Hé bien, mon pote, c'était long avant que tu arrives.

Dès qu'on était arrivés, Evany et moi avions été séparés.On m'avais trimbalé dans toute l'école pour me montrer ou j'allais dormir, quel serait mes cours ainsi que la cafétéria. Ce pensionnat était grand certes, mais je n'était venu que parce qu'Evany voulait venir ici. Des pouvoirs, comment les gens pouvaient croire qu'ont été des élus, qu'on avaient des pouvoirs. Sottise voilà tout ce qui me venait à l'esprit. Je l'avais cherché hier, mais mes efforts avait été en vain.Je m'était donc persuadé de prendre mon rôle dans cet établissement au sérieux, j'était désormais un élève de ce pensionnat. J'avais déambuler pendant quelque heures question d'explorer les lieux.Mais là mon estomac me faisait farouchement signe qu'il devait être assouvis de nourriture. J'avais donc arrêter mon exploration la reportant à plus tard et je m'était dirigé vers la cafétéria.Les couloirs commençait à être bondé d'élèves, bientôt on pouvait entendre une cohue comme bruit de fond. J’accélérais le pas, je n'aimais pas qu'il y ai autant d'élèves.Les foules me mettait mal-à-l'aise je voulais partir d'ici au plus vite. J'arrivais bientôt à la cafétéria, mais serait-elle aussi bondé de gens que l'étaient ces couloirs ? J'espérais que non. J'arrêtais un instant, évaluant la situation, devais-je aller à la cafétéria.La question était stupide et la réponse logique, il y aurait bien trop de gens à la cafétéria.Je retournais donc vers ou j'était partit, fuyant les couloirs bombé. Je courais à plein poumons, je voulais fuir la foule.Je regardais le sol évitant ainsi de croisé le moindre regard des gens qui m'entourait.Je n'avais pas aperçu que le couloir était maintenant vide
.Je tournais à gauche, puis à droite ne me souciant pas de ce qui m'entourait, je voulais respirer, m'éloigner de tout ces gens.C'est en agissant ainsi que le percuta de plein fouet un inconnu qui trônait là dans le hall d'entrée.Il était trop tard, l'inconnu avait les yeux rivés sur toi, je grimaçait, je n'avais pas envie de lui parler.Je voulais simplement me la jouer incognito, rester seul dans mon coin.Je ne pouvais fuir comme ça, je me devais de réagir.Pour l'instant je me contentais de rester de marbre face à l'inconnue lui grimaçant mon mécontentement face à cette rencontre surprise.J'ouvrit la bouche pour parler, mais ma gorge ne voulait pas laisser les mots sortir.

- Dé. Désolé de t'avoir rentré dedans, je ne regardais pas ou j'allais.

L'envie de fuir me taraudait, des sueurs froides perlaient mon front. Je n'aimais décidément pas les contacts social.Mais bon, je ne faisait que juger sans savoir, qui sait peut-être cet inconnue allait me laisser, peut-être ferais-je une rencontre auquel je me rappellerais toute ma vie, qui sait ?