[y] Robinou | Broken

Je lui avais laissé une chance de partir, d'échapper à une honte bien pire que celle que je venais de lui faire subir, mais il ne l'avait pas saisit. Au contraire, arrêtant ses caresses intimes il vint vers moi. Me frappant avec force, j'avais pourtant vu le coup venir, il me macula de toutes les insultes habituelles qu'il me disait. Vraiment, qu'il change de disque. Encaissant le coup sans broncher, un fin filet de sang coulant sur mon menton que j'essuyais d'un revers de pouce, je léchais ma lèvre légèrement meurtrie. Puis ... Je finis par rire en écoutant ses dires. « Viol ? » Cessant mon moment d'euphorie, je finis par le regarder plus sérieusement « Tu crois que ce mot a toujours autant d'impact alors que tes encore devant moi le cul à l'air ? » Ce n'était plus du tout crédible malgré la menace qui pesait sur lui, il aurait très bien pu partir. Qui était assez con pour ne pas s'enfuir ? Il se risquait à se faire violer pour préserver son secret ... Et après on disait que c'était moi le taré. « Je suis un déchet, et toi t'es prêt à tout jusqu'à vendre ton cul pour protéger ton précieux secret ... Qui est le plus pathétique ? » Terminant d'une dernière bouffée ma clope, je finis par la jeter au sol.

Qu’il ne dise pas que je ne l’avais pas prévenu, et n’ayant pas peur d’être rébarbatif quand je disais quelque chose je le faisais. Alors sous l’impulsion, ma main agrippa fortement sa chemise pour le jeter par terre. Prenant place sur lui sans pour autant l’écraser. Ma raison me disait « NON ne fais pas ça !! », mais encore une fois je ne l’écoutais pas. Là il aurait une très bonne raison de me méprisais, car j’avais beau y repenser je ne comprenais toujours pas pourquoi il ressentait du mépris à mon égard en ne comptant pas ce que je m’apprêtais à faire évidemment … « Tu m’as déjà vu mentir ? » Cette question était posée uniquement pour lui faire comprendre que j’avais bien eu l’intention de le laisser partir, et qu’il n’avait pas saisit sa chance. Déboutonnant mon pantalon, mes mains bougèrent d’elles-mêmes. Caressant chaque parcelle de son corps, mes gestes n’étaient attifes. Au contraire, elles prenaient leur temps, essayant d’apprécier ce qu’elles avaient sous la main. J’aurais dû être plus violent, plus pressant pour un « viol », mais ce n’était pas le cas.

Défaisant les boutons de sa chemise, mes lèvres se mirent à l’œuvre elles aussi. Embrassant cette peau laiteuse en commençant par la naissance de sa nuque, elles se perdirent dans son cou, mordillant au passage quelques endroits bien visibles. Puis délaissant cet endroit, elles emprisonnèrent de nouveau cette bouche. Baiser langoureux qui fût plus long que le premier, plus sensuel également. J’en avais envie, je voulais aller plus loin. Cependant, j’étais un peu mal à l’aise. Mon partenaire de jeu n’étant pas du tout « ouvert » pour jouer avec moi. En ayant cette constatation, j’étais quelque peu refroidit. Non, vraiment le viol ce n’était pas pour moi. Forcer à l’acte ne m’emballait pas. Alors pourquoi je ne m’arrêtais pas là ?

Il se débattait comme il pouvait, et je continuais ce que j'avais commencé ... Du moins je m'efforçais de le faire. J'avais beau essayé avec hargne, je n'y arrivais tout simplement pas. Non, ça ne me dégoûtait pas de faire ça avec un homme, cependant même avec toute la volonté du monde je ne prenais aucun plaisir avec lui. C'était forcé pour l'un comme pour l'autre. Il n'y avait que mon égo qui grossissait en voyant ses larmes, mais rien dans le pantalon. Il ne faisait pas naître ce plaisir sensuelle qui rendait fou pendant l'acte, et c'était plus un fardeau de continuer qu'autre chose. Je n'étais pas romantique pour un sous, mais le désir et l'envie pouvaient apparaître sans être sentimental. Le bourreau était lui-même lasser, le 'jeu' était terminé. J'étais refroidis pour de bon et ses paroles n'arrangèrent rien. Me parlant subitement de sa précédente conquête. Qu'est-ce que j'en avais à foutre sérieusement ? Heureusement qu'il avait prit son pied, c'était le but de se foutre en l'air justement. « Va falloir que je lui demande comment il a fait pour te baiser alors, parce que moi tu me laisses froid ... » Saloperie pour saloperie. Lui qui avait un égo surdimensionné, comment se sentait-il en se faisant traiter comme une sous merde ?

