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| Allez, balaie esclave. | |
| InvitéInvité | Sujet: Allez, balaie esclave. Lun 19 Aoû 2013 - 22:56 | |
Allez balaie esclave.
Vomir sur le prof, c'est jamais une bonne idée. Ca attire toujours des ennuies, mais surtout des heures de colle. Hors, j'en pris quatre. Mais pourquoi avais-je vomi sur mon prof de math ? Bah déjà, j'aime pas les maths. En fait, j'aime aucune matière, si ce n'est le sport. Les maths me donnent vraiment envie de gerber, mais je n'ai pas succombé à cause de ça. Hier soir, je suis sortie en ville. Me coucher tard et sortir fait partie de mes habitudes depuis très longtemps. J'ai été trainée ici de force, et on m'annonce que le couvre-feu est à dix heures du soir... Ca donne encore plus envie de sortir voyons ! Et comme tous les jeunes adultes qui se respectent, j'ai fait ce que tous font, je me suis défoulée sur la boisson. Je sais que je ne tiens pas l'alcool, mais j'aime ça donc tant pis. Mais bon, là, j'avoue, j'aurai pas dû boire autant alors que j'avais cour le lendemain. Parce que dès la première heure, j'ai vomi. Mais en plus, j'ai vomi sur le prof. Je sais, je suis trop forte.
Et donc j'ai pris quatre heures de colle. Mais je savais qu'à partir de la deuxième heure, un de mes petits camarades chéris de classe E allait me rejoindre. On m'a dit son prénom mais je ne l'ai pas retenu. Pour quoi faire ? Tout ce qui m'intéressait chez lui était qu'il balaye à ma place la salle de retenue. Car telle était ma punition. Non mais sans déconner, ils me prenaient pour Cendrillon ou quoi ? Les rares qui me connaissaient bien sauraient que je ne toucherais même pas au balais. Et ils auraient raison, car depuis une heure, j'étais vautrée contre un mur à attendre l'arrivée de mon compagnon de colle, en martyrisant Krotdebik, mon LMS, et à lui faire réviser la dernière chose que je lui avais forcé à apprendre. Le fuck était tout un art, et j'estimais mon LMS apte à en apprendre les bases, même s'il ne le faisait pas avec autant de classe que moi. J'entendis la sonnerie. Une heure venait de passer, et je n'avais rien foutu, comme d'habitude. Je savais aussi que mon esclave chéri allait me rejoindre maintenant. Justement d'ailleurs : la porte de la salle s'ouvrit et un grand brun (BG en plus !) pénétra dans la pièce. Je ne lui laissais même pas le temps d'en placer une :
- Allez, balaie. Et plus vite que ça, t'as pas toute la nuit.
Crédit: Neko-chan in Never Utopia |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Mar 20 Aoû 2013 - 21:01 | | Je me retenais de le tuer. Non mais vraiment, la simple vue son teint orangé me donnait des envies de meurtres. Vous ne saviez pas la dernière ? J’avais tenté de subtiliser les réponses du prochain examen en compagnie de mon lézard. Pour ce faire, j’avais pénétré avec succès par la fenêtre de la salle des profs puis, non sans mal, avait déniché l’envelopper de papier kraft qui contenait mon échappatoire aux cours de soutien obligatoire. (Moi travailler simplement pour obtenir une bonne note et ne pas y aller ? Vous me prenez pour un crétin de A ou quoi ?). Cependant, alors que je photographiais rapidement les feuilles avec mon tel, du bruit c’était fait entendre et je m’étais rapidement planqué près de la cafetière. Une professeur de littérature avait fait son apparition et s’était installée dans un fauteuil pour préparer son cours. Prenant mon mal en patience, j’étais resté dans ma cachette. Cependant, c’est deux secondes trop tard que j’avais vu que Bien Aimé avait décidé de pallier à son gouffre culturel. En effet, ce con trônait maintenant sur le dossier du fauteuil de la jeune femme. Malgré tout mes gestes silencieux aux promesses de mort et tortures imminentes si jamais il ne ramenait pas son cul vers moi, mon lézard c’était léché le bout du nez (ce qui était sa façon de dire « va te faire foutre ») et était resté sur son nouveau perchoir.
Dépité, j’avais décidé de foutre le camp d’ici sans l’odieux fouteur de merde en profitant de l’absorption de la femme de lettre dans son travail. A peine avais je enjambé le rebord de la fenêtre qu’un « splatch » me parvint. Ainsi qu’un « Aaaaaaaaaaaah » indigné. Blasé, je me retournais pour voir que Bien Aimé était tombé dans le café que tenait la femme. Surprise, cette dernière c’était relevée et son regard c’était inexorablement porté sur moi… Là, toute personne saine d’esprit aurait courbé la tête et balbutier mille et une excuses toutes plus merdiques les unes que les autres…ou au pire aurait tenté de fuir… Cependant, lorsque je vis mon foutu lézard se lécher le bout du nez alors qu’il trempait toujours dans le gobelet de la prof, je m’étais jeté sur lui.
Depuis le couloir trois type de hurlement avait pu se faire entendre : Le mien, de rage. Celui de la prof, scandalisé et celui du lézard, quoi que lui c’était plutôt un gargouillis vu l’ardeur que j'avais mis à l’étrangler. Bref, trois heures plus tard, je me retrouvais face à la salle de retenu avec un lézard au cou bandé sur l’épaule. Alors que j’entrais dans cette salle si connu, une voix féminine m’attrapa au vol :
"Allez, balaie. Et plus vite que ça, t'as pas toute la nuit."
Dédaigneux, j’observais la jeune femme qui m’avait déclaré cela. Plutôt grande, brune et aux yeux bleues, elle était plutôt canon dans son genre bien que j’ignorais où est ce qu’elle trouvait la patience pour s’occuper d’une chevelure aussi longue. D’après le directeur devant lequel j’avais été trainé, il s’agissait d’une E, Laara Mc Impera, qui devais passer les 3 prochaines heures à nettoyer cette salle en ma divine compagnie. La simple vue de son corps aurait pu suffire à me rendre le sourire, cependant son caractère aussi aimable qu’un pet de bulldog m’avait refroidis immédiatement. Ainsi j’allais passez TROIS heures en compagnie d’une chieuse au complexe d’autorité ? ET GRACE A QUI ?!!!!
En guise de toute réponse afin d’annoncer la couleur, je saisissais la queue de mon lézard (qui en gémit de protestation mais je n'en avais rien à foutre) et le balançais sur la tronche de ma camarade.
« Si tu veux pas te prendre ton balai dans le cul, tu ferais mieux de l’utiliser.»
Un magnifique sourire hypocrite avait orné mon visage à l’annonce de ma tirade. Il était hors de question que je devienne son larbin. Elle ne voulait pas faire de ménage ? Bah bienvenu au club car il était hors de question que je nettoie la merde des autres ! Mais si aucun de nous deux le faisait…on n’était pas près de sortir d’ici. A moins de trouver quelqu’un d’autre pour le faire à notre place... mais qui ? Mon regard se posa, l'air de rien, sur Bien Aimé et l’espace de quelques instants j’eu l’espoir ridicule que cet abrutis puisse un jour me servir à quelque chose… |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Mar 20 Aoû 2013 - 22:02 | |
Allez balaie esclave.
Ce con n'a même pas daigné ouvrir la bouche. Sa seule réponse est un lancé de lézard (nouvelle catégorie de jeu prismlypique !) absolument mal dirigé car son animal de compagnie vient poser son affreux organisme sur mon divin visage, piétinant joyeusement mon nez qui ne lui a absolument rien demandé. Je comprends immédiatement que les trois prochaines heures allaient être assez violentes et surtout très longues si mon compagnon de retenue ne daigne pas faire le boulot à ma place. Car il pouvait toujours crever pour que je ne pose ne serait-ce que le petit doigt sur cet instrument de torture qu'est le balais, même avec sa menace ridicule (j'aimerais bien voir comment il s'y prendrait pour me foutre ce truc dans le cul, tiens !). J'attrape cette horrible bestiole, broyant son petit corps entre mes doigts, histoire de lui apprendre à confondre mon sublime visage avec un terrain de jeu et commence la compétition avec mon camarades : LANCER DE LEZARD ! Sauf que je ne prends pas pour cible mon compagnon de colle, il y aurait une chance pour qu'il rattrape le "projectile", ce serait dommage, c'est l'extérieur qui est la destination du reptile, qui apprend instantanément les joies de la fenêtre ouverte et de la chute libre avec pour terrain d'atterrissage le jardin du pensionnat. De mon autre main, je tiens toujours Krotdebik, qui profite de ma courte distraction pour tenter de s'évader, en vain. Je le libère donc en lui ordonnant d'une voix lourde de menace.
