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 Tout chagrin passe. Tout bonheur perdu n'est que l'attente d'un bonheur plus grand. ( François Cavanna)PV Astrid I.Knudsen

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MessageSujet: Tout chagrin passe. Tout bonheur perdu n'est que l'attente d'un bonheur plus grand. ( François Cavanna)PV Astrid I.Knudsen    Tout chagrin passe. Tout bonheur perdu n'est que l'attente d'un bonheur plus grand. ( François Cavanna)PV Astrid I.Knudsen  1400359500-clockSam 30 Aoû 2014 - 1:10
Un mois que je suis dans ce bahut, un mois que j'ai des cours d'un niveau bien supérieure à mon ancien lycée, un mois que je m’entraîne à maîtriser mon pouvoir, un mois où j'ai vu des trucs incroyables. Un mois que je voie à quel point entre gosse on peut être cruel. Je les voie se pavanés tel des paons, ils amusent à écraser les plus faibles pour se sentir supérieure. J'ai une dent contre ses gens, une haine féroce pour les personne qui pensent être supérieure à leurs voisins parce qu'elles ont un pouvoir de plus qu'elle. Je suis en colère aujourd'hui et je n'arrive pas a retenir une seconde de plus cette colère. On m'a mis dans une classe péteuse et imbus d'elle même, heureusement tous les élèves des B ne sont pas comme ça. Mais les A, ces gamins qui pensent être la crème de la crème, qui pense qu'en écrasant les autres ils se sentiront plus fort. Voilà déjà une preuve de faiblesse et pas une petite. Lorsqu'on est pas capable de devenir fort sans abaisser les autres, c'est qu'il nous font peur, au finale on se retrouve plus faible que. Enfin c'est ce que je penses. Des gens fort, on les remarques jamais. Puis il y a le fait que je sois en béquilles en se moment, parce que ma prothèse doit être régler. Mon oncle m'a dit que c'était à cause de l'adolescence, que je grandissais encore et que pendant deux, trois ans j'allais devoir passer souvent à l’hôpital pour la régler. Moi ça m'énerve, je peux rien faire, je reste invisible le temps de rejoindre la classe puis je vais me cacher dans mon cabanon lorsque les cours sont fini.

    Aujourd'hui faut pas venir me chercher parce que je suis à bout de nerf, j'ai été victime  et non témoin. Je venais de quitter la classe de chimie, je descendais pour rejoindre la bibliothèque. Amuser vous à descendre avec une jambe des escaliers, bah c'est pas marrant du tout. Mon invisibilité a une limite  d'environ quinze minutes et j'ai pas réussi a me maintenir plus longtemps. Bien évidemment avec ma veine je suis redevenu visible dans l'escalier des E. Les E, c'est sois des gars qui en ont ras le bol qu'on les prennent pour de la merde soit des délinquants en puissance. Alors quant ils ont vu un  B unijambiste en train de faire des effort incroyable juste pour descendre des escaliers, ils ont sautés sur l'occasion. Il me faut un petit temps de récupéré pour redevenir invisible, deux minutes max, mais il a suffit de se temps pour me retrouver contre un mur et ses brutes en train de me frapper ainsi que de  me faire comprendre que j'étais pas le bien venus dans leurs étage. Je leurs ai dit que je voulais pas de problème, mais eu ils ne cherchaient que ça. Je suis devenu invisible pile au bon moment et je me suis cassé. J'en ai marre de ses conneries de guerre entre les classes, les red qui foutent le bordel pour abolir cette hiérarchie injuste, il y en a d'autre qui répare et il y a ceux qui font tout pour que la hiérarchie soit respecter. C'est une guerre qui visiblement n'aura pas de fin. Moi j'ai pas envie d'en faire partie, je veux juste finir mes études. Pourquoi faut toujours qu'il y en ai qui foute la merde ! On peut pas rester tranquille, avoir la paix, c'est trop demander ! De toute façon les E qui m'ont fait ce foutu coquard ils vont en baver, je vais les faire souffrir ces connards ! J'en ai plus qu'assez de me trimbaler avec ses béquilles, j'ai l'impression d'être un escargot, heureusement que j'arrive dans mon cabanon. Je vais rester pénard pas bouger de la journée, sortir chercher ma prothèse et revoir pour le contrôle de demain.
 
    Enfin c'est ce qui aurait du se passer si je m'étais pas paumer. Mais merde j'ai fait quoi pour mériter ça. Et ces regards, j'en peux plus. C'est pas parce que j'ai qu'une jambes qu'on doit me regarder comme ça. Je suis pas un putain de monstre ! J'en ai marre, marre, marre ! Je disparais soudain, j'ai la tête baisser comme à chaque fois que je suis préoccuper ou énerver.