Me relevant finalement en reboutonnant habilement mon pantalon, il continua son sketch avouant qu'il était pathétique. Alléluia ! Un miracle c'était produit ! Cherchant en même temps mon portable qu'il avait jeté je ne sais où, il me fit comprendre que moi non plus je ne lui plaisais pas. Bah, ça nous faisait un point commun, mais encore une fois il parlait pour ne rien dire. Je le savais déjà. Cependant, je lui répondis quand même « Quitte à me soulager, je préfère m'entretenir avec un autre coup. » Mon regard tapissant le sol, je ne faisais même plus attention à lui. Me sortant de nouveau une autre clope que j'allumais hâtivement, je finis par retrouver mon moyen de communication malheureusement ... Bien abîmé. L'écran était cassé. Soupirant à cette constatation, je fus soulager car néanmoins il allait encore essayant d'envoyer un message. Je n'avais pas les moyens de m'en racheter un, mon énième famille d'accueil me foutant dehors. Ce bahut m'avait sauvé de la rue.
Le rangeant dans ma poche, je revins vers lui esquivant cette loque pratiquement nue pour aller chercher mon sac, ne prenant pas la peine de lui jeter un regard comme s'il était aussi insignifiant qu'une boite de capote vide. Enlevant ensuite mon haut, laissant entrevoir mon torse, je finis par me changer frissonnant un peu vu le temps qu'il faisait. Je ne m'en étais pas rendu compte avant, mais il faisait frisquet dans le gymnase ...

J’étais en train de m’habiller prêt à quitter le gymnase ne répondant pas à cette question à la réponse évidente quand … Je sentis ses mains sur moi, m’enlaçant et les posant sur ma poitrine. Il était censé être dégouté de tout mon être, mais il me touchait quand même. Avec une douceur qui me laissa bouche bée, réveillant ce cœur qui avait trop longtemps dormit. Ce n’était pas un battement de cœur dût à l’adrénaline face à la colère non … J’étais blessé. Apprenant que même le Robbie de ‘cette’ époque était manipulateur. A la mort de mon frère j’avais appris une chose : la vie était éphémère et les liens tout aussi fragiles. Je ne m’attachais plus pour me protéger car j’avais peur. Peur de perdre à nouveau quelqu’un et de souffrir comme par le passé, cependant malgré toute la volonté de rejeter les autres il m’arrivait de m’attacher quand même et c’est cette rareté qui donnait de la valeur à mes relations si peu nombreuses. L’ancien Robbie avait été une de ces relations.
Là, il venait de m’apprendre quelque chose avec cette nouvelle confidence. Je n’avais jamais été son ami. Finalement, je n’avais été qu’un simple outil pour lui, une armure, un garde du corps le protégeant des coups. Je n’étais pas choqué non, mais cette révélation ne me laissa pas de marbre. Restant immobile debout, j’étais perdu. Il avait réussi à me faire perdre mes moyens. Tout n’était que contradiction chez lui, j’allais devenir plus cinglé que je ne l’étais déjà « Pour moi tu étais un vrai ami et avant aujourd’hui je ne m’étais jamais servi de toi … » Mon cœur battait encore la chamade. Il fallait que je me calme, je ne voulais pas lui montrer que j’étais touché parce qu’il m’avait dit, mais pris dans mon élan je lui balançais des choses que j’avais sur le cœur et que je ne lui avais jamais dite « J’aurais remué ciel et terre pour toi il fût un temps, et je te l’avoue même après ce que tu viens de me dire ... Tu ne t’es jamais dit que j’étais un acteur ? On se cache tous derrière quelque chose. » Ce qu’il m’avait dit m’avait un peu ébranlé mais je restais cependant vague. Quelque chose d’autre me tracasser, ce moment où il m’avait enlacé …