- Montre-lui ce que je t'ai appris...
Il s'exécute, et sous nos yeux, s'avance vers le gêneur, s'installe sur trois pattes et avec la quatrième, réalise le tour que je lui ai forcé à apprendre (avec pas mal de couinement de sa part et de hurlements de la mienne) un magnifique fuck avec ses petits doigts de lézard. J'avais eu du mal à le convaincre de m'obéir sur ce point, mais il avait rapidement compris que sa bouffe (il était incapable de se nourrir seul cet imbécile) et son état physique dépendait de ma satisfaction. Je reporte mon attention sur l'esclave qui refuse son boulot et daigne enfin lui parler directement :
- En gros, tu peux toujours crever.
Krotdebik va se faire oublier sur le rebord de la fenêtre. Maintenant que je l'ai libéré de ma prison doigtale (le dictionnaire et moi vous emmerdons !), il en profite pour se mettre en position de fuite, n'appréciant pas vraiment les traitements que je lui inflige. Je fixe les yeux gris du jeune homme d'un air de défi, toujours vautrée contre mon cher mur. Je sens que la suite va être intéressante. ] Crédit: Neko-chan in Never Utopia |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Mer 21 Aoû 2013 - 14:06 | | C’est sans le moindre remord sur la destination de mon lancé (admirable au passage, admirez donc la justesse et la précision !) que je vis Bien Aimé se faire attraper par la jeune femme. A l’entente de ses gémissements scandalisés, j’en déduisais qu’elle ne le maintenait pas avec la délicatesse que l’on attribuait ordinairement à la gente féminine (était ce un travelos infiltré?). Puis ce fût avec un certain sourire aux ombres de vengeance que je vis mon lézard se faire balancer par la fenêtre. BIEN FAIT POUR SA GUEULE ! Punition divine!!! Voilà ce qui arrivait quand on s’éclatait à faire trempette le gobelet de café d’une prof en plein milieu d’une mission commando! Bref, absolument pas désireux de m’inquiéter du sort de Bien Aimé (ce con s’en tire toujours de toute manière), je reportais mon attention sur la Reine du balai. Cette dernière tenait dans sa main un lézard qui était une sorte de croisement entre du bitume et un oursin. C’était à se demander si mère nature n’était pas mal lunée le jour où elle avait crée un truc pareil.
« Montre-lui ce que je t'ai appris... »
Interloqué quand à la futur démonstration de la chose grisâtre, je descendais mon regard jusqu’au petit reptile. C’est ainsi que je vis la chose me faire un fuck avec l'aide de ses petites pattes… … … … OH MY FUCKING GOD!!! La classe! Cela faisait des années que j’essayais d’apprendre ce genre de tour à Bien Aimé, mais ce dernier (hormis se lécher le bout du nez constamment) n’avait rien voulu entendre. Pourtant je l’avais frappé, affamé, lapidé, enfermé, noyé et même pendu avec ma cravate ! Mais jusqu’à présent aucun fuck à l’horizon…j’en étais arrivé à penser que ces créatures étaient tout bonnement incapables de réaliser ce geste d’une grâce et d’un force inouïe ! Et là que vois je ? Un fuck !!! UN MIRACLE ! Et bien sûr alors que mon lézard aurait dû être ici pour en prendre de la graine, monsieur n’avait rien trouvé de mieux que de se prendre pour une fusée en passant par la fenêtre ! Non mais quel boulet! Au final je lâchais donc un petit sifflement admiratif, en oubliant que ce geste m’était dédié à la base. Vous croyez qu’on pouvait échanger nos lézards respectifs ?
« En gros, tu peux toujours crever. »
Néanmoins, cette phrase d’une douceur insoutenable fût suffisante pour me ramener au temps présent. Alors comme ça, sa seigneurie ne daignait point utiliser un balai ? (peut être qu’elle ne savait même pas comment cela fonctionnait…). Que lui avais je dis dans ce cas ci ? Que je le lui enfoncerai dans le cul, n’est ce pas ? Vous pensiez que j’avais dis ça juste pour l’aspect poétique de la chose ? Que nenni mes amours, vous allez avoir du spectacle !
« Je suppose que ça devait te faire étrangement envie pour que tu optes pour cette option… »
J’avais déclaré cela avec un ton saturé de malice et avais souligné le tout par un regard narquois. L’air de rien, j’étais maintenant arrivé vers les deux balais et les 4 sceaux d'eau qui attendaient notre bon vouloir pour être utilisés. Cependant, ma façon de procédé risquait d’étonner ces dignes représentants des accessoires de ménage ! C’est donc avec entrain que je quittais mes chaussures et les déposais sur le bureau du prof absent. Ensuite, je shootais dans les sceaux pour rependre leur contenu mousseux de partout. Bien sûr, pendant mon petit manège de pseudo monsieur propre, je n’avais pas lâché Toison de Jais du regard. Puis je me saisissais du balai et…me jetais sur elle ! Bien décidé à lui enfoncer le manche dans le cul ! Je le lui avais bien dit ! Elle ne s’en sert pas pour le ménage ? Bah j’allais lui boucher le fessier avec !!!!
Bref, c’est sûr un « Tu l’auras vouluuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu ! » que je me propulsais vers elle, en glissant sur le sol trempé et me vautrais sur sa personne, bien décidé à lui montrer que les balais pouvaient être de merveilleux suppositoires !
BOONUS LEZARDESQUE ! (parce que sans le savoir ces petites bestioles allaient bientôt être le point centrale d’un trafic clandestin !!!)
Bien Aimé en avait marre, mais genre vraiment marre. Que son maître le maltraite pour sa dernière baignade dans du café…il pouvait parvenir à le concevoir. Bien que franchement c’était vraiment prendre ombrage pour des futilités. En plus il était couru d’avance que ce con de Tobias se fasse attraper… il n’avait pas besoins de son merveilleux lézard pour louper ses objectifs douteux ! Cependant que cette gueuse ose le jeter comme un vulgaire chewing gum par la fenêtre…là C ETAIT LA GUERRE!!!! Heureusement pour Bien Aimé, pendant son vol plané, il avait tiré sur la petite ficelle qui contenait son parachute. En effet, à force de côtoyer son humain au caractère irascible, il avait paru vitale au petit reptile de doter son sac à dos d’une telle option. Histoire de continuer sa carrière de LMS plus longtemps. Car pour tout vous dire, Bien Aimé comptait bien finir sa vie dans un joli petit trou en compagnie d’une flopée de belles lézardes! Bref, tel un James Bond de temps moderne, la petite bestiole avait plané quelques secondes en l’air avant d’atterrir délicatement dans le jardin. Rangeant son assurance vie dans son sac, ne doutant pas de devoir très bientôt l’utiliser s’il voulait faire de vieux os, Bien Aimé se tourna en direction de la fenêtre de la salle de retenu. Les voix de son maître et de la salope lui parvenaient. Désireux de se venger de la garce qui n’avait aucun droit sûr lui, le reptile grimpa sur le mur avec l’aisance de son espèce pour la progression verticale.
Cependant, pendant son ascension, un fait vint s’imposer dans l’esprit du grimpeur. La Garce devait bien faire 97 fois sa taille. Et d’après ses calcule de probabilités sur ses chances de survie, il avait toutes les chances de finir écrasé sous la semelle de l’enflure. Au final, il allait devoir éviter la confrontation de face et opter pour des procéder plus vicieux...tout du moins c'était ce que son instinct de conservation lui soufflait! Alors qu’il arrivait enfin sur le bord de la fenêtre, il constata qu’un de ses congénères étaient présent en mode « dans deux secondes je ne serais plus qu’un point flou dans l’horizon ». Cependant, Bien Aimé fût subitement pétrifié. Son congénère (au physique douteux) sentait l’odeur de la Garce. Il était donc son LMS… Se disant qu’au final, sa haine pouvait parfaitement trouver un bon exécutoire sur le nouvel individu… BIEN AIME LUI SAUTA DESSUS ! TOUTES GRIFFES DEHORS !!! Hum attendez…mais il n’avait pas de griffes ! Choqué par le manque tragique de moyens agressifs en sa possession, il paniqua pendant sa course et oublia de freiner! Il tomba donc du haut de la fenêtre et s’écrasa sur la carrelage de la salle de retenu… hurlant un long « JE TE LE FERAIS PAYER CONNARDDDD ! » à l’autre lézard. Effectivement, sa chute ne pouvait être dû qu’à un odieux complot, l’autre avait dû mettre de l’huile sur le rebord de fenêtre ! Il était de mèche avec la grande Garce ! Sa gamelle ne pouvait nullement être la conséquence de son inexistante incompétence et de sa maladresse chronique ! NON NON NON!