    Je ne sais pas comment, mais lorsque je finis par levée la tête je me retrouve dans une sorte de souterrain style monastère, ou vieux souterrains...les passages secrets ! J'ai entendu parler deux filles de ma classe de ses passages secrets, l'une prétendait que c'était n'importe quoi alors que l'autre lui disait le contraire et qu'elle chercherait par tous les moyens a lui prouver leurs existences. Au moins ici j'étais seule et je pouvais ruminer toute ma colère en paix. En faite c'étais plus trop de la colère, mais ce qui vient souvent après, la tristesse, la déprime total. J'aime pas m'auto centré, je suis plutôt de genre à foncer et a pas me préoccuper de mes petits problèmes. Je me fixes des objectifs, je cherches constamment le contrôle, c'est plus fort que moi. Et là le contrôle je ne l'ai plus. Je suis dans le flou. Si je continu je vais finir par me faire mal. Faut pas commencer a sombrer, lorsque c'est comme ça faut se changer les idées et dire l'inverse de ce que l'on pense. Non, c'est pas parce que t'a plus qu'une jambe que ta vie et finis. Non t'es un mec plein de ressource qui trouve des solutions à tout et non t'es pas une pauvre merde a jeter aux ordures. Tu veux devenir vétérinaire, c'est ton objectif et tu dois l'atteindre. Et on sait jamais ce que t'a vie te réserve, c'est pas parce que t'es classer dans les handicaper moteurs que tu trouvera pas une fille gentil avec qui faire ta vie. Puis t'a que 16 ans, t'a le temps, ne te fais pas des nœuds au cerveau pour rien. Mise au point terminer maintenant tu lève la tête et tu cherches un moyen de sortir de cette endroit. Je suis un peu m'aboule sur les bords moi, faut que j'arrête de me parler tout fort, de toute manière personne ne peu m'entendre lorsque je suis invisible et étrangement je n'ai pas repris forme depuis mon entrer dans les passages secrets. En levant la tête et en regardant un peu autour de moi, l'endroit et juste magnifique. On a l'impression de se retrouver dans un monastère, les mures sont creuser et des livres y sont rangée bien aligner. Je débouche dans une grande salle étrangement éclairer par des torches. Je visite l'endroit, il y a plein d'objets anciens, des statues, tableaux, vieux vêtement. C'est assez incroyable. Je finis par m'asseoir un peu épuiser. Ah ! Si j'avais un vélo et ma prothèse  je serais en train de pédaler comme un fou pour rejoindre un coin de nature loin de toute civilisation et j'irais mis promener. N'empêche le coup des E m'énerve encore et plus que jamais. Faut que je réfléchisse à la façon de leur en faire voire de toute les couleurs. Voilà de nouveau la pression monte et je peux pas rester inactif. Je me relève avec beaucoup de mal et empreinte un couloir étroit, faut quand même que je sorte de là.
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MessageSujet: Re: Tout chagrin passe. Tout bonheur perdu n'est que l'attente d'un bonheur plus grand. ( François Cavanna)PV Astrid I.Knudsen    Tout chagrin passe. Tout bonheur perdu n'est que l'attente d'un bonheur plus grand. ( François Cavanna)PV Astrid I.Knudsen  1400359500-clockDim 31 Aoû 2014 - 10:21
« For when the darkness comes... »

ft Adrien
L’endroit était glauque au possible. Enfin, le peu qu’Astrid en voyait était glauque au possible. Cela dit, elle était presque heureuse qu’il fasse aussi sombre : cela lui épargnait la vue des rats, serpents, araignées et autres charmantes bestioles qui pullulaient forcément dans cet espèce de souterrain humide. Elle buta sur quelque chose et manqua de s’étaler au sol. Une litanie de jurons s’échappa d’entre ses lèvres, probablement plus qu’elle n’en avait dit au cours des cinq dernières années. Mais il faut dire pour sa défense qu’Astrid avait peur. Pas la petite inquiétude d’avant une interrogation, pas même la véritable angoisse qui la paralysait parfois avant un premier rendez-vous amoureux avec un mec qu’elle aimait vraiment, non. C’était une vraie terreur, insidieuse, qu’elle sentait se déverser dans ses veines, menaçant de l’étouffer.

Non pas qu’elle ait de raison concrète de flipper à ce point. Elle était juste paumée, après tout. Paumée dans une école qu’elle fréquentait depuis cinq ans. Au temps pour son sens de l’orientation dont elle était si fière. Elle avait beau réfléchir, elle ne comprenait pas comment cela avait pu arriver. Il y a une demi-heure encore, elle flânait dans le jardin du pensionnat. C’est vrai qu’elle n’avait pas franchement fait gaffe à où elle allait. Et puis elle avait aperçu ce petit portail en pierre qui marquait l’entrée de ce qui semblait être une galerie souterraine. Elle avait juste l’intention d’aller jeter un coup d’œil. L’endroit n’avait rien d’inquiétant, au début. La galerie se divisait, elle s’était enfoncée à l’intérieur, bifurquant à une ou deux reprises. Et puis quand elle avait voulu faire demi-tour, comme dans un mauvais film, elle s’était trouvée incapable de retrouver la sortie.
Et les galeries s’étaient faites de plus en plus étroites et sombres, si bien qu’elle avait dû sortir son portable pour s’éclairer. Et son imagination avait pris le dessus : elle s’était mis à entendre des bruits inquiétants, sentir des trucs la frôler. Elle avait réalisé qu’elle venait peut-être de mettre les pieds là où elle n’aurait pas dû. Et si c’était le QG secret des S, hein ? Ou celui de RED ? Ou un passage uniquement emprunté par des dealers pour faire entrer leur marchandise en toute discrétion dans le pensionnat ? Astrid avait une certaine tendance à se faire des films, ce qui n’arrangeait pas sa trouillardise naturelle. Et là, elle était en train d’exploser son quota de panique.