Je crois bien que j’étais aussi tordu que lui, si ce n’est plus. Je ne voulais pas le violer, je voulais que ce soit lui qui vienne de lui-même. J’ai voulu le forcer, il m’a rejeté. Je me suis éloigné et c’est lui qui venait finalement. Incompréhensible et contradictoire. Il m’avait fait découvrir ce qu’était ses douces caresses, les prémices de l’acte, je ne voulais plus partir ayant un regain de je ne sais quoi. Moment de folie que sais-je, mais je le dis quand même quitte à ma prendre un énième vent cassant « Couche avec moi. » Ça avait les airs d’un ordre, mais ce n’était pas du tout le cas le ton était différent que celui que j’avais employé tantôt.

J'étais prêt à recevoir une réponse cinglante face à ma demande, mais ce ne fût pas du tout le cas. Debout devant moi, me regardant droit dans les yeux il laissa glisser son sous-vêtement le long de ses jambes, et sa chemise eût la même fin s'étalant de tout sous soûl sur le sol. Nu, je l'avais déjà vu. Indifférent la première fois, il fut d'un seul coup bien plus attirant, si bien que j'eus du mal à avaler ma salive. Si je n'avais pas senti la chaleur de ses mains sur mon torse, j'aurais cru à un rêve. Doux et agréable.
Et que dire de ce baiser ? Il ne fallut pas longtemps pour que ma langue rejoigne la sienne, juste assez pour que je me rends compte que c'était bien réel ce qui se passait. Langoureux et fougueux, je répondis à ce contact buccal de la même manière le laissant déboutonner mon pantalon pour y toucher ma virilité. Mon sang ne fit qu'un tour. Auparavant froid, je bouillonnais de l'intérieur. M'offrant un avant goût de ce qui allait se passer, il finit par rompre ce baiser et avant que je ne puisse avoir de nouveau les idées claires il m'attira vers lui se laissant mollement tomber sur le tapis de gym. « Viens ... » Ce simple mot sonna comme un déclic. Tendant ses bras vers moi, il m'invitait.

A cette heure je n'avais plus la capacité de réfléchir, cependant aussi loin que je me souvienne, jamais personne ne m'avait fait autant d'effet avec un seul mot. Merde. L'heure ne s'apprêtait plus à réfléchir, alors enlevant mon haut pour de nouveau lui montrer mon torse, je vins me glisser sur ce corps devenu si tentateur en quelques secondes. Calant mon entrejambe contre la sienne, il m'y avait fait une place. Malgré une deuxième tentative, je ne savais toujours pas comment m'y prendre, mais je supposais que c'était pareil qu'avec une fille.

Alors instinctivement, une de mes mains glissa sur son ventre pour rejoindre ses fesses rebondit y pénétrant délicatement deux doigts dans son orifice. Mes gestes n'étaient plus agressifs, gardant toujours cependant un ton sauvage, ils étaient plus doux, plus délicats. Des gestes qui me surprit moi-même. Mouvant mes doigts à l'intérieur de son corps, ma deuxième main se hâta également à la tâche s'occupant de son entrejambe. Caressant la chose qu'elle tenait en main avec tendresse et sensualité, mon regard perçant alla se loger dans ce bleu profond qu'était ses yeux comme pour chercher son accord, je vins chercher ses lèvres ...

Toutes les premières fois étaient importantes, on ne les oubliait pas. Ces souvenirs bons ou mauvais restés encrée dans la mémoire et on avait beau s'efforcer de les oublier, ils restaient. Comme des blessures qui se cicatriseraient laissant des marques indélébiles. Robbie n'était pas mon ami, mais il était en train de m'offrir un souvenir. Souvenir qui j'en étais sûr allait me hanter alors qu'il n'était même pas encore terminer. C'était pitoyable. Il y a peu on s'insultait encore, j'avais failli commettre l'irréparable et voilà que je me mettais à être un poil sentimental ... Peut-être parce que je savais que se souvenir allait avoir une fin ?