Une chose était sûr…IL SE VENGERAIT !!!! MOUAHAHAHAHAHAHA...aïe. |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Mer 21 Aoû 2013 - 22:12 | |
Allez balaie esclave.
Je hausse un sourcil sceptique. N'aillant plus son lézard pour servir d'intermédiaire, le Roi du Lancer daigne enfin ouvrir sa boite à gâteau (je suis absolument CONTRE cet horrible aliment qu'est le camembert et absolument POUR les gâteaux, surtout s'ils sont au chocolat) pour produire quelques paroles ô combien évocatrices qui sont accueillies avec un dédain absolu par ma personne :
« Je suppose que ça devait te faire étrangement envie pour que tu optes pour cette option… »
Bah... Pas tellement non. Ce nouvel appendice particulièrement long ne serait pas vraiment pratique pour m'assoir, et encore moins pour évacuer la nourriture par voie naturelle. C'est donc avec un air profondément blasé que je l'observe, alors qu'il vient de retirer ses chaussures et s'amuse maintenant à renverser les deux sceaux d'un bon coup de pied. Il attrape un des deux balais et... fonce vers moi en glissant sur l'eau mousseuse (ça, c'est un truc à faire quand je me fais chier en colle, eau mousseuse, glissade, et lancer de lézard sur mousse !). Mais il croit quoi la tignasse brune ? Que je vais me laisser faire ? Et lorsqu'il se jette sur moi, propulsé par la mousse, il est accueilli par un merveilleux direct du droit dans sa gueule d'ange (parce qu'il faut bien avouer qu'il est vraiment canon, le Glisseur de Mousse). Je vais lui apprendre à me confondre avec une piste d'atterrissage moi ! Non mais oh ! Je me retrouve aussitôt écrasée par un poids non-plume et suffocant quelques peu, le repousse de toutes mes forces, prenant appuie sur le mur pour l'envoyer balader plus facilement. Je me relève rapidement, histoire d'être en bonne position de défense et lui balance un coup de pied renversé. Je ne me suis pas vraiment bagarrée au cour de ma vie (histoire de garder mon physique avantageux intact), mais bon, disons que coup de poing, coup de pied, c'est facile à faire quand même ! J'enlève mes chaussures à la vitesse de l'éclair (une habitude que j'ai prise quand je rentre dans ma cabane, si y'avait un concours de celui qui retire le plus vite ses godasses, ben je gagnerais à tous les coups !) et me jette sur lui, glissant sur le savon, en espérant le faire tomber. J'attrape le balais et tire fort dessus, tout en tentant de le déséquilibrer mais vu que je glisse, je n'ai pas vraiment d’appui sur le sol et j'ai bien du mal à avoir de la force...
Et du côté lézard... Au bord de sa fenêtre qui était décidément l'endroit le plus sûr de cette pièce, Krotdebik était en mode "au moindre geste suspect dans ma direction, tu ne me verras plus pendant plusieurs mois !" et observait maintenant les deux humains d'un air un peu blasé. Il ne connaissait pas la pétasse brune depuis longtemps, mais savait qu'il ne valait mieux pas la provoquer et bien lui obéir. Le grand brun était plutôt mal barré. Il entendit un sifflement de rage derrière lui. Il se retourna et vit à sa grande stupeur un de ses congénères lui sauter dessus avec la grâce de ce connard de Tartiflette lorsqu'il avait couru après sa maîtresse forcée. Faut dire qu'elle l'avait un peu provoqué quand même. La chaussure dans sa figure c'était de trop. Et ensuite, Krotdebik avait découvert ce qu'il y avait derrière les miroirs. Ben il trouvait ça absolument nul. Surtout que voir sa maîtresse sans "peau artificielle" sur elle ne lui avait absolument rien fait, il s'en foutait complètement. Il vit son agresseur rater absolument sa cible ainsi que son atterrissage, et s'écraser lamentablement sur le sol de la salle où se trouvait la pétasse brune. Il éclata de rire, se foutant de sa gueule avec entrain.
« JE TE LE FERAIS PAYER CONNARDDDD ! »
Genre c'était sa faute si ce lézard était incapable d'atterrir sur un rebord de fenêtre ! Il fit donc à son congénère ce qu'il avait été forcé d'apprendre. Comme avec l'humain à la gueule stupide de tout à l'heure, il leva une patte et organisa difficilement ses doigts reptiliens et réussit à n'en lever qu'un seul du milieu.
- Fuck ! Va t'faire foutre, sale p'tites pattes !
Cette insulte était l'une des plus fortes chez les LMS, car celui qui avait des petites pattes était forcément un des plus lent, et dans leur profession, celui qui était l'un des plus lents était forcément l'un des plus incompétents. Sur ce, histoire de lui faire payer, il se jeta du rebord de la fenêtre sur ce sale p'tites pattes de lézard à la con et lui balança un vigoureux coup de queue. Il allait gagner ce combat, foi de LMS ! Ce lézard allait regretter de l'avoir emmerdé !
Crédit: Neko-chan in Never Utopia |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Jeu 22 Aoû 2013 - 16:33 | | Propulsé par ma glissage sur l’eau savonneuse, je fus reçu par le poing de Toison de Jais…DANS MA DIVINE GUEULE! Elle se prend pour qui cette grognasse pour se permettre de ruiner un des miracles de la nature?! Malheureusement pour l’apprenti boxeuse, son geste (hérétique !) ne fût pas suffisant pour me stopper dans mon élan et c’est donc joyeusement que je me vautrais sur elle. Gesticulant au sol, nous nous relevions quelques instants plus tard pour nous faire face en gardant un équilibre précaire sur la surface glissante. Prêt, je constatais que Toison de Jais se la jouait à la mode Matrix en un coup de pied renversé. Manque de chance pour elle, je captais le mouvement et paraît son attaque avec mon avant bras. Néanmoins la jeune femme ne sembla pas se démonter car elle saisit l’une des extrémités de mon balai et tira dessus en une tentative pour me déséquilibrer. C’était dans des cas comme ça que je bénissais mon amour pour l’escalade qui m’avait permis de gagner de beaux muscles et surtout un sens de l’équilibre accru. Je résistais donc aux secousses en ne manquant pas de faire jouer ma grande taille dans la balance. Cependant, me rendant vite compte que tirer comme deux idiots sur le même objet nous faisais guère avancer, je lâchais le manche et me propulsais sur la demoiselle en quittant mon gant. Me jetant sur elle, je me contentais de lui foutre rapidement une claque et de laisser mon don faire le reste. Ce dernier prit cette occasion pour transférer l’impact du coup de poing sur le joli minois qui me tenait tête. Puis, peu désireux de rester désarmé, je partais en une longue glissade pour attraper l’autre balai.
Nouvellement armée, je reglissais (Yaouuuuuu chaud devant!) en face de Toison de Jais, prêt au combat. Nous étions comme deux jedi issu de Star Wars. Sauf que les superbes sabres lasers étaient remplacés par de vieux balais miteux et qu’aucun de nous deux se tapaient des fringues de clodos.
« Je t’avertis, c’est pas parce que t’as un utérus que je vais te ménager ! »
Oui je m’exprime toujours avec beaucoup de tact. Tout ça pour dire que le fait qu’elle soit une fille ne changeait absolument : j’étais pour l’égalité des sexes (en combat! Autrement elles sont toujours justes bonnes pour la cuisine et le ménage et encore…). C’est donc avec un air narquois que je la toisais, curieux de voir si elle allait prendre la poudre d’escampette ou pas. Entre nous, j’espérais qu’elle resterait, faire mumuse sur un sol mousseux avec des balais en mains était, de mon point de vue, une colle plutôt festive et rare dont il valait mieux profiter. De plus, quelque chose me disait que lorsqu’un professeur viendrait voir où nous en étions, cette pièce ressemblera à un véritable cataclysme. Ainsi la prochaine fois, je supposais que le corps enseignant mettrait un point d’honneur à éloigner tout liquide de notre présence… voir même certains objets dignes d’être détourné en arme de combat rapproché… Néanmoins nous n’en étions pas là!
Du côté des petits reptiles~
Bien Aimé n’avait pas rêvé, ce sale congénère (vous pouviez d’ailleurs enlever le « génère » du mot et conserver juste le « con » qui le définissait tout aussi bien) se foutait ouvertement de sa gueule? De quel droit se le permettait t’il? Le pire pour la petite créature, ce fût quand le traître à sa propre espèce lui fit un Fuck avec ses doigts. Ainsi, ce truc grisâtre n’avait même pas été capable de résister à son humain et s’était fait domestiqué en adoptant leurs insultes….TRAITRE A SON SAAAAAANG!!!! Comment pouvait-il dénaturer à ce point leur propre culture! VADE RETRO SATANA!
« Fuck ! Va t'faire foutre, sale p'tites pattes ! »
PARDON ?! Bien Aimé avait t’il bien entendu? Cette espèce de crotte de bique avait osée lui sorte THE insulte lézardesque? Là ce n’était plus la guerre… c’était le génocide !!!! Il allait rayer de la surface du globe ce sale con! En plus il s’était bien regardé? Bien Aimé était persuadé d’en avoir des trois fois plus longues que les siennes! Bref, alors qu’il se faisait ce genre de réflexion, il vit l’hypocrite de service chuter également (pfffff ! Ce con n’était même pas capable de ne pas tomber dans son propre piège !!! MOUHAHAHAHAHAHA !) Visiblement honteux d’avoir été vu par notre ami à la peau orangé, le truc en forme d’oursin moisi lui balança un coup de queue que Bien Aimé se prit en pleine trogne. Scandalisé par tant de violence, le petit reptile resta abasourdi mais se reprit rapidement en se léchant le bout du nez rageusement. Au passage, il constatait que son maître venait de se prendre un coup de poing dans la gueule… bien fait pour cet abruti! En espérant que la Garce lui avait pété le pif! C’est donc grâce à cet acte que Laara remonta inconsciemment dans l’estime du petit lézard. Néanmoins ce dernier reporta son esprit sur son propre combat, jaugeant son adversaire. Puis se disant qu’au final, il verrait bien en temps voulu, il se jeta sur son vis-à-vis en lui mordant le museau avec une hargne et une rage rare. CA ALLAIT SAIGNEEEEEEEEEER !!!!
Euh…c’était pas son humain qui faisait du surf sur le carrelage ? What the fuck? Quoi que depuis le temps…Bien Aimé se disait qu’il ne valait mieux pas se poser de question. Tobias était détraqué, ce genre de comportement ne devrait même plus l’étonner. Un jour il se promettait de traîner le bipède dans un centre d’humain en blouse blanche. Ne serait ce que pour épargner à ce monde un cinglé dans son genre…Quoi que, pouvait t’on se montrer aussi cruel en imposant une telle plaie à une équipe médicale ? |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Ven 23 Aoû 2013 - 14:40 | |
Yaahaaaa 'tention j'arrive !
Nous étions tous les deux accrochés au balais comme des imbéciles. Mais Touffe Brune pouvait toujours crever, que je ne lâcherai pas cet outil de torture. Cela dût se voir dans mes yeux, car le Roi du Lancer le lâcha et me sauta de nouveau dessus. Je me mis en position de défense, histoire de parer l'éventuel dégât collatéral qu'il allait tenter de me causer mais je ne reçus qu'une simple claque. Je fus tellement surprise que je ne l'a bloquai même pas ! Mais en fait, il se battait comme une fillette ! J'ouvrais la bouche pour me foutre de sa gueule mais n'en eu pas le temps, car une désagréable et puissante douleur m'atteignit à la figure, exactement à l'endroit où j'avais frappé l'esclave récalcitrant ! Surprise, je me cambrai en arrière, me tenant la joue en fixant mon adversaire, assez choquée. La fillette s'enfuit par la suite à l'autre bout de la patinoire. Je pus donc en profiter pour récupérer. Mais je ne pus m'empêcher de sourire. Il flippait, bien sûr. Touffe Brune avait besoin d'une arme, parce que vu comment il se battait, il était plutôt mal barré. Et pourtant, j'avais encore mal. Mais ce n'était pas lui, sa claque ne pouvait pas avoir causée une douleur aussi forte ! C'était évident que c'était son pouvoir bien sûr. Mais même si son don le rendait "musclor" (cela dit, vu sa force de frappe de tout à l'heure, ça lui avait pas vraiment servi à grand chose), je l'avais senti ! Il n'avait pas tapé au même endroit que moi ! Donc, c'était autre chose. Il se saisit du balais et retourna vers moi en glissant. Inutile de te voiler la face maintenant, j'ai très bien compris que tu ne sais pas te battre ! Et ce fut lorsqu'il me sortit ça que je ne pus pas m'en empêcher, j'éclatai de rire.
« Je t’avertis, c’est pas parce que t’as un utérus que je vais te ménager ! »
Genre, lui, qui ne cogne pas plus fort qu'une gosse de trois ans, n'allait pas me ménager ? Oh la la, j'ai peur. Un sourire ironique se ramena sur mes lèvres.
- Oh la la, terrifiant. Tu frappe comme une fillette et je suis censée flipper ? dis-je avec un air absolument en accord avec mon sourire. Je poursuivis en imitant son ton et ses paroles : Fais gaffe, c'est pas parce que t'as des couilles que je vais pas taper dedans ! D'ailleurs, vu tes coups, j'en suis pas vraiment sûre que t'en ais hein...
Sourire narquois. Passage de main sur le bleu en formation de ma joue. Salaud. Ton don t'aide bien, vu ton expérience nulle dans le domaine de la baston. J'vais t'le faire payer. Je brandis mon balais tout pourri à la manière d'une épée et le menaçai avec. Je commençai à donner des coups, telle une escrimeuse expérimentée (ce que je ne suis absolument pas, moi c'est les sports d'endurance et faire le funambule sur des câbles tendus au-dessus du vide, mais lui, il le sait pas). Je commençais à reculer, jusqu'au bureau où Touffe Brune avait auparavant posées ses godasses. J'en saisi une d'une main et lui envoyai dessus. La deuxième ne tarda pas à rejoindre la première, je ne pouvais pas les séparer de leur propriétaire tout de même ! Donc c'est avec une grande bonté que je les lui envoyai sur la gueule, et que je pris appui sur le bureau pour lui foncer dessus en patinant sur la mousse (yahaaaaa 'tention j'arriiiive !). Arrivée devant lui, et aillant pris de la vitesse, je lui donnai un bon gros coup de balais dans la gueule (en espérant qu'il n'allait pas le bloquer) avant de larguer le balais et de me jeter sur lui, tentant de le faire tomber, juste avant de lui foutre un coup identique à l'autre qui allait LUI RESTER DESSUS BORDEL !
Krotdebik et Bien Aimé : mode Warrior. Krotdebik constata que son adversaire avait un problème avec son nez, car il n'arrêtait pas de se le lécher. Il devait sûrement essayer d'imiter cette bestiole cheloue de Stitch*, mais pour se curer le nez, c'était pas vraiment gagné, il s'y prenait très mal. Il allait falloir qu'il lui apprenne aussi. Pff, ce qu'il était con celui-là ! D'ailleurs, l'autre lui sauta dessus et se mit en quête de lui arracher le pif. Nan mais oh ! Il était jaloux du sien parce qu'il était plus beau l'autre abruti ou quoi ? Nan mais il allait voir de quoi se chauffait Krotdebik ! Le LMS lui laboura le ventre avec ses pattes (ce qu'il donnerait pour avoir des griffes !) et le repoussa de toutes ses petites forces. Il lui mordit une patte et chercha à atteindre le cou de son adversaire pour le lui bouffer. MUAHAHAHAHA ! IL ALLAIT GAGNER CE COMBAT !
Il aperçut brièvement sur sa gauche les deux humains qui commençaient à patiner joyeusement sur la mousse en brandissant deux bout de bois avec des poils au bout. Il secoua la tête d'un air blasé. Les humains avaient des pratiques bien étranges, et sa maîtresse était déjà assez spéciale. Le garçon ne devait pas être mieux vu l’enthousiasme qu'il avait à déraper sur le carrelage trempé et mousseux. Il se demanda si lui pouvait aussi glisser là-dessus mais préféra s'abstenir d'essayage pour le moment, étant donné que les deux humains allaient un peu partout sur la grosse flaque. Le lézard ne voulait pas risquer de se faire accidentellement écraser. Ce serait dommage pour sa carrière de LMS, qui en avait déjà pris un sérieux coup lorsqu'il avait été attribué à la tarée sur patte qui n'avait visiblement par compris que Krotdebik n'était censé lui servir uniquement comme messager, pas pour insulter ses camarades ! Même s'il avait tout de même assez apprécié pouvoir faire ce geste génial à ce con de cascadeur amateur.
(*Lilo & Stitch, dessin animé... Hrm... Vois mes références par rapport aux tiennes. XDD) Crédit: Neko-chan in Never Utopia |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Ven 23 Aoû 2013 - 19:46 | | « Oh la la, terrifiant. Tu frappe comme une fillette et je suis censée flipper ? »
Frapper comme une fille ? MOI frapper comme une fille? ABSOLUMENT PAS ! Mais quand est ce que j’avais dit que le but était de lui péter la gueule? Je m’étais contenté de lui renvoyer ses dégâts de la façon la plus soft possible. Mon objectif était simple : Lui ENFONCER le manche du balai dans le cul. Rien de plus. Si j’avais vraiment voulu lui faire mal, croyez-moi, qu’elle l’aurait senti passer. Sans me vanter, je mesurais tout de même 1m94 et pratiquais régulièrement un sport des plus dangereux. Enfin dangereux… techniquement il n’était pas censé l’être avec l’attirail de sécurité. Disons que je me plaisais à le faire sans ce bordel encombrant (et abominablement couteux !!!). D’où le fait que l’on pouvait me retrouver chaque soir à faire le singe sur les murs de l’école à cinq étages au dessus du vide et sans la moindre petite ficelle pour me retenir en cas de mauvais pas. Alors avec les muscles que je me tapais, un bon coup dans son pif, et paf ! Bah un pif de travers… Mais comme dit précédemment Toison de Jais était vachement bien foutue et je la préférais dans mon plumard qu’à l’hosto. Néanmoins cette dernière semblait décidée que nous jouions à la grosse bagarre… snif.
« Fais gaffe, c'est pas parce que t'as des couilles que je vais pas taper dedans! »
AH NON ! Ca j’y tiens! Remarquez, si je me décidais de lui faire passer ma douleur dans ce domaine…elle risquerait d’être surprise. Les gros bobos aux ovaires ne devaient pas être super commun en plein combat !
« D'ailleurs, vu tes coups, j'en suis pas vraiment sûre que t'en ais hein... »
C’étais justement parce que mes couilles étaient trop présentes que je rechignais à la défigurer… Mais si elle tenait à ce point que je lui bourre la tronche. Qui étais-je pour oser contrarier Toison de Jais? De toute manière, il me suffisait par la suite de faire passer son paquet de douleur à un A que je croiserais dans les couloirs. Mine de rien, il était vachement pratique mon don, pour peu que comme moi, les regrets et les remords ne fassent pas partie du mode d’emploie ! Bref, je constatais que Miss Grande Gueule se passait une main sur le bleu qui se formait vicieusement sur sa joue. Bien fait pour elle. On ne s’en prend pas au visage d’un dieu. Elle n’était autorisé qu’à le couvrir de baiser et de caresses. Toute autre action étant proscrite. Néanmoins, mon adversaire semblait décidé à nuire à mon corps d’apollon. Brandissant son arme, elle enchaina les coups. Je répondais donc de la même façon. Nous étions donc tel deux escrimeurs au talent pitoyable qui tentaient de ne pas se viander pathétiquement dans la mousse. Cependant, je devais admettre que je ne parvenais pas à faire sortir mon sourire amusé de mon visage, qui au fur et à mesure prenait des allures enfantines. Je m’éclatais tout simplement. Après tout je n’avais que 18 ans et faire le con sur une surface glissante en faisant le remake d’un combat de gladiateur m’amusait grandement. La jeune femme qui me faisait face me rappelait Amber, ma petite sœur. Au final, je ne parvenais pas à prendre la hargne au sérieux. Trouvant plutôt Toison de Jais toute choupinette avec son désir de m’exploser la pastèque…chose qu’elle ne parviendra jamais à faire BIEN EVIDEMMENT !
Reculant, mon adversaire fini par buter contre le bureau où j’avais laissé mes pompes. Visiblement, j’avais donné goût au lancer de projectile, car Dark Vador décida de me les projeter à la tronche. Vu la taille de mes pompes, je réussis à faire valser la secondes ailleurs en l’interceptant avec mes avants bras, bien que la première fit mouche en me tapant le front. Puis après un autre échange de coup de balai, l’apprentie Warrior lâcha son arme et se jetait sur moi. Je reçu un autre coup dans le visage que je rendais en projetant ma tête contre la sienne. Front contre front, l’impact ne me fit pas du bien, néanmoins une fois encore mon don ramena sa science : Le bleu à la tête et le nouveau coup de poing partirent sur l’anatomie féminine. Puis bien décidé à la calmer, je lui crochetais les jambes pour la faire tomber… sur un miroir ?… Qu’est ce qu’un miroir foutait par terre ?
Là fallait demander aux deux lézards…
Scandalisé, Bien Aimé sentit l’autre reptile lui labourer le ventre avec ses pattes avant que l’affreux CONgénère ne le propulse avec force. Ayant autant de muscle qu’un moustique, Bien Aimé se vautra lamentablement quelques centimètres plus loin (et oui, nous sommes à échelle lézardesque ! C’est petit ces machins !). Retenant ses larmes de douleur, Bien Aimé tentait de garder sa face de warrior sans grand succès. Son regard larmoyant parlait pour lui… EN PLUS IL ETAIT RETOMBE MECHAMMENT SUR UNE PATTE ! MERDE A LA FIN! CA FAIT MALEUUUUH ! Absolument décidé de se venger, le petit reptile orangé se jeta sur la mousse pour glisser tel une fusée jusqu’au miroir. En effet, Bien Aimé avait visionné beaucoup de film d’horreur (à cause de son maître qui adorait ce genre de truc) et savait qu’un miroir cassé pouvait donner bon nombre d’armes tranchantes grâce aux éclats de verre. Finissant sa glissade devant l’objet, la petite créature grimpa au mur et poussa de toutes ses forces pour faire tomber la chose. Au bout 38 ème essaies (oui c’est un persévérant), il parvint à faire tomber le miroir. Néanmoins, Bien Aimé avait oublié un petit truc. C’était de regarder en bas. En effet, une paire de chaussure venait d’être projetée et, rebondissant jusqu’à lui, stationnaient maintenant sous le mur, servant ainsi de matelas d’atterrissage à l’objet réfléchissant. Dépité que la grande Garce parvienne à combattre son humain ET pourrir son propre combat, il eu un regard hargneux et tira sur l’objet avec sa bouche pour le trainer sur le sol mousseux. Bien décidé à le porter jusqu'au rebord de la fenêtre pour le lâcher de la haut ET enfin pouvoir avoir une arme tranchante et réductrice de patte de lézard gris ! Mais ce fût au moment où il passait un peu trop près du combat qu’une grosse masse chevelu (la Garce pour être plus précis) s’approcha dangereusement de son miroir… COOL ! Elle allait lui pré couper des morceaux avec son postérieur!!! Gentille Salope♥ |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Ven 23 Aoû 2013 - 21:54 | |
Allez balaie esclave.
QAutant vous dire que je fus absolument dégoûtée lorsqu'il intercepta la première godasse qui alla s'écraser plus loin. Mais mon sourire fit trois fois le tour de mon visage lorsque la seconde fit un magnifique atterrissage sur sa gueule d'ange... Bref donc, je lui sautai dessus, histoire de le foutre à terre et d'être donc dans une position de force, mais le Touffe Brune avait décidé qu'il en avait marre d'être intelligent, et cogna sa tête contre la mienne, réduisant à néant le peu de neurone qui lui restait, et m'en enleva plusieurs. Non seulement j'eus super mal au front, mais une seconde vague de douleur m'atteignit, si bien que je me tins la tête en grimaçant, et que, par conséquent, je ne pus donc pas réagir lorsque mes jambes se dérobèrent sous moi (pas leur faute, c'est l'autre qui leur a foutu un coup dedant !) et me firent tomber sur une chose abominable, sur la seule chose qui n'aurait jamais dû être ici mais qui y était : UN MIROIR ! UNE CREATION DU MAL ! C'est en hurlant un "NAAAAAAAAAOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!" que je m'accrochai à mon agresseur avec l'énergie du désespoir pour éviter l'inévitable. Nous fûmes aspirés ensemble par notre propre reflet avec un énorme BLOUP !, et la dernière chose que je vis fut la tête absolument dégoûté d'un lézard... Celui que j'avais balancé par la fenêtre.
Noir. Noir. Noir. Lumière. Arc-en-ciel. Noir. Noir. Lumière violette.
La seule chose qui me fit vraiment plaisir, ce fut mon atterrissage. Pour une des rares fois, je ne m'écrasai pas par terre. Je tombais sur mon agresseur. Car la seule chose qui est vraiment cool avec les miroirs, c'est que c'est complètement à l'envers. Ainsi, lorsque nous sommes tombés, il était au-dessus de moi. Ce qui fait que maintenant, il est en dessous. Pure logique. De plus, le miroir était par terre, ce qui fit que nous tombâmes du plafond, et non du mur, comme très souvent.
J'atterris donc violemment sur mon nouveau matelas qui était complètement nu avec un "outch !" qui chassa tout l'air de mes poumons. Ah, voilà la véritable partie de mon pouvoir, le côté sombre, le côté du mal, fin voilà, le truc qu'est pas cool, c'est que je me retrouve constamment à poil. Pas moyen d'y échapper, seule la matière organique passe, le reste reste du côté réel de la force.* Nous étions donc l'un sur l'autre, nus comme des vers. Non pas que cela me gêne (bah, il est confortable, et perso, les contacts physiques de cette sorte là ne me dérange pas plus que ça... bien au contraire, je suis POUR !), mon adversaire était un pur bg, et j'étais bien contente d'être au-dessus que en dessous, car il avait pas vraiment l'air léger. Et puis je ne sentais plus rien. Je veux dire, aucune douleur. Par contre, Touffe Brune avait deux bleus au visage. Muahahaha, je sais pas comment j'ai fait, mais je lui ai tout refoutu dessus ! Et paf ! Bien fait pour toi ! Biahahaha ! C'est donc avec une grande satisfaction que je restais perchée en haut de la pyramide Touffeuhbrunesque, ne comptant pas du tout en bouger. Fuck l'Autre Côté ! Pour une fois qu'il m'a servi ! Je ne pus m'empêcher de lâcher :
- Et peuh ! Fallait pas me faire tomber !
Et comme une gamine qui était contente d'avoir chopé le ponpon qui pendouillait dans le manège,je le dévisageai (ouaaah, je suis bien contente de ne pas avoir ces bleus sur moi tiens !) avec narquoiserie (oui, ça exiiiisteuh !) et fierté ! MUAHAHAHAHA !
(*Mes hommages... 8D)
Un miroir... Plus d'humain. COUR DE RECRE LIIIIIBRE ! Krotdebik s'était vraiment demandé ce que faisait l'autre, jusqu'à-ce que celui-ci face tomber le miroir. Le LMS aillant une flemme absolue d'aller le chercher en haut, il avait attendu que l'apprenti bastonneur ait terminé son occupation cheloue. Son attaquant n'avait pas l'air heureux lorsque la godasse qu'il y avait en-dessous avait gêné la chute du miroir. Parfait, tout ce qui rendait l'autre furieux était marrant pour Krotdebik. Et puis son humaine était tombée sur le miroir, à cause de la touffe brune. L'autre avait l'air content lorsqu'il vit sa chute... Et puis le don de sa maîtresse se manifesta - contre son gré, vu le cri qu'elle poussa - et elle disparut, purement et simplement, avec l'autre humain. Alors évidement, Krotdebik se fouta de nouveau de la gueule du LMS, qui tirait vraiment une tronche de déterré. Il était si dégoûté ! Si surpris ! Oh la la, Krotdebik n'avait pas autant ri depuis longtemps, faut dire qu'avec sa maîtresse qui le torturait, c'est sûr que des rigolades, c'était rare, sauf lorsque celle-ci se cassait la gueule ou était happée par son reflet au moment où elle s'y attendait le moins. Bref, il se moquait avec joie de son ennemi, puis, constatant que la récré était maintenant pour eux tout seul, imita les deux humains et essaya de glisser sur ce liquide bizarre... Et réussit ! Il fonça donc sur son adversaire, qui fut propulsé sur la mousse. Krotdebik commença à faire des tours autour de lui... Jusqu'à-ce qu'il se rétame lamentablement sur le carrelage, ne controlant pas vraiment ses déplacements. Il fut incapable de se relever sur ses pattes tellement c'était glissant. Et regarda la distance qui le séparait de l'autre rageusement. Il commença à ramper sur le sol humide mais n'avança pas d'un poil. C'était tellement glissant qu'il était incapable de bouger ! Krotdebik était donc bel et bien bloqué ! ] Crédit: Neko-chan in Never Utopia |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Sam 24 Aoû 2013 - 10:36 | | C’est avec un regard sceptique en direction de Bien Aimé que je regardais la chute de Toison de Jais. J’aurai donné beaucoup pour savoir POURQUOI mon lézard avait amené ce miroir ici… Néanmoins mon attention revint précipitamment sur la déséquilibré (vous pouvez prendre les deux sens du terme : physique et psychique). En effet, la jeune femme ne trouva rien de mieux que de m’emmener dans sa chute ! Elle ne pouvait pas se viander toute seule comme une grande ? Bien sûr que non ! Fallait la materner dans le domaine ! Non mais je vous jure ! Et c’est moi la fillette après ? PFEU ! Le pire c’est que la Grande Gueule n’était même pas foutu de vautrer en silence ! Fallait qu’elle me nique les tympans avec son « naaaaaaaaaaon ! », comme si le fait qu’elle refuse en bloque l’évènement allait le faire disparaitre! Fallait arrêter le délire et surtout... LÂCHER LE DEVANT DE MA VESTE !!!! Néanmoins au moment où la chieuse allait percuter la surface en verre…elle passa à travers. Je bénissais le fait qu’elle soit concentrée sur sa chute car elle ne vit pas ma tronche d’ahurie. C’était quoi ce bordel ? Alors vous n’imaginez même pas ma face quand JE vis que JE passais MOI AUSSI à travers ce machin. Bref, je disparu donc en lâchant un dernier « LÂCHE MOI CONNAAAAAAAAAASSE ! ». Au cas où elle daignerait obéir. Malheureusement je ne conservais guère d’illusions sur le sujet. Néanmoins, je l’avais dit pour la beauté du geste. (Oui une insulte c’est beau ! ET JE VOUS EMMERDE !).
Là vous devez vous demander ce qu’il arrive quand on se fait engloutir par un miroir. Bah pas grand-chose. En faite, il fait tout noir. Après un con prend un malin plaisir à te balancer de la lumière en pleine poire, du coup comme t’avais l’habitude de sombre bah forcement tu grimaces. Ensuite tu te tapes un arc en ciel. Genre Nyan Cat a fait la déco. Puis re noir et enfin une lumière violette douteuse. Sceptique, je me demande si c’était fini. Mais quand je me casse la gueule sur une surface dur et que je sens l’air s’expulser de mes poumons, je me dis que je m’en fou. PARCE QUE J AI TROP MAL !!! Je préférais les flachouillages avec les lumières! Bref, suite à l’impact, des petits points dansaient dans mon champ de vision. Malheureusement pour moi, je n’avais pas fini de souffrir car un MAMMOUTH me tomba dessus…enfin plutôt Toison de Jais. Bref, allongé sur le dos et le corps douloureux, je prenais le temps de reprendre mes esprits.
« Et peuh ! Fallait pas me faire tomber ! »
Sa voix était diffuse et je me demandais si le choc n’avait pas été un peu trop rude pour moi. Décidé à comprendre un peu mieux ce qui se passait, je constatais que mammouth était assis sur moi…en mode naturiste. Euh… mon cerveau se déconnecta à la vue de ses seins impudiquement exposés. Au final, je ne savais plus trop si j’étais vraiment à plaindre…Mon regard descendit plus bas où je vis l’absence de culotte et donc ce qui se cachait habituellement sous ce genre de petite lingerie. Je regardais. Regardais encore. Regardais toujours. Puis, vu que mon cerveau aimait certes les belles vues mais appréciait guère l’inconfort, il me fit comprendre que j’avais étrangement froid. Pourquoi j’avais froid ? Un rapide regard sur mon corps m’appris que j’étais à poil. … … … Je peux savoir ce que je foutais à poil ? Au passage je ne manquais pas de voir que Mammouth naturiste ne voyait aucun mal à rester assis sur moi. Vu que nous étions tout les deux nus, je constatais que mon don n’avait rien trouvé de mieux que de me renvoyer le contenue des plaies de la jeune femme. Ma perte de concentration m’avait fait défaut. Décidé à me sentir vachement mieux et à faire fermer le clapet de la chieuse, j’actionnais mon don en sens inverse et lui renvoyais le tout : Le coup de la godasse, les impacts des deux poings, le coup de boule au front et enfin les deux chocs comprenant celui avec le sol et avec son corps. Un délicat cadeau que je lui bourrais dans le corps sans le moindre scrupule. Profitant du fait qu’elle soit sonnée par mon petit présent, je la poussais sur le côté pour la dégager et me relevais sans honte. De toute façon pourquoi se sentir gêné? J’étais beau comme un dieu ! Je le savais, pas de quoi cacher une quelconque partie, toutes me rendaient fières ! Parfaitement TOUTES ! Bref, une fois debout, je cherchais du regard mes fringues (parce que j’avais froid) mais je fus forcé de constater qu’ils n’étaient nulle part…
«Euh…c’est le paradis des naturistes ici ? »
Du côté de nos amis Warriors non bipède.
Ce fût un choc pour Bien Aimé. En effet, la Connasse n’avait nullement pré coupé ses morceaux de miroir avec son gros postérieur ! Elle s’était contentée de passer à travers! Bien trop en colère pour daigner s’étonner sur un tel tour de force, le petit lézard ne pu que constater que non seulement la gueuse avait failli à sa tâche mais qu’en plus elle avait laissé un tas de fringue sur la surface du miroir….CE QUI LE RENDAIT BEAUCOUP PLUS LOURD !!! Le seul aspect positif dans l’histoire, c’était que Tobias avait été également entrainé dans le machin et que donc Bien Aimé bénéficiait maintenant de magnifiques vacances. Néanmoins, un rire odieux ramena le petit LMS au temps présent. En effet, l’autre con se foutait ouvertement de sa gueule… C ETAIT LA GUERRE !!! Bref alors que Bien Aimé allait sortir son cri de rage, il vit son CONgénère se jeter sur le terrain glissant. Se mettant en place pour le recevoir, le reptile orangé se rendit compte que son effort ne fût nullement nécessaire car l’autre, après quelques petites fanfaronnades, se vautra magistralement.
« HAHHAHAHAHAHHAHAHA CE BOUUUUUUUUUULET !!! PAUVRE PETITES PATTES! »
Le meilleur fût bien sûr quand la mocheté grisâtre fut dans la complète incapacité de se relever. Ce con glissait et même en rampant comme une limace, rien n’y faisait! Le lézard orangé était donc mort de rire, il l’était tellement qu’il s’était roulé sur le tas de fringue. Incapable de penser à autre chose qu’au spectacle ridicule que lui offrait l’autre. C’était d’un pathétique! Néanmoins, étant un génie hors pair, Bien Aimé savait reconnaitre une occasion quand il en voyait une ! L’autre était donc immobilisé ! C’était le moment d’agir! Pas découragé, le petit reptile de Tobias, sortie la masse de fringue du miroir en les trainants par la bouche, jusqu'à ce que son objet si durement décroché fut de nouveau délesté de tout poids supplémentaire autre que le sien. Après quoi Bien Aimé s’éloigna pour sortir de la mer mousseuse. Prenant son élan, il se mit à courir en direction du miroir. Une fois de retour sur le terrain glissant, il prit de la vitesse jusqu'à ce qu’il percute le miroir et entraine ce dernier dans sa trajectoire qui s’avérait être un certain Congénère, plus con que génère. Accroché à l’objet et les cheveux…oups pas de cheveux…hum…la langue au vent, il jubila en voyant son adversaire approcher à vitesse grand V. (bien que dans les faits c’était plutôt lui qui avançait trop vite vers l’autre !)
Ce fut donc avec un « DANS TA GUEUUUUUULE, COOOOOOONNAAAAAAAAAARD ! » que Bien Aimé le percuta avec le miroir! Un grand sourire de psychopathe accroché aux lèvres ! |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Dim 25 Aoû 2013 - 14:29 | |
Allez balaie esclave.
Toute contente de dominer Touffe Brune, je constatai que la vue de son corps nu ne me déplaisait pas, et je ne me privais pas pour regarder, même si assise sur lui n'était pas la position des plus adéquate. Je ne fus donc absolument pas prête à recevoir autant de coups et de chocs sur mon pauvre corps, qui n'en fut pas des plus heureux et ne se privait pas de me le faire remarquer. Mon cerveau n'était pas du tout préparé à recevoir autant de signaux d'un coup, et exprima sa frustration par une puissante vague de douleur intense qui se propagea dans tout mon corps. Je ne m'aperçus pas tout de suite qu'il m'avait balancé sur le côté et s'était relevé, trop occupée à retenir le cri qui menaçait de dépasser mes lèvres que je maintenais closes avec l'énergie du désespoir. Je ne lui montrerai pas que je souffre, ce serait trop lui faire plaisir. Heureusement pour mon honneur, que je réussis à maintenir sauf, mon cerveau avait décidé de faire fonctionner les neurones qu'il possédait et daignait enfin stopper cette souffrance, et enclencher le programme de "constatation des dommages collatéraux" et je me rendis compte qu'une nouvelle fois, j'avais le total des blessures que JE LUI avais infligé, et que lui n'avait plus aucun bleu sur la figure. Je soupirai longuement, ce pensionnat abritait des gamins aux pouvoirs de merde, autant que des BG avec des pouvoirs qui font chier le monde. Enfin... Le monde, j'en ai rien à foutre. Disons des pouvoirs qui me font chier, moi. Je fixai donc obstinément Touffe Brune avec un regard plus noir que noir. Il s'était relevé (là, c'était plus simple de voir ce que je voulais voir) et regardait autour de lui. Bienvenue de l'Autre Côté, mon pote. Enfin... "Mon pote". Façon de parler hein.
« Euh…c’est le paradis des naturistes ici ? »
Je ricanai franchement. Ce n'était pas le sien en tout cas. Je pouvais parfaitement choisir de le laisser bloqué ici, et de repartir seule dans le monde réel. Ce serait dommage admettez, il était vraiment beau, mais de toutes façons, je pourrai venir le chercher quand je voudrais... Si je ne l'oubliais pas. Il pourrait tout aussi bien crever de faim. Je retrouverais juste son corps lorsque je reviendrais... Une telle perspective me répugna (yerk, imaginez : je tombe du plafond ou d'un mur sur son corps nu et sans vie... heurk !), mais lui ne le savait pas. Et je savais déjà comment retirer ces bosses de mon corps, ainsi que l'élancement que j'éprouvais au niveau du front. Un sourire purement diabolique s'étira sur mes lèvres et je me relevai, m'appuyant contre le mur de la manière la plus nonchalante qui soit, n'aillant aucune gêne à dévoiler mon corps nu, car celui-ci était magnifique en tout point, et je le savais parfaitement.
- Pas dans le tien c'est sûr. Je le laissais s'interroger sur le pourquoi, puis je continuai, mon sourire s'agrandissant : Si je ne perds pas immédiatement mes bleus, tu restes coincé ici jusqu'à-ce que j'en décide autrement.
Il s'agissait bien évidement d'un odieux chantage, mais la douleur que je ressentais aux joues et au front l'était tout autant. Je ne ressentais bien évidement aucune culpabilité, ces coups étaient à la base destiné à Touffe Brune, pas à moi ! Je lui adressai donc un regard narquois, mon éternel sourire ne quittant pas un seul instant mes lèvres qui se fermèrent, attendant la réponse de mon nouveau matelas.
Mais que va-t-il advenir de notre cher Krotdebik ?
Krotdebik fit tout pour ne pas paraître piteux. Il tenta même de faire semblant de s'être couché par terre exprès, et de faire "bronzette" (ce qu'il faisait habituellement lorsque sa maîtresse n'avait pas besoin de lui pour passer le temps, car Krotdebik voulait être le premier lézard à avoir bronzé, et il allait réussir, même s'il devait passer toute sa vie à exposer son petit ventre vert clair !!), mais le « HAHHAHAHAHAHHAHAHA CE BOUUUUUUUUUULET !!! PAUVRE PETITES PATTES! » ruina tout ses efforts, et il se retourna... Enfin tenta de se retourner, car la mousse l'empêcher de faire le moindre mouvement. Il était donc bloqué sur le dos ! Le pauvre lézard vit donc, avec la tête à l'envers, l'autre faire ses odieux méfaits, à savoir dégager le miroir des fringues de l'humaine, puis sauter dessus et foncer vers lui à une vitesse beaucoup trop rapide au goût de Krotdebik. Le LMS gesticula dans tous les sens, mais ne réussit pas à se retourner et il se prit le missile de plein fouet, en entendant vaguement un « DANS TA GUEUUUUUULE, COOOOOOONNAAAAAAAAAARD ! ». Krotdebik fut propulsé à l'autre bout de la flaque, glissant sur la mousse malgré ses pics qui le freinaient, et perdit connaissance.
Lorsqu'il se réveilla, le sol tangua sous lui. Il sentait l'odeur du savon, il était donc toujours dans la salle de tout à l'heure. Il ouvrit ses yeux pleins de larmes de honte et de rage et vit le plafond, il était donc toujours sur le dos. Il bougea la tête de quelques centimètres et vit sur le côté le miroir abandonné. Il bougea ses pattes et sentit le carrelage sec sous celles-ci. Le lézard était de retour sur un sol acceptable. Krotdebik prit son courage à deux pattes et se retourna difficilement. Aucune trace de ce sale petites pattes. La salle était déserte. Les vêtements de sa maîtresse et de l'autre humain trainait toujours au milieu de la flaque de mousse, les balais juste à côté. Krotdebik fit quelque pas, et constatant qu'il avait de nouveau le contrôle de ses déplacements, courut jusqu'à la fenêtre encore ouverte et regarda dehors en hurlant un long :
- JE TE RETROUVERAIS ET TE LE FERAIS PAYER SALAUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUD !!!!!!!!!!
N'aillant pas une cage thoracique très vaste, il faillit crever de manque d'air, mais reprit une longue respiration de justesse et resta plusieurs secondes immobile, en observant minutieusement l'extérieur, à la recherche de cet enculé. Puis la porte de la salle s'ouvrit derrière lui, et il entendit une exclamation de surprise typique d'un humain. Il ne prit même pas le temps de se retourner et fila le long du mur, histoire de ne pas s'attirer des ennuies supplémentaires. Krotdebik allait retrouver cet enflure et lui ferait le double de ce qu'il lui avait fait subir. Il se le promit. Foi de LMS, ce connard ne lui échapperait pas !
Crédit: Neko-chan in Never Utopia |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Lun 26 Aoû 2013 - 9:07 | | Suite à ma question, j’entendis Toison de Jais ricaner. Visiblement non, ici ce n’était pas le paradis des naturistes… dommage parce que ça y ressemblait vachement! Bref, notre amie la hyène se redressa tant bien que mal pour s’appuyer contre un des murs. Comme si je ne savais pas qu’elle se maintenait contre lui juste pour tenir debout à cause de mon petit cadeau. Ma vis-à-vis ne trompait personne avec sa pseudo attitude nonchalante. Néanmoins je ne cachais pas que cela était amusant à voir. Rebref, je souriais avec mon fameux petit air narquois qui était représentatif de mon expression faciale par défaut.
« Pas dans le tien c'est sûr. »
Hein? Elle pouvait pas me causer de façon cohérente celle là? Pas le mien de quoi ? De paradis ? Merci, je l’avais constaté. L’atterrissage avait amplement suffit à me dissuader de penser que ce trou miteux était un repère idyllique. Trop de douleur et trop de flachouillage pour moi. Je préférais nettement mieux les coins douillets et la tranquillité de mes rétines au combien délicates (et magnifiques!).
« Si je ne perds pas immédiatement mes bleus,»
Elle va quoi ? Tenter de m’étouffer avec ses seins ? Bouh j’ai peur. Me pendre avec ses cheveux? La bonne blague. Me tabasser jusqu’à ce que mort s’en suive? Pff, suffisait qu’elle pose la moindre petite parcelle de son corps sur le mien pour qu’elle se ramasse tous ses crimes. Héhé~
« Tu restes coincé ici jusqu'à-ce que j'en décide autrement. »
Je rêve ou la naturiste me menace? A poil face à un type d’1m94 et elle tente de me faire du chantage? Je ne savais pas si à ce stade je me devais de l’admire ou de me bidonner franchement. Faut dire qu’il n’y avait qu’un pas entre le génie et la connerie profonde. Les gens avaient d’ailleurs la fâcheuse tendance à confondre ces deux termes. Bref, je constatais que Toison de Jais souriait en me renvoyant mon propre regard. Visiblement, elle se pensait détentrice du déroulement des évènements... grossière erreur.
C’est donc avec un sourire amusé que je me passais une main sur les abdominaux pour finir par les tapoter distraitement.
« Je peux aussi te casser la gueule jusqu'à ce que tu daignes devenir plus complaisante avec moi… Je cours vite ma chère. Si j’étais toi, j’y réfléchirais au moins deux secondes avant de me chercher des noises dans un lieu qui semble démuni de code pénal… »
Puis, histoire de montrer toute la panique que m’évoquaient ses menaces, je me passais une main dans les cheveux en baladant mon regard nonchalamment sur les alentours.
« Alors tu m’expliques où on est ou tu es décidé de continuer ta crise existentielle ? »
Bah ouai, j’aurai quand même aimé comprendre ce que je foutais ici. Puis accessoirement savoir comment retourner dans ma superbe patinoire mousseuse. Mine de rien cette dernière me manquait beaucoup. J’avais un don certain pour progresser sur cette surface dérapente et me demandait si faire un salto en pleine glissade était à ma porté ou plutôt à celle d’une fracture du bassin. Bref, en quête de réponse mon regard se reposa sur le visage de ma vis-à-vis…avant de migrer vingt centimètres plus bas. Quoi? Pas de ma faute si le panorama y était plus agréable ! Et puis je vous emmerde ! Voilà !
Du côté de la baston sanguinaire~
C’est avec une jubilation sans fin que Bien Aimé vit son ennemi perdre connaissance suite à l’impact. Descendant de son fidèle destrier (Oui il était bien question du miroir), le petit lézard s’approcha du cadavre inerte du Petites Pattes...et cogna dedans. Non que ce soit par un acte de profanation des morts, mais le LMS tenait à s’assurer que l’autre était bel et bien parti dans un autre monde et donc qu’il ne faisait pas semblant pour ensuite lui sauter dessus traitreusement. Bref, après quinze coups de pattes, Bien Aimé daigna enfin se montrer rassuré et se demanda s’il devait conserver le scalpe de son ennemi vaincu. Mais vu qu’il trouvait ça particulièrement dégueulasse, il décida qu’il se passerait d’un tel trophée. Surtout que le petit reptile savait tout de même que l’autre connard n’était pas vraiment mort, juste inconscient. Dommage bien sûr, mais la réalité ne daignait pas changer sous le bon vouloir d’un simple souhait. Au final, Bien Aimé savait qu’il pouvait profiter de l’inconscience de l’autre pour le finir… mais il mourrait tellement d’envie de pouvoir se la péter et de voir la tronche déconfite de l’autre à leur prochaine rencontre qu’il se dit qu’au final : La survie de l’autre était PRIMORDIALE ! Victorieux, le petit reptile orangé décida donc de prendre congé. Non sans un dernier petit cracha sur le corps étendu, ce qui lui procura beaucoup de satisfaction, il décampa par la fenêtre.
Une petite heure plus tard, alors que Bien Aimé trottait joyeusement après un papillon pour le bouffer, un cri retentit.
« JE TE RETROUVERAIS ET TE LE FERAIS PAYER SALAUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUD !!!!!!!!!! »
Laissant l’insecte lui échapper, le reptile orangé eu un sourire de psychopathe. Sa victime venait de se réveiller et semblait des plus radieuses.
« Cours toujours Petites Pattes ♥» |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. Lun 14 Oct 2013 - 15:15 | | Bonjour, bonjour ! Où en est ce rp ? Est-il toujours en cours, ou est-il abandonné ? Merci de ne pas répondre à ce message et de poster la suite normale du rp. Ce message sera supprimé après. Vous disposez d'un mois pour donner des nouvelles. ♥ |
| | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: Allez, balaie esclave. | | |
| | | | Allez, balaie esclave. | |
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