Astrid réalisa qu’elle s’était immobilisée, et se força à reprendre sa route, toujours à la lueur de son téléphone. Le souterrain avait forcément une fin. Il suffisait de continuer à avancer, hein ? Et si il se termine en cul de sac, murmura à son oreille la voix de la peur. Astrid secoua la tête et ferma les yeux quelques secondes, puis continua. Elle évoluait franchement lentement, par petits pas prudents, mesurés et silencieux.

Le bruit fût d’abord lointain, à peine audible, et elle crût que c’était encore un produit de son imagination. Et puis il se rapprocha, jusqu’à ce qu’elle puisse l’entendre distinctement : des bruits de pas. Astrid s’immobilisa, ouvrit les yeux le plus grand possible, jusqu’à s’en faire mal, sans réussir à distinguer la moindre silhouette, et pourtant, les pas se rapprochaient, encore, encore, encore. Elle n’osait même plus reculer, elle en était incapable de toute façon. Crier ne lui vint même pas à l’esprit. Elle resta bêtement plantée au milieu de la galerie étroite. Et les pas qui se rapprochaient, encore, encore, enc…

Le choc la fit chanceler, elle faillit tomber au sol, se rattrapant de justesse au mur du souterrain. Elle sentit à peine la pierre rugueuse lui écorcher la main, trop obnubilée par ce qu’elle voyait. Ou plutôt, ce qu’elle ne voyait pas.  Car la lueur faiblarde et blanchâtre de son téléphone aurait largement dû suffire à éclairer, au moins partiellement, la personne qu’elle venait de percuter. Mais non. Il n’y avait personne. Ce qui était physiquement impossible. Astrid se colla contre le mur, à deux doigts d’éclater en sanglot nerveux. C’est alors qu’elle eut un éclair de lucidité.

« C’est… c’est un don, hein ? Oui c’est forcément un don… dites-moiquec’estundons’ilvousplaîtc’estimpossibleautrement… » bégaya-t-elle dans un lamentable filet de voix.



HRP : Je suis partie sur le principe que, comme on avait dit, Adrien a activé son don d'invisibilité, mais tu me dis si ça te va pas.
Et sinon, Astrid parle en #ff0066

∆ RadioEuphoria for Prism
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MessageSujet: Re: Tout chagrin passe. Tout bonheur perdu n'est que l'attente d'un bonheur plus grand. ( François Cavanna)PV Astrid I.Knudsen    Tout chagrin passe. Tout bonheur perdu n'est que l'attente d'un bonheur plus grand. ( François Cavanna)PV Astrid I.Knudsen  1400359500-clockDim 31 Aoû 2014 - 15:28
Le choc fut brutal et rapide. Je me retrouva part terre. Devant moi se tenait une jeune fille, visiblement terrifier, tenant son portable et essayant de chercher se qu'elle avait pu percuter. C'est vrai qu'on ne voyait absolument rien, j'avais oublier mon portable dans ma chambre et trop énerver j'ai pas vraiment réaliser qu'il faisait complètement noir. Je vois son visage, sous la lumière froide du portable, se crispé de peur. Pourtant elle devais me voire à m’éblouir avec la LED de son portable.

« C’est… c’est un don, hein ? Oui c’est forcément un don… dites-moiquec’estundons’ilvousplaîtc’estimpossibleautrement…»

Je me met à éclater de rire, je prend le temps de me relever, comment je peux être aussi abruti, je suis encore invisible. Je comprends sa réaction. Je la laisse flipper où je redeviens visible ? Dilemme ! N'empêche toutes mes mauvaises idées ont disparus et ma tronche de déprimer en colère avec. Heureusement qu'elle peut pas m'entendre, parce que je crois qu'en entendant mon rire elle se serait barré. De nouveau sur mes deux béquilles je l'examine et réalise qu'elle fait partie de ma classe...Astrid, c'est son nom, enfin je crois. Je me colle sur le mur opposer. Je finis par réapparaître, elle me fait trop pitié et après tout c'est peu grâce à elle que j'ai retrouver le sourire.

« Pardon, j'ai tendance à pas lever la tête lorsque je marche. »


HRP: Tout est OK. J'espère que pour moi aussi. Couleur :#66ff00
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MessageSujet: Re: Tout chagrin passe. Tout bonheur perdu n'est que l'attente d'un bonheur plus grand. ( François Cavanna)PV Astrid I.Knudsen    Tout chagrin passe. Tout bonheur perdu n'est que l'attente d'un bonheur plus grand. ( François Cavanna)PV Astrid I.Knudsen  1400359500-clock
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Tout chagrin passe. Tout bonheur perdu n'est que l'attente d'un bonheur plus grand. ( François Cavanna)PV Astrid I.Knudsen
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