On s'était mutuellement blessés, ce qui n'empêcha pas ce qui arriva. Immisçant mes doigts en lui comme pour y apposer une marque encore plus profonde. Je voulais prendre possession de lui, et qu'il prenne du plaisir sous mes caresses me motiva à aller davantage plus loin. Je n'avais plus froid, j'avais chaud. Trop chaud. Mon sang bouillonnais, ma poitrine s'emballait. Quelques gouttes de sueur glissèrent sur mon visage, et mes lèvres s'emparèrent des siennes invitant sa langue pour une danse sensuelle. J'étais poursuivis par des sentiments de contradiction. Avant ça, Robbie était synonyme de répulsion, là il représentais le désir. Un désir incompréhensible et par-dessus tout incontrôlable. Mes mains en étaient témoin. Elles bougèrent instinctivement, continuant leur prouesse pour le faire vibrer. J'étais esclave de cette pulsion malgré moi.

Réceptif, agrippant mes épaules qu'il marqua de ses griffes, la douleur fût veine comparée à ce que j'allais ressentir par la suite ... Me repoussant, j'étais à genou. Il voulait prendre le dessus, je n'étais pas contre. Le laissant alors faire, je le lorgnais avec un désir non dissimuler. A quatre pattes tel un chat il était dans une position plus qu'éloquente, et ma patience fût récompensée. Frissonnant de part et d'autres, sa langue voyagea sur tout mon buste pour terminer son voyage sur le fruit défendu. Me libérant de ce bout de tissu en le baissant, il commença sa douce torture. Me taquinant d'abord avec le bout de sa langue, il mit fin à cet enfer en le prenant finalement en bouche. Comment décrire mon ressentit ? C'était un supplice exquis et fût davantage insoutenable quand il commença à bouger sa tête avec une cadence à rendre fou.

Glissant délicatement mes doigts dans sa chevelure, je me faisais violence pour ne pas faire entendre mon plaisir avec quelques soupirs de satisfaction. Cependant, mon entrejambe était plus honnête que moi, prenant une taille plus imposante à chaque va-et-viens un peu trop prononcé. S'il continuait je n'allais plus répondre de rien. Le plaisir montait en flèche, le regardant prendre soin de mon membre, je finis par lâcher un « Robbie ... ». J'étais endurant, mais il avait la langue habile et j'avais beau me retenir, j'avais atteins ma limite. Libérant mon sexe de sa bouche, une main vint bloquer ce jet liquide pour éviter de souiller son visage. J'étais peut-être un connard qui assouvissait ses instincts primitifs à droite et à gauche, je n'étais pas un porc. Ma respiration était haletante, j'avais beau atteint le summum du plaisir mon membre n'en était pas moins soulagé, dresser toujours aussi fièrement ... Ce n'était pas assez.

Alors couchant de nouveau l'adolescent sur le tapis de gym, mes mains retrouvèrent cette peau bien trop douce, et voyagèrent sur ce corps de sorte de n'oublier aucune parcelle. Passant par son torse, pour aller se retrouver sur ses cuisses que j'écartais un peu pour y loger mon entre jambe, je ne pouvais plus attendre creusant avec délicatesse un chemin dans cet entre, je lui fis entendre un soupir de soulagement ...

Avec un léger coup de bassin, nous ne faisions plus qu'un. Cependant, malgré toute la douceur que j'y avais mis, je pus lire sur le visage de Robbie de la douleur. Merde ! Je m'y prenais mal ? Peut-être que c'était notre position qui gênait, alors je le laissais me guider. S'accrochant à moi je finis par me retrouver assis, le lycéen sur moi, mais n'écoutant plus mes instincts primaires mon bassin ne bougea plus. Toujours en lui, j'attendais qu'il s'habitue à 'ma présence'. Quelques minutes qui parurent une éternité, occupant ce temps à attendre à lécher ce filet de sang qui coulait sur son menton, ma langue tentait de soigner de cette plaie. Habituant mes mains toucher ce corps si tentateur.
Puis cette danse sensuelle recommença de nouveau, commençant avec une cadence lente, mes mains se logèrent dans le bas de ses reins. L'ambiance était étrange, mais pas désagréable. Entre tendresse et geste doux, j'avais l'impression de faire l'amour à un être aimé, et la question qu'il me posa poussa cette réflexion dans ma tête. Oui, pourquoi lui ? Bonne question, mais à laquelle je n'avais pas la réponse. Peut-être que je voulais inconsciemment combler ce sentiment de rejet qu'il m'avait fait vivre ? Je ne savais pas. Ou peut-être que je me voilais la face, connaissant la réponse je préférais nier en bloc l'évidence. Je passais ma vie à fuir la réalité « Je ... Je ne sais pas ... ».

Front contre front, mon regard se plongea de nouveau dans le sien. Moi aussi, une question me trottait dans la tête, cependant j'avais peur de la réponse. « Pourquoi avoir dit oui ? » Cette question en cachait une autre : avait-il dit oui sous la contrainte ou avait-il dit oui parce qu'il en avait réellement envie ? Je payais le prix pour avoir essayé de le forcer en baignant dans le doute, car je ne pouvais pas savoir s'il était sincère, ou s'il avait peur. Quel con. J'avais posé cette question dans un soupir de plaisir, comme un murmure presque inaudible. L'enlaçant, mon visage s'engouffra dans son cou embrassant cette peau délicieuse, m'immisçant toujours en lui avec des mouvements sensuels, j'apprenais avec lui ce qu'était 'faire l'amour', et pas 'baiser'. Que ce soit lui qui m'apprenne ça était encore surréaliste alors que je l'avais bien dans mes bras ...

[HRP : C'est rien ! Tant que je comprends c'est bon xD]

La question sortit tout seul sans que je n’y réfléchisse, car si j’avais eu un minimum de jugeote, je ne lui aurais pas demandé. J’étais lâche, fuyant sans arrêt la réalité, j’avais peur de la réponse qu’il allait me donner. Et le temps de réflexion qu’il prit ne fit qu’augmenter ma gêne. C’était la première fois que je posais ce genre de question. D’habitude, je me fichais bien de tout et de tout le monde, mais bizarrement une pulsion inconnue m’avait fait sortir ces mots de ma bouche. Quelque chose ne tournait pas rond chez moi, surtout quand Robbie était devant moi.

Ces quelques minutes parurent si longues, mais il me donna enfin une réponse, frissonnant aux caresses qu’il me fit. Une réponse qui me satisfaisait à demi-mesure étrangement … D’un côté il aimait mon corps. Détail important, je ne le répugnais pas c’était déjà ça. D’un autre côté, c’était juste physique. Le ‘juste’ était de trop. Cette constatation me fit peur, alors mettant ça de côté je finis par me consacrais sur cette union plus qu’improbable.
Bougeant mes hanches à une cadence lente, elles commencèrent à lui offrir des va-et-vient plus intense, sans pour autant être violent. Je voulais lui donnait du plaisir pas lui faire mal. Essayant de trouver les mots, je finis par lui glisser entre deux baisers langoureux « J’ai mentit … Tu es très attirant. » Je pense que ces mots n’étaient pas nécessaires au vue de mon état, mais faire des compliments surtout un moment pareil était très délicat pour moi. Je n’avais pas l’habitude de dire des choses ‘gentilles’, je ne disais pas non plus des atrocités à longueur de journée … Ce n’était pas dans ma nature.

Combien de baiser avais-je déposé sur ce corps si tentateur ? Beaucoup. Ce qui ne m’empêcha de recommencer. Embrassant une de ses épaules, pour remonter à la naissance de son cou, je vins goûter sa peau lui laissant une jolie trace rouge. Un suçon. Léchant mon œuvre délicatement. Ce n’était pas une marque de possessivité,  mais une marque qui était témoin de ce qui se passait. Je voulais qu’il se réveille le lendemain en regardant cette trace et qu’il se dise que ce n’était pas un rêve. J’avais vraiment des pensés tordu en sa présence. « Je … Je vais bientôt … » Prenant ses hanches si étroites presque féminines entre mes mains, la cadence de mes coups de hanches devenait plus rapide, si bien que ma respiration était de plus en plus saccader. La température montant en flèche, j’allais bientôt toucher l’apothéose.