui se mélange aux douces fragrances des danseuses à leurs gestes pleins de grâce. Quelque chose d'indescriptible, qu'il fuit comme il recherche.

Et Wood, que veux-elle ?